Chapitre I : Présentations.
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Il est 7 heures, la radio se met en
marche, j'ouvre les yeux péniblement. Ma copine est partie hier,
jeudi soir, pour un long week-end. Je sais qu'aujourd'hui va être
Le Jour. Si je dois me jeter à l'eau, ça se passera ce soir,
et j'ai très envie de ma lancée. Mais c'est difficile. C'est
donc un peu tremblant que j'entre dans la salle de bains, et me met sous
la douche. Brûlante. J'ai eu des consignes et je me suis promis
de les respecter jusqu'au bout. En effet, qui ne tente rien n'a rien !
Et je veux vraiment découvrir cette âme soumise que je sais
être la mienne. Je veux aller au bout de mes possibilités.
Et c'est ce soir, puis ce week-end que je vais faire ce dont j'ai envie
depuis si longtemps...
Je ne Les ai jamais rencontrés.
Mais nous avons longuement discuté. Tout d'abord par l'intermédiaire
du mail. Je leur ai envoyé une photo de moi. Je me suis présenté,
j'ai du me mettre à nu. Ils savent tout de moi et de mes envies.
D'Eux, je n 'ai que leur photo, ou presque... Alex est assez grand, brun,
la bouche entourée d'une fine barbe et d'une moustache. Ma copine
Le trouverai mignon. Moi je regarde rarement les hommes, mais Il ne me
déplaît pas. Carole, brune, les yeux verts est vraiment le
type de femme qui m'attire. De toute façon, si j'ai le courage
d'aller jusqu'au bout, je n'aurai plus le choix...
Première consigne : être
rasé de prêt. Le sexe, les dessous de bras et, évidemment,
la barbe. Sans oublier l'anus. Je commence par la barbe, ça j'ai
l'habitude. Puis les bras, le gauche est plus facile à raser que
le droit, je suis droitier. Je passe de la mousse à raser partout
autour de mon sexe et sur les 2 boules dont je sens qu'elles sont gorgées
de sang... est-ce l'appréhension ou le désir qui monte ?
Doucement, je m'applique à ne laisser aucun poil sur mon sexe ni
autour. Au bout de quelques
instants, je sens ma queue se durcir. Mais la deuxième consigne
est de ne pas me faire jouir, je ne dois pas me branler. Enfin, j'enduis
le
creux de mes fesses de mousse à raser. Quelques minutes plus tard,
je suis prêt, je m'observe dans la glace de la salle de bains. Je
suis nu, au sens le plus profond du terme, même plus un poil pour
cacher mon intimité. Mais j'aime déjà çà...
Je retourne dans la chambre. Je prépare
costume, chemise et cravate. Troisième consigne : Pas de sous-vêtements.
Du moins pour le moment. Je mets donc mon pantalon, sans caleçon.
Je bois mon jus d'orange. Je sors. Dans le métro, j'ai l'impression
que tout le monde est au courant de mes projets. Non ! De Leurs projets
! C'est Eux qui vont me prendre en main. Dès qu'un regard se pose
sur moi, je rougis, timide. Au bureau, la matinée se passe normalement.
Aujourd'hui je ne mange pas avec mes collègues à midi. Quatrième
consigne : Pendant la pause déjeuner, je dois me rendre dans un
grand centre commercial et y faire un achat dans un magasin qui m'a été
désigné à l'avance. Un string. Je n'ose pas me servir
dans le rayon. Mais Il m'a bien été précisé
que je devais bien être sûr que le modèle que je choisirai
sera à leur goût. Mais comment ne pas me tromper. Je prends
donc, l'un après l'autre, les six modèles différents.
Je suis étonné d'apprendre que la plupart des modèles
pour hommes n'ont pas une ficelle dans les fesses, mais 2, une sous chaque
fesse, laissant ainsi le cul bien visible. Je me dirige vers la caisse,
je paie, non sans avoir essuyé un sourire coquin de la vendeuse.
Je retourne au bureau. J'attends avec impatience 17 heures. Je suis évidement
allé faire
un tour aux toilettes pour me vêtir du string.
Ca y est, la semaine de travail est
terminée. Je vais acheter une bouteille de Champagne pour Alex
et un bouquet de fleurs pour Carole. Je sens mon coeur battre à
tout rompre lorsque je sonne à la porte. Je suis bien évidement
pile à l'heure. Il m'ouvre.
- Bonsoir Julien.
- Bonsoir. Tenez, ceci est pour Vous, dis-je en lui tendant la bouteille.
- Merci, je vais la mettre au frais. Carole t'attend dans le salon, Elle
adore les fleurs,
c'est un bon point pour toi.
A ce moment, je ne pense qu'à
une seule chose "Mais qu'est ce que je fous là !!!".
Tremblant de tous mes membres je me dirige vers la pièce qu'Alex
vient de m'indiquer.
- Hé là... tu oublies
quelque chose !
- Pardon ?
- Déshabille-toi !
- Ici ???
- Evidemment ici !!!
Je sais que le point de non-retour,
c'est maintenant. Je sais aussi, car nous l'avons décidé
ensemble à l'avance, que si je n'ai pas le courage, Ils ne m'en
voudront pas, mais que je n'aurai pas de seconde chance. J'ai froid. La
terreur est, pour moi, à son paroxysme. Je sens poindre un léger
sourire sur les lèvres d'Alex. Je commence donc à poser
les fleurs sur le secrétaire de l'entrée. Je pose ma veste,
cherche des yeux un endroit pour la mettre.
- Mets tout par terre ! Sauf le string.
Carole aime bien le modèle que tu as choisi...
Ils étaient donc là,
près de moi, dans le magasin. Je sens mes joues de plus en plus
rouges. Je pose mes chaussures, mes c
haussettes. Mon pantalon tombe tout seul dès que j'ai ôté
la ceinture. Il fait un tas à mes pieds. Je le pousse doucement
tout tremblant. Puis c'est le tour de la chemise. Je la laisse tomber
sur mon pantalon. Je ne suis pas nu, mais c'est pire. En string devant
un homme. Et qui à l'air d'apprécier le spectacle en plus.
Je sais qu'Alex est bisexuel. Je pense l'être moi aussi. Mais je
n'ai encore jamais eu d'expérience qui me le prouve.
- Bon, amène-moi tout ça.
Me lance-t-Il le sourire maintenant vraiment visible...
Après m'avoir dit merci, Il
jette tout au fond d'un placard qu'Il ferme à clef.
- Tu as décidé. J'en
suis très heureux. J'espère que tu ne le regretteras pas.
En tout cas, je sais que ce ne sera pas mon cas. Allez amène les
fleurs à Carole, Elle va s'impatienter...
Je me retourne, prends les fleurs
et me dirige vers le salon d'un pas hésitant.
- Tu sais, Elle n'aime pas attendre.
Sa voix est ferme. Je pousse la porte entrouverte.
- Bonsoir Julien. Mmmm
mhhhh des fleurs. Merci.
- Bonsoir.
Sur la table basse j'aperçois
des photos, de moi, choisissant un string. Mais mon regard peut difficilement
se détourner de Carole. Elle est magnifique dans sa jupe de cuir.
Je sais que j'ai eu raison de venir et de rester. Ils vont faire de moi
ce qu'Ils veulent. Ils m'apprendront à dépasser mes limites.
Ce week-end, je suis à Eux. Mais tout se précipite déjà...
- As-tu bien suivi toutes nos consignes
?
- Euh, je pense...
- Oui ou non ? Le ton de Carole ne laisse place à aucune discussion.
- Oui.
Alex s'assoit près de Carole.
- J'espère pour toi. Montre-nous.
Les bras.
Je lève les bras, l'un après
l'autre. J'ai l'impression d'être un petit enfant à qui l'on
fait passer l'inspection après la toilette. Mais n'est ce pas ce
que je suis, un novice, je veux tout apprendre. Je suis prêt à
tout découvrir, même ce que je n'ai pas encore imaginé.
- Bien, les fesses maintenant. Ordonne
Alex.
Je me tourne.
- Penche-toi. Ecarte-les.
Je m'exécute. Un trou de souris
serait vraiment trop gros pour moi en ce moment tellement j'ai envie de
me cacher.
