Pour naviger sur le site en utilisant le glossaire BDSM
Pour naviguer sur le site en utilisant le glossaire technique
 
Page d'accueil
À propos de nous
Articles BDSM
Editoriaux BDSM
Notre groupe de discussion sur Yahoo
Histoires BDSM
Galerie BDSM et divers
Humour BDSM
Liens BDSM
Sondages BDSM
Évènements BDSM
Annonces personelles BDSM
Pour nous écrires
 
To navigate the site in English
 

 

 

Histoires Des Invitées

Drôle De Piège

Par Dominique Dono

Peu avant 17 heures, le carillon retentit signant l'entrée d'un client. L'après-midi avait été calme et Martine, restée seule au magasin, commençait à désespérer de voir âme qui vive. La jolie brunette de 26 ans commençait à avoir de la pratique dans ce métier mais ces journées particulièrement mornes demeuraient pénibles.D'une démarche légère elle se pressa vers l'entrée, ses talons aiguilles cliquetant sur le sol de la salle d'exposition. La fine jupe satinée qui lui arrivait sous les genoux ondulait sensuellement au fil de ses pas. Elle avait combiné la dominante marron clair de cette jupe ornée de petits motifs foncés avec la sobriété de couleur de son top blanc à courtes manches et bouffantes. Les formes féminines de la jeune femme étaient accentuées par le caractère moulant de sa tenue. Elle portait de petits souliers noirs à fines sangles et à talons aiguilles qui laissaient voir ses orteils.Un large sourire aux lèvres, elle découvrit avec surprise que le nouveau venu était un clown !Un long manteau rouge vif, un gros nez rouge, un énorme nœud papillon jaune et des souliers gigantesques et une étonnante perruque rousse ébouriffée surmontée d'un tout petit chapeau constituent une tenue plutôt rare dans le magasin. Il souriait largement... enfin, c'est difficile à dire car son maquillage lui fait afficher un éternel sourire.- Bonjour. Vous avez de la chance, c'est juste la limite. J'allais fermer.- Ooooooh... vous êtes toute seule aloooooors ?- Oui et vous êtes même mon premier client de l'après-midi...- Quel dommaaaaaaage... Les courtes boucles châtain de Martine lui arrivaient dans la nuque et encadraient agréablement son joli minois. Sa coiffure faussement désorganisée lui donnait un air à la fois mutin et sexy. Ses grands yeux marrons luisaient et, rayonnante, elle souriait largement au clown.Il tourna la clé dans la serrure et retourna le panneau indiquant que le magasin est fermé. Puis il emmena Martine vers le comptoir en parlant.- C'est honteux de laisser une si joliiiiiiiie jeune femme toute seule alors qu'il y a taaaant de choses à faire...- Hi, hi, hi... c'est bien vrai.Il avait passé le bras autour de la taille de la jeune femme en marchant.Arrivé près du comptoir, il devint soudainement extrêmement sérieux et fit brusquement pivoter Martine vers lui plongeant son regard dans les jolis yeux verts de la jeune femme stupéfaite.- Vous avez trouvé une petite valise, un attaché case... donnez-le moi.- Mais... je... mais non...Le clown lui asséna subitement une gifle retentissante qui étourdit la jeune femme, la faisant chanceler un instant.- Je recommence, jolie demoiselle. Ce midi, dans le petit parc, vous avez ramassé un attaché case noir dissimulé derrière un banc.- Oui ! ... oui... mais je ne l'ai plus. Répondit Martine en se frottant la joue.Le clown fit mine de lui donner une seconde gifle.- Où est-il alors ?- Je... je... j'étais avec Anne, une amie. C'est elle qui l'a pris. Je ne l'ai pas.Le geste du clown resta en suspens pendant les quelques secondes de sa réflexion.- Fort bien... nous allons l'appeler alors... dit-il en plongeant la main dans la poche de son manteau. Mais nous avons d'abord quelques agréables précautions à prendre avec la gentille demoiselle... ajouta-t-il en posant plusieurs cordes soigneusement roulées sur le comptoir.* * *Je m'apprêtais à sortir. J'avais pris mon sac et contrôlais ma tenue une dernière fois d'un regard dans le miroir. Aujourd'hui je suis toute en cuir ! Ce n'est pas la norme, mais j'affectionne ces tenues moulantes. J'ai souri en me voyant en mini short de cuir fin et avec mes cuissardes a talons aiguilles. Ce short noir est du genre hotpant ultra moulant et les bottes sont assorties. Mon bustier de cuir fin, fixé par de fines bretelles, est lacé sur le devant et montre clairement que je ne porte pas de soutien.J'avais déjà ouvert la porte quand le téléphone s'est mis à sonner. Je trotte vers l'appareil.