Histoires Des Invités

 

Histoire

Chapitre 4

Par alain

 

Week-end chez Noémie

Je revins chez France vers quinze heures et nous décidâmes d'ouvrir l'enveloppe. Les ordres étaient stricts : nous devions aller chez elle tous deux dans la tenue suivante : guêpière, bas, string et ballerines noires, poignets cou et chevilles équipés des bracelets, tous cadenassés. Pas question qu'elle trouve un vêtement dans notre voiture, elle consentait que pour sortir de l'appartement nous enfilions une combinaison non tissée blanche de bricolage par-dessus nos dessous " au cas ou " disait-elle. Elle nous donnait rendez-vous à dix huit heures précises dans la cour d'une ferme à deux kilomètres de chez elle. Elle stipulait que les combinaisons ne devraient plus être dans la voiture et que nous devions les jeter sur le chemin en un lieu précis. Elle devait nous trouver tous deux sur le siège arrière de la voiture, les anneaux des bracelets des chevilles et des mains reliés par des cadenas fermés, mains dans le dos, masqués et bâillonnés.
Il n'y avait pas le choix, mais l'excitation nous avait gagnés tous deux. Il manquait cependant une guêpière pour moi, France décida que nous allions dans une boutique pour en acheter une. Un magasin se trouvant dans la galerie marchande du centre commercial, nous y allâmes. France choisit une guêpière noire assez stricte, la vendeuse regardant la taille, lui fit remarquer qu'elle lui paraissait grande, et me regarda en souriant. Nous partîmes dubitatifs en pensant que la vendeuse se doutait de quelque chose, mais ne fit aucune remarque.
Aussitôt rentrés, je passai la guêpière et fixai les bas. France fit de même. Au moment de mettre les bracelets, nous avons hésité et décidé de ne les mettre qu'après avoir quitté l'appartement et dans la voiture. C'était plus prudent, puis avons enfilé les combinaisons, fermant celles ci. Dans un sac nous avons mis les chaînes et autres accessoires. Les cadenas étaient ouverts, toutes les clés avaient été emportées par Noémie.
Il était dix sept heures lorsque nous sortîmes enfin de l'appartement, écoutant s'il y avait quelqu'un dans la cage d'escalier avant de prendre l'ascenseur pour le garage.
Nous prîmes la direction de la ferme. Après le dernier village, je m'arrêtais dans le premier chemin discret rencontré et je dis à France que nous devions nous équiper. Nous enlevâmes les combinaisons que nous mîmes dans un sac plastique, puis nous nous équipèrent réciproquement des divers bracelets. La prochaine étape étant de jeter le sac dans la charrette prévue. Nous repartîmes, France essayant d'identifier le lieu du dépôt. Celui-ci apparut, mais la charrette était environ à vingt mètres du bord de la route ! Il fallait sortir pour porter le sac dans la tenue qui était la notre soit l'un soit l'autre. Je m'arrêtai au plus près et prenant le sac, j'ai couru le plus vite possible en espérant qu'une autre voiture ne passerait pas ! J'ai eu de la chance et regagnai la voiture sans encombre, mais j'avais chaud.
La fin du parcours fut plus facile et nous entrâmes dans la cour de la ferme déserte. Il était dix-sept heures cinquante, nous avions dix minutes pour terminer de nous préparer. Après avoir garé la voiture, nous passions sur le siège arrière. D'abord les baillons, puis les cadenas reliant les anneaux des bracelets des chevilles. Ensuite je posais le bandeau à France et lui attachai les mains dans le dos. La faisant se tourner un peu je lui glissais le dernier cadenas dans les mains et je me mis le bandeau. Me tournant alors, elle réussit à fermer le cadenas sur les anneaux des bracelets de mes poignets m'immobilisant à mon tour totalement. Nous étions maintenant à la merci de Noémie, l'un contre l'autre. Il devait être près de dix huit heures, elle ne devrait pas tarder.
Le temps passait et personne ne venait, je sentais France s'agiter, et commençait tout à coup a avoir des frayeurs, si Noémie avait eu un empêchement ? Qu'allions nous faire ainsi ? Un début de panique s'empara de moi. Enfin au bout d'un long moment, j'entendis du bruit, puis la voix de Noémie qui rigolait et dit
- Alors les petits, on panique ?
En fait je poussai un long soulagement. Noémie dit, j'ai un peu de retard, en fait je suis partie de la maison à dix-huit heures, je n'ai que trois-quarts d'heure de retard, ce n'est pas grave, nous avons du temps devant nous n'est-ce pas. Et puis finalement, je n'ai pas à me justifier, qui commande ici ?
Prenant le volant, elle démarra et dit qu'elle devait passer chercher des œufs à la ferme suivante et partit rapidement. Quelques instants plus tard, la voiture s'arrêta, elle descendit et j'entendis des voix. Panique à nouveau, pouvait-on nous voir ? Noémie revint enfin et dit au revoir en démarrant. Dernier arrêt, nous étions devant chez elle, plutôt au bout du jardin je m'en souvenais.
Elle descendit, claquant la porte, puis rien ne se passa, elle nous avait laissés, pourquoi ? De toute façon, on ne pouvait rien faire. Elle revint et libérant nos chevilles, nous fit sortir de la voiture. Passant derrière nous, je sentis qu'elle ouvrait le cadenas des poignets, mais le referma aussitôt. En bougeant mes mains, je compris alors qu'elle avait fixé une chaîne. En fait elle nous avait attachés ensemble, et nous tira ainsi jusqu'à la maison.

