Histoires Des Invités

 

Anne Laure

Par Jujudoka

 

1. LA RENCONTRE.

J'ai connu Anne Laure sur un réseau téléphonique.
Cette jeune femme de 24 ans à l'époque, recherchais une relation amicale basé sur la complicité, et m'a contacté il y a environs 2 ans.
Nous avons correspondu pendant un mois environs, et notre relation s'est peu à peu transformée d'une relation de connaissance à une relation amicale, affective, puis amoureuse.
Nous ne passions plus par le réseau qui nous avait fait nous rencontrer, mais nous nous appelions directement.
Un soir que nous étions au téléphone, elle m'avoua à demi mot, qu'elle aimé plutôt se faire guider par son partenaire, voir se faire contrôler totalement, et qu'elle serait tenté de passer le cap de la rencontre, mais aussi de se livrer à moi, si je le désirais.
Je lui demandé donc de se dévêtir, tout en restant au téléphone et de se caresser en me décrivant dans les moindres détails, ce qu'elle faisait, et ressentait.
Ce petit jeu dura environs deux mois, où j'imposer peu à peu certaines règles de vie à ma petite Anne Laure, qui se prêtait délicieusement et avec enthousiasme à son rôle.
Au bout de ce lapse de temps, je sentis que si nous continuions sur cette voie, il faudrait rapidement passer à des choses plus directes et plus concrètes, pour amener ma jeune soumise à un stade beaucoup plus avancé, et pour ne pas entrer dans une monotonie risquant de détériorer notre complicité. Je pris donc les devants, et le soir même, j'annonçais à ma douce Anne Laure, qu'elle devais prendre des dispositions pour qu'elle puisse être chez moi, pour passer une soirée, une nuit, voir un weekend ensemble, ou sinon notre relation s'arrêterait là, et elle n'entendrait plus jamais parler de moi.
Elle fut surprise tout d'abord de ses propos très directifs envers elle, mais ses airs de rébellion disparurent lorsqu'elle comprit qu'il s'agissait d'un test pour prouver son amour et sa soumission.
Le sujet ne revint d'ailleurs plus dans nos discussions.
Le lendemain matin, je sentis mon téléphone portable vibré dans ma poche, et lorsque je sortis de ma réunion, je consultais mon répondeur.
Le message qui s'y trouvait disait simplement ceci :
" Mon cœur, j'ai fais ce que tu m'as demandé, et je serai disponible pour être dans tes bras demain soir, pour le weekend. Voilà, à ce soir, je t'aime!"
Je souris en entendant ces paroles et refermai mon téléphone, la tête déjà transportée au lendemain soir.

La journée s'écoula très vite, et le soir même Anne Laure m'appela. Elle m'indiqua l'heure vers laquelle elle arriverait, prit note de mon adresse, et me demanda si je désirai lui donner certaines consignes pour son arrivée.
Je lui répondis que je lui donnerai toutes mes consignes par message sur son répondeur le lendemain matin. Je changeais immédiatement de discussion, afin de ne pas pouvoir donner l'occasion à ma bien aimée de pouvoir poser d'éventuelles questions ou de protester sur quelque point que ce soit.
Le lendemain matin, je laisser un certains nombres de consignes sur son répondeur, et ayant plusieurs réunions dans la journée, je fus occupé de telle façon, que je n'eus pas le temps de penser à la soirée et au weekend qui se profilait.
Je pris le soin d'annuler un rendez vous non urgent de fin d'après midi, si bien que vers 16 heures 30, j'arrivais devant chez moi.
Je commençais par ranger un peu l'appartement que j'occupais, puis préparai deux assiettes avec divers petits amuses bouches, charcuterie, et viande, que je mis au frais en attendant l'arrivée d'Anne Laure.
Je passais à la salle de bain rapidement, pris une douche afin de me rafraîchir, et passer une tenue décontractée.
Je me dirigeai vers mon armoire à secret, et vérifiai que les instruments dont j'aurai besoin soient prêt à prendre.
Je passai les tenues diverses et variées que je destinai à ma douce soumise, puis vint m'asseoir dans le canapé.
Vers 19 heures 30, l'interphone sonna. Je me levai me dirigeai vers le couloir, appuyai sur le bouton d'ouverture de la porte, et revint m'asseoir à ma place.
J'entendis bientôt la porte de l'appartement que j'avais laissé entre ouverte s'ouvrir, et se fermer doucement. J'attendis deux à trois minutes en silence sans bouger, avant de me lever et de m'avancer lentement vers le couloir.
Anne Laure était là, à genoux comme je lui avais demandé, les yeux vers le sol, attendant sagement.
Je me saisis de ses chaussures qu'elle avait hottées et disposée devant elle, et les enfermai dans un petit placard que je fermai à clé.
Je m'accroupis devant elle, d'un doigt lui relevai le menton, et l'embrasser tendrement.
Elle leva les yeux pendant une fraction de seconde, pour me lancer un regard remplie d'amour et d'envie, et les rabaissa aussitôt.
Je lui saisis la main, et l'entrainai lentement vers le salon. Je pris place sur le canapé, la plaçai devant moi, et lui indiquai de s'agenouiller.
Une fois ainsi placée entre mes jambes, je lui déposai un nouveau baisé sur ces lèvres sucrées.
Je lui caressai alors la joue en lui disant :
" Ma douce, es tu prête à vivre tout comme moi je le suis, ces quelques heures privilégiées qui s'offrent à nous deux? Es tu prête, et te sens tu prête à accepter ce weekend, comme je l'ai organisé, même si il ne sera pas forcément toujours agréable pour toi?"
Elle se redressa imperceptiblement, et relevant ces yeux d'un bleus profonds, laissa échapper d'une petite voix :
" Oui je le suis."
Je l'embrassai de nouveau, saisis un collier de cuir que j'avais préparé et dissimulé jusqu'alors sous un coussin, lui mis autour du cou et continuai :
" Tu vas commencer par aller prendre une douche, et te laver soigneusement. Tu reviendras ensuite, nue, ici et viendra te placer sur la table. Tu profiteras de ton passage sous la douche, pour te débarrasser de la toison éventuelle que tu pourrais porter. Je ne veux pas de ça, je veux que tu ais une peau lisse et nette."
Joignant le geste à la parole, je glissai ma main sous sa jupe, passer deux doigts sous le tissu de sa culotte, pinçai quelques poils entre ceux-ci, et les tirai délicatement. Elle frémit en sentant cette intrusion, et rougit un peu.

Lorsqu'elle entra dans la sale d'eau, elle repoussa la porte derrière elle, mais je l'arrêtai d'un signe de main.
" Non, non, laisse la porte ouverte."
Elle lâcha donc la poignée de la porte, se déshabilla, plia ses vêtements, et passa sous la douche.
Je profitai de ce moment, pour entrer sans bruit, prendre les vêtements, et allai les enfermer comme je l'avais fait avec les chaussures.

Elle reparut, 15 minutes plus tard, et vint s'allonger sur la table comme je lui avais indiqué, et sur laquelle je venais d'étendre un grand drap de vinyle. Je considérai pendant un moment son corps aux courbes parfaites, ces deux tétons, pointant déjà au sommet de deux seins potelets et ronds, la naissance de son intimité rafraîchie de prêt par le passage du rasoir encore tout récent.
Je posé tendrement un baisé sur ses lèvres, et lui masquai les yeux à l'aide d'un épais bandeau, que je vins fixer derrière sa tête. Je saisis ensuite ses poignets, et les entourais par des bracelets de cuir, que je reliai à deux des pieds de la table.
Je fis la même chose avec ses chevilles, tout en prenant bien garde d'écarter le compas de ses cuisses et en étirant bien ses bras et ses jambes de façon à ce qu'elle ne puisse plus bouger, mais qu'elle n'ait pas de mal, ou de souci durant la soirée.