- Allo.- Anne, c'est Martine.- Ah, Martine, ça va... depuis ce midi ?- Tu as toujours l'attaché case que nous avons trouvé dans le parc ?- Oui, il est là... mais il est fermé à clé et il y a une combinaison... je n'ai pas pu l'ouvrir.- J'en ai besoin. Apporte-le moi vite. Je suis au magasin.- Mais... j'allais sortir.- Passe par le garage... Je t'attends...- Allo... allo... La communication a été coupée.Je dépose le combiné en regardant d'un air pensif l'attaché case posé sur la table basse du salon.* * *Dans la demi obscurité du magasin, le clown avait coupé la communication et raccrochait le combiné qu'il avait tenu pour Martine durant la conversation.- Vous avez été trèèèèèès bien, mademoiselle. Une graaaaande actrice ! Plaisanta le clown en enfonçant résolument dans la bouche de Martine une grosse balle de latex soigneusement roulée dans un foulard.- ... Mmmmh... ...Suffoquée, la jeune femme roulait des yeux affolés pendant que le clown achevait de la bâillonner solidement. Le fin tissu extrêmement tendu du foulard lui entrait dans les joues et forçait la balle à rester profondément enfoncée dans la bouche de la jeune femme. Le clown termina sèchement un solide nœud très serré derrière sa nuque et conclut.- Et voilààààà... nous allons attendre très saaaaagement la douce Anne.- Mhmmh...- Ouiiii... et on lui fera une jolie surpriiiiiise pour la récompenser.Et le clown s'est éloigné.* * *Martine avait réellement l'air pressée. Mais après tout, le détour n'est pas très grand et je pourrais lui apporter la mallette sans perdre plus d'un quart d'heure.J'ai donc empoigné l'intrigant objet et me suis mise en route. C'est tout de même lourd pour un objet de si petite dimension, et je me demande ce qu'il peut bien contenir. Pourtant quand on le secoue rien n'ai l'air de bouger dedans.Arrivée devant le magasin, je constate que l'écriteau est mis et que la porte est fermée. J'ai fait une visière de mes mains en me collant à la vitre pour tenter de voir à l'intérieur, mais dans la demi-obscurité rien n'était discernable.J'ai donc fait le tour et ai trouvé le volet métallique du garage légèrement relevé. Ah oui, en effet, Martine avait demandé de passer par là.Une fois entrée, je me suis trouvée plongée dans la pénombre du garage. La porte donnant sur le magasin se trouve à l'autre bout mais un temps est nécessaire à l'adaptation de ma vue. La porte poussiéreuse cède en grinçant et j'avance dans un étroit couloir sombre.- Martine ?Je continue d'avancer vers le magasin et vois un accès moins sombre.- Ouh ouh ! Martine, je suis là !Je constate que je suis entrée par un accès donnant derrière le comptoir. Je pose l'attaché case dessus et parcours la pièce du regard.Mon regard se pose sur une silhouette apparemment féminine assise sur un ottomane quelques mètres plus loin, dans un espace dégagé de la salle d'exposition.- Martine ?Dans le silence, il me semble avoir vu remuer la tête de la silhouette immobile. J'avance donc vers elle, faisant attention où je pose les pieds, obligée de faire des détours dans ce dédale d'objets.Il me semble entendre comme de légers grognements étouffés.Je suis à proche de la silhouette quand un individu se dresse un peu plus loin. Je n'avais pas remarqué sa présence dans l'ombre.- Approchez donc, mademoiselle.Je constate avec soulagement qu'il s'agit d'un clown et je souris largement.- Oh ! Bonjour monsieur le clown ! Ris-je.- Bonjouuuur jolie mademoiselle.De plus près les formes se précisent et je constate que c'est bien Martine qui est assise immobile sur l'ottomane. Elle se tient étrangement immobile, penchée en avant et les jambes serrées.Le clown s'approche de Martine et s'arrête à côté d'elle, me faisant face.- Votre amie est vraiment charmante, et c'est aussi la douceur même, mais elle ne vous répondra pas... bien malgré elle. Voyez plutôt.A ma stupéfaction, il se penche en tendant le bras et applique franchement la main sur un sein généreux de la jeune femme assise sans qu'elle ne bouge. Tout au plus a-t-elle très légèrement tressauté et ais-je cru entendre un léger gloussement étouffé.