|
|
Suite à la lecture d'une petite
annonce rédigée ainsi :
" Coiffeuse " Messieurs " à domicile se déplace,
sur rendez vous ". Ayant besoin de me faire couper les cheveux, je
téléphonais au numéro de tél. indiqué
sur l'annonce. La voix de la personne qui me répondit au téléphone
était sensuelle, mais autoritaire.
- " Bonjour, ce serait pour un
rendez- vous s'il vous plait ? " demandais-je
- " Oui, bonjour, Isabelle coiffeuse, quelle est votre adresse ?
" répondit mon interlocutrice
Ce à quoi je répondais
en lui donnant mon adresse.
- " je ne suis pas très loin, je peux venir vous couper les
cheveux dans une heure, cela vous irait-il ? "
- " Oui, parfait Madame ! "
répondis-je instantanément.
Je passais l'heure qui précédait
le rendez-vous à regarder la pendule de mon bureau, à l'heure
précise, la sonnette de la porte d'entrée retentit, je me
précipitais à la porte et ouvrit sans trop laisser paraître
mon excitation.
- " Pierre GLIMAR ?
je
suis ISABELLE, votre coiffeuse ! " me dit l'élégante
jeune femme, sur le seuil de ma porte en me tendant la main.
- " entrez, je vous en prie !
" répondis- je
Je laissais pénétrer
la jeune femme, elle passa devant moi, laissant dans son sillage les effluves
sensuelles d'un parfum de Guerlain : OPIUM. Elle portait un long manteau
de cuir noir d'excellent facture qui descendait à mis mollets,
sa taille étranglée par une ceinture nouée. Elle
tenait une petite mallette contenant ses instruments de coiffeuse. Je
lui proposais de nous installer dans la grande salle, dont le sol carrelé
serait plus facile à balayer, ce qu'elle approuva avec un grand
sourire. Galamment, je la débarrassais de son manteau que je mis
sur un cintre dans la penderie de l'entrée. Mademoiselle ISABELLE
était une très jolie Jeune femme, mince, grande, blonde,
les cheveux rassemblés et tirés en une queue de cheval,
elle portait un magnifique chemisier de soie blanche à manches
courtes au travers duquel j'apercevais les arabesques de la dentelle de
son soutien-gorge, pantalon en cuir noir, ses pieds étaient chaussés
d'escarpins noirs aux talons vertigineux.
- " pourriez vous installer une
chaise ici ? " me demanda la coiffeuse en me souriant aimablement
et en me désignant le centre de la pièce.
- " très certainement,
Madame ! " répondis-je.
J'allais dans mon bureau chercher mon
fauteuil de bureau, un fauteuil à roulette sur un pied central,
pivotant et monté sur un piston hydraulique, un peu comme certains
sièges de coiffeur.
- " c'est parfait ! " s'exclama la coiffeuse en me voyant ramener
le fauteuil.
Madame ISABELLE ouvrit sa mallette,
posée sur la table du salon et commença à en sortir
ses ustensiles : ciseaux, tondeuses, peignes, etc
Elle sortit un peignoir en nylon rose qu'elle déplia en le faisant
claquer devant elle, il était immense, d'un merveilleux rose bonbon,
avec un plissé au cou et un cordon en nylon rose qui me fit penser
qu'il devait se nouer autour du cou.
Comme je restais debout, médusé par ce peignoir que je ne
quittais pas des yeux, Madame ISABELLE, m'interpella d'un ton sec
- " veuillez retirer votre chemise
et vous mettre torse nu, s'il vous plait ? "
- " vous désirez que je retire ma chemise ? " questionnais-je
un peu interloqué par sa question.
- " oui, pour vous éviter d'avoir des cheveux qui rentre dans
votre chemise ! " me répondit-elle souriante et pleine de
prévenance ;
- " soit ! " répondis je en la fixant dans les yeux
J'enlevais prestement ma chemise que je déposais sur le dossier
d'un des fauteuils du salon ; Madame ISABELLE m'invita à m'asseoir
sur le fauteuil à roulette que j'avais disposé au centre
de la pièce, elle passa derrière moi, et d'un geste ample,
elle présenta devant moi l'immense peignoir de nylon rose, j'engouffrais
mes mains dans les larges manches du peignoir qui m'engloutit entièrement,
je sentais sur ma poitrine la fraîcheur du nylon et mes tétons
ne tardèrent pas à durcir. Madame ISABELLE, noua énergiquement,
une première fois le cordon en nylon du peignoir derrière
ma nuque, puis elle le renoua une seconde fois par devant mon cou, en
serrant un peu plus fort, et renoua une dernière fois sur ma nuque
en serrant encore plus fort, je ressentais une délicieuse et troublante
strangulation.