Une fois à l'intérieur, elle nous fit asseoir sur un canapé du salon, cote à cote et nous rattacha les chevilles après nous avoir fait remplacer nos ballerines par les chaussures à talons qu'elle attacha consciencieusement. On resta ainsi un certain temps, jusqu'à ce que la sonnette retentisse. Noémie alla ouvrir et dit bonjour, tu as fait bonne route ?
Quelqu'un arrivait, ce n'était pas prévu ! Qui allait nous voir ainsi ?
Un grand rire, et tout à coup la voix de Martine qui s'exclama, je comprends pourquoi tu as tant insisté pour que je vienne passer le week end chez toi ! Mais c'est parfait, on va bien s'amuser…J'entendis qu'elle embrassait France, puis en m'embrassant à mon tour, sa main se porta à mon sexe pour une caresse rapide.
Noémie entre temps était revenue dans la pièce, elle nous débarrassa de nos masques et de nos bâillons. Nous allons prendre l'apéritif dit-elle. Elles vinrent s'installer près de nous, Noémie portait une petite robe de cuir et ses bottes sur un collant résille noir, quant à Martine, elle avait une combinaison de latex qui la moulait entièrement et des cuissardes en vinyle lacées.
Elles s'installèrent chacune à coté de nous et nous débarrassèrent des cadenas de nos poignets. Nous passâmes ainsi une petite demi-heure à parler de choses et d'autre.
Noémie avait dressé le couvert dans la pièce attenante, sur une petite table ronde en métal de jardin et quatre chaises à haut dossier assorties se trouvaient autour.
Vers vingt heures, elle proposa que nous passions à table. Nous détachant les chevilles, elle nous proposa de nous asseoir, France en face de moi, Martine à ma gauche. Martine portait le carton, en sortit des rouleaux d'adhésif et commença à me lier, les chevilles et genoux attachés à chaque pied, puis la taille au dossier et le buste enfin, me collant ainsi à la chaise. Elle passa ensuite à France et fit de même.
- Voilà comme cela vous resterez à table dit-elle.
C'est ainsi que nous dûmes manger, l'entrée et le plat principal. Pour le dessert, Martine dit :
-On va leur bander les yeux, et leur attacher les mains dans le dos, puis ils devront dire ce qu'ils mangent.
Comme le dessert est exotique, cela devrait générer quelques gages. Aussitôt dit, elle passait derrière nous et nous attachait les mains au dos du dossier, puis elle prit les masques et commença par France qui se retrouva dans le noir. Se tournant vers moi, elle me fit un clin d'œil et posa le masque sur la table, me laissant libre. Avec Noémie, elles firent tourner la chaise de France la mettant dos à la table, puis firent de même avec moi. Je ne voyais plus France.
Noémie tendit une petite assiette à Martine et lui fit signe de faire comme elle. Se mettant devant moi, elle m'enjamba et s'assit sur mes genoux, retroussant sa jupe. Prenant un morceau de fromage, elle le mit à la bouche et s'approchant de moi, me le fit prendre ainsi, un second suivit et ainsi de suite. Puis ce fut le tour des fruits, coupés en morceaux. A ce moment là nous dûment répondre aux questions, avec plus ou moins de bonheur. Alors qu'il n'en restait plus que quelques-uns uns, Noémie dit :
- On va mettre de la chantilly, cela compliquera un peu le jeu.
Allant chercher une bombe, elle la tendit à Martine, puis la reprenant, elle en mit sur l'assiette posée à coté de moi, mais se baissant elle entreprit de faire glisser mon string libérant ma verge et donna dessus un coup de bombe. La réaction ne se fit pas attendre, une érection incontrôlable se produisit. De quelques coups de langue, Noémie entreprit mon nettoyage, posant un à un les petits morceaux de fruit sur le bout de ma verge et les mangeant ainsi. Bien entendu elle me posait à haute voix à chaque fois :
- C'est quoi celui-ci Marc ?
Je répondais n'importe quoi, essayant de contrôler ma jouissance. Je ne résistai pas longtemps et éclatai pour le plaisir de Noémie.