- ... gh... ...Il se redresse en riant.- Surpriiiise ! Eeeeh oui, elle est joliment ligotée et bâillonnée. Et ça lui va très bien... n'est-ce pas ? Oui, évidemment j'ai du y aller assez rudement pour qu'elle ne puisse plus bouger. C'est que je tiens à ma tranquillité. Vous avez apporté l'attaché case ? Et vous l'avez posé sur le comptoir m'a-t-il semblé ?- Oui.- Et de plus, vous êtes gentiment venue seule, comme une grande fille très obéissante...- Oui.Ce n'est que maintenant que je découvre à quel point Martine a été sévèrement ligotée et bâillonnée par le clown. Ses jambes sont à l'évidence très rigoureusement attachées par de solides liens impitoyablement serrés. Je vois les nombreux tours de corde uniformément serrés sur ses chevilles formant une bande blanche de quinze centimètres de large. Ses coudes ont été attachés très rapprochés à en juger par la manière dont ses bras sont tirés en arrière et de plus, il lui a solidement attaché les poignets à la taille.Le clown situé derrière Martine se penche contre elle en passant les bras de part et d'autre du buste étroitement ligoté de la jeune femme et saisit à pleines mains les seins offerts. Il se met à les malaxer ostensiblement en me regardant sans que la jeune femme ne parvienne à bouger. C'est à peine si j'ai pu noter son raidissement.- Elle a des formes très généreuses... une vraie femme objet ! Mais si vous ne faites pas rigoureusement ce que je dis, je crains fort que votre douce amie ne passe un sale quart d'heure...- Laissez-la...Mais le clown pose la tête sur l'épaule de Martine et l'embrasse dans le cou sans cesser de la peloter odieusement.A la manière dont elle se tient, je devine aisément que ses genoux sont certainement attachés très étroitement sous sa fine jupe satinée, et je constate qu'un lien tendu entre son cou et ses genoux la force à se tenir penchée. Ses chevilles sont littéralement collées à l'ottomane par un lien les tirant rigoureusement en arrière. Passé sous le meuble, le lien est attaché par l'arrière aux épaules de la jeune femme, lui interdisant de se pencher davantage.Le foulard qui la bâillonne est terriblement serré entre ses lèvres, maintenant profondément enfoncé dans sa bouche un épais bourrage qui l'emplit manifestement complètement.La malheureuse, parfaitement muselée, ne peut pas remuer les jambes ou lever les pieds du sol, ni se pencher, ni se redresser. Son ligotage est vraiment très rigoureux.Les légers gloussements de Martine me parviennent en même temps que je la vois secouer la tête sous les attouchements incessants du clown.Le clown se redresse enfin en lâchant les seins de Martine et me tire de mes réflexions.- Approchez donc, mademoiselle. Oooh ! Quelle bonne surprise, je vois que vous appréciez le cuir. Et vous avez raison, c'est très joli !- Gna, gna, gna ! Fis-je, défiante.- Approchez donc, nous allons joindre l'utile à l'agréable.Inquiète, j'avance lentement vers le clown.- Oh ooh ! Très impressionnant ! Commenta-t-il en me regardant de plus près. J'adore cela !Je suis en tenue sexy de cuir, perchée sur les talons aiguilles de mes cuissardes. Je me tiens droite, debout face au clown. Mais que puis-je faire ? Si je fuis, que va-t-il faire à Martine ? Et de plus, si je cours avec ces talons, il risque d'être plus rapide que moi.Il a sorti une corde de sa poche et me fait tendre les mains en avant pour aussitôt entreprendre de m'attacher solidement les poignets et, après l'avoir sécurisé, il continue en m'attachant les avants-bras jointifs juste au-dessous des coudes.- J'ai cru voir que vous appréciez la manière dont je me suis occupé de votre amie à la si douce poitrine. Alors je vais faire quelque chose de spécial pour vous. Vous serez contente.- C'est bizarre d'être ligotée avec les mains devant...