- Alex, tu ne trouve pas qu'il est
mignon quand il rougit comme ça ? demande Carole en se levant.
Je sens sa main sur ma fesse gauche, puis la droite. Elle me caresse ainsi
quelques secondes, puis je sens une claque de chaque coté.
- Allez, tournes toi maintenant.
- Bien, baisse-moi ce string. Plus vite que ça, tu ne veux pas
que je t'aide, si ?
En fait, j'aimerai bien qu'on m'aide,
mais je me garde bien de le dire. Lorsque le string m'arrive aux genoux,
Alex m'ordonne de m'arrêter.
- Ca peut aller dit Carole. Comme
tout à l'heure, sa main vérifie que ma peau est douce. Je
sens des frissons dans mon dos lorsque ses doigts s'attardent sur mon
pénis.
- Parfait Alex, tu peux l'attacher maintenant...
Chapitre II : Paroles.
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Alex s'approche de moi, je n'ose pas
bouger. Il se penc
he un peu pour pouvoir remonter mon string. Au passage, Il en profite
évidemment pour m'effleurer le sexe tout en me regardant droit
dans les yeux. Il s'amuse de me voir rougir. J'ai honte. Il le sait et
Il aime ça. Il me prend par le bras et me guide vers une pièce
ou je ne suis pas encore allé. C'est un bureau. On y trouve un
ordinateur, un divan qui a l'air particulièrement confortable,
un petit meuble qui doit certainement servir à ranger des dossiers
et tout un pan de mur, formé par une porte
coulissante doit abriter un grand placard.
- Assied toi contre ce mur, entre
les crochets.
J'aperçois effectivement six
crochets. Quatre sont fixés au mur et deux au sol. Lorsque je suis
assis, deux des crochets muraux sont légèrement en dessous
de mes épaules et les deux autres quasiment au niveau du sol. Alex
commence par m'attacher les poignets à ceux du bas grâce
à de petits bracelets en cuir. Ensuite Il m'attache deux autres
bracelets, juste en dessous des aisselles, puis fixe les bracelets aux
crochets du haut. Mon dos est maintenant plaqué au mur, de sorte
que je ne puisse plus bouger. Seules mes jambes sont encore libres. Mais
plus pour longtemps car mes chevilles se retrouvent vite attachées
elles aussi, à environ 70 centimètres du mur. Dans cette
position, j'ai les jambes écartés, les fesses légèrement
avancées par rapport au mur. Alex passe sa main à l'intérieur
de mes cuisses et fait courir un doigt entre mes fesses, écartées
par la position de mes jambes. Je me rends compte que mon anus est offert
à la vue de tous et que je n'y peux rien. Après ces préparatifs,
Alex me laisse seul.
- Ne bouge pas, me dit-Il avec un
léger sourire. Il sait très bien, et moi aussi d'ailleurs,
que je n'ai aucune chance de bouger.
Lorsqu'Il sort, Il éteint la
lumière, me laissant seul dans le noir, dans le doute, et finalement,
dans la peur. Au bout d'un temps certain, peut-être quelques minutes,
peut-être plusieurs heures, je ne sens plus mes muscles, engourdis.
La porte s'ouvre. Carole entre, suivie d'Alex. Ils ont chacun un verre
de Champagne dans la main. Alex tiens dans son autre main une bouteille
de Champagne qui n'est pas la mienne. Ils m'observent, un grand sourire
se lit sur leurs lèvres. Je sais qu'Ils sont heureux de m'avoir
pour eux. Je sais, car Ils me l'ont souvent dit, et par les exemples et
les preuves qu'Ils m'ont données, que je n'ai rien à craindre,
si ce n'est de ne pas savoir ce qui m'attend. Ils vont s'asseoir tranquillement
sur le divan. Carole m'observe dans les moindres détails. Elle
s'adresse à Alex :
- Je pense qu'Il sera à mon
goût ! C'est un beau cadeau que tu m'offres là, merci chéri.
- Je suis d'accord avec toi Carole. Mais reste à savoir ce qu'il
a dans le ventre.
- Pour ça, je te fais confiance, mais chaque chose en son temps
si tu veux bien.
Je me demande s'il faut voir dans
ces quelques mots une allusion à ce qui m'attend... Ils s'en rendent
compte et partent tous les deux d'un grand rire. Carole se tourne vers
moi et me pose une question qui est, j'en suis sûr, ma première
épreuve :
- Pourquoi es-tu venu ?
- Euh... je ne sais pas trop. Envie de découvrir de nouvelles choses.
- Je veux une VRAIE réponse !
Je rougis de plus en plus, je sens
mes tempes résonner du sang qui afflue à mon cerveau. Il
faut vraiment que je passe outre mes inhibitions. Je le savais avant de
venir, je suis timide, je n'ose pas souvent, et pourtant...
- Justement... je veux me surpasser,
et vous dire ce que vous me demandez est déjà une grande
difficulté. Je veux me montrer, je veux... je veux arriver à
vaincre tous mes tabous, je veux pouvoir tout faire, ou tout au moins
savoir que je suis capable de tout faire.
- Bien ! Le ton de Carole s'est un peu radoucit. Tes voeux vont s'exaucer.
Alex et Moi allons tout faire pour cela. N'est-ce pas Alex ?
- Certainement !
- Parles-nous de toi et de ta copine. Comment faites-vous l'amour ?
- Ce que j'aime chez elle, c'est son corps. Je pourrais rester des heures
à le car esser. Et plus que tout, j'adore les cunilingus. Souvent
je ne la fais jouir qu'avec l'aide de ma langue.
- Intéressant. Donc tu aimes lui lécher la chatte.
- Oui... et l'anus aussi, j'aime la pénétrer avec ma langue.
- Ahhhh ! Et tu l'encules ?
Je n'ai pas l'habitude de parler ainsi
et ces mots que Carole utilise, je ne saurai les utiliser moi-même.
En me disant que, personnellement, j'aurai plutôt dis "Et tu
la prends par derrière ?", je me rends compte que les deux
expressions veulent dire la même chose et que l'une n'est pas mieux
que l'autre.
- Oui, Mais rarement, je crois qu'elle
aime ça plus que moi.
Et, comme si Carole pouvait lire dans
mes pensées...
- Elle aime QUOI plus que toi ?
- Et bien... que... je... l'encule.
- Tu n'aime pas ?
- Je préfère la prendre normalement, par devant.
- Pourquoi ?
- Je ne sais pas... je...
- Si tu le sais ! Dis-le.
- Vraiment non, je... enfin, c'est peut être parce que ça
pourrait être sale.
- J'espère pour toi que ta copine se lave et qu'elle sent aussi
bon que toi.
- Oui... merci.
- De rien, c'est vrai. Alors tu n'as rien à craindre. Et elle,
est ce qu'il lui arrive de t'enculer parfois ?
- Elle me met un doigt, de temps en temps...
- Et tu aimes ça mon petit Julien ?
- Oui.
- Tu n'as jamais eu rien d'autre dans le cul qu'un doigt alors ?
- Non.
Carole viens de finir son verre et
retourne sur le divan. Elle se ressert. Me regarde de longues secondes.
J'ai l'impression qu'elle se demande ce qu'elle va faire de moi. Mais
au plus profond de moi, je sais qu'elle sait. Elle sait ce qu'elle va
faire, elle ne me regarde ainsi que pour me mettre mal à l'aise,
pour scruter jusqu'au moindre détail de mon âme et de mon
intimité. Au bout de deux bonnes minutes, alors que Carole termine
son second verre de Champagne depuis qu'ils sont entrés dans la
pièce
(mais elle en a certainement bu quelques
autres avant à en juger par le pétillant de ses yeux), Alex
se lève et s'approche de moi.
- Viens par ici ma chérie.
Elle se lève, lentement s'approche
et viens se placer devant moi, sa jupe de cuir se rapproche de mon visage.
D'une main, Alex la soulève et j'aperçois la dentelle du
haut de ses bas, puis les porte-jarretelles, et enfin la culotte.
- Bonne idée Alex, j'ai envie
qu'il me montre comment il lèche sa copine.
- Bien sûr, mais attends quelques secondes.