Une fois ainsi immobilisée, je pu commencer ce que je lui désignai comme un examen corporel détaillé.
Je parcourus chaque parcelle de son corps avec mes doigts, détaillant chaque courbe, chaque relief de sa peau, la caressant, la massant, la pinçant, la tirant....
Sa respiration se fit plus rapide, me montrant que cet examen tactile ne la laissait pas indifférente.
Lorsque j'eus fini cette exploration préliminaire, je m'éloignai d'elle, mais revins bientôt et déposai sur la petite table à coté de moi, une boîte contenant diverses pinces.
Je pris une chaise, et vint m'asseoir entre les cuisses largement ouvertes de ma douce soumise, qui haletait maintenant de désir.
Je calai un gros coussin sous son dos, ainsi que sous sa tête, et commençai par poser une petite pince sur chaque téton, ce qui lui arracha un petit gémissement.
Je poursuivis en décorant chaque sein avec une dizaine de pinces, faisant jaillir de petit gémissements ou de petits cris à chaque fois qu'une pince venait morde la chaire tendre.
Je souris intérieurement en entendant ces agissements, et me saisissant d'une pince un peu plus grosse, je fis ouvrir la bouche à ma petite soumise, tremblante d'excitation, et lui fit sortir la langue, sur laquelle je fixai la pince.
Elle eût un mouvement de recule, et gronda en sentant les mâchoires de l'instrument se refermer sur sa langue, l'empêchant de bouger, et donc de refermer la bouche.
J'attendis quelques secondes, et continuai mon tableau en disposant d'autres pinces sur chacune des lèvres de sa vulve, lui arrachant des gémissements de plus en plus prononcés, et mettant à jour son intimité.
Au fur et à mesure que les pinces venaient s'ajouté et décoraient ma jeune esclave, je pouvais voir son jus intime s'écouler de plus en plus abondamment.
Une fois toute équipée, son intimité baillait largement, laissant apparaître son vagin inondé de cyprine, ainsi que son fruit bombé palpitant à chaque seconde.
Je fis pénétrer deux doigts dans le trou qui s'ouvrait devant moi, et je n'eu besoin de faire que deux ou trois mouvements à l'intérieur de celui-ci, pour que le corps de ma petite prisonnière, soit agité de violent spasmes, accompagnés de soupirs et de gémissements étranglés, par le mélange de douleur et d'excitation qui régnait en son sein.
Le simple fait de caresser son bouton d'or, aurait fait partir mon amour au septième ciel, et malgré mon envie de lui offrir ce plaisir, je me retins.
je lui enlevé les pince de sa vulve, en laissant celles qui encadraient son clitoris, les pinces gardant les lèvres bien écartés, mettant ce dernier à nu, et le laissant pointé hors de son écrin précieux.
Je lui laissai les pinces sur les seins, et la relevé délicatement, après l'avoir délivrée de ses entraves.
Elle se redressa lentement, encore les joues empourprées des sensations et des émotions qu'elles venaient de ressentir.
Je la soutins, la ramenai au pied du canapé et la fit s'agenouiller devant moi.
Je lui joignis les mains dans le dos, fixai les deux bracelets ensemble à l'aide d'un petit cadenas, lui retirai la pince de sa langue, lui essuyai la salive abondante qu'elle avait laissée couler le long de son menton, lui approchai la tête de mon entre cuisse, et vint poser mon sexe déjà gonflé et durci par le plaisir sur le bord de ses lèvres, qu'elle ouvrit sans poser de question, pour l'engloutir. Elle s'appliqua et commença à agiter sa langue sur mon membre qui ne tarda pas à parvenir à la limite de l'explosion, et après un moment, ma semence se répandit en long jet dans sa bouche et sa gorge.
Mes mains appliquées sur l'arrière de sa tête lui imposèrent de garder en bouche mon pénis, encore sursautant de petite vague de plaisir. Elle dû avaler et nettoyer de sa langue mon sexe encore raide.
Une fois celui-ci propre, je la laissai le recracher, et le fit disparaître dans mon calçons.
Je la fis reculer un peu, la fit asseoir sur un petit coussin à même le sol, et me rendit à la cuisine pour y prendre les deux assiettes que j'avais préparé avant son arrivée.
Je lui présentai des fourchetée de nourriture devant sa bouche, et lui donnai ainsi son repas.
Elle rougissait de se savoir ainsi abaissé à un tel niveau de dépendance, et d'être ainsi humiliée.

Une fois que nous eûmes fini, je déposai les assiettes dans l'évier de la cuisine et revint à ma douce soumise qui m'attendait dans la même position.
Je regardai pendant plusieurs minutes son petit corps blanc et menu, ses épaules sur lesquelles tombaient et courraient le bout de ses cheveux d'or, ses seins constellé des pinces son abricot rosie et luisant de mouille...
Je l'embrassai. Elle répondit à mon baisé par un petit glapissement et de ses lèvres et de sa langue chercha à rattraper ma bouche, que je lui donnai avec tendresse.

Je dégageai ses cheveux de son visage, du bout des doigts, puis enlevai une par une les pinces de ses seins, ce qui lui faisait lâcher un petit grognement de douleur lorsque l'une des pinces relâchait son emprise.
Une fois que ses seins furent totalement libres, il ne resta plus que de petites traces rougeâtres et violacée marquant les endroits où les pinces avaient été placées.
Je la fis ensuite se relever, et plaçai entre ses chevilles une barre de bois dont je fixai l'extrémité aux bracelets de ses dernières.
Je la fis courber, lui appuyai le buste sur la table, et lui passai les bras au dessus de la tête pour les joindre et les fixer pour rendre mon esclave immobile.
Ainsi positionnée et ouverte, je vins pénétrer la fente à plaisir de ma douce Anne laure, qui reprit ses gémissements de plus belle, et entreprit plusieurs va et viens. Lorsqu'elle fut sur le point d'exploser et d'être emportée par un orgasme assez violent, je me retirai, et le sexe encore trempé de lubrifiant naturel, j'écartai de deux doigts ses fesses et posé mon membre sur sa rosette qui finit après un instant par laisser pénétrer mon engin dans son fondement. Un long hululement s'échappa de la gorge d'Anne Laure, suivi de long grognements qui après quelques instants se transformèrent peu à peu en gémissements, puis enfin en cris qui emportèrent bientôt ma prisonnière dans une jouissance intense et profonde.
Je la délivrai ensuite, et essuyai les sécrétions qui s'échappaient de son petit trou, avant de venir m'asseoir dans le canapé, en la prenant sur mes genoux. Je lui hottai le bandeau de ses yeux, et l'embrassai.
Je lui séchai les larmes qui continuaient de couler le long de ses joues, et la senti se blottir contre moi.
Nous restâmes là longtemps, en silence, elle, dans mes bras, se collant contre moi, cherchant mes lèvres avec les siennes.
Après un long moment, je la fis passer au VC, en lui disant qu'elle ne pourrait pas y aller durant la nuit, et qu'elle devait me rejoindre dans la chambre, une fois ceci fait.
Elle se leva donc, et pendant qu'elle obéissait je me rendis dans la chambre.
Lorsqu'elle arriva, je reliai entre eux les bracelets de ces poignets ainsi qu'à l'anneau de son collier, que je reliai ensuite aux barreaux du lit, au moyen d'une chaîne de métal, assez longue pour lui permettre de bouger autour du lit, mais lui interdisant néanmoins de quitter ses abords.
Je passai rapidement à la salle de bain, et vint me coucher aux cotés de ma douce que j'embrassai tendrement avant d'éteindre la lumière.
Je senti qu'elle se rapprochait de moi le plus possible, et nous nous endormîmes ainsi.

2. LA PETITE CHIENNE.

Lorsque je me réveillai le lendemain matin, Anne Laure était blottie contre moi.
Je regardai pendant plusieurs minutes, son visage d'ange complètement détendu, arborant un sourire tranquille, montrant son apaisement.
Je lui déposai un baisé sur les lèvres, puis un autre après quelques instants, et recommençai à nouveau jusqu'à ce qu'elle ouvre les yeux.
Dès qu'elle me vit, elle posa sa tête contre mon épaule, et vint se coller encore plus contre moi, et tenta d'attraper de sa bouche mes lèvres que je lui tendis après quelques secondes.
Elle glissa ses lèvres près de mon oreille, et je l'entendis murmurer un faible je t'aime.
Je vins caresser de ma main sa petite joue, et laissai descendre mes doigts sur son cou, sur l'un de ses seins, sur son ventre plat, sur son pubis, pour atteindre sa fente. En sentant cette longue caresse, elle appuya plus fortement sa joue sur moi et laissa échapper un long soupire.
Je fis pénétrer l'un de mes doigts dans son bijou, tandis qu'un autre se faufila plus loin et força l'entrée de sa rosette. Elle gémit en sentant cette double intrusion, et ouvrit un peu ses cuisses pour me laisser un passage plus facile.
Après quelques va et viens qui lui procurèrent une excitation grandissante, je la laissai ainsi, haletante, ses orifices entre ouvert, ne demandant qu'à être de nouveau investi.
Elle poussa un long gémissement de frustration en se rendant compte qu'elle ne pourrait pas atteindre la jouissance immédiatement. Je lui présentai les doigts qui l'avaient fouillée quelques secondes auparavant, qu'elle s'empressa d'engloutir entre ses lèvres, pour les sucer avidement.

