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CHAPITRE
1: VOISINS, VOISINE - LA REVELATION
Je n'ai pas de problèmes avec
mes voisins sauf avec un : c'est homme d'environ trente cinq ans, Denis,
un beau gaillard, taciturne et peu loquace, le poil blond, un peu empâté,
mais moins que moi. Il est marié à une femme plus âgée,
Diane, très sympathique, mais souvent en déplacement. Ils
ont tous les deux un enfant d'un précédent mariage, un garçon
et une fille, mais je ne les vois quasiment jamais. Je crois qu'ils vivent
à Paris chez leurs parents respectifs. Lui, par contre, est souvent
à la maison car, comme moi, il gère pas mal de choses de
chez lui. Il travaille dans une société de négoce
de matériel agricole et de produits d'élevage. Nous lui
avions passé une commande d'aliments pour la basse-cour et les
autres bestioles de Carole, mais il y avait eu un litige, je ne me rappelle
plus pourquoi. Carole en sait plus que moi à ce sujet. Le différend
s'était envenimé, et je crains que ce fait ait été
aggravé par l'alcool. Je lui avais promis de venir le voir pour
arrondir les angles -Carole ayant son petit caractère -mais entre-temps
il avait " invité " de force mon épouse à
lui tenir compagnie, ce qui m'avait un peu refroidi. Pourtant, je ne voulais
pas en rester là, d'autant que nos deux couples avaient jusqu'à
présent d'excellents rapports.
Quelques semaines plus tard, - nous étions fin juin - après
le dîner, l'émotion étant retombée, je confiai
à mon épouse:
-" Si on commence à l'ignorer maintenant que ça va
un peu mieux, on risque d'aggraver les choses. On devrait lui rendre visite...
" Carole répondit :
- " Non merci ! Vas-y tout seul, il me fait peur ! J'irais quand
Diane sera rentrée. "
- " D'accord, j'y vais. Alors, soit je reviens tout de suite et en
courant, soit ça risque d'être assez long pour recoller les
morceaux... "
- " Prends ton temps, moi je reste devant la télé,
j'ai enregistré plein de feuilletons pour les filles. Comme ça
je n'entendrais pas tes commentaires ! "
Je partais donc : Cent cinquante mètres
de marche ! Le ciel était sombre malgré l'heure et la saison,
et il commençait à pleuvoir, quelques grosses gouttes éparses.
" Ca s'annonce bien ! ", Pensai-je. Les volets étaient
fermés sur une grande partie des façades. Cela m'inquiétait
peu car Denis, un peu flemmard comme beaucoup d'hommes seuls, n'ouvrait
que le strict nécessaire. D'ailleurs, les volets de la cuisine
et du salon étaient ouverts, et la lumière était
allumée. On ne voit rien de la rue, l'angle est mauvais, et plus
loin la vue est masquée par de nombreux arbres. Je sonnais au portail,
plusieurs fois, pas de réponse. Enfin, je le vis arriver du fond
de son jardin ; il devait achever une tâche quelconque avant l'orage.
Arrivé à ma portée, il me fixa avec un regard froid,
sur la défensive :
- " Oui, c'est pour quoi ? "
- " Salut ! Je voulais te dire bonjour, discuter un peu... On n'a
pas trop eu le temps la dernière fois... "
- " Je crois qu'on n'a rien à se dire. " J'hasardai :
- " Tu voulais pas me voir pour une histoire de clôture ? "
Il m'en avait parlé, mais cela faisait au moins six mois
- " Mouais... Entre, je finis et j'arrive. "
Je ne me fis pas prier, vu le temps. J'entrai dans leur grande maison,
décorée avec goût - Diane est une antiquaire renommée,
c'est pour cela qu'elle est souvent en déplacement. Le salon baignait
dans une douce lueur dispensée par de nombreux photophores. Denis
entra après moi, trempé ; L'orage prenait de la vigueur
: beaucoup d'eau, mais heureusement peu de foudre et de vent : depuis
que je suis propriétaire, je m'en méfie.
- " Assieds-toi, je me change et j'arrive. " Il gravit rapidement
les escaliers qui mènent à l'étage.
Je m'exécutais donc : il m'avait désigné un grand
sofa, dans lequel Carole et moi avions l'habitude de nous installer lors
de nos visites. Il faut dire qu'ils sont très accueillants : sur
la table basse devant le sofa étaient disposés une coupe
de fruits, un service à thé et à alcool, des chocolats,
des biscuits...
Denis revint transformé : il était tout sourire et gentillesse,
et arborait une longue chemise de nuit en coton qu'il avait dû emprunter
à son épouse -quoique j'aie les mêmes ! - et des sandalettes
indiennes.
- " Tu bois quoi ? Thé, café, bière, whisky
?
"
J'ai appris une chose avec Denis, c'est qu'il ne faut pas lui dire non
: il continuera à proposer tout ce qu'il a dans sa maison jusqu'à
ce qu'on lui cède.
- " Va pour une bière, alors... "
En attendant son retour de la cuisine ou de Dieu sait où, je méditais
sur sa personnalité étrange. J'en étais parvenu à
la conclusion que c'était quelqu'un de sensible et généreux
et qu'il a dû se sentir trahi par notre silence, lorsqu'il réapparut
avec un plateau chargé de bières et de biscuits apéritifs.
- " Alors, ça va , qu'est ce que tu racontes ? "
Vu la tournure des choses, je pris la décision d'escamoter tout
ce qui pourrait ramener la conversation sur les sujets de voisinages.
Nous discutâmes donc de banalités, de nos épouses
et animaux respectifs - pardon pour l'amalgame !
Je commençais à me sentir euphorique, sûrement grâce
à la bière :
- " Hou là, elle cogne ! Quatorze degrés ! " Dis-je
en déchiffrant l'étiquette. Je ne bois quasiment jamais.
Je remarquai que Denis profitait aussi des effets de la bière :
il avait un début d'érection qui soulevait son Tee-shirt
à rallonge. Il ne portait visiblement pas de sous-vêtements.
Il vit que je m'en étais aperçu et releva son bassin pour
mettre son sexe en évidence :
- " Eh oui, ça fait un moment que j'ai pas eu ma " Lady
Di " sous la main... "
En un éclair je repensai à toutes mes expériences
homosexuelles de mon adolescence, aux garçons attirés par
mon côté fille (j'étais très mignonne) et par
mes seins de pré-adolescente (et aussi un peu enveloppé,
déjà)... que j'ai cruellement chassés, alors que
quand j'étais seul j'avais un désir violent de leur appartenir.
Ce souvenir me hante encore souvent, ainsi que les regrets
Mais ce soir, l'alcool et l'orage m'excitent, et avec l'âge on fait
fi des conventions. Je me penche vers lui, glisse ma main sous sa chemise
de nuit, remonte maladroitement le long de ses cuisses, caressant du bout
des doigts ses gros testicules et son sexe, bien proportionné pour
moi (j'en ai un petit), mais un peu mou encore. Il n'a pas esquissé
un geste, juste un petit mouvement de plaisir.
- " Tu
Tu veux que je m'occupe de toi ? " Lui soufflai-je.
