Histoires Des Invités
Houston
Par Sweet Christi
Traduit par Rose Mimbo
Elle arrive à Houston juste à l’heure. Elle n’y était encore jamais allée
et elle est tout excitée non seulement de découvrir les lieux, mais aussi
de le revoir. Cela fait plusieurs semaines, et entre les coups de
téléphone, les courriels et son « travail à la maison » nocturne à lui,
elle s’est transformée en frénésie sexuelle qui pourrait rivaliser avec un
homme sortant de prison.
Tous les jours, il lui a envoyé des courriels lui demandant de se mettre au
sommet du désir mais de n’en pas franchir la limite. Elle est frustrée et
dans un état d’excitation constante, elle n’aspire qu’à l’explosion.
Elle se fraie un chemin dans la foule des gens qui cherchent leurs amours.
Elle donne de petits coups d’œil aux nombreux maris qui attendent leurs
épouses, et aux enfants qui attendent leur parents, tout en continuant sa
recherche. Elle le voit qui attend patiemment, les bras croisés sur la
poitrine, au-delà de la foule. Il arbore un petit sourire tranquille qui
adoucit ses traits parfois sévères. Lorsqu’elle s’approche de lui, il lève
les bras pour l’envelopper. C’est une des choses qui lui manquaient le
plus. Lorsqu’il l’enlace, elle se sent en sécurité, protégée. Après une
étreinte finale, il la libère et prend son bagage.
Il prend sa petite main dans la sienne et la fait sortir de l’aéroport pour
l’emmener à sa voiture. Il est presque minuit et le garage est sinistrement
silencieux et sombre. Elle le suit tranquillement tandis qu’il traverse
résolument le parking. Il y a un moment qu’ils marchent et elle se demande
à quelle distance il s’est garé. Il ne lui a pas encore parlé, aussi se
contente-t-elle de respecter le silence en se taisant également.
Ils parviennent enfin à la voiture. Elle est garée dans un coin sombre et
tranquille. Il lâche sa main, ouvre le coffre et y dépose sa petite valise.
Puis il se retourne et lui reprend la main. Il l’attire entre la voiture et
le mur, l’incline le dos contre la voiture et prend sa bouche. Tout
commence par un doux baiser, gentil, presque hésitant. Lorsqu’elle passe
hardiment ses bras autour de son cou et se transforme en un être passionné,
sauvage et dans le besoin, il le lui permet car il sait que c’est sa
dernière démonstration sans sa permission. C’est un baiser qui, en
lui-même, est aussi chaud que deux corps nus se tordant de désir.
Lentement, il retire ses bras de son cou. Sans un mot, il la retourne dans
ses bras pour qu’elle se retrouve face à la voiture. Il lui pose les mains
sur le toit de la voiture. Il murmure dans ses cheveux :
« Ne bouge pas tes mains et écarte les jambes pour moi. »
Elle est déjà mouillée et voudrait qu’il la remplisse... Sa voix lui fait
presque franchir la crête. Elle ouvre les jambes. Sans la barrière d’une
culotte, la jupe qu’elle porte ne cache rien à sa main. Il passe le bras
autour d’elle et glisse ses mains sous son chemisier. Il prend ses mamelons
tout durs entre ses doigts et les fait rouler pour obtenir des pointes bien
raides. Elle gémit dans le silence du parking puis jette rapidement un œil
pour s’assurer que personne ne regarde. Il lui donne des chiquenaudes et
joue avec ses petits tétons dressés. Il serre ses seins une dernière fois…
puis il retire ses mains et soulève sa jupe. Elle a fait ce qui lui était
ordonné, et il est content de ne pas y découvrir de culotte.
Tout à coup, leurs deux têtes se redressent. Quelqu’un vient. Il place
silencieusement sa main sur son dos. Elle se calme et laisse ses mains où
il les a mises. Il se tient à côté d’elle mais il laisse sa jupe au-dessus
de sa taille. Une partie de lui espère qu’on va la voir dans cette
position. Elle a toujours été un peu exhibitionniste et il adore montrer
son parfait petit lot. Un couple souriant s’approche. Ni Christi ni David
ne bougent. Ils se contentent d’attendre... elle, la tête basse, et lui,
grand et insolent. Le couple qui s’avance semble avoir quelque idée sur ce
qui se passe mais ne fait aucun commentaire. Il entre dans sa voiture et
s’en va.
David se retourne vers elle. Il sourit en voyant que, malgré sa gêne
évidente, elle n’a jamais bougé ses mains. Elle mérite une récompense. Il
glisse sa main sur ses fesses rondes. Il retire sa main et frappe fort sa
peau parfaite, couleur ivoire. Le bruit résonne dans tout le parking. La
respiration de Christi s’alourdit. Il porte sa main à sa bouche, sort sa
langue et lèche sa grande main. Puis il la ramène en arrière et frappe à
nouveau son cul ferme. Elle grimace sous la douleur mais elle adore chaque
instant. Il baisse sa main et la trouve brûlante te dégoulinante… elle est
toute prête pour lui. Il détache son pantalon et le laisse tomber.
Lorsqu’enfin il la pénètre, elle gémit de plaisir et de besoin. Les mains
de David prennent ses hanches et il la ramone durement. Sachant qu’ils
peuvent être surpris à tout moment, il la baise vite et bien. La
possibilité d’être surpris l’excite. Le fait qu’elle soit à lui pour faire
ce qui lui plaît, l’excite. Et savoir qu’il peut la transformer en gélatine
d’un simple contact l’excite aussi. Il murmure à nouveau à son oreille :
« Jouis pour moi, ma petite salope… Jouis sur ma queue bien dure ! »
Sa voix est juste ce dont elle a besoin, alors qu’elle sent l’orgasme qui
la fait monter de plus en plus haut. Elle se mord la langue pour essayer de
ne pas manifester trop fort tandis que le liquide chaud sort de ses
entrailles. Il la suit avec plaisir au-dessus de la crête et se répand en
elle. Il pose son front sur son dos et essaie de retrouver son souffle.
Lentement, tous deux reviennent ensemble sur terre. Elle sourit lorsqu’il
rabaisse sa jupe et remonte son pantalon. Lorsqu’il lui ouvre la porte,
elle dispose sa jupe pour couvrir et protéger le siège de sa voiture.
Le trajet vers chez lui est agréablement meublé de rires et de bavardages.
Ce séjour de trois jours promet d’être bon…
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