Après quelques minutes, je détachai la chaîne qui reliait son collier au lit, ainsi que ses mains. Je la pris dans mes bras pour la câliner après m'être assis contre la tête de lit, et l'avoir installer sur mes cuisses.
Je la berçai doucement et lui dis :
" Mon petit cœur, ce matin, je te veux chienne dans tout ton corps et tout ton esprit. JE te considèrerai donc ainsi dans quelques minutes, jusqu'à ce midi environs, ou je veux que tu deviennes soubrette dévouée. Mais ça nous en reparlerons à ce moment là.
Tu va maintenant aller passer au VC, aller prendre ta douche, et revenir dans le salon au pieds du canapé et attendre. À partir de maintenant tu n'es plus qu'une chienne. Aller va maintenant ma douce."
Elle me regarda, me sourit, et se redressa, pour partir à la salle de bain, mais je l'arrêtai dans son élan.
" Ma chérie tu n'es qu'une chienne, et à ma connaissance les chiennes ne se déplacent pas sur deux pieds. Aller!!"
Elle tourna la tête vers moi, ses yeux furent un instant traversés par un éclair d'ombre, et elle rougit en s'agenouillant et en posant les mains au sol pour se mettre à quatre pattes.
Elle partit ainsi vers la salle de bain, ses petites fesses rondes et potelées se balançant au rythme de sa démarche, sa fente rose encore luisante de quelques goûtes de cyprines, s'entrouvrant et se refermant à chacun de ses mouvements.
Elle s'arrêta au VC, puis reprit son chemin vers la porte de la salle de bain, la franchit, se dirigea vers la douche et y entra.
Je gagnai la cuisine, me préparai une tasse de café, et
Préparai une gamelle avec un peu de café que je déposai au sol.
Je m'assis dans le canapé au salon, en buvant mon café, et fit l'aller retour jusqu'à la cuisine pour y déposer ma tasse vide.
Anne Laure sortit de la salle de bain, après quelques minutes, et vint se poster au pied du canapé, les yeux fixant le sol.
Je lui indiquai de me suivre, et la menai dans la cuisine, Lorsqu'elle aperçut la gamelle elle me lança un regard implorant, auquel je ne cédai pas, et lui saisissant les poignets, je lui rejoignis dans le dos et les cadenassai.
Je lui indiquai ensuite la gamelle, l'invitant à se restaurer. Elle hésitât pendant une minute ou deux, puis se pencha vers la gamelle et lapa son contenu.
Lorsqu'elle eu fini, je lui débarbouillai le visage, et la fit revenir dans le salon après avoir libéré ses poignets.
Je l'invitai à ce mettre en boule, et lui écartai les cuisses avant de lui enfonçait deux long falus dans le vagin et dans l'anus.
Elle poussa deux longs hululements en sentant ses chaires s'étirer brutalement.
Quelques larmes perlèrent aux coins de ses yeux, que j'essuyai du bout du doigt, en l'embrassant.

Je la laissai dans cette position, et passai à mon tour à la salle de bain. Lorsque je sortis, ma douce soumise était toujours dans la même position, n'osant bouger, des larmes coulant en silence sur ses joues.
Je la rejoignis et l'encourager par quelques mots doux, en essuyant ses larmes.
Je lui flattai la tête en lui disant qu'elle était une brave chienne obéissante, et elle me lécha la main.
Je la laissai encore un peu seule, le temps pour moi de passai dans la chambre afin de m'habiller, et je revins auprès d'elle.
J'attachai à son collier un petit grelot, et retirai les falus de ses orifices, pour les remplacer par deux autres d'un diamètre plus important. Le hululement qu'elle avait lâché auparavant, n'était rien comparé au cri strident qu'elle poussa en sentant ses muscles soudain à la limite de la rupture.
Je lui laissai les deux instruments pendant plus de trois quart d'heure, pendant que je travaillai un peu à l'ordinateur. J'avais fait placé Anne Laure à mes pieds, et la sentais frémissante, inquiète, tentant de supporter les dilatations de ses orifices, dans le silence le plus parfait possible.

Lorsque j'éteignis mon ordinateur, il était 11 heures 30, je vins m'asseoir sur le canapé en plaçant ma soumise juste devant moi après être passé dans la salle de bain pour y déposer la future tenue de cette dernière.
Je la félicitai tendrement de son courage, de son obéissance, et de sa soumission, avant de lui retirer les instruments, qui laissèrent ses deux trous béants.

Je la fis se redresser, et attachai une laisse de métal à son collier.
Je tirai sur cette dernière, et marchai dans l'appartement, m'arrêtant, repartant, tournant à droite, à gauche...
Anne Laure me suivait, me léchant la main lorsque je m'arrêtais, tentant de rester à mon niveau lorsque j'avançais.
Après cinq minutes de ce jeu, je m'approchai de la porte d'entrée, et l'ouvrit en grand.
Elle recula, les yeux interdits de terreur. Je ne lui laissai pas pour autant le temps de se refuser plus, et l'entraînai sur le palier, le long du quel je la fis progresser.
Nous empruntâmes un escalier, puis un autre, traversèrent un palier, et montèrent dans l'ascenseur, avant de revenir à l'intérieur de l'appartement. Heureusement pour Anne Laure, personne ne parut pendant notre promenade.
Lorsque nous fûmes revenus, je détachai la laisse du collier, et pu constater que l'épreuve que je venais de lui imposer l'avait énormément excitée, et que toute son intimité était humide et poisseuse de désir.
Je la récompensai donc en lui offrant un orgasme pour chacun de ses orifices, qui baillaient encore assez largement après l'étirement qu'il avait subis.
Je nettoyai les surplus qui s'échappaient de son corps, la prit dans mes bras en l'embrassant et en la félicitant de son comportement dans son rôle de chienne, et lui dit que nous allions pouvoir passer à son deuxième rôle de la journée.

3 SOUBRETTE DEVOUEE

Quelques minutes plus tard, Anne Laure sortait de la salle de bain, vêtue comme je lui avais indiqué, de la tenue que j'avais déposé un peu plus tôt à son intension.
La tenue ne se composait que d'une seule pièce, très légère, sous forme d'une petite robe descendant jusqu'au tiers des cuisses, très largement échancrée, laissant apparaître le haut des seins, n'en couvrant que la pointe et le bas.
La tenue, un peu transparente laissait toute liberté de voir et d'apprécier la poitrine, les courbes et les formes généreuses de ma petite Anne Laure, qui rougissait déjà de se sentir ainsi nue, malgré le port de se vêtement.

