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Je vis désormais fièrement
ma vie de Sissy contente de faire plaisir a mes Maîtresses adulées
pensant en permanence a leur faire plaisir me maquillant avec le plus
grand soin essayant d'avoir salope (ce qui n'est pas difficile !) décolleté
ravageur, jupe a raz le bonbon et en permanence perchée sur des
talons de 12 centimètres effectuant les taches ménagères.
Bien sur mes maîtresses sont rarement satisfaites de mes prestations
mais je dois dire que les punitions qu'elles m'infligent sont pour moi
un bonheur. Hier soir elles m'ont accompagnées en métro
je portais une jupe de cuir rouge super courte sans culotte, des bas auto
fixants et un boléro de velours noir sans soutien gorge bien entendu
tandis qu'elles observaient la situation a quelques places de la ! je
n'osait m'asseoir de peur que quelqu'un remarque mon penis nu la voiture
était bondée et un homme assez âgé me déshabillait
du regard (ce qui n'était pas trop difficile) au fil des stations
il rapprocha de moi jusque a être collé contre moi il me
parla mais je ne comprenait vraiment rien a l'anglais il s'enhardi et
me mis la main aux fesses, Madame Karin me fit signe de me laisser faire,
je fis a cet homme un grand sourire ce qui le rendit encore plus entreprenant
il reluquait mes seins en me pétrissant le cul il osa un baiser
je lui rendis bien volontiers nous sortîmes a la station suivante
et pénétrèrent sous un porche ou il me fit mettre
a genoux ouvrant sa braguette je pris doucement ses couilles en mains
et suçait ce membre qui prenait vigueur. Il m'empoignât alors
par les cheveux (qui avaient poussés et me dispensaient de perruque)
et me rempli violemment la bouche tout alla très vite il s'agitait
rapidement dans ma gorge poussa un grognement tandis qu'il m'envoyait
son sperme dans le visage il me l'étala de la main, mon maquillage
était alors horrible, puis s'essuyât sur le velours de mon
boléro. Miss Jane me retrouva quelques minutes plus tard elle était
un peu fâchée que cela se soit passé si vite et me
demanda de lui raconter comment cela s'était passé mon récit
la rendit hilare elle me donna une carte et m'ordonna de me rendre a l'adresse
indiquée.
Apres m'être un peu arrangée je pris un taxi et me présentais
a l'adresse convenue. Une jeune femme d'environ 25 ans m'ouvrit la porte
me fit entrer dans une grande salle au milieu de laquelle se trouvait
une table de bois une commode était a coté elle m'arracha
mes vêtements en me faisant signe de faire silence. Elle ouvrit
un tiroir de la commode y prit des liens et me fit allonger sur la table
le dos en l'air elle me ligota les membres aux quatre pieds de la table
les liens tendus et très serrés elle me mit ensuite un bâillon
dont la forme était celle d'un gland celui-ci en place elle gifla
les fesses puis sorti. Je dus attendre 2 bonnes heures dans cette position
inconfortable puis la femme revint accompagnée de mes Maîtresses
Miss Jane m'ôta le plug en me disant qu'elle me promettait bien
mieux ! Mais que d'abord mon hôtesse allait m'attendrir les chairs
!
La séance commença par une volée de claques sur les
fesses et l'intérieur des cuisses, je ne pensais pas qu'une frêle
femme puisse avoir tant de forces, le bâillon m'interdisait de me
plaindre tandis que les liens me maintenaient fermement Madame Karin ayant
vu que je pouvais néanmoins bouger le bassin passa une sangle autour
de ma taille puis autour de la table j'étais désormais totalement
immobile.
Vint alors le temps pour moi de subir le paddle cette large lanière
de cuir sut me tirer des larmes mais ce n'était rien comparé
a la cravache que Miss Jane tint a m'administrer personnellement au sifflement
de la cravache j'essayai sans y parvenir de bouger pour échapper
a la morsure.
Un long moment après épuisé elles me détachèrent
mais mes peines ne faisaient que commencer ! je fus rapidement ligoté
sur le dos et la jeune femme vint vers moi avec des gants chirurgicaux
et m'introduisit dans le sexe une sonde dont l'extrémité
métallique englobait mon gland " Tu vas être une vraie
fille maintenant me dit Madame Karin nous allons contrôler ta vessie
ainsi tu aura le privilège d'a voir aussi souvent qu'il nous plaira
envie de pisser mais nous seules pourrons te libérer de ton envie
(une vanne électrique était incorporée au gland métallique
et elle détenait la radio commande) fais moi un signe de la tête
pour me remercier ! " je hochait de la tête tandis qu'elle
riait !elles me firent boire beaucoup d'eau tiède. Depuis l'amincissement
de ma taille grâce aux différents corsets qu'elles m'avaient
fait porter je m'étais aperçu que la capacité de
ma vessie était bien moins grande mais cela ne m'avait jusque la
pas inquiétée .La femme me fit trois piercings sur le penis,
trois petits anneaux dans lesquels se verrouillait le gland métallique,
elle tira pour vérifier que le dispositif ne pouvait pas s'ôter
je hurlais de douleur.
Elles me remirent debout, j'étais chancelante, et m'emmenèrent
dans une petite cour fermée nue ou elle m'arrosèrent au
jet a l'eau froide, cela me sorti de ma torpeur mais le froid me donna
quasi instantanément envie d'uriner j'essayais de me soulager mais
rien n'y fit aucune goutte ne sortait je les implorai alors de me permettre
de me libérer !