Alex sors de la pièce. Pendant
ce temps, Carole frotte son sexe sur mon visage. Elle remonte entièrement
sa jupe au-dessus de la taille, et lève légèrement
une jambe pour que je puisse mieux accéder à cet objet de
tous les désirs à travers la soie et les dentelles de sa
culotte. Alors que je sors ma langue, Elle recule.
- Non ! Alex a dit d'attendre, et
tu vas faire ce qu'on te dit de faire. Et uniquement ce qu'on te dit de
faire !
Sur ces mots qui marquent ma première
frustration, Alex revient. Il tient dans sa main un appareil photo.
Chapitre III : Clichés.
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- Lèche là.
Ces mots résonnent dans ma
tête. Je tire sur mes bras pour approcher mon visage le plus possible
du sexe encore protégé par le fin tissu. Carole se recule
imperceptiblement, m'obligeant à ouvrir la bouche et lancer ma
langue le plus loin possible pour accéder au lieu de tous les plaisirs.
Lorsque ma langue entre en contact avec la soie, le premier flash inonde
la pièce tel un éclair. Il restera des preuves de mes actions.
Peut-être seront-ils nombreux ceux qui me verront ainsi attaché.
Au bout de quelques minutes de ce traitement, et après de nombreuses
photos, ma langue commence à se faire douloureusement sentir. Mais
je sens la respiration de Carole s'accélérer. Le bout de
tissu est maintenant trempé, tant par les sécrétions
féminines de celle qui me surplombe que par ma salive. Alex tire
sur le tissu pour me laisser enfin accéder à la chair brûlante
du sexe de Carole. J'envoie ma langue jouer avec le bouton de Carole,
puis pénètre ce sexe qui m'aspire. Une dernière photo
prise par-dessous, entre les fesses de Carole, et Alex s'éloigne
pour changer de pellicule. Il revient bientôt, l'appareil à
nouveau chargé dans une main, et un godemiché dans l'autre.
Après avoir tendrement embrassé Carole il lui dit :
- Recule-toi un peu Chérie
s'il te plaît.
Elle s'exécute. Il plante lentement
le phallus factice entre les reins de sa femme et la pousse gentiment
vers moi. La voilà qui s'approche de moi, cet objet maintenant
à auteur de mon visage. Après avoir réglé
l'appareil photo, Alex me lance :
- Prends le dans ta bouche.
Alors que j'attrape le godemiché
avec mes dents, Carole commence des allers-retours très lents,
mais de plus en plus profonds. Bientôt mon nez cogne son clitoris
avec une régularité d'horloge. Pour moi, la scène
est surréaliste. Mais carrément plaisante à en juger
par la taille de mon sexe qui essaie désespérément
de s'extirper de son string. Les flashes crépitent à une
cadence folle.
- Alex... Chéri... je crois
que je ne vais pas tarder à jouir.
- J'espère bien ma chérie.
Ils s'embrassent. Amoureusement. Alex
pose l'appareil photo, puis, alors que d'une main il caresse les seins
de sa femme à travers son petit haut, de l'autre il m'attrape les
cheveux pour me forcer à accélérer le mouvement.
Je transpire. J'entends Carole qui, dans un souffle, lentement, dit à
son mari :
- Mmmmhhhh... c'est bon, ne t'arrêtes
pas...
Sur ces mots, Alex se saisit à
nouveau de l'appareil et prend des clichés de Carole en gros plan
lorsqu'elle s'abandonne à l'orgasme. Je sens les jambes de Carole
trembler, elle recule. J'ai l'air bête, l'objet qui a donné
du plaisir à Carole entre les dents. Tout à coup, comme
si rien ne s'était passé, Carole est redevenue elle-même.
Elle attrape le god, se met à genoux devant moi, m'embrasse sur
la joue.
- Merci Julien. J'ai encore envie
que tu me lèche, mais lentement, et avec ta langue. En attendant,
nous n'avons plus besoin de ça.
.. elle réfléchit quelques secondes... en tous cas nous
n'en avons plus besoin pour moi.
Elle tend la main et dirige ce sexe
plastique vers mon cul. Elle caresse mon anus avec la pointe de l'objet.
Ma transpiration, la lubrification naturelle du god, dues aux sécrétions
de Carole, font que l'objet entre en moi sans trop de difficulté.
C'est la première fois qu'un objet de cette taille entre en moi,
c'est une sensation étrange, mais agréable. Carole commence
de lent va et vient pendant quelques secondes. De plus en plus profond.
Alex prend un cliché de moi ainsi, un god dans l'anus, nu ou presque,
attaché au mur, dans l'incapacité de bouger... Carole se
lève et approche son sexe de mon visage.
- Continue à me lécher...
lentement !
J'envoie ma langue parcourir le sexe
de celle qui vient de me sodomiser avec l'objet que j'avais dans la bouche
quelques secondes plus tôt. Je m'applique à n'oublier aucune
parcelle de la peau nue de Carole. Lentement, ma langue en parcours tous
les recoins in times, brûlants et humides. Carole penche la tête
en arrière, passe les mains dans sa longue chevelure brune. Et
toujours des flashes. Alex, entre deux photos, vient faire quelques aller
retour dans mes entrailles avec le god. Je sens que s'il continue ce traitement,
je ne vais pas tarder à jouir. Mais, une fois de plus, j'ai l'impression
qu'ils peuvent lire mes pensées. Il retire l'engin brusquement,
le pose parterre, la pointe dirigée vers l'entrée maintenant
ouverte de mon cul et se retire un peu pour pouvoir prendre une photo.
Je ne suis plus moi-même, je viens de me faire enculer par un god
pendant que je lèche une femme que je n'avais encore jamais rencontrée.
Et voilà que maintenant Alex enfourne un doigt dans mon cul béant
et me branle ainsi.
Au bout que quelques minutes de cet
heureux traitement, Carole se retire, apparemment épuisée.
Elle va se servir une nouvelle coupe de champagne et s'installer dans
le divan. Alex, lui, continue de me branler le cul. Carole a l'air d'apprécier
la scène.
- Vous m'excitez tous les deux ! Tiens
chéri, donne un peu de champagne à notre petit protégé.
Elle lui tend son verre, qu'il place
entre mes lèvres et me permet de boire, sans arrêter ses
allers-retours en moi. J'ai du mal à boire, un filet de champagne
coule de mes lèvres, ruisselle dans ma gorge et sur mon torse pour
venir tremper mon string. Carole rit de me voir ainsi, elle à l'air
heureuse. Je me rends compte que moi aussi je suis heureux. Tout ce qui
m'arrive là, même si je n'en ai pas l'initiative, c'est un
peu moi qui l'ai décidé. C'est moi qui ai décidé
de ne pas faire demi-tour avant
d'arriver chez mes hôtes, même
si l'envie ne m'en a pas manquée à de nombreux instants.
Et c'est aussi moi qui me suis déshabillé, affirmant ainsi
que je m'offrais à ce couple. Alex pose le verre lorsque Carole
l'appelle.
- Viens ici Alex, je vois quelque
chose qui essaie en vain de sortir de ton pantalon.
Quelques secondes plus tard, Alex
se retrouve sans pantalon, son sexe fièrement dressé face
à Carole qui, après y avoir déposé un baiser,
Sourit à Alex.
- Je suis sûre que Julien suce
très bien, vu la façon dont il ma léché la
chatte. Allez, ne te fais pas prier. Julien, tu vas sucer Alex. Je veux
le prendre en photo lui aussi quand il jouira. Tu en as envie j'espère
?
- Oui.
- Oui qui ?
- Oui Carole.
- A partir de maintenant, ce sera Madame et Monsieur quand tu t'adresseras
à nous, compris ?
- Compris Madame.
- C'est bien, et de toutes façons, que tu en aies envie ou pas,
pour l'instant ce que je veux c'est prendre Alex en photo. Et tu es la
seule personne à pouvoir m'aider. Suce-le ! Et appliques toi !
Alex s'approche et me présente
sa bite. Je ne tarde pas à la prendre dans ma bouche. Visiblement,
Carole est passé à la vitesse supérieure. Est-ce
elle qui va prendre les choses en main ? Alors que je me rends compte
que sucer une queue n'est pas désagréable du tout, je réalise
que j'ai bien fait de venir. Jamais je n'aurais osé faire ce que
je suis en train de faire. Mais ici, je n'ai d'autre choix que d'oser.
