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Histoires Des InvitésCyber Punition (Deuxième Partie).Par Ballet Boots
J’entends la voix de Laure très loin... Je l'imagine à l'autre bout de la maison entrain de m'appeler. Sa voix devient de plus en plus autoritaire. J'entre ouvre les yeux lentement. D'un seul coup je me rends compte que je suis dans le canapé du salon, j'essais de bouger mais je me souviens que je suis attaché et que mes mains sont menottées dans mon dos. La voix de Laure est devenue agressive :
Je me souviens rapidement de tout, la webcam, la soirée passée à regarder Laure s'envoyer en l'air... Je me retourne avec difficulté pour la découvrir dans l'écran de mon ordinateur. Elle est assise les jambes écartées sur son amant qui la fait glisser sur lui lentement d'avant en arrière.
Machinalement j'obéis. Je bascule tant bien que mal pour m'assoir au bord du canapé. Les cris de jouissance rythment les mouvements de plus en plus rapides de Laure. L'homme tient fermement ses seins entre ses mains, il la fait basculer contre lui en la serrant très fort. Je comprends qu'il vient de jouir.
En parlant, elle l'embrasse avec frénésie sur tout le corps pour descendre doucement vers son sexe, qu'elle finit par le prendre langoureusement dans sa bouche. Ses yeux sont tournés vers moi, elle me regarde avec un petit sourire tout en le suçant. J'essaie de libérer mes mains mais sans grande conviction car j'ai déjà porté ces menottes et je sais qu’elles sont parfaitement sécurisées. Depuis que je me suis assis, l'envie d'uriner commence à être douloureuse. Je réalise que l'horloge de l'ordinateur indique 10h30. Moi qui étais toujours en demande pour que Laure me fasse des séances de bondage, là je peux dire que je suis servi. Subitement je sursaute, j’entends la serrure de la porte d'entrée s'ouvrir. C'est Sandrine qui doit entrer. Je suis mort de honte, j'essaie de m'assoir correctement, mais ma situation est tellement ridicule que j'abandonne vite l'idée de faire bonne figure. Laure est maintenant couché sur son amant. Ils s'embrassent doucement. Sandrine finit pas entrer dans la pièce. Elle est habillée d'une petite robe courte à fleurs et aux pieds elle porte des escarpins rouges. Dès qu'elle me voit elle se met à pouffer de rire, elle en laisse tomber son sac.
Entre temps Laure qui s'est rendue compte que son amie était arrivée s'est approchée de la webcam
Tout ce dialogue s'est passé comme si je n'étais pas là, comme si j'étais un objet posé dans la pièce
L'image de Laure disparait. Je me retrouve face à Sandrine qui d'un seul coup vient de prendre un air sérieux.
Je me mets à grommeler des sons incompréhensibles dans mon bâillon.
Elle attrape mes jambes pour les détacher rapidement. Puis elle me tire brutalement pour me mettre debout. Je me sens étourdi par la nuit passée allongé et attaché dans le canapé, je manque de perdre l'équilibre. Elle attrape et enfile une paire de gants de vaisselle, puis elle ouvre la fermeture éclair qui se trouve entre mes jambes, libérant ainsi mon sexe ainsi que mes fesses.
Elle me traine jusqu'au toilettes, puis me pose sans ménagement dessus.
Elle referme alors la porte. Je commence directement par uriner, en faisant attention de rester en avant pour ne pas en mettre à coté. Puis je réalise que j'ai intérêt à faire mes besoins rapidement car je risque de ne plus avoir l'occasion pendant un certain temps, ce que je fais instantanément. Je me lève et me retourne avec beaucoup de contorsions pour appuyer sur la chasse d'eau avec mon nez. À l'idée de me retrouver comme ça devant Sandrine je suis pétrifié. Elle me laisse d'ailleurs un bon quart d'heure dans les toilettes à attendre comme ça. Soudain la porte s'ouvre. Elle m'attrape par le bras pour me ramener dans le salon.
Elle a placé une chaise qui normalement se trouve dans la salle à manger, en plein milieu du salon. Elle me colle debout face contre le dossier en bois. Elle attrape une cordelette, s'assoit à califourchon sur la chaise, puis en saisissant mon sexe commence à le ligoter. Elle fait plusieurs tours qui compriment rapidement mes testicules.
Puis en me collant au dossier de la chaise elle fixe la corde sur une traverse du dossier. Je me retrouve rapidement accroché solidement au dossier par mon sexe. Ca me brule terriblement. Je n'arrive pas à me rendre compte si je suis en érection ou si c'est la corde qui fait gonfler mon sexe.
Ses yeux sont devenus tous noirs et dans la posture ou je suis je n'ai pas vraiment de choix, je fais lamentablement oui de la tête. Elle retire mon bâillon, je me sens libéré de cette grosse boule qui envahi ma bouche depuis hier soir. Elle attrape sur la table une boite de haricots blancs en conserve et commence à m'enfourner des cuillérées pleines à ras bord, sans discontinuer. Je suis à la limite de m'étouffer
En quelques minutes j'ai engouffré la boite pleine de haricots froids. Elle attrape une bouteille d'eau qu'elle enfonce dans ma bouche pour me faire boire d'une seule traite tout le contenu. Elle me remet le bâillon avant que je n'ais eu le temps de dire quoi que ce soit.
