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Nue sous la douche, Laure savourait
pleinement sa récompense. L'eau chaude tombait en cascade sur ses
épaules, délassant chaque fibre de son corps. Elle la fit
durer jusqu'à ce que ce que la salle de bain fut engloutie sous
la buée. Puis elle enroula une serviette autour de ses cheveux
et passa son peignoir. Elle vérifia l'heure, et constata avec soulagement
qu'il restait encore vingt minutes avant de devoir retourner au service
d'Orane. Le moindre retard lui vaudrait sûrement une dure punition,
mais il lui restait largement le temps de se préparer. Tout d'abord,
elle vérifia minutieusement son épilation, inspectant chaque
recoin de son intimité. Orane ne lui avait accordée pour
cela qu'une pince à épiler, ce qui rendait la tâche
longue et douloureuse. Une fois satisfaite, elle se consacra au maquillage.
Connaissant les goûts de Mademoiselle, elle fit quelque chose d'osé
et provocant, soulignant outrageusement le contour de ses yeux, colorant
ses lèvres d'un rouge si voyant qu'il en était presque vermillon.
En contemplant le résultat dans son miroir, Laure réalisa
soudainement que même en l'absence d'Orane, elle se conduisait exactement
comme Mademoiselle le souhaitait. Comme une esclave docile, qui se maquille
en pute pour faire plaisir à sa Maîtresse. Sans même
que celle-ci ne lui en donne l'ordre. Elle secoua la tête en constatant
à quel point l'emprise d'Orane sur sa vie était devenu importante
depuis les derniers mois. Elle remit ses attributs de bonniche, et regarda
de nouveau son reflet. Avec sa coiffe de soubrette et son maquillage vulgaire,
elle se trouvait ridicule. Mais sa Maîtresse aimerait sûrement,
et la satisfaire était son devoir. Cette pensée l'échauffa,
et elle se demandait avec une crainte mêlée d'excitation
jusqu'où elle pourrait aller pour plaire à Orane. Plus l'Asiatique
était sévère et exigeante, et plus Laure l'adorait
et la vénérait. Le tintement de la clochette la tira de
ses réflexions. Laure finit de se préparer en vitesse, mettant
autour de son cou le collier de chienne au médaillon gravé
de son prénom. Elle descendit les escaliers aussi vite que lui
permettaient ses escarpins à talon haut pour se rendre en cuisine.
Mademoiselle désirait son apéritif, et elle détestait
attendre.
Orane se prélassait sur le
canapé du salon, tirant de longue bouffée d'une cigarette
de cannabis. Elle prenait un plaisir considérable en regardant
Laure à genoux devant elle, portant un plateau ou reposait un verre,
une bouteille de Martini blanc et un bol de glaçon. Cela faisait
au moins dix bonnes minutes maintenant qu'elle attendait ses ordres, le
regard baissé. En silence. Mademoiselle sourit en imaginant la
trame de la moquette qui devait s'incruster sur ces genoux, et ses efforts
pour tenir le plateau bien droit. La façon dont son esclave s'était
maquillée l'amusait beaucoup.
- Tu peux servir, commanda-t-elle,
en lui soufflant sa fumée en plein visage.
- Bien Mademoiselle
Laure put enfin déposer le
plateau sur la table basse du salon. Elle servit un verre et l'apporta
à Orane, à genoux. L'Asiatique se saisit du verre sans la
remercier. Laure croisa ses mains dans son dos, et baissa de nouveau la
tête. Attendant patiemment que Mademoiselle daigne de nouveau s'occuper
d'elle. Au bout d'un long moment, Orane paru se souvenir de son existence.
- Si tu ne sais pas quoi faire,
dit-elle après avoir bu une gorgée, tu peux toujours embrasser
mes chaussures.
- Merci Mademoiselle fit Laure en s'exécutant.
Elle déposa une série
de longs baiser sur le cuir des souliers de la fine adolescente, ne pouvant
s'empêcher de jeter à la volée de brefs regards sur
le haut des jambes de l'Asiatique. Une soudaine impulsion lui fit embrasser
la cheville nue qui se balançait devant sa tête. Comme celle-ci
sembla l'ignorer, Laure s'enhardit et déposa plusieurs timides
baisers remontant le long de la jambe. Elle commençait à
embrasser avec passion les cuisses de Mademoiselle sous sa jupe, lorsque
soudain la semelle d'Orane se posa sur sa poitrine, et la repoussa brusquement.
- Il me semblait d'avoir dit les
chaussures, non, sale petite vicieuse.
