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Histoires Des Invités

Mon Cocufiage

Par Odette Magique

Voilà vingt ans, j’avais réussi à convertir ma première épouse à la domination.
Vingt ans que je traîne mes fantasmes.
Oh, au début, c’était plutôt soft.
On avait découvert Histoire d’O et surtout le divin marquis de Sade.
Les premiers coups de ceinture, la lécher partout, ses petites culottes.
Puis mon premier gode, me féminiser, l’achat du fouet, les cordes.
Cinq ans de bonheur, jusqu’à ce qu’elle me quitte pour un alcoolique.
Puis je connus Colinette, dont j’étais fol amoureux.
Mais elle était nymphomane, je goûtais souvent le sperme de ses nombreux amants.
Enfin, ce fut Anne, qui devint très vite Maîtresse Wanda.
Greta est la tante de ma femme. Elle a 45 ans. Son mari est Marcel, 49 ans.
Chacun a son esclave : Trou pour Lise, Béa pour Marcel.
Depuis des années, ils sont connus sur le net et dans les clubs comme un couple dominant.
Sur les sites spécialisés, ils recrutent facilement des couples d’esclaves.
Ils exigent des liens forts, par exemple mari et femme, frère et sœur.
Lettre de motivation. Ils doivent certifier être de vrais masos, et s’engager à tout accepter sans limite. Les postulants doivent prouver qu’ils aiment souffrance, humiliation, obéissance totale.
Peuvent éventuellement travailler, mais être disponibles le reste du temps.
Greta et Marcel gardent un couple +/- 1 an. Ils les appellent tous Trou et Béa.
Ils acceptent aussi des stagiaires M et F en formation.
Actuellement, ils ont un couple sœur frère, 35 et 28 ans.
Il y avait peu de différence d’âge entre sa tante et Anne, 45 pour Greta, 40 pour Anne.
Lors d’un mariage d’amis communs, Greta et Anne qui avaient un peu bu, se sont fait des confidences. Elles se sont découvert leur gout pour la domination. Greta a expliqué qu’avec Marcel, ils dressaient des esclaves. Anne lui a parlé de mes goûts pour la féminisation, l’humiliation publique et le fouet, et aussi qu’elle avait des aventures.
Greta lui dit qu’elle connaissait un bel homme qui lui plairait surement, et qui serait un parfait Maître pour Solange. Et qui habitait pas loin de chez nous. Miam ! fit Anne. Greta lui téléphona pour l’inviter à les rejoindre. Elle lui expliqua en quelques mots la situation.
Greta expliqua à Anne que Bob était un de leurs amis qui participait de temps en temps aux séances de dressage, où il était très dur. Brigitte, sa femme, était une esclave parfaitement dressée.
Alors Greta a demandé si Anne voulait leur montrer Solange en situation. Avec Marcel, ils auraient plaisir à la tester, la dresser et l’humilier. Anne ne demandait pas mieux, elle était sûre que ça ma plairait.
Greta nous a invités pour le weekend. Elles ont mis les détails au point, je serais présentée en femelle et livrée comme esclave.
Bob arriva dans la demi-heure. Greta fit les présentations, ils se plurent tout de suite. En dansant, il comprit vite que Greta ne lui avait pas menti. Anne était chaude et lui confirma en quelques mots qu’elle était ma Maîtresse et lui décrivit la lopette que j’étais. Un quart d’heure plus tard, ils s’embrassaient à pleine bouche.
Ils rejoignirent Greta, Anne lui dit qu’ils partaient et qu’elle me renvoie.
Greta lui dit à l’oreille qu’elle inviterait aussi Bob pour le weekend.
Pendant ce temps, je parlais avec des amis éloignés. J’avais pas mal bu et perdu Anne de vue.
Un moment, Greta vint me dire qu’Anne était partie de son côté et qu’elle me faisait dire de ne pas l’attendre.
Je partis seul. Sitôt rentré, je me mis en tenue pour attendre ma Maîtresse. Je bus encore mais proche de la nausée, je m’endormis dans le canapé. Une paire de gifles me réveilla, il était minuit.
Moi je ne savais rien de tout ce qu’elles s’étaient dit ni de ce qu’elles avaient comploté. Ce n’est que plus tard qu’Anne m’en a raconté un peu.