Alors ma langue parcourt ce sexe, ma bouche aspire ces couilles puis avale
ce pieu de chair.
- C'est vrai qu'il suce bien Carole.
- Je te l'avais dis, j'en étais sûre. C'est bien la première
fois que tu suces un homme non ?
Sans m'arrêter, je fais "oui"
de la tête.
- C'est bien, je crois qu'on va pouvoir
faire de grandes choses avec toi. Et je suis certaine que tu as beaucoup
moins de tabous que ce que tu prétends. Tu aimes sucer Alex hein
?
Encore "oui" de la tête.
- Regarde-moi que je prenne ton regard.
La queue toujours dans la bouche,
je tourne la tête et Carole me photographie ainsi, dans ce que je
crois être la plus perverse des situations. Mais c'est parce que
je ne sais pas encore ce que me réserve l'avenir avec eux.
- Ouvre les yeux... oui, c'est bien...
lèche-lui les couilles, il adore ça... regarde Alex dans
les yeux, que tu vois ce que tu es devenu ici. Tu n'es pl
us un homme, ni une femme, tu es juste un objet sexuel, tu es NOTRE objet
sexuel... Mais tu verras, tu es capable de bien plus de choses encore.
Carole entrecoupe ses paroles de clichés,
comme pour garder des preuves de ce qu'elle avance. Puis elle fait couler
un peu de champagne sur le sexe d'Alex, je déguste autant le liquide
que le sexe et m'applique encore plus à donner du plaisir à
cet homme qui prend ma tête dans ces mains et m'oblige ainsi à
le sucer le plus profond possible, et de plus en plus vite. Il ne tarde
pas à se retirer et à jouir sur mon visage. Le sperme se
mélange au champagne. J'en ai de partout, sur les joues, dans les
cheveux, sur la gorge et sur le torse. L'appareil photo ne rate rien de
la scène, et surtout pas le visage d'Alex, que Carole s'est appliquée
à prendre en gros plan lorsqu'il a lâché sa semence
sur moi.
Promptement, Alex remet sa queue dans
ma bouche et je sens un dernier petit soubresaut de son bassin qui fait
couler une dernière petite quantité de sperme dans ma bouche.
Je l'avale. En riant (comme je m'en rendrai compte au fur et à
mesure, Carole rit très souvent), Carole me mitraille ainsi. Elle
demande à Alex de se reculer pour que je sois seul dans l'objectif,
dégoulinant de sperme et de champagne, toujours attaché,
une solide érection sous mon string. Carole se baisse vers moi
et libère mes jambes, sérieusement engourdies maintenant.
Puis mes bras et enfin mes poignets. Elle m'embrasse rapidement sur la
bouche avec son si joli sourire. Puis elle passe un doigt dans mon cou,
ce qui me procure un frisson. Elle porte ce doigt à ma bouche,
il est recouvert du sperme de son mari. Je le lèche et en apprécie
le goût, nouveau pour moi.
- C'est bien, tu es adorable, mais
je crois qu'il est temps pour toi d'aller prendre une douche.
Chapitre IV : Trajet.
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Une dernière photo et me voilà
dans la salle de bain. Carole et Alex, qui se sont rhabillés, sont
derrière moi. Ils m'observent. Je suis gêné. Visiblement,
ils ne partiront pas. Je me résous donc et baisse mon string, le
sexe toujours en érection. Mais Carole stoppe mon geste.
- Je crois qu'il a aussi besoin d'être
nettoyé, il est plein de champagne et de foutre. Gardes-le ! Et
je suis sûre que tu en profiterais pour te caresser...
Joignant le geste à la parole,
elle prend mon sexe dans une main et y dépose un baiser délicat.
Je n'ose pas les regarder mais j'imagine très bien leur regard
fixé sur moi. Lorsque j'entre dans la douche et que j'en ferme
la porte, Alex me demande :
- Pourquoi as-tu fermé ?
- Je ne sais pas... Monsieur.
J'ai failli oublier le "Monsieur".
J'ouvre la porte. Ils m'observent. Je laisse couler l'eau sur mon corps
quelques secondes puis commence à me nettoyer. Mon string est maintenant
carrément trempé, on distingue encore plus mon sexe à
l'intérieur. Je savonne le string tout comme le reste de mon corps
puis je me rince. J'éteins l'eau. Ils sont tous les deux devant
la douche. Je les regarde, j'ose, droit dans les yeux. Carole, toujours
son magnifique sourire sur les lèvres, s'écarte et me tend
une serviette. Alex sort de la salle de bains et demande :
- Chérie, tu prendras bien
une coupe du champagne que nous a amené Julien ?
- Bien sûr, mais laisse donc, il va nous servir. Je pense que c'est
un de ses nombreux talents et qu'il fera ça très bien. Allez
Julien, dépêches-toi.
Je suis Carole jusqu'au salon, toujours
uniquement vêtu de mon string mouillé. De toute façon,
j'ai la conviction que se sera mon seul vêtement durant mon séjour
ici. Carole s'installe dans un fauteuil à coté d'Alex. La
bouteille de champagne se trouve sur la table basse ainsi que trois flûtes.
Je nous sers, Alex m'indique une chaise en face d'eux. Et nous discutons
comme si de rien n'était. Enfin, pas tout à fait, ce sont
surtout eux qui posent des questions, sur mon travail, mes amis,... Moi,
gardant sans cesse à l'esprit que ce string en montre plus qu'il
n'en cache, je n'ose pas dire grand chose. Nous restons là peut
être une heure, avec parfois de longs silences qui me mettent mal
à l'aise, me font rougir un peu plus, et qui, j'ai l'impression,
font le bonheur de mes deux hôtes. La bouteille est terminée
depuis un moment déjà lorsque Carole dit :
- Et bien, je crois que la prochaine
bouteille de champagne, nous la boirons au restaurant.
Et elle se lève, suivi d'Alex
qui me fait signe d'en faire autant. Nous sortons, ce n'était pas
prévu, mais au diable l'avarice, c'est pour l'imprévu que
je suis là. Leur voiture se trouve dans le garage, et pour se rendre
au garage, il faut traverser le jardin. Il ne fait pas encore totalement
nuit et quelques lumières sont allumées dans les maisons
du voisinage. Je n'ose pas demander de quoi me couvrir, je sais que de
toute façon cela me sera refusé. Je les suis donc dans le
jardin, persuadé que tous les yeux du quartier sont fixés
sur moi. Alex n'a pas oublié son appareil photo. Il se met au volant,
Carole à coté de lui. Alors que je me dirige vers la porte
arrière, elle me dit d'aller ouvrir le portail. Je suis terrifié.
Mais je m'exécute. Après avoir ouvert le portail, j'attends
que la voiture soit sortie. J'ai l'impression qu'Alex fait exprès
de rouler lentement. Je croise le regard d'une femme qui est à
sa fenêtre, je suis rouge de honte, elle arbore un grand sourire
et me fait un petit signe de la main. Je ferme le portail et me rue dans
la voiture. Alex et Carole rient de bon cur, je ne sais pas pourquoi,
mais m'en doute un peu.
- Tu serais plus à l'aise sans
ton string, donne-le-moi me dit Carole en me regardant à travers
le miroir de courtoisie.
Je pose mon string et suis maintenant
nu, en plein Paris, un vendredi soir. Nous croisons de nombreuses voitures
et je sens souvent des regards et des doigts pointés vers moi.
Je me tasse sur mon siège, mais cela ne sert strictement à
rien. Alex, tout en conduisant lance souvent des regards dans le rétroviseur.
- C'est vrai qu'il est mignon Carole.
- Tout à fait d'accord avec toi.
- Quand il rougit comme ça... et regarde moi cette belle queue...
- Oui, mais le pauvre est moins à l'aise que tout à l'heure,
il bandait tellement fort qu'il à faillit faire craquer son string.
Toujours le mot pour rire. C'est vrai
que je ne suis pas à l'aise du tout. Surtout lorsque nous nous
arrêtons aux feux rouges. Tout à coup Carole se tourne vers
moi.