- Oooh... mais alors vous avez l'habitude d'être ligotée tout court ? Je suppose que votre petit copain fait cela parfaitement bien... Asseyez-vous, vous allez pouvoir comparer.Me sentant idiote de m'être trahie de la sorte, je m'exécute en silence et il m'attache alors minutieusement les chevilles, puis les cuisses au-dessus des genoux, avec des liens étroitement serrés sur mes cuissardes. Il me prend alors les poignets et me pousse vers l'avant de manière à les attacher directement à mes chevilles. Cela fait, mes bras sont attachés aux jambes avec un nouveau lien tourné autour de mes avants-bras et sous mes genoux. Mes seins sont compressés par mes cuisses.Cette fois, mes avants-bras sont bel et bien collés à mes tibias et il m'est rigoureusement impossible de remuer un tant soit peu !Bon sang, je dois rester pliée vers l'avant et ces deux liens m'immobilisent réellement très bien !Je note qu'il serre rigoureusement chaque lien avec une grande efficacité.- J'ai gardé le meilleur pour la fin. La jolie demoiselle ouvre bien grande sa charmante bouche.Je m'exécute et une énorme balle à la fois molle et ferme, étroitement roulée dans un foulard qu'il tenait prêt à l'emploi m'est aussitôt profondément enfoncée dans la bouche. Il commente la situation tout en me bâillonnant soigneusement.- Je suis un petit verni ! J'ai déjà pris mon pied en m'occupant de votre charmante amie, mais je n'aurais jamais imaginé être forcé de ligoter deux nanas roulées comme vous le même jour ! Dont une toute en cuir et presque nue qui plus est !!!Il serre ensuite vigoureusement le foulard autour de ma tête. C'est de plus en plus serré à chaque tour et je sens avec épouvante l'énorme balle s'enfoncer irrésistiblement davantage et emplit la totalité de ma bouche comme pour m'étouffer. Il termine enfin la fixation de mon bâillon d'un nœud extrêmement serré derrière ma nuque.Avec un tissu aussi fin il n'y a aucune chance que le nœud puisse se défaire. De plus la balle est si bien enfoncée qu'il m'est rigoureusement impossible de la recracher. Je souffle en poussant la tête en avant.- mmh !!Je teste le bâillon. Pas de doute, il m'a proprement réduite au silence. Le bâillon est à la fois extrêmement serré et redoutablement efficace. Je lève vers lui des yeux surpris en soufflant une nouvelle fois.- ghh... … mh !!!- On dirait que voilà notre belle blonde réduite à l'impuissance...Le clown ne prend par les épaules et me fait basculer sur le flanc. Je glousse en écarquillant les yeux quand je sens une main impudique se poser sur ma poitrine et commencer à me palper très grossièrement un sein, puis les fesses.- mmh !!! ... ... mmh !!! ... …- … et au silence aussi. C'est bien mieux comme cela.Je sursaute en grognant faiblement mais il continue de me peloter minutieusement pendant une bonne minute qui me semble une éternité.- C'est juste pour être certain du résultat. Je pense que vous serez aussi silencieuse que votre amie. Bien, je dois vérifier le colis à présent que je suis sûr que vous ne me fausserez pas compagnie. C'est que cela a de la valeur.Il s'éloigne vers le comptoir tandis que je me tortille sur le sol. J'agite la tête, mais il apparaît rapidement que je ne peux atteindre aucun nœud et que les liens ne jouent pas du tout tant je suis efficacement ligotée. Le cuir de mes bottes crisse à chacune de mes tentatives pour remuer. Je m'escrime infructueusement contre mes liens et je redouble d'efforts dans l'espoir d'atteindre un nœud.Le clown revient auprès de nous et pose la mallette sur la petite table avant de l'ouvrir sans prêter la moindre attention à mes vaines tentatives pour me tortiller sur le sol à ses pieds. Après une seconde d'hésitation, il en sort quelques écrins. Sans quitter la mallette des yeux, il lance :- Voyons mademoiselle, ce n'est la peine de vous tortiller comme cela... Les nœuds sont très solides, vous pouvez me croire.- mh... mhm !!!Il ouvre un écrin et en sort un splendide collier ! Après avoir terminé paisiblement son inventaire et tout remis en place, il baisse les yeux vers moi, toujours dans l'exacte position où il m'a laissée.- Fort bien, il n'avait pas été ouvert et tout est intact. Oublions donc cette histoire, ce n'était qu'un simple malentendu.- Mmh... ... mh... !! ...- Allons mesdemoiselles, je vous ai assez dérangées. Je vais donc prendre congé.- Mmmh... ... ... ... mmh !!