Le lendemain, Anne téléphona à Greta et lui raconta sa soirée.
Ils s’étaient déjà bien pelotés dans la voiture. Chez Bob, Brigitte, toute nue, les accueillit à genoux, les yeux baissés. Elle était couverte de fortes traces de fouet, en particulier sur les seins.
Sans attendre, Bob emmena Anne au lit, une baise d’enfer ! Et Brigitte lui nettoya la chatte. Bob exigea qu’Anne lui montre ses talents de Maîtresse sur Brigitte.
À sa demande, Brigitte s’était aussi faite l'esclave de son fils Éric. Elle aimait beaucoup se faire fouetter par ses deux Maîtres ensemble, se faire enculer, boire leur pisse.
Le lendemain, c’était dimanche.
Comme chaque matin, en soubrette, je lui apportai le petit déjeuner au lit. Puis j’allai me lier toute nue aux cordes, espérant son fouet, sa petite culotte et peut-être un verre de pipi chaud.
Je fus comblée, Anne ne fouetta bien plus durement qu’à l’habitude.
Elle me délivra. Puis elle m’a convoquée au salon et m’a fait lire à haute voix le document où je disais mes envies d’être exposée à ses amies, et qu’elle prenne un amant pour les servir en esclave.
– Tu rêves ou tu veux vraiment ?
Persuadé qu’elle bluffait, j’ai dit oui.
– Méfies-toi qu’un jour je te prenne au mot.
– C’est mon rêve le plus cher, Maîtresse.
Durant la semaine, Anne alla chez Bob chaque jour.
Elle lui montra mes photos, mes textes, fantasmes et contrats.
En même temps, ils correspondaient avec Greta et Marcel.
Il s’agissait de mettre au point la cérémonie de mon cocufiage et la prise de pouvoir de Bob sur moi.
Mais pour me ménager la surprise, elle ne se laissait plus lécher et me privait de sa petite culotte.
Ma semaine fut dure : travaux ménagers et punitions intensives. J’étais aux anges.
J’aurais dû me douter de quelque chose car quand j’osai lui demander de la lécher ou au moins sa petite culotte, elle me gifla : « Tu ne le mérites pas ». De plus, elle sortait dès l’après-midi jusqu’au soir, parfois tard.
Le jeudi, elle reprit une des nombreuses déclarations où je lui décrivais mes fantasmes, mes envies. Elle l’avait annotée, corrigée, mise au pluriel pour ajouter les Maîtres.
– Pas un mot. Maintenant, tu vas recopier ce texte 100 fois, puis tu me le réciteras par cœur.
Le vendredi, Anne m’a fait mettre mon plug et habiller en sous-vêtements féminins sous une minijupe qui laissait voir les jarretelles. Un chemisier transparent sur mon soutien-gorge rembourré des faux seins. Chaussures à talons, maquillage, perruque et boucles d’oreilles.
De son coté, elle avait préparé mon sac de vêtements et jouets (fouets, etc.) ainsi que mon contrat et cette feuille de présentation décrivant mes fantasmes. Et des photos de moi en soubrette et toute nue.
– Tu vas faire un peu la femme en public ! m’a-t-elle seulement dit.
Sans me donner de détails, elle m’a ordonné de conduire. Elle m’indiquait le chemin au fur et à mesure. Après ½ heure de route, en silence, nous sommes arrivées dans la propriété.
Greta nous accueillit sur le perron. Elle portait une minirobe d’été très décolletée.
Je la connaissais à peine pour l’avoir vue peut-être trois fois dans ma vie,
Elle embrassa Anne puis se retourna vers moi.
– Alors, c’est ça Solange ? fit-elle d’un air méprisant.
Je rougis violement, en jetant un regard désespéré vers Anne qui me sourit, sarcastique.
– Eh oui, c’est ma lopette !
Marcel nous rejoignit, en short, torse nu. À son tour, il embrassa Anne. Puis il me toisa.
– Mmm, on va se régaler. Elle est docile ?
– Avec moi, oui. Mais elle a encore beaucoup à apprendre.
Greta entraîna Anne.
– Viens, je te montre nos esclaves, Trou et Béa, sa grande sœur.
