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Week-end chez Noémie
Je revins chez France vers quinze heures
et nous décidâmes d'ouvrir l'enveloppe. Les ordres étaient
stricts : nous devions aller chez elle tous deux dans la tenue suivante
: guêpière, bas, string et ballerines noires, poignets cou
et chevilles équipés des bracelets, tous cadenassés.
Pas question qu'elle trouve un vêtement dans notre voiture, elle
consentait que pour sortir de l'appartement nous enfilions une combinaison
non tissée blanche de bricolage par-dessus nos dessous " au
cas ou " disait-elle. Elle nous donnait rendez-vous à dix
huit heures précises dans la cour d'une ferme à deux kilomètres
de chez elle. Elle stipulait que les combinaisons ne devraient plus être
dans la voiture et que nous devions les jeter sur le chemin en un lieu
précis. Elle devait nous trouver tous deux sur le siège
arrière de la voiture, les anneaux des bracelets des chevilles
et des mains reliés par des cadenas fermés, mains dans le
dos, masqués et bâillonnés.
Il n'y avait pas le choix, mais l'excitation nous avait gagnés
tous deux. Il manquait cependant une guêpière pour moi, France
décida que nous allions dans une boutique pour en acheter une.
Un magasin se trouvant dans la galerie marchande du centre commercial,
nous y allâmes. France choisit une guêpière noire assez
stricte, la vendeuse regardant la taille, lui fit remarquer qu'elle lui
paraissait grande, et me regarda en souriant. Nous partîmes dubitatifs
en pensant que la vendeuse se doutait de quelque chose, mais ne fit aucune
remarque.
Aussitôt rentrés, je passai la guêpière et fixai
les bas. France fit de même. Au moment de mettre les bracelets,
nous avons hésité et décidé de ne les mettre
qu'après avoir quitté l'appartement et dans la voiture.
C'était plus prudent, puis avons enfilé les combinaisons,
fermant celles ci. Dans un sac nous avons mis les chaînes et autres
accessoires. Les cadenas étaient ouverts, toutes les clés
avaient été emportées par Noémie.
Il était dix sept heures lorsque nous sortîmes enfin de l'appartement,
écoutant s'il y avait quelqu'un dans la cage d'escalier avant de
prendre l'ascenseur pour le garage.
Nous prîmes la direction de la ferme. Après le dernier village,
je m'arrêtais dans le premier chemin discret rencontré et
je dis à France que nous devions nous équiper. Nous enlevâmes
les combinaisons que nous mîmes dans un sac plastique, puis nous
nous équipèrent réciproquement des divers bracelets.
La prochaine étape étant de jeter le sac dans la charrette
prévue. Nous repartîmes, France essayant d'identifier le
lieu du dépôt. Celui-ci apparut, mais la charrette était
environ à vingt mètres du bord de la route ! Il fallait
sortir pour porter le sac dans la tenue qui était la notre soit
l'un soit l'autre. Je m'arrêtai au plus près et prenant le
sac, j'ai couru le plus vite possible en espérant qu'une autre
voiture ne passerait pas ! J'ai eu de la chance et regagnai la voiture
sans encombre, mais j'avais chaud.
La fin du parcours fut plus facile et nous entrâmes dans la cour
de la ferme déserte. Il était dix-sept heures cinquante,
nous avions dix minutes pour terminer de nous préparer. Après
avoir garé la voiture, nous passions sur le siège arrière.
D'abord les baillons, puis les cadenas reliant les anneaux des bracelets
des chevilles. Ensuite je posais le bandeau à France et lui attachai
les mains dans le dos. La faisant se tourner un peu je lui glissais le
dernier cadenas dans les mains et je me mis le bandeau. Me tournant alors,
elle réussit à fermer le cadenas sur les anneaux des bracelets
de mes poignets m'immobilisant à mon tour totalement. Nous étions
maintenant à la merci de Noémie, l'un contre l'autre. Il
devait être près de dix huit heures, elle ne devrait pas
tarder.
