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La Transformation En Esclave, partie no 2

 

Par Latexluvr

Traduit par Rose Mimbo

Nous sommes donc dans ce paradis jamaïcain, sur cette jolie plage… Et je viens juste de déguster une bière Red Stripe, tout comme ma femme. La chaleur, le potentiel de passion, la plage isolée pour nudistes font monter dans mon esprit mes fantasmes les plus fous. La vendeuse noire bien roulée, avec sa motte noire, est censée nous rejoindre incessamment. Les raisons de sa visite ne me semblent pas claires mais comme elle est agréable à regarder, je ne m’en inquiète pas. La radio passe une chanson dont le titre est "Impassible" mais Lady Gaga et ça m’excitent réellement encore plus.

J’ai également pris quelques bouffées d’un gros joint de Ganja et je commence à me sentir comme pathétiquement hors de contrôle… dans tous les sens du terme. Mon membre a grossi de deux cents pour cent et je dis :

« Regarde, chérie, j’ai agrandi mon membre… hi, hi… »

Cela fait référence à un film que j’ai vu une fois et dont le titre ressemblait à ça. C’est agréable de se sentir libre en ne portant pas de vêtements. L’espace d’une nanoseconde, je me sens tellement libre et tellement en union avec l’univers… Ma femme est splendide et ses superbes seins se soulèvent sous l’excitation ambiante. Je suis sur le point de lécher les seins luxuriants de ma femme lorsque la Noire arrive avec un sac rempli d’un tas de choses. J’hésite et je m’interromps immédiatement. Ma femme m’attrape par les cheveux et dit :

« Ne t’arrête pas et continue ce que tu fais… C’est si bon ! »

La Noire s’arrête là, un rien perplexe. Elle se déshabille et dit :

« J’ai votre commande. »

Je ne peux pas voir parce que je suis occupé à sucer les seins excités de mon épouse et que je suis en train d’évoluer vers son sexe succulent et juteux.

Tout à coup, ma femme arbore un sourire démoniaque. Et la Noire aussi. Ce doit être contagieux et je me mets à rire aussi. À ce moment-là, je suis vraiment excité. La Noire est vêtue de sa robe et de son chemisier habituels et elle ne paraît pas vraiment provocante, mais elle est des plus sexy. Je l’imagine allant chercher son fils à l’école, elle doit être une bonne mère… sérieuse, responsable et plutôt pragmatique dans son attitude.

Ma femme m’interroge ;

« Est-ce que tu veux que Candy te fasse un massage ? Elle peut le faire et il faudrait qu’elle le fasse parce que tu as un coup de soleil sur les épaules et qu’elle peut te frotter à l’Aloe Vera. La racine est là. Il faut que je la goûte mais j’ai besoin de bière pour faire passer. Je vais en chercher. Il va avoir un gros bambou avec ça… Hi, hi ! »

Ma femme pouffe de rire et la Noire glousse avec un sourire diabolique.

« Mais avant que je parte, tu dois me promettre de bien te tenir. Et comme je n’ai pas confiance, tu vas mettre ça. Je l’ai emportée du Canada. C’est la cage de chasteté CB-2000 que tu avais commandée et que tu n’as portée qu’un après-midi, le temps que l’effet de la nouveauté soit passé. Candy, aidez-moi à la lui mettre, s’il vous plaît. Lorsqu’il est camé, il est plutôt docile. C’est en général le meilleur moment pour lui demander des choses ou lui extorquer des promesses, pendant qu’il est quasi irresponsable, ou disons plutôt moins radin que dans son état normal. Passez-moi la clé et son porte-monnaie, je ne veux pas qu’il perde l’un ni l’autre. Je vais mâcher un peu de cette racine. Ouaouh, c’est amer ! Voilà chéri, goûte donc. Je vais chercher de la bière. Amusez-vous bien tous les deux.

- Son bambou est en train de devenir très gros… Je vous avais dit que la racine ferait de l’effet. »

Ma femme rit, elle enveloppe de sa main mon pénis encagé pour tâter sa turgescence croissante, et elle y dépose un baiser symbolique. Elle effectue quelques mouvements caressants mais bien vite, elle met sa main entre ses jambes et déclare :

« C’est là ta nouvelle vie… Espèce de looser pathétique. Ça m’excite à un point… ! J’ai besoin qu’un gros bambou me pistonne. »

Mon pénis grossit encore plus mais je ressens très vite les limites de la cage de chasteté. À l’évidence, elle est camée et poursuit :

« Qu’est-ce que tu vas faire avec ça ! ? »

Mon membre a grossi de moitié et est dur comme du roc. Ma femme glousse à nouveau.