- Branles toi ! Je te veux dur comme
tu l'étais tout à l'heure. Mais surtout ne jouis pas ! Nous
ne sommes pas arrivés et tu n'as de toute façon pas ma permission.
- Excellente idée !
Alex à l'air d'accord avec
sa femme et profite d'un nouveau feu rouge pour se tourner vers moi. Je
prends mon sexe dans la main droite et commence un lent mouvement de va
et vient. J'ai honte de faire ça devant d'autres personnes. Mais
ils ont l'air d'apprécier. Et moi aussi, mon sexe ne tarde pas
à se durcir sous mes lentes caresses. Mais cela n'a pas l'air de
convenir à Carole.
- Plus vite ! Je suis sûre que
quand tu es seul dans tes toilett
es, tu te branles mieux que ça...
J'obéis alors que nous sortons
de Paris et que nous prenons une petite route. Je me branle carrément,
mais je sais que je ne pourrais pas tenir longtemps ce rythme sans jouir.
- C'est bien mieux comme ça.
Regarde-moi !
Je plonge mon regard dans les yeux
verts et profonds de Carole. Seul le plafonnier éclaire son visage.
Je sens que je vais jouir, et Carole le sait aussi.
- Est-ce que je peux m'arrêter...
Madame... Je vais jouir...
- Non, ralenti si tu veux, regarde-moi... Voilà... Tournes toi
maintenant.
Je me tourne, pose la tête sur
le dossier. Je suis à genoux sur le siège en cuir, montrant
ainsi mon cul à Carole, toujours tournée vers moi.
- Lèves les fesses... Continue
de te branler... Mieux que ça... Mais sans jouir...
Je vois les phares des voitures se
trouvant derrière nous. Tout à coup, je sens une claque
sur mes fesses, puis une autre. Je me branle toujours, m'arrêtant
à chaque fois que je suis au bord de l'explosion. J'ai envie de
jouir plus que jamais. Mais ce n'est pas maintenant que je dois me laisser
aller. Carole humecte son index et commence à agacer mon sphincter.
Elle me pénètre avec son doigt et effectue des cercles de
plus en plus larges. La sensation est... sensationnelle. Je suis obligé
d'arrêter une fois de plus ma branlette. Alors que je reprends,
elle me tend un objet et m'ordonne de le lécher. C'est un autre
godemiché, mais plus court et plus large que le premier que j'ai
eu dans le cul. Sa base se rétrécie et il se termine par
une partie plus large. Me doutant de sa destination, je m'empresse de
bien l'humecter pour le lubrifier un maximum.
- C'est bien, rend moi le plug maintenant...
continue à te branler...
Je sens la pointe de l'objet frapper
à la porte de mon anus, qui ne tarde pas à s'ouvrir. Il
entre, lentement, il me déchire les chairs. Ca fait mal, tout en
me procurant encore plus de plaisir. Carole force pour le faire entrer.
Lorsqu'il est en place, elle se retourne et jette mon string sur la banquette
à côté de moi.
- Arrête-toi maintenant. Assied
toi et remet ton string, nous arrivons.
Je me tourne et lorsque je m'assieds,
le plug finit d'entrer plus profondément en moi. Je remets mon
string qui ne cache évidemment pas l'objet puisque les deux ficelles
passent chacune sous une fesse. La sensation est étrange. Une fois
de plus, je me sens nu, je ne suis plus qu'un objet sexuel, tout comme
ce plug qui me pénètre et qui s'offre à la vue de
tous. Je commence à m'habituer à lui petit à petit
lorsque la voiture tourne et prends un chemin de terre. Au bout de quelques
minutes, alors que Carole et Alex discutent comme si je n'étais
pas là, nous arrivons devant ce que l'on pourrait appeler une ferme.
Plusieurs voitures sont à l'extérieur et des gens entrent
par la porte d'où sors une lumière jaune. Je me rends compte
que je vais certainement devoir entrer là dedans moi aussi et la
peur monte en moi alors que mon sexe lui, descend rapidement. Le sourire
aux lèvres, Alex se tourne vers moi.
- Tu vas voir, on mange très
bien ici. Allez, passe devant.
- Mais...
- Pas de discussions ! Tu as fait un choix. Ce choix était de nous
faire confiance. Nous ne trahirons pas cette confiance, mais il faut que
toi aussi tu tiennes tes engagements, alors sors de la voiture.
Après de longues secondes de
réflexion - Est-ce un endroit ou des gens dans mon état
sont accepté ? Que va-t-il m'arriver ? ... - Je me rends compte
que certaines personnes sont vêtues de latex, une femme est tenue
en laisse avec pour seule tenue une ceinture de chasteté. Mais
la plupart des gens sont habillés normalement. Lentement, j'ouvre
la porte, le sourire de Carole me réconforte. Carole sort après
moi. Je suis pieds-nus et nous sommes sur des graviers. Cela ajouté
à l'objet fiché dans mon cul me donne une démarche
étrange. Alex nous rejoint. Il passe devant nous et se dirige vers
l'entrée. Sur un geste de Carole, je le suis, elle termine la marche.
Je sens de nombreux regards su
r moi. Alors qu'Alex échange une embrassade avec une magnifique
rousse qui se tient à l'entrée, je m'arrête. Alex
et la rousse et tournent vers moi.
- Maeva, je te présente Julien...
Tu connais bien sûr déjà Carole.
- Bonsoir et bienvenu Julien... Heureuse de te revoir Carole... Entrez,
je vous en prie.
- Bonsoir Madame.
- Ca me fait plaisir d'être là Maeva.
- Julien, puisque c'est la première fois que tu viens ici, je vais
te donner les règles de la maison. Elles sont très simples
et au nombre de deux. La première est que tu dois servir le repas
au couple qui t'accompagne. Tu mangeras à leur table, mais tu feras
le service. La seconde est que tu dois obéir, sans discussion,
à toute personne plus vêtue que toi. Mais tu as de la chance,
tu n'es pas complètement nu. Et je vois en plus que même
ton postérieur est légèrement caché. Tu peux
donc espérer trouver certaines personnes moins habillées
que toi.
Tous les trois se mettent à
rire. Le regard bleu pénétrant de Maeva me
met plus mal à l'aise que je ne le suis déjà. Mais
je commence à m'habituer. Elle est vêtue d'une longue robe
noire, en cuir, avec de longs gants, noir eux aussi. La blancheur de sa
peau ressort encore plus ainsi.
Nous entrons.
Chapitre V : Repas.
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La salle est assez grande, éclairée
par de nombreuses bougies. Les murs sont en pierres apparentes. Une dizaine
de tables rondes sont placées dans la salle. Chaque table comporte
trois couverts. Autour de chaque table, deux chaises et un tabouret en
bois. Plusieurs tables sont déjà occupées. Toutes
par un couple habillé, plutôt classique hormis ce jeune couple
tout de cuir vêtu, accompagné d'une troisième personne
rarement plus couverte que moi, même souvent moins. Tous les yeux
sont évidemment tournés vers moi, mon string et mon plug.
C'est du moins ce dont j'ai l'impression. Je perçois même
quelques commentaires qui, même s'ils sont plutôt flatteurs,
ne me redonnent pas confiance en moi pour autant.
Nous nous asseyo
ns, Carole et Alex sur leur chaise confortable, moi sur le tabouret. Voyant
mon appréhension Carole tente de me rassurer en me disant que nous
allons bien manger et passer une agréable soirée. Apparemment,
ce n'est pas la première fois qu'ils viennent ici. Nous buvons
le cocktail qui était déjà servi à notre arrivée.
La discussion porte sur divers sujets. Pour l'instant, tout à l'air
calme. Idem pour les autres tables. Au bout d'une bonne demi-heure, alors
que je commence un peu à oublier la situation, si oublier une telle
situation est possible, Alex me m'indique la cuisine et me demande d'aller
chercher l'entrée. Je me lève donc et passe entre les différentes
tables. Déjà d'autres personnes dévêtues font
de même. Nous nous retrouvons à la cuisine où l'on
nous donne les assiettes à aller servir. Je repars avec une assiette
dans chaque main. Alors que je passe devant la table du couple aux combinaisons
de cuir, le mari m'interpelle.
- Julien, viens voir ici un peu.