Le temps passait et personne ne venait, je sentais France s'agiter, et
commençait tout à coup a avoir des frayeurs, si Noémie
avait eu un empêchement ? Qu'allions nous faire ainsi ? Un début
de panique s'empara de moi. Enfin au bout d'un long moment, j'entendis
du bruit, puis la voix de Noémie qui rigolait et dit
- Alors les petits, on panique ?
En fait je poussai un long soulagement. Noémie dit, j'ai un peu
de retard, en fait je suis partie de la maison à dix-huit heures,
je n'ai que trois-quarts d'heure de retard, ce n'est pas grave, nous avons
du temps devant nous n'est-ce pas. Et puis finalement, je n'ai pas à
me justifier, qui commande ici ?
Prenant le volant, elle démarra et dit qu'elle devait passer chercher
des ufs à la ferme suivante et partit rapidement. Quelques
instants plus tard, la voiture s'arrêta, elle descendit et j'entendis
des voix. Panique à nouveau, pouvait-on nous voir ? Noémie
revint enfin et dit au revoir en démarrant. Dernier arrêt,
nous étions devant chez elle, plutôt au bout du jardin je
m'en souvenais.
Elle descendit, claquant la porte, puis rien ne se passa, elle nous avait
laissés, pourquoi ? De toute façon, on ne pouvait rien faire.
Elle revint et libérant nos chevilles, nous fit sortir de la voiture.
Passant derrière nous, je sentis qu'elle ouvrait le cadenas des
poignets, mais le referma aussitôt. En bougeant mes mains, je compris
alors qu'elle avait fixé une chaîne. En fait elle nous avait
attachés ensemble, et nous tira ainsi jusqu'à la maison.
Une fois à l'intérieur,
elle nous fit asseoir sur un canapé du salon, cote à cote
et nous rattacha les chevilles après nous avoir fait remplacer
nos ballerines par les chaussures à talons qu'elle attacha consciencieusement.
On resta ainsi un certain temps, jusqu'à ce que la sonnette retentisse.
Noémie alla ouvrir et dit bonjour, tu as fait bonne route ?
Quelqu'un arrivait, ce n'était pas prévu ! Qui allait nous
voir ainsi ?
Un grand rire, et tout à coup la voix de Martine qui s'exclama,
je comprends pourquoi tu as tant insisté pour que je vienne passer
le week end chez toi ! Mais c'est parfait, on va bien s'amuser
J'entendis
qu'elle embrassait France, puis en m'embrassant à mon tour, sa
main se porta à mon sexe pour une caresse rapide.
Noémie entre temps était revenue dans la pièce, elle
nous débarrassa de nos masques et de nos bâillons. Nous allons
prendre l'apéritif dit-elle. Elles vinrent s'installer près
de nous, Noémie portait une petite robe de cuir et ses bottes sur
un collant résille noir, quant à Martine, elle avait une
combinaison de latex qui la moulait entièrement et des cuissardes
en vinyle lacées.
Elles s'installèrent chacune à coté de nous et nous
débarrassèrent des cadenas de nos poignets. Nous passâmes
ainsi une petite demi-heure à parler de choses et d'autre.
Noémie avait dressé le couvert dans la pièce attenante,
sur une petite table ronde en métal de jardin et quatre chaises
à haut dossier assorties se trouvaient autour.
Vers vingt heures, elle proposa que nous passions à table. Nous
détachant les chevilles, elle nous proposa de nous asseoir, France
en face de moi, Martine à ma gauche. Martine portait le carton,
en sortit des rouleaux d'adhésif et commença à me
lier, les chevilles et genoux attachés à chaque pied, puis
la taille au dossier et le buste enfin, me collant ainsi à la chaise.
Elle passa ensuite à France et fit de même.
- Voilà comme cela vous resterez à table dit-elle.
