Histoires Des Invités

 

Comment J'ai Dressé Mon Conjoint.

Par Geneviève

Je suis une Femme de 44 ans, fonctionnaire à la SAAQ, j'occupe un poste d'instructeur.
Mon conjoint, Jean a eu 54 ans en juillet dernier. Il est consultant industriel. Tout deux avons une forte personnalité et des caractères de leader et ce malgré que moi, je suis introvertie, timide et insécure. Points que Jean n'a pas.
Avant de connaître Jean, j'ai eu un conjoint qui était aussi fonctionnaire, plus un intellectuel qu'un manuel et ne m'apportant que peu d'aide. Rêveur, il ne me portait pas l'attention que je désirais d'un homme, en plus de devoir me coltiner les travaux d'entretien et domestique de la maison. Par contre il était un bon cuisinier à l'occasion.

Jean est du type manuel, généreux de cœur, attentif, toujours prêt à m'aider à la moindre occasion. Il a 2 ans que nous avons fait connaissance et je vis avec lui.
Au début, l'adaptation fut difficile car nous avions souvent des frictions de par notre caractère et pour cause de mes fonctionnements égoïstes qu'il me reprochait.
Une bonne fois, il m'a mit les points sur le i et les barres sur les t comme on dit. Il me reprochait mon manque de communication étant ainsi introvertie et qu'il ne pouvait deviner ce que je ne luis disait pas et ne lui faisant pas connaître mes ressentis en demeurant fermé comme une huître.
Cela me choqua, provoqua une vive réaction chez moi, car il venait de toucher ma corde sensible. Il ajouta;
" À l'avenir si tu désir quelque chose, tu devras me le demander, me l'exprimer… Qu'il n'irait plus à l'aveuglette pour tenter de combler ou deviner mes attentes et désirs. "

Bref, je lui ai fait la tête pendant presque pendant 2 semaines en faisant chambre à part.

Il me fallait trouver un moyen pour surmonter cette fermeture et mon insécurité. Durant cette période de chambre à part, je voulais comme le punir en agissant ainsi sachant que ma présence lui manquerait étant très affectueux et porter sur le sexe.
Mais, j'ai du reconnaître au fond de moi, que derrière ma timidité, mon introverti se cachait mon désir de conduire, contrôler, faire les choses à ma façon car je suis entêté.
Cela tenait du fait qu'en bas âge je me refoulais ayant des parents sévères. J'étais aussi le souffre douleur de ma sœur et mes deux frères aînés. Souvent, à cause d'eux, j'ai goûté à la baguette de bois qu'utilisait ma mère pour me punir et souvent j'étais l'objet de réprimandes. De ce fait, aujourd'hui encore, j'accepte très mal la critique et ou les reproches.

Je tenais et j'aimais Jean, je me suis résolu donc à m'affirmer en faisant les efforts de lui demander ce que je voulais. Pas facile, car je suis très indépendante, autonome et j'ai souvent un fonctionnement égoïste comme il me disait.

Au début je l'appâtais avec mes charmes, finesse et peu à peu je suis venu à lui dire que quand il serait de mauvaise humeur après moi, qu'il me ferait des reproches ou critiques (chialerait), que je le priverais de sexe et le ferai coucher sur le divan.. Quand je lui ai dit cela la première fois, il se mit à rire en disant;
" Je crois que cela va t'être aussi pénible qu'à moi. "

Grrrrr, Il venait de me donner encore une poussé de sang et d'adrénaline.

J'ai commencé par écrire sur un bout de papier, que je laissais sur le coin du comptoir, les choses que je désirais qu'il fasse durant la journée ou semaine dans ses moments libres ou lorsqu'il ne travaillait pas , alors que moi j'étais au travail.

A ma grande surprise à mes retours, les choses étaient faites. Peu à peu j'en ajoutais et un jour je lui ai demandé de m'aider à faire une partie du travail de préparation que j'avais à faire pour la formation que je devais donner dans les mois suivants.
Sans dire un mot ou grincher, il me prépara tous mes cartons d'instruction avec photos sur la conduite et le transport. J'étais bien heureuse, car ce qu'il fît, m'épargna bien des heures de travail pendant plusieurs soirs. Je l'ai bien récompensé…..
Je me suis vite rendu compte que j'aimais bien le voir faire ce que je lui demandais. C'est alors que m'est venu l'intention de lui faire faire pour débuter, ce que j'aimais moins comme travaux ménagers à la maison et ce, malgré qu'il les partage avec moi. J'avoue être un peu paresseuse parfois et je saisi la moindre occasion pour le moins en faire quand je peux.
J'attendais donc l'occasion d'une prochaine critique sur une chose pour lui refiler cette chose à faire.