- " Oui, vas-y... " il releva sa chemise et attira ma tête
vers son sexe que j'engloutis aussitôt. Il était déjà
humide de désir et j'avalai cette liqueur avec délice. J'allais
et venais tout doucement, sans trop serrer son membre, en pétrissant
ses grosses couilles. Je n'avais jamais sucé un garçon,
mais c'est comme ça que j'aimerais qu'on me le fasse. M'étant
mis à genoux devant lui, je cambrai mes reins et je sentis mon
petit trou s'ouvrir, me provoquant une envie furieuse de me faire pénétrer.
Je me dégageai lentement de son sexe tout en le gardant bien serré
entre mes mains et lui fit part de mon désir en le regardant dans
les yeux :
- " J'ai envie que tu m'encules... " Je sentis son sexe faire
un bond entre mes mains, c'était bon signe. C'était la première
fois que je m'offrais à un garçon. Je me libérai
rapidement de mes vêtements pour me retrouver entièrement
nu devant lui. Je regardais autour de moi pour trouver de quoi me lubrifier.
J'avisais les bananes de la coupe de fruit :
- " Enfonce une banane dans mon cul, tu verras, ça marche
très bien. " J'avais déjà essayé ça
avec succès dans ma jeunesse... Je m'allongeai, le ventre sur le
coin du sofa, la croupe offerte. Denis tenta de m'enfoncer la banane,
mais elle cassa dans mon petit trou toujours trop serré à
mon goût.
-" Enfonce la avec tes doigts, caresse-moi ! " Denis m'enfonça
deux doigts englués de banane écrasée et me caressa
en tournant ses doigts. Que c'était bon ! Je matais la scène
dans un grand miroir ancien. Après quelques minutes de ce traitement,
mon anus était devenu bien plus accueillant. J'allais inviter Denis
à me pénétrer, mais il avait déjà cessé
ses caresses et je sentais son gland humide frapper mes fesses. Je sentais
que j'étais trop bas et attirai rapidement deux gros coussins en
cuir sous moi. Il m'arrive de sodomiser Carole de cette façon,
et je savais comme il était désagréable de ne pas
être en position confortable. Elle n'aime pas ça, mais elle
aime me faire plaisir. Elle me propose même son petit trou lorsqu'elle
est en " travaux ", comme elle dit. Elle m'accompagne bien en
ondulant de la croupe, mais elle n'en tire visiblement aucun plaisir,
et ça rend le mien un peu triste.
Denis me pénétra en douceur, par petits coups, de plus en
plus profond. Cela me fit plus mal que j'aurais cru, son sexe étant
de taille assez respectable. Je poussais des petits cris à chaque
pénétration, ce qu'il prit pour des encouragements. Petit
à petit, la douleur fit place à un plaisir profond que je
n'avais jamais encore ressenti. Denis me prenait les seins à pleines
mains et les pétrissait sauvagement. Je n'avais jamais connu une
telle sensation, même quand j'avais exploré cette voie moi
même.
Soudain je sentis Denis se dégager rapidement et se relever. Je
me dis qu'il voulait changer de position. En fait, je regardais autour
de moi - j'avais fermé les yeux pendant un grand moment - et je
vis avec stupeur Diane, debout dans l'encadrement de la porte, derrière
nous. Elle était rentrée à l'improviste et a dû
nous épier par la fenêtre. Elle était trempée,
ses longs cheveux châtain clair dégoulinants sur son grand
tee-shirt, un sac à l'épaule. Elle n'était pas très
jolie, petite et assez boulotte, le visage rond, ses seins qui à
mon souvenir n'avaient jamais vu de soutien-gorge tombant sur un gros
ventre, les fesses et les cuisses bien rondes. Ce qui me plaisait le plus
en elle était le fait qu'elle se moquait de son physique, qui ne
collait pas avec son métier et son intérieur. Je n'arrivais
pas à définir son expression, toujours est-il qu'elle devait
être là depuis un petit moment, peut-être même
qu'elle nous avait vu par la fenêtre car nous ne l'avions pas entendu
entrer. Denis était tétanisé. Moi non plus je n'osais
pas bouger. J'étais encore dans la même position humiliante,
offerte.
Comme j'allais me relever, elle me lança :
- " Mais c'est notre petit voisin ! Non, ne bouge pas ! " Et
à son mari :
- " Tu aurais pu fermer les volets, heureusement que j'y pense !
Je t'en prie, finis de baiser ta poupée gonflable ! "
Je fus choqué par son vocabulaire, bien plus châtié
d'habitude. Son ton était étrange, assez neutre : à
cet instant, je ne pouvais pas dire si c'était une colère
sourde ou une terrible excitation. Il me rappelait confusément
une expérience que j'avais vécue dans un lointain passé.
Elle ferma rapidement les volets, en nous quittant des yeux le moins possible.
Comme nous étions figés sur place, penauds et honteux, elle
encouragea Denis d'une voix plus câline :
- " Vas-y, ça ne me gêne pas... " Nous étions
beaucoup moins fougueux. Elle entraîna doucement Denis par le sexe,
me remit en position d'une main ferme et même assez brutale. Elle
se défit rapidement de ses vêtements : un short saharien,
un tee-shirt, une culotte et des sandales, trempés, et se sécha
sommairement avec la chemise de nuit de Denis. Elle s'agenouilla derrière
lui, l'enlaça tendrement et tenant toujours son sexe, tenta de
me le rentrer dans mon petit trou. Malheureusement, je m'étais
sérieusement contracté et l'érection de Denis avait
beaucoup baissé. Je sentais Diane s'énerver :
- " Tu étais plus ouverte que ça, tout à l'heure,
salope ! " Elle me frappa comme elle put sur le haut de la fesse
droite, ce qui me fit crier, plus de stupeur que de douleur.
- " Doucement ! " Lui murmura Denis. Je remarquai rapidement
la différence avec laquelle elle nous traitait :
- " Non, laisse, elle a raison, c'est ma faute. " Interviens-je.
Je prenais pleine possession de ma qualité d'esclave sexuel. Je
commençais à aimer la tournure des évènements.
Je me souviens maintenant de la dernière fois que j'avais entendu
une femme parler de cette façon d'enfant cruel : c'était
dans mon enfance, je devais avoir une dizaine d'année. Comme j'étais
turbulent, une grande fille de ma rue - elle devait avoir quinze ans -
m'avait ligoté en prenant bien soin de me faire passer la corde
sur mes parties et profondément dans la raie, les jambes repliées.
Je m'étais soumis à sa voix autoritaire, et ça la
faisait bien rire. Elle me libéra après une dizaine de minutes,
après m'avoir longuement maintenu sous sa semelle, avec une préférence
pour mon sexe. Par la suite, je n'ai plus eu affaire à elle. Dommage.
Diane repoussa tendrement son mari vers ma tête :
- " Je vais te préparer le passage. Va dans sa bouche en attendant
qu'elle soit prête. "
J'adorais la façon dont j'étais traité : un jouet
pour un garçon gâté, que sa maman essaye de faire
marcher. En plus, si elle me traite de salope... Elle dut remarquer la
banane à peine entamée sur la table basse. Moi, je ne voyais
plus rien, le visage dans la forêt pubienne de Denis :
- " C'est avec ça que tu lui as beurré le trou, mon
chéri ? " Denis opina de la tête, déjà
Il allait et venait dans ma bouche comme s'il était encore dans
mon cul.
Diane me décocha une violente claque sur les fesses :
- " Regarde mon mari dans les yeux quand il te baise ! " J'obéis
immédiatement, cela renforçait mon humiliation. Diane essaya
de m'enfoncer la banane, mais elle cassa encore, ce qui l'agaça.