Elle se leva et sans rire dit à haute voix :
- Martine il a fait six fautes, et toi combien en as-tu relevées ?
Sérieusement elle dit :
- Moi j'en ai relevées quatre, c'est donc France qui est la meilleure.
Noémie me mit le masque et je les entendis partir à la cuisine. Ne pouvant rien voir, je n'ai pas su ce qu'avait fait Martine avec France. Par contre, elles riaient toutes deux, semble-t-il très satisfaites de ce qu'elles venaient de faire.
Je sentis tout à coup que l'on me lavait, Noémie semblait-il finissait d'enlever les traces de crème qui restaient sur moi, pour masquer son forfait je pense à France lorsqu'elle nous libérerait.

Elles s'activèrent un moment, puis revinrent s'occuper de nous. Je sentis le bâillon reprendre sa place, puis fut libéré de la chaise, Noémie m'enleva le masque et me conduisit à la salle de bains. J'eus droit à quelques minutes, puis ce fut au tour de France.

Elles nous ramenèrent au salon, celui ci était séparé de la salle à manger par une ouverture en voûte supportée par deux colonnes d'une vingtaine de centimètres de diamètre, distantes de trois mètres environ
Nous fûmes installés face à face devant chaque colonne, Martine s'occupant de moi et Noémie de France, nous sommes alors attachés collés contre celles-ci, les bras tirés en arrière par plusieurs cordes bien tendues.
- Il y avait combien de fautes tout à l'heure Martine dit Noémie ?
- Quatre pour France et six pour Marc dit-elle.
- Alors nous allons leur poser quarante et soixante pinces.
Aussitôt commença " le supplice " nous essayâmes de râler, mais les bâillons nous en empêchaient. Quelques minutes plus tard, nous étions recouverts, la plupart se trouvant au niveau du corps.
Elles terminèrent en reliant face à face les pinces qui étaient sur nos tétons par deux fines cordelettes, les tendant légèrement, ce qui accentua le supplice.
Cela les satisfaisait apparemment et elles allèrent s'installer sur le canapé, une cassette dans le magnétoscope. Je compris rapidement que le sujet correspondait à ces activités qui nous passionnaient.
Nous restâmes ainsi tout le film, Martine et Noémie étant de toute évidence passionnées par ce qu'elles voyaient à l'écran.

Elles firent attention à nous à la fin du film. Noémie dit qu'elles allaient nous coucher, elles nous détachèrent, nous rattachant cependant les mains dans le dos, après un bref passage à la salle de bains.
Nous furent conduits à la grande chambre ou nous avions séjourné pour carnaval. La penderie étant ouverte, je constatai qu'elle était équipée de nombreuses sangles de cuir.
- France va l'essayer dit Noémie, Marc sera mis lui sur le lit.
France fut prise en main par les filles, elles lui mirent le masque, lui bouchèrent les oreilles avec un petit casque, puis lui mirent un bâillon anneau à la place du bâillon boule, qui permettait de respirer sans risque de danger. Pour fixer le tout, elles utilisèrent des bandes de strap vertes.
- Tu m'entends dit Martine ?
Aucun mouvement de France lui répondit.
- Je crois que c'est bon dit-elle à Noémie.
Celle-ci prit alors France par la main, la fit se mettre contre le mur de la penderie et commença à attacher les sangles, au niveau de la taille, puis des hanches, ensuite les épaules. Elle continua par les cuisses, puis passa aux bras qui furent fixés comme sur une croix de saint André. Elle se concentra ensuite sur les jambes, elles aussi attachées ouvertes et séparément. Tirant un peu partout, elle s'assura qu'aucun mouvement n'était possible. Pour terminer, elle lui mit un collant sur la tête, se servant des jambes de celui-ci pour empêcher la tête de ballotter.
- Parfait fit-elle, elle sera bien ainsi jusqu'à demain.
Se rapprochant de moi, elle dit :
- Martine, si nous nous occupions de Marc maintenant ?
En disant cela, elle me pinça les tétons fortement, j'eus un sursaut.
- Tu peux gémir dit Noémie, France ne peut pas t'entendre.
- Martine, déshabilles-le,
En quelques secondes, j'étais entièrement nu, avec mon bâillon boule et les mains attachées dans le dos. Noémie revint avec un accessoire de cuir que je regardais avec curiosité. Elle m'expliqua que j'allais être fixé avec lui. Il était composé de diverses sangles, reliées entre elles. La première se fixant comme un collier autour du cou, la dernière réglable attachait les pieds et les chevilles. Elle commença aussitôt. Les sangles horizontales, permettaient le blocage des bras, puis des poignets, enfin les dernières serrant les jambes l'une contre l'autre. Toutes les boucles étant attachées au milieu du dos.
En quelques minutes, j'étais prisonnier de ce système. La aussi, impossible de faire le moindre mouvement. Des anneaux se trouvaient de chaque coté au niveau des épaules, des coudes, des hanches, des genoux et des chevilles.
Elles terminèrent en m'enfilant une cagoule qui masquait entièrement le haut du visage, laissant libre la bouche et le bas du nez.
Ensuite, je fus basculé sur le milieu du lit, et couché sur le dos, Noémie demandant à Martine de se mettre de l'autre coté du lit, elles me fixèrent alors avec des cordes, tendant bien celles-ci.