" eh bien ma grosse on a envie de faire un petit pipi !! (Me dit
Madame Karen tandis que Miss Jane m'entraînant par les cheveux me
faisait marcher ce qui me soulageait un peu) Tu vas courir salope ! Que
tout ce tu as bu passe dans ta petite vessie de chienne ! " sous
les coups de cravache je me mis a courir en rond devant mes trois tortionnaires
qui visiblement passaient un bon moment. Enfin Madame Karen me demanda
d'arrêter je me tortillais de douleur elle tendis un plug de 15
centimètres de longueur et de 8 a la base " mets toi ça
dans le cul et je te donne l'autorisation de pisser ! "J'entrepris
de m'empaler sur ce plug l'introduction me pressait la vessie mais j'y
parvint enfin. Elle me fit mettre a quatre pattes me fit lever la jambe
comme un chien pour uriner contre un arbre ce que je fis mais rien ne
sortait " demande moi gentiment !me dit elle
-s'il vous plait Maîtresse chérie faites moi pisser (elle
me libera quelques secondes puis ferma la vanne)
-comme ça ?
- je vous en prie ma Déesse soulagez moi
-bon je te laisse pisser mais je vais prendre quelques photos cela fera
rire les copines ! "
Enfin je pissais, la douleur se faisait moins grande, j'étais encore
plus a leur merci je réalisais que désormais je devrais
demander et surtout mériter le droit d'aller uriner
Mais aujourd'hui le me rends compte que je n'avais pas envisagé
toutes les perspectives de leur pouvoir, en effet je suis au super marché
je fais les courses pour mes deux maîtresses et je sens que ma culotte
se mouille lentement une goutte me descend le long de la jambe je me dépêche
pour rentrer le plus vite possible afin d'éviter de me faire remarquer.
Evidement elle doivent m'épier car arrivée a quelques mètres
de la grille d'entrée je me vide littéralement ma jupe est
maculée, mes bas trempés et mes chaussures pleines de mon
urine je croise un voisin qui se marre et me suit du regard il va avoir
une bonne histoire a raconter au Pub tout a l'heure je ne vais plus oser
croiser le regard des gens du quartier. Madame Karin m'attend elle me
demande sèchement d'aller me laver et de redescendre dans la salle
de séjour elle a besoin de moi (quel bonheur je vais pouvoir lui
rendre service !).
" J'ai envie que tu me fasses l'amour ma salope ! Déshabilles
toi et viens me couvrir de baiser mais je t'interdit de me toucher ! "
J'obéis avec plaisir a cet ordre je lui embrasse les chevilles,
les mollets remonte lentement, sensuellement vers son pubis qu'a ce jour
je n'ai jamais touché, lorsque l'un de mes seins frôle son
genou la sentence ne se fait pas attendre une gifle magistrale elle se
lève en colère me flanque des coups de pieds dans les fesses
encore meurtries de la journée d'hier. Elle prend alors une cravache
et me demande de lui présenter mes fesses les jambes tendues les
mains sur les chevilles le chalenge je dois rester parfaitement immobile
alors qu'elle me flanquera 5 coups de cravache ! N'étant pas suffisamment
immobile j'en recevrai une bonne douzaine puis lassée de mes frasques
elle me demande de continuer mais en étant consciente qu'elle n'oublierai
pas. Je tiens donc mes seins pour éviter de nouvelles erreurs et
remonte jusqu'à pouvoir lécher les délicieuses lèvres
de son sexe glabre je la sens frémir sa respiration se saccade
" Debout prends ta bite mets toi la entre les fesses et mets cette
culotte gode ensuite allonges toi sur le dos tu va me faire jouir ma salope
et prends ton temps je te veux excellente ! "
Je bande comme jamais et cette queue ne va servir a rien une fois de plus
elle a les rennes du pouvoir en main, je mets ma bite entre mes fesses
mais a chaque fois que j'essaie de mettre la culotte elle remonte Madame
décide de m'aider et flanque deux coups de cravache sur les couilles
cela me ramolli aussitôt j'enfile la culotte et prends position
sur le carrelage froid elle s'accroupi au dessus de mon visage enfouis
mon nez au fond de sa chatte je lape mais très vite manque d'air
elle se soulève légèrement et je peux reprendre mes
caresses buccales ce petit jeux dure un bon moment puis elle décide
de s'empaler sur le gode ceinture " tu vois une bonne bite bien dure
c'est quand même pas difficile a avoir, allez bouge ton cul ou je
te bousille la gueule " elle prend un autre gode et le fait sucer
il entre et sort de ma gorge au rythme ou elle désire que je la
pénètre j'obéis ma queue se raidit a nouveau mais
sa position me fait mal je résiste néanmoins pour donner
a ma maîtresse le plaisir qu'elle mérite !.
Apres de nombreux orgasmes elle me fait reconnaître que ce sexe
mou qui pend entre mes jambes ne remplacera jamais avantageusement ce
gode qui l'ai fait tant jouir de toute façon l'appareil installé
hier ne me permet pas la jouissance . " ma pauvre cochonne ! si tu
es bien salope la semaine prochaine je t'ôterai ton attirail et
te permettrai de jouir désormais tu y aura droit tous les 15 jours
mais je le répète a condition que tu sois salope a souhaits
sinon !
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