Denis, qui commençait à être sérieusement excité
par la conduite de sa femme, ainsi que pas ma soumission, se prenait au
jeu :
- " Enfonce-lui tout avec tes doigts, je suis sûr qu'elle adore
ça... Hein, ma poule ? " Il se retira de ma bouche le temps
de me laisser répondre :
- " Oh oui, j'aime ça, faites ce que vous voulez de moi...
" Diane eut un petit rire :
- " Heureusement ! Tiens, je suis en train de te farcir comme la
grosse dinde que tu es ! Tu as vraiment un beau cul, j'aimerais bien te
sauter. Tu devrais t'épiler, et mettre des bas et un porte-jarretelles,
tu serais encore plus bandante. Et aussi mettre une perruque de blondasse
et te maquiller comme une petite pute ! " Je sentais ses doigts pousser
la pulpe de banane le plus loin possible. Quand elle eut fini, je me sentis
plein, et elle me donna ses doigts à sucer :
- " Nettoie-moi, tu m'as salie, vilaine ! "
Elle fourragea un moment sur la table basse, au bruit je devinais qu'elle
prenait la bouteille de bière que je n'avais pas terminée.
Elle me planta le goulot dans les fesses sans ménagement et se
mit à la secouer vigoureusement, ce qui finit de la vider entièrement
dans mon derrière. L'alcool me brûla puis m'anesthésia
un peu. Elle tenta de me l'enfoncer plus profond mais je criai de douleur
:
- " Tu me fais trop mal ! Je n'ai pas envie d'aller à l'hôpital
pour me la faire sortir ! " Elle me fessa bruyamment :
- " Tu te prends pour qui, raclure, pour me tutoyer ? Je ne t'ai
pas autorisé à parler ! Puisque tu t'inquiètes tant
pour ton petit cul, Je voulais juste tester tes limites. Je vais te fourrer
avec autre chose, j'espère que tu pourras me donner plus de satisfaction
! "
- " Merci, maîtresse ! " Risquai-je. Je perçus
un sourire triomphal sur son visage quand elle passa dans mon champ de
vision. Elle quitta la pièce, en quête d'un objet plus à
même de me dilater sans danger pour moi. Denis était sorti
de ma bouche pour se ménager : cela aurait été dommage
que Diane m'ait préparé pour rien ! Elle revint avec une
bougie décorative du plus bel effet... sur moi. Elle faisait une
quarantaine de centimètres, conique, de trois à dix centimètres
de diamètre d'un bout l'autre, avec des motifs indiens en relief.
Diane s'agenouilla derrière moi et entreprit de me l'enfoncer.
C'était vite devenu douloureux et je me dérobai à
ses coups de boutoir, en abandonnant le sexe de Denis -que je venais juste
de reprendre - pour crier. Il compatissait silencieusement. Il s'écarta
car il avait remarqué que j'aimais nous regarder dans le miroir.
D'ailleurs, il faisait de même.
Diane me fessa encore :
- " Arrête de bouger, connasse, tu veux que je sois méchante
? Si tu ... "
Soudain, le téléphone sonna. Je hais ces engins. Rien de
mieux pour briser l'ambiance. Diane, sans quitter sa position de torture,
attrapa le téléphone sans fil sur un guéridon voisin.
Elle reprit la voix enjouée que je lui ai toujours connue :
- " Oui ? ... Ah! Salut Carole ! " C'était ma femme.
De mieux en mieux. Tout en devisant avec une bonne amie, Diane continuait
de me sodomiser sans ménagement. Seulement, là, j'étouffais
mes cris. Elle cala le téléphone sur son épaule pour
avoir les mains libres :
- " Eh oui, ce soir... Non... Oui, il est là, ils font quelque
chose de compliqué avec l'ordinateur de Denis. " Lasse de
me voir me dérober sans cesse, elle me donna une petite claque
pour ne pas faire trop de bruit, m'attrapa énergiquement par les
testicules et me tira en arrière.
- " J'évite de les dér ... Ah bon ? ... Tu as besoin
d'aide ? ... OK... Oui... Je... Je lui dirais... Non, il est sage, il
a bu son biberon avec Denis... D'accord, mais je lui en ai déjà
mis une ! (Rires)... T'inquiètes pas... Salut, Bises ! " et
elle raccrocha :
- " C'était Carole : elle dit qu'elle part chez... heu...
Mélanie, elle l'a appelé d'urgence, c'est juste pour pas
que tu t'inquiètes en rentrant. Tu as une belle femme, je me la
ferais bien. J'adore ses gros seins blancs tout rond, sa touffe de feu
avec un petit grain de beauté dans le coin de la lèvre,
et son beau cul bien pommé aussi. Il faudra que tu me la prêtes.
Je lui donnerais sûrement plus de plaisir que toi ! " J'étais
perplexe : elle l'a déjà vue nue ? Elle re-durcit le ton
:
- " Maintenant, tu vas arrêter de bouger ! " Elle fourragea
dans le tiroir du guéridon en maintenant le gode en place d'une
main et en sortit un morceau de fine chambrière en corde satinée.
Elle fit un nud coulant, me le passa à la base de mon sexe
-malgré la terrible excitation que je ressentais depuis le début
je n'étais pas en érection, j'étais trop soumis pour
ça - sans oublier les testicules. Elle retira brusquement la bougie
pour la caler en haut de ses cuisses. D'après les mouvements de
ses mains, elle dût écarter ses lèvres qui chevauchaient
ainsi le gode improvisé pour avoir un contact plus intime. Elle
tendit la corde et se l'enroula autour de la taille de façon à
m'avoir à sa merci. Elle me pénétra ainsi, sans brutalité.
Elle continua à me distendre le petit trou pendant encore cinq
minutes. Elle poussait de profonds soupirs en faisant des va-et-vient
lents et profonds. Puis elle rappela Denis que j'avais abandonné
depuis un moment, trop occupé à me débattre :
- " Viens mon chéri, son cul est à point, c'est du
velours ! " Elle détacha la chambrière de sa taille,
mais la garda entre ses cuisses. Elle se recula pour laisser la place
à son mari au comble de l'excitation. Assis sur le sofa, devant
nous, il était resté les yeux rivés sur le miroir.
Il présenta son gland bien dur maintenant contre mon cul et commença
à me pénétrer doucement. Diane avait repris sa place
derrière Denis, tendit la chambrière en la tirant entre
leurs cuisses, par derrière. C'est elle qui dirigeait la pénétration
: elle me forçait à m'empaler sur le sexe de Denis en me
tirant en arrière et poussait les fesses de son mari à grands
coups de boutoirs en l'enlaçant de très près pour
éprouver ce qu'il ressentait :
- " Comme je voudrais avoir une queue pour pouvoir défoncer
des culs comme celui de cette petite pute ! " A peine eut-elle prononcé
ces mots que Denis jouit bruyamment et vida son sperme chaud et abondant
dans mes entrailles. J'en ressentis un grand plaisir, non loin de l'orgasme.
Quelques instants plus tard, lorsque Denis reprit ses esprits, et qu'il
se soit rassis sur le canapé devant moi, Diane libéra mon
sexe qui commençait à s'engorger, mais pas mes testicules.