- Je, je suis désolée, bredouilla Laure, sincèrement
confuse.
- Allons, ne me racontes pas de salades ! Tu viens me voir fardée
comme une putain, et tu espérais que cela mériterait une
récompense, non ?
- Non, je
bredouilla piteusement Laure. Elle se sentait perdue,
comme une petite fille prise en faute.
Une violente gifle l'atteignit en
pleine joue. Déjà la main d'Orane se levait de nouveau,
pleine de menaces. Pourtant Laure ne fit rien pour éviter trois
autres claques, toutes aussi violentes et méchantes.
- Oui, pardon avoua Laure, les yeux
rougis de larmes. Pardonnez mon audace, je pensai vous faire plaisir.
- Me faire plaisir ! Ria Orane. Te faire plaisir, oui, grosse gouine
! Avoue que tu rêves de brouter mon petit minou, fit-elle en promenant
ses longs doigts fin sur sa joue.
- Je
Oui, vous
avez raison, c'est moi qui le voulais, réussi
péniblement à articuler Laure.
Elle rentra la tête dans les
épaules, honteuse de devoir dire tout haut ce qu'elle encore avait
du mal à s'avouer à elle-même.
- J'attends des excuses, immédiatement
! Espèce d'obsédée, rugit Mademoiselle si brusquement
que Laure en sursauta.
- Pardon, Mademoiselle, pardon supplia Laure en s'aplatissant littéralement
sur le sol. Je suis stupide d'avoir cru
- Tu n'es pas seulement stupide, tu es une conne ! Une gouine ! L'interrompit
brutalement l'Asiatique. Constamment en chaleur ! Une vraie truie !
- Oui, vous avez raison
- Alors dis-le !
- Je ne suis qu'une conne, une truie en chaleur, articula péniblement
la jolie adolescente, le front collé au plancher. Une petite
gouine, une salope, une cochonne, une pute.
- Exactement dit gravement Orane, la dominant de toute sa hauteur. Tu
es la pute qui offre son cul à la demande, pas moi ! Ma chatte
m'appartient, et c'est à moi de décider si tu mérites
l'honneur de la lécher. Ta chatte aussi m'appartient, d'ailleurs.
Ainsi que tous tes orifices, et je pense que je vais devoir te le rappeler.
Laure ressentit une vive angoisse
en essayant d'imaginer quelle punition Mademoiselle allait lui réserver.
Orane faisait toujours preuve d'une perverse inventivité en la
matière. Laure sentait à la froideur de la voix de sa Maîtresse
qu'elle lui réservait quelque chose de particulièrement
odieux et humiliant. Elle tenta désespérément de
gagner un peu d'indulgence de sa propriétaire. Dans un geste de
pure soumission, elle prit délicatement le pied de la lycéenne
entre ses mains, et la posa sur sa tête.
- Je vous demande humblement de
me punir comme je le mérite. S'il vous plaît, Mademoiselle,
faîtes de moi une esclave bien obéissante.
- Bien, alors saches que ta punition durera toute la soirée.
Pour commencer, files en cuisine, et commence à préparer
le dîner ! Pour une personne, seulement. Toi, tu mangeras si je
le veux bien. Allez, ouste ! Fit-elle en pointant son index vers la
porte du salon.
Laure commença à se
redresser, mais Orane lui précisa qu'elle devrait à présent,
sauf avis contraire, se déplacer en rampant.
- Attends un instant intima l'Asiatique,
alors que Laure entamait sa reptation jusqu'à la cuisine.
La jeune fille alla chercher le gode
que Laure avait du acheter pour tourner la vidéo. Elle revint,
d'une démarche féline, vers sa chienne, toujours allongée
sur le ventre, et jeta négligemment l'objet sous son nez.
- Fixes-toi ça dans le cul,
ça rendra les choses plus intéressantes
- A
A sec, Mademoiselle ? Le regard mauvais que lui jeta Orane
lui fournit sa réponse. Bien, je
vais le faire, à
vos ordres.
La joue collée à la
moquette, Laure fit remonter sa croupe, ses longues cuisses ouvertes à
90 degrés. Elle pointât le sexe de plastique sur sa rondelle
mate, et commença à pousser. Elle avait l'impression de
devoir se déchirer en deux, l'épais leurre lui meurtrissait
l'anus. Peu à peu, les traits tordus de douleur, gémissant
pitoyablement la bouche grande ouverte, elle parvint à enfoncer
le gode de plusieurs centimètres. Mais sa Maîtresse était
intransigeante :
- Enfonce le correctement, enculée
! Dit-elle en posant sa semelle sur l'extrémité du gode
saillant des fesses rondes.
