Tout en prenant un verre, je parcoure
des yeux les gens attablés. Je repère de suite une fille
superbe avec de beaux cheveux sombres mi-longs.
Attirée par une chanson en diablée,
elle s'avance vers la piste et se met à se déhancher. Cela
me donne l'occasion de découvrir sa tenue. Chaussures et pantalon
noirs type militaire et un corsage en peau tenu par un ruban noué
dans le dos laissé nu par ce vêtement. Un moment plus tard,
la musique se fait plus lascive et la voici qui entame une danse sensuelle
au possible. L'ayant rejointe sur la piste, un slow me donne l'occasion
de l'aborder.
Après avoir passé le
reste de la soirée ensemble, je lui propose de la raccompagner.
Arrivés chez elle, elle m'invite à prendre un dernier verre.
En entrant, elle allume une série de bougies et un petit spot qui
donne sur un tapis blanc à longs poils placé au centre du
salon. La pièce est plongée dans une ambiance très
particulière, lumière douce et mouvante des bougies, rond
plus violemment éclairé sur le tapi. Ce dernier m'intrique
un peu mais je l'oublie très vite quand elle me rejoint sur le
divan.
Nous buvons un verre tout en discutant.
On commence à s'embrasser et à se caresser. Elle pose une
de mes mains sur le ruban tenant son corsage. Je défais le nud
et libère sa poitrine.
Quelques baisers fougueux plus tard,
elle me prend par la main et m'entraîne sur le tapis blanc. Là,
sans prévenir, elle passe la main entre les deux pans de ma chemise
et tire violemment, arrachant les boutons et déchirant le tissu.
Elle me débarrasse des restes de ma chemise puis me pousse en arrière,
me forçant à me coucher sur le dos sur le tapis. Elle vient
se placer au-dessus de ma tête, une jambe de chaque côté
toujours en pantalon et chaussures de combat. Elle se penche en avant,
détache la ceinture de mon pantalon et enlève celle-ci.
Elle s'agenouille ensuite à mes pieds et les dénude. Toujours
avec beaucoup de sensualité, elle me retire cette fois mon pantalon
et découvre le string qui emprisonne encore mon sexe tendu :
- Ooooh ! Mais voilà qui me
plait beaucoup
.
Elle se redresse et m'ordonne de me
retourner, profitant ainsi de la vue sur mes fesses fendues par le string.
Elle s'empare alors de ma ceinture et se met à me fouetter les
fesses avec celle-ci. Les coups tombent irrégulièrement
pour m'éviter de m'y habituer trop facilement. Mes fesses rougissent
et je finis par pousser de longs soupirs. Elle s'arrête de me frapper
et me pousse avec son pied toujours chaussé pour me retourner à
nouveau sur le dos.
Avec le pied toujours, elle me retire
mon dernier rempart, libérant enfin mon sexe. Cette fois, c'est
à l'assaut de mon sexe que se rue sa chaussure. Je sens la semelle
qui frotte sur mon sexe et mon excitation monte de plus en plus. Quand
elle se rend compte que je suis sur le point de jouir, elle s'arrête
et ôte ses chaussures et son pantalon.
Elle n'est plus parée que d'un
superbe mini string transparent qui met en valeur son minou intégralement
lisse et ses fesses délicieusement rondes comme je les aime et
bien fermes. Elle se place à nouveau au-dessus de moi, un pied
de chaque côté de mes hanches. Elle m'ordonne :
- Je veux que tu m'arraches mon string,
que tu le réduises en lambeaux.
Je me redresse, approche ma bouche
de son sexe et saisis le string entre mes dents. Je tire alors le déchirant
en partie. Je passe ma langue par l'ouverture ainsi créée
et commence à titiller son sexe. N'y tenant plus, mes mains remontent
le long de ses jambes et lacère le reste du string.
- Caresse moi, baise moi. Je veux que
tes mains, tes yeux, ta langue parcourent l'entièreté de
mon corps. Pénètre moi de partout. Couvre moi de sperme.
Nos corps se rejoignent alors sur le
tapis, baignés par la douce lumière des bougies et le faisceau
plus violent du spot qui tombe sur nos sexes.
Nous explorons alors follement nos
corps, ne sachant plus quelle langue, quelles mains
appartiennent
à qui.
Après avoir revisité
le Kamasoutra, elle me couche à nouveau sur le dos et s'empale
doucement sur mon sexe tendu. Elle se cambre en arrière et s'empare
d'une grosse bougie.
Tout en restant cambrée, elle
se met alors à bouger lentement le bassin tout en faisant couler
la bougie tantôt sur son corps, tantôt sur le mien. Au bout
de quelques instants, nos deux cris de jouissance brisent le doux murmure
de nos soupirs.
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