|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Histoires Des InvitéesLe RêvePar regis
Bien que cette histoire soit une fiction ,j'ai décidé de l’écrire comme si elle était réelle , car ayant été réveillé en sursaut l'autre jour par ma femme , en plein rêve et les grandes lignes de cette modeste histoire vient de ce rêve
comme souvent en soirée , il n’y a rien d'intéressant a la télé , ma femme me dit
de nom coté je vais dans la chambre d'amis qui sert principalement de bibliothèque et me ,plonge dans un livre d'astronomie . Peut de temps après j’entends ma femme qui se fait couler un bain , puis plus tard il me semble l'entendre faire des aller-retour entre notre chambre , le bureau , le salon je me dis , mais qu’est qu’elle fabrique , mais bon je n’y prête pas plus d'attention que ça . Puis elle m'appelle avec une voix des plus sensuelles
je veux finir nom article je lui réponds un vague
je pose nom bouquin de vais la rejoindre dans le salon , et la je la vois assise dans le lazy-boy , quand elle s'assoit dans se fauteuil en général elle est chien de fusil les pieds sous ses fesses , mais la j'ai une grosse surprise sa tenue d'abord , une tenue que j'ignorais totalement . Une superbe paire de bottes en cuir , longue robe fendue en cuir noir , elle a les jambes croisées et le plus étonnant elle tient dans une main une cravache qu’elle fait tapoter dans son autre main . Je reste bouche bée je ne l'avais jamais vue comme ça . Elle ne dit rien ,me regarde avec un petit sourire en coin , et je ne sais pas quoi dire non plus , puis cette elle qui commence
je reçois un coup de cravache sur les cuisses
Quelques secondes plus tard, je suis nu à genoux devant , je reçois un coup de cravache elle dit juste
je regardais la magnifique femme qui était devant moi , je baise les yeux , au mot esclave je me dis dans quelle galère tu t'es mis , je ne sais pas pourquoi instinctivement j'ai mis mes mains dans le dos . Elle promène sa cravache sur mon corps , insiste un peut plus entre mes jambes , tapote mon sexe tendu , je reste immobile sans dire un mot durant ces quelques minutes qui me paraisse une éternité . Puis elle se lève lentement reste debout juste devant moi mon regard reste fixe au sol je ne voie que le bout de ses bottes , elle s’éloigne quitte la pièce je n'ose faire le moindre mouvement , elle revient peut après , avant que je comprenne elle m'avait menotter les mains dans le dos puis mes chevilles subissent le même sort .Elle me fait me lever et m'amène dans le garage , la elle me fait mettre à genoux a cote de l’établi , elle défait une de mes chevilles passe la chaine autour du pied de l'établi et la rattache , elle défait mes mains me fait m’allonger sur le dos et rattache mes mains a l'autre pied de l'établi . Elle s'éloigne de moi, éteint la lumière et en fermant la porte, elle me dit juste
je n'ai pas le temps de répondre qu’elle a fermé la porte je l’entends fermer la porte a clé .je me pose tout plein de questions , je trouve malgré tout la scène amusante et me dit qu’elle va revenir dans un petit moment , elle ne va quand même pas me laisser toute le nuit la , le sol est dur et froid . Au bout d'un certain temps je dois bien me rendre à l'évidence que je passerais la nuit ici , malgré l'inconfort j'arrive à m'endormir , je me réveille plusieurs fois dans la nuit . Quand le matin elle arrive je ne l'entends pas arrive , je ne réveille que quand elle fait claquer ses bottes justes a cote de mon visage , j'ouvre les yeux met quelques secondes a réalisé , je reçois un coup de cravache sur les cuisses , en même temps elle tapote le sol avec la bout de sa botte juste a cote de ma tête , puis je me rappelle les consignes de la veille , je tourne la tête tire sur mes bras et lui baise les pieds et la salut d'un
elle me détache les chevilles du pied de l'établi, mais elle les rattache aussitôt entre elles , elle détache mes mains également de l'établi puis les rattache devant
je la suis sans rien dire , de temps autre j'ose à peine levé furtivement la tête et jeter un rapide regard , les jambes , la jupe de cuir de cette magnifique femme , ma Maitresse , qui est juste devant moi , et celle provoque en moi une émotion que je ne peux cacher . Arrive dans la cuisine, elle me fait mettre à genoux , avec sa cravache elle tapote mon sexe tendu
elle quitte la cuisine sans rien me dire de plus , je commence a lui préparer son déjeuner , et vu comment elle a insisté en disant 'MON déjeuner '' je comprends que je ne dois rien prépare pour moi , quand tout est prêt je mets tout sur un plateau , une assiette avec un œuf tourné bacon et patate rôtie deux toast , beurre , jus d'orange , café . Elle est assise confortablement dans le canapé , et regarde la télé , je remarque qu’elle a poussée la table base du salon
elle pose le plateau sur mon dos et prend tranquillement son déjeuner tout en regardant son feuilleton .Quand elle a fini de manger , elle pose le plateau devant moi , il reste quelques pommes de terre des morceaux de toast mâchouillé
je me baisse pour manger , quand j'ai fini elle me dit
Je suis a nouveau a quatre pattes devant elle , elle pose ses bottes sur mon dos et continue a regarder son feuilleton , durant les publicités elle joue avec sa cravache , me donne quelques coups sur les fesses les cuisses , tapote mon sexe (qui est toujours en érection ) , elle dit à voix haute, mais me parler directement
Son feuilleton fini elle me fait mettre à genoux . Commence un petit discourt
c'est sans la moindre hésitation que je lui réponds
je la suis , je garde la tête baissée , je lève légèrement pour voir sa silhouette , sans même se retourne elle me dit d'un ton sec
je la suis jusqu'à la salle de bain sans avoir relevé une seule fois mes yeux . Dans la salle de bain elle me fait entré dans la douche , elle prend le pommeau et m'asperge d'eau froide , je me plie en deux , elle m'ordonne de rester droit , elle insiste beaucoup sur mon sexe , qui après plusieurs minutes de se traitement a une taille plus que modeste . Elle me fait sortir de la douche je dois me sécher rapidement . De retour dans le salon je dois m'agenouille devant , elle ,qui bien assise dans le fauteuil du salon , elle ouvre un petit coffre , en sort un mètre ruban , mesure mon sexe , dans tous les sens , elle choisit un anneau de métal dans le coffre y fait passer mes couilles puis mon sexe , elle choisit ensuite une cage et y enferme mon sexe et verrouille le tout avec une clé spéciale , je regarde mon sexe dans cette prison de métal , puis elle me met un collier en cuir
sans me répondre sans même regarder elle prend son téléphone
elle raccroche , accroche une laisse a mon collier ,elle m’amène dans la chambre d'amis et m'enferme dans le garde-robe . Je ne sais pas vraiment combien de temps j'y suis resté , une bonne partie de la journée , durant ce temps je me suis posé beaucoup de questions sur ce qui allait m'arriver , et en fait j'étais bien loin de ce qui m'est arrive .Assez dans l'après-midi elle me fait sortir du garde-robe , elle me fait mettre à genoux face au mur , avec interdiction formelle de tourner la tête , je dois fixer le mur devant moi et rien d'autre . Puis elle quitte la pièce , moi je ne bouge pas d'un poil et fixe le mur , quelques instants plus tard , elle revient et parle avec 'une autre femme
je sens Maitresse prêt de moi , je sens sa présence juste derrière moi , est elle seule ou avec l'autre femme , je l'ignore , je me concentre sur le mur . Maitresse commence as ma mettre une cagoule de cuir , c'est une cagoule aveugle je ne voie plus rien , avant de fermer complètement la cagoule elle me dit
Elle finit de me mettre la cagoule , je ne sais pas quoi penser de ce que vient d’apprendre , et quand elle finit de me mettre la cagoule ,en plus ne ne rien voir , même pas la moindre lueur et je n'entends presque rien , puis je comprends que la cagoule a une partie très rembourre au niveau des oreilles , quelques secondes plus tard ,en plus du rembourrage phonique des écouteurs y son incrusté j’entende et la chevauchée des Walkyries , une laisse est fixe a mon collier ,je suppose que c'est Maitresse elle me fait lever , dans le noir total je ne peux que suivre , connaissant la maison je sais qu’on se dirige vers le salon , puis je comprends qu’on est as la porte d'entrée , effectivement je sens les graviers de l'allée sous mes pieds , elles ne vont quand même pas me faire sortir comme ça dans la rue , non c'est pas possible !!! , le portillon s'ouvre cette fois je suis bien dans la rue , dans la rue, nu des chaines aux chevilles les mains menottées dans le dos , une sorte de cage métallique sur mon sexe et tenue en laisse , elles n'ont quand même pas ose aller aussi loin!?!? , je dois me rendre a l'évidence que oui , soit c'est une rue ou il y a très peut de passage , mais quand même . Après quelques mètres qui m'ont paru plus longs qu’un marathon , on me fait entré dans une voiture , un véhicule style S.U.V petit fourgon , on me fait entre dans une cage , puis le véhicule démarre . J’essaie de deviner ou l’on va, je devine bien les premiers rond points, les premiers virages et tournants, mais assez rapidement je ne sais plus ou l’on est. Je perds même la notion de temps, je suis resté assez longtemps dans cette cage, mais combien de temps ? Une heure, deux heures ? Enfin le véhicule s’arrête. la porte de la cage s’ouvre, on fixe une laisse a mon collier, je descends, et l’on me fait marcher a quatre pattes, je devine être dans une allée de jardin, puis je rentre dans une pièce et marche encore un peut, puis on me fait entre dans une autre cage. Je devine être dans une allée de jardins, puis je rentre dans une pièce et marche encore un peut, puis on me fait entre dans une autre cage. Je devine des bruits de parole, peut être, aussi le son d’une télé, je ne sais pas trop quelles positions adopter dans la cage, il me semble qu’on ne s’occupe pas de moi, doucement je prends mes aises, si j’ose dire, plutôt que de rester as quatre pattes je m’assoie dans la cage. Un long moment plus tard je ne perçois plus de bruit, malgré a cagoule de cuir il me semble qu’il fait noir. Je dors par petit bout, soit l’inconfort de la cage, ou as causse de douleur a mon sexe du au port de la cage. Il me semble de nouveau entendre du bruit, j’essaie de prêter l’oreille, mais ce ne sont que de vague son que j’entends. On ouvre la cage, une laisse est fixe a mon collier, on me fait sortir de la cage, je suis as quatre pattes, je sens qu’on commence a défaire a cagoule, la première chose que j’entends une voix de femme, avec un ton sec et sévère
ma cagoule est totalement enlevée, je voie juste une paire de bottes avec des talons aiguille, je ne lève pas le regard et, e regarde que le sol, la femme qui est au-dessus de moi ne dit pas un mot, elle se retourne, tire sur ma laisse, je la suis toujours a quatre pattes. Elle m’amène jusqu’aux toilettes
bien que très surpris, j’obéis et prends garde a ne jamais lever le regard. Toujours as quatre pattes elle me ramène dans la cage, elle m’explique les premières règles de base
je reçois une décharge électrique que m’administre la femme avec une sorte de bâton, semblable a celui qu’utilise les fermiers pour le bétail
sans dire un seul de plus de s’éloigne de la cage tout comme je n’existais pas, et vas s’assoir a une table un peut plus loin. J’observe autour de moi, sans bien sûr ose le regard, je suis donc dans une cage qui est installée contre un mur dans le salon d’une maison, je vois la partie salon, une grande partie de la salle a mange et un bout de couloir. Peut après je vois un homme nu qui porte un plateau a Madame Anne-Marie, pendant que Madame Anne-Marie déjeuner l’homme c’est agenouillé a cote d’elle, je comprends que c’est son soumis, car il l’appelle Maitresse. Dans la matinée le soumis nettoie les vitres, passe le balais, il me semble devine qu’il va faire la chambre, ensuite il prépare le repas et sert sa Maitresse, a la fin du repas lui a du manger dans une gamelle par terre les restes de sa Maitresse. Sa Maitresse lui donne le privilège de manger le dessert assis à table ; il remercie sa Maitresse en lui baissant les pieds. Ensuite, elle prend son café dans un fauteuil, elle est assise juste en face de moi,, elle allume la télé, lui est bien sûr a la cuisine a faire la vaisselle, quand il a fini, elle le fait mettre a quatre pattes et il lui sert de repose-pieds. En fin d’après-midi Madame Anne-Marie vient vers la cage, elle m’avait totalement ignore depuis de matin, Elle pose une grande nappe rouge sur la cage
Peut arrive j’entend effectivement arrive du monde, les discussion sont des plus banales, un couple qui reçoit un autre couple, apparemment il n’était pas prévu que ils restent souper, mais ils vont manger ici se soir. Il est tard quand on vient enlever la nappe qui recouvre ma cage. Madame Anne-Marie vient me sortir de la cage, à peine ais je sortis la tête, elle tapote du pied, je comprends et dépose une baise a ses pieds. Comme le matin elle m’amène jusqu’aux toilettes, je voudrais faire autre chose que de pissé, mais je suis complètement bloque, Madame Anne-Marie est devant les toilettes, la porte est grande ouverte et on dirait qu’elle montre des signes d’impatience, je me contenter donc du pipi du soir. Je ne retourne pas dans la cage, elle m’amène au sous-sol, une porte secrète débouche dans une sorte de salle de torture, elle me fait m’allonger longe sur le ventre et elle attache mon collier a un anneau fixe au sol, juste avec un cadenas, quand elle a fini j’ai juste assez de marge pour pouvoir lui baisse les pieds qu’elle met juste devant moi.