C'est ainsi que nous dûmes manger, l'entrée et le plat principal.
Pour le dessert, Martine dit :
-On va leur bander les yeux, et leur attacher les mains dans le dos, puis
ils devront dire ce qu'ils mangent.
Comme le dessert est exotique, cela devrait générer quelques
gages. Aussitôt dit, elle passait derrière nous et nous attachait
les mains au dos du dossier, puis elle prit les masques et commença
par France qui se retrouva dans le noir. Se tournant vers moi, elle me
fit un clin d'il et posa le masque sur la table, me laissant libre.
Avec Noémie, elles firent tourner la chaise de France la mettant
dos à la table, puis firent de même avec moi. Je ne voyais
plus France.
Noémie tendit une petite assiette à Martine et lui fit signe
de faire comme elle. Se mettant devant moi, elle m'enjamba et s'assit
sur mes genoux, retroussant sa jupe. Prenant un morceau de fromage, elle
le mit à la bouche et s'approchant de moi, me le fit prendre ainsi,
un second suivit et ainsi de suite. Puis ce fut le tour des fruits, coupés
en morceaux. A ce moment là nous dûment répondre aux
questions, avec plus ou moins de bonheur. Alors qu'il n'en restait plus
que quelques-uns uns, Noémie dit :
- On va mettre de la chantilly, cela compliquera un peu le jeu.
Allant chercher une bombe, elle la tendit à Martine, puis la reprenant,
elle en mit sur l'assiette posée à coté de moi, mais
se baissant elle entreprit de faire glisser mon string libérant
ma verge et donna dessus un coup de bombe. La réaction ne se fit
pas attendre, une érection incontrôlable se produisit. De
quelques coups de langue, Noémie entreprit mon nettoyage, posant
un à un les petits morceaux de fruit sur le bout de ma verge et
les mangeant ainsi. Bien entendu elle me posait à haute voix à
chaque fois :
- C'est quoi celui-ci Marc ?
Je répondais n'importe quoi, essayant de contrôler ma jouissance.
Je ne résistai pas longtemps et éclatai pour le plaisir
de Noémie.
Elle se leva et sans rire dit à
haute voix :
- Martine il a fait six fautes, et toi combien en as-tu relevées
?
Sérieusement elle dit :
- Moi j'en ai relevées quatre, c'est donc France qui est la meilleure.
Noémie me mit le masque et je les entendis partir à la cuisine.
Ne pouvant rien voir, je n'ai pas su ce qu'avait fait Martine avec France.
Par contre, elles riaient toutes deux, semble-t-il très satisfaites
de ce qu'elles venaient de faire.
Je sentis tout à coup que l'on me lavait, Noémie semblait-il
finissait d'enlever les traces de crème qui restaient sur moi,
pour masquer son forfait je pense à France lorsqu'elle nous libérerait.
Elles s'activèrent un moment,
puis revinrent s'occuper de nous. Je sentis le bâillon reprendre
sa place, puis fut libéré de la chaise, Noémie m'enleva
le masque et me conduisit à la salle de bains. J'eus droit à
quelques minutes, puis ce fut au tour de France.
Elles nous ramenèrent au salon,
celui ci était séparé de la salle à manger
par une ouverture en voûte supportée par deux colonnes d'une
vingtaine de centimètres de diamètre, distantes de trois
mètres environ
Nous fûmes installés face à face devant chaque colonne,
Martine s'occupant de moi et Noémie de France, nous sommes alors
attachés collés contre celles-ci, les bras tirés
en arrière par plusieurs cordes bien tendues.
- Il y avait combien de fautes tout à l'heure Martine dit Noémie
?
- Quatre pour France et six pour Marc dit-elle.
- Alors nous allons leur poser quarante et soixante pinces.
Aussitôt commença " le supplice " nous essayâmes
de râler, mais les bâillons nous en empêchaient. Quelques
minutes plus tard, nous étions recouverts, la plupart se trouvant
au niveau du corps.
