Il lui arrivait parfois dêtre
un peu brusque avec elle lors de leurs rapports sexuels. Elle était
habituée aux petits sévices quil lui faisait subir.
Cependant, elle ne sattendait pas à ce quil profite
de cette nuit à lhôtel pour la faire complètement
sienne
Sa chambre allait bientôt devenir sa prison, sa maison
de torture.
Comme il le lui avait demandé,
elle sétait douchée avec minutie et attendait tranquillement
quil lui dicte la position à prendre. Sans hésitation,
il inséra rapidement deux doigts dans sa chatte et constata quelle
était déjà prête à être défoncée.
Et bien non, elle allait dabord devoir comprendre à qui ce
corps appartenait vraiment!
Il la fit se lever et écarter
les jambes. Il lui noua les poignets dans le dos. Avec une corde de nylon
quil avait dissimulée dans ses bagages, il lui ficela solidement
les seins de manière à ce quils soient bien pointés
et offerts aux supplices quil avait imaginés. Elle sentait
que, déjà, son corps ne lui appartenait plus, quelle
allait en voir de toutes les couleurs! Comment faire pour échapper
à ce calvaire? En même temps, elle comprenait quelle
devait se montrer docile si elle ne voulait pas quil semporte
trop
De ses seins, il fit descendre les
cordes vers son entre-jambe, prenant bien soin de les passer bien solidement
entre ses lèvres. Le moindre mouvement allait ainsi lui meurtrir
les chairs. Elle dût ensuite sinstaller: il la fit coucher
à plat-ventre sur le tapis et remonter ses genoux vers son ventre.
Elle donnait ainsi une vue imprenable de son postérieur à
son bourreau. Et vlan! Un premier coup de fouet, suivis de nombreux autres!
Il prenait tant de plaisir à faire rougir ces fesses offertes à
son bon vouloir! Il se sentait devenir de plus en plus excité à
lidée quil dominait omplètement sa femme. La
blancheur de son derrière était chose du passé!
Après lavoir obligée
à bien le sucer, il lui délia les poignets et lui ordonna
de se coucher sur le dos en position doffrande. Nétait-il
pas le principal propriétaire de ces trous de plaisir? Pour être
certain quelle ne se mette pas à hurler, il la bâillonna.
Elle lui obéissait avec crainte, tout en ne pouvant pas sempêcher
de mouiller
Il sattaqua alors à ses
mamelons. Il les pinça et les tritura avec ses doigts. Il les foueta
aussi abondamment. Il compléta finalement ces sévices par
la mise en place de pinces judicieusement positionnées. La douleur
était insupportable, mais elle ny pouvait rien, car il avait
aussi attaché chaque poignet à chacune de ses chevilles,
de chaque côté de son corps. Elle était prise au piège,
se savait en position ridicule. Et sa vulve qui continuait tout de même
à mouiller, telle une invitation à poursuivre plus loin
ce cauchemar éveillé!
Brusquement, elle le sentit senfoncer
en elle. Il entreprit un va-et-vient vigoureux qui lui fit croire quelle
allait jouir. Il la détacha ensuite et la fit asseoir les jambes
bien écartées, les fesses au bord du lit. Des épingles
furent bientôt installées sur ses grandes lèvres.
Il se dit alors quil fallait finir le tout en beauté. Il
lui lubrifia donc lanus sans plus tarder. Il linvita alors
à venir sasseoir sur son manche dressé. Elle se dit
quelle allait au moins pouvoir contrôler linsertion
de celui-ci dans son si petit trou. Ses seins la faisaient souffrir. Et
pourtant, le supplice nétait pas terminé! Alors quelle
montait et descendait, il lui enleva une à une les épingles
qui lui martyrisaient les mamelons. Lenfer! Et il se permit en plus
de les lui frôler de ses doigts1! Il palpla ses deux boules quil
avait fait bleuir
Et comme son anus était bon, tout serré
et bien chaud! Sentant qu'il allait éclater, il lui permit enfin
de toucher à son bouton de plaisir afin quelle puisse jouir
en même temps que lui. Elle pouvait bien avoir un instant de bonheur
après tous les maux quil lui avait fait vivre. De toute façon,
elle allait le payer cher une prochaine fois
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