« Regarde, chéri, nous avons gonflé ton membre en faisant référence à un film que j’ai vu naguère, qui porte un titre similaire… Hi hi… »

Puis elle donne un coup de coude à Candy et continue :

« Tu aimerais baiser la Beauté Noire ? Qu’est-ce qui t’arrête ? Cette cage ? Je sais que tu n’as aucune discipline, c’est mieux comme ça. Candy va te faire un massage…

- Si tu veux… Réponds-je.

- Viens-là et fais-moi jouir d’abord. »

Je sens ses lèvres qui ont gonflé et je vais pouvoir lui procurer un orgasme intense ; je la lèche avec passion pendant que Candy regarde. Je m’envole dans une sorte d’état second, où me mènent ma très grande vulnérabilité et ma non moins grande soumission, et je perds la notion du temps… Après de multiples orgasmes, j’ai le nez plein de ses sécrétions lorsqu’elle finit par se relever en disant :

« C’était exactement ce dont j’avais besoin. Désormais, tu m’appelleras Maîtresse. Cette ceinture ne te sera pas retirée de sitôt, tu as intérêt à t’y faire rapidement. Quand tu ne l’as pas, tu te branles trop souvent et tu négliges mes besoins. Souviens-toi : tu es sur terre pour me servir, moi, ta nouvelle Maîtresse.

Candy va sans doute te montrer une ou deux choses : c’est une dominatrice accomplie qui fut avocate à Kingston avant qu’un scandale politique la contraigne à venir s’installer ici. »

Elle dit à Candy de la rejoindre. Elles chuchotent entre elles, pouffent de rire à nouveau, puis mon épouse me laisse là, nu sur la plage, à l’exception d’une cage de chasteté, avec Candy à qui elle dit :

« Fais-lui un massage pendant que je vais nous chercher de la bière et me faire baiser correctement. Et toi, ça te va ?

- Oui Maîtresse, dis-je.

- Si tu veux qu’on arrête ça tout de suite, c’est possible. Mais c’était un de tes fantasmes il y a quelque temps, bien que tu n’aies jamais eu les couilles pour le mettre en œuvre... Candy n’est pas venue là par hasard. J’ai goupillé tout ça sur Internet avant notre arrivée. Mon plan était de te châtier, de t’humilier et de te réduire en esclavage mais j’avais besoin d’aide. Je ne peux ni ne saurai faire ça toute seule. Si on arrête, je le quitterai probablement, parce que ta capacité à faire l’amour et ton petit pénis sont vraiment pathétiques. Alors, est-ce qu’on annule tout ?

- Non Maîtresse.

- Bien. Tu vas voir : les choses vont s’améliorer à partir de maintenant… au moins pour moi. Ton rôle est de me satisfaire, moi et toute autre personne que je te désignerai. Considère Candy comme ta maîtresse pendant que je m’absente. »

La Noire me fait alors m’allonger sur le ventre pour me masser le dos en y étalant de l’Aloe. Je me sens bien… Elle me dit :

« Mon véritable nom n’est pas Candy. Ça, c’est la version courte de mon vrai nom de Dominatrice qui est "Candyass". »

Au bout d’un quart d’heure, elle me retourne et me frotte le torse et les jambes, puis elle se concentre sur mon membre complètement érigé et dit :

« Ne gaspille pas cette érection… Est-ce que tu voudrais me baiser ?

- Si vous le souhaitez…

- Je souhaite tirer un bon coup, mais pauvre bébé, avec ça sur toi, tu ne peux pas le faire. Peut-être que je pourrais l’enlever. »

- Mais… Et ma femme ? Que va-t-elle dire ?