Elle finit de fourrer l'objet en le poussant brutalement du pied. Laure
ne put retenir un cri de douleur.
- Et maintenant, Rampes ! Les nichons
et la moule bien appuyés au sol. Et gardes-moi ce gode bien profond.
La jolie déléguée
se dirigea donc péniblement ainsi vers la cuisine, sous les insultes
de sa camarade de classe :
- Comme ça, je suis sûre
de pouvoir te suivre à la trace fit-elle, riant aux éclats,
comme les escargots.
Sa progression était lente
et pénible. La moquette frottait durement ses tétons érigés,
et le gode se rappelait à elle à chacune de ses ondulations.
Lorsqu'elle parvint enfin à la cuisine, elle était atterrée
de constater que Mademoiselle avait eu encore raison : elle mouillait
abondement. Elle se sentait méprisable, et elle aimait ça.
Elle se releva pour se mettre au travail. Laure ne savait absolument pas
cuisiner, ayant toujours été habitué à avoir
une cuisinière pour cela. Heureusement pour elle, elle avait juste
à faire réchauffer les plats que cette dernière lui
avait laissés en l'absence de ses parents. Durant ce temps, elle
commença à dresser la table. En l'honneur de sa Maîtresse,
elle sortit une jolie nappe blanche et le service de mariage de ses parents.
Ils la tueraient sûrement sur-le-champ si elle cassait une seule
pièce de ce service que sa mère adorait. Mais décevoir
Mademoiselle serait encore pire. Surtout en ce moment.
Orane la rejoint à ce moment
là, le martinet à la main. Elle avait l'ait mutin de quelqu'un
qui prépare une bonne farce. Elle s'adossa à la porte pour
contempler sa bonniche s'affairer.
- Inspection ! Dit-elle, toujours
souriante.
Laure cessa immédiatement ses
activités pour venir se placer en position d'inspection. Debout,
sur la pointe des pieds, les jambes bien évidemment largement ouverte,
les seins offerts à deux mains. Orane lui avait ainsi fait apprendre
par cur une dizaine de postures. Laure devait les consigner dans
un carnet, et chacune était illustrer par un cliché d'elle
prenant la position. Cela faisait partie de ses " devoirs "
d'esclave. Orane s'amusa un instant à lui tordre le bout des tétines,
avant de plonger la main vers sa vulve. Elle sourit plus largement encore
en constatant à quel point le sexe de son jouet était chaud
et humide. L'Asiatique caressa du bout des doigts les replis du vagin
jusqu'à ce que Laure ne puisse plus retenir ses gémissements.
Elle pinça alors fortement le clito érigé de la jeune
fille. Les longs ongles de Mademoiselle s'incrustèrent dans la
chair tendre. Laure eut si mal qu'elle ne put s'empêcher de porter
les mains vers son sexe.
- Gardes la pose, poufiasse, insista
Orane, sans la lâcher.
- Ouch ! Oui Mademoiselle, pardon
Cela fait trop mal, pitié.
- Je te rappelle que tu es punie. Tu n'avais qu'à retenir tes
pulsions, lèche cul !
- Aïe! Oui merci Mademoiselle Orane. C'est vrai, je le mérite.
Laure reprit donc la position d'inspection,
faisant des efforts surhumains pour ne plus bouger. Magnanime, Mademoiselle
arrêta alors de la pincer, et elle se confondit en remerciements,
conservant scrupuleusement sa pose avilissante. Sa dominatrice exigea
ensuite qu'elle lui " montre son intelligence ". Le seul nom
de cette pose était une terrible vexation pour la brillante étudiante.
Laure se retourna et se pencha comme si elle voulait toucher ses orteils.
Des deux mains, elle ouvrit amplement son sexe et son anus. C'était
là en effet que Mademoiselle situait ses capacités intellectuelles.
Orane arracha brusquement le gode, le lança dans le bac à
vaisselle, et partit vers le frigo. Elle revint avec deux glaçons
:
- Voilà peut être un
moyen de calmer tes ardeurs fit-elle en lui enfonçant l'un après
l'autre les glaçons dans le vagin. Bien sur, je te conseille
de ne pas les perdre.
Laure crût défaillir,
le froid était si fort qu'il là brûlait intérieurement.