- Mais voyons où vous en êtes avec ces jolies cordes... Vous ne parvenez pas à vous libérer ?Il s'approche de moi et se penche pour vérifier mes liens et mon bâillon. Satisfait, il inspecte le ligotage de Martine et lui caresse à nouveau les seins avant de conclure.- Absolument parfait ! Rien n'a bougé... tous mes nœuds tiennent et les cordes restent exactement à leur place. Et bien mesdemoiselles, je serais très surpris si vous vous libériez avant l'ouverture du magasin, demain matin.- Mmh... mh... !!! ... mh...- Et vous, la demoiselle en cuir, avec ce petit short et vos bottes cuissardes, ça a été un vrai régal de vous ligoter.Il ouvre mon sac à main.- Voyons cela, j'avoue que vous m'intriguez... Ah voilà...Il a ouvert mon portefeuille et regarde mes papiers. Je le vois noter quelque chose.- Anne. C'est un joli prénom. Oh... je vois que vous n'habitez pas tellement loin d'ici ! C'est juste à côté du terminus du métro si je ne me trompe. J'ai un copain dont le passe-temps favori est le ligotage sportif et silencieux de charmantes jeunes femmes quand elles sont seules chez elles. Chacun son truc, pas vrai ? Bon il est un peu brutal mais très efficace... et il manque d'exercice... Je vais lui donner cette adresse. Ne soyez pas étonnée d'avoir de la visite un de ces soir.Il s'éloigne paisiblement vers la sortie, l'attaché case à la main.- Passez une bonne soirée mesdemoiselles, et bonne chance pour vous détacher. Ah, ah, ah !!

Le copain du clown

Message par anne " Mer 5 Déc 2012 10:36

Le clown nous avait abandonnées ainsi et malgré nos efforts, nous étions restées ligotées et bâillonnées de longues heures sans parvenir à bouger avant d'être libérées par un policier qui patrouillait dans le coin. Il nous a appris que c'était le clown qui l'avait averti !La vidéo de surveillance du magasin est d'une excellente qualité. Son visionnage montre parfaitement l'arrivée du clown, chaque étape du ligotage de Martine, son attente, puis ma propre arrivée et enfin mon ligotage sous les yeux de Martine. On y voit l'implacable minutie du clown nous ficelant strictement l'une après l'autre jusqu'à notre complète immobilisation, ainsi que la sévérité particulière qu'il a ensuite apportée à nous bâillonner rigoureusement. Les policiers ont apprécié la séance de visionnage du film au point de repasser plusieurs fois certaines séquences, mais aucun indice significatif n'est ressorti de son analyse.Il m'a semblé entendre l'un des policiers dire à son chef en partant qu'il était volontaire aux cas où une reconstitution s'avérerait nécessaire.Martine avait été toute émoustillée d'avoir été aussi solidement attachée par le clown. Elle n'avait jamais été bâillonnée non plus et il faut reconnaître que le clown l'avait vraiment parfaitement muselée. Mais le fait de s'être trouvée aussi complètement impuissante et qu'il se soit permis de la peloter aussi tranquillement que si elle avait été un vulgaire objet l'avait excitée au plus haut point. Elle m'en avait parlé plus d'une heure ensuite, l'œil brillant.Vendredi. Les jours sont passés et l'histoire du clown me semble déjà lointaine. Il est passé vingt-trois heures et je suis fatiguée. Je me suis couchée sans attendre le retour de mon copain. J'aurais pourtant aimé l'aguicher avec ma nuisette neuve. C'est un modèle très court et légèrement transparent de couleur rouge. Elle est uniquement fermée par un lien très fin noué juste entre mes seins. Elle est assortie au petit string que je porte dessous.Dans un demi-sommeil, j'entends les bruits de la rue. Je me retourne et tire le drap sur moi.J'ouvre les yeux. Combien de temps est-il passé ? Il me semble que je ne suis pas seule dans la chambre. J'ouvre les yeux et fouille l'obscurité. Soudain, je prends conscience d'une silhouette sombre penchée sur moi. J'entends une voix d'homme, grave et sourde.- Bonsoir jolie mademoiselle.Stupéfaite, je me redresse en sursaut et ouvre la bouche pour hurler. Mais devançant mon cri, une grosse balle y est immédiatement enfoncée par une main gantée. Je suis brutalement plaquée sur le lit tandis que l'homme continue de parler tout bas de sa voix de baryton.