Je sentis un mouvement, puis le contact de leurs corps, elles s'étaient couchées chacune d'un coté, contre moi. Martine murmura :
- Marc, ce n'est pas tous les jours que l'on cette situation, on te laisse un moment, mais nous allons revenir.
Noémie gloussa, et elles m'abandonnèrent ainsi.

Tout à coup, je sentis une présence, puis des mains qui me caressaient, elles étaient là toutes deux. Pendant que l'une s'occupait à me faire prendre une certaine vigueur, l'autre s'occupait de mes tétons, les pinçant parfois fortement. En peu de temps, elles avaient atteint leur but, je présentais une érection. Elles me lâchèrent, puis reprirent leur activité, alors qu'une bouche m'embrassait le bas du ventre, je sentis qu'une d'elles montait sur le lit et m'enjambait, remontant vers les épaules, elle vint s'asseoir sur ma bouche, me collant sa vulve sur mes lèvres. Je compris la demande et m'activai consciencieusement. Cela dura un moment, puis se bougeant, elle se retourna et se repositionna, mais cette fois, s'asseyant sur ma tête, elle m'étouffait parfois. Cela avait l'air de lui plaire. L'autre en profita pour la rejoindre et s'empala très vite sur moi. Etant en face sur moi, l'une et l'autre atteignirent leur but. Mais cela ne suffit pas, elles changèrent de place et rapidement reprirent leurs actions. Je sentis dans ma bouche couler le sperme que je venais de déverser dans sa vulve et la léchais le mieux possible. Ce fut plus long, mais semble-t-il je les conduisit à un deuxième orgasme.
Elles me laissèrent enfin et je m'endormis rapidement.
Des mains à nouveau se promenaient sur moi, s'évertuant à me donner une nouvelle vigueur. Non, je ne rêvais pas, l'insistance paye et je me trouvais en condition rapidement. Une bouche m'enveloppa alors et entreprit une fellation qui aboutit à une éjaculation. Des rires se firent entendre et on m'enleva la cagoule. Je découvris à mes cotés Noémie et Martine nues, et entre mes cuisses France, entièrement nue elle aussi, qui terminait son action.
- C'est mieux que le réveil dit Martine ?
- Oui dis-je.
Elles m'embrassèrent alors, l'une et l'autre d'un long baiser sur les lèvres.
- Vous allez retrouver votre liberté, dit Noémie, la salle de bains vous appartient, nous prendrons le petit déjeuner ensemble. Il fait chaud ici, le déjeuner est naturiste.
Nous déjeunâmes de bon appétit, la conversation toujours très axée sur nos jeux, Martine et Noémie recherchaient de toute évidence une idée pour continuer. Il était encore de bonne heure, ce dimanche matin, et nous avions la journée devant nous. Quel sort nous réservaient-elles, nous ne le savions pas encore.
Martine se leva, prenant France par la main, elle l'amena au pied d'une des colonnes du salon, la faisant mettre de dos contre, elle lui lia les poignets derrière, ramenant les bouts de la corde devant, fit un nœud sur son ventre. Prenant ensuite un masque, elle lui ôta la vue, lui mit le casque sur les oreilles et finit par lui poser un bâillon boule, la privant de tout contact.
Noémie pendant qui avait quitté la pièce, revint avec une boite et une grande poche. Elle déballa le tout sur un coin de table, il y avait un paquet de bas et de collants, la boite contenait ses accessoires de couture. Elle dit :
- Martine, tu te souviens de la revue parlant d'encasement ?
- Oui dit-elle,
- On va essayer, il y a tout ce qu'il faut.
J'étais nu devant-elles, Noémie me tendit un premier collant de mousse épais qu'elle me demanda de mettre, pendant ce temps, avec un ciseau elle pratiquait une ouverture au fond de la culotte d'un autre. Elle me le tendit, me faisant passer la tête dans la fente et mes bras dans chacune des jambes, Ensuite elle déplia le collant, faisant coïncider les deux bandes de la ceinture. Elle m'enfila enfin un bas de même texture sur la tête, me couvrant entièrement.