Il connaît donc mon nom. Je
me dirige vers lui.
- Ma femme trouve que tu as un cul
magnifique. Tourne-toi qu'elle le voit un peu mieux.
Je m'approche d'elle et me tourne.
Elle me dit d'un ton extrêmement autoritaire de me rapprocher d'elle,
pour qu'elle puisse "tâter un peu". Dès que je
suis à portée de son bras, elle caresse sans ménagement
mon cul, tout en faisant des commentaires salaces. Je fais tout mon possible
pour ne pas renverser les assiettes. Le mari m'ordonne de me pencher en
avant, ce que je fais difficilement. Je croise le regard de Carole, visiblement
amusée. La femme sort mon plug, et, après avoir fait un
nouveau commentaire sur la largeur plus que raisonnable de mon trou du
cul, le remet à sa place.
- Tu sais Julien, un bon soumis ne
doit pas faire attendre ses Maîtres. Va les servir.
Les mots sont lâchés.
Ils sont mes maîtres, je leur suis soumis. Je me rends bien compte
que je plonge de plus en plus vers un état où plus rien
ne me sera impossible. Je serai capable de tout. Et c'est à Alex
et Carole que je le devrai. Mais pour l'instant je dois obéir et
je m'empresse d'aller les servir. Lorsque c'est fait, je repars chercher
mon assiette. Le repas se poursuit ainsi, au rythme de mes allers-retours
entre la cuisine et la table. Lorsque je me propose d'aller chercher le
dessert, Carole me fait savoir que c'est inutile que je suis le dessert.
C'est à ce moment là, alors que je n'ai pas encore eu le
temps d'imaginer ce qui pourrait m'arriver, que Maeva arrive entre Alex
et Carole et leur
demande si le repas était à leur convenance. Devant leur
réponse positive, elle me regarde et me dit de la suivre. J'interroge
Carole du regard et elle me répond, toujours avec son magnifique
sourire.
- Ne fait pas attendre Maeva, elle
pourrait se mettre en colère.
- Oui, et il vaut mieux pour toi que ça n'arrive pas. Je peux avoir
beaucoup d'imagination dans ces cas là...
Son sourire me fait froid dans le
dos. Elle se tourne vers Carole et Alex :
- Mes chers amis, je vous emprunte
votre soumis, je vais le préparer pour le dessert, ça ne
sera pas long.
Je suis déjà debout,
près de Maeva lorsqu'elle me fait signe de passer devant elle.
Elle me dirige vers une porte en bois, que nous franchissons. Lorsqu'elle
referme la porte, nous sommes seuls. Au fond de la pièce, il y
a un buffet ou s'entasse nombre desserts. Des glaces, des gâteaux,
des crèmes, des fruits... Au centre, trois tables rectangulaires
en verre avec quatre chaises autour de chacune.
- Tourne toi et penche-toi, que je
te retire ce que tu as dans le cul... C'est bien... Voilà. Bon,
maintenant allonge-toi sur la table du milieu... non sur le ventre qu'on
puisse admirer ton joli cul béant.
Et, comme pour donner plus de poids
à ses propos, elle enfourne un doigt, puis deux dans mes entrailles.
Après m'avoir branlé ainsi quelques secondes, Maeva pose
le plug juste à côté de mon visage, comme pour me
rappeler ce que je suis devenu ce soir. Elle se retourne pour sortir de
la pièce, non sans m'avoir ordonné de ne pas bouger. Elle
revient quelques instant plus tard, tirant la laisse de la femme que j'ai
aperçue à l'entrée, elle porte toujours sa ceinture
de chasteté. Maeva la fait s'allonger, sur le dos, sur la table
se trouvant devant moi. Nouveau départ de la maîtresse des
lieux qui revient cette fois ci avec une autre femme, totalement nue et
rasée elle aussi et qui s'allonge sur la table derrière
moi. Lorsque Maeva repart une dernière fois, c'est pour inviter
les convives dans la salle des desserts. Les soumis qui ne sont pas sur
les tables se dirigent vers le buffet. Je suppose qu'ils sont là
pour servir. Les Maîtres entrent ensuite, discutant entre eux par
petits groupes, comme dans toute soirée digne de ce nom.
C'est lorsque je vois un couple s'asseoir
à la table devant moi, celle où se trouve la femme à
la ceinture de chasteté, que je comprends ce qui va suivre. En
effet, un des soumis apporte une part de gâteau qu'il pose délicatement
sur le ventre de la femme à la ceinture de chasteté. Et
le couple commence à manger, à l'aide d'une cuiller en argent
qu'un autre soumis leur apporte. Alex vient s'asseoir à ma gauche,
sur la chaise qui se trouve à hauteur de mon visage. En face lui,
à ma droite donc, le mari habillé de cuir qui m'a interpellé
lorsque j'amenai l'entrée du repas. A leurs côtés
viennent se placer-leur épouses, qui sont donc placées au
niveau de mes fesses dont le trou ne s'est toujours pas refermé.
Carole commande (et c'est bien le mot) à un soumis de la crème
anglaise, qu'il verse dans le
creux de mes reins. Le liquide est froid. Alex et l'homme dont je ne connais
pas le nom commandent chacun une part de flan, que l'on pose entre mes
épaules. La femme en cuir, dont le nom m'est aussi inconnu, commande
une boule de glace à la vanille avec de la crème chantilly
et du chocolat chaud. Je tremble à l'énoncé de la
commande. Carole m'intime de rester calme, sa crème pourrait couler
sur la table et la tâcher, ce qui serait impardonnable. Et Impardonné
!
Le serveur pose la boule de glace
en haut de la raie de mon cul. Je frissonne, c'est froid, très
froid, de plus en plus froid. Au bout de quelques secondes tout le bas
de mon dos est endolori. Puis soudainement, je sens le chaud du chocolat
qui coule autour de la glace. La femme demande à ce que l'on me
mette de la chantilly dans le creux de mes fesses. Petit à petit,
je sens le froid de la glace, qui commence à fondre, couler dans
la raie de mes fesses. Les cuillers se battent sur mon dos. La femme prend
un malin plaisir à faire passer la cuiller d'argent dans la raie
de mes fesses, de bas en haut. Carole demande une seconde tournée
de crème. Je serre mes jambes pour que les liquides ne coulent
pas et restent accessibles, dans le creux formé à la base
de mon cul. Je sens tout à coup un doigt parcourir mon cul, s'attardant
entre les deux fesses. Puis Carole me tend sa main.
- Lèche !... Tu aimes ?
- Oui Madame.
- Tu en veux d'autre ?
- Si vous voulez Madame.
- D'accord... Chéri, passe moi le plug s'il te plaît..
. Merci.
Je sens le plug parcourir ma raie,
de haut en bas puis de bas en haut. S'attarder sur mon trou, plus si petit
que cela maintenant. Entrer de trois ou quatre centimètres, lubrifié
par la chantilly. Ressortir. Tremper dans la chantilly pour revenir devant
mon nez.
- Vas-y ! Régale-toi !
Alex me met le plug dans ma bouche,
je le suce comme si c'était une queue. Je veux leur montrer que
je ne suis plus moi-même, que je ferai tout ce qu'ils me diront
de faire, que je n'ai plus de pudeur. Lorsque j'ai fini, Alex me laisse
le plug dans la bouche, jusqu'à ce que tous aient pris leur dessert.
Je sens encore des miettes de gâteau sur mes épaules, des
restes de crèmes entre mes reins, et de la glace fondue ainsi que
du chocolat et de la chantilly dans le bas de mes fesses, entrant un peu
dans
mon anus par le trou laissé
par l'objet que j'ai dans la bouche. Alex retire le plug de ma bouche
et le tend à la femme en cuir. Elle le dirige évidement
vers mon cul, qu'elle commence à branler à l 'aide de l'objet.
En cercle d'abord, puis d'avant en arrière, pénétrant
un peu plus à chaque fois, entraînant des restes de dessert.
Lorsqu'il est entré à fond, elle le tourne à l'intérieur,
y prenant visiblement du plaisir. Elle s'adresse à Carole :
- Carole chérie, c'est une
grande découverte que tu as faite là. Ce petit soumis accepte
bien des choses sans rechigner.