Je sens que la nuit va encore être longue, et effectivement je n’ai beaucoup dormir, mais au moins je pouvais étendre mes jambes. Au matin je suis réveillé par une violente douleur sur mes fesses. Avant même que je ne réalise ce qui se passe je reçois un autre coup puis un autre, je voie Madame Anne-Marie avec une longue canne de bambou, j’en reçois cinquante puis elle vient se mettre devant moi, je lui baisse les pieds
.je lui baisse les pieds et la remercie. Elle détache mon collier et me tire par les cheveux pour me faire mettre à genoux. Je vois qu’elle est harnachée d’un gode ceinture, tantôt je ne l’avais pas vue, car je me suis toujours forcé as ne regarde que le sol. Le sexe artificiel est moins d’un centimètre de ma bouche, elle pose ses mains sur ma tête, et d’une seule pousse elle force ma bouche, je fais donc une fellation au gode, alors que je suce, elle m’insulte ; me traite de salope, de PD, de pute etc., mais c’est quand elle me dit de bien le mouille, car le seul lubrifiant qui va avoir quand elle va m'enculer comme elle dit, quand elle estime que la fellation est suffisante, je dois mettre ma face contre terre et le cul bien expose, et c’est sans le moindre ménagement qu’elle me pénètre d'un seul coup, je hurle( c’est la première fois que quelques chose rentre dans cet endroit) quand elle estime la durée suffisante ,je dois me mettre à genoux et nettoyer le gode avec ma bouche , elle m'explique que je serais sodomisée minimum deux fois par jour le matin et le soir , si dans la journée ,je la vois harnacher avec le ceinture gode je devrais immédiatement me mettre à genoux pour faire une fellation au gode puis me mette en position pour la sodomie As peine, elle me fait sortir de la cave ; elle me fait mettre à genoux , elle accroche à mon collier une courte, chaine néanmoins lourde deux seaux . Mon travail sera de laver tous les planchers de la maison à quatre pattes . je venais de finir de laver le salon , Madame Anne-Marie , fait des aller-retour dans le jardin , évidemment sans qu’elle me dise quoi que se soit je recommence le lavage du salon , je suis devant la porte-fenêtre quand elle revient une fois de plus du jardin , elle se met juste devant moi et me dit.
j'obéis ,et m'applique a bien nettoyer les bottes de Madame Anne-Marie . Quand j'ai fini de nettoyer les sols . elle me met une sorte de bâillon ou elle peut y fixer divers accessoires , la première chose qu’elle y installe c'est une balayette , je dois donc récure les toilettes , puis avec une brosse je dois laver la salle de bain , et pour finir elle fixe un plumeau , elle m'attache les mains dans le dos et je dois faire les poussières. Il est presque vingt-trois heures quand j’ai fini mes tâches .elle me ramène dans la cave et elle m’attache a l’anneau au sol, elle me dit qu’elle est satisfaite de mon travail ; et elle me laisse 42 centimètres de chaines. Je reçois ma correction. Elle est entrains de m’enculer avec le gode ceinture ,quand son soumis rendre dans la pièce, il porte une casserole et verse le contenue (une sorte de bouillie faite d’épluchure et autres déchets de cuisine ) juste devant ma tête. Madame Anne-Marie me dit
tout en me fessant enculé je mange donc cette bouille infâme, elle arrête de m’encule seulement quand j’ai tout mange et bien lécher le sol, et comme dessert je dois évidement nettoyer le gode, puis elle quitte la pièce, éteint la lumière et ferme la porte à double tour. Le lendemain après ma correction et sodomie matinale, elle urine dans une gamelle et je dois tout laper et bien léché la gamelle, elle m’informe que seul son soumis a le privilège de boire directement a la source. Ensuite je suis amené dans la buanderie, il y a plusieurs paniers de linge. Elle laisse a son soumis dix minutes pour m’apprendre les bases du repassage, et elle me précise que si elle n’est pas satisfaite de mon travail je devrais tout relaver et tout recommencer le repassage, et que je ne mangerais pas et ne sortirais pas de cette pièce tant que tout ne sera pas impeccablement repasser. Ça doit faire plus deux heures que je repasse quand Madame Anne-Marie vient inspecter mon travail, elle trouve rapidement des défauts, elle ne m’adresse pas la parole, elle ordonne a son soumis de venir, d’un claquement de doigts il prend tout ce que j’avais repassé le remet en vrac dans un panier, puis il prend les paniers les apporte dehors, je le vois par la fenêtre, il verse tout le linge parterre le frotte contre la pelouse, puis me ramène le tout. Madame Anne-Marie me dit
elle quitte la pièce et ferme la porte a clé. Ça doit le milieu d’après-midi, quand je suis pris d’un mal de ventre et une grosse envie d’aller aux toilettes, je me retiens tant que je peux, je pense être sauve quand Madame Anne-Marie entre dans la pièce, je n’ ai encore fini le lavage j’en suis au dernier bac. Je lui fais par de mon envie d’aller aux toilettes, elle me fait répéter ce qu’elle m’avait dit le matin que je ne sortirais pas de cette pièce tant que tout ne sera pas fini et qu’elle soit totalement satisfaite, dans sa grande bonté elle me propose soixante-dix coups de canne et elle me laissera aller ensuite aux toilettes. C’est les fesses, cuisses et molets strie qu’a quatre pattes j’ai le droit de me rendre aux toilettes. quand je reviens dans la buanderie, elle m’ordonne de mettre une couche pour adulte, puis je dois enfile une sorte de pantalon de pluie en plastique épais, elle serre le bas avec des velcros et cadenasse la ceinture.
le ne peut que m’agenouillé lui baisé les pieds et la remercier, elle quitte la pièce et referme la porte. Il est tard dans la soirée quand elle vient faire une inspection, elle trouve une jupe plissée qui n’est pas parfaite, son soumis revient prendre tous les paniers, je dois tout recommencer. avant de quitter la pièce Madame Anne-Marie dépose au sol la gamelle remplie d’urine et me dit.
je la remercie et bois son champagne Dans l'après-midi du cinquième jour Madame Anne-Marie est satisfaite de mon travail , son soumis vas ranger le linge qui va dans sa chambre moi je dois ranger le reste , je passe as coté de Madame Anne-Marie , elle me donne un grand coup de paddle dur les fesses
je m'agenouille lui baise les pieds, la remercie et continue mon travail , le soir je suis enchainé dans la cave et es droit a mon repas à même le sol . Le lendemain matin avant même que Madame Anne-Marie ne vienne ; je ne peux plus me retenir et je chie dans ma couche , j'espère qu’elle va me la sortir . Quand Madame Anne-Marie entre , elle , attache mes chevilles a une chaine qu’elle fait descendre du plafond via un treuil , peut de temps après je suis suspendu par les pieds , mon collier lui est toujours fixé par la courte chaine a l'anneau au sol , et elle attache mes mains dans le dos . Ma correction matinale sera cinquante coups avec un long fouet , elle finit pour s"amuser comme elle me dit avec de grands coups de paddle sur mes fesses . elle me détache et me fait agenouille devant elle.