Elle pouvait à peine marcher, et Mademoiselle exigea pourtant qu'elle
commence à servir le repas. Tremblante, elle réussit à
poser l'entrée sur la table. Entre chaque plat, Mademoiselle lui
demandait de changer les couverts et les assiettes. Pendant que Mademoiselle
mangeait, sa servante restait debout derrière sa chaise, prête
à réagir aux moindres claquements de doigts. Tout en sentant
les glaçons fondre doucement dans sa chatte. Ceux-ci finirent par
glisser hors d'elle après que Mademoiselle eut finit son hors d'uvre.
Il atterrirent sous la table, faisant un bruit cristallin.
- Nettoie-moi ça tout de
suite ! Avec la langue, ajouta-t-elle alors que Laure prenait une éponge.
- Je suis navrée Mademoiselle, je vais tout laver.
Elle rampa donc sous la table, et
avala ce qui restait des glaçons, avant de lécher à
même le sol la moindre goutte d'eau répandue. Elle sentit
alors la chaussure de Mademoiselle pointée à l'entrée
de son vagin. Ses chairs intimes étaient encore glacées,
et Laure frissonna longuement à ce contact.
- Tu as eu froid, souillon ? S'enquit-elle
d'une voix douce.
- Oui Mademoiselle, beaucoup. Mais je le méritais. Merci de corriger
mes vilains défauts répondit obséquieusement la
jeune bourgeoise.
- Pauvre petite gouine. Tu vas voir, je vais arranger ça.
Le ton très ironique de Mademoiselle
ne la rassurait pas du tout. Malgré tous ses efforts et sa servilité,
Laure sentait que la perverse asiatique allait faire durer sa punition
encore longtemps. En effet, Mademoiselle souhaitait finir son repas aux
chandelles. Et Laure serait la chandelle. Orane la fit grimper sur la
longue table et s'allonger sur le dos. Laure dut prendre ses jambes entre
les bras, sous les genoux, de façon à bien relevé
ses fesses à la verticale. Orane prit alors une des bougies rouges
du chandelier de la salle à manger, la planta entre ses jambes
et l'alluma. Pour maintenir la position de son esclave, elle ligota ses
poignets entre ses cuisses à l'aide de serviettes. Mademoiselle
recula de deux pas pour admirer son uvre. Son assiette était
tout près des fesses ouvertes, et elle ne pouvait manquer aucun
détail. Sa poupée ne disait rien, mais elle la suppliait
des yeux. Complètement à sa merci. La jeune asiatique se
régalait. Elle fit remonter sa jupe courte le long de ses hanches
cuivrées et se tortilla pour enlever sa culotte. Elle la fourra
ensuite dans la bouche de son esclave.
- Je l'ai portée toute la
journée, elle doit avoir un peu de mon goût se moqua-t-elle.
Si tu as mal, mords la bien, tu sauras pourquoi tu souffres, bouffeuse
de chatte.
L'adolescente dut conserver son rôle
de bougeoir jusqu'à la fin du repas de sa propriétaire.
Mademoiselle avait du prendre un vif plaisir à la maltraitée
toute la journée : son slip était trempé. Le fort
goût acre et salé l'écurait et l'excitait en
même temps. La bougie coulait abondamment, et elle ne tarda pas
à ressentir la cuisante douleur provoquée par la chute des
gouttes de cires. Plusieurs tombèrent sur son clito, et elle dut
se contrôler pour ne pas sursauter et faire tomber la bougie sur
la nappe. Sa Maîtresse ne la libéra que pour qu'elle puisse
débarrasser la table et laver la vaisselle. Elle enleva d'abord
la bougie, et nettoya la cire en frottant sèchement l'entrejambe
de Laure du plat de la paume, avant de la détacher.
Pendant que Laure lavait la vaisselle,
Mademoiselle s'amusait à lui tourner autour, la frappant avec son
martinet avant de la caresser tendrement de la main. Laure remercia pour
chaque coup. La jeune brunette prit tout son temps, explorant de son martinet
et de sa bouche le corps entier de sa soubrette. Laure sentait les lanières
fouetter ses seins, ses cuisses, son dos. Sa maîtresse dosait avec
art la puissance de ses coups, certains échauffaient à peine
sa peau alors que d'autre la mettaient au supplice. La jolie lycéenne
ne résista pas longtemps à pareil traitement, et finit par
jouir sous les lanières de cuir. Le résultat fut catastrophique
pour la vaisselle, et Laure cassa deux assiettes et un verre. Mais la
menace des ses parents lui semblait bien loin. La soirée était
loin d'être finit, et déjà Orane lui fixait sa laisse,
et la traînait au milieu du salon. Oui, le week-end promettait d'être
bien long pour la jeune Laure.
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