Elle tira un coup sec sur la chambrière :
-" Lève ton gros cul de là et allonge-toi sur le tapis
! " Le tapis en question était de l'autre côté
de la table basse, plus près du miroir. Je m'allongeai sur le ventre,
en prenant soin de me placer de façon à ne rien louper du
spectacle qui s'annonçait. Je vis Diane ramasser le bout de la
cordelette. Elle m'écrasa les fesses de son pied nu et commença
à l'insinuer dans mon trou bien lubrifié en poussant fort,
tout en me faisant remonter mon sexe entre mes cuisses en le tirant par
ma laisse. Je poussais un cri de douleur.
- " Tu crois peut-être que je vais passer mon temps à
t'enculer, ma chérie ? Sur le dos ! " C'était la première
fois que je la voyais de face depuis qu'elle s'était mise nue :
elle était entièrement épilée, ce qui mettait
en valeur son abricot bien rebondi et fendu très bas.
Je craignais de ne pas pouvoir me retenir longtemps si elle voulait prendre
son pied sur mon petit membre. Diane fit le tour de ma personne et me
donna son pied souillé à sucer. Je m'attardais sur son gros
orteil, que je suçais en faisant des va-et-vient. Elle paraissait
enfin apprécier ma conduite :
- " Tu es vraiment une bonne petite suceuse ! Allez, tourne-toi,
maintenant ! "
Je m'exécutai : mon sexe était pitoyable, ramolli, presque
pas en érection, tout dégoulinant, les couilles toujours
étranglées par la chambrière. J'étais un peu
inquiet, mais à ma grande surprise, Diane n'y jeta pas un regard.
Elle vint s'installer à genoux sur ma bouche, à l'envers.
Je compris tout de suite pourquoi elle avait dédaigné mon
sexe :
- " Ne t'étrangles pas avec le cordon ! " Dit-elle en
riant. En bon petit esclave, je me mis à la lécher le plus
largement possible malgré ma situation inconfortable. Ses lèvres
et son clitoris étaient durs et gonflés.
. D'aussi près, elle ne pouvait pas me cacher son excitation et
j'étais fier d'en être responsable. Elle oscillait son bassin
pour que j'insiste sur ses endroits préférés. J'ai
tenté de lui caresser les seins, mais elle me frappa les mains
et tira sur la chambrière qu'elle ne lâchait pas et dont
elle usait pour me rappeler à l'ordre :
- " Toi, tu n'as le droit de toucher que mon cul, et encore, si je
le veux ! " Elle attrapa ensuite sur la table plusieurs chocolats
qu'elle s'enfourna un par un dans les fesses, juste sous mes yeux :
- " Ce sera ta petite récompense. Ne dis pas que je ne te
gâte pas ! "
Comme son excitation grandit, elle se mit à me pincer et tirer
les tétons pour que je mette plus d'entrain, tout en gardant ma
laisse enroulée autour du poignet. Denis, excité par la
contemplation de notre duo, était de nouveau en érection
et voulait participer : il m'enjamba et présenta son sexe devant
la bouche de son épouse. Elle n'était pas d'accord :
- " Non, tu sais bien que je n'aime pas ça. En plus tu viens
de l'enculer. Baise-la, plutôt ! " Comme il ne savait pas comment
s'y prendre, elle lui fit mettre les gros coussins sous mes reins pour
me surélever. Je participai du mieux que je pouvais en me tortillant
et écartant les cuisses en grand. Diane me fit comprendre que ce
n'était pas suffisant en tirant la cordelette :
- " Lève tes cuisses, petite conasse ! On ne t'a jamais appris
à te faire sauter dans ton bordel ? "
Il me pénétra par petits coups, mais prit beaucoup moins
de précautions qu'au début, si bien que je commençais
à avoir mal au ventre. Denis prit mon sexe pour me masturber, mais
Diane s'interposa :
- " Ne t'occupe pas d'elle, on lui donne bien assez de plaisir comme
ça ! Occupe-toi plutôt de moi ! " Elle pris ses mains
qu'elle écrasa sur ses seins tombants et ils s'embrassèrent
à pleine bouche pendant quelques minutes, puis ils jouirent ensemble
sans aucun égard pour moi. Diane m'écrasait le visage avec
son sexe trempé par ma salive et Denis me défonçait
le cul et me remplissait une nouvelle fois de sperme. J'étais au
bord de l'évanouissement, mais comblé. Ils se retirèrent
et s'enlacèrent sur le sofa, heureux et amoureux. Quand Diane revint
à elle, elle fixa le sexe de son mari, et se leva, furieuse. Elle
me força à me traîner en me tirant par la chambrière
et me plaqua le visage sur le sexe de Denis :
- " Salope ! Tu as vu ce que tu as fait ? Lèche-moi ça
tout de suite ! " Je contemplai mon uvre : son sexe était
maculé jusqu'aux testicules, du sperme continuait à s'écouler
doucement de son gland violacé. Je me mis à l'uvre
en léchant son sexe en commençant par la base. En même
temps je se sentais mon ventre se rebeller. J'interrompis ma besogne :
- " Maîtresse " fis-je timidement, " il faut que
j'aille aux toilettes ! " Elle m'écouta gravement. Elle s'était
bien rendu compte que j'étais torturé par mes entrailles,
réfléchit puis me dit :
- " Finis ton travail, on verra après. " Je continuai
donc. Je massai la queue de Denis de bas en haut pour en faire sortir
tout le sperme que je pus. Quand j'eus sucé la dernière
goutte, je commençai vraiment à avoir mal au ventre que
je tenais à deux mains. Diane fut alertée par mes gargouillis.
Elle comprit que je devais me soulager d'urgence. Elle se leva et me tira
par ma laisse sans un mot ni ménagement et m'entraîna aux
toilettes. Elle me fit entrer et laissa la porte grande ouverte pour me
surveiller d'un air moqueur. Quand j'eus fini, elle me traîna derrière
elle à l'étage et me fit asseoir sur le bidet de la salle
de bains :
- " Lave-toi bien. Je ne voudrais pas que tu salisses encore mon
homme. " Une fois ma rondelle étincelante, elle redescendit
en me tenant toujours en laisse, sans un regard pour moi ni sans même
s'assurer que je suivais. Je me faisais l'impression d'être un jouet
que les petits enfants traînent derrière eux. Cette fois,
elle allait à la cuisine - nous sommes repassés devant Denis,
toujours sur son sofa, qui suivait notre manège d'un oeil amusé.
En pénétrant dans la cuisine, elle eut un choc :
- " Non mais quel foutoir ! Jamais, il fait la vaisselle ou quoi
? " Elle inspecta la pièce et trouva un reste de purée
dans une casserole, sur la cuisinière. Elle sembla réfléchir
puis ouvrit le frigo et se saisit d'une bouteille d'eau minérale.
Elle me la roula sur le corps, du torse jusqu'aux cuisses, ce qui me fit
bondir :
- " Ne bouge pas ! " J'avais très chaud et la bouteille
était très froide. Elle expliqua son geste :
- " J'aime pas boire trop froid. " Elle but au goulot, puis
me fit :
- " Ouvre la bouche. Profite-en bien, c'est tout ce que tu auras.
" Diane se remplit la bouche et recracha tout dans la mienne. Ca
tombait bien, moi non plus je n'aime pas boire glacé. Elle s'empara
de la casserole en gardant sa bouteille et nous sommes revenus au salon.