Ils se tenaient au garde à vous derrière elle.
Trou était un grand gaillard bien baraqué, et surtout bien monté. Il était rasé et nu sauf un et des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles. Une grosse bite pendante. Il se tourna sur ordre pour montrer son gode, une courte queue de chien en caoutchouc noir, dressée haut.
Béa était une forte fille aux gros seins et à la chatte rasée montrant une fente de petite fille. Elle portait également des bracelets de cuir mais aussi un anneau au nez et aux tétons. De dos, elle écarta les fesses pour montrer son gode, une courte queue de fourrure.
Ils portaient tous les deux de belles traces de fouet, Béa même sur les seins.
Greta dit un mot à l’oreille de Trou qui m’emmena au fond du jardin. Il me lia entre deux arbres, dos à la propriété. De plus, j’avais les yeux bandés.
Certes, j’en avais rêvé, mais confronté à la réalité, je n’en menais pas large. Je compris pourquoi Anne avait rajouté les Maîtres à mon texte de soumission.
Plusieurs voitures arrivèrent. Puis je sentis les effluves d’un BBQ, j’entendais vaguement le brouhaha et les rires.
Trou revint me chercher. Comme j’avais les yeux bandés, il me mena par le bras dans une salle de bain, ôta mon bandeau et me dit de retirer ma jupe et ma culotte. Il me fit un lavement. Après quelques minutes, sous son regard, je pus me vider et me nettoyer. Je dus remettre mon gode et me rhabiller. Il inspecta, ma tenue et ma coiffure puis nous attendîmes en silence.
J’étais tendue, j’ignorais ce qui allait arriver. Maîtresse m’avait dit que j’allais faire la femme en public. Mais je ne m’attendais pas à ce qu’ils avaient organisé.
Béa vint nous chercher. Trou me poussa fermement vers le salon. Un gros spot m’éblouit. Je distinguai cependant qu’une douzaine de personnes étaient là à me regarder. Il y avait des gens que je connaissais de vue. Je sus plus tard que c’étaient des amis de Bob de notre voisinage. Trou, Béa et Brigitte se tenaient debout au fond de la pièce. Marcel avait installé sa caméra.
Je rougis, baissant les yeux.
– Je vous présente Solange, annonça Anne. C’est mon esclave, une lopette. Elle m’a avoué que, tout en ayant les hommes en horreur, elle rêvait secrètement, d’être dressée et contrainte de les servir. C’est pourquoi aujourd’hui ce seront surtout les mâles qui seront son ordinaire. Mais les dames ne seront pas oubliées. Elle va maintenant se présenter. On t’écoute, Solange.
Jusqu’à ce matin, j’avais cru naïvement qu’Anne voulait simplement satisfaire mes besoins en durcissant notre jeu, mais toujours en privé. Je n’avais pas imaginé qu’elle le ferait vraiment. Mais cette fois c’était la réalité, j’allais devoir exposer mes turpitudes devant un public.
Confuse, je balbutiai le texte que j’avais appris par cœur.
Maîtresse, Maîtres, Solange se présente à vous.
C’est une esclave dans l’âme, une femelle par vocation.
Elle a un besoin impérieux d’être cruellement fouettée chaque jour.
D’être giflée à tour de bras avec ou sans raison, pour l’humilier.
Comme femme de ménage, elle est paresseuse, il faut la punir durement.
Elle veut être la bonne à tout faire et l'esclave sexuelle de Maîtresse et de son amant.
Elle aime beaucoup la pisse des dames, il faut lui imposer celle des hommes.
Comme femelle, elle serait plutôt lesbienne, elle a les hommes en horreur.
C’est pourquoi elle a besoin d’un vrai Maître autoritaire et impitoyable pour la dresser en fille.
Typique de Solange, c’est que si elle a plein de fantasmes, elle renâcle souvent à les exécuter. C’est pourquoi il est essentiel pour les Maîtres de savoir la contraindre par la force.
En bref, elle espère beaucoup de fouet, de gifles, de torture des tétons et des couilles.
Beaucoup de pisse et de sperme à avaler,
Beaucoup de grosses bites dans sa bouche et dans son cul.