Je la fis avancer jusqu'à moi, l'embrassai tendrement, et lui fis écarter le compas de ses jambes.
Je lui enfoncé dans ses deux orifices, déjà palpitant d'excitation, deux long et épais gode métalliques, munis chacun d'une petite boucle de plastique épais.
Je me saisis d'une chaînette de fer, que je passai dans les deux boucles des cylindres qui remplissaient maintenant ma soubrette, et les passai ensuite dans deux anneaux fixés sur l'intérieur de la robe, à l'avant et à l'arrière de cette dernière, puis repassais la chaînette dans les boucles des godes avant de la refermer avec un petit cadenas doré.
Je m'assurai que la chaînette suivait bien la fente et la raie des fesses de ma soumise, et qu'elle soit bien tendue, afin de ne pas permettre aux gode de pouvoir s'échapper des trous qu'ils comblaient.
Je reliai les bracelets des chevilles de Anne Laure par une autre chaîne d'une trentaine de centimètres, et les bracelets de ses poignets d'une autre chaîne, juste assez longue pour lui permettre de garder les bras le long du corps.
J'entourai sa taille d'un minuscule tablier de satin blanc, avant de lui dire d'aller préparer le repas en cuisine, en se fiant au menu affiché sur le mur, et que si j'avais besoin d'elle je la sonnerai.
Elle partit donc en trottinant, à la fois ridicule équipée et se déplaçant ainsi, mais aussi sublimement belle dans la soumission qu'elle m'offrait sans retenue.
Je la laissai prendre ses marques dans la cuisine, puis commencer ses tâches, avant de sonner.
Je la vis arriver immédiatement et une fois qu'elle fut près de moi, lui demandai de m'apporter un verre de soda avec un glaçon.
Elle repartit et revint après plusieurs minutes pendant lesquelles je l'entendis manipuler des objets.
Arrivée près de la petite table face à moi, elle déposa un plateau sur lequel elle avait disposé un verre, la bouteille de soda, et un bol avec des glaçons.
Elle s'agenouilla, et attendit en silence.
Sur un geste de ma part, elle prit la bouteille, remplit le verre dans lequel elle déposa un glaçon à l'aide d'une cuillère, me le tendit, et attendit en silence que je le prenne.
Je saisis le verre d'une main, tout en lui caressant une joue de l'autre, et en la félicitant de son obéissance et de sa soumission.
Pour seule réponse, elle appuya sa joue fortement sur la main qui la caressait, et tournant la tête y déposa un douce baisé.
Je la renvoyai un moment après avec son plateau, et lui demandant de continuer ses travaux.
Elle repartit donc, et pendant une vingtaine de minutes, je l'entendis s'activer dans la cuisine.
Bientôt une odeur agréable s'en échappa, et lorsqu'Anne Laure reparut, se fut pour dresser la table.
Lorsqu'elle eu fini cela, elle s'approcha de moi, s'agenouilla, et me dit en baissant la tête,
" Le repas est prêt monsieur."
Après une autre caresse sur sa tête et un long baisé sur ses lèvres, je pris place à table, et Anne Laure servit le repas, avant de s'asseoir face à moi lorsque je l'en invitai.
Nous mangeâmes tranquillement en silence, et Elle desservit la table une fois que nous eûmes fini.
Je l'entendis une fois encore travailler dans la cuisine, et elle me ramena une demi-heure plus tard une tasse de café fumante.
Lorsqu'elle eu ramené la tasse vide dans la cuisine, elle vint se poster à genoux devant moi, et posa sa tête sur mes genoux.
Je passai pendant un long moment mes mains dans ses cheveux, sur son visage, le long de son cou, elle me déposa de petits baisés furtifs sur les doigts lorsqu'ils passèrent à proximité de ses lèvres, tenta de les happer après les avoir harponnés avec sa langue.
Je passai mes bras sous les siens, et la soulevai pour l'asseoir sur mes cuisses.
Sa tête tomba immédiatement au creux de mon cou, lequel reçut de multiples petits coups de langues habiles.
D'une main que je glissai sous sa robe, je commençai à massai délicatement ses deux petites pêches rebondies.
L'autre main suivit la couture de sa tenue, et passa dessous pour venir inspecter l'intérieur des cuisses et l'intimité de ma petite perle de cristal serré contre moi, et qui semblait, malgré l'apparence de ses traits détendus et reposés, dans une excitation immense.
Notre câlin dura une durée que je ne pu évaluer, je ne sorti de la béatitude qui nous avait envahie en entendant la pendule sonner 17 heures.
Je lui relevai un peu sa robe pour délivrai son intimité de la chaîne, puis des godes, que je lui fis nettoyer de sa langue.
Elle eu un mouvement de recule lorsque je lui présentai l'instrument qui avait occupé sa rosette, mais finit par le prendre en bouche avec une grimace en voyant qu'il ne servirait à rien d'implorer ma clémence.
Je lui délivrai ensuite les poignets et les chevilles de leurs entraves, et l'entrainai dans la salle de bain, où je la fis déshabillai et monter dans la baignoire.
Je la fis mettre à genoux, puis poser les épaules au fond de cette dernière en cambrant bien les reins et en écartant un peu les genoux et dit.
" Puisque tu n'aimes pas ce qui ressors de ton petit trous, ce qui est normal, nous allons faire en sorte que tu n'ais plus à sentir ces désagréable matières lorsque tu devras nettoyer tes jouets!"
J'attrapai le tuyau de douche auquel j'hottai la pomme et l'enfilai dans le petit trou d'Anne Laure qui sursauta en sentant celui-ci s'ouvrir brusquement.
J'ouvris le robinet de la douche pendant quelque secondes, et bientôt Ma soumise se mit à pousser des grognements en sentant son fondement et son ventre s'emplir d'eau.
Je refermai le robinet, enlevai le tuyau de son orifice, et lui indiquai de garder en elle, l'eau qui venait d'y pénétrer.
Après quelques minutes, je la fis se lever, et l'asseyant au-dessus du bidet, lui permis de se soulager.
Un grand bruit de gargouillis suivi d'un jet précipité sortit du corps d'Anne Laure, qui anéanti de honte, laissa échapper des larmes.
Je recommençai cette opération, deux ou trois fois, jusqu'à ce que le jet qui sortit d'Anne Laure fût limpide.
Je l'essuyai délicatement, lui dit de nettoyer le bidet ainsi que la baignoire, de prendre une petite douche, et de revenir dans le salon, où je l'habillerai avant que nous sortions pour nous promener.

4 LA PROMENADE

Ma douce Anne Laure sortit de la salle de bain, et vint me rejoindre au salon, complètement rafraîchie, la peau déplaçant les effluves d'une odeur fruitée.
Elle s'approcha de moi et voulut s'agenouiller mais je l'arrêtai dans son mouvement et la plaçai bien face à moi, pour contempler son petit corps frêle et gracieux.
Après quelques instants, je la laissai là, immobile, et allai devant mon armoire à secrets, dans laquelle je choisis une tenue, ainsi que quelques petits accessoires.
Je revins m'asseoir sur le canapé, face à ma petite soumise, en déposant ce que j'avais pris dans l'armoire à mes côtés.
Anne Laure ne bougea pas, ses yeux croisèrent les miens pendant une fraction de secondes, dans lesquels je lu à la fois l'envie, l'amour, le désir, mais aussi la crainte, l'appréhension de l'inconnu.
Je la fis se retourner, en appréciant chacun de ses mouvements, chacune de ses courbes, chacune de ses formes.
Je la fis ensuite se pencher vers l'avant, et écarter ses fesses de ses mains, me présentant ainsi son petit trou à découvert.
Je me saisis du petit Plug que j'avais choisi et au bout duquel trônait une petite pierre précieuse, et l'insérai dans le sillon maintenant largement ouvert, pour ensuite venir le faire pénétrer dans le fondement d'Anne Laure, qui poussa un petit gémissement en sentant l'objet entrer en elle.
Une fois ceci en place, je lui fit retirer les mains de ses fesses et observai avec satisfaction le postérieur ainsi décoré.
D'une petite claque sur l'intérieur de ses cuisses, elle les ouvrit plus largement, et d'une main dégageant l'entrée de sa grotte d'amour, des lèvres déjà gorgée de cyprine, j'y fis pénétrer de l'autre un tube de 7 à 8 centimètres environs, du diamètre d'un gode imposant, obligeant son vagin à restait bien ouvert, mais n'empêchant pas la pénétration de celui-ci.
Je la redressai ensuite, puis remis face à moi, lui hottai les bracelets de ses poignets et de ses chevilles.
Je lui enfilai des bas blancs de satin, puis un corset en lycra également blanc, muni de multiples baleines qui eurent tôt fait de redresser le buste et la poitrine de ma soumise lorsque je resserrai le vêtement.
Je fixai les bas aux jarretelles qui tombaient du corset, puis fis enfiler une jupe de vinyle toujours de la même couleur qui descendait jusqu'aux genoux d'Anne Laure mais se soulevant assez promptement lorsqu'elle se déplaçait.
Je complétai sa tenue en lui faisant passer un petit chemisier et des gants de satin, et des escarpins blancs vernis.
Ainsi de blanc vêtu, elle ressemblait à un petit ange tombé du ciel.
J'amenai un tabouret devant moi, et après l'avoir fait asseoir dos à moi, je coiffai ses longs cheveux blonds avec lesquels je fis une queue que je nouai avec un ruban blanc.
Pour achevai mon chef d'œuvre, je la fis se retourner et lui passai un très léger rouge à lèvres, et je soulignai ses yeux avec un crayon bleu pour les faire ressortir.
Je la levai, et la fis faire quelques pas.
Elle était vraiment magnifique ainsi, à la fois élégante, raffinée, enfantine, douce, mais aussi provoquant et impudique.
Seul le collier qui n'avait pas quitté son cou dénotait sa soumission et marquait de la sorte un air mutin à ce corps délicieusement apprêté.
Je l'embrassai en lui murmurant que je la trouvai ravissante, sur quoi elle me répondit dans un souffle :
"Je t'aime plus que tout."
Cette seule phrase nous lia pendant encore quelques instants.
Avant de partir, je la plaçai devant un miroir afin qu'elle puisse constater ce qu'elle était devenue, et j'aperçus ses joues rosir lorsqu'elle vit son reflet.
Je la ramenai dans l'entrée de l'appartement, et avant de sortir, j'attachai à son collier une laisse de métal dont je pris l'autre extrémité en main et lui pris le bras.
Nous sortîmes main dans la main, descendîmes jusqu'au parking sous terrain, et la fit monter à mes côtés à l'avant de la voiture.
Je vins me placer au volant et démarrai.
Après quelques minutes de route, nous nous trouvâmes dans le flot de la circulation de fin d'après midi.
De ma main droite, je lui fis écarter les genoux et remontai un peu sa jupe, laissant apparaître à la vue de tous le haut de ses cuisses.
Elle rougit, et esquissa un mouvement de la main pour rabaisser le vinyle sur ses jambes nues, mais s'arrêta immédiatement en recevant une petite claque sur ces dernières.
Ma main se dirigea ensuite vers sa fleur intime, et je constatai sans surprise que ma petite Anne Laure était dans un état d'excitation déjà bien avancée et que son abricot, malgré son équipement, avait déversé son jus sur la housse du fauteuil.
Je récupérai un peu de celui-ci, et portant mes doigts à sa bouche, elle les nettoya délicatement du bout de la langue.