Un jour qu'il passait l'aspirateur et que moi je lavais le plancher à la moppe, ce que je n'aime pas vraiment, j'ai simulé un accident en accrochant le manche de la moppe que j'avais déposé dans la chaudière avant d'aller à la salle de bain. A mon retour, renversant ainsi la chaudière, je me suis exclamai…
Jean est accouru pour voir ce qui se passait. En voyant toute l'eau répandue sur le plancher, il s'exclama à son tour; alors que j'étais entrain d'éponger l'eau,

" Bien voyons qu'est-ce que tu as faite là! "

J'ai répondu calmement,

" Imagines toi que j'ai fait exprès pour renverser la chaudière pour te faire chialer. "

Comme pour rire un peu de lui, mais je disais vrai.

Sans porter attention à ce que je venais de dire, il enchaîna en m'adressant des reproches.
Avec un air un peu furieuse, j'ai laissé tomber le manche de la moppe par terre en disant;

" Tu vois pas que c'est un accident! A partir de maintenant tu les laveras les planchers, alors tu chialeras plus! "

Puis je suis partir me faire un café. Il amassa la moppe pour éponger l'eau.

J'étais heureuse et excité en même temps de voir qu'il n'avait rien saisi de ce que je lui ai dit et de mon stratagème. Un peu bitch, mais enfin a lui d'écouter ce que je lui avais dit….
Depuis, je n'ai pratiquement plus lavé les planchers et je lui ai donner les autres travaux ménager à faire lui disant que c'était sa pénitence pour sa mauvais humeur en diverse occasion.
Puis quand il ne les faisait pas ou ils étaient mal faits, je lui disais en riant, comme pour un jeu;

" Est-ce que je vais devoir t'administrer une correction avec une verge ou une bonne fessé pour bien faire ce que je te demande?. "

Mais dans le fond de moi-même, ce n'était qu'un prétexte pour assouvir mon désir de lui infliger des corrections physiques.

Je me suis donc organiser un jour pour lui donner sa première correction. Après lui avoir donner 5-6 coups je le pris dans mes bras, je l'ai embrasser tendrement et passionnément en lui disant;
" Ça réveille en moi le désir de te dresser, de te corriger et te punir pour que tu fasses bien tout ce que je te demandes. "

Puis nous avons fait l'amour passion.

Souvent, dans les moments de passion, il me disait combien il m'aimait et que je pouvais lui faire, faire faire et demander ce que je voulais.
J'adore l'amour oral et le cunnilingus et il me le fait presque à chaque fois dans nos relations.
Dans ma progression, je désirais de plus en plus lui imposer mes fantaisies, le dominer et qu'il me soit soumis et le traiter en tant que tel.
C'est alors que j'ai commencé à faire des recherches sur Internet pour me documenter et me donner des idées sur quoi et comment faire. Oufff, je trouvais cela pas mal heavy et que jamais je ne serais capable de lui faire et imposer de pareilles choses. Il ne faut jamais dire jamais…
J'ai lu des textes très intéressants qui me permirent de démystifier et de me déculpabiliser dans mes désirs. Toutes ces lectures et recherches m'ont rendu capable de continuer de développer ce qui sommeillait en moi j'imagine depuis longtemps.
Jean a été très ouvert et a collaboré en tout temps et ne m'a jamais refusé ou freiner dans quoique ce soit puisqu'il est du genre ouvert et a avoir des fantasmes.

Un jour où il me faisait l'amour oral, je me voyais lui uriner au visage, j'avais cette idée depuis que j'avais vu une photo de golden shower.
C'est alors que lors d'une excitation, j'ai laissé aller une giclée alors que lui était en état de passion me dévorant la vulve avidement, avalant toute ma mouille.
Il fut surpris, mais ne rejeta rien, reprenant de plus belle à me manger.
Il en était fait, je savais qu'un jour à un moment ou un autre dans une forte jouissance que je lui urinerais dans la bouche et au visage. Chaque fois qu'il me mange, cette vision me revient sans cesse plus forte

J'ai donc multiplié peu à peu ces giclées, comme pour qu'il se fasse à l'idée. Chaque fois il le prenait bien, voir même une fois dans son excitation il me demanda de gicler, de me laisser aller. Je me suis retenu pour pas ne le faire et ce malgré que j'en avais un fort désir, n'exécutant pas ainsi à sa demande, il le désirerait d'avantage et je pourrais m'en servir comme une récompense et moyen de le soumettre d'avantage. Ce fut le cas, lorsque je lui ai demandé en une occasion où il était fort excité me dévorant la vulve et le clitoris, que si il désirait avoir une giclée, il devait m'implorer de le faire et ramper complètement nu devant moi.