- Holà, tout doux... Je sais que vous êtes une bavarde, mais ceci devrait vous ramener au calme.Affolée, je me demande qui est ce type et comment il est entré chez moi. Je comprends brusquement que c'est le copain du clown ! Il m'a trouvée ! Mais pourquoi ?Me tortillant, je finis par avoir la vision fugitive de mon agresseur dans l'obscurité de la chambre. C'est un homme de grande taille, très musclé et habillé tout de noir. Il porte une cagoule de cuir noir, des gants noirs et un fin pull collant.Il repousse le drap et me retourne sur le ventre comme un fétu. Il saisit mes poignets et les maintient solidement derrière mon dos.- Regardez les jolies cordes que j'ai apportées pour vous !Il m'attache rapidement les poignets. Immédiatement après je sens qu'il utilise une sorte de foulard pour achever de me bâillonner. Il passe plusieurs fois sur ma bouche en l'y enfonçant le plus profondément possible. Après quelques tours, ma bouche emplie de la balle est maintenue grande ouverte par le foulard qui la scelle complètement. Suffoquée, je tente de hurler mais ne peux produire qu'un dérisoire couinement !- h... h... ... h !!!Je me débats comme une furie et tente de le frapper avec mes pieds, mais il place sa jambe sur mes genoux de manière à m'immobiliser pendant qu'il achève de me bâillonner solidement.- Ce que vous pouvez être nerveuse ! Voyons mademoiselle, un peu de calme, je n'ai pas encore terminé...Je gémis. Dieu que c'est serré !Cela fait, il tend le bras et allume la lampe de chevet. - Oh oooh ! Mais c'est vrai que vous êtes rudement jolie ! Allons mademoiselle, faites moi donc voir votre souplesse…Il change de position et je sens mes coudes se rapprocher. Il les attache tellement étroitement que mes bras me paraissent ne plus en former qu'un seul. Ouch, il n'y va pas de main morte ! Quelle brute ! Je pousse un couinement étouffé dans mon bâillon, mais l'homme continue imperturbablement de me ligoter en commentant la scène pour lui-même.- C'est une bonne adresse qu'on m'a donnée là ! Celle-ci est vraiment merveilleuse !Après avoir tourné plusieurs fois la corde autour de mes coudes, je le sens passer le lien sous mon épaule, contourner mon cou et le faufiler sous l'autre épaule. Il tire fortement dessus et semble le nouer à mes coudes.Sans perdre de temps, il saisit alors mes chevilles et les attache rigoureusement. C'est très serré et je gémis encore. Mais cela ne l'attendrit pas pour un sou car il se met aussitôt à lier mes genoux ensemble. Je le sens passer le lien entre mes jambes et cela serre le lien encore d'avantage. Il revient à mes chevilles et consolide leur lien de manière identique.Il se redresse. Je suis toujours sur le ventre, à moitié étouffée par l'impitoyable bâillon qui m'emplit la bouche. Je peux à peine remuer, mais j'arrive encore à bouger les pieds et à me tortiller faiblement.- Il faut admettre que vous êtes très agréable à attacher ! C'est un peu trop facile, mais bon...Il me retourne et me saisit par les épaules. Il m'assied sur le bord du lit, les pieds nus sur le parquet. Il rit en m'analysant du regard.- Fameux morceau ! Il ne suffisait pas qu'elle soit bien roulée mais il fallait aussi qu'elle soit pratiquement nue !Je tire sur mes liens en soufflant de mon mieux dans le bâillon tandis qu'il forme un numéro sur le portable sorti de sa poche. Je l'entends s'adresser à quelqu'un que je devine être le clown.- Et bien mon vieux, tu avais raison, elle était seule et c'est vraiment une super nana ! Elle est splendide et très souple... oui, elle dormait et je dois te dire qu'elle est dans une tenue très érotique, la demoiselle... Oui, je suis chez elle... et elle est sur son lit... écoute-ça !Sa main passe sous mon sein droit et le soupèse calmement ce qui m'arrache un miaulement étouffé. Il flatte le téton à travers le léger tissu de ma nuisette. Je me secoue furieusement en poussant une succession de grognements. Il s'esclaffe devant la futilité de mes efforts.- Heureusement que bâillonnée comme elle l'est, elle ne risque pas d'alerter les voisins... c'est que les gens honnêtes dorment à cette heure !Il s'assied à côté de moi sur le lit, et passe le bras autour de mes épaules tout en continuant de parler. Je sens sa main se poser à nouveau sur mon sein ! J'écarquille les yeux en soufflant mais mon bâillon est bien trop profondément enfoncé dans ma bouche et je ne parviens à produire que de vagues grognements parfaitement étouffés.