Elle n'était pas contente :
- " C'est quoi, ça ? Tu sais bien que je n'aime pas qu'on
gâche la nourriture ! Jouer avec, d'accord, mais pas gâcher
! " Denis était embarrassé :
- " J'ai pas eu le temps de ranger... Il y a eu l'orage et Luc est
arrivé ... " Elle se rendit compte que sa scène était
aussi disproportionnée qu'inopportune :
- " C'est pas grave. ma petite esclave va la finir. Je suis sûre
qu'elle en meurt d'envie. N'est-ce pas ? " Elle ponctua sa question
par un coup sur ma longe.
- " Oh oui, maîtresse ! " En vérité, j'avais
soif. Très soif. L'alcool empirait la chose, et ce n'était
pas la becquée de Diane qui m'avait éclipsé l'envie
de boire. Elle débarrassa rapidement le plateau du service à
thé et y servit ma purée. Elle récura longuement
la casserole pour ne rien y laisser. Non, apparemment, elle n'aimait pas
gâcher. C'est une chose que nous partageons avec Carole. Elle, c'est
pire, elle me fait manger des produits périmés. Ce n'est
que quand je suis malade qu'elle me l'avoue. Diane posa le plateau sur
le sol :
- " Mets-toi à quatre pattes, et mange ! " Je me mis
en position, et elle me refit le coup de la bouteille baladeuse, mais
sur le dos cette fois. Ca me donnait la chair de poule. Elle but encore
quelques gorgées et tendit la bouteille à son mari. Elle
s'installa sur un pouf confortable tout à côté de
moi et posa ses pieds sur mon dos. Je mangeai avec grand peine : La purée
était très épaisse, elle a du rester longtemps sur
le feu. J'avais de plus en plus soif et la position était tout
à fait inconfortable, et très peu pratique.
Diane fixait le miroir : Denis se masturbait lentement en nous regardant.
Enfin, je crois qu'il fixait mes fesses. J'avais fini mon plat, mais pas
assez au goût de Diane :
- " Allez, fait la vaisselle maintenant ! ". Je commençais
à lécher consciencieusement le plateau. Bien sûr,
toujours face au miroir. Je vis Diane, vautrée sur son pouf, faire
un signe de tête à Denis, qui avait ralenti la cadence à
la fin de ma collation. Il se leva d'un bond, semblant attendre l'ordre
de son épouse. Il se colla contre moi et poussa son gland humide
entre mes fesses. J'eus un peu mal, mais je me sentais plus vaste, libéré
de tout ce qu'on m'avait enfourné. Par son poids, il me força
à m'allonger sur le tapis pour pouvoir m'enculer à fond.
Je continuais bravement à nettoyer le plateau sous ses assauts.
Je tournai rapidement la tête pour voir si Diane me préparait
encore un calvaire quelconque pour cette longue soirée, mais je
la vis dans une autre activité : elle caressait sa vulve du plat
de la main, les cuisses écartées, m'adressant même
un petit sourire fugace. Elle se releva et s'adressa à Denis :
- " Tu peux arrêter, chéri, elle a terminé. "
Il se dégagea à contre cur, en me caressant les fesses
à regrets, et s'allongea à côté de moi. Elle
ramassa ma laisse et tira dessus :
- " Allez, tourne-toi, petite salope, tu ne penses donc qu'à
te faire baiser ? " Je me retournai donc, docile, en écartant
le plateau :
- " Non, laisse le sous ta tête, tu vas tacher mon tapis !
"
Elle tapota son ventre rond :
- " Tu n'as pas pris ton dessert ! Il ne te plait pas ? " Je
repensais aux chocolats. Elle me releva le menton du pied pour me faire
répondre :
- " Oh si, maîtresse, mais je croyais ne pas l'avoir mérité...
" Mon ingénuité la fit éclater de rire :
- " Qu'elle est mignonne ! Mais si, mais si... " Elle s'agenouilla
au-dessus de mon visage. Denis s'était rapproché, tout près,
fasciné, et, à vrai dire, encore bien dur. Je pris sa queue
dans la main. Elle me tendit son petit trou en s'écartant les fesses
en grand. Je voyais ses ongles entrer dans sa chair tant elle était
excitée. Je l'abouchais en grand. Elle se déversa en moi
en quelques spasmes, et j'avalai à grandes gorgées. Cela
ne dura qu'un instant, intense pour nous deux. J'entrepris ensuite de
faire sa toilette. Ce fut rapide, mais elle resta plusieurs minutes sur
moi, les fesses toujours bien écartées : elle semblait apprécier
que je la fouille profondément. Je dardai ma langue et mimais la
pénétration. Elle finit par se retirer, et me contempla,
pensive. Je crus voir briller une larme au coin de ses yeux. Etrange...
Elle se reprit rapidement :
- " C'est bien, tu n'as pas bavé. Enfin, presque. Je crois
qu'on ne peut pas trop t'en demander ! " En effet, un filet de chocolat
dégoulinait le long de ma joue. Denis s'empressa de me le lécher.
Diane rit :
- " Tu as de la chance que mon époux ait le béguin
pour toi ! " Sa voix devient plus grave :
- " D'habitude, je tolère moins bien ses maîtresses.
" Denis baissa la tête. J'avais eu des échos par le
voisinage que leur couple battait de l'aile. Elle s'adressa à lui
:
- " Tu peux la détacher, maintenant. Je n'ai plus besoin d'elle.
" Denis me libéra, tenta de me prendre à nouveau, mais
Diane l'en empêcha et me dit d'une voix sensuelle :
- " Allonge-toi sur le sofa. Sur le dos. " Je m'allongeai donc.
Elle s'agenouilla devant mon sexe martyr et le prit entre ses lèvres.
Denis en fut surpris et osa :
- " Ah tiens ! Je croyais que tu n'aimais pas ça ? "
Sans un mot, et sans s'interrompre, elle lui désigna ma bouche.
Il s'agenouilla à son tour : il s'enfonça entre mes lèvres
et y reprit le va et vient qu'il avait dû interrompre. Je lui glissais
une main entre les fesses en cherchant son trou du majeur. Il se vida
dans ma bouche au moment où je l'enfonçai entièrement,
puis s'allongea sur le sol, vaincu. Diane m'imita : elle m'écarta
les cuisses et m'enfonça deux doigts en les tournant. Elle me suçait
doucement, sans serrer, en de longs va-et-vient. Je finis moi aussi par
jouir. J'eus un long orgasme, exacerbé par tant d'émotions,
et je lui remplis la bouche en criant mon plaisir. Elle me suça
encore longuement, me débarrassa des derniers fils de sperme qui
ne finissaient pas d'apparaître et se rapprocha de mon visage. Elle
avait les joues gonflées. Je compris et j'ouvris la bouche en grand.
Elle laissa couler longtemps mon sperme dans ma bouche, en se nettoyant
soigneusement de sa salive. Lorsqu'elle se sentit parfaitement propre,
elle déposa un petit baiser tendre sur mes lèvres, me les
tapota à deux reprises du bout de l'index et nous dit à
tous les deux en souriant :
- " J'avale pas !!! " Je lui rendis son sourire et pris sa main.
J'ouvris la bouche et suçai ses deux doigts salis. Elle me sourit
de plus belle et se leva d'un bond :
- " Ne bouge pas, j'ai encore quelque chose pour toi ! " Je
l'entendis fourrager dans son sac et elle revint rapidement. Elle tenait
deux tampons dans la main. Elle m'écarta les cuisses puis les fesses
et m'en installa un d'un geste expert. Elle me tendit l'autre en riant
:
- " Ca y est, tu as le câble ! " Elle devint plus sérieuse
:
- " Tu es une vraie fille, maintenant. " Elle se tourna et me
présenta son postérieur :
- " A ton tour : fais-moi pareil ! " Les tampons glissaient
tout seuls, peut-être grâce à tout ce que l'on a eu
dans les fesses
Le jeu était fini.