Elles terminèrent en reliant face à face les pinces qui
étaient sur nos tétons par deux fines cordelettes, les tendant
légèrement, ce qui accentua le supplice.
Cela les satisfaisait apparemment et elles allèrent s'installer
sur le canapé, une cassette dans le magnétoscope. Je compris
rapidement que le sujet correspondait à ces activités qui
nous passionnaient.
Nous restâmes ainsi tout le film, Martine et Noémie étant
de toute évidence passionnées par ce qu'elles voyaient à
l'écran.
Elles firent attention à nous
à la fin du film. Noémie dit qu'elles allaient nous coucher,
elles nous détachèrent, nous rattachant cependant les mains
dans le dos, après un bref passage à la salle de bains.
Nous furent conduits à la grande chambre ou nous avions séjourné
pour carnaval. La penderie étant ouverte, je constatai qu'elle
était équipée de nombreuses sangles de cuir.
- France va l'essayer dit Noémie, Marc sera mis lui sur le lit.
France fut prise en main par les filles, elles lui mirent le masque, lui
bouchèrent les oreilles avec un petit casque, puis lui mirent un
bâillon anneau à la place du bâillon boule, qui permettait
de respirer sans risque de danger. Pour fixer le tout, elles utilisèrent
des bandes de strap vertes.
- Tu m'entends dit Martine ?
Aucun mouvement de France lui répondit.
- Je crois que c'est bon dit-elle à Noémie.
Celle-ci prit alors France par la main, la fit se mettre contre le mur
de la penderie et commença à attacher les sangles, au niveau
de la taille, puis des hanches, ensuite les épaules. Elle continua
par les cuisses, puis passa aux bras qui furent fixés comme sur
une croix de saint André. Elle se concentra ensuite sur les jambes,
elles aussi attachées ouvertes et séparément. Tirant
un peu partout, elle s'assura qu'aucun mouvement n'était possible.
Pour terminer, elle lui mit un collant sur la tête, se servant des
jambes de celui-ci pour empêcher la tête de ballotter.
- Parfait fit-elle, elle sera bien ainsi jusqu'à demain.
Se rapprochant de moi, elle dit :
- Martine, si nous nous occupions de Marc maintenant ?
En disant cela, elle me pinça les tétons fortement, j'eus
un sursaut.
- Tu peux gémir dit Noémie, France ne peut pas t'entendre.
- Martine, déshabilles-le,
En quelques secondes, j'étais entièrement nu, avec mon bâillon
boule et les mains attachées dans le dos. Noémie revint
avec un accessoire de cuir que je regardais avec curiosité. Elle
m'expliqua que j'allais être fixé avec lui. Il était
composé de diverses sangles, reliées entre elles. La première
se fixant comme un collier autour du cou, la dernière réglable
attachait les pieds et les chevilles. Elle commença aussitôt.
Les sangles horizontales, permettaient le blocage des bras, puis des poignets,
enfin les dernières serrant les jambes l'une contre l'autre. Toutes
les boucles étant attachées au milieu du dos.
En quelques minutes, j'étais prisonnier de ce système. La
aussi, impossible de faire le moindre mouvement. Des anneaux se trouvaient
de chaque coté au niveau des épaules, des coudes, des hanches,
des genoux et des chevilles.
Elles terminèrent en m'enfilant une cagoule qui masquait entièrement
le haut du visage, laissant libre la bouche et le bas du nez.
Ensuite, je fus basculé sur le milieu du lit, et couché
sur le dos, Noémie demandant à Martine de se mettre de l'autre
coté du lit, elles me fixèrent alors avec des cordes, tendant
bien celles-ci.
Je sentis un mouvement, puis le contact
de leurs corps, elles s'étaient couchées chacune d'un coté,
contre moi. Martine murmura :
- Marc, ce n'est pas tous les jours que l'on cette situation, on te laisse
un moment, mais nous allons revenir.