Pendant ce temps, Martine qui avait pris dans la boite à couture du cordonnet et une aiguille entreprit de faire des points de couture, attachant les éléments entre eux. Une fois fini, elles recommencèrent l'opération par une deuxième, une troisième et une quatrième épaisseur de collants, les derniers utilisés pour les troisièmes et quatrièmes couches étant opaques, j'étais " dans le noir " une fois de plus.
Je sentis qu'elles me mettaient les bracelets et le collier à nouveau, puis elles m'entraînèrent, chacune me tenant par la main. Je ne réalisai ou elles m'avait conduit que lorsque je sentis qu'elles m'attachaient, j'étais dans le placard, à la place qu'avait occupée France la nuit dernière. En quelques minutes, j'étais attaché en croix, parfaitement immobilisé.
Je les entendis partir, qu'allait-il se passer ensuite, je ne le savais pas. Je restai ainsi longuement, vraisemblablement, c'était ce qu'elles avaient décidé.
Je n'eus la réponse que bien plus tard, libérant France et ayant décidé qu'elle avait bien supporté sa punition, elles étaient parties toutes trois me laissant seul à la maison.
Elles avaient pris le temps de dîner au restaurant, et il était aux environs de vingt deux heures. France dit :
- Il faut rentrer, Noémie, tu devrais libérer Marc.
Puis tout à coup :
- Mais au fait, il n'a pas de vêtements ! Nous étions équipés pour venir, il n'a que les ballerines !
Martine éclata de rire, j'étais détaché mais encore " emballé " par les collants. Noémie dit alors :
- France ce sera ton dernier gage du week-end, le challenge est de le ramener comme cela chez toi, tu le déballeras à la maison. Il n'est pas nu que je sache ? Disant cela elle m'attachait les poignets avec un cadenas, confiant la clé à France.
- Il ne pourra pas s'échapper, fit-elle.
France essaya de trouver une excuse pour ne pas faire comme cela, mais les filles se montrèrent inflexibles. Elles me conduisirent à la voiture et m'installèrent sur le siège, bouclant ma ceinture.
J'entendis Noémie dire :
- Il fait nuit à cette heure-ci, tu ne risques pas grand chose.
France démarra, et conduisit sans un mot jusqu'à son garage. Arrivés elle me dit de ne pas faire de bruit, qu'elle allait voir s'il n'y avait personne. Ensuite elle me fit sortir de la voiture et me poussa dans l'ascenseur, quelques secondes plus tard, il s'arrêtait, nous étions passés inaperçus, et poussions un ouf de soulagement.
Nous étions soulagés, mais excités par l'expérience quand même. France me tira alors par les menottes et me fit basculer sur un lit, elle m'avait amené dans sa chambre.
-Tu ne travailles pas demain dit-elle, alors je te garde cette nuit
Tout en parlant, elle avait tiré mes mains au-dessus de ma tête et les attachait à la tête du lit, puis à l'aide d'une autre corde, écarta mes pieds et lia mes chevilles je pense aux montants, m'écartelant.
J'étais prisonnier à nouveau, mais ce coup-ci de France. Elle se coucha sur moi, entreprit de me caresser et de me pincer par dessus des collants. En quelques secondes, le résultat était visible, une érection soulevait les collants. Elle gloussa et se concentra sur ma verge.
- Attends un peu dit-elle, se levant.
Je compris, sa manœuvre, elle avait pris un ciseau et faisait une ouverture, libérant ma verge qu'elle saisit, et s'empala sur elle aussitôt. Une chevauchée s'en suivit, et elle s'écroula sur moi, ronronna un moment et puis le rythme de son souffle se fit régulier, elle dormait. J'étais parti pour passer une nouvelle nuit attaché. Quel week-end !

A suivre

 

ŠLE CERCLE BDSM 2007