- " Viens te laver. " Ils m'entraînèrent tous deux
dans la salle de bain, où je me débarrassais de toutes les
traces compromettantes. Diane et Denis allèrent passer une robe
de chambre pendant que je me rhabillais. Nous nous sommes retrouvés
dans le salon. Ils l'avait rapidement débarrassé des accessoires
utilisés. Le silence était difficile à rompre. Comme
ils revinrent s'asseoir à côté de moi, sur le canapé,
je me levai en même temps pour m'asseoir en face d'eux, dans un
fauteuil.
Denis hasarda :
- " Vous buvez quelque chose ? "
- " Moi, je prendrais bien un petit Vermouth, mais la dernière
fois que j'ai bu, ça c'est mal terminé ! " Répondis-je.
D'accord, le vermouth se boit à l'apéritif, mais j'adore
ça. Denis éclata d'un rire nerveux.
- " Moi, un cognac, chéri ! " Dit Diane en riant aussi,
qui avait probablement loupé le début mais pas tout le film...
Denis servit un Vermouth et deux cognacs, bien tassés. Chacun plongea
son nez dans son verre, autant pour se donner une contenance que du courage.
Dopé par le renfort de l'alcool, je me jetai à l'eau. Avec
une ancre, il est vrai. J'attirai l'attention de Diane et lui posai la
question que nous attendions tous :
- " Alors comme ça, tu es rentrée ? " Elle réfléchit
à la pertinence de ma question. Pas longtemps...
- " Et ouaiiis ... Je crois que j'aurais dû t'appeler, chéri
" dit-elle à l'adresse de son mari, " mais je ne regrette
plus de ne l'avoir pas fait... " Elle termina la phrase les yeux
fermés et en secouant la tête de gauche à droite,
arborant un sourire béat. Je continuai :
- " Heu... Ca faisait longtemps que tu étais là ? "
- " Je vous ai vu quand tu t'es couché sur le canapé...
Ou tu que venais de te déshabiller, je ne sais plus. Enfin, je
suis rentrée pour consulter des bouquins sur la déco du
dix-huitième ... "
- " Arrondissement ? " La coupai-je avec un grand sourire. Elle
me rendit mon sourire et continua :
- " ... Siècle pour l'ameublement d'une ancienne maison de
maître qui me cause des soucis. Bref, je pensais passer en coup
de vent, je ne comptais même pas voir Denis (elle lui prit la main.)
Je me suis garée dans la rue, ce doit être pourquoi vous
ne m'avez pas entendue, la voiture de Denis me bouchait le portail. J'allais
rentrer en trombe à cause de l'orage quand je vous ai vu par la
fenêtre. Ca m'a fait comme un flash, je suis restée figée
sous la pluie pendant plusieurs secondes. J'avais très envie de
pisser, mais je ne voulais pas vous déranger. Enfin, pas comme
ça. J'ai fait sous le gros chêne devant la fenêtre.
Quand je me suis relevé pour m'essuyer, j'ai vu Carole détaler,
au portail. Je ne sais pas si elle m'a vue... Si je l'avais vue plus tôt,
je l'aurais invitée ! Non, je rigole... Je n'avais vraiment pas
la tête à ça. A ce moment... " La nouvelle m'alarma
: Carole n'est pas trop pour le libertinage, j'espérais qu'elle
n'aura rien vu de compromettant, à part le bon abricot rose de
Diane... Elle poursuivait :
- " .... Libérée de mon envie pressante, je me suis
demandé comment je devais réagir : j'avais déjà
surpris Denis en
conversation avec une fille, Il y a deux mois
à peu près, et ça c'était très mal
passé. Pour nous trois. " Denis opina :
- " Ouais, on peut dire qu'il y a eu de la capillotraction ... "
Je mis quelques secondes à décoder le terme. Me voyant en
intense réflexion, Denis explicita :
- " Du crêpage de chignon, quoi. " Diane reprit :
- " Je ne savais toujours pas comment réagir. Denis me trompait
encore une fois, d'accord, - Il baissa la tête - " mais avec
un garçon. Du coup, comme je ne savais pas sur quel pied danser,
j'ai attendu patiemment que l'un de vous me remarque. Ca a pris du temps,
vous sembliez très absorbés. " Moi, toujours à
l'affût d'un bon mot :
- " C'est surtout le sexe de Denis qui était bien absorbé
! " Nous nous sommes tous mis à rire. Diane poursuivit :
- " Dès que vous m'avez vue, tout a changé : vous étiez
si minables tous les deux que j'ai eu envie de vous donner une leçon.
Mais plus vous étiez dociles, plus une autre moi-même prenait
les commandes. J'ai fait des choses... Je n'aurai s jamais cru en être
capable. Je... " Elle baissait les yeux, s'adressant à moi
:
- " Je suis désolé... je t'ai fait mal... "
- " Ne t'inquiètes pas, j'ai beaucoup aimé. "
Je lui caressai rapidement le genou.
- " Mais quand même... Je ne suis pas belle, toute grosse...
" Elle se palpait le ventre. Je la consolai :
- " Mais moi je te trouve très désirable, surtout avec
ton minou épilé ! Pardon Denis, je sais que vous êtes
mariés, mais ça fait longtemps que je désire Diane.
Moi, par contre, je n'ai jamais vraiment eu de succès avec les
femmes, sûrement à cause de mes kilos et de ma petite queue.
D'ailleurs, Jusqu'a maintenant, elle ne va qu'à Carole. "
Elle fit une moue dubitative :
- " Je te trouve très mignon, et j'aime aussi tes rondeurs.
J'ai beaucoup aimé quand Denis t'a peloté sauvagement les
seins... Je suis contente que mon sexe épilé te plaise :
je l'ai fait parce qu'une amie marocaine m'a dit que ça avait transformé
son couple, qu'elle avait beaucoup plus de plaisir en faisant l'amour.
C'est vrai, mais ça ne nous a pas suffi. J'étais un peu
réticente, mais elle m'a convaincue d'essayer. Maintenant, je n'y
trouve que des avantages. Je me sens vraiment nue, et ça apporte
des sensations nouvelles. Mais ta queue, je n'ai pas pu encore l'essayer...
Et toi, chéri ? " Denis était un peu embarrassé.
D'une aventure d'un soir, je m'étais transformé en rival
:
- " Je ne sais pas si j'aimerais ça. J'aime pas faire la femme.
" Il baissait les yeux, il avait sans doute eu peur de m'avoir vexé.
Diane ne l'entendait pas comme ça et prit ma défense :
- " Chéri, ce n'est pas gentil pour Luc. De toute façon,
tu vas y passer. Je ne te laisserai pas le choix ! D'accord ? " Il
continua, en éludant la question. Il comptait sûrement reporter
cet ultimatum aux calendes grecques. Sans jeux de mots :
- " En tout cas, vous m'avez donné beaucoup de plaisir tous
les deux. " S'adressant à moi :
- " C'est la première fois que je désirais un garçon.
C'est aussi la première fois que je... enfin... passais par là.
Déjà, Diane n'aime pas ça. " J'eus du mal à
le croire. Enfin, surtout en ce qui concerne ses deux " premières
fois." Diane allait protester, mais il la devança:
- " Toi, chérie, tu m'as fortement impressionné ! Je
me croyais dans l'Exorciste ! " Ah! Ces hommes... Aucun sens du compliment
! Diane était un peu froissée :
- " Merci pour la comparaison ! Est-ce que tu as entendu : ta mère
suce des bites en enfer ? Non ? Alors ! " Elle se calma vite :
- " Je crois qu'on a tous eu notre part de plaisir ce soir. "
J'avais encore quelques questions :
- " Dis-moi, Diane, quand as-tu vu Carole toute nue ? " Son
visage s'illumina :
- " Ah oui ! le grain de beauté... C'était il y a deux
mois: J'ai acheté une mini-robe blanche, très moulante.
Oh, ce n'était pas pour moi, je sais bien que ça me va pas
du tout. Je ferais plutôt Bibendum là-dedans... Non, c'était
pour elle... Je l'ai invitée pour essayer des fringues qui ne me
vont plus. Là, je lui ai fait essayer la robe. Je lui ai dit qu'on
voyait ses sous-vêtements et qu'elle devait les enlever pour mieux
se rendre compte de l'effet que ça faisait sur elle. Elle ne s'est
pas fait prier. Elle s'est mise nue devant moi et m'a bien laissée
profiter de son anatomie. Je l'ai complimentée et m'a demandé
mon avis sur chaque partie de son corps. Je ne sais pas si tu l'as vue
dans cette robe mais elle est sublime. " Ca, elle ne me l'a pas raconté
J'avais une autre question, pour Denis :
- " Et toi Denis, qu'est ce qui s'est passé quand tu as invité
Carole ? " Il n'était pas très à l'aise, surtout
vis-à-vis de Diane. Apparemment, elle n'était pas au courant
:
- " Heu
Pas grand-chose
J'ai voulu lui faire du gringue,
mais ça n'a pas pris. J'ai vite arrêté, pour discuter
de choses et d'autres, mais elle n'a pas voulu rester trop longtemps.
J'ai eu plus de chance avec toi
"
Diane tournait son verre entre ses mains. Elle le fixait comme pour mieux
lire dans sa propre âme ; l'alcool est un formidable psychothérapeute.
A dose raisonnable, bien sûr. Elle se jeta à l'eau. Les premiers
mots étaient lâchés :
- " Il faut que je vous raconte... J'étais gosse, neuf ou
dix ans... Mes parents habitaient Lyon. Ils travaillaient beaucoup mais
n'étaient pas très riches... Je passais les vacances chez
le petit frère de ma mère, dans la Drôme. Ils avaient
une grande maison, des terres et des bêtes. Je me rappelle que mon
oncle me mettait sur un poney pour me promener. " Elle rit :
- " J'ai toujours cru qu'il s' appelait " boulette ", jusqu'à
ce que je trouve une vieille photo de nous trois : La légende disait
" Diane chevauchant Bullet ! " Comme nous restions de marbre,
elle s'agita :
- " Mais oui ! Bullet ! Bé-u-deux-ailes-heu-té ! Balle,
en Anglais ! " Nos visages s'illuminèrent et une biphonie
corse lui répondit :
- " Ahhhh ! "
Diane reprit son récit, avec l'air de devoir se remémorer
un pan obscur de son enfance :
- " Donc, j'étais très heureuse, tous les deux - mon
oncle et ma tante - m'adoraient, j'étais comme leur fille. Je crois
que ma tante a failli en avoir une, mais ça s'est mal passé.
Elle est morte et ma Tante - Gisèle - ne pouvait plus avoir d'autre
enfant. Bref, je m'amusais comme une folle, avec tout ce terrain, ces
bâtiments à explorer, tous ces animaux, plus les enfants
du village. Je passais vraiment des super vacances. Il n'y a qu'un endroit
où je n'avais pas le droit d'aller, c'est un grand bâtiment
en pierre à côté de l'écurie, qu'ils appelaient
la réserve. Ma tante Gisèle m'a dit qu'Oncle Serge y rangeait
des outils très dangereux et ils ne voulaient absolument pas que
j'y entre. C'est le genre de chose qu'il ne faut pas dire à une
petite exploratrice ! J'ai empilé des caisses pour voir à
l'intérieur. Tout le tour il y avait une rangée de petites
fenêtres, d'une trentaine de centimètres à peu près,
et très hautes pour moi. D'après mon souvenir - j'y suis
retourné il y a une dizaine d'année, pour une fête
de famille - elles devaient être à plus de deux mètres.
J'ai absolument rien vu : il faisait noir, je ne voyais que la rangée
de fenêtre en face. Les vitres étaient pleines de poussière
et de toiles d'araignées. J'ai bien tenté de les nettoyer,
mais c'était pareil à l'intérieur. J'ai essayé
de plusieurs moyens, mais j'ai vite renoncé.
Un soir de juillet, je sentais qu'il se passait quelque chose : Mon oncle
et ma tante n'ont pas arrêté de rentrer et sortir de la réserve,
de charrier des caisses de bouteilles, de la vaisselle, des cartons...
Ils m'ont fait manger seule et assez tôt pour m'envoyer coucher.
Ils n'ont pas fait ça pour se débarrasser de moi - J'ai
bien vu qu'ils étaient pleins de remords - mais surtout pour que
je ne voie pas ce je ne devais pas voir. Ils m'ont dit qu'ils organisaient
une fête, et que leurs amis étaient un peu bizarres, que
c'était pas de mon age. Bien sûr, j'ai protesté, que
je serais sage, mais ils sont restés inflexibles. Je me suis donc
couchée. Enfin, pas longtemps. J'espionnais comme je pouvais par
ma fenêtre l'arrivée des invités, j'avais compté
deux couples, deux hommes et trois femmes seules, si je me souviens bien.
Mais ce n'est plus très clair... De ma fenêtre, je voyais
juste un coin de la réserve, enfin plutôt la lumière
qui en sortait. J'étais jeune, mais ça me parut étrange
- à la réflexion - qu'une soirée soit organisée
dans une réserve poussiéreuse alors que mes parents avaient
des grandes pièces qui auraient pu faire l'affaire. Je me doutais
bien qu'il y avait quelque chose de pas clair. Au moins une heure s'est
écoulée avant que je décide d'y aller voir. Je suis
descendue silencieusement, en chemise de nuit et à pieds nus -
il faisait chaud, c'était l'été - et j'ai escaladé
avec précaution - je ne voyais pas grand-chose - la pile de caisse
qui était toujours en place sur le long du bâtiment, côté
maison. Je voyais assez bien, malgré la saleté des vitres,
et là, ce que j'ai vu m'a complètement halluciné
: ce n'était pas des outils mais des engins de torture médiévaux,
ou en tout cas des choses dans ce genre. Une belle table était
mise au milieu de la pièce, et certains convives mangeaient, riaient,
enfin ça tenait de l'orgie. Ils avaient des tenues extravagantes,
les femmes vêtues de lingerie fine ou en cuir, les hommes soit nus,
soit habillés en milord. Tout autour, il y avait des piloris, des
anneaux, des barres avec des chaînes, des chevalets, des fouets...