- " je n'ais pas serré trop fort ? " me demanda Madame
ISABELLE en me souriant.
- " non, pas du tout ! " répondis-je, troublé.
Madame ISABELLE passa ses mains fines dans mes cheveux, elle me contourna
lentement et les mains posées sur ses hanches, campée devant
moi elle me demanda :
- " vous désirez que je vous fasse une coupe, courte, très
courte ? "
- " courte, s'il vous plait Madame " répondis-je en ne
la quittant pas des yeux
Madame ISABELLE acquiesça en souriant, puis elle se retourna et
fouilla dans sa mallette, elle en ressortit une blouse longue en nylon
blanc, qu'elle déplia, elle s'en revêtit, la boutonna, sortit
une ceinture de la poche de sa blouse qu'elle noua autour de sa taille,
je la regardais faire, je la trouvais belle et érotique.
Je sentais une bosse naître
sous ma braguette.
Madame ISABELLE prit un peigne et une paire de ciseaux, elle vint à
ma droite, elle posa sa main douce sur le sommet de mon crâne, et
m'obligea à incliner la tête sur la gauche. Elle faisait
glisser le peigne dans mes cheveux en partant de la tempe et en remontant
vers le somment de mon crâne, à chaque cliquetis des ciseaux,
les lames coupaient des mèches de mes cheveux, qui tombaient sur
le nylon lisse du peignoir, et glissaient jusque sur le sol. Madame ISABLLE
à chacun de ses gestes ou de ses déplacements répandait
dans l'air son suave parfum, qui me parvenait par volutes sensuelles dont
je m'enivrais. Ma queue était tendue sous ma braguette et me faisait
mal tellement elle était comprimée, Profitant que Madame
ISABELLE, s'était retournée pour changer de ciseaux, je
retirais, discrètement ma main gauche de l'ample manche du peignoir,
je déboutonnais mon pantalon et ma braguette, et je sortis ma queue
raide de mon slip. Lentement et discrètement, je me masturbais.
Madame ISABELLE, debout dans mon dos, s'occupait de ma nuque, pour lui
faciliter la tâche, docilement et sans qu'elle eu à me le
demander, j'inclinais la tête jusqu'à ce que mon menton touche
le voile soyeux du peignoir en nylon.
Je sentais remonter le long de ma
nuque le peigne et je me laissais bercer par le cliquetis magique des
ciseaux. Pour être plus à mon aise j'écartais un peu
mes cuisses, et je laissais mes fesses glisser un peu en avant sur le
siège du fauteuil. La situation était d'autant plus excitante
que la coiffeuse ne semblait s'être aperçu de rien, aussi,
confiant, je redoublais ma masturbation. A ma grande stupéfaction,
Madame ISABELLE saisit et tira une mèche de mes cheveux encore
épargnée à la base de ma nuque, m'arrachant une grimace
et un gémissement de douleur et m'obligeant à garder la
tête inclinée, le menton plaqué contre la poitrine.
, de sa main libre, Madame ISABELLE releva brutalement le peignoir qui
me recouvrait, dévoilant mon sexe tendu. Confondu et honteux je
restais sans voix, La coiffeuse me faisant face, me gifla et me montrant
mon sexe me dit " je vois que cela vous excite ! " dit-elle
d'un ton sévère.
- " Nous allons remédier à cela ! " annonça-t-elle.
Madame ISABELLE me fit me lever et
me commanda de retirer mon pantalon et mon slip, j'étais à
présent nu comme un ver sous l'immense cape de nylon rose.
Elle me commanda de m'asseoir à califourchon sur le bras du fauteuil,
elle me commanda de remettre ma main gauche dans la manche du peignoir
et elle m'attacha solidement les poignets derrière le dos et les
cuisses au bras du fauteuil, la position bien qu'inconfortable, m'excitait
encore plus.
- " Ainsi entravé vous n'aurez plus loisir de vous masturber
sans y être autorisé !... et puisque vous appréciez
ma manière de couper les cheveux, je vais vous combler ! ".
