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Bonjour A/amis et V/visiteurs.
Aujourd'hui, je voudrais vous parler
de jeu virtuel, comparé au jeu réel. Pour commencés, oui, Maître Pierre
et moi, nous sommes un couple qui partage notre commun d'une façon BDSM
et 24/7, et personnellement, je ne pourrais pas le vivre autrement. Mais,
après avoir affirmé ceci, j'affirme aussi, qu'il n'y a rien de mal au
jeu et à la relation virtuelle. Dans la réalité, je crois même, que de
faire ce type de relation, peu être une chose merveilleuse. C'est une
merveilleuse façon, pour autant les Doms que pour les subs, d'explorer
leurs fantaisies, à la condition que, tous, réalise, que, il y a une différence
énorme entre le jeu réel et virtuel. Ignorer cet état de chose, peut-être
désastreuse et même dans certains cas, très dangereux, de ne pas faire
la différence.
En virtuel, les subs peuvent toujours
restés attacher, aussi longtemps que leurs Doms le désirent. (Il n'y a
aucun danger de manque de circulation sanguine, de crampes musculaires
ou de démembrement d'os.)
En virtuel, les subs peuvent recevoir
autant de douleur, que leurs Doms croient nécessaire de leurs donnés.
(Il est si facile de lire ''Whack!'', et de répondre; Oui Maître : Merci
Maître ou encore un autre Maître. Chose un peu difficile à faire, quand,
dans la réalité, la douleur vous fait voir des étoiles, qu'elle vous fait
avoir mal à l'estomac et que même, certaines fois, il est difficile d'entendre
et de comprendre ce que le Maître dit, à cause de cette douleur.)
En virtuel, il n'y a jamais, d'inquiétude,
pour les limites physiques. (Dans la réalité, il y a une limite, à ce
qu'un corps humain peur prendre comme abus, sans avoir de dommages permanents.)
En virtuel, les cordes ne glissent
jamais, les menottes, n'échauffent pas la peau et les subs, ne sont jamais
fatigué, malades ou dans leurs menstruations. En virtuel, il n'y a pas
de subspace. Beaucoup vont contester la définition de subspace, mais,
pour moi, subspace est le résultat causé par les endorphines (drogue naturel,
fabriquer par le corps, résultant de la douleur, qui a des effets anesthésiques).
Endorphine, qui quand, elles sont relâchées dans le sang, créé un sentiment
de bien être, comme certaines drogues synthétiques, peuvent le faire..
Certain considère cet effet, comme l'orgasme de la BDSM, et aussi difficile
à décrire, ce qu'est un orgasme féminin à une femme vierge. Il suffit
de mentionner, que l'effet est euphorique. Je crois bien, qu'un effet
adrénaline est possible, avec le virtuel, mais, j'ai beaucoup de peine
à croire, que un sub peu aller en sub, comme résultat d'un jeu virtuel.
En virtuel, il est facile d'avoir exactement
le ''look'' que l'on veut. Nous n'avons jamais ces quelques livres de
trop ou ce bouton à la mauvaise place, ou tout simplement une mauvaise
journée de maquillage.
En virtuel, il est si facile de se
soumettre, ou de dominer. Dans le réel, mon Maître est toujours le patron,
mais, il y a des fois, je n'ai pas envie de faire ce que Maître m'exige
ou parce que l'on parle de réel, quelque chose, que physiquement, je ne
peu accomplir. J'ai un maître exceptionnel, qui prend en considération
mes désirs et mes opinions, mais, cela ne veut pas nécessairement dire,
que j'ai toujours ce que je veux, mais, plutôt que Maître, va fléchir
à mes demandes, si ce n'est pas un point important pour lui. Mais, ça
veut aussi dire, que mon Maître est réaliste. Si la laveuse à linge est
défectueuse, je ne réussirai pas à faire le lavage de la journée, même
si Maître, me l'avais ordonné.
Par contre : Le virtuel est, dans certains
cas, supérieur. Comme je l'ai dit, le sub n'est jamais fatigué ou en mauvaise
humeur, et peut être aussi merveilleux, que l'imagination peut le mener.
Les cordes ne glissent jamais. Les subs peut prendre tout ce que les doms,
veulent bien leurs faire subir, et en plus, c'est dans une atmosphère
sécuritaire que l'on peut explorer les choses, que peut-être dans le réel,
qu'ils n'aimeraient pas, mais peut être très excitant en virtuel.
Le fait reste, qu'en virtuel, je ne
puis voir le plaisir que je donne à mon Maître, ni sentir son toucher,
quelquefois doux et quelquefois cinglant, ni voir son amour dans ses yeux.
Je crois que c'est la raison que je
serai toujours une fan, du réel.
katy, soumise de Maître Pierre.
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