ce n'est que deux jours plus tard que deux jours plus tard que je suis libère de ma couche , pour ce faire elle ma attacher et suspendu par les bras a un arbre , c'est son soumis qui as enlevé le pantalon et le couche , il a d'abord défait le pantalon et la laisser au niveau de mes chevilles , puis il fait la même chose avec la couche . Suis rester plus d'une heure suspendue ainsi la couche aux chevilles . Puis il est venu tout sortir et ma lave au jet d'eau et avec un balai brosse , sous le regard de Madame Anne-Marie , confortablement assise sur la terrasse . quand je suis propre il me détache , et je fais me présente et m'agenouille a coté Madame Anne-Marie assise a la table de la terrasse , elle me regarde avec un sourire sadique et me dit
je voie qu’elle est harnachée de la ceinture gode , le gode est nettement plus gros que les précédents , elle claque des doigts , immédiatement je commence une fellation au gode , puis elle me prend penché sur la table , après avoir nettoyé le gode , je dois laver le pantalon de pluie , nettoyer la pelouse sous l'arbre ou j'étais suspendu et jeter la couche. Le lendemain après ma correction et sodomie matinale , je dois mettre des chaussures avec de très hauts talons aiguille , elle fixe également une chaine entre mes chevilles , les jours qui suivent j'apprends la cuisine a la servir , quand je cuisine je porte une muselière afin que je ne puisse rien manger , l'or des repas ,elle mange bien sûr a table , son soumis lui mange a terre ses restes , quand as moi j'aurais droit a ma bouillie , le soir verse à même le sol dans la cave . quelques jours plus tard, Madame Anne-Marie me fait venir devant elle , elle est harnachée avec sa ceinture gode , avoir fait une fellation au gode , quand elle est entrains de m'enculer elle me dit
quand elle a fini de me sodomiser , je la suis a quatre pattes dans la salle de bain , elle me met du rouge a lèvres . La cagoule a juste de petits trous au niveau des yeux et une ouverture pour la bouche , pour finir elle remet un collier des bracellets aux chevilles , elle me remet les escarpins à talon aiguille . tenue en laisse ,elle me ramène , dans le salon , elle met fait immobiliser devant un grand miroir
elle me fait défilé devant le miroir , puis elle met fait mettre a quatre pattes le dos au miroir , avec sa chaussure elle appuie sur ma tête pour me faire regarder entre mes jambes , j'aperçois une ouverture dans la combinaison , on voie juste mon trou du cul . Les deux seuls morceaux qu’on voie sont mes lèvres et mon trou du cul . Puis son soumis reçois l'ordre de passer du produit pour bien faire briller le latex , quand il a fini , elle me met une jupe en cuir rouge par-dessus la combinaison , avec la paume de sa main elle appuie très fortement sur mon sexe et dit
ensuite je reste debout dans un coin de la pièce . Plus tard dans la soirée , je vois Madame Anne-Marie et son soumis se prépare , Madame Anne-Marie porte une longue robe fendue en cuir noir et rouge de longues bottes a haut talon , son soumis un simple pantalon et un harnais en cuir et bien sûr il porte collier et bracelets . Madame Anne-Marie vient vers moi , elle accroche une laisse a mon collier , je la suis elle me fait monte dans le coffre da la voiture . après un trajet qui ma sembler assez long , la voiture arrête , on me fait descendre , on est dans la rue en pleine ville , je reconnais le quartier , c'est le quartier chaud de la ville , elle me reprend en laisse ,me dit
je n'ai pas le temps de finir ma phrase qu’elle me met un bâillon qui oblige de garde la bouche largement ouverte
je fais oui de la tête , Madame Anne-Marie nous tien en laisse ,son soumis et moi ,la plupart des passants sourient en ,nous voyant , beaucoup se moque de nous , quelques-uns nous insulte , surtout moi qu’ils prennent pour une fille , j'ai droit a tout le nom , chienne , cochonne salope , pute , qu’ils vont me défoncer , Madame Anne-Marie reste très digne , personne n'ose s'adresse a elle directement . Après un bon vingt-minutes de marche nous arrivons devant un bel immeuble haussmannien , âpre avoir passer une première porte , nous sommes dans une petite pièce Madame Anne-Marie se présente a l'interphone . Quelques secondes plus tard, la porte s'ouvre , un homme élégamment vêtu nous ouvre il ambrasse Madame Anne-Marie , son soumis s'agenouille de dépose une baisse a ses pieds , je fais de même . Nous entrons , Madame Anne-Marie y est très connue et très respectée, nous sommes dans un superbe triplex spécialement aménage pour toute sorte de jeux pervers , le rez-de-chaussée est constitué de trois grands salons ,d'une salle a mangé , un buffet y est en libre-service , le premier étage , est équipe en donjon , on y trouve croix de saint andre , pilori (il y a aussi un pilori dans le salon principal ) système de suspension , cette partie dédier a la suspension a une hauteur sous plafond de presque cinq mètres , une roue fixe au mur , une table d'écartement te divers autre accessoire de torture . Le dernier étage quatre pièces plus privées ou l'on peut s'isoler , toutes ces pièces comportent minimum un lit , une cage , et plusieurs anneaux fixe au mur , plafond et sol et quelques autres jouets et une dernière pièce sert de prison , il y huit cages ,quatre ou on ne peut reste que debout les quatre autres on y reste assis ou a quatre pattes , si trouve aussi de longues caisses en bois et bien sûr une multitude d'anneaux , c'est tenu en laisse par le soumis de Madame Anne-Marie que j'ai fait le tour du propriétaire , quand nous revenons , nous nous agenouillons aux pieds de Madame Anne-Marie . Madame Anne-Marie est grande discussion avec des connaissances . l'homme qui nous avait ouvert vient vers nous et dit a Madame
je regarde Madame Anne-Marie , je ne sais pas si elle peut voir mon regard à travers les minuscules trous de ma cagoule , mais moi je voie bien son regard et comprend qu’elle ne plaisantait pas et que je n'ai le choix a obéir et subir les pires choses que je m'imagine
je suis à genoux écoute la conversation , je n'ose pas imagine qu’on parle de moi . Madame Anne-Marie lui donne ma laisse , l'homme la prend tire dessus pour me faire levé
il ignore que je suis un homme ? Il est vrai que avec mon corset les faux seins et la combinaison , même moi quand je m'étais vu dans le miroir a la maison je m'étais trouve ''bien foutue'' . Arrivée près de l'entrée , il me fait m'agenouillé contre un petit poteau , fait de plusieurs sections , il ajuste la hauteur et m'attache au poteau avec un cadenas à mon collier . Je ne peux quasiment pas bouger la tête , peine suis-je attaché je le voie défaire son pantalon . il joue avec son sexe juste devant moi m'en donne des coups sur les joues
je suis bien oblige de faire un oui de la tête , même si je ressens complètement l'inverse et redoute se moment , mais je sais que je n'ai pas le choix , il enfonce son sexe dans ma bouche qui est maintenue ouverte pour le bâillon spécial que je porte , j'ai des haut-le-coeur sentir une bitte dans la bouche
j'obéis , bien qu’écoeurer , s’il vient a se plaindre a Madame Anne-Marie je n'ose imagine les punitions que je recevrais , je m"force donc de bien caresse avec ma langue cette queue qui me défonce la bouche , je fais aussi des mouvements de succion . je sens qu’il va venir je redoute se moment , je me dit que plus vite j'aurais tout pris mieux ça sera , j'accélère la succion , je sens le jet dans ma gorge je réprime un nouveau haut-le-coeur et avale tout , il se retire.
chaque fois qu’un homme rentre il leurs dit que ma bouche est en libre-service , il n'oublie pas de prémices que s'ils ne sont pas contents d'aller se plaire as Madame Anne-Marie . Il se passe moins d'une minute entre le moment ou il c'est retire de ma bouche , qu’une autre bitte rempli ma bouche . Je n’ai quasiment pas de répits , ils sont jusqu'à cinq à attendre leurs tours . À un moment donner une Maitresse entre avec son soumis , elle me voie et dit a l'homme
la Maitresse vient vers moi , elle défait le cadenas et me fait pencher la tête en arrière , pose son sexe contre ma bouche , elle pisse j'ai du mal a avalé avec la bouche ouverte , mais avec de gros efforts j'y arrive , quand elle a finie elle me rattache au poteau . Durant l'heure et demie que je suis resté attaché à ce poteau je ne sais pas combien de pipes j'ai été obligé de faire . Je suis de nouveau aux pieds de Madame Anne-Marie , je pensais avoir un peut de repos , ce repos fut de courte durée . Madame Anne-Marie m'installe sur le pilori au centre du grand salon , puis elle prend la parole et s'adresse à tout le monde.
elle me donne une claque sur les fesses et me dit a l'oreille -tortille du cul esclave pour attiré les mâles qui vont te défoncer - je n'ai d’autres choix que d'obéir . Il ne se passe pas bien longtemps avant que je sente une paire de mains qui enserre mes hanches et d'un seul coup il me pénètre , je ne sais pas qui c'est , et je ne veux pas le savoir , plusieurs hommes m'enculent , mais aussi des maitresses équipent de gode ceinture . Enfin Madame Anne-Marie vient me libéré , et m'amène au dernier étage . elle me fait m"allonge dans une des caisses de bois , avant de referme le couvercle elle dit.
je lui fais oui de la tête , elle referme le couvercle j’entends qu’elle cadenasse le couvercle . Je suis dans le noir le plus complet , il me passe tout plein d'idée dans la tête entre autres sur tout ce que je viens de subir depuis le début de la soirée . J’essaie tant bien que mal de me repossé car je me doute que la soirée est loin d'être fini . J’ignore combien de temps je suis reste dans cette boite , quand Madame Anne-Marie vient me rechercher , elle me ramène dans le grand salon , elle m'attache à genoux a un poteau a coté d'elle , son soumis est a quatre pattes et lui sert de repose-pieds . Quelques hommes lui demandent s’ils peuvent se servir de ma bouche , elle accepte toujours avec un grand sourire . Je m"eforce de toujours les satisfaire au mieux surtout sous le regard de Madame Anne-Marie . un peut plus tard une soumise , s'adresse a Madame Anne-Marie -Madame avez du matériel pour la vente-
Madame Anne-Marie me détache ,elle ordonne a son soumis de lever ,puis les tend les laisses a la soumise , la soumise nous amène dans une petite pièce , ou son déjà une dizaine de soumis et soumise , une quinzaine d'autre viennent nous rejoindre , un Maitre et une Maitresse s'occupent de nous , la Maitresse s'occupe des soumis , le Maitre des soumises , et je suis dans la file des soumises bien entendu . Quand je suis devant lui , il lis les document me concernant fournis par Madame Anne-Marie , puis il accroche a mon collier un écriteau avec le numéro huit , puis je dois me mettre à genoux face au mur a coté des autres soumises les soumis suivent le même traitement et son agenouillé face au mur opposé . Nous sommes tous à genoux face au mur .si nous faisons le moindre mouvement une maitresse nous surveille et elle a le fouet facile . j'entends une voix de femme qui parle apparemment dans un micro.
il me semble deviner qu’on vient chercher un soumis , mais je n'ose pas bouger la tête et fixe le mur devant moi
j'entends des applaudissements , puis c'est la vente d'une soumise , ensuite un soumis et ainsi de suite , puis un soumis vient me cherche il me fait monter sur l'estrade qui a été montée dans le grand salon
les enchères monte ,je voudrais que Madame Anne-Marie soit fière de moi , je tortille un peut du cul , bombe le torse pour bien faire ressortir ma fausse poitrine , j’ai une certaine fierté a tenté de faire monte les enchères , j'espère quand même être vendu a une Maitresse . Je suis vendu pour 680, mais je ne sais pas à qui ? le soumis qui m'avait monté sur l'estrade me tire par la laisse me fait descendre de l'estrade , il m'amène dans la salle , et me fait m'agenouille devant trois hommes.
les hommes discutent entre eux
il s'approche de moi défait son pantalon , et je dois lui faire une pipe , je m'applique de mieux que je peux , depuis le début de la soirée je commence a avoir une certaine expérience , après lui je dois sucer les deux autres . Puis ils décident de monter a l'étage , et trouve une des chambres libres , je suis inquiet quand un des hommes fermes la porte a clé , jusqu'a présent tout ce que je subissais étais a la vue de tous et de Madames Anne-Marie , la je suis seul , isoler . Ils se déshabillent complètement . Puis ils me couchent sur le dos dans le lit . le premier s'agenouille sur moi et enfonce son sexe dans ma bouche le second me relève les jambes et m'encule , le troisième pose sa main entre mes jambes , il marque un arrêt quand il sent ma cage de chasteté.
les deux autres viennent touche ma cage , je suis terrorisé que vas t’il se passer , un des hommes après le moment de surprise s'adresse aux deux autres
En plus d'avoir a subir leurs assauts j'ai droit a une flopée d'insulte , je suis un véritable jouet entre leurs mains , ils me prennent dans toute les positions possibles que premet ma tenue et mes entraves . Quand ils me ramènent dans le salon, le jour est déjà levé . Je suis totalement épuisé . Ils me disent de les conduire à ma Maitresse , Madame Anne-Marie est assise dans un fauteuil , elle enserre entre ses jambes la tête d'une soumise qui lui fait un cunnilingus , quand j'arrive proche d'elle , elle attrape la soumise par les cheveux et la chasse sans le moindre ménagement . je m'agenouille a ses pieds , un des hommes s'adresse à elle.
peut de temps après nous rentrons chez Madame Anne-Marie . arrivez Madame Anne-Marie , elle m'amène immédiatement a la cave , elle défait le fourreau qui retenait mes bras dans le dos , ôte le bâillon , j'ai vraiment très mal aux mâchoires qui ont été oblige de reste ouverte depuis plusieurs heures , elle défait le corset , elle me laisse la combinaison , et m'attache a l'anneau a sol comme tous les soirs , mais j"ai droit a presque un mètre de chaine , ce qui veut dire qu’elle est contente de moi , je me mets en position pour recevoir ma correction et sodomie du soir , elle me donne une claque sur les fesses et me dit avec une voix assez douce.