Annonça Madame ISABELLE un sourire satanique, éclairant
son visage.
- " Toute fois, avant que nous
poursuivions votre coupe, je vais vous offrir un petit plaisir
j'espère
que vous apprécierez cette délicatesse ! " me dit elle
en remontant la cape du peignoir qu'elle serra à mon coup avec
une pince à cheveux.
Madame ISABELLE, à l'aide d'une
cordelette, me lia les couilles dans un nud coulant, et attacha,
à l'extrémité de la cordelette, par l'anse, un seau
en plastic, qu'elle trouva sous l'évier dans la cuisine, de telle
sorte que le seau soit suspendu. Madame ISABELLE remis le peignoir en
place, aussi mon corps disparu sous le flot de nylon rose.
Madame ISABELLE tira une chaise et vint s'asseoir jambes croisées
en face de moi, elle prit son téléphone portable et composa
un numéro de téléphone, tout en me contemplant.
- " Allo ! Valérie tu es
libre
très bien ma chérie, pourrais tu me rejoindre
à l'adresse que je vais te communiquer
j'ai une surprise
pour toi !....à tout de suite " Madame ISABELLE reposa son
téléphone portable, elle revint de la cuisine avec six bouteilles
d'eau en plastic d' un litre et demi qu'elle aligna devant moi sur la
table
- " Puisque Monsieur aime se tirer
sur la nouille !... Je vais lui offrir une séance d'élongation
des couilles, j'espère que monsieur appréciera
.hihiihihi
! " Commenta Madame ISABELLE en laissant tomber la première
bouteille dans le seau. La cordelette se tendit brutalement, resserrant
le nud coulant sur mes couilles qui étranglées furent
étirées ; je serrais des dents pour ne pas hurler
Madame ISABELLE, debout devant moi,
me regardant en souriant, elle ouvrit la penderie et prit son manteau
de cuir, elle retira sa blouse, et se vêtit de son long manteau
de cuir noir, elle sortit d'une des poches, une paire de gants noirs,
en cuir fin , qu'elle enfila, puis, elle se plaça face à
moi, les mains sur les hanches :
- " pour ton effronterie, il est
normal, que je te punisse, n'est-ce pas ? " me demanda-t-elle
- " oui, Madame ! " bredouillais-je lamentablement, et miné
par la honte.
Madame ISABELLE, d'une main me releva
le menton, et de l'autre me gifla brutalement
- " je m'arrêterais de te gifler que lorsque mon amie sonnera
à ta porte ! " m'annonça-t-elle en riant
Les gifles se succédèrent,
de plus ou moins fortes, à des cadences variées.
Droites, gauches, mes joues me brûlaient, et mes yeux s'embuaient
de larmes.
Mon assise inconfortable, les cuisses écartelées sur les
bras du fauteuil, m'obligeait à bouger pour maintenir mon équilibre,
ce qui ne plaisait pas à Madame ISABELLE
- " qui te demande bouger sans cesse ? " questionna Madame ISABELLE,
agacée.
-" personne, Madame ! " répliquais-je péniblement,
entre deux gifles magistrales.
La sonnette de la porte d'entrée
retentit, alors que cela faisait bien une demie heure, que je subissais
gifles sur gifles.
Madame ISABELLE m'abandonna pour ouvrir
la porte d'entrée
- " BONJOUR Valérie, rentre,
je t'en prie ! "
Les deux femmes pénétrèrent
dans le salon, Madame Valérie tourna autour de moi, me contemplant,
seul ma tête dont les cheveux étaient au trois-quarts coupés
et mes pieds nus émergeaient de l'immense peignoir de nylon rose.
- " ton client me semble bizarrement
installé ! " commenta Madame Valérie
Madame ISABELLE souleva le peignoir
de nylon rose pour offrir à la vue de son amie Valérie mon
bas ventre et lui montrer comment elle m'avait installé, en commentant
:
- " voila ce qui arrive quand
on ose se masturber en cachette, pendant que je coupe les cheveux ! "
Madame Valérie se mit à
pouffer de rire. C'était une jolie jeune femme élancée,
les cheveux bruns et longs, elle aussi portait un manteau de cuir noir.
- " oh, j'ai une idée géniale,
je reviens dans cinq minutes !.... je pense que ton client appréciera
" annonça madame Valérie, les yeux pétillant
de malice.