Nous roulâmes pendant plusieurs minutes encore, puis je garai la voiture sur un parking au centre ville, et nous dirigeâmes vers un café dans lequel nous nous installâmes.
Je regardai ma montre, celle-ci affichait 18 heures 05.
Nous commandâmes une consommation, et parlèrent de choses et d'autres, sans évoquer les quelques heures vécues ensemble.
Lorsqu'il fut 19 heures 30, je payai nos boissons, et repartîmes pour nous installer à l'une des tables d'un petit restaurant à une centaines de mètres de l'endroit que nous venions de quitter.
Sur le chemin que nous fîmes pour rejoindre ces deux points, les gens dévisagèrent naturellement Anne Laure, en apercevant le collier qui entourait son cou.
Anne Laure, rougissait de se sentir ainsi examinée par ses regards curieux et stupéfaits.
Une fois assis face à face à la table du restaurant, je commandai notre repas au serveur qui vint s'occupait de nous, sans donner la possibilité à Anne Laure de réagir.
Le serveur détourna la tête, gêné, en voyant la chaîne de métal qui descendait du cou de ma soumise, et qui passai entre ces seins, et dont l'extrémité reposait face à elle sur la table.
Un couple vint s'installer à une table proche de la notre et nous jeta des coups d'œil furtifs et curieux, durant tout le repas.
Nous mangeâmes les yeux dans les yeux, et à la fin du repas, nous sortîmes après avoir payé.
Je décidai que nous ne reprendrions pas la voiture immédiatement, et entraînai ma douce partenaire dans le sens opposé de celui où se trouvait le véhicule.
Nous marchâmes longtemps au hasard des rues.
L'heure avançant de plus en plus, les gens se faisaient de plus en plus rare, la circulation plus silencieuse.
Après un moment nous nous trouvâmes dans un petit parc.
La nuit était tombée depuis quelques dizaines de minutes et nous nous assîmes sur un banc sous un arbre.
Nos lèvres se rencontrèrent bientôt une fois, puis deux, puis trois...
L'une de mes mains ne tarda pas à descendre le long de son corsage, puis de son ventre, pour enfin arriver au bas de sa jupe, et passai dessous.
Rien qu'en frôlant de mes doigts les lèvres de son sexe, je su que ma petite perle d'ange était dans un état qui ne faisait pas de doute!
Je n'eu pas besoin d'insister de la main pour lui faire écarter le compas de ses cuisses et pour remonter sa jupe sur son ventre, en quelques fractions de secondes je me trouvai le sexe enfoncé en elle, la faisant onduler de plus en plus largement.
Elle poussa un petit soupire, puis un deuxième... Les soupires se transformèrent bientôt en gémissements que j'étouffai vite en posant ma main sur sa bouche afin de ne pas attirer l'attention du gardien du parc.
Je fini par jouir en elle, avant qu'elle puisse parvenir à l'orgasme qu'elle réclamait maintenant outrageusement, le tube dans son vagin atténuant ses sensations, et de ce fait la laissant pleine de désir, dégoulinant tel une fontaine, frustrée et m'implorant du regard de lui permettre de pouvoir se soulager.

Cependant un bruit non loin de là, nous fit revenir à la réalité, et nous reprîmes assez rapidement notre chemin.
Nous regagnâmes la voiture, puis l'appartement.
Je lançai un regard sur ma montre en franchissant la porte de ce dernier. Elle affichait 23 heures 20.
Je guidai Anne Laure jusqu'au canapé, dans lequel je m'assis avant de dévêtir ma douce soumise.
Après l'avoir intégralement dévêtu, je suivis pendant quelques secondes, les longues marques laissées par les baleines du corset, sur sa peau délicate.
Je la délivrai du tube de son vagin, en la prévenant qu'elle aurait à le porter souvent, et lui hottai également le Plug qui obturait toujours sa rosette.
Pour la récompenser et la remercier de cette soirée, je m'installai au fond de ses reins, et l'amenai rapidement à la jouissance.
Je l'envoyai ensuite à la salle de bain, en lui disant de revenir nu et que j'allai la préparer pour la nuit une fois qu'elle serait laver et rafraîchie.


5 23 ANS EN MOINS

Pendant que ma douce Anne Laure était sous la douche, j'entrai dans la salle de bain, dont la porte était restée ouverte comme je lui en avais donné la consignes dès le début du weekend.
Je lui proposai une boisson, ce qu'elle accepta, ou du moins n'osa pas refuser.
Je la laissai donc, allai dans la cuisine, servis deux verres de soda, et déposai dans l'un des verre deux petits cachets ronds qui se dissollurent en quelques secondes dans le liquide.
Je vins déposer les verres sur la petite table, et attrapant celui où j'avais plongé les cachets, je le tendis à Anne Laure lorsqu'elle s'approcha de moi après être sorti de la salle de bain.
Je pris l'autre verre, et nous bûmes tous les deux après avoir trinqué à nous deux, à notre amour qui semblait-il, se développer d'une façon impressionnante, que ce soit de mon côté où de celui de ma douce princesse.
Lorsque nous eûmes fini, je n'eu pas besoin de parler ou de faire un signe, pour qu'Anne Laure prenne les deux verre et alla les déposer dans la cuisine avant de revenir face à moi.
Je me levai, la pris par la main, et la guidai vers la table sur laquelle je l'allongeai sur le dos, et lui attachai les bras aux pied de cette dernière.
Je lui fi lever les jambes en les écartant largement, et après avoir caressé sa fente lisse et m'ouate, je lui installer un lange de bébé que je refermai autour de ses cuisses.
Je lui passai ensuite une culotte de pvc, puis une grenouillère de soie bleue, après l'avoir délivrai de ses entraves, et l'avoir fais relever.
Une fois dans cette tenue, elle avait l'air d'avoir perdu plus de 20 ans, et d'être redevenue la toute petite fille qu'elle avait du être.
Je lui remis les bracelets aux chevilles et aux poignets, et lui enfilai un bonnet de soie bleue sur la tête complétant sa tenue.
Je reliai les bracelets de ses poignets à l'anneau de son collier, puis entravai ses chevilles en les reliant par une chaîne d'une trentaine de centimètres.
Je l'entrainai jusqu'à la chambre, où je la fis se coucher sur le lit, aux barreaux duquel je reliai son collier comme la veille par une chaîne assez longue pour lui permettre de bouger sans problème mais qui lui en interdisait l'éloignement.
Je me couchai auprès d'elle, la bordai des couvertures, et l'embrassai avant d'éteindre la lumière.
Je la senti venir se blottir contre moi, et appuyer sa joue contre mon épaule.
Je caressai sa joue, ses cheveux, ainsi que son visage, et bientôt la sentit profondément endormie.