je lui baise les pieds , elle éteint la lumière et ferme la porte à double tour , malgré la douleur dans mes mâchoires , mes bras endoloris et mon cul , la fatigue est plus forte et je m'endors rapidement et content que Madame Anne-Marie soit satisfaite de moi Le lendemain matin avant même qu’on m'ôte la combinaison de latex je reçois ma correction et ma sodomie . Ensuite Madame Anne-Marie était d'humeur joueuse comme elle dit . Elle nous a torturés toute la mâtiné son soumis et moi dans la cave-donjon . L’après-midi et une grande partie de la soirée je dus comme a tous les jours effectuer diverses taches . Quelques jours plus tard, Madame Anne-Marie me fait venir devant elle . Je suis debout les jambes légèrement écartées , mains sur la tête . Elle fait passe as l'intérieur de ma cage de chasteté deux fils électriques dénudée , elle entoure ma cage de ruban adhésif , puis elle prend un plug , en devise une extrémité , y place deux grosses piles , elle me fait me retourne et pencher en avant et m'enfonce le plug sans aucun ménagement , puis je dois reprendre la position initiale . Elle m'explique que c'est une commande à distance ,entre autres une laisse , et aussi une façon de punir . Je dois me mettre plus loin et elle s'assoie dans son fauteuil , elle me fait voir sa montre , qui n'est pas qu'une montre c’est aussi et surtout la commande , et elle m'en explique le fonctionnement
je recule lentement en effet je reçois un petit choc bénin , je continue de reculer la douleur est bien plus intense je plie les genoux puis reprend ma position . Elle m'ordonne de reculer encore même pas un mètre de plus et la décharge est nettement plus force je pousse un grand cri et tombe presque à genoux . Elle m'ordonne de revenir vers elle , et continue ses explications as peine a telle finie sa phrase que je ressens une douleur insoupçonnable , je tombe a terre en hurlant , ça me prend plusieurs secondes pour reprendre mes esprits , elle ne dit rien et attend que je reprenne ma position
ensuite je dois m'habillé c’est bien sur Madame Anne-Marie qui choisit ce que je dois porter , malgré la chaleur de cet été je dois porter un pantalon long , une chemise a manche longue et boutonné jusqu'au cou pour cacher les bracelets et mon collier . Puis nous sortons , j'observe leurs diverses façons de faire , son soumis commence par aller ouvrir la porte de la voiture a sa Maitresse et seulement ensuite il s'installe a bord , je m'approche de la voiture , mais si je suis a moins de trois mètres je risque de recevoir une décharge , Madame Anne-Marie remarque mon inquiétude sourie me montre sa montre , touche un bouton et me fait signe de venir , je vais m'assois a l'arrière . Nous nous arrêtons en ville. Ils commencent par se promener, je les suis en respectant la distance imposée par Madame Anne-Marie. A un moment donné ils s’arrête a la terrasse d’un café, son soumis lui tire la chaise pour qu’elle puisse s’assoir, puis attend son ordre pour pouvoir lui même s’assoir le tour est assez discret et passe inaperçu aux yeux des passants. Moi je reste debout proche de la terrasse, puis ils reprennent leurs promenades. En cette belle journée d’été ensoleillée beaucoup de femmes, d’étudiante, porte des tenues légères et assez courtes et je ne peux m’empêche de regarder peut temps après je reçois une violente décharge, puis une plus petite, je vais donc me place a la gauche de Madame Anne-Marie
je vais reprendre ma place, dans leurs promenades ils font différent magasin, la sortie se termine en fessant les courses de la semaine, et ne n’ai plus regarde une seule femme. Le lendemain, Madame Anne-Marie est sortie seulement avec moi et je devais me comporter comme il se doit a la moindre petite incartade je reçus une décharge plus ou moins forte, durant cinq jours je suis sorti tous les après-midis avec elle, mais les décharges étais de plus en plus forte a la moindre erreur ou moindre oubli de ma par, mais j’en fessais de moins en moins, mais je reçu quand même une fois la punition maximum, pour avoir regarde les jambes d’une jeune femme. Quelques jours après, je lavais le sol de la cuisine, la sonnerie de la porte retenti, Madame Anne-Marie m’ordonne d’aller ouvrir, un peut inquiet je suis nu avec ma cage et mes bracelets et mon collier, mais je ne nais pas le choix et obéis. Deux jeunes femmes se présente a la porte, elles ne paraissent pas étonne de me voir dans ma tenue
je vais donc prévenir Madame Anne-Marie, elle me donne des consignes que je vais dire aux visiteuses
je retourne laver le sol de la cuisine, moins de dix minutes plus tard je reçois un ordre
je vais immédiatement aux pieds de Madame Anne-Marie, qui est dans son bureau. Elle prend quatre pinces crocodiles ôte la petite protection en plastique
pour être sur que j’ai bien compris elle le fait sur mon teton gauche. je vais dans le salon, les jumelles sont nue a l’une a coté de l’autre à genoux les jambes largement écartées les mains sur la tête, je remarque quelle porte une ceinture de chasteté, un peut timidement je me penche vers elles
elles ne disent rien, c’est à peine si on remarque qu’elles se pincent les lèvres quand les dents de métal s’enfoncent dans la chair sensible de leurs tétons . J’entends Madame Anne-Marie qui s'occupe des jumelles je reconnais le bruit sec de claques sur les fesses Peut de temps après Madame Anne-Marie vient me rejoindre dans la cuisine suivie des jumelles, elle appelle aussi son soumis, puis elle nous donne quelques explications.
mais avant que nous puissions travailler elle nous prépara, a sa façon . Les jumelles portaient toujours leurs pinces sur les tétons, pour qu’il n’y ait pas de jaloux son soumis et moi même nous avons droit au même traitement, avec une faveur pour moi, car comme je suis en dressage, en plus des pinces j’ai droit a des poids. Ensuite elle prend une chaine en fixe une extrémité a un de mes bracelets, fait passé la chaine entre les jambes d’une des jumelles et fixe l’autre extrémité a mon autre poignets. Si je lève au maximum mes mains, j’arrive au niveau de la tête de la jumelle, si je me colle contre elle je pourrais me servir de mes mains pour travailler, ensuite elle relie les poignets de la fille avec une chainette, chainette qui est fixée à mon collier. Son soumis et l’autre jumelle subissent le même sort, et pour finir elle attache une barre d’écartement d’un mètre cinquante a mon collier et celui de son soumis. Nous avons tous droit a une claque sur les fesses suivit d’un « au travail » tant bien que mal malgré nos entraves nous lisons le menu et commençons a travaillé. Plus tard nous entendons que des visiteurs arrivent, mais nous ignorons qui ils sont. À un moment donne Madame Anne-Marie vient dans la cuisine, elle voit par terre un tout petit morceau d’épluchure, la jumelle qui est entravée avec son soumis reçois une paire de gifles, tout simplement par ce que c’est elle qui était le plus proche de Madame Anne-Marie, puis Madame Anne-Marie prend un post-it y fait une croix et le colle sur le frigo. En début de soirée, nous voyons arrive dans la cuisine, une jeune femme blonde élance, en tenue de soubrette extra courte, ses poignets et chevilles sont reliés par de jolies chainettes en or. Elle vient prendre des verres pour servir des apéritifs, j’essaie de voir combien de verre elle prend, mais Madame Anne-Marie est proche et je reçois un coup de canne sur les fesses et une autre croix sur le post-it. quand vient le moment du repas je suis le seul as rester en cuisine, en plus de la soubrette blonde une deuxième soubrette, plus jeune tout juste la vingtaine, brune plus petite guerre plus d’un mètre cinquante-cinq, avec une poitrine plus que généreuse, sa tenue de soubrette diffère de la blonde par le chemisier celui-ci a été percé au niveau des aréoles, sur ses tétons sont fixés par des pinces (glover) deux clochettes En préparant les assiettes je devine facilement qu’il y a six personnes dominantes , et cinq soumises , probablement le soumis de Madame Anne-Marie les deux jumelles et les deux soubrettes et bien sûr moi , mais apparemment je n'aurais droit qu’as ma bouille bien plus tard dans la cave , comme a tous les jours . Peut après que j'ai préparé les cafés Madame Anne-Marie vient me cherche , elle m'attache les mains dans le dos , accroche une laisse a mon collier , je la suis dans le salon . Dans le salon sont présent , quatre Maitresses assises cote as cote dans le grand canapé , deux Maitres assis chacun dans un fauteuil , les deux soubrettes se tiennent un peut en retrais à genoux les mains dans le dos prêtent a servir au moindre désir des Maitresses ou des Maitres , le soumis de Madame Anne-Marie est a quatre pattes devant LE fauteuil de Madame Anne-Marie , il devait lui servir probablement de repose-pieds , une des jumelles suce un des Maitres , l'autre est à genoux , les genoux poses sur une règle en bois les mains sur la tête et les fesses bien rouges , elle est au centre du salon et fait face a tous les autres . Madame Anne-Marie lui donne un coup de pied aux fesses et lui fait signe de se déplace , une des Maitresses lui fait elle signe avec son index de venir a cote du canapé . La jumelle ramasse la règle avec sa bouche , se déplace a quatre pattes , pose la règle a terre et reprend sa position a coté du canapé . Madame Anne-Marie me donne un coup de pied aux chevilles pour bien me faire écarté les jambes , je tends au maximum la chaine relie mes chevilles . Madame Anne-Marie retourne s'assoir à sa place . Trois ou quatre minutes se passent sans que rien ne se passe . Puis une des Maitresses prend la parole
je ne sais pas ce qui se passe de quoi elle parle , apparamant seuls les Maitresses et les Maitres son au courant , puis Madame Anne-Marie me pose des questions
je ne sais pas trop comment répondre
elle marque sur son calepin de punition et je réponds
une des Maitresses , celle qui est au centre prend la parole
je dois être complètement rouge de honte la Maitresse a sa droite prend le relai
Madame Anne-Marie m'ordonne d'aller me mettre à genoux devant le canapé où sont assises les quatre Maitresses , j'obeis sans la moindre hésitation . J’ai devant moi a moins de deux mètres , quatre maitresses qui me scrute . La première en partant de la droite du canapé , une jeune maitresse je parierais qu’elle a maximum vingt-deux ou vingt-trois ans , elle porte une paire de bottes en cuir blanc avec talon aiguille ( toutes les maitresses portent des bottes a talon aiguille ) une minijupe également de cuir blanc des bas blanc , un chemiser blanc , et elle tien dans sa main une cravache blanche tenue qui lui va à ravir avec sa peau légèrement matte et des cheveux d'un noir intense . La seconde une femme de quarante a quarante-cinq ans porte quand a elle une longue robe de cuir fendu très haut des deux cote , elle a un regard noir assez sadique . La troisième peut être la trentaine d'une magnifique blondeur, porte une minijupe , faite d'un savant mélange de cuir , satin, velours , le tout en rouge et noir et un superbe corset qui met en valeur sa poitrine , elle a un regard angélique , mais peut être est telle la plus sévère ? Et la dernière la bonne cinquantaine porte une jupe de cuir fendu sur un côté , un chemisier blanc et une veste très élégante en cuir son regard impose le respect . Je sens aussi le regard de Madame Anne-Marie qui est sur le coté , les maitres ne me regardent que d'un air distrait , un ce fait encore sucer par une des jumelles , l’autre a fait venir a coté de lui la soubrette blonde et joue avec son sexe . je sens une canne de bambou sous mon menton , c'est Madame Anne-Marie qui me fait relève la tête