Madame Valérie sortit de la
maison et s'absenta quelques minutes. Madame ISABELLE en profita pour
m'administrer quelques gifles supplémentaires; puis elle pris l'anse
du seau et tirant, sans ménagement elle s'amusa à me tirer
par les couilles faisant avancer le fauteuil puis elle glissa une seconde
bouteille d'eau dans le seau et fit pivoter le fauteuil rapidement d'un
demi- tour, impliquant au seau qui pendait sous mes couilles un mouvement
pendulaire, qui m'arrachait cruellement les parties génitales.
Je faisais face à la porte d'entrée du salon.
- " Comme cela tu verras arriver
Madame Valérie et la surprise qu'elle te réserve !.... en
l'attendant nous allons poursuivre notre coupe ! " annonça
Madame ISABELLE qui avait repris peigne et ciseau ;
Madame ISABELLE vint se placer à
ma gauche, et d'une magistrale gifle me fit comprendre qu'il fallait que
j'incline la tête sur la droite, j'obéissais de peur de représailles,
les joues rougies par les séries de gifles. Madame ISABELLE d'une
main saisit des mèches de cheveux au hasard, les tirant cruellement,
et armée de ses ciseaux, elle les coupait au raz du crâne.
La porte d'entrée claqua, Madame Valérie était de
retour, le cliquetis des talons martelait le carrelage du hall d'entrée,
elle apparu dans l'encadrement de la porte du salon, dans son manteau
de cuir noir, les mains derrière le dos. Elle avança d'un
pas pesé en face de moi et se planta devant le fauteuil, souriante.
- " J'ai un cadeau pour toi, chien
lubrique, qui va calmer tes ardeurs ! " m'annonça, souriante
Mademoiselle Valérie.
Ce disant, elle sortit de derrière
son dont un énorme bouquet d'orties fraîches, qu'elle tenait
de sa main gantée, elle l'exhiba devant mes yeux, à quelques
centimètres de mon visage , elle le déposa sur le siège
du fauteuil, juste en dessous de mes fesses, puis elle prit une chaise
qu'elle installa en face de moi, et sur laquelle elle prit place, elle
souleva le peignoir, et demanda à madame ISABELLE de le fixer à
mon cou, elle sortit une tondeuse électrique sans-fil d'une des
poches de son manteau de cuir, elle la mit en route.
- " Nous allons dégager ton pubis et tes petites couilles
de tous ces vilains poils ! " annonça-t-elle en riant.
BRRRRR, d'une main ferme Madame Valérie saisit ma queue raide et
l'abaissa sauvagement vers Le siège du fauteuil, je me cambrais
avançant et offrant bien mon pubis à la lame froide de la
tondeuse qui allait et venait rapidement enlevant au passage tous les
poils qui tombaient sur le siège du fauteuil.
- " un sexe tout lisse, comme
un petit puceau ! " S'exclama Madame Valérie à l'intention
de Madame ISABELLE qui la regardait officier. Puis Madame ISABELLE remis
le peignoir en place Madame Valérie se saisi du bouquet d'orties
et sous le peignoir, elle me caressa les fesses, l'entrecuisses, et le
sexe, les morsures des orties étaient tellement violentes, que
je tressaillais et me trémoussais comme un damné, sans pouvoir
échapper aux cruelles caresses, je gémissais de douleur,
implorant leur pitié ; mais rien n'y faisait.
- " Je trouve, ton client bien remuant ! " commentait Madame
Valérie en riant
- " Oui, tu as raison, Valérie ! " renchérit Madame
ISABELLE
- " nous allons le calmer ! " reprit madame ISABELLE
Aussi, Madame ISABELLE demanda à Madame Valérie de bien
vouloir mettre une troisième bouteille d'eau dans le seau, mes
couilles étaient si étirées que la douleur lancinante
que cette élongation provoquait, devenait aussi source de plaisir,
puisque je bandais comme un beau diable.
Madame Valérie, curieuse de voir ce que provoquait le traitement
qu'elle me prodiguait, souleva le peignoir.
- " ho lala ! Tu verrais cela ISABELLE, notre client a le cul en
feu et vu comme il bande, il apprécie !
Si nous le tondions
et si nous lui rasions le crâne comme il est de coutume pour les
salopes de son espèce ? " Questionna Madame Valérie
- " bonne idée, Valérie
! " répondit Madame ISABELLE en éclatant de rire
- " Nous allons échanger
les rôles, Valérie, je vais prendre ta place et m'initier
au maniement des orties, et continuer à lui mettre le cul en feu,
pendant que toi tu vas le tondre ! " annonça Madame ISABELLE,
en riant.