- Ne t’inquiète pas pour ta femme. Peut-être que je vais avoir un enfant de toi… petit Blanc… Hi, hi ! En ce moment, quelque Rasta est sans doute en train de lui ramoner la moule. J’ai essayé une fois la racine et je suis devenue dingue. J’avais besoin que quelqu’un me baise sans arrêt. Mon petit ami avait un bambou plus gros que le tien et on l’a fait pendant des heures. J’avais alors quatorze ans. »

Mon jugement est momentanément troublé par la Ganja et la forte odeur de ma Maîtresse noire., ainsi que par le pouvoir de séduction de ma tentatrice. Je me mets à lui lécher les seins et le sexe ; elle commente :

« C’est aussi juteux qu’une mangue. »

Elle se met à quatre pattes et je m’imagine en train de lui prendre la moule par derrière, comme ils font sur le Discovery Channel. Je perds la notion du temps.

« Lèches moi donc encore… J’aime beaucoup ça… Tu as une si grande langue… Petit Blanc… Continue… »

Je m’active avec un zèle limité, puis elle dit :

« Maintenant, lèche-moi le cul, petit Blanc. »

Elle me gifle et ordonne :

« Dis "Oui Maîtresse"…

- Oui Maîtresse. »

Je réalise alors que je donne prise au chantage… pour un instant de plaisir. Elle met sa culotte sur ma tête en ajoutant :

« Maintenant, tiens ça… Il faut que j’achève de te percer les tétons et la langue. Cela augmentera ta valeur en tant qu’esclave. Cela te fera réaliser et souvenir à chaque instant que tu n’es désormais rien de plus qu’une propriété… un objet de plaisir… un obéissant suceur de chatte et de cul, et un lécheur de bottes. »

Elle me gifle deux fois et je réponds :

« Oui Maîtresse.

- C’est mieux comme ça. Plie avec moi… comme on dit à la Jamaïque. »

Je n’ai jamais fait ça à une femme… jamais tant vénéré chaque centimètre de son corps… mais jamais non plus léché de cul, et je m’aperçois que je suis clairement à la merci de ma tentatrice noire. Je me sens comme une personne dépourvue de toute volonté, juste excitée, soumise et absolument impatiente de plaire.

« Amusons-nous aussi à enlever cette impassibilité de ton visage. Montre-moi à quel point tu veux me baiser, me lécher, vénérer mon cul… Ne réfléchis pas trop.

- Oui Maîtresse.

- C’est une sorte de nouveau jeu d’amour, avec de nouvelles règles. Retourne-toi pour que je te présente ton nouvel ami. »

Elle prend un plug anal vibrant dans son sac et l’insère brièvement dans son vagin.

« Oh, c’est si bon… »

Au bout d’environ deux minutes, elle le retire et me demande :

« Est-ce que tu aimerais jouir ?

- Oui Maîtresse. »

Je me fais une raison en me disant qu’aujourd’hui est vraiment une journée pour labourer de nouveaux champs, pour ignorer tous les vieux tabous sur la race et le sexe traditionnel, et pour bouffer cette chatte et ce cul sans trop d’arrière-pensées. Je me sens intoxiqué par l’âcre odeur de cette renarde noire aux cheveux crépus, aux mains roses et aux petites lèvres charnues. Elle me dit :

« Pauvre bébé… Tu es tout dur… Quel gaspillage ! Comme j’aurais aimé te baiser… Je vais le faire quand même, d’une autre manière… dans ton esprit… Je veux te baiser en esprit… »

J’ai un besoin subit d’éjaculer à nouveau mais je contrôle mon besoin de plaisir en écoutant docilement ses directives variées, en me soumettant et en étant très obéissant et en essayant de donner à cette nouvelle partenaire sexuelle autant de plaisir que possible.

« Tourne-toi, à présent. »

Une fois que je suis sur le ventre, elle écarte largement mes jambes.

« Non, ça ne va pas aller. Mets-toi à genoux et la tête par terre, sur le sable. Cela s’appelle : "En position !". Souviens-t’en car cela fait partie des fondamentaux que ta Déesse-Maîtresse m’a chargée de t’enseigner. Il faut que tu apprennes le "langage de conversation de l’esclave". Il comprend une trentaine d’expressions en tout. C’est un mélange de twitter, de télétexte et de langue des bidonvilles. Rappelle-toi : moins, c’est plus… Moins de sexe, moins d’argent, moins de paroles, moins de pouvoir. Et avec ça, plus de désir, plus d’obéissance, et plus de pensées relatives au sexe. Maintenant que je t’ai bien baisé, comment te sens-tu, esclave ?