Noémie gloussa, et elles m'abandonnèrent ainsi.
Tout à coup, je sentis une présence,
puis des mains qui me caressaient, elles étaient là toutes
deux. Pendant que l'une s'occupait à me faire prendre une certaine
vigueur, l'autre s'occupait de mes tétons, les pinçant parfois
fortement. En peu de temps, elles avaient atteint leur but, je présentais
une érection. Elles me lâchèrent, puis reprirent leur
activité, alors qu'une bouche m'embrassait le bas du ventre, je
sentis qu'une d'elles montait sur le lit et m'enjambait, remontant vers
les épaules, elle vint s'asseoir sur ma bouche, me collant sa vulve
sur mes lèvres. Je compris la demande et m'activai consciencieusement.
Cela dura un moment, puis se bougeant, elle se retourna et se repositionna,
mais cette fois, s'asseyant sur ma tête, elle m'étouffait
parfois. Cela avait l'air de lui plaire. L'autre en profita pour la rejoindre
et s'empala très vite sur moi. Etant en face sur moi, l'une et
l'autre atteignirent leur but. Mais cela ne suffit pas, elles changèrent
de place et rapidement reprirent leurs actions. Je sentis dans ma bouche
couler le sperme que je venais de déverser dans sa vulve et la
léchais le mieux possible. Ce fut plus long, mais semble-t-il je
les conduisit à un deuxième orgasme.
Elles me laissèrent enfin et je m'endormis rapidement.
Des mains à nouveau se promenaient sur moi, s'évertuant
à me donner une nouvelle vigueur. Non, je ne rêvais pas,
l'insistance paye et je me trouvais en condition rapidement. Une bouche
m'enveloppa alors et entreprit une fellation qui aboutit à une
éjaculation. Des rires se firent entendre et on m'enleva la cagoule.
Je découvris à mes cotés Noémie et Martine
nues, et entre mes cuisses France, entièrement nue elle aussi,
qui terminait son action.
- C'est mieux que le réveil dit Martine ?
- Oui dis-je.
Elles m'embrassèrent alors, l'une et l'autre d'un long baiser sur
les lèvres.
- Vous allez retrouver votre liberté, dit Noémie, la salle
de bains vous appartient, nous prendrons le petit déjeuner ensemble.
Il fait chaud ici, le déjeuner est naturiste.
Nous déjeunâmes de bon appétit, la conversation toujours
très axée sur nos jeux, Martine et Noémie recherchaient
de toute évidence une idée pour continuer. Il était
encore de bonne heure, ce dimanche matin, et nous avions la journée
devant nous. Quel sort nous réservaient-elles, nous ne le savions
pas encore.
Martine se leva, prenant France par la main, elle l'amena au pied d'une
des colonnes du salon, la faisant mettre de dos contre, elle lui lia les
poignets derrière, ramenant les bouts de la corde devant, fit un
nud sur son ventre. Prenant ensuite un masque, elle lui ôta
la vue, lui mit le casque sur les oreilles et finit par lui poser un bâillon
boule, la privant de tout contact.
Noémie pendant qui avait quitté la pièce, revint
avec une boite et une grande poche. Elle déballa le tout sur un
coin de table, il y avait un paquet de bas et de collants, la boite contenait
ses accessoires de couture. Elle dit :
- Martine, tu te souviens de la revue parlant d'encasement ?
- Oui dit-elle,
- On va essayer, il y a tout ce qu'il faut.
J'étais nu devant-elles, Noémie me tendit un premier collant
de mousse épais qu'elle me demanda de mettre, pendant ce temps,
avec un ciseau elle pratiquait une ouverture au fond de la culotte d'un
autre. Elle me le tendit, me faisant passer la tête dans la fente
et mes bras dans chacune des jambes, Ensuite elle déplia le collant,
faisant coïncider les deux bandes de la ceinture. Elle m'enfila enfin
un bas de même texture sur la tête, me couvrant entièrement.