La nuit fus d'une douceur exemplaire pour Anne Laure, J'en eu une preuve en me réveillant le lendemain matin, en la retrouvant exactement dans la même position, blottie contre moi, sa tête était maintenant posée contre mon bras.
Je regardai l'heure sur le réveil de la table de chevet, celui-ci marquait 9 heures 15.
J'observai pendant un moment le visage posé sur mon torse, reposé, détendu, qui dormait encore du sommeil du juste.
Un œil s'ouvrit après quelques minutes, puis l'autre, et me fixèrent tendrement.
Elle tenta de remonter dans le lit afin d'avoir son visage au niveau du mien, et je l'aidai en la saisissant par les aisselles et en la remontant quelque peu.
Nos bouches se percutèrent dans un baisé fougueux qui dura un long moment, puis nos langues s'entrelacèrent dans d'autres plus passionnés.
Elle me murmura des : "Je t'aime!"
Je la soulevai et l'étendit sur moi, ce qui provoqua une autre salve de baisés fougueux, tendres, passionnés...
Une demi-heure plus tard, je me levai, et tout en portant Ma petite soumise dans mes bras, je l'emmenai dans le salon, et la déposai sur le canapé.
Je lui indiquai de ne pas bouger, et allai à la cuisine.
J'y préparai du café, et en versai une tasse pour moi que je bu quasiment d'un trait, puis en rempli un biberon, que je ramenai avec moi dans le salon.
Je me mis dans le canapé, en installant Anne Laure sur mes genoux, et présentai le biberon à ses lèvres, qu'elle ouvrit tout grand, pour le téter avidement.
Une fois qu'elle eût vidé le biberon, j'installai Anne Laure, comme la veille au soir, sur la table, et la dévêtis.
Ses joues, qui avaient déjà rosies à son réveil en se rappelant sa situation et son accoutrement, devinrent rouge pourpre, puis cramoisies, lorsque je retirai son lange, et laissai apparaître l'intérieur de ce dernier, souillé de ses excréments et de son urine.
Je jetai le lange à la poubelle, lui nettoyai ses cuisses et son intimité, puis lui installai un autre lange et une autre tenue identique à la précédente.
Je lui enfonçai dans la bouche une grosse tétine, d'où partait une petite couroi de cuir, que je passai derrière la tête de ma soumise, ce qui lui empêchait de recracher et ou de perdre ce qui lui faisait office de bâillon.
J'allongeai ensuite ma soumise sur le ventre sur le canapé, et lui attachai les poignets et les chevilles solidement de façon à ce que celle ci ne puisse bouger.
Je la laissai ainsi, impuissante, devant attendre la suite des évènements, immobile, silencieuse.
Je travaillai un peu à l'ordinateur, rangeai quelques papiers, fis la vaisselle, et rangeai un peu l'appartement, avant de revenir la contempler.
Je la détachai après quelques instants, la déshabillai, lui hottai son lange, et lui demandai de passer à la salle de bain et de revenir une fois propre.
Elle obéit et partit lentement se laver, après m'avoir déposé une nouvelle fois un baisé sur les lèvres et m'avoir murmuré un nouveau :
" Je t'aime!"


6. L'A FIN DU WEEKEND

Une heure plus tard, Anne Laure était assise devant l'ordinateur.
Après avoir pris sa douche, elle était revenue dans le salon, et je l'avais fait passé une petite robe d'écolière, avec le chemisier assorti, ainsi que des souliers vernis, des bas de coton blanc, et une toute petite culotte de dentelle.
Sa tête avait été ornée de deux couettes, qui donnaient à ma douce soumise un air infantile, et innocent.
Je lui avais ensuite donné comme consigne, de s'asseoir devant l'ordinateur, et de me faire un compte rendu détaillé de son weekend, jusqu'à cette heure.
Je lui avais également indiqué que je ne lirai son travail que lorsqu'il serait terminé, c'est à dire lorsqu'elle me l'enverrait de chez elle, quand elle aurait fini de reporté la fin du weekend, et que si je ne jugeai pas le compte rendu assez détaillé ou convaincant, elle serait sanctionnée.

Un soupçon de crainte avait traversé son regard cristallin, mais l'envie de me satisfaire, et de se livrer totalement à moi avait repris le dessus, et une fois l'ordinateur allumé, elle s'était installée devant, après m'avoir tendu ses lèvre pour que j'y dépose un baisé et m'avoir soufflait un très léger :
" Je t'appartiens, je t'aime!"
Ses doigts fins virevoltaient donc maintenant sur le clavier de l'ordinateur, et les lettres et les mots défilaient sur l'écran face à elle.
Je ne prêtai pas d'attention aux lignes qui apparaissaient, sachant les trouvai plus tard.
J'avais mis un disque dans la platine, qui diffusait une musique douce et tranquille, qui ne troublait pas l'ambiance de la pièce.
Je m'étais allongé sur le canapé, et un verre de soda dans une main, un livre dans l'autre, je bouquinais en silence.
Le visage d'Anne Laure se reflétais un peu sur le miroir, et je pouvais admirer ses traits délicat, un peu tendu par la concentration, ses yeux pétillants de sensations et d'émotions diverses se bousculant dans sa tête.
Le léger sourire que dessinait sa bouche montrait la quiétude et l'excitation que lui provoquait le souvenir des dernières 48 heures.
J'en eu d'ailleurs une autre preuve, lorsque je la fis lever après une heure et demi de travail, et que je passai ma main sous sa robe pour caresser sa fleur intime à travers sa culotte.
Je senti immédiatement l'humidité de cette zone de son anatomie, et le tissu poisseux des sécrétions intimes de ma soumise.
Je fis semblant de m'offusquer en constatant cette marque d'excitation, et les joues d'Anne Laure s'empourprèrent instantanément de honte, et de confusion.
Je la prie par le poignet et la tirai violemment vers moi.
Elle ne s'opposa pas et se laissa ramenai contre le canapé, sur lequel je la tirai et la fit basculer.
Elle se retrouva bientôt, allongée en travers de mes cuisses, le ventre posé sur ces dernières.
Refis remonter d'un geste brusque le pan de sa robe sur le bas de son dos, dévoilant ses fesses couvertes de sa culotte, que j'abaissai d'un autre geste tout aussi violent.
Lorsque celle -ci fut descendue au niveau de ses genoux, je levai ma main, pour l'abattre sur sa fesses droite.
Je l'entendis murmurer un petit :
" Non pitié !"
Je ne réagis pas à cette supplique timide, et ma main cingla sa fesse, puis remonta rapidement pour venir agir de la même façon sur l'autre, et revenir sur la première....
Anne Laure tenta de subir sa punition sans broncher, mais bientôt elle ne pu retenir ses larmes, et de petits cris qui s'amplifièrent au fur et à mesure que ses fesses rougissaient et chauffaient par le traitement que ma main leur infligeaient.
Je m'interrompis, pour faire descendre la culotte aux chevilles de ma petite élève indisciplinée, et l'arrachai de ces dernières d'un geste avant de lui enfourner entre les dents.
" Tiens, mange, ça t'évitera de pleurnicher!"
Elle me lança un regard apeuré, me suppliant de lui épargner cette nouvelle humiliation, tel un petit animal pris au piège, et prêt à être dévoré, mais je ne cédai pas et ma main reprit sa danse sur ses fesses, déjà bien rouge, et brûlante.
Après quelques minutes encore de cette fessée magistrale, non pas dans son intensité mais dans sa durée, je la laissai pantelante sur le canapé, pour prendre dans mon armoire à secrets, quelques nouveaux instruments.
Je revins sur le canapé et repris Ma petite Anne Laure, toujours sanglotante, sur mes genoux.
Je renforçai son bâillon en renfonçant la culotte plus profondément dans sa bouche et en la couvrant d'un épais bandeau que je nouai derrière sa tête.
Je vins couvrir de la même façon ses yeux avec un autre bandeau aussi épais que le précédent.
Je sentais Ma petite perle complètement démunie, tremblante de ce qui allait lui arriver.
Je pris une bougie, mon briquet, et allumai cette dernière.
J'attendis quelques secondes, que la mèche se consume un peu et chauffe suffisamment la cire pour la faire fondre et la faire couler.
Je penchai alors le cylindre qui commençais à produire une flamme assez importante, jusqu'à ce que deux goûtes de cire vinrent s'écraser au creux des reins d'Anne Laure, qui poussa un petit cri en sentant cette brûlure aussi brève qu'intense.
Je redressai la bougie pendant quelques secondes, et recommençai la sanction à plusieurs reprises.
Des larmes roulaient sur ses joues, et elle s'efforçait de restait le plus silencieuse possible, pour me montrait qu'elle acceptait cette punition avec résignation et amour.
Un filet de cire qui commençait à sécher allait d'une fesse à l'autre de ma soumise en contournant la raie de ces dernière par son dos.
Ses mains agrippèrent fortement l'assise du canapé, accompagnant un grognement prolongé d'Anne Laure lorsque celle-ci sentit des goûtes de cire s'écraser directement dans la raie de ses fesses, et venir mourir au creux de sa rosette.
Un autre grognement encore plus sourd et profond jailli de la gorge de ma douce et impuissante princesse, lorsque d'autre goûtes de cire roulèrent sur ses fesses et vinrent poursuivre leurs courses entre ses cuisses, sur ses lèvres gonflées par l'excitation, et finirent par atteindre son bouton d'or.
J'éteignis la bougie après encore quelques minutes de ce traitement, et la posai sur la table face à moi.
Je retournai le corps immobile et recroquevillé d'Anne Laure, qui sanglotait silencieusement, et la pris dans mes bras.
Je l'embrassai tendrement, après lui avoir hotté son bâillon et le bandeau qui obturait ses yeux, en la rassurant et en essuyant les larmes qui inondaient son visage d'ange.
Elle vint attraper mes lèvres avec les siennes et m'embrassa fougueusement à plusieurs reprises tout en sanglotant de plus bêle.
Je la serrai contre moi en lui parlant doucement, et en la berçant, tentant de calmer les tressautements convulsifs de son corps.
Elle se blottit contre moi, et fermant les yeux pris l'une de mes mains avec les siennes en la serrant de toutes ses forces.