- Étrangement docile.

- Évite les mots compliqués comme "étrange". On ne veut pas que tu penses, seulement que tu désires, lèches, boives et obéisse de la manière la plus simple et la plus instinctive, un peu comme un chien le fait lorsqu’on lui ordonne de s’asseoir, d’aller chercher ou de venir, sans se poser de question et sans arrière-pensées. Assez d’intellectualisation. Cette période de ta vie est terminée, tu comprends ?

- Oui Maîtresse.

- Je ne suis pas sûre que tu comprennes vraiment, dit-elle en tirant sur l’anneau de mamelon qu’elle vient de me poser. »

Elle m’introduit le plug vibrant de vingt-cinq centimètres. Il est fin mais il commence par faire mal, jusqu’à être bien en place.

« À présent, je vais te mettre l’ADAPTATEUR. Il est conçu pour être verrouillé de telle façon que ta ceinture et le plug soient maintenus bien en place. Avec ça, tu es prêt à partir. Désormais, tu auras besoin d’avoir la permission pour uriner et pour déféquer. Ta Maîtresse jugera de ce qui est le mieux pour toi. Ton existence va devenir beaucoup plus précaire… »

Elle place son sexe juste devant mes yeux et se masturbe devant moi. Au moment où elle parle de mon Épouse-Maîtresse en train de se faire tringler, elle met en fonction le mécanisme vibrant, et en quelques secondes à peine, j’ai un gros orgasme.

« Tu vois, bébé… Tu n’as plus besoin de baiser pour jouir. »

Elle désigne le sperme sur le tissu brillant étalé devant moi et m’ordonne :

« Maintenant, lèche pour nettoyer ça.

- Oui Maîtresse.

- Un bon esclave lèche toujours les semences qu’il voit, surtout la sienne et celle des amants de sa Maîtresse.

- Oui Maîtresse. »

Elle est extrêmement sensuelle et primaire dans ses mouvements; elle saisit ma queue et l’approche de son sexe. Je perds immédiatement la notion du temps. Ma femme revient.

« Eh, bébé ! Tu es toujours si dur… Pauvre bébé. Je me sens tout excitée en te voyant dans ta nouvelle ceinture, avec un plug dans le cul. En position ! »

Je ne réagis pas tout de suite. Elle s’écarte devant moi et dit en tirant sur mon nouvel anneau de téton :

« Fais-moi jouir, esclave. Montre-moi ce que tu as appris cet après-midi. Bon sang ! Voilà un truc pratique, dit-elle en l’examinant de plus près. C’est démoniaque ! »

Candy, avec un grand sourire, lui tend la commande du vibrateur et je ressens une décharge dans mon derrière.

« Cesse d’hésiter lorsque je te donne un ordre, contente-toi d’OBÉIR !

- Oui Maîtresse. »

Je réponds rapidement et sur un ton convaincu. Au bout d’environ deux minutes de léchage intense de son sexe, elle part dans une série d’orgasmes puissants au moment où elle dit :

« Lèche ce jus de Rasta… J’ai tiré un bon coup avant de revenir. Si bon que j’en ai oublié la bière. »

Maîtresse Candy regarde de temps en temps et discute dans son smartphone. Par moments, elle se tripote entre les jambes, puis elle allume une cigarette. Elle fait signe à ma femme de se retourner. Ma femme se met à genoux et me présente son cul en disant :

« Maintenant, lèche-moi le cul…

- Oui Maîtresse. »

Je m’exécute et lui lèche le cul comme si ma vie en dépendait. Mon Épouse-Maîtresse demande de façon rhétorique :

« Est-ce que ton massage et ta leçon t’ont appris quelque chose ?

- Oui Maîtresse.

- Souviens-toi de ce que tu as appris : ce n’est que le commencement… »

Elle emmène Candy à quelques mètres pour lui parler, de manière que je ne puisse pas entendre ce qu’elles disent. Elles rient encore. Puis elles s’étreignent. Mon Épouse-Maîtresse l’embrasse et lui tend ce qui est sans doute de l’argent liquide.

Je pense que les détails les plus intimes de ma rencontre avec Maîtresse Candy ont été omis, mais ma femme soupçonne ce qui s’est passé et je paierai bien assez tôt le prix de mes indiscrétions.

À suivre…

 

 

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