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Ceci représente quelques fragments
d'un journal tenu par un esclave latex, condamné à la chasteté
et à l'obéissance permanente, qui se manifestent par l'obligation
d'être le plus souvent en situation de " total enclosure "
en latex, c'est à dire un enfermement total dans des vêtements
de latex, le plus souvent en situation de bondage.
Extrait du rapport du 20 mai 2008 :
?" L'esclave a été place sous bondage intensif et total
enclosure le 19 mai à 22h31. Le matériel employé
est un sac latex type body bag, étroit et épousant totalement
le corps sans possibilité de mouvement et un masque intégral
multi-fonction Studio Gum équipé d'un sac de respiration
. L'esclave a été ensuite cadenassé dans cet équipement
jusqu'au 20 mai 6h57. L'esclave qui avait abondamment sué et uriné
dans ce sac sans y avoir été autorisé a été
ensuite longuement douché à l'eau glacée. L'esclave
n'a apparemment pas souffert de ce traitement."
Rapport du 22 mai : ?" L'esclave
a été placé dans le même sac que le 20 mai
avec le même masque. Il portait toutefois un pantalon en SBR et
une chemise latex. Puis il a été placé sous une couette
pour subir le traitement thermique N°1 - chaleur régulière
- qui conduit à une intense sudation. Réveillé à
5h30 l'esclave a été extrait du sac et du masque, mais a
gardé les autres vêtements pour subir sa douche glacée
quotidienne. Il a du garder les vêtements trempés d'eau glacée
sous son peignoir latex afin d'exécuter ses tâches domestiques
matinales, notamment le service du petit déjeuner à sa maîtresse.
Seul son sexe a été douché à l'eau très
chaude, la chaleur transmise à la coque en acier dans laquelle
son sexe est enfermé en permanence provoquant une douleur au pénis,
plaisir puis progressivement sensation de brûlure. L'esclave est
désormais habitué à ce traitement devenu le seul
plaisir apporté à ses parties génitales"
Rapport du 27 mai 2008 : ?" L'esclave
a pris connaissance hier soir vers 22H00 de son traitement pour la nuit.
Sa cage a été déverrouillée et remplacée
par un sac de cuir dans lequel ont été enfermés son
pénis et ses testicules, entièrement rasés de frais.
Ce sac de cuir, serré et cadenassé, et entièrement
tapissé à l'intérieur de fines pointes d'acier. AU
repos, ces pointes sont très sensibles et s'enfoncent dans le sexe
dès la moindre érection. L'esclave a ensuite revêtu
son épaisse combinaison intégrale de punition ( pieds et
mitaines) Studio Gum et son masque Studio Gum avec sac de respiration,
puis s'est glissé dans un épais sac latex d'origine anglaise,
Regulations. Ce sac a été refermé, la fermeture éclair
étant à son tour verrouillée par deux cadenas. Couché
au sol, l'esclave a du subir à la fois une intense sudation, et
la morsure constante de ses parties génitales par les pointes métalliques.
Levé à 6h30, douché à l'eau glacée
comme de coutume, l'esclave a du remettre sa cage en acier inox sans être
autorisé à jouir. L'esclave n'a pas eu droit à l'orgasme
depuis janvier 2008 et semble aujourd'hui condamné à ne
plus jouir sans que ce verdict ne lui ait été notifié."
?Fin du rapport, écrit en peignoir latex et cagoule. 7h56.
Rapport du 28 mai : ?" L'orage
qui sévissait sur la ville hier soir a permis à l'esclave
de vivre sa passion du full enclosure d'une nouvelle et intense manière.
Il lui fût en premier lieu ordonné d'échanger sa cage
inox contre la "cage de punition", composée d'un anneau
de 3 cm de diamètre comportant 6 pointes et d'un tube inox également
comportant trois pointes réglables. Une fois cette modification
accomplie, il dut enfiler une première combinaison de latex fine,
puis un jean et une chemise latex, des bottes de caoutchouc noir, et son
imper SBR avec une capuche. L'imper est attaché aux cuisses par
des sangles internes cadenassées qui le rendent inamovible. Ainsi
vêtu, l'esclave sortit pour deux heures dans les rues avec pour
mission d'aller dans les quartiers fréquentés, de s'asseoir
à la terrasse d'un café afin que chacun puisse voir son
équipement, qui parut d'ailleurs tout à fait raisonnable
aux rares passants affrontant les intempéries. De retour, totalement
trempé, il fut immédiatement enfermé ainsi habillé
pour la nuit dans le sac "Regulation" suffisamment grand pour
y conserver les bottes, avec une cagoule de contrôle de respiration,
comportant un sac intégré et deux trous pour la pénétration
de l'air. Cette cagoule intense oblige à maîtriser sa respiration
pour éviter que le sac ne se colle contre la bouche et le nez.
L'esclave est en cours d'entraînement avec cette cagoule et ne put
la garder qu'une heure avant de retrouver une cagoule gonflable à
laquelle il est désormais tout à fait habitué."
?Fait à 7h48, encore en combinaison latex.
Rapport du 29 mai : ?" Nuit de
routine : chemise latex, pantalon latex, sac Coccoon intégral,
mais deux cagoules, celle du masque MFM1 de Studio Gum, et la cagoule
intégrée du sac... Respiration non contrainte. Température
idéale, sudation normale."
30 mai : " Nuit classique en combinaison
latex et sac intégral. Température agréable."
?En cinq, nuits, l'esclave aura passé 35 heures en total enclosure...
Une bonne semaine de trente cinq heures obligatoires.
Lundi 2 juin ? " Dimanche, l'esclave a passé la matinée
en combinaison latex, enfermé dan le sac avec le masque Studio
GUM avec sac de respiration. Maîtresse a joué avec l'entrée
d'air de ce sac a plusieurs reprises, provoquant une délicieuse
absence d'air savamment dosée, imprévue, intense. Volupté
d'être totalement enfermé, immobilisé, sanglé
dans le latex et d'être le jouet de ses manipulations expertes.
?Nuit de dimanche à lundi banale, sac Cocoon avec cagoule."
Rapport du 7 juin ?"Après
avoir été vêtu toute la journée en latex, l'esclave
a du absorber 2 l d'eau de Vittel, puis été enfermé
pour la nuit avec ses vêtements dans l'épais sac gonflable,
entièrement fermé, ne pouvant respirer que grâce à
un tuyau caoutchouc enfoncé dans la bouche. Réveillé
à 5h00, il a du prendre une douche froide entièrement habillé,
puis être à nouveau enfermé dans le sac empli d'eau
et d'urine jusqu'à 7h30, soit 25 heures consécutives en
latex"
" L'objectif du "total enclosure"
est de dissoudre totalement ma personnalité dans un cocon latex
anonyme et permanent rendant concrète ma condition d'esclave. Le
but n'est pas d'y trouver un plaisir sexuel classique mais de subir de
façon constante cette situation, ce qui évidemment crée
le plaisir de la soumission et du déni d'orgasme. "
24 juin.... Nuit ordinaire, presque
fraîche, en jean et chemise latex, enfermé dans le sac intégral
avec cagoule, contraint de dormir à même le sol au pied du
lit de la maîtresse. Soumission totale.
A suivre
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