Au fur et à mesure qu'elle se calmait, l'étreinte de ses mains se faisait moins pressente.
Lorsqu'elle fut totalement calmée, je continuai à bercer ma petite soumise, tout en ouvrant progressivement sa robe, en la faisant descendre sur son corps pour finalement lui hotter. Je fis de même avec sa chemise, puis ses souliers et ses bas, et elle se trouva bientôt complètement nue sur mes genoux avec ses deux couettes qui la rajeunissaient de quelques années.
Elle se mit en boule contre moi, plaçant ses pieds entre mes cuisses, plaquant son corps contre ma poitrine, ses mains tenant les miennes, ses doigts s'entrecroisant avec les miens, sa tête posée sur mon épaule, ses lèvres mordillant la peau de mon cou, et de mon oreille, ses yeux me fixant avec attention.
Je lui murmurai combien j'étais fière d'elle, combien j'aimais la voir ainsi soumise et s'offrant à moi, combien je regrettais de ne pas l'avoir rencontré avant.
Je sentis un frisson la parcourir, en m'entendant prononcer ses mots, et bientôt les larmes réapparurent au coin de ses yeux.
Je m'arrêtai et lui demandai ce qu'elle avait, et qu'elle ne devait pas hésiter à me dire ce qu'elle ressentait pour que je puisse l'aider, la guider, et que nous puissions progresser ensemble.
Les mots qui sortirent de sa bouche me surprirent un peu, même si je savais au fond de moi, que j'espérais les entendre à un moment ou à un autre.
" Mon cœur, c'est les plus belle choses que l'on m'ais dites depuis très longtemps. Je t'aime, je t'aime jusqu'au plus profond de moi, et je veux rester avec toi encore et toujours, être toujours dans tes bras, t'appartenir de plus en plus, n'obéir plus qu'à toi, me laissais guider et emmener par ta main."
Elle ne put en dire davantage, tellement l'émotion semblait la submerger, et fondit en larmes.
Je la berçais doucement, en la rassurant, lui essuyant les yeux et les joues avec un mouchoir que j'avais tiré de ma poche.

Son émotion mit un long moment avant de disparaître, et lorsque je regardais ma montre il était déjà 18 heures 15.
Je fis passer une tenue de latex à Anne Laure, pour la fin de la soirée, composée d'une petite jupe, d'une guêpière, et de bas.
Nous bûmes un verre d'apéritif, avant que ma douce, ne prépare le repas, et que nous nous mîmes à table.
La soirée passa ainsi, voluptueuse, et sensuelle, faites de câlins, de caresses, et d'amour.
Je récompensai mon amour, pour son dévouement en honorant ses orifices, ce qui la transporta dans des orgasmes aussi violent et transcendant qu'intenses.
Après que nous eûmes pris une douche ensemble, et que j'eu honoré une nouvelle fois ma princesse, je préparai cette dernière de la même façon que les soir précédents, en reliant les bracelets de ses poignets à son collier, et ceux de ses chevilles entre eux par une chaîne d'une trentaine de centimètres. Je vins ensuite me coucher aux côtés de mon amour après l'avoir allonger sur le lit et avoir relié son collier à ce dernier par la chaîne qui y était fixé.
Je couvris nos deux corps des couvertures, et nous nous endormîmes en nous embrassant.

Le lendemain, je réveillai Anne Laure, et la libérai après un doux câlins et de tendre baisés.
Nous prîmes une douche, nous déjeunâmes, je lui enlevai les bracelets de ses chevilles et de ses poignets, ainsi que le collier qui décorait son cou depuis le vendredi soir.
Je l'embrassai avant qu'elle ne s'en aille, et lui promis que nous nous reverrions très vite.
Avant qu'elle ne franchisse la porte de l'appartement, je lui rappelai de m'envoyer la fin de son compte rendu, et l'embrassai en lui disant que je l'aimai très fort.
Une larme pointa au coin de l'un de ses yeux, que j'essuyai instantanément en lui demandant de ne pas pleurer, qu'elle devait rester digne et que nous serions bientôt réunis à nouveau.
Elle sortit après un dernier baisé.
Je me mis moi-même en route pour mon bureau quelques minutes plus tard, l'esprit encore plein de sensations et d'émotions du weekend qui venait de s'achever.