Beaucoup de chattes, de culs et de couilles à lécher.
Beaucoup de petites culottes crasseuses à sucer.
Maître, n’hésitez pas à être brutal, il faut qu’elle apprenne à accepter et à aimer la bite.
– Vous voyez, fit Anne, qu’il serait dommage de ne pas exploiter d’aussi bonnes dispositions.
Je la regardai : elle était assise à côté d’un grand mâle. Ils se tenaient par l’épaule et il avait la main entre les cuisses de ma femme. J’écarquillai les yeux, ne voulant pas croire ce que je voyais. Mais elle enfonça le clou.
– Solange, voici Bob, c’est mon amant et maintenant ton Maître. Approche, à genoux pour saluer ton Maître.
J’obéis, désespéré, en bredouillant.
– Je vous salue, Maître Bob.
Il me prit le menton et me fixa dans les yeux avec un sourire diabolique.
– Bonjour ma petite Solange ! On va bien s’entendre tous les trois, n’est-ce pas ?
– Oui Maître Bob.
– Et bien, commence par te déshabiller.
Je jetai un œil vers ma Maîtresse.
– Allons, obéis. Et gare à toi si tu me fais honte !
Je me relevai et commençai à déboutonner mon chemisier. Quelques participants commencèrent à filmer et à photographier. Je laissai tomber ma jupe.
– Tourne-toi lentement ! dit quelqu’un. Je fis un tour pour me montrer.
– La culotte ! dit un autre.
Je baissai le petit vêtement. Une femme s’approcha pour prendre une photo en gros plan.
J’ôtai le soutien-gorge et les faux seins, dégrafai les bas et me déchaussai pour enlever les bas nylons et le porte-jarretelles. J’étais toute nue.
Des remarques jaillirent : Elle n’est pas très marquée pour une esclave !
– Chaque chose en son temps, fit Anne. Vous ne serez pas déçus. Puis se tournant vers moi, elle me félicita.
– C’est bien, ma grande ! Maintenant, tu vas te masturber, je sais que tu profiteras mieux de la suite.
La garce ! Elle savait ce qu’elle faisait en m’imposant ça. Et c’est moi qui le lui avais appris. Je pris ma nouille entre deux doigts et tentai de bander, sans succès. Anne releva sa jupe.
– Regarde ma petite culotte, ça t’aidera !
En imaginant la lécher, j’arrivai à un début d’érection et finis par éjaculer quelques gouttes, sous l’objectif des caméras. Les gens applaudirent.
– Allons Solange !
Je léchai le sperme au creux de ma main.
– C’est bien, ma grande, c’est très bien ! Maintenant, prends la position, on va te fouetter !
Jambes écartées, mains à la nuque, les yeux fermés, j’attendis.
D’habitude, j’adore être fouettée. Mais depuis que je lui ai expliqué combien le fouet m’était pénible quand mon excitation est tombée après éjaculation, j’y ai droit à chaque fois. Mais après, je cours devant le miroir, fière des traces.
– Mesdames, Messieurs, je vais vous montrer comment je dresse une lopette.
C’était Bob. J’ouvris les yeux. Je frémis : Bob et Anne tenaient chacun un fouet.
Il me cingla les seins, les hanches le bas ventre (je paniquais pour mes couilles). Enfin, il visa l’intérieur des cuisses, là où ça fait très mal. En même temps, ma Maîtresse me fouettait des épaules aux fesses.
Lorsqu’enfin ce fut terminé, je devais remercier.
– Merci Maîtresse Wanda, merci Maître Bob.
– Montre-nous ce que tu fais avec ton gode, fit il.
La honte suprême. Je me mis à quatre pattes, exposant mes fesses et fis sortir et rentrer plusieurs fois l’outil.
– Tu aimerais une belle queue ? demanda Bob.
– Je ne sais pas, Maître Bob.
– Mais… c’est qu’elle est pucelle, la petite fille ! Approche, commence par frotter ton visage sur mon pantalon. Tu sens ce qui est dedans ? Il se leva.
– Maintenant ouvre la braguette… Lèche mes couilles… ouvre la bouche.
Il me tenait par les oreilles. Je fus bien obligée, il se poussa jusqu’à ma gorge. J’étais à la fois dégoûtée et avide, allez comprendre ! Anne lui glissa un mot à l’oreille.