Pendant ce temps, Martine qui avait pris dans la boite à couture
du cordonnet et une aiguille entreprit de faire des points de couture,
attachant les éléments entre eux. Une fois fini, elles recommencèrent
l'opération par une deuxième, une troisième et une
quatrième épaisseur de collants, les derniers utilisés
pour les troisièmes et quatrièmes couches étant opaques,
j'étais " dans le noir " une fois de plus.
Je sentis qu'elles me mettaient les bracelets et le collier à nouveau,
puis elles m'entraînèrent, chacune me tenant par la main.
Je ne réalisai ou elles m'avait conduit que lorsque je sentis qu'elles
m'attachaient, j'étais dans le placard, à la place qu'avait
occupée France la nuit dernière. En quelques minutes, j'étais
attaché en croix, parfaitement immobilisé.
Je les entendis partir, qu'allait-il se passer ensuite, je ne le savais
pas. Je restai ainsi longuement, vraisemblablement, c'était ce
qu'elles avaient décidé.
Je n'eus la réponse que bien plus tard, libérant France
et ayant décidé qu'elle avait bien supporté sa punition,
elles étaient parties toutes trois me laissant seul à la
maison.
Elles avaient pris le temps de dîner au restaurant, et il était
aux environs de vingt deux heures. France dit :
- Il faut rentrer, Noémie, tu devrais libérer Marc.
Puis tout à coup :
- Mais au fait, il n'a pas de vêtements ! Nous étions équipés
pour venir, il n'a que les ballerines !
Martine éclata de rire, j'étais détaché mais
encore " emballé " par les collants. Noémie dit
alors :
- France ce sera ton dernier gage du week-end, le challenge est de le
ramener comme cela chez toi, tu le déballeras à la maison.
Il n'est pas nu que je sache ? Disant cela elle m'attachait les poignets
avec un cadenas, confiant la clé à France.
- Il ne pourra pas s'échapper, fit-elle.
France essaya de trouver une excuse pour ne pas faire comme cela, mais
les filles se montrèrent inflexibles. Elles me conduisirent à
la voiture et m'installèrent sur le siège, bouclant ma ceinture.
J'entendis Noémie dire :
- Il fait nuit à cette heure-ci, tu ne risques pas grand chose.
France démarra, et conduisit sans un mot jusqu'à son garage.
Arrivés elle me dit de ne pas faire de bruit, qu'elle allait voir
s'il n'y avait personne. Ensuite elle me fit sortir de la voiture et me
poussa dans l'ascenseur, quelques secondes plus tard, il s'arrêtait,
nous étions passés inaperçus, et poussions un ouf
de soulagement.
Nous étions soulagés, mais excités par l'expérience
quand même. France me tira alors par les menottes et me fit basculer
sur un lit, elle m'avait amené dans sa chambre.
-Tu ne travailles pas demain dit-elle, alors je te garde cette nuit
Tout en parlant, elle avait tiré mes mains au-dessus de ma tête
et les attachait à la tête du lit, puis à l'aide d'une
autre corde, écarta mes pieds et lia mes chevilles je pense aux
montants, m'écartelant.
J'étais prisonnier à nouveau, mais ce coup-ci de France.
Elle se coucha sur moi, entreprit de me caresser et de me pincer par dessus
des collants. En quelques secondes, le résultat était visible,
une érection soulevait les collants. Elle gloussa et se concentra
sur ma verge.
- Attends un peu dit-elle, se levant.
Je compris, sa manuvre, elle avait pris un ciseau et faisait une
ouverture, libérant ma verge qu'elle saisit, et s'empala sur elle
aussitôt. Une chevauchée s'en suivit, et elle s'écroula
sur moi, ronronna un moment et puis le rythme de son souffle se fit régulier,
elle dormait. J'étais parti pour passer une nouvelle nuit attaché.
Quel week-end !
A suivre
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