7. LE COMPTE RENDU D'ANNE LAURE.

Je rentrai chez moi vers 18 heures 30.
Quelques minutes plus tard, je me mis devant mon ordinateur et consultai mes messages.
Comme je m'y attendais, l'un d'eux provenait de ma petite perle d'amour. Je l'ouvris et m'installai confortablement avant de lire :
" Mon amour, je viens de finir ce que tu m'avais demandé. Je tiens donc à se que tu puisses le lire au plus vite. Je t'aime, ta douce, et dévouée Anne laure."
Accompagnant ce message, une pièce jointe que j'ouvris et lu avec attention. Voici le texte exact de ce qui était le compte rendu d'Anne Laure.
" Mon chéri, voici comment j'ai vécu notre premier weekend ensemble. Sache que pour moi, et même si comme tu me l'avais dis ça n'a pas toujours était facile, il a été et restera l'un des plus beaux de ma vie.
Lorsque je me suis préparai le vendredi pour venir te rejoindre, je me sentais à la fois excitée de pouvoir enfin être avec toi, de pouvoir te rencontrer, de me livrer enfin à quelqu'un en qui j'avais confiance, et pouvoir réaliser l'un des fantasmes qui me hantait depuis longtemps, mais aussi craintive de ce qui pourrait m'arriver, de ce que je devrais subir et affronter pour te satisfaire.
Quand j'arrivais dans l'ascenseur qui me conduisait jusqu'au palier de ton appartement, j'ai eu soudain une grosse angoisse jusqu'à ce que la porte s'ouvre et que je doive descendre pour arriver devant ta porte.
L'excitation a été là pour dissiper cette angoisse, sinon je crois bien que je serai partie en courant. J'ai retiré mes chaussures avant de pousser la porte que tu avais laissé entrouverte, et me suis agenouillée comme tu m'avais dis de le faire, et j'ai déposé celles-ci devant moi.
Tu es arrivé, m'a conduit dans le salon. Je me sentais toute bizarre, comme à la fois prisonnière, mais enchantée par un tour de magie.
Lorsque tu as placé le collier autour de mon cou, j'ai senti comme un poids énorme qui s'abattait sur moi, et j'ai compris que le weekend allait vraiment commencer à partir de cet instant.
Sous tes directives, je suis allais à la salle de bain, et me suis lavée et rasée. La sensation du rasoir m'a provoqué des frissons, et quand j'ai constaté les résultats, de ma peau toute douce et lisse, le feu m'est monté aux joues. Je me voyais redevenue la petite fille de 10 ans que j'étais.
Je suis revenue à tes pieds, et tu m'as guidé jusqu'à la table sur laquelle tu m'as fais couché et attacher.
Je me suis senti complètement ouverte et offerte à toi une fois immobilisée, ce qui a eu pour résultats de faire naître une vague chaude dans mon ventre.
D'autres vagues sont naît au fur et à mesure, que tu décorais mes seins et mes lèvres avec les pinces. La pince que tu m'as mise sur la langue m'as fait saliver énormément et je sentais non seulement mon abricot coulai abondamment, mais aussi la salive couler de ma bouche, puis sur mes joues et mon cou.
J'ai commençais à voir des étoiles, et à me sentir toute folle quand tu as eu fini et quand tes doigts sont venus me caresser le minou.
Si tu avais touché mon bouton je crois bien que j'aurai explosé d'excitation!
C'est au contraire la frustration que tu m'as donné en arrêtant tes caresses, et quand tu mas redresser pour me mettre à genoux à tes pieds, je ne voulais qu'une chose c'est que tu me fasses jouir. J'ai compris que ça ne serai pas mon tour immédiatement quand ton sexe est venu devant ma bouche et que je l'ai pris entre mes lèvres.
Je dois confesser que j'étais tellement excitée que je n'ai pas savouré ce moment si précieux et que j'ai avalé goulument tout le présent que m'offrait ce membre que tu m'avais prêté.
Je me suis senti un peu plus humiliée mais aussi plus excitée encore quand tu m'as donné à manger à la petite cuillères sans que je puisse faire quoique se soit.
Je sentais ma fente toute liquide, et comme tu l'as sans doute remarquée, il n'y a pas fallut beaucoup de temps après que tu sois entré en moi, pour que je sois sur le point de basculer dans la jouissance.
Encore une fois tu m'as laissé avec ma frustration en te retirant juste au moment où j'allais être emporté dans le bonheur. La frustration a immédiatement laissé place à la peur en sentant ton sexe se poser sur mon petit trou, et en le sentant le transpercer.
J'ai cru pendant un instant que la douleur serait plus forte que celle qui est apparut, et l'excitation reprenant aussitôt, tu m'as permis d'atteindre un orgasme incroyable.
La séance de câlins et de baisé qui a suivi n'a était que délice.
Je me sentais à l'abri de tout dans tes bras, et je ne voulais plus les quitter.
Tu m'as envoyé au toilette, et la je n'ai pas compris pourquoi tu me disais que je ne pourrai plus y aller ensuite.
J'ai compris simplement lorsque nous sommes arrivé dans la chambre et que tu m'a attachai au lit avec la chaîne. Quand tu as relié mes chevilles ensemble et mes poignets au collier j'ai réalisé que je ne pourrai rien faire sans te le demander, je dépendais complètement de toi.
Quelle merveilleuse nuit à tes côtés! Elle fut la plus belle depuis longtemps. J'ai dormi comme un ange, et rien que me faire réveiller par ta voix et par tes doigts mon sexe a recommencé à mouiller.
Tu m'a dis ensuite que tu me voulais chienne, et j'ai compris tout d'abord que tu voudrais pouvoir me prendre à n'importe quel moment.
J'ai eu honte mais pas autant que lorsque tu m'as dit que c'était comme l'animal que je devais me comporter, jusqu'à me déplacer comme lui.
Les objets que tu m'as présenté mon fait peur, mais je n'ai pas eu le temps de penser à quoique ce soit, avant qu'ils ne soient en moi. Lorsque tu à introduit les autres, j'ai cru que j'allais tomber dans les pommes tellement la douleur d'être défoncée ainsi était brutale et intense.
Malgré cela mon bijou restait trempé sans que je puisse le contrôler.
Quand tu as retiré les godes si insoutenables, j'avais les larmes qui coulaient toute seule, et je me sentais complètement dilatée, ouverte, brisée.
L'excitation n'a pas baissée surtout quand tu m'a attachai avec une laisse et que tu m'as promené dans l'appartement.
J'ai cru mourir quand tu à ouvert la porte et que nous avons traversé une partie de ton immeuble. Je me disais que je risquais de mourir de peur et de honte si quelqu'un nous voyait, mais lorsque nous sommes revenu chez toi, je me suis rendu compte que je n'étais qu'une fontaine. La séance de câlins a été comme la précédente inoubliable.
Lorsque j'ai étais prête pour être une soubrette à ton service, beaucoup de choses tournaient dans ma tête en préparant le repas, et je me suis rendu compte que moi même je ne pensais pas pouvoir me livrer autant, et aller si loin dans la soumission. Cependant je me sentais magnifiquement bien, et nous avons mangé ensemble.
Les godes qui étaient en moi maintenaient une excitation grandissante dans ma grotte à plaisir, et la séance de câlins qui a suivie le repas n'en a été que plus superbe.
Tu m'as ensuite habillé pour que nous allions nous promener.
Je n'avais pas rélisé tout d'abord en quoi tu m'avais transformé, mais quand tu m'a fais mettre devant le miroir, j'ai senti mes jambes tremblaient en me voyant. Tu avais fais de moi une petite princesse, et tu as fais chavirer mon cœur encore plus que ce que tu avais déjà fais.
Nous sommes sortis, puis monter en voiture. Je me sentais à la fois aux anges d'être avec toi, de t'obéir sans retenu, mais aussi anxieuse de ce que tu me demanderais, de ce que nous allions faire.
J'ai rougis et me suis senti anéantie de voir les gens nous regarder passer devant eux, de voir la chaine qui reliais mon cou à ta main.
Ma honte fut à son comble lorsque le serveur a tourné la tête en apercevant la poignée de la laisse posée sur la table devant moi.
La promenade que nous avons fait après n'a été que conte de fée pour moi, j'étais une princesse avec son bien aimé, personne au monde pour nous nuire,....
Notre câlin sur le banc dans ce parc n'a fait que me ravir encore plus!
A chaque instants de notre promenade, je sentais l'air entrer dans le tube qui maintenait mon sexe largement ouvert et utilisable, et je sentais ma mouille s'échapper continuellement et marquait tous les endroits où je m'asseyais.
Quand nous sommes revenus chez toi, et que je me fus lavée, tu m'as préparé pour la nuit, tel qu'on prépare un nouveau né. J'étais cependant loin d'imaginer jusqu'où tu me pousserais dans mon rôle de bébé.
C'est en me réveillant dans tes bras, et en prenant conscience de ce qui s'était passé pendant la nuit que je rougis d'humiliation de ne pas avoir su contrôler mes envies.
Mon humiliation a été complète lorsque tu m'as changé et donné le biberon. Malgré cela, mon con était toujours aussi trempé que si j'étais resté assise dans une marre d'eau!
Je sentais que mes lèvres et mon clito étaient gonflés et brûlants!
J'ai ensuite commencé ce compte rendu lorsque tu m'as eu habillé comme une petite fille.
Je sentais bien que mon jus coulait dans ma culotte, mais je ne croyais pas que tu me punirais pour ça.
J'ai compris en voyant ton visage se durcir. Ma tirelire s'est mise à mouiller encore plus en sentant ta main me tirai sur tes genoux, m'allonger, et me déculotter!
J'ai eu un éclair de peur en comprenant que tu allais être sévère, mais j'ai essayé de subir ma punition dignement sans broncher. Malgré tous mes efforts, les larmes ont commencé à apparaître, sans que je puisse les retenir.
Mes fesses sont devenues affreusement douloureuses, et bouillantes. Je croyais que je ne pourrais plus m'asseoir dessus pendant longtemps, surtout quand la cire de la bougie est venue accentuer la douleur déjà insupportable.
La séance de câlin qui a suivi a eu raison de moi, de mes derniers remparts d'orgueil, de fierté. La Soirée qui a suivie a était pour moi la plus belle de toute ma vie, et je me suis senti vraiment à toi sans limite. Si tu m'avais demandais quelque chose, aussi pire que ça puisse l'être je l'aurai accepté sans broncher!
Ce matin, nous nous sommes quitter, pour moi à contre cœur. Car je désire vivre avec toi, rien que pour toi, pour te servir, t'aimer, être aimer uniquement par toi!
Alors je te le demande, je t'en supplie mon amour, garde moi auprès de toi à jamais, et pour toujours! Je veux t'appartenir c'est mon seul souhait aujourd'hui!
Je t'aime plus que tout! ce weekend m'a révélé ma vrai nature, et t'a fais apparaître comme mon seul prince, comme celui que j'aime et aimerai jusqu'à la fin de mes jours!

Je t'en prie je ne te demande qu'une seule chose, accepte de me prendre avec toi, et garde moi jusqu'à la fin de nos jours!

Ta soumise qui t'aime et qui te chérie plus que tout au monde Anne Laure."

Je contemplai ce dernier morceau de texte, et le relus plusieurs fois.
Je décrochai mon téléphone et composai un numéro.
Après quelques secondes à peine la voix de ma douce Anne Laure se fit entendre, essoufflée, et angoissée.
Je ne lui dis qu'une seule phrase avant de raccrocher sans attendre sa réponse.
" Je te veux dans une demi heure ici, devant moi!"

FIN

ŠLE CERCLE BDSM 2009