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Histoires Des Invités

À l'Hôtel

 

Par esclave samara

Traduit par Rose Mimbo

Monsieur a assigné sa tâche à samara : elle doit être à l’hôtel le soir à sept heures et demie, une clé l’y attendra. Elle doit porter une robe courte, élégante mais courte, et rien dessous. Elle devra aller directement à la chambre et, une fois entrée, laisser la carte-clé sur la table ; elle doit laisser les lumières éteintes et aller se mettre face au mur du fond. Elle doit lever les bras au-dessus de sa tête et peut utiliser le mur pour poser ses mains ; ses jambes doivent être écartées, très largement, il me semble que c’est ce que vous avez dit, Monsieur.

Samara est là depuis ce qui lui semble une éternité, elle attend, à l’écoute. Vous lui avez dit qu’elle n’a pas le droit de parler. Puis samara entend la porte. Ses bras lui font mal et ses jambes sont affaiblies, samara se met à trembler de fatigue et du fait de la conscience renforcée qu’elle a que Vous êtes là.

J’entends Monsieur entrer et poser quelque chose sur le lit, une valise, je suppose. Vous allumez la lampe, puis j’entends qu’on tire la chaise et qu’on la place juste derrière moi.

Mon cœur bat si fort que j’entends à peine le faible bruit d’un clic, suivi d’un silence de mort troublé seulement par mon cœur et ma respiration.

Puis, sans prévenir, vos lèvres sont à mon oreille et votre main est dans mes cheveux qu’elle tire vers l’arrière. Dans un murmure sexy et discret, vous dites :

« Ahhh, samara désire faire plaisir à son Maître. »

Puis j’entends que l’on coupe ma robe ! Le clic, c’était un couteau. Je suis tellement surprise que je manque de crier.

"Monsieur m’a dit de ne pas parler…"

Je me mords la lèvre. Vous lâchez mes cheveux au moment où vous avez tranché ma robe, qui pend sur mes bras mais laisse dénudé le côté de mon dos.

Les minutes paraissent des heures et les seules choses que j’entends sont mon propre cœur et ma respiration, puis je sens la brûlure causée par votre main qui frappe mes fesses, une fois, deux fois, suivie d’un contact doux qui mesure la chaleur dégagée par les fessées.

Votre main remonte sur mon côté et je sens que vous vous rapprochez, si près que je peux sentir l’extérieur de votre corps dur, que mon cou frissonne sous la chaleur de votre respiration. Votre main glisse jusqu’à ma poitrine et se contente de passer entre mes mamelons avant de descendre le long de mon ventre. Puis entre mes jambes, je vous entends ricaner sur le niveau d’humidité dans lequel je me trouve, et j’entends votre voix profonde à mon oreille qui me dit :

« Samara, ta disponibilité me plaît mais ton désir peut attendre. »

Vous retirez votre main et portez vos doigts à mes lèvres en disant :

« Goûte ton désir ! »

Et vous enfoncez vos doigts dans ma bouche. Puis, d’un ton de commandement, vous ajoutez :

« Maintenant, tu vas goûter le mien ! »

Vous reculez en retirant vos doigts de ma bouche, vous ne partez qu’un instant puis vous me dites de baisser les bras et de les mettre derrière mon dos. Ma robe tombe par terre lorsque je baisse les bras, et le sang revient dans mes doigts si brutalement que ça me fait mal ; lorsque mes bras sont dans mon dos, vous les attachez des aisselles aux poignets. Puis je sens que vous mettez un collier autour de mon cou, votre contact me rend encore plus humide, et je frémis à la pensée d’être maintenant à vous.

Vous me faites me retourner et vous passez le dos de votre main sur ma joue, puis vous attrapez ma chevelure pour tirer ma tête en arrière afin que je puisse vous regarder en face. Ensuite, vous me dites très sérieusement que je vous appartiens et que mon travail consiste à vous plaire. Puis vous m’embrassez, Monsieur, et me faites mettre à genoux.

Vous vous retournez et allez jusqu’au lit pour vous déshabiller, et même si je ne vous ai jamais vu, je sais que vous allez me paraître très sexy.

Quoiqu’il en soit, Monsieur, cette histoire comporte beaucoup plus de choses, comme le fait que vous baisiez ma bouche, puis il y a le lit, ensuite le deuxième jour dans le parc, c’est ce à quoi je pensais en me tripotant la nuit dernière. Je pensais juste que je vous ferais savoir que je pense souvent à vous.

Puis vous revenez vers moi, vos yeux rivés dans les miens, vous vous asseyez dans le fauteuil devant moi et vous me faites signe de venir vers vous. Pendant que je m’approche pour m’agenouiller devant vous, vous saisissez une pleine poignée de mes cheveux, vous vous penchez en avant et vous léchez mes lèvres, puis vous plongez votre langue dans ma gorge. Ensuite, d’un mouvement brusque, vous m’écartez et me poussez vers votre sexe en me disant de vous lécher la queue et les couilles.