- C'est toujours amusant, le moment où la fille voit à quel point elle est bien bâillonnée... Tu verrais ses yeux ! Elle ne peut plus produire un son intelligible... je sens que je vais passer un sacré bon moment avec cette beauté blonde... elle est roulée comme pas possible et avec des seins véritablement splendides ! ... oui, je la laisserai sur son lit après... et elle se débrouillera ! Ha, ha, ha !!!... ... Allez, encore merci pour l'adresse... Bonne soirée !Il coupe la communication et range son portable d'un air satisfait avant de tourner la tête vers moi.- Il me dit qu'avec vous je ne dois pas avoir peur de serrer les cordes car vous adorez être attachée très étroitement, voire même avec brutalité. Ca tombe bien, j'adore ça aussi, et cela fait justement longtemps que je n'ai pas ligoté une nana vraiment aussi solidement que je voudrais... vous allez donc être servie, ma jolie !Il se lève et je le vois se tourner vers moi en sortant doucement une corde de sa poche.Il a alors pris tout son temps pour serrer très méthodiquement les liens et m'a mise dans un balltie vraiment ultra strict, avec les chevilles collées au cuisses et les seins écrasés sur les genoux. De plus il a passé une corde autour de mon corps et de mes jambes et j'ai fini par me retrouver ficelée aussi étroitement qu'un vulgaire colis. Poussant de petits gloussements stupéfaits, je me suis trouvée couchée sur le flanc, enfoncée dans mon lit défait, ligotée tellement étroitement qu'il m'était rigoureusement impossible de remuer d'un pouce !Pour terminer, il a attaché mes cheveux en une queue de cheval et a tiré dessus pour me forcer à ramener la tête largement en arrière dans un gloussement effrayé. Il a ensuite solidement attaché ma chevelure au ligotage de mes coudes, me forçant à tenir cette position.- Aaaah, voilà ce que j'appelle une nana bien ligotée ! Quoi que je puisse vous faire, vous ne parviendrez absolument pas à bouger et avec la tête en arrière, on ne vous entendra certainement pas du tout...- mmh !!!... mmh...- Je vais tout de même aller jeter un coup d'œil dans l'appartement, par acquit de conscience. Soyez sage en attendant mon retour.Il me donne une claque sur la fesse et quitte la chambre.Je donne de furieuses secousses dans mes liens mais sans parvenir à remuer d'un millimètre. Je vois mon téléphone posé sur la table de nuit, à un mètre de moi ! Mais malgré tous mes efforts, il m'est rigoureusement impossible de bouger du milieu de mon lit défait.L'homme revient dans la chambre au bout de quelques minutes et me voit allongée sur le flanc, cambrée, les seins tendus et généreusement exposée par ma la position dans laquelle il m'a ligotée. - Oh là là ! Quel joli spectacle ! Quelle splendide femelle ! Il n'avait décidément pas menti ! Vous êtes terriblement érotique. Les seins, les fesses, les cuisses... tout chez vous invite à la caresse !- h !!!... ... h... ... !!!- Et bien puisque vous avez du temps libre, nous allons nous amuser un peu... Vous m'offrez un spectacle tellement provocant ligotée comme cela que vous ne m'en voudrez pas si je ne peux pas résister...Il vient s'asseoir à côté de moi, sur le lit et me regarde un moment. Impuissante, je grogne faiblement dans mon bâillon et m'agite vainement en le voyant tendre le bras et glisser la main contre ma poitrine puis dénouer doucement le petit lacet fermant ma nuisette, situé entre mes seins. Sans pouvoir seulement esquisser le moindre geste, je vois le léger vêtement s'ouvrir subitement, exposant complètement mes seins nus aux yeux avides du garçon.- Ooooh ! Quelle merveille ! Ils sont vraiment parfaits !- ... h... ... h... !!!- Vous permettez ?Il tend la main et recommence à me peloter tout à son aise. Et de fait, je suis une nouvelle fois forcée de constater l'invraisemblable efficacité avec laquelle je suis ficelée. Exposée presque nue au milieu de mon lit, je me trouve ligotée tellement étroitement que, bien que je sois totalement en furie et que je redouble d'efforts hystériques en essayant furieusement de hurler dans mon bâillon, je reste complètement immobile et parfaitement silencieuse malgré les caresses de plus en plus intimes de mon agresseur.Me tenant un sein d'une main, il a glissé les doigts entre mes cuisses et s'est mis à me caresser l'entre jambes, comme s'il ne prêtait pas la moindre attention à mes gloussements.- Mais oui ma jolie, susurra à mon oreille sa voix de baryton, vous pouvez essayer de crier si cela vous soulage... c'est toujours amusant à voir. Mais je crains qu'on ne vous entende pas... C'est que j'ai déjà fait cela à des dizaines de jeunes femmes et je vous assure qu'aucune n'est jamais parvenue à appeler qui que ce soit... ni à se libérer d'ailleurs.- h... h... ... ... h !!!- Et il m'est même arrivé d'en surprendre de la sorte alors qu'il y avait des gens dans la chambre voisine, et personne n'a rien remarqué. Elle avait pourtant vraiment essayé de hurler pendant tout son ligotage. Non, soyez tranquille... personne ne nous dérangera.- ... h... ... ... h... ... ... h... !! ... h...- A voir vos jolis seins pointer et d'après votre respiration, je parie que vous êtes prête à exploser !- ... ... h... !!... h... ... h... !!!- Mon meilleur souvenir après celui-ci est le soir où je suis tombé sur trois nanas dans une villa, dans des chambres séparées. Entre vingt et vingt-cinq ans chacune, et roulées comme des déesses. Je les ai ligotées dans la même pièce... je ne suis pas un monstre.Ses doigts continuaient inlassablement à me caresser intimement.C'est finalement en plein orgasme que j'entends l'homme commenter :- Et bien ma jolie, vous au moins, vous êtes une vraie bombe ! On voit rarement un orgasme aussi explosif ! Bien, je vais devoir vous laisser à présent. Si mes informations sont bonnes, votre compagnon va bientôt rentrer. Il sera assurément ravi de vous trouver aussi joliment ligotée sur le lit, en parfaite femme-objet.- mh... ... h !!!- Mais pour vous aider à attendre son retour, je vais vous faire un petit cadeau.Inquiète, je le vois poser mon vibromasseur à côté de moi et saisir une corde. Aussitôt, l'homme a enfoncé l'appareil entre mes cuisses de manière qu'il presse fermement sur mon sexe et l'a soigneusement attaché pour qu'il demeure bien en place, puis il l'a mis en marche. Les vibrations m'envahirent immédiatement.- Oui, c'est un peu cochon, mais je suppose que si vous avez cela dans votre armoire, c'est pour l'utiliser... et puis ne vous gênez pas, criez donc.- mmh... ... h... ... ... ... h !!!Il a alors pincé les pointes de mes seins et a commencé à les faire jouer doucement entre ses doigts tandis que le moteur continuait imperturbablement à émettre ses vibrations. Au bout de quelques dizaines de secondes mon corps entier a été traversé de violentes secousses.- Voilà... vous êtes la discrétion même... bon amusement, mademoiselle. A bientôt...La silhouette s'est éloignée, me laissant seule dans la demi-obscurité de la chambre, proprement ligotée et bâillonnée sur mon lit défait, réduite à subir silencieusement les vibrations intensément excitantes diffusées par l'appareil jusqu'à ce qu'une main secourable vienne le débrancher.L'appareil s'arrêtait un moment, puis reprenait de plus belle. Il l'avait soigneusement réglé pour envoyer des vibrations modulées à intervalles aléatoires. Je gloussais en sursautant brusquement chaque fois que l'appareil se remettait en marche, faisant tressauter mes seins tendus.- h... ... ... h... ... ... ... h... h !!! ... ... h !!!Combien de fois le processus s'est-il reproduit ? J'en ai perdu le compte depuis longtemps et c'est en plein orgasme que j'entendis une clé s'introduire dans la serrure et la porte s'ouvrir. La voix de mon copain se fit entendre.- Anne ? Je suis rentré.N'entendant pas de réponse, il a cru que j'étais endormie et il s'est posément débarrassé avant d'aller se faire un café qu'il a dégusté devant le TV. Il a zappé un petit peu toutes les chaînes sans se douter une seule seconde que j'étais parfaitement éveillée et que, impitoyablement ligotée et bâillonnée sur le lit, j'allais d'orgasme en orgasme en essayant de l'appeler de toutes mes forces.

 

 

© THE BDSM CIRCLE - LE CERCLE BDSM 2014