le fait en fait de devoir lever la tête et voir leurs regards me met encore plus mal a l"aisé , mais il vrais que chacune dans leurs styles sont toute très belles , la première de ces Dames la jeune en blanc parler a ses consœurs
celle avec le regard qui impose le respect continu et est reprise par les autres
Madame Anne-Marie prend la parole
le top est donné par un grand coup de canne de bambou sur mes fesses . je n'ai pus que deviner la couleur de la jeune maitresse en blanc , et comme par hasard c'est elle qui prend la parole
la Maitresse en blanc reprend la parole
le jeu continue j'ai pus voir deux petite culottes celle de la maitresse a l'autre extrémité du canapé et de la seconde celle avec le regard sadique , et elles aussi me posent toute sorte de questions et je sais très bien que peut importe la réponse je sais que j'ai tort , d'ailleurs Madame Anne-Marie leur a fait passer mon carnet de punition . Et la dernière que j'ai pus voir c'est celle de la Maitresse avec un regard angélique , évidemment elle était fâche d'être la dernière j'ai eu droit a un flot d'injures, elle as ôté sa petite culotte et est venu me l'enfonce dans la bouche et madame Anne-Marie lui fourni un bâillon . Madame Anne-Marie m'ordonne d'aller me remettre debout au centre du salon Je suis debout au centre du salon tous me regardent les maitres et maitresses les soumises ,elles sont toutes les quatre debout mains sur la tête derrière le canapé des maitresses, Madame Anne-Marie prend la parole
les quatre soumises sont autour de moi , leurs caresses biens que très agréable sont vite contré par les pointes de discipline de la cage . Les Maitresses le remarque , elles en rient et en profitent aussi pour m'insulter, car au jeu précédent je n'ai pas eu ce désagrément et le note sur le carnet . Une quinzaine de minutes plus tard ordonne aux soumises d'arrêtés . Madame Anne-Marie dit qu’après les amuse-gueules nous pourrions aller au donjon et passer aux choses sérieuses . j'ai peur de ce que le mot séreuse veut dire. Le premier jeu auquel nous devons participer est le jeu des chaises musicales , mais avec une variante , les chaises sont modifiées , au centre est fixé un plug plus au moins gros , dont deux particulièrement gros . La musique commence , a l'arrêt de la musique comme dans tous les jeux nous devons nous assoir , ou plutôt nous empaler , pour montre que nous sommes bien empaler nous devons lever les pieds du sol . C’est une des jumelles qui est la première à perdre , elle est aussitôt amené un peu plus loin ; ou elle est attachée par les poignets , les bras en l'air , elle ne touche jele sol que sur la pointe des pieds . Pendant que le jeu continue pour les autres, elle est fouettée par un maitre . Je suis le troisième à perdre , je vais rejoindre la jumelle et la soubrette blonde , nous sommes tous les trois attachés ensemble , deux maitres et Madame Anne Marie nous fouettent . Après ce jeu nous passons aux punitions , j’ai droit au pilori où je reçois la canne , la croix de saint andre pour la cravache , et suspendu par les pieds ou les maitresses joue avec les couilles et mon cul . Durant mes punitions je remarque que les autres n'ont pas l'air de recevoir de punitions . Madame Anne Marie me fait mettre à genoux , attache mes mains dans le dos et reliez mes poignets aux chevilles . Je suis devant le lit ou les deux jumelles sont allongé les jambes écartées , elles ne portent plus leur ceinture et se caressent , mutuellement . Madame Anne Marie m'explique la suite des évènements
je m'avance devant la première des jumelles , Madame Anne Marie pousse ma tête entre les jambes offertes , elle prend les jambes de la soumise et les poses sur mes épaules . Malgré mon inexpérience dans ce domaine elle est tellement excite qu’elle jouit assez vite , sa soeur, mais plus de temps a jouir , je ne sais pas qui sera puni j’ai aucune idée des temps que sa pris . Les deux soues sont amenées , on met sut le lit les deux soubrettes , Madame Anne Marie y va de nouvelles explications
je commence par lécher le sperme sur les cuisses de la soubrette blonde puis la lèche , je ne sais pas combien de temps il c’est passe, mais je suis sur qu’avant elle ne commence a réagir a mon léchage il c’est passe plus de dix minutes , elle arrive a jouir bien longtemps après , la seconde il me semble qu’elle a joui un peut plus vite . Madame Anne Marie modifier mes liens , elle attache mes bras hauts dans le dos , mes chevilles sont emprisonnées dans un carcan , puis elle me bande les yeux , et me pose un casque audio , j'entends une voix complément déformée impossible a identifié
Je sens que je frôle des bottes de cuir , je comprends que je dois lécher une Maitresse , je commence a vouloir lécher directement le sexe , je reçois un coup de canne sur la plante des pieds la voix déformée , qui est légèrement différente
je donne alors des baises sur l'intérieur des cuisses , ose de légers coups de langue , a chaque instruction je reçois des coups de canne sur la plante des pieds , j'essaie de m'applique de mon mieux de bien écouter , a un moment donné je sens qu’elle serre ma tête entre ces cuisses , elle plaque ma tête contre son sexe , je lèche , suce , titille le clitoris , entre ma langue le plus profondément possible dans le sexe , j, entend la maitresse jouir . on ne me laisse pas de répits je dois faire faire jouir une autre Maitresse , ces exigences sont différentes , je les apprends as coup de canne sur la plante des pieds. Après qu’elle ais joui , je suis immédiatement mis entre les cuisses d’une autre Maitresse, les deux maitresses précédentes étaient épilées. Elle porte une toison bien fournie, elle est très exigeante, mes plantes de pieds en pâtissent, il me semble qu’elle ne veut pas forcément jouir rapidement, mais profiter de ma langue le plus longtemps possible. Je ne sais pas combien temps de temps je suis resté a la lécher, mais bien plus longtemps que toutes les précédentes. Quand elle a joui, elle le tire violemment en arrière par les cheveux, j’en tombe quasiment à la renverse. Je m’attends à ce qu’on me remette entre les cuisses d’une maitresse, mais c’est un sexe en érection qui force ma bouche. J’entends des éclats de rire, je reçois des instructions sur la façon de suce cette bite dans les écouteurs, chaque instruction commence par le mot pédé. Quand il jouit dans ma bouche bien sur j", avale tout. On me laisse à genoux un petit instant je ne sais pas si je vais avoir a suce une autre bite, ou le sexe d’une maitresse. Je suis soulage je suis de nouveau entre les cuisses d’une maitresse, je suis attentif a ses moindres ordres, ses moindres réactions, et évite pas mal de coups sur la plante des pieds. Quand elle jouit, elle me caresse la tête. Je suis de nouveau entre les cuisses d’une autre maitresse, celle-ci porte une petite toison, ses poils sont très fins ; est-ce que c’est la maitresse bloe ? Bien sûr je l’ignore, mais je fais tout comme et l’imagine, j’imagine, sa poitrine, son corset, peut être cette imagination me détourne de ma mission, des coups de cannes sur mes plantes de pieds me remette dans le droit chemin. Dès qu’elle jouit, c’est sans le moindre ménagement qu’on me remet entre les cuisses d’une autre maitresse. Ça veut donc dire que j’aie, ou que je suis entrain de lécher Madame Anne-Marie. Cette idée me déstabilise un peu, mes pieds en subissent immédiatement les conséquences. En léchant, donnant des baisers, il me semble deviné une peau très douce, suis je entrain de lécher la plus jeune des maitresses ? Quand elle jouit ce est-ce qu’on appelle, je pense, une femme fontaine, évidemment je dois bien lécher, laper son jus. En me tirant par les cheveux on me fait avance , cette fois ce n'est pas devant un sexe de femme qu’on me met , m'ai c’est un anus que je dois lécher , je devine rapidement que c'est une soumise il me semble devine des boursoufflures du a des coups de canne ou de cravache , il y a aussi ce que me semble être du sperme en partie séché , on m'ordonne de bien entré ma langue a l'intérieur , j'ai du pratique des anuslingus aux quatre soumises , mais aussi as un soumis . Quand j'ai fini on m'attache a l'anneau au sol ou je passe toutes mes nuits , on me fait mettre sur le dos , une mains appuie sur mes joues pour me faire ouvrir la bouche , presque immédiatement un jet de pisse , vient remplir ma bouche , j en reçois cinq puis on enlève mon bandeau , et je continue a servir de toilettes , les soumises viennent s'accroupir au-dessus de moi pour pisse les unes après les autres , je sers de pissotière aussi pour les maitres et soumis . Madame Anne-Marie s'approche de moi , détache mes mains et mes chevilles
je n'ai pas le temps de la remercie que la plus jeune des Maitresses dit
Madame Anne-Marie me jette un regard , elle n'a pas besoin de dire le moindre mot , je me mets en position pour satisfaire la jeune Maitresse , je tourne la tête , la vois choisir divers godes , elle fait venir à cote d'elle une des jumelles. Elle prend un gode lui enfonce dans le sexe ,fait quelques aller venue , puis elle lui fait lécher et le reposée , elle fait la même chose avec six ou sept godes , puis elle choie le plus gros des godes ' bonhomme Michelin ' le gode est peut fait comme le bonhomme Michelin avec plein de renflement , c'est un des godes que je redoute le plus . Elle vient juste moi , prend tout son temps s'anarché avec la ceinture gode , elle me regarde avec un sourire sadique . Elle va se mettre en position , je sens le gode qui appuie à peine sur mon anus , elle ne force pas appuis tout doucement , elle recule un peut , c’est à peine si je sens le gode , appuis un peut plus fort , relâche la pression , elle fait cella plusieurs fois , et quand je m’y attends le moins elle me pénètre d'un seul coup , je pousse un cri , elle me tire la tête en arrière par les cheveux
avec la violence a laquelle elle m'encule ,elle n"as pas besoins de me préciser de crier . Quand elle a fini je dois bien sûr la remercier , puis toutes les Maitresses viennent devant moi je dois lécher leurs bottes et les remercier , idem pour les maitres , quand aux soumises , elles doivent me donner quelques coups de langues sur les couilles. Madame Anne-Marie m'enfonce une petite culotte dans la bouche et me pose un bâillon , elle fait subir le même sort aux jumelles . Les jumelles doivent s'allonger par terre devant moi , Madame Anne-Marie les enchaine au même anneau que moi avec une courte chaine de cinquante centimètres , une extrémité de la chaine est fixe au collier d'une des jumelles , passe dans l'anneau et l'autre extrémité est fixe au collier de sa soeur . Toutes les autres personnes quittent le donjon . Madame Anne-Marie , éteins la lumière et ferme la porte à double tour . Les jours suivants sont des jours relativement normaux si j'ose dire pour le dressage d'un esclave . Les jumelles sont reste chez madame Anne-Marie ce sont ses esclaves femmelles , pour perfectionne mon léchage je devais les lécher et les faire jouir plusieurs par jour , quand je devais lécher Madame-Anne Marie j'avais toujours les yeux bande , je n'ai jamais vue sont intimité . un jour en fin de matinée Madame Anne-Marie me fait venir a ses pieds , je suis à genoux devant elle tête baissée mains dans le dos