Le voir ramper comme un vers de terre ainsi devant moi, dépourvu de tout son orgueil de mâle, l'entendre gémir et m'implorer m'excita au plus haut degré. Voyant son regard rempli de tendresse et de désir, je savais et sentais que je le possédais de plus en plus et qu'il accepterait n'importe quoi pour MOI, pour Me plaire et satisfaire. Quel sentiment et sensation de pouvoir!

Peu de temps après, je suis venu au point dans mon évolution et progression où je désirais lui appliquer des corrections ou applications douloureuses. Le voir et le faire souffrir pour MOI.
J'ai débuter par jouer et pincer ses seins durant nos relations pour voir sa réaction. Il ne contesta pas. D'une fois à l'autre j'accentuais les pincements et je prenais un immense plaisir à voir dans ses yeux la douleur qu'il acceptait pour MOI et la tendresse à mon égard qu'il me manifestait en même temps. Comme si il changeait les douleurs que j'y imposais en tendresse et preuve d'Amour et de dévotion pour MOI.

Lorsque je m'assois sur lui, empaler sur sa verge gonflée au maximum et que je me fais aller d'excitation vers l'orgasme, Je lui pince, tord les seins de toutes mes forces. L'entendre gémir, sentir ses seins se gonflés sous la douleur me transporte littéralement et ce jusqu'à l'explosion de mon orgasme indescriptible.

Puis des pincements, j'ai passé aux grafignes légères et occasionnelles au début, pour en venir aux grafignes qui selon mon désir et convenance lui laisse des marques pendant des jours et des semaines maintenant. Pour mon plaisir, à l'occasion je lui fait porter un appareil de chasteté durant la semaine et ou lors de ses déplacements à l'extérieur.

Après un cheminement de 8 mois, J'ai conduit et dresser Jean a faire tout ce que je lui demande. Accepter et subir, me REMERCIER de toutes punitions, sévices, châtiments que je lui impose Parfois même, je l'enjoint de coucher dans son atelier sur un matelas de camping, tant et aussi longtemps qu'il n'a pas fini les travaux de confection du matériel didactique que j'ai besoin pour mes cours.
Quand je ne désir pas faire et ou partager les corvées domestiques avec lui, il les fait toutes.
Il cuisine des plats d'avance, me prépare tous les matins mon dîner que j'apporte au bureau.
Il arrive que je quitte tôt, je laisse alors ma vaisselle sur la table, mes vêtements à laver, mes serviettes de douche sur le plancher sans oublier d'inscrire sur son mémo quotidien les choses à faire.
Jean ne fume pas et il déteste que moi je fume. Souvent il me le reprochait. Maintenant, il doit vider et nettoyé mes cendriers à tous les jours et de par cet imposition, il ne critique plus que je fume.
Maintenant, selon mes désirs pour le punir ou sans raison autre que pour mon plaisir et satisfaction, je lui impose hebdomadairement ou au dix jours, la fessé, une flagellation, des coulées de cire chaudes, divers châtiments, sévices pour augmenter et repousser ses limites. J'ai su à travers mes pulsions sadiques lui faire aimer la douleur et le conduire au masochisme. Accepter le tout pour MOI, pour assouvir mes pulsions, passer ma mauvaise humeur ou mon désir.

Depuis, MOI et Jean vivons en parfaite harmonie, sommes heureux, nous nous aimons passionnément, JE ne veux autre homme que lui et lui aucune autre Femme que MOI.
Je suis sortie de mon introverti et je suis moins insécure. Nous ne vivons pas continuellement en Domination/soumission, mais je lui ai fait l'adopté et je l'ai adapté dans notre mode de vie. J'en fais usage selon mon bon vouloir.
Nous/nous aimons pas, Nous/nous adorons!

A son dernier anniversaire, je lui ai donné 2 cadeaux. Le premier pour lui, pour le gâter et le second pour confirmé qu'il m'est maintenant soumis en lui donnant un collier en cuir et une cravache.
Éventuellement, un jour, pour le plaisir de la chose ou comme cadeau, je lui ferai rédiger mes règles et lois à suivre ainsi qu'un acte de soumission dans lequel il sera mention, qu'il est ma possession, qu'il m'appartient corps et âme ayant tous droits, privilèges de l'utiliser comme bon il me semblera.

 

©LE CERCLE BDSM 2005