- " je te remercie ma chère ISABELLE, cela me fait infiniment
plaisir ! " répondit Madame Valérie
Madame Valérie vint se placer derrière le dossier du fauteuil,
elle posa une main sur le sommet de mon crâne, et poussa ma tête
l'inclinant à fond en avant, mon menton était enfouis dans
le doux nylon rose, tandis qu'elle maintenait fermement ma tête
maintenu dans cette position, elle plaqua la lame froide de la tondeuse
vrombissante à la base de ma nuque et le remonta à plusieurs
reprises le long de ma nuque de bas en haut. Madame ISABELLE, quant à
elle, s'occupait de mon derrière, et d'une main gantée,
elle me caressait le cul, le sexe , le pubis avec le bouquet d'orties,
je tressaillais sous ses cruelles caresses, et comme je sursautais, Madame
ISABELLE me giflait. Entre deux doigts, Madame Valérie prit mon
oreille droite et la tira vers le haut en la tordant, et en me forçant
à basculer ma tête sur la gauche, je gémissais de
douleur.
- " OH ! La chochotte
..
Voila que note poufiasse se met à gémir ! Elle a mal, elle
souffre ! " S'exclama Madame ISABELLE en riant et en se moquant.
- " haha ha, mais non, elle aime
que je lui tire les oreilles ! " Renchérit Madame Valérie
qui tout en me tirant l'oreille, m'appliqua la tondeuse sur la tempe droite,
elle poussa la tondeuse qui allait et venait sur le coté de mon
crâne, quand Madame Valérie eu fini de tondre le côté
droit, elle se recula et demanda à Madame ISABELLE :
- " je ne vais pas me fatiguer
à tourner autour de cette salope, alors qu'elle est confortablement
installée sur un fauteuil pivotant et à roulettes ! "
- " Tu as entièrement raison,
Valérie, je vais la faire tourner ! " répliqua Madame
ISABELLE
Madame ISABELLE se leva de sa chaise et pris l'anse du seau et tira sur
la cordelette, elle fit décrire un demi-tour au fauteuil afin de
présenter mon coté gauche à Madame Valérie
qui remit la tondeuse en marche, La manuvre me fit me crisper sur
le fauteuil tant la douleur était vive, et comme je geignais, Madame
Valérie lança à Madame ISABELLE :
- " je pense qu'il est nécessaire
que nous lui apprenions à se taire, qu'en penses- tu, ISABELLE,
car ni toi, ni moi avons autorisé cette salope à se manifester
! "
- " remarque pertinente, ma chère
Valérie ! " éclata de rie Madame ISABLLE, tout en contemplant
mon visage défait, et mon crâne au trois quarts rasé.
- " Je vais t'aider à finir
sa coupe ! " annonça Madame ISABELLE à son amie Valérie.
Madame ISABELLE glissa un coussin sous mes fesses sur lequel elle installa
le bouquet d'orties de telle sorte qu'il soit bien en contact avec mes
fesses.
- " pendant que tu finis la tonte
de ton coté, Valérie, je vais m'occuper de la finition de
l'autre côté, et faire une tonte de très près
comme il est d'usage pour les petites putes de son espèce ! "
annonça Madame ISABELLE en ricanant.
- " non pitié, Madame !
" implorais-je en sanglotant.
- " tu ne m'as pas demandé la permission pour te masturber
? " questionna Madame ISABELLE ;
- " non, Madame ! " répondis- je, la voix étranglée.
- " alors tu seras tondu à ras ! " renchérit Madame
Valérie en riant.
- " remarques bien que nous pourrions l'abandonner comme cela, qu'en
penses-tu Valérie ? " s'exclama Madame ISABELLE
- " tu as raison, nous pourrions le laisser méditer, confortablement
installé sur ce fauteuil, avec ses orties sous les fesses, et ses
couilles bien étirées, sous son peignoir rose, il ne risque
pas de prendre froid, et bien que le fauteuil soit sur roulette, entravé
comme il est il ne risque pas de se sauver ! " commenta Madame Valérie
en pouffant de rire.
- " il est pas mignon comme cela ! " repris Madame ISABELLE
- " oh oui, il est très mignon, nous devrions l'exposer !