trois jours plus tard , juste après mon réveil et correction matinales , Madame Anne-Marie fixe une courte chaine entre mes chevilles , puis elle fixe une chaine qui va de mon collier a mes chevilles , je ne peux pas me tenir droit je suis oblige de reste une peut penché , et elle cadenasse mes poignets a la chaine qui vas de mon collier a mes chevilles , ensuite elle me met une cagoule de cuir aveugle , puis se sent qu’elle me met une laisse , je suis donc obligé de la suivre . Je devine que nous sommes dans la cour , elle me fait monte dans le coffre de la voiture . Je ne sais pas combien de temps nous roulons . Quand la on me fait descendre , toujours tenu en laisse , nous marchons un bon moment peut être , trente ou quarante minutes . On me fait mettre as quatre pattes , il me semble que on modifier ou rajouter des liens je ne sais pas trop je me laisse faire , puis je sens qu’on me met un plug , je reconnais vite fait que c'est le plug de chasteté , il ressemble a une poire d'angoisse , une fois en place il est écarte et un petit cadenas est mis en place . Madame Anne-Marie ôte ma cagoule , je comprends mieux ou je suis , je suis donc dans un bois , a quatre pattes , Madame Anne-Marie a rajouté une chaine a mes chevilles cette nouvelle chaine fait le tour d'un petit arbre , mes poignets on eu le même traitement a un arbre devant moi , et une dernière chaine par de mon collier passe sous une grosse racine et revient vers mon collier . Madame Anne-Marie me fait tourne la tête pour que je regarde en l'air , je voie suspendue a une branche un gros bloc de glace , sous le bloc une cordelette dépasse et y sont fixé des clés " esclave ton dressage est fini , quand la glace aura fondu avec les clés tu pourras te libère de certain de tes liens , ensuite tu devras aller j'usque au gros rocher là-bas derrière il y a un sentier , tu prendras ce sentier vers la droite , il te mèneras a une route , normalement tu devrais reconnaitre la route , et de la tu rentrerais chez ta Maitresse , attention si tu mets tu temps a arrive et que les lumières ou les volets sont ferme interdiction de dérange ta Maitresse '' Madame Anne-Marie mets ses pieds devant moi , je lui baisse les bottes et la remercie , sans rien me dire de plus elle quitte l'endroit . Je regarde autour de moi , je ne reconnais pas spécialement l'endroit , j'espère surtout que personé me ne verras dans cette position , d'autant plus que si je peux rentre a pieds chez Maitresse je ne dois pas être , très loin de la maison , je n’ose imaginé si un voisin , un commerçant viendra a se promené et me verrais , je n'ai aucune idée de quels jours on est , si on est en semaine peut de chance qu’il y as des promeneurs , je regarde le bloc de glace combien de temps vas il mettre a fondre , l'eau froide coule dans mon dos , je n'ai pas assez de jeu avec mes entraves pour me mettre de cote , je suis attendit au moindre bruit , alors que je regarde autour de moi j'aperçois assez loin des , ma première idée il faut que je repère l'endroit , puis une autre idée moins agréable , les champignons attirent le monde dans les bois , pourvu que personne ne viennent les ramasser . Il doit être proche de midi le soleil est haut dans le ciel , j"ais l impression que la glace ne font pas vite . Tout as coup mon sang ne fait que un tour , entend des voix , on dirait qu’il y as des enfants qui joue , je regarde vers le rocher , les voix se font plus proches , puis je voie un chien arrive , c'est le chien de mes voisins d'en face , il me renifle , les voix sont très proche , je reconnais effectivement les voix des voisins , j'entends leurs fils dire ' regardez papa , maman je suis capable de monter sur le rocher ' non pas sa c est pas vrais , je vois le môme sur le rocher j' essaie de me faire le plus petit possible , le chien voit sin petit maitre et part a la course vers lui , l'enfant appelle sont chien décent du rocher , ouf je ne me suis pas fait voir , mon coeur bat as une vitesse que je n'aurais jamais cru capable , une chose est sure je ne dois pas être cardiaque sinon je serais mort . Le soleil est presque couché quand je sens quelque chose tombé sur mon dos , se sont enfin les clés accrochées a la cordelette , heureusement qu’elles sont accroche a la cordelette sinon j'aurais été incapable de pouvoir les récupère , je dois en premier attraper la cordelette avec mes dents , une fois ça de fait il m'est facile de ramené les clés au niveau de mes poignets , je libère mes mains , mon collier et mes chevilles ,je ne peux défaire que les chaines qui passais autour des arbres et de la racine . C’est donc en fesant de petit et en étant courbé que je peux enfin partir , et surtout ne croiser personne , je suis nu , enchainé et un plug dans le cul . Le soleil est presque couché il ne devrait avoir personne dans le bois . J’arrive enfin a la route , effectivement je reconnais une petite départementale , je suis environ a six kilomètres de la maison , les cinq premiers kilomètres ne m’inquiètent pas trop , une partie est dans les bois puis se sont des champs , je marche donc en dehors de la route , le dernier kilomètre est beaucoup plus délicat , c'est un secteur résidentiel de beau trottoir de belle clôture , mais rien pour ce cacher . Quand j’arrive dans la zone pavillonnaire il fait presque nuit , je décide d'attendre dans un fossé qu’il fasse nuit Anne-Marie , ne ne pas dérange Maitresse , je vais vert le cabanon du jardin, mais celui-ci est ferme a clé , je vais donc me mettre , sous une bâche qui sert a protéger diverses choses , je veux me cacher un peut, car la maison derrière chez nous habite un couple de femmes , et surtout c'est une maison avec un étage et elles peuvent voir notre jardin , évidement elles ne sont pas la a scruter ce qui se passe chez nous . je m'assoupit je dort même un peut Je suis réveillé quand Maitresse ouvre les volets de la porte-fenêtre , durant quelques secondes je ne sais plus comment me présente a elle , puis je n'ai pas besoin de réfléchir a cella je dois me présente comme un esclave , esclave que je suis . Je vais donc m’agenouille a ses pieds je lui baise les pieds la salut , elle feint la surprise
au coup de pied dans les fesses elle me fait avance dans la cuisine , elle avait déjà préparé un seau une brosse et une serpillère , avec son pied elle pousse le seau juste devant moi , je comprends ce que j'ai a faire , j'aurais espéré un accueil un peut plus gentil de sa part , même juste quelque minutes j'aurais aimé quelque chose de plus amicale , un mari qui retrouve sa femme après un mois d'absence , mais bon je de dois assumer mon rôle d'esclave , je mets au travail . Durant ce mois, Maitresse est quasiment aussi sévère que Madame Anne-Marie . Maitresse exige souvent que je la léche , mais je ne l'ai jamais revu nue depuis mon retour , pour ces caresses buccales j"ai toujours les yeux bande , toutes mes nuits je les passe enchainé dans le garage , tout comme chez Madame Anne-Marie je reçois une correction et sodomie a tous les matins . Elle ne mas jamais sorti non plus ma cage . A la fin du mois elle m'indique que mon dressage est fini , et que vais donc être un esclave , les conditions sont un peut moins dure , mais elle est toujours aussi sévère . Je ne dors plus dans le garage , mais enchainé aux pieds de son lit , quand elle est contente de moi j'ai droit a un petit matelas , un matelas qui sert normalement pour faire des exercices , bien que pas très épais je le trouve très confortable surtout compare au sol froid du ciment du garage , jais le droit de mange avec elle , soit dans une gamelle a ses pieds . Même durant se mois je ne l’aie pas vus une seule fois nue et elle me bande toujours les yeux quand elle veut avoir du plaisir avec ma langue . Le mois est presque fini , Maitrersse me donne du linge et m'ordonne de m'habillé , depuis presque trois mois , mis a par chez Madame Anne-Marie quand j'ai du faire la pute habille en latex je n'ai pas porte un seul vêtement , elle me bâillonne ôte , mon collier , mes bracelets tant aux chevilles qu’aux poignets , elle me fait mettre face au mur les mains sur la tête . Peut de temps après on sonne a la porte , je ne bouge pas la tête fixe le mur , Maitresse vas ouvrir , je reconnais la voix de Madame Anne-Marie . Les deux femmes discutent quelques instants , puis j'entends Maitresse dire
Madame Anne-Marie s'approche de moi , elle me met une paire de lunettes de soleil , ces lunettes ont été modifié , elles sont totalement opaques je ne peux rien voir , même sur les coté , elle me fait mettre les mains dans le dos , mais ne les attache pas , puis elle m'annene dehors me fait monte dans une voiture , mais cette fois je suis assis a l'avant coté passages , je dois garde les jambes légèrement écarter les mains pose a plats sur mes cuisses . Madame Anne-Marie démarre , mets de la musique , le voyage dure plusieurs heures , quand Madame Anne-Marie s'arrête je dois faire semblant de dormir et ne pas bouger . Enfin on est arrive , elle me sort mes lunettes , le soleil m'éblouit , puis elle me di
j'obéis , me rend a l'hôtel , ce n'est qu’une fois dans le hall que je comprends que je suis en Espagne , a la réception je suis très bien aceullie c'est un hôtel luxueux , un valet porte mon sac et m'aconpagne a ma chambre , ma chambre est une des suite de l'hôtel , jai vue sur la mer , on dirais que l'hôtel a sa plage privée , le valet range mes affaires , je ne peux même pas lui donne de pourboire , machinalement je mets mes mains dans poches du pantalon , je sens quelque chose , il y a un billet je le sors c’est un billet de cinquante , je refouille dans mes poche , c'est le seul qu'il ais , je lui donne donc en pourboire , le valet me remercie avec un grand sourire . Le valet sorti je fais le tour de la suite, et surtout je me demande ce que je fais la. J’essaie de comprendre ou devine ce qu’à bien pus mijoter Maitresse. Comme j’aurais probablement une réponse demain quand j’irais chercher cette fameuse lettre a la réception pour le moment je profite du paysage, vue sur la mer, je regarde aussi les vacancières sur la plage, je dirais même les jeunes et jolies vacancières, dont une bonne partie son sein nu. Mais je porte toujours ma cage de chasteté et ne pourrais pas faire grand-chose. Pour penser a autre chose j’allume la tele trouve les chaines en français, m’allonge sur le lit, je ne me rappelais qu’un lit étais aussi confortable. Le lendemain c’est avec un sentiment de curiosité, impatience, mais aussi une certaine crainte que je vais chercher cette fameuse enveloppe. C’est une grosse enveloppe, double de papier bulle. je remonte dans ma chambre, mets le panneau ne pas dérange, et ouvre cette fameuse enveloppe, la première chose que je vois me surprend, une grosse liasse de billets, une autre petite enveloppe et une lettre, c’est une lettre de Maitresse je m’empresse de lire.
je lis et relis cette lettre, je ne comprends pas forcément pourquoi ces vacances et ce délai de réflexion mon choix est déjà fait, puisque je suis en vacances autant que j’en profite, je compte l’argent laisser dans l’enveloppe, la somme est plus que conséquente, je ne pense, pas tout dépenser. Je prends la petite enveloppe et y trouve une clé. On pourrait pense que je me précipiterais pour me libérer de ma cage, mais jais un moment d’hésitation avant de quand même le faire. Des que mon sexe est libre je le touche, mais le caresse, mais sans me masturber vraiment, puis je me branle franchement et après tout ce temps sans avoir eu la moindre érection et par conséquence la moindre jouissante, j’éjacule en moins d’une minute je suis quasiment déçu d’être venu aussi vite, heureusement que ce n’était pas avec une femme.
le soir du huitième jour, le concierge m’apporte une enveloppe, dedans un message tres bref
je raye vanille et entoure esclave, cette fois mon sort est sceller Mon avant dernière journée est assez spéciale, je rencontre un couple également en vacances, étrangement c’est l’homme qui m'as abordé, et il n’avait que des compliments sur sa femme qui est venue nous rejoindre quelques minutes plus tard, des qu’elle est arrive son mari c’est mis en retrais il ne prenait quasiment pas par a la discussion, qui devenait de plus en plus chaude Je pars avec eux en voiture , le mari conduit , je suis assis a l'arrière avec la femme qui s'appelle Carolyne , Elle se colle a moi , sans la moindre hésitation elle glisse sa main sous mon pantalon , elle me dit a l'oreille qu’avec son mari ils ont des jeux particuliers ,que je ne sois pas choqué et que nous allons passer de bon moment . Comme elle a sa main dans mon pantalon ,je passe la mienne sous sa jupe la remonte , je remonte lentement ma main entre ses cuisses , je sens une petite culotte toute mouillée , je suis entre cuisses très lentement sans toucher son sexe juste sur les coté , puis tout doucement je la caresse à travers l'étoffe soyeuse de son sous-vêtement . Nous nous caressons tout le temps que dure le voyage As peine arrive a la maison qu’ils louent , elle claque des doigts et d'un ton sec dit a son mari
et me demande ce que je veux boire , je lui demande s'ils ont de l'armagnac , avec on ton tout aussi sec elle dit a son mari
son mari ne dit rien et vas vers la cuisine , nous nous enlaçons sur le canapé et continuons nos caresses , elle me chuchote a l'oreille
je n'ose pas lui dire que moi aussi je suis comme son mari , je profite du moment présent . Son mari revient avec les boissons , il s'agenouille les poses sur la table basse du salon . Après avoir posé les boissons il quitte la pièce et revient peut après , il est nu porte un collier en cuir et un petit tablier de soubrette . Nous continuons nos caresses sans s'occupe de lui , il est à genoux les mains dans le dos . Avec Carolyne nous sommes maintenant tous les deux nus , elle a juste sur elle ses bas et porte-jarretelle . Elle commence a lécher mon sexe ,arrête , regarde son mari ,passe sa langue sur ses lèvres , avec une main elle lève le tablier de soubrette , je vois que son mari est encage , elle le regarde avec un sourire narquois et lui
puis elle prend mon sexe à pleine bouche . Je lui caresse les fesses passe ma main entre ses fesses , puis je pose mes mains sur sa tête , accompagne ses vas et vient , je sens que je vais jouir , je ne lui tient plus la tête avec mes mains , c'est elle même qui replace mes mains sur sa tête , je ne l'accompagne plus c’est moi qui décide de ses vas et viens , je la fais ralentir pour ne pas jouir trop vite , je lui bloque même la tête par moment , puis ne pouvant plus tenir je lui fais accélère le mouvement , quand je jouis je lui bloque la tête , elle garde ma jouissance dans sa bouche , quand je relâche mes mains , elle recule sa tête , sans que son mari ne puisse la voir , avec sa main elle me fait un discret signe la main ferme le pouce vers le haut , puis elle se recule un peut , recrache ma semence parterre ,elle claque des doigts et sait un signe a son mari , qui immédiatement se mets à genoux et lèche le sol , maintenant c'est moi qui me mets entre les cuisses de Carolyne et lui pratique un cunnilingus , elle ne prend pas trop de temps a être prise d'un violent orgasme , nous restons un long moment enlacée sur la canopée , elle se fait masser les pieds par son mari . Quand je reprends de la vigueur , grâce entre autres à ses caresses , elle veut que je la sodomise , pendant ce temps son mari doit la lécher et quand je la baise il doit lui faire un anuslingus . Et comme bouquet final si j'ose dire , elle se harnache d'une ceinture avec un double gode , elle sodomise son mari et moi je la sodomise ,quand nous avons fini elle me demande si ça me dérange que son mari nettoie mon sexe avec sa bouche , je lui répond que non , il doit donc en premier la lécher puis ensuite il devra nettoyer mon sexe . après un moment de repos , elle me dit
je ne dis rien et me rhabille et surtout je n'ose pas lui avoue ma vraie nature , le taxi arrive , je rentre a l’hotel " Je passe la fin de mes vacances à l'hôtel et la plage privée ,je ne fais rien d'autre . Le jour du départ, à peine avais je fini de faire mes valises que le concierge me prévient au téléphone qu’une dame m'attend a la réception , sûrement Madame Anne-Marie , hors de question de la faire attendre je prends la valise. Je descends aussitôt a la réception on me dit que tout est réglé .Je rejoins Madame Anne-Marie , elle est tranquillement assise dans le salon de l'hôtel , quand j'arrive devant elle , elle me regarde sourie puis elle claque des doigts et désigne ses bottes , je ne regarde même pas s’il y a du monde dans le salon , je m'agenouille et dépose un baisse sur ses bottes . Elle se lève et me fait signe de la suivre , pour le trajet du retour j'ai droit au même traitement qu’a l'aller . En arrivant je comprends que je ne suis pas chez nous , je dois me mettre nu , et puis on me fait entre dans une pièce , je dois me mettre à genoux , j'entends la porte se refermer et un bruit de serrure qu’on verrouille . A travers la porte Madame Anne-Marie me dit
j'entends des bruits de pas qui s'éloigne puis plus rien , je sors mes lunettes , ne découvre que je suis dans un cachot minuscule environ deux mètres sur un mètre cinquante , un mince rayon de lumière passe à travers une grille situe dans un coin du cachot , je ne suis pas dans le noir, mais presque .je me demande ce qu’est le grand jour , très probablement Maitresse qui va déclare que je suis esclave . Bien plus tard une petite trappe s"ouvre en bas de la porte , une gamelle y est glissée , pas un seul mot n'est prononce , je mange la bouille (infâme ) qui est la gamelle , peut après sa cogne a la porte et on ouvre la trappe j y refait passer la gamelle . Je ne sais pas combien de temps je suis reste dans ce cachot , quand on ouvre la porte pour venir me chercher , j’ai eu a manger huit fois est-ce que je suis resté la quatre jours ? Huit jours ? Je n'ai plus aucune notion du temps . Dehors il y a un homme accompagne de deux soumises , elles sont toutes les deux habille de la même manière , elles portent une sorte de tunique rouge quasi transparente ,des escarpins avec des talons aiguille d’au moins 12 cm ,leurs chevilles sont reliées par une chainette qui les oblige a faire de petit pas , leurs poignets est également relié par une chaine , bien sûr elles portent un collier et aussi on bâillon . L’homme les surveille aucun mot n'est prononcé , elles me font mettre les mains dans le dos et me menottent , puis elles me mettent un collier-de-chien y attache une laisse , la première tien la laisse la seconde me tient par la chaine des menottes . Évidemment cette situation provoque chez moi une érection , l'homme me donne un coup de cravache sur le sexe , et ne dit rien . Je suis emmener dans une grande salle de bain , durant le trajet entre le cachot et la salle de bain , je devine être dans une maison de maitre voir un château . L’homme n'est plus la je suis seul avec les soumises , elles me font aller dans une douche italienne , douche un peut particulière avec des anneaux fixer au mur , plafond , sol . j y suis attacher bras et jambes écartées face au mur . La première douche que je reçois est glacée , puis un peut plus tard une seconde d'eau chaude , les deux soumises me lavent , complètement avec beaucoup de douceur du savon , du gel douche parfumé une fois lave elles me font mettre à genoux mains sur la tête et jambes écarte sur une table , la elles me rasent et épile parfaitement le sexe , elles s'amusent même avec mon sexe ou mes couilles, mais elles ne vont pas jusqu'a me faire jouir , puis elle m'attache au mur les mains dans le dos face a la douche . Elles prennent leurs douches ensemble , se caressent , ensuite elles se maquillent et s'habillent . Je ne sais pas trop comment appeler leurs tenues je dirais tenue de soirée de soumise , toutes les deux sont vêtues partiellement . Elles portent porte-jarretelle et bas rouge , bien sûr pas de petite culotte , elles ont une longue robe de soie rouge translucide fendue sur le devant , des ouvertures parfaitement ajustées laisse sortie la moitie de leurs seins , le dos du vêtement est fait de telle sorte avec diverse pièce de tissus toujours la soie rouge , quand elles se baissent ça découvre complètement leurs fesses , et si on les désire d'un simple mouvement on peut relever ce tissu et laisser les fesses découvertes , et pour finir elles me détachent et je dois leurs remettre leurs escarpins . Ensuite se sont elles qui m'habillent , j'ai droit a un costume très chic chaussure de grande marque , et même a des sous-vêtements , puis elles me menottent les mains dans le dos puis chacune accroche une laisse a mon collier . Je les suis nous traversons plusieurs pièces plusieurs couloirs montants trois étages par un étroit escalier , puis traversons une dernière salle , arrive devant une immense porte les deux soumises me tiennent toujours en laisse , elles sont forcement devant moi, mais a un angle de 45 degrés par rapport au centre de mon collier , elles se regardent , une replace une mèche rebelle sur sa consoeur , puis une donnent trois coups a la porte les deux panneaux de la porte s'ouvrent , je découvre une immense salle , il doit avoir au moins deux-cents personnes , les deux soumises se tiennent très droite , très fière , nous avançons , je ne sais pas ou regarder , nous montons sur une estrade . L’estrade fait un demi-cercle d'environ trois mètres de diamètre , de grands rideaux rouge et noir délimitent l'estrade . e suis sur l'estrade tenue en laisse par les deux soumises et fais face au public . Madame Anne-Marie monte sur l'estrade , elle porte une magnifique robe de soirée , tout le monde dans la salle portent des tenues de soirée , soit soumis et soumise adapter a leurs statuts . Madame Anne-Marie s'adresse aux soumises
une défait mes menottes l'autre mon collier , puis elles vont chacune s'agenouille sur un cote de l'estrade , Madame Anne-Marie s'adresse a moi , elle a un micro afin que tout le monde entende
un roulement de tambour retenti et le rideau central se lève lentement , au fur et à mesure que les rideaux montent les applaudissements grandissants dans la salle . Je découvre ,comme le reste de la salle , Maitresse assise sur un trône digne des plus grands monarques de ce monde , elle est SUBLIME , pas une princesse , une reine une impératrice ne lui arriverait a la cheville , elle dégage une prestance un charisme inimaginable , des soumis nu et encagé sont enchainé au trône ,deux un de chaque coté tiennent chacun un grand éventail , un autre sur le cote droit est à genoux et tien un plateau avec un verre , sur le coté gauche un tien également un plateau sur lequel est pose un petit coffre , et un dernier est couché devant le trône et sert de repose-pieds . Elle a droit a une véritable ovation d'applaudissement , après plusieurs minutes elle fait un signe de la main par faire cesser cette ovation en son honneur , puis elle s'adresse a moi
elle claque des doigts une des soumises je lève vas vers Maitresse s'agenouille devant elle , Maitresse lui tend un document rouler comme un ancien parchemin , la soumise le prend , elle s'agenouille devant moi le déroule et tend les bras affin que je puisse le lire.
contrat d'esclavage entre Matresse LYNE et son mari regis devient par le fait son esclave
moi Maitresse LYNE déclare être saine d'esprit et corps en ce 30 mai 2017 par le présent contrat je fais de régis mon mari mon esclave il devient par le fait même ma totale propriété n'a plu aucun droit si ce n'est que de m'obéir dorénavant son mon officiel seras esclave numéro 5130052017 enregistrer auprès de la compagnie internationale d'esclavage
moi régis déclare être sain d'esprit et de corps en ce 30 mai 2017 je refuse as mon statut d'homme libre pour celui d'esclave et être par la propriété totale de Maitresse LYNE Maitresse LYNE auras tous les droits sur moi ,elle pourra faire absolument ce qu’elle de moi mon seul et unique droit seras de lui obéir
ce contrat a été lu et accepté par les deux parties devant quatre témoins officiels
Madame Anne-Marie membre honorable de la société internationale d'esclavage esclave numéro 2912011999 propriétés de Madame Anne-Marie
Maitre John président de branche européenne de la société internationale d'esclavage esclave numéro 2113072008 propriétés de Maitre John
signature Madame Anne-Marie signature Maitre john
signature esclave numero 2912011999 signature esclave numero 21113072008
signature Maitresse LYNE
signature esclave 5130052017
une fois que j'ai fini de lire le contrat , Maitresse prend la parole
Madame Anne-Marie ,qui aux premières places , se lève , elle tient son esclave en laisse . La soumise qui tenait le contrat est allée chercher un chevalet derrière un des rideaux de cote et la pose au centre de l'estrade .Madame Anne-Marie y dépose sa signature , suivi de son esclave , puis vient le tour de Maitre John (c'est l'homme que j’ai vu a ma sorti du cachot ) une fois qu'il as signe ; il fait un signe a l'autre soumise qui est agenouillée , elle vient signer et vas reprendre sa place . Maitresse se lève sous les applaudissements , en se levant elle piétine sans le moindre complexe le soumis allonge a ses pieds , c'est toujours sous les applaudissements quelle appose sa signature , quand les applaudissements cessent , elle me regarde avec un large sourire et me dit
elle reste a cote le temps que je signe , moi aussi j'ai droit aux applaudissements , quand le silence revient , elle me montre ses bottes , immédiatement je m'agenouille pour les baissé , elle me fait signe de me relever . Elle prend le contrat le donne a la soumise qui va dans la salle le montré aux invités . Maitresse a repris sa place , moi je suis toujours debout sur l'estrade . La soumise revient donne le contrat a Maitresse . Maitresse roule le contrat , le met dans un tube métallique doré a l'or fin , elle me fait signe de venir a prêt d'elle . Elle me montre le couvercle du tube , on voie bien le système qui une fois ferme est impossible a ouvrir , elle ferme le tube un petit déclic se fait entendre , puis elle me fait signe de reprendre ma place . Maitresse fait un signe et le rideau a sa droite se lève , il y a entre autres une sorte de barbecue ou braséro , les deux soumises vont le chercher et le pose devant moi . Maitresse prend la parole
j'obéis et en peux de temps je nu , instinctivement je mets mes mains dans le dos , une telle situation provoque chez moi une forte érection , ça fait même longtemps que toute cette mise en scène me fait bander , mais la plus moyen de la dissimuler , Maitresse faite la remarque
je fais face au public les mains dans le dos , rouge de honte et bande comme un taureau , Maitresse me donne un ordre sur un ton sévère
j'obéis ,complètement honteux de devoir me branler devant tout le monde , dont une bonne partie rit , je mets plus que le temps impartie pour jouir presque une minute , 59 secondes exactement , quand j'ai fini je reste a la même place et remets mes mains dans le dos , maitresse s'adresse aux deux soumises
une vient lèche le sol a mes pieds , l'autre lèche mon sexe flasque et les couilles , quand la première a fini de lécher le sol , les deux soumises me lèchent , me sucent , quand je reprends de la vigueur et dois me branler une fois de plus , puis le même scénario se reproduit , mais cette fois elles mec sucent jusque ce que je jouisse dans la bouche de l'une d'entre elles , même quand j'ai joui dans sa bouche elle continue de me sucer , l'autre me lèche les couilles et l'anus . ça prend plus de temps avant que je ne reprends de la vigueur , cette fois elles se penchent en avant les mains sur les genoux , me présente leurs culs et je dois les sodomiser alternativement quelques vas et vient dans le cul de l'une puis je passe a l'autre et ainsi de suite ça me prend beaucoup plus de temps avant de pouvoir jouir une quatrième fois , quand j'ai joui ,, celle dans laquelle j'ai éjaculé me lèche le sexe pour le nettoyer et l'autre soumise lèche le cul de sa soeur de chaine , ensuite maitresse me fait venir devant elle
Je suis devant Maitresse , elle m'attrape par les couilles pour me faire venir plus prêt d'elle , je suis oblige de marcher sur l'esclave couche a ses pieds . Elle ouvre le coffre , en sort un modèle de cage de chasteté que je ne connais pas , elle me dit que c'est une cage faite sur mesure par un artisan , elle installe l'anneau de métal , puis prend la cage proprement dite , elle regarde mon sexe et dit
je suis à genoux , un soumis vient m'attacher les mains dans le dos , deux autres soumis viennent le rejoindre, ils portent un gros tonneau , puis le premier prend un pichet le plonge dans le tonneau et fait couler de l'eau glacée sur mon sexe , il y a même des morceaux de glace , deux soumis m'arrosent le troisième tire ma tête en arrière par les cheveux , et avec son genou me pousse dans le dos pour que je bombe bien le torse , les deux soumises sont aussi de la partie , elles épongent au fur et as mesure l'eau sur le sol . Quand le tonneau est vide , en plus de greloter l'eau froide a fait son effet et mon sexe a vraiment une taille minimum . Je reviens vers Maitresse , elle installe la cage , elle me donne quelques explication sur cette cage
bien que mon sexe ait vraiment une taille mini avec le traitement que je viens de subir , la cage est parfaitement ajuster pas le moindre jeu . Maitresse regarde son œuvre
le rideau sur sa gauche s'ouvre , on y découvre une presse hydraulique , il y a un homme , un soumis à genoux une Maitresse a ses cotes le tien en laisse . Maitresse prend un coffret qui par le gabarit et la forme ressemble a une grosse boite de chocolat qu’on offre aux fêtes , elle me tend la boite et me dit d'aller l'amener a la Maitresse en face de nous . La Maitresse prend le coffret , elle l'ouvre et présente le contenu au public , moi je ne peux pas voir ce qu’il contient , elle dépose le coffret sur une table a coté de la presse et dit a son esclave
son esclave me fait venir devant la presse , puis me fait faire un demi-tour je fais face au public . L'esclave me fait plier le genou je sens qu’il pose ma cheville sur la presse , je sens du métal autour de ma cheville , un plutôt chaud sur le dessus et froid en dessous je n'ose pas me retourne , j'entends la presse qui mets en marche , on entend des bruits métalliques , puis il fait la même chose a l'autre cheville . Je dois me mettre à genoux , il prend mon bras le tire en arrière , comme pour les chevilles je sens le métal se referme sur mon poignet , quand il a fini avec le premier poignet il pose ma main sur ma tête et fait le second poignet , mes deux poignets fait , je fais le tour de la presse , l'esclave prend un demi-collier le pose sur la presse je dois ensuite et pose mon cou , la seconde moite est pose sur mon cou , comme pour les bracelets je sens une grosse différence de température entre les deux demi-anneaux . La presse descend des bruits métalliques justes a cote de mes oreilles je n'ose pas bouger d'un millimètre . Quand c'est fini je dois retourne vers Maitresse . Je montre mes bracelets et collier a Maitresse , je remarque que sur chaque bracelet est inscrit mon numéro d'esclave , Maitresse me tend un miroir et je voie de graver sur mon collier -esclave numéro 5130052017- je suis un peut dessus qu’il n’est pas marquer propriété de Maitresse LYNE Maitresse me donne quelques explications
le rideau derrière elle se lève on y voir divers équipements de torture , croix de saint andre , pilori , et une table d'écartement , je vois aussi un soumis avec une camera , je lève la tête et voie au-dessus un écran géant . Maitresse se lève accroche une laisse a mon collier , on vas vers la partie salle de torture
je ne sais pas trop quoi répondre puis au hasard je dis
elle m'attache a la croix , elle prend une épaisse pièce de cuir la pose sur ma fesse gauche , la pièce faite a peut prêt la grosseur d'une main , elle fait tenir la pièce avec du ruban adhésif
à peine sa phrase fini que j’entends le fouet claquer et sa morsure sur ma chair , elle me fouette sur les fesses ,les cuisses les mollets , quelques coups viennent aussi sur mes bras . Quand elle a fini , elle détache mon bras droit me tend un chapeau haut de forme a l'envers et m’ordonne de piger dedans je sors un petit papier plier en deux , je dois en sortir cinq , ensuite elle me rattache et dit à voix haute
j'ai droit a toute sorte de torture fouet, cravache, padle , roulette a pic , torture électrique , griffue , jais même été sodomise par Maitre Marc qui est un Maitre gai . la même chose se produit pour la table d'écartement et le pilori Maitresse s'adresse au public et '
elle me remet sur la table d'écartement je suis coucher sur le ventre , elle m’y attache avec des sangles de cuir et me dit de surtout ne pas bouger , je vois une femme arrive , quand je dis je vois une femme , je ne vois que ses jambes et vois qu’elle porte une grosse valise , je comprends vite que c'est une artiste tatoueuse , elle me tatoue quelque chose sur l'épaule , quand elle a fini on m'attache sur le dos , Maitresse me met un bandeau sur les yeux , je sens que je le fais tatouer sur la poitrine un peut au-dessus des tetons et un dernier tatouage est fait sur le déçus de ma main droite .quand on me détache , sans me sortir le bandeau des yeux je compense que je suis installé sur le pilori , Maitresse enlève le bandeau , cette fois je fais face au public Maitresse s'adresse une fois de plus au public
je vois un homme qui traverse la salle , il porte un tablier de cuir semblable a ce que porte les légionnaires lors du défile du Quatorze Juillet , arrive devant le braséro il y met le feu mes vêtements brulent rapidement , il me semble devine du charbon en dessous Maitresse demande au maréchal ferrant pour combien de temps il faut attendre il lui répond une vingtaine de minutes , Maitresse passe devant moi , elle c’est harnaché avec une ceinture gode , elle me regarde et dit "
ce qui fait rire une bonne partie du plublic , elle passe deriere moi et m'encule d'un seul coup , pendant que je me fais sodomiser par Maitresse , mon regard reste fige sur le maréchal ferrant je le vois remuer le charbon rouge , il y met deux fers ,je sais très bien que c'est pour moi et que je ne peux y échapper, mais je ne veux pas y croire . puis une phrase fatidique de maréchal ferrant
Maitresse se retire elle arrache d'un coup la pièce de tissus qui protégeais ma fesse ,et lui dit simplement '' aller y mon cher faite votre oeuvre ' le maréchal-ferrant prend un des fers il passe deriere moi je contracte tous mes muscles , puis d’un seul coup il applique le fer rouge vif sur ma fesse , je sens immédiatement la morsure du métal , je sens presque aussitôt l’odeur de chair brulée , je hurle . Il vient chercher l’autre fer et la plique un peu en dessous du premier , je hurle encore plus fort . Maitresse viens prêt de moi et me dit qu’elle est fière de moi , elle applique immédiatement une pommade sur mes marques Elle me libère du pilori, je me mets immédiatement a ses pieds, je lui baise les pieds pour la remercier
elle accroche une laisse a mon collier, elle tire dessus pour me faire lever, elle attache mes mains dans le dos et entrave mes chevilles par une chaine. Nous descendons de l’estrade et traversons la grande salle sous du fort applaudissement .....................................
J’ouvre les yeux mets quelques secondes a réalisé ma femme joue avec mon sexe en érection, elle le tord, le serre, le pince
|
||
|
|
||
© THE BDSM CIRCLE - LE CERCLE BDSM 2016 |