- Merci, mais il n'a encore rien vu. Ce n'est que la première soirée
qu'il passe avec nous. Mais nous lui réservons quelques surprises
dans l'avenir.
- Pour ça, je vous fais confiance.
Elles rient toutes les deux. Moi aussi
je leur fais confiance, car pour une première soirée, je
pense que j'ai eu une bonne dose de nouvelles choses. Mais cette soirée
n'est pas encore terminée, j'en ai bien peur, même si la
fatigue commence à se faire sentir. A ce moment là, une
femme avec une chaîne reliant ses deux seins est amenée vers
la table devant moi par un homme qui la tire par ses longs cheveux. Il
lui met le visage sur le ventre de la femme allongée sur la table.
La femme, dont la chaîne est fixée grâce à deux
anneaux qui lui traversent le bout des seins, se voit forcée de
lécher l'autre femme pour la nettoyer. Je sens moi-même une
langue sur mon dos, et une autre sur mes fesses. Pendant ce temps, un
homme est poussé devant mon visage et on me force à prendre
sa queue dans la bouche. Tout se précipite. Je commence à
bander. Je le suce du mieux que je peux, avec application, je me rends
compte que j'aime ce qui m'arrive. On me retire le plug pour pouvoir mieux
me nettoyer le cul à coup de langue. Cette langue qui pénètre
mon intimité sans difficulté. Qui me pénètre
puis qui ressort, plusieurs fois de suite. Puis qui repart à la
découverte de ma raie du cul. L'homme ne tarde pas à jouir
sur mon visage. On lui ordonne de me nettoyer comme les autres. Il passe
donc sa langue sur mon front, sur mes joues, sur ma bouche. Il m'embrasse.
C'est la première fois que j'embrasse un mec. De plus sa langue
est pleine de son sperme. C'est cer
tainement l'ambiance, mais j'aime ça.
Jusqu'à ce soir, j'étais persuadé que jamais je ne
ferai ça, embrasser un homme. Au bout de quelques secondes, Alex
le tire par les cheveux.
- Qui t'a donné la permission
de l'embrasser ? Tu n'es qu'une salope qui ne sait que se faire baiser.
Tu mériterais que tous les mecs présents te prennent, t'enculent
les uns après les autres. Tu ne sais faire que ça, la pute.
Mais ça te ferait beaucoup trop plaisir.
A ce moment là, la femme en
cuir lui assène une magistrale gifle, l'attrape par les cheveux
et l'emmène. Carole se place devant moi. Elle me gifle aussi. Puis,
se rendant compte qu'elle m'a frappé sur la joue non encore nettoyée
elle me lance :
- Lèche ! Et tu apprendras
qu'à partir de maintenant, tu ne roules de pelles à personne.
Personne tu entends. Sauf quand on te dit de rouler une pelle à
quelqu'un. Tu comprends.
- Oui Madame.
- Bon, je pense que pour une première soirée, ça
suffit. La prochaine fois nous resterons bien plus long
temps je te rassure. Allez lève-toi.
Elle me prend par le bras et me tire
vers la sortie, je suis encore tout dégoulinant de crème,
gâteau, glace, chocolat et salive. Et j'ai une érection qui
ne passe pas inaperçu.
Chapitre VI : Nuit.
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Arrivé dehors, je frissonne,
il fait un peu frais.
- Allez, pose-moi ce string, tu ne
crois tout de même pas entrer dans la voiture comme ça ?
Alors que je m'exécute, un
jet d'eau m'arrive dans le dos. Elle est froide, je tremble. Carole se
recule pour ne pas être mouillée.
- Tourne-toi !
Le jet d'eau m'arrive maintenant en
pleine figure. Au bout de quelques instants de ce traitement, Carole m'ordonne
d'aller chercher une serviette et de me sécher. Lorsque je ressors,
elle me tend le plug.
- Tiens remets ça à
sa place avant d'entrer dans la voiture.
Elle se tourne et se dirige vers la
voiture. Alex reste en retrait et me regarde me pencher pour me ficher
le plug dans le cul.
- Je
te conseille de le prendre dans ta bouche et de mettre de la salive, ça
entrera mieux. Et accroupis-toi... face à moi.
Tout en me tournant vers lui, je suce
et humecte longuement le plug. Lentement, en le regardant droit dans les
yeux, je me baisse, le plug dans la bouche. Lorsque je suis accroupi,
j'écarte les jambes et, toujours en regardant Alex droit dans les
yeux, me mets le plug dans le cul. Un sourire se dessine sur son visage.
Il me dit de monter dans la voiture, ce que je fais de bon cur car
le fond de l'air est plutôt frais. Il nous rejoint bientôt
et prend le volant. Nous voilà repartis en direction de Paris.
Nous sommes sur la route depuis de longues minutes lorsque Alex propose
à Carole de passer derrière "Histoire de passer un
bon moment... et n'oublie pas le god dans la boite à gants ma chérie..."
Ravie de cette proposition, elle descend de la voiture dès que
celle-ci s'arrête. Au bord de la route, elle soulève sa jupe
et descend sa culotte qu'elle jette sur les genoux de son mari avant de
refermer la portière. Elle vient s'asseoir près de moi,
la jupe toujours relevée. Son sexe est magnifique, il m'attire,
rasé, mais pas totalement, laissant juste assez de poils au-dessus
du clitoris pour titiller une langue qui passerait par-là. Et justement,
Carole m'attrape la tête et me dirige vers cette fine toison noire.
Je m'empresse de la lécher du mieux que je peux pendant qu'elle
joue avec mon plug, toujours en moi. Alors que nous entrons dans Paris,
Carole me relève et me met le phallus
métallique entre les mains.
- Branle-moi avec ça, mais
attention, en douceur.
Tout en laissant un doigt entre les
jambes de Carole, je prends le god dans ma bouche et le suce avec passion,
la défiant du regard. Je dirige ensuite le god vers l'entrée
de sa chatte, et la pénètre lentement. J'effectue des mouvements
de va et vient, puis des cercles. J'alterne, lentement, rapidement, en
sortant l'objet, et l'envoyant profondément. J'envoie mes doigts
s'occuper du bouton de ma Maîtresse. Alex ne perd évidemment
pas une miette de la scène, il n'y à pas grand monde dans
les rues à cette heure avancée de la nuit. Carole profite
pleinement de sa situation, elle prend du plaisir tout en parcourant et
admirant les rues et les monuments éclairés de la plus belle
ville du monde. C'est à peine si le rythme de sa respiration s'est
accéléré. On dirait qu'elle apprécie autant
la tour Eiffel et la place de la Concorde que le god qui lui laboure.
Elle échange même quelques mots avec Alex comme si de rien
n'était.
Alors que nous passons devant le Louvre, je vois sa main se crisper sur
le siège et je sens des vibrations dans son corps. Elle tend les
jambes. Je sens les contractions de son vagin se répercuter dans
le god que je tiens. Elle a joui. Mais pendant tout ce temps là
elle a continué de parler avec Alex. Seule une légère
inflexion de la voix a trahi son plaisir. Je suis heureux de lui avoir
procuré cette sensation. Je continue mes va-et-vient, mais très
lentement maintenant. Quelques secondes plus tard, elle
prend ma main et me fourre le god dans la bouche. Je le nettoie, le lèche,
le suce. Je goûte le suc de Carole, son odeur enivrante. Nous nous
arrêtons à un feu rouge, Carole me gratifie d'un baiser sur
la joue et, une fois de plus, de son sourire magnifique avant de baisser
sa jupe et de retourner prendre sa place, à côté de
son mari.
Lorsque nous arrivons, je vais ouvrir
le portail et attends dehors que la voiture entre. C'est avec beaucoup
moins d'appréhension et de gêne que la première fois,
quelques heures plus tôt, que j'accomplis cela. Même si cette
fois ci, je suis complètement nu, un plug enfoncé dans le
cul. Peut-être est-ce dû à l'heure tardive et à
l'absence de gens dans les rues et à leur fenêtre. Mais peut-être
aussi est-ce dû au fait que je ne suis plus le même que celui
qui est sorti tout à l'heure de cette maison. Je me dépêche
tout de même d'entrer car il fait froid. Je suis exténué.