Enfin, tout ce qu'il faut pour bien s'amuser entre adultes. J'ai aperçu
enfin mon oncle : il était nu, attaché sur un chevalet,
les yeux bandés. Une grosse femme en guêpière et bas
rouge lui fouettait le visage avec une cravache, en lui donnant à
manger un morceau de viande. Elle se frottait l'entrejambe sur une de
ses cuisses, et elle riait car mon oncle ouvrait la bouche pour manger,
et tout ce qu'il ... " Diane s'arrêta pour pleurer, et nous
la laissions reprendre tranquillement le cours de son récit. Les
yeux et la voix plein de larmes, Elle reprit :
- "
Il avait du sang qui coulait au coin de sa bouche... J'ai
cru le revoir, tout à l'heure, quand je t'ai... J'ai cru que j'allais
fondre en larmes. " Je lui dis doucement :
- " Oui, je m'en suis rendu compte... j'ai bien vu que quelque chose
n'allait pas. Je croyais que tu avais peut-être des remords... "
Elle me rassura avec aplomb:
- " Non, je n'ai aucun remords de t'avoir violé et humilié
comme je l'ai fait. J'en éprouve d'ailleurs une grande fierté.
Si ma tante m'avait vue... Enfin, je reprends: à ce moment, je
sens une main sur ma cuisse. Je sursaute et manque de tomber: C'était
ma tante, elle avait un pichet à la main et allait sûrement
à la cuisine. J'avais entendu le bruit qu'ils faisaient devenir
plus fort un moment, et c'est seulement là que j'ai compris que
c'était la porte qui s'était ouverte. Ma tante m'a fait
descendre sans un mot, elle avait l'air très gênée.
Elle aussi était en guêpière et bas, noirs, avec une
robe de chambre en satin, qu'elle avait mise -je pense- pour sortir. Elle
était superbe, je lui ai dit le lendemain, ça lui avait
fait plaisir et remonté le moral. Elle me tenait par la main, elle
ne savait pas quoi dire. Mais moi je savais quoi faire. Je bondis sur
la porte mal fermée et en deux secondes j'avais traversé
la pièce, sans m'occuper des choses ni des gens. Je voulais libérer
mon cher tonton serge. Comme je criai son nom, il cria lui aussi, mais
pour que je m'en aille, que tout allait bien. Ca m'a arrêté
net, et ma tante m'a arraché prestement à ce monde de turpitudes.
Elle m'a entraîné dans la cuisine et m'a dit: " D'abord,
sache que nous ne faisons rien de mal. " Bien sûr je protestai
mais elle décida de -presque- tout me raconter. " Je sais,
ça peut faire peur à une petite fille, mais chacun de nous
est consentant, personne n'est forcé à faire ou subir des
choses qu'il ne veut pas. " Je lui dis que je voulais sauver mon
oncle, mais elle continua: " Tu vas certainement pas le croire, mais
ton oncle est d'accord pour subir ce qu'il subit. Et s'il veut s'en aller,
il n'a qu'un mot à dire pour qu'on le laisse partir. " Moi,
je nageais en plein cauchemar, même ma chère tante était
devenue folle. J'allais lui dire ce que je pensais de leur cirque quand
mon oncle apparut. Il ne saignait plus et avait revêtu sa robe de
chambre que je connaissais. Il avait aussi l'air très gêné.
Il m'a dit: " Ca va, petite curieuse ? Tu as compris, maintenant,
pourquoi tu devais rester sagement dans ta chambre ? " Je lui demandai
s'il avait mal, ce qui l'a fait rire : " Mais c'est un jeu ! Un jeu
de grands que les petits enfants ne peuvent pas comprendre ! C'est comme
quand tu joues au docteur avec tes petits camarades ! Un jour tu comprendras.
Ce jour là, promet-nous de nous le dire, ça nous fera très
plaisir... En attendant, n'en parle surtout à personne, ni à
tes amis ni à tes parents. D'accord ? " Nous avions repris
nos occupations habituelles, et plus jamais je me suis mêlée
de leurs affaires. Mais je crois que je vais les appeler demain. Je tiens
toujours mes promesses. " Elle s'adressa à moi :
- " Luc, tu peux faire ce que tu veux maintenant, rejoindre ta petite
femme... " Mais l'alcool me montait décidément à
la tête et me donnait des ailes :
- " C'est trop tard pour que je reprenne ma liberté: Denis
et toi m'avez marqué au fer rouge, je suis à vous. Appelez
moi et je vous obéirai. Je suis même entièrement à
vous. D'ailleurs, Diane, tu me ferais un grand honneur si tu tenais à
ce que je sois présent lorsque tu appelleras tes parents. "
Elle parut enchantée et reprit sa voix autoritaire :
- " Mais c'est très bien ! Tu me fais là un grand plaisir
! Viens t'asseoir à mes pieds que je te donne tes ordres ! "
Je m'installai à genoux à ses pieds et entreprit de les
masser. Elle se cala au fond du canapé pour s'abandonner plus facilement,
elle appréciait vraiment mes caresses. Elle avait dû avoir
une dure journée :
- " Mmm... Ecoute bien, petite souillon : d'abord, je veux ta femme.
Ca prendra le temps qu'il faudra, mais je l'aurai. Demain, tu reviendras
travailler un peu avec Denis. Tu le sais peut-être, mais nous avons
un système de vidéo surveillance couleur dans toute la maison,
sous plusieurs angles. Cerise sur le gâteau, il y a le son. Comme
je sais que tu t'y connais en micro et vidéo, tu arriveras sûrement
à nous faire un petit film bien mouillant. " Cette nouvelle
m'inquiétait un peu, j'avais peur qu'ils s'en serve comme moyen
de pression. Elle dût lire l'angoisse dans mon regard:
- " N'aie crainte, nous ne sommes pas des bandits. Tout ce que tu
feras, tu le feras de ton plein gré. Bien sûr, je vais te
motiver par quelques sévices pour renforcer ta servilité.
Demain, je prendrais tes mesures et je te ferais essayer des vêtements
de fille. Et tu viendras avec un plug. " Je la fis répéter:
- " Un quoi, maîtresse ? "
- " Un plug, tu ne sais pas ce que c'est, idiote ? Même moi,
qui suis bien moins salope que toi connaît ça : C'est un
genre de gode que tu te mets dans le cul pour te le dilater, comme ça
tu es toujours prête. "
- " Mais je n'en ai pas... " Elle dégagea un de ses pieds
pour me donner une ruade dans la poitrine :
- " Débrouille-toi ! Je ne vais pas faire ton travail ! Ou
plutôt si ... Je m'en occuperai personnellement, avec le reste de
tes tenues. J'en choisirai un très gros pour te punir de ta nullité.
Une dernière chose: Tu garderas ton tampon jusqu'à demain
matin. Tu raconteras alors tout à Carole, en lui disant bien que
c'est moi qui t'ai dit de le faire. Si elle découvre ton tampon
avant, tu lui raconteras tout à ce moment, de la même manière.
J'enlèverai le mien en même temps, demain matin. Maintenant,
retourne t'asseoir. " Et elle m'adressa un grand sourire. Nous continuâmes
à discuter quelques minutes, puis je pris congé d'eux pour
rejoindre ma douce et tendre qui devait être rentrée de son
expédition à présent. C'est alors que je pris conscience
du fait que j'avais complètement occulté les réactions
possibles de mon épouse. Comment allait-elle réagir ? Je
pris le parti de rester naturel, et de tout lui révéler
le moment venu, advienne que pourra.
A suivre dans " La carotte Nantaise
2: Nos amies les bêtes. "
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