Histoires Des Invitées
histoire :)
Par Marston
Bordel je suis encore à moitié bourré, j´ai passé un week-end de dingue mais me voilà tout de même votre serviteur pour quelques lignes.
J´ai rencontré Paul suite à quelques histoires publiées ici et là - Paul, Robert, Pierre, peu importe le nom, les noms, celui-ci se reconnaitra, salut à toi mon putain de bonhomme, allons-y gaiement.
Salut à tous.
Il est venu me rendre visite vendredi dernier.
On ne se connaissait que par mails interposés et celui-ci tenait à me rencontrer ; en général je garde mes distances, j´ai ma vie, mes barrières, je suis heureux et équilibré bref, j´ai dit oui.
On s´est rencontré dans le bar de son hôtel.
Je l´ai reconnu tout de suite sans pour autant l´avoir jamais vu, lui pareil, je me suis assis, on a commandé un whisky, on s´est regardés à demi-sourire genre bizarre, sa femme était assise à coté de lui, belle sans être belle, gracieuse sans manières, silencieuse et, malgré les yeux baissé, le regard haut.
Je ne savais absolument pas quoi dire.
-Ca va ? M´a-t-il demandé.
-Pas… pas trop mal mec.
-Tu la trouves belle ma femme ?
-… (sourire gêné pour le coup mais oui mon pote, t´es con, je l´ai trouvé très belle ta femme, la quarantaine fière, la bouche galbée, les longs cheveux noirs noués à la russe, la robe immaculée, oui oui)
-Chérie, tu le trouve comment notre petit pote ? Souriait-il (je ne suis pas trop mal moi-même, hehe) - Tu lui montres maintenant ou on attend ?
Vraiment je n´efface pas grand-chose, tout est allé très vite.
Elle posa ses yeux sur moi, me tendit son téléphone et détourna le regard aussitôt, un léger sourire traversant sa joue.
Je le prit, en observai l´écran et, à ce moment là, honnêtement (t´es vraiment trop con), mon cœur est parti en chamade : il y avait la photo d´une nana… une belle, mais alors belle, belle, belle petite brune,…elle fixait l´objectif les yeux relevés, elle était allongée sur un lit simplement vêtue de ce qui me semblait être la culote d´un maillot de bain, elle avait les mains liées dans le dos et les chevilles attachées aux extrémités du lit, une généreuse balle en caoutchouc sortait de sa bouche et, détail funeste, un gode noir énorme dormait à coté d´elle…
-Elle est au dessus.
-...
-Elle est au dessus.
-...
-Mon petit chéri ?
-Euh quoi hein ? Pff quoi ? Pardon – balbutiai-je en souriant gauchement. Merde. Mec. Quoi ?
-Elle est au-dessus.
-Quoi ?
-T´inquiètes.
Mes yeux ahuris. Son sourire vainqueur. Mon ventre noué et mon désir de m´enfuir. Le miaulement de Barbara et notre départ un peu précipité. La porte de la chambre. La minute qui en paraît trente. La porte qui s´ouvre. Paul et Barbara qui entrent. Moi qui inspire une énorme bouffée d´air. Jessica devant moi.
Jessica devant moi, la chambre petite mais capitonnée, moquette claire, écran plat au mur, Mac posé sur une table près du balcon, lit baldaquin deux places avec Jessica attachée et presque nue dessus, je pense vingt il me dit vingt trois alors que je n´ai rien demandé, les pieds coté oreillers, remuant et s´agitant à notre vue, gémissante, interrogative en regardant Paul.
Jessica devant moi, les mains crispées et liées dans le dos, dodelinant des fesses sans se rendre compte de la tempête qu´elle déclenche dans ma tête, gémissant des voyelles baveuses du gag qui lui maintient la bouche bien trop ouverte.
Jessica devant moi qui me regarde, la peau tachetée de ses belles joues gonflées, ses yeux qui roulent, ses petits seins que je devine, ses fesses qui remontent de sa petite cambrure et qui dodelinent et qui me donnent un vertige honteusement violent.
Jessica devant moi, je suis arrivé l´hôtel il n´y a pas vingt minutes et Jessica devant moi, Barbara qui se pose à coté d´elle.
Jessica qui regarde Paul et Barbara qui lui caresse le dos, Barbara qui me regarde en souriant doucement et qui descend, tout aussi doucement, ses mains jusqu´à cette culotte en vynil blanche et bleue qui me fait oublier la vie.
Jessica devant moi qui ferme et mime un sourire et crispe les yeux lorsque Barbara lui glisse la main entre les cuisses en me regardant toujours.
Jessica devant moi et Paul qui me tend un masque, je comprends lorsque je remarque la caméra.
Jessica devant moi qui me regarde, Paul qui me regarde, Barbara qui me regarde fixement en malaxant le je-ne-sais-quoi de ces superbes magnifiques et hallucinantes fesses, ces mains attachées qui ne savent pas où aller, cette respiration qui se fait plus forte, ces petits seins écrasés sur le matelas du lit, ces yeux que je croise partout, ses yeux à elle.
Jessica devant moi, Barbara qui me regarde en prenant le gode, Paul qui me regarde et s´assied, qui relève la tête de Jessica par les cheveux, cambrant son corps et découvrant ses seins, ses yeux grand ouverts et perdus, puis qui la relâche.
Jessica devant moi, moi qui perds mes mots dans le souvenir de mon sourire lâché, Barbara qui a placé le gode sur son cul en le tenant à pleine main, Jessica qui a les yeux fermé, Paul qui maintenant se branle en regardant le cul qui s´offre à ce dieu de plastique, ces chevilles entravées, ces genoux qui cherchent la sortie, ces fesses qui dodelinent à me faire pleurer, ce gode tenu d´une main de fer et qui force le tissu, ces yeux de femme, oh ma belle Barbara merci, fixés sur moi…
Jessica devant moi.
Moi qui me déshabille.
Moi qui me branle en m´approchant de Jessica.
Paul qui me fait signe de m´asseoir là, près du visage de Jessica, visage contre lequel je cale ma queue, mes mains posées derrière moi m´offrent un appui confortable et je contemple émerveillé les joues de ma petite brune chercher une position confortable entre mes cuisses.
Paul qui défait le gag de Jessica et Barbara qui vient de lui découper la culotte.
Jessica qui respire fort et qui semble terriblement concentrée.
Paul qui soulève la tête de Jessica encore une fois par les cheveux, elle qui me regarde, la bouche entrouverte et encore rouge de l´outrage du gag, les yeux à quelques centimètres de mon nombril.
Jessica nue devant moi, les mains liées dans le dos, le cors imberbe et littéralement parfait attaché par les chevilles aux deux pieds du lit, ses fesses rondes et relevées qui dodelinent, la cambrure douce et offerte.
Paul qui prends ma queue gonflée et la lui met dans la bouche.
La bouche délicieusement chaude de Jessica et ses miaulements plaintifs, la tête immobile, la succion douce.
J´ai le vertige, la petite calée entre mes cuisses qui gobe ma bite et la garde presque entière dans sa bouche, Paul qui force le passage dans sa gorge en lui poussant la tête, les mains attachées et crispées, les lamentations essoufflées de Jessica lorsque Barbara pose le gode noir et huilé devant son cul.
Barbara qui commence à pousser le gode, Jessica qui commence à gémir de douleur et à tousser à moitié.
J´inonde sa gorge de mon sperme lorsque le gode se fraye un passage dans son cul et que je vois son corps entier supporter l´assaut en se contractant.
J´arrête là pour aujourd´hui sorry.
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