La soirée a été longue. Mais elle n'est apparemment
pas encore terminée. Nous prenons un dernier verre dans le salon
ou Carole m'a accueillit. Ils m'installent sur le canapé, m'ordonnant
d'écarter les jambes afin "que l'on puisse te voir le mieux
possible, ainsi que ton plug". Alex se lève bientôt
et me demande de le suivre.
- Viens nous allons préparer
ta nuit...
- Bien Monsieur.
Nous nous levons et nous dirigeons
dans la pièce où j'ai été attaché,
plus tôt dans la soirée. Alex m'indique un placard où
je trouve un mince matelas pendant qu'il allume l'ordinateur présent
dans la pièce. Sur son ordre, je m'allonge sur le dos, les jambes
repliées. Il m'attache à l'aide de fines cordes ainsi, les
bras écartés.
- Tu vas passer la nuit ainsi. Et
le monde entier va pouvoir t'admirer...
En effet, il est en train d'installer
deux caméras. La première est dirigée sur mon visage
alors que la seconde se trouve entre mes jambes, de façon à
prendre dans son cadre la totalité de mon corps nu, tout en prenant
bien le plug fourré en moi. A l'aide de ces deux caméras,
des clichés de moi seront envoyés sur leur site Internet
de sorte que tous ceux qui voudront me voir le pourront. Je n'étais
pas au courant de l'existence de ce site. Et pour cause, cela fait plusieurs
jours qu'ils ont préparé cette soirée et ils ont
évidemment averti tous leurs visiteurs de ma présence ainsi
ligotée durant la nuit. Carole nous rejoint bientôt et se
place à côté d'Alex qui discute avec des habitués
de son site sur le forum. Ils rient. Peut être est-ce à cause
des commentaires que font les gens qui reçoivent les premières
images de moi dans cette position.
Ils me laissent bientôt seul
après m'avoir souhaité bonne nuit. La lumière reste
évidemment allumé pour que les visiteurs du site puissent
m'admirer durant le reste de la nuit. Au bout de quelques minutes, j'entends
nettement les bruits caractéristiques d'un couple faisant l'amour.
Les râles d'Alex se mêlent aux soupirs et aux cris de Carole.
Mon sexe se dresse une fois de plus. De toute la soirée, j'ai souvent
bandé, mais pas une seule fois je n'ai eu l'occasion de jouir.
Et je ne peux même pas me branler, mes bras étant attachés.
Les bruits s'achèvent bientôt. Tout est calme. Je suis à
nouveau seul avec mon érection. Mais je ne tarde pas à m'endormir,
épuisé par mes premières aventures dans le monde
de la soumission. La lumière ne me gêne plus, mes yeux se
ferment et je m'offre pour la nuit aux voyeurs du monde entier. Durant
la nuit, mes rêvent m'emmènent dans un harem. Mais un harem
un peu particulier, un harem d'hommes. Notre seul but est de donner du
plaisir aux femmes qui, dans ce pays imaginaire un peu comme dans la réalité
dirigent tout. Mais dans ce rêve, les hommes sont tous des esclaves
dévoués aux plaisirs des femmes. Je crois même avoir
rêvé devoir donner du plaisir aussi à quelques hommes
d'une classe supérieure. Mais je ne m'en souviens pas avec exactitude...
Je me réveille, je n'ai aucune
idée de l'heure, ce doit être le milieu de la nuit. Mais
je me vois sur l'écran. Je suis immobile, dans l'incapacité
de bouger. Mon plug me gène, j'ai honte, j'ai peur. Je me demande
pourquoi je suis venu. Puis, petit à petit, je me rappelle les
événements de la veille. Mon arrivée, mon inspection,
les liens, les photos, ma première pénétration anale,
mon exhibition dans le jardin, puis dans la voiture, le repas, l'humiliation
du dessert et pour terminer me voilà nu devant une caméra,
offert au monde. Tout cela en à peine quelques heures. Moi qui
n'osais pas assumer mes fantasmes. Je n'aurai certainement pas fait tout
cela de moi-même, même si j'en avais eu
l'audace. Mais ce qui m'est arrivé m'a plu dans l'ensemble. J'espère
que ce n'est pas terminé, que Carole et Alex vont m'emmener encore
plus loin dans la débauche, qu'ils vont anéantir encore
plus toute trace de pudeur en moi. En tout cas, je sais une chose, c'est
que je leur obéirai. Sur ces pensées, je m'endors à
nouveau, les caméras filment et diffusent le sourire présent
sur mes lèvres.
- Allez, on se réveille mon
petit Julien.
C'est Carole. Elle vient d'ouvrir
les volets. Elle est ma
gnifique dans la lumière du jour qui se lève. Elle porte
une chemise de nuit en soir blanche. Ses seins sont mis en valeur par
les dentelles. La vue de cette femme, ainsi que le réveil, ne tardent
pas à provoquer chez moi une belle érection.
- Oh! Regardez-moi ça comme
c'est mignon. Il bande. Attends, avec la soirée que tu as passé
hier soir, je pense que tu as droit à un peu de plaisir. Tu as
été parfait. Alex dort encore, surtout ne le réveillons
pas.
Lentement, elle retire le plug de
mon cul puis vient s'empaler sans aucun problème sur ma queue dressée.
Elle avait du se caresser avant d'entrer, car sa chatte est déjà
dégoulinante de plaisir. Toujours attaché, je n'ose dire
un mot. Carole donne le rythme. Elle m'observe.
- Non, ouvre les yeux, je veux te
voir jouir.
Elle accélère. Je ne
tarde pas à haleter, je vais jouir, enfin. Mais une fois de plus,
elle se retire, me laissant, haletant, souffrant de désir. Elle
replace les caméras pour que la scène soit bien visible.
Puis elle reprend sa position. Les voiles de sa nuisette montent et descendent
en une symphonie de couleurs, jouée par les rayons du soleil. Ses
doigt pincent mes tétons. Je sens la douleur, associée au
plaisir qui monte en moi. Je ne résiste pas longtemps à
ce traitement. J'explose. Je me sens défaillir. Elle continue ses
mouvements encore quelques secondes puis sans un mot vient placer son
sexe sur mon visage. Les premières gouttes de mon sperme coulent
dans mon cou. Carole se baisse un peu plus et colle sa
chatte sur ma bouche. Elle ne parle pas, mais c'est inutile. Elle sait
que je vais faire ce qu'elle me demande en silence. Effectivement, je
lance ma langue à l'intérieur de sa chatte et commence à
la nettoyer de mon sperme. Le liquide glisse dans ma bouche, mêlé
à la mouille de Carole. J'avale, mais je sens un mince filet couler
au bord de ma lèvre. La nuisette de Carole recouvre mon visage.
Je pense à tous les gens qui nous observent. Je me dis que certains
doivent se branler en me regardant. Alors que je lèche depuis plus
longtemps qu'il n'en faut pour que le sexe de Carole soit vidé
de mon sperme, je sens les soubresauts de la jouissance agiter Carole.
Elle se laisse aller et se pose sur mon visage, m'étouffant presque.
Puis elle se relève, m'embrasse passionnément et lèche
le filet de sperme qui part de ma bouche en direction du sol. Elle sort.
Chapitre VII : Essayages.
--------------
Quelques instants plus tard, Alex
entre dans la pièce et me dis bonjour. Je lui réponds. Il
se dirige vers l'ordinateur pour lire les messages laissés par
mes admirateurs. Puis, après avoir éteint les caméras,
il me détache et me tend mon string pour que je "m'habille".
Nous déjeunons, les événements de la veille et de
la nuit m'ont donné faim. Carole me parle du programme de la journée,
sans me donner trop de détail.
- D'abord, nous allons aller t'acheter
de quoi t'habiller décemment. Tu ne peux quand même pas te
promener dans Paris en string. Bien que j'avoue que cela me plairait énormément.
Une autre fois peut être. Ensuite, nous irons manger au restaurant,
mais cette fois dans un restaurant normal. Ce n'est pas toi qui nous servira.
Et s'il fait beau nous irons nous promener en forêt. Tout cela te
convient-il Julien ?
- Oui, bien sûr. De toute façon, ai-je le choix ?
- Non évidemment, mais tