Histoires Des Invités

 

Mon Récit

Par marcel landry

 

Mon vrai nom est bruno et je suis un esclave mâle de très grande expérience. Viivant en couple et désirant une discrétion absolue, vous comprendrez vite que le nom de 'Marcel Landry' qui figure à l'envoie de message est faux.

Oui, discrétion, car ma conjointe et mes filles ne savent évidemment rien de ma passion cachée.

Je tiens à garder cette belle petite famille mais mes instincts m'attirent quand même vers le merveilleux monde de la domination/soumission.

Mes expériences d'esclave soumis sont nombreuses et variées, maleureusement en général avec des Maîtresses professionnelles.

Laissez-moi vous raconter rapidement l'une des plus belles expériences vécue au long de ces années et vous comprendrez mes influences et particularité.

Je voyais occasionnellement une Maîtresse du nom d'Ilsa avec qui je me suis lié (sans jeu de mot) d'amitié. Elle était correcte, mais sans plus. J'y trouvais mon compte et elle était facile d'accès.

Un jour, je suis allé la voir en début d'après-midi pour s'amuser. Comme toujours, elle m'obligea, dès mon entrée, à enfiler des bas culottes noirs de qualité (Dim Voilissime), une mini-jupe et des talons hauts. Cette tenue me rend complètement incapable de désobéir. Bien entendu, elle était aussi vêtue de la même manière.

J'étais assis devant elle, jambes croisées, l'admirant et avec une soif immense de me faire attacher.

Elle me dit:
-Aujourd'hui, j'attends une copine.... Tu verras elle est très bien...
Un quart d'heure plus tard, sa copine arriva, elle s'appellait Joanne. Elle n'avait rien, à première vue, de spécial. Jeans serrées, bas de nylon et talons hauts.

Ilsa dit :
-Cette fois, c'est Joanne qui va t'attacher ! J'étais content. Elle pasaissait habile et j'en avait tellement envie.

Joanne alla chercher une chaise au dossier droit et étroit, puis m'ordonna de m'asseoir sur cette chaise, les mains derrière le dossier. L'étroitesse du dossier donna à Joanne toute le liberté de travailler sur le ligotage de mes mains.

Elle utilisa des bas de nylon. Elle commença par le poignets, qu'elle m'attacha tellement serrés que ça me faisait mal ! Pas question de rouspetter, je suis capable d'en prendre ! Au moindre petit mouvement de mes mains, la douleur m'enlevait tout intention d'essayer de me déprendre.

Puis elle m'attacha les chevilles aussi serrées. Je n'en revenait pas de la qualité des noeuds et de l'incapacité de ma part à essayer toute résistance.

Elle me regarda, puis me dit :
-Maintenant, je vais aussi t'atttacher ici et là (en me passant le doigt sous et au dessus des genoux.

Elle s'exécuta d'une manière parfaite et jamais n'avais-je été attaché aussi douloureusement et parfaitement.

Les deux Maîtresses prirent chacune chaise et, assises devant moi, admiraient leur oeuvre sous mon regard humilié. Ilsa en profita pour m'égratigner la poitrine de ses talons aiguilles.

Puis Joanne sortit un fouet avec lequel elle m'ordonna de répondre à toutes ses questions.

J'ai souffert profondemment et je garde un souvenir impérissable de cette rencontre.

Elles ne me libérerent que beaucoup plus tard, après toutefois m'avoir fouetté et humiilié avec grande intensité.

À cette époque, (on parle d'il y a 3 ans), j"étais travaileur autonome et je pouvais me permettre des après-midi sans intervenir dans mon travail.

Maintenant, les choses ont changé et je suis à l'emploi d'une firme, donc je dois 'calculer' mes sorties.

Je vous jure sur la tête de ma Mère que tout cela est vrai, et j'espère ne pas vous avoir ennuyé(e) avec cette histoire.

 

ŠLE CERCLE BDSM 2006