Mon Maître m'avait envoyé
un colis pas la poste. J'étais impatiente d'ouvrir l'emballage
pour découvrir ce qui ce cachait dans la boite. Vous pouvez imaginer
ma surprise quand j'ai ouvert le colis et que j'y ai trouvé une
longue corde enroulée au fond de la boite. Je l'ai prise dans mes
mains pour mieux l'examiner. Elle était blanche immaculée
et très douce au toucher. Il y avait un message écrit sur
un bout de papier juste au fond de la boite. J'ai reconnu l'écriture
de mon Maître. Le message disait :
« Ce soir, tu dormiras avec cette
corde et tu devras la caresser comme si c'était Moi, Je te verrai
demain. »
Au moment d'aller dormir, j ai emporté
la corde avec moi dans mon lit. Je l'ai placée tout près
de moi sur mon oreiller. En la caressant doucement et en la frottant contre
mon corps, je pouvais sentir le doux parfum de mon Maître dans chaques
plis et dans chaques courbes de la corde. J'ai fermé les yeux et
je me suis endormie.
A mon réveil, je me suis préparée
en attendant l'arrivé de mon Maître. : j'ai mis quelques
gouttes du parfum qu'Il préfère et j ai frotté mon
corps avec de la crème pour que ma peau soit douce au touché.
Je me suis coiffée et maquillée.
Vers midi, j ai entendu mon Maître
ouvrir la porte. Il semblait content de me retrouver assise au salon,
nue, une main caressant distraitement la corde posée sur mes genoux,
l'autre tenant un livre. Au moment ou Il est entré dans la pièce,
je me suis levé et j ai marché jusqu'à son fauteuil
en tenant toujours la corde dans ma main.
-« Maître, Vous aimeriez
peut-être que je Vous apporte quelque chose a boire ou a manger
? »
-« Non, agenouille-toi près
de moi et dit moi plutôt ce que tu penses du cadeau que Je t'ai
offert »
Sans hésiter, je m'agenouille
aux pieds de mon Maître en baissant les yeux au sol :
-« Maître, cette corde
me fait penser a Vous : elle est un parfait mélange de douceur
et de force, exactement comme toutes les fois ou Vous posez vos mains
sur moi, votre touché est doux et fort. »
-« Alors crois-tu pouvoir respecter
cette corde autant que tu me respectes Moi-Même ? »
-« Oh oui Maître »
que je Lui réponds doucement.
-« Parfait, lève toi et
suis-Moi. »
J'ai suivi mon Maître jusqu'à
la chambre en emportant la corde avec moi. Il m'ordonna alors de me placer
tout près du lit.
Maître ouvrit le coffre et sortit
quelques objets qu Il déposa sur le lit près de moi. Il
m'ordonna d'écarter mes jambes et fixa chacune de mes chevilles
a une barre d'écartement de façon a ce qu'il me soit impossible
de les ramener ensemble. Mon cur cognait contre ma poitrine et je
sentais mon corps qui tremblait.
J'observais chacun de ses gestes :
Il pris la corde et l'enroula autour de ma poitrine avec un nud
directement placé contre mon sternum. Il tira sur la corde pour
la descendre sur mon ventre et plaça un second nud sur mon
clitoris, ce qui me fit gémir instantanément. Je retenais
mon souffle, j'étais très nerveuse car j'avais peur que
mes nerfs flanchent malgré moi. Qu'arriverait-il si j'étais
incapable d'aller jusqu'au bout ?. En aucun cas je ne voulais décevoir
mon Maître.
Pour me calmer, j'ai respiré
profondément, laissant sortir mes peurs a chaque expiration. Mon
Maître était concentré a placer méthodiquement
d'autres nuds sur des points stratégiques de mon corps :
un dans mes lèvres internes et un sur mon anus. Il se plaça
derrière moi et tira sur la corde, forçant ainsi les nuds
a pénétrer mes orifices. Il enroula très fermement
la corde autour de ma taille. Je retenais mon souffle, j'avais l'impression
que le temps était suspendu. Maître tira sur la corde encore
plus fort et j'avais l'étrange sensation que la corde allait me
scier en deux.
J'ai fermé les yeux et pris une autre respiration. Je sentais encore
la peur monter en moi. Je me demandais si j'allais avoir la force de transformer
la douleur en plaisir, de surmonter mes peurs et de me laisser glisser
vers l'extase. J'ai respiré lentement et profondément plusieurs
fois pour me calmer.
Mon Maître enroula la corde autour
de mon bras gauche, puis autour de mon bras droit, pour ensuite les immobiliser
de chaque coté en serrant de plus en plus fort. Les nuds
apparaissaient comme par enchantement sur mon ventre et dans mon dos.
Mon Maître fit passer fermement la corde autour de ma poitrine.