" surenchérit Madame Valérie.
- " j'ai une idée géniale ! " s'exclama Madame
Valérie
- " Nous allons l'exposer devant
la b aie vitrée du salon cotée rue, et nous allons ouvrir
les rideaux, il se sentira moins seul pendant notre absence, et il pourra
réfléchir savoir s'il veut que nous le laissions comme cela
ou si il préfère que nous le tondions à ras ! "
expliqua à haute voix Madame Valérie à Madame ISABELLE.
- " non je vous en supplie Madame
ISABELLE, Madame Valérie, tondez moi à ras le crâne
si vous le voulez, mais ne m'exposez pas devant la baie vitrée
! " suppliais-je
- " Trop tard ! " annoncèrent
en cur Madame ISABELLE et Madame Valérie en riant
- " il fallait y penser plus tôt ! " Repris madame Valérie
qui saisit l'anse du seau et tirant sur le lien qui me strangulait les
couilles elle fit rouler le fauteuil jusque devant la baie vitrée
du salon.
- " un, deux, trois ! " compta
Madame Isabelle en actionnant le cordon du rideau
- " sois sage, nous serons peut-être
de retour dans une heure, réfléchis bien, et profite du
spectacle de la rue que nous t'offrons, à notre retour, nous terminerons
ta coupe ! " annonça Madame ISABELLE souriante
- " Bye ! " lancèrent Madame Valérie et Madame
ISABELLE en quittant la pièce.
J'entendis le cliquetis de leurs talons
dans le hall d'entrée, puis le claquement de la porte, et le silence.
Je vis les deux coiffeuses passer devant la vitre sur le trottoir, elle
s'arrêtèrent devant la baie vitrée et commencèrent
à faire des commentaires en riant à gorges déployées
..
Puis elles s'éloignèrent, j'entendis une voiture démarrer,
la voiture passa au ralenti devant la Maison, je reconnus Madame Valérie
qui par la fenêtre abaissée me fit un signe de la main.
J'essayais, en me trémoussant,
de faire pivoter le fauteuil, et de tourner le dos à la rue afin
d'éviter d'être reconnu par un voisin ou une voisine, mais
en vain les orties et le seau lesté par les quatre bouteilles d'eau
me rappelèrent à l'ordre et je cessais rapidement mes contorsions
mes couilles meurtries et les fesses en feu, résigné, j'attendais,
entravé, et immobile sous mon peignoir, le retour hypothétique
des deux coiffeuses, le temps me paru interminable, et c'est avec un sentiment
de délivrance que je vis les deux coiffeuses se planter, goguenardes
devant la baie vitrée du salon, leurs rires les précédèrent
dans le hall.
- " alors, cette petite heure
de réflexion à la fenêtre a-t-elle été
profitable ? "
Questionna Madame ISABELLE en saisissant l'anse du seau pour me ramener
au centre du salon par la traction sur mes couilles
- " Oui Madame ISABELLE, vous pouvez me tondre à ras comme
il vous plaira ! " m'empressais-je de répondre
- " c'est fou ce qu'une heure de méditation peut rendre obéissante
une petite salope ! " Remarqua Madame Valérie
Les deux coiffeuses se tenaient chacune à un de mes côtés.
- " bien, ma chère Valérie, puisque nous avons l'aval
de notre petite pute de cliente, nous allons pouvoir reprendre notre tonte
en duo et finir notre
Chef-d'uvre ! " Annonça Madame ISABELLE
Les deux coiffeuses sortirent en même temps d'une des poches de
leurs grands manteaux de cuir noir leurs tondeuses électriques
et les mirent en route, le ronronnement des deux tondeuses autour de mes
oreilles, me faisaient penser à un essaim d'abeilles, les deus
coiffeuses s'affairaient autour de ma tête, faisant remonter rapidement
leurs tondeuses de mes tempes jusqu'au sommet de mon crâne. Sans
se soucier l'une de l'autre, ainsi Madame Valérie me tirait l'oreille
droite pour m'obliger à incliner la tête sur la gauche, alors
que Madame ISABELLE me giflait pour obtenir l'inverse, l'une et l'autre
faisaient expert de donner des coups de pieds dans le seau afin que celui-ci
oscille comme le balancier d'une pendule, et que mes couilles soient un
peu plus martyrisées
Achevant leur ouvrage le deux coiffeuses ponctuait leur tonte de commentaires
- " ne trouves-tu pas que notre tondu à une tête de
bitte ? " Questionna Madame ISABELLE ;
- " Tête de bitte ou tête de nud ? " rétorqua
Madame Valérie en éclatant de rire
Madame ISABELLE souleva légèrement le peignoir dévoilant
mes misérables couilles étranglées et allongées
ainsi que mon sexe pendant lamentablement
- " Assurément, il a une
belle tête de bitte, mais des petite couilles et une minuscules
bittes qui ne doit pas lui servir à grand-chose, si ce n'est à
se masturber ! " commenta Madame Valérie
- " haha ha !! J'espère pour lui qu'il est plus habile avec
sa langue qu'avec sa queue " s'esclaffa Madame ISABELLE
- " tires la langue ! " me commanda Madame Valérie
- " montres nous comment tu remue ta langue quand tu lèches
une moule ! "
Me demanda sèchement Madame ISABELLE
- " ridicule
. Hi hi hi !! " Commenta en explosant de
rire Madame Valérie
- " Cette salope préfère peut-être sucer une
bitte ! " lança-t-elle dans un éclat de rire
" Il suffit d'essayer ! " répliqua madame ISABELLE
Madame ISABELLE fouilla dans sa trousse et en sortit un GOD qu'elle exhiba
devant mon visage
" Pendant que nous te finissons ta tonte, tu va sucer cette grosse
bitte
ouvres ta bouche de salope et suce et surtout ne t'avise pas
de la recracher ou de la laisser tomber " me commanda Madame ISABELLE
;
Elle m'emmancha la god volumineux dans
la bouche, le pressant sur mes lèvres pour m'obliger à le
prendre. Stigmatisé par les menaces de Madame ISABELLE
J'aspirais goulûment le god, de peur qu'il tomba et des représailles
aux quelles je pouvais m'exposer.
Madame Valérie me regardant aspirer le god en plastic lâcha
à l'intention de Madame ISABELLE
- " Tu vois, ISABELLE, cette salope préfère sucer une
bitte, regarde comme elle s'applique !! "
La tonte s'acheva, Madame ISABELLE m'enleva le god de la bouche, et avant
que j'eus le temps de prononcer une parole, elle me gifla d'un aller et
retour en me disant /
- " qu' est-ce que l'on dit ?
"
- " Merci, Madame ISABELLE, Merci, Madame Valérie de m'avoir
tondu, je ne mérite pas autre chose que d'être tondu ! "
répliquais-je sans attendre
- " C'est bien il commence à comprendre les règles,
il deviendrait presque intelligent ! " remarqua Madame Valérie.
Je fus libéré de mes
entraves et du seau, Madame ISABELLE me désigna sa blouse blanche
et me commanda de la mettre, puis elle et Madame Valérie s'installèrent
dans le canapé, je dus leur servir un thé et ranger le désordre
que ma tonte avait occasionné. Ensuite je fus invité à
venir m'agenouiller, mains derrière le dos, cuisses écartées,
devant Madame ISABELLE, qui de la pointe de sa chaussures joua avec mon
sexe à travers le voile de nylon de la blouse, je ne tardais pas
à avoir une belle érection, Madame Valérie prit sa
tasse à thé vide, et la déposa devant moi, puis elle
ouvrit les boutons du bas de ma blouse et je reçu l'ordre de me
masturber et d'éjaculer dans la tasse, puis Madame Isabelle prit
la tasse rempli de sperme et me commanda de tout boire
- " regardes, ISABELLE, non seulement
c'est une suceuse de bittes, mais en plus elle avale le sperme, elle doit
aimer se faire enculer ! " Commenta Madame Valérie en pouffant
de rire.
- " nous le saurons dans quinze
jour pour sa prochaine tonte ! " répliqua Madame ISABELLE.
- " Mardi en quinze, nous t'attendrons à l'adresse que je
t'ais marquée au dos de ma carte, c'est l'adresse du salon de coiffure
de Valérie, tu t'y rendras, nous ferons le rafraîchissement
de ta tonte et nous continuerons ton éducation, je pense que tu
fera une bonne boniche pour nettoyer le salon de Valérie ! "
Madame ISABELLE me laissa sa blouse
en me commandant de la laver et de la repasser pour le prochain rendez-vous
puis les deux coiffeuses prirent congé.
|