Lentement, je me mets à lécher vos couilles et à remonter le long de votre membre, jusqu’à prendre votre gland dans ma bouche, mais vous me repoussez et me giflez en disant :

« Samara, j’ai dit : lèche, pas suce, salope ! »

Je continue à lécher le long et autour de votre gland et de votre membre, puis vos couilles. Vous me dites ensuite de vous emboucher, je le fais avidement car c’est aussi mon désir, mais votre prise dans les cheveux vous permet de contrôler mes mouvements, et vous m’autorisez lentement à descendre le long de votre queue. Méthodiquement, vous me poussez et me tirez, puis vous vous levez et vos mouvements deviennent plus rapides, vous forcez votre sexe maintenant bien dur de plus en plus profondément dans ma gorge, au point que j’étouffe car votre vigueur et votre dureté sont grandes, mais cela ne vous dissuade pas et vous pompez encore plus fort.

Je vous sens commencer à frémir et je sais que vous êtes sur le point de jouir, je n’en peux plus d’attendre pour vous goûter, j’en ai rêvé jour et nuit.

Lorsque vous arrivez à la limite, vous plongez profondément dans ma gorge et je sens votre sperme qui s’engouffre au fond ; vous vous retirez si brusquement que votre semence gicle hors de ma bouche, et vous achevez votre éjaculation sur mon menton et sur mon cou. Elle coule sur mon torse et entre mes seins.

Alors que j’ai la bouche pleine de votre sperme, vous tirez ma tête en arrière puis vous lâchez mes cheveux et m’attrapez la figure pour m’embrasser à fond et aspirer votre semence sur mes lèvres et la partager avec moi avec votre langue.

Vous me relevez et me faites retourner pour détacher mes liens, puis, d’une claque sur le derrière, vous me dites d’aller me laver, puis de vous laver ; je m’exécute. Maintenant, vous me faites asseoir à côté de vous et vous me détaillez les façons de faire que je dois appliquer désormais, sur lesquelles vous ne tolérerez pas de faute. Puis vous me dites :

« Samara, je ne suis pas un Maître violent ni cruel, mais tu dois savoir que tu es à moi, que tu m’appartiens cœur, corps, esprit et âme, ainsi que nous en avons parlé. À présent, pour y parvenir, tu vas devoir travailler dur. Ton seul désir est de me plaire, et ta volonté doit m’être librement donnée. En échange, Samara, je te promets que ton monde sera complet. Pour l’instant, laisse-moi bien voir ce qui m’appartient ; lève-toi. »

Je me mets debout devant vous, les yeux baissés, je ressens un sentiment de joie que je n’avais encore jamais ressenti. Vous me dites de me retourner lentement puis de marcher vers le lit et d’y prendre une position dont je ne connais toujours pas le nom mais qui consiste à avoir le cul en l’air et la tête en bas.

J’obéis à votre ordre et vous venez derrière moi, je ne vois pas le martinet dans votre main mais je le sens lorsqu’il s’abat sur moi. Je mords la couverture et je ferme les yeux, je libère ma volonté et je trouve du plaisir dans le fait que je vous donne cette douleur. Le temps est maintenant suspendu, ni le bruit ni la douleur ne m’affectent : mon seul désir est que ce soit le vôtre.

Vous arrêtez pour me parler et me dire que désormais, lorsque vous me prendrez, je jouirai aussi, que vous le voulez, mais seulement lorsque vous jouirez.

Puis vous me dites de m’écarter encore plus et d’utiliser mes mains pour m’ouvrir à votre pénétration. Vous me montez comme un étalon et vous me pénétrez avec une telle force que mes genoux ploient. Lors de la première poussée, une de vos mains enfonce mon torse dans le lit pendant que l’autre s’empare de ma chevelure.

Vous libérez mon dos et vous me tirez vers votre sexe, puis vous me repoussez sur le lit et vous vous retirez presque, seule l’extrémité de votre sexe reste à l’entrée du mien. Je sens que vous crachez sur mon cul, votre doigt en franchit ensuite l’anneau, puis vos doigts s’enfoncent lentement plus loin avant de se mettre à frotter votre queue qui est rentrée à l’intérieur. À travers la fine paroi entre mon sexe et mon anus, vous vous mettez à vous tripoter, à entrer et sortir des deux trous simultanément.

Tout mon être frissonne et je pense que je ne dois pas jouir, mais tous mes sens trouvent incroyable ce que vous me faites, je me concentre sur vous et vos souhaits, tâche qui me prend tout entière et qui repousse un égoïsme que je parviens progressivement à placer sous contrôle. Je veux tellement vous plaire que cela diminue le désir de mon propre plaisir. Je sens que mon désir de vous plaire prend le pas sur celui d’avoir moi-même du plaisir ; quel soulagement c’est, quelle expérience étrange mais puissante vous me faites vivre ! Puis vos mouvements tournants commandent le début de votre jouissance, et aussi incroyable que ce soit pour moi, mon orgasme commence, je me mets à vous baiser en retour et lorsque je jouis, mes contractions sur votre membre démarrent votre orgasme tandis que mon sexe aspire la moindre goutte de semence issue de votre magnifique queue.

Vous vous effondrez sur moi et lentement, nos cœurs se mettent à battre à l’unisson ; je me sens une, je me sens complète, et votre poids sur moi me fait fondre, je me fonds en vous, et je sens alors que mon corps, mon cœur, mon esprit et mon âme s’envolent vers vous.

Espérant que cela vous fait le même effet qu’à moi, je vais me doucher.

Pour Monsieur, avec mon Amour,

samara.

 

 

© THE BDSM CIRCLE - LE CERCLE BDSM 2020