Elle prend une seconde chaise dont elle colle le dossier contre mon dos. Puis elle fixe chacune de mes chevilles à un pied de la chaise. Avec une autre corde elle attache les deux dossiers ensemble avec moi au milieu. Je me retrouve en sandwich entre les deux chaises incapable de bouger. Elle s'écarte pour mieux apprécier la façon dont elle m'a immobilisé. Elle allume une cigarette tout en continuant à tourner autour de moi avec un petit sourire moqueur en coin. Elle savoure sa vengeance.
Je me rappelais même plus de ça, les choses sont allées tellement vite depuis qu'elle est là, soudainement je me mets à avoir la chair de poule, je me dis que ce que je vis pour elle n'est pas une punition, alors c'est quoi une punition ? Elle s'est rapprochée tout près de mon visage. Nonchalamment elle me souffle la fumée dans la figure, prenant un plaisir particulier à essayer de la faire pénétrer dans mon nez.
Je regarde tout de suite en direction de sa main, mais elle l'a dissimulée derrière son dos. Je me met rapidement à transpirer à grosses gouttes en imaginant un tas de choses horribles, comme des instruments de torture..
Subitement elle me place devant les yeux le dos de sa main, m'empêchant toujours de voir ce qui s'y trouve. Elle prend un plaisir savoureux à faire durer ce moment qu'elle à dû imaginer avec délectation.
D'un seul coup elle retourne sa main. C'est une carte bleue qu'elle tient dedans. Instantanément je me rends compte que c'est la mienne. Je pousse un grognement lamentable. Rapidement je me dis qu'elle n'a pas le code et donc elle ne pourra pas faire grand chose avec.
Je me vide d'un seul coup, si j'étais pas attaché à la chaise je tituberais. Elle vient de me donner mon code secret de carte bleue. Je me mets à gémir, à grogner tout en me secouant dans tous les sens.
Je suis hors de moi, cette salope va me piquer de l'argent. J'essaie en vain de me libérer, mais mon sexe fixé au barreau de la chaise me fait horriblement mal dès que je bouge. Agacée par mes gesticulation elle me balance une paire de claque qui m'abasourdi. Pus elle pose la semelle de son escarpin sur mon sexe déjà bien maltraité, doucement elle se met à l'écraser.
Je n'ai pas le choix, malgré la douleur j'arrête mes vociférations. Je suis essoufflé, en sueur, je dois être écarlate. Elle laisse son pied sur mon sexe comme une menace, mais relâche un peu la pression.
Je suis anéanti. Elle est revenue se placer tout près de mon visage. Son filtre de cigarette est marqué de l'empreinte de ses lèvres, rouge vif. Elle continue à me souffler la fumée dans les narines. Je sens son haleine douce mélangée à l'odeur du tabac.
J'avais momentanément oublié que je n'étais pas au bout de mes peines
L'idée qu'une créature féminine vienne s'occuper de moi me semble plutôt excitante. Je commence à apprécier ses idées de punitions. Elle sent dans mon regard une certaine curiosité.
Tout en me parlant, elle à approché ses lèvres de mes yeux. Sa langue se promène sensuellement entre chaque phrase autour de sa bouche.
Je me dis que je suis bien innocent d'avoir pensé un seul instant qu'elle ferait quelque chose qui m'apporte du plaisir.
Je dois avoir les yeux qui sortent des orbites, car elle se met à rire comme une folle. Un mec va venir s'occuper de moi... J'ai l'impression de rêver et que d'un seul coup je vais me réveiller.
J'ai les jambes qui flageolent, je me sens tout mou. J’ai envie de m'échapper très loin, de fuir. Si j'avais pas tenté de sortir avec Sandrine rien de tout cela ne serait arrivé. Je serais tranquillement avec Laure en train de préparer le déjeuner et de lui faire quelques baisers.....
De loin j’aperçois mon image dans une fenêtre de l'ordinateur. J'ai l'impression que ce n'est pas moi, pourtant je dois me rendre à l'évidence je suis bien prisonnier en plein milieu de mon salon. Sandrine s'approche de moi. En m'embrassant sur mon bâillon elle me dit.
Elle disparait. J’entends la porte d'entrée se refermer. Il doit être à peu prés 11h30, je réalise que je vais devoir rester comme ça, toute l'après-midi. Je ne pense qu'à une chose, au moment où je vais revoir Laure et lui administrer une correction comme elle n'imaginer même pas. Le temps passe, mon regard se brouille. Je lutte contre toutes les douleurs qui m'envahissent. Je n'ai plus notion du temps, j'ai l'impression d'être là depuis des heures......J'entends au loin les bruits de la rue, comme si un autre monde existait. Je ferme les yeux et je me mets à rêver d'une plage de sable fin avec le bruit du ressac et la chaleur du soleil sur ma peau.....
À suivre..... |
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