– Ah, c’est vrai, il paraît que tu adores la pisse, attends un peu. Le liquide arriva, un jet puissant, chaud et amer.
– Et surtout n’en perds pas une goutte ! J’avalai, les lèvres aspirant sa bite.
– C’était bon, Solange ?
Je toussai, ayant avalé un peu de travers.
– De toutes façons, il faudra t’y habituer, tu n’as pas le choix. Allez, tu vas faire la fille maintenant. Retire ton gode.
Il me fit pencher, m’appuyer sur les bras. Pendant qu’il introduisait son énorme engin dans mon cul, Anne s’accroupit devant moi, plongeant les yeux dans les miens.
– C’est bon Solange ? Tu te sens femelle maintenant ?
Au bord des larmes, je dis – Oui Maîtresse.
Bob me limait lentement, en profondeur. Les gens s’étaient approchés pour mieux voir et filmer.
– Je peux ? demanda un homme.
– Bien sûr, fit Anne. Elle lui laissa la place et il m’enfourna sa bite en bouche.
– Suce, salope ! Je fis de mon mieux mais il se retira et me gifla.
– Mieux que ça, bonne à rien ! Je parvins à le satisfaire et reçus la giclée de sperme. Mais il restait là, je fus forcée de le sucer jusqu’à ce qu’il débande et dus avaler le sperme gluant. À ce moment, Bob éjacula.
– Viens nettoyer ton Maître. Je repris la bite poisseuse à peine sortie de mon cul et m’efforçai de la sucer.
– Trou, viens ici. Il savait ce qu’il avait à faire et recueillit le sperme qui dégouttait de mon anus. Puis Bob me força à l’embrasser pour recevoir mon sperme de la bouche de Trou.
– Voilà, Mesdames, Messieurs, la femelle est dépucelée, fit Bob, triomphant.
Chacun reprit sa place. Mais les invités semblaient attendre autre chose.
Bob reprit la parole.
– Solange, comme tu es désormais mon esclave, je vais te marquer.
C’était un de mes fantasmes d’être marquée au fer, mais Anne ne l’avait jamais fait.
Marcel apporta les outils, une lampe à souder et un gros tournevis. Frémissante de peur, je fus liée sur la table. Bob fit quelques marques au stylo sur mon bas ventre. Puis, muni d’un cutter, il commença à me faire une petite entaille.
– Vous voyez, expliqua-t-il, j’ouvre le derme. Puis je vais appliquer le fer dans l’entaille, ça lui fera une scarification permanente. La flamme ronflait, je tremblais. Il appliqua la lame rougie du tournevis quelques secondes. C’était supportable. Il fit cinq fois l’opération. Puis on me libéra. Une dame me donna un petit miroir et je pus voir la forme d’un S (en police digitale).
– De temps en temps, je t’ajouterai une lettre, Solange.
– Merci Maître Bob.
Pendant que Trou et Béa servaient à boire, Brigitte restait en position d’esclave, la chatte et les tétons offerts à tous les attouchements, à touts les sévices.
– Maintenant que tu es une vraie femelle, dit Anne, tu vas montrer que tu aimes la bite.
Durant l’après-midi, elle m’amena devant chaque homme dont je dus ouvrir la braguette et leur montrer mes nouveaux talents de pute, bonne suceuse et vide couilles. Deux des hommes, gays, se firent embrasser à pleine bouche et exigèrent de m’enculer.
plusieurs femmes demandèrent à utiliser les toilettes. Anne me fit allonger au sol et l’une après l’autre me fit cadeau de sa pisse.
À la fin de la cérémonie, Anne me fit recopier un nouveau contrat.
Je m’y déclarai esclave définitif de ma femme Anne ‘Maîtresse Wanda’ et de mon Maître Bob, son amant, et je leur cédais mes biens.
Je datai, signai, puis mes Maîtres, puis tous les participants comme témoins.
Maître Bob prit des rendez-vous pour me louer comme esclave sexuelle à des pervers, Maîtresse Wanda pour me louer comme femme de ménage bonne à tout faire à des couples.
Mais ceci est une autre histoire…

 

 

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