Il me regarda un instant. Il souriait comme s'il semblait apprécier
son uvre mais Il n'avait pas encore terminé. Il continua
a emprisonner fermement chacun de mes seins et repassa la corde autour
de mes avant-bras pour ensuite la nouer solidement derrière mon
dos. Je sentais mes mamelons si durs que j'avais l'impression qu'ils allaient
exploser. Mes seins étaient gonflées de sang et je pouvais
sentir mon cur battre dans chacun d'eux.
Maître s'est éloigné
de moi et s'est assis un instant dans le fauteuil placé dans le
coin de la chambre. Il restait la a m'observer. J'étais seule avec
ma corde et cette douleur qui envahissait mon corps. Les nuds semblaient
mordre dans ma chair. Lorsque j'essayais de bouger, la corde brûlait
cruellement ma chatte et les liens semblaient se resserrer sans cesse.
Le sang circulait rapidement a travers moi en essayant de se frayer un
chemin entre la corde et ma chair et cela me rendait consciente de chaque
centimètre de mon corps.
J'ai pris une longue et profonde respiration.
Les morsures de la corde sur ma peau semblaient tout a coup plus douces.
Maintenant, mon corps s'abandonnait aux liens indénouables qui
m'emprisonnaient. La brûlure entre mes jambes se transforma en une
douce chaleur et rapidement je sentis mon jus se répandre sur mes
cuisses. Je voulais gémir mais cette fois ci, gémir de plaisir.
Je mordais mes lèvres afin d'empêcher la plainte de sortir
de ma bouche. Je ne voulais surtout pas que mon Maître croit que
je n'appréciais pas mon état, bien au contraire. La corde
caressait mon clitoris a chaque mouvement de mon corps et faisait monter
en moi un violent désir. La douleur disparaissait peu a peu laissant
la place a une délicieuse sensation.
-« Alors tu sembles apprécier
ton cadeau ? »
-« Oh oui Maître, vraiment
beaucoup » que je lui réponds avec un sourire.
Mon Maître se leva et s'avança
vers moi et murmura a mon oreille « couche-toi sur le lit. »
J'essayais du mieux possible de m'approcher du lit mais je ne pouvais
difficilement marcher ou bouger. Mon cerveau fonctionnait de façon
frénétique pour trouver une solution.
C'est a cet instant que mon Maître
posa ses mains sur mon ventre et me poussa sur le lit.
Il agrippa la barre d'écartement
attachée a mes chevilles et la fixa aux chaînes suspendues
au plafond de façon a garder mes jambes bien ouvertes au dessus
de moi.
Mon cur battait très fort
dans ma poitrine quand mon Maître a ouvert le coffre une deuxième
fois. J'ai alors entendu la douce musique du flogger lorsque les lanières
de cuir fendent l'air, juste avant de s'abattrent sur ma chatte.
-« Un autre cadeau pour toi,
tu es gâtée aujourd'hui n'est ce pas ? »
Je pouvais a peine répondre
-« oui maître merci, merci
Maître »
Le flogger continuait a rougir ma chair,
s'écrasant sur ma chatte, mes cuisses, mon clito, encore et encore,
tirant sur les cordes de mon bondage et déclenchant en moi un violent
désir.
-« Maître s'il vous plait
»
-« Quoi ? »
-« Maître s'il vous plait,
est-ce que je peux jouir maintenant ? » Que je lui dis en l'Implorant
de toutes mes forces !
-« Compte encore 10 coups et
ensuite tu pourras jouir »
-« Oui Maître, merci Maître
»
J'ai compté les 10 coups rapidement,
a chaque fois je me sentais de plus en plus proche de jouir. Au dixième,
je fut emporté par un sublime orgasme qui traversa mon corps en
entier, j'étais prise de spasmes et de sanglots incontrôlables.
-« Merci Maître
merci
»
Mon Maître laissa tomber le flogger
sur le lit et caressa doucement mon visage. Délicatement, IL détacha
la barre d'écartement et m'aida a me lever.
Avec beaucoup de précautions, Il me libera de mes liens, détachant
chaque nud et retirant le corde doucement. Je senti le sang recommencer
à circuler dans mes membres ce qui me fit gémir.
Mon Maître me fit prendre une
grande respiration avant de retirer le reste de la corde qui pénétrait
entre mes jambes, la douleur était si intense que ca me fit crier.
Je suis retombée sur le lit, complètement épuisée.
Je massais doucement ma chatte afin de rétablir la circulation.
Mon Maître m'enroula dans une couverture et me pris dans ses bras
en s'allongea a mes cotés et murmura doucement : « je suis
très fier de toi, repose-toi maintenant »
Je me suis endormie complètement comblée. Mon Maître
était fier de moi et c'est tout ce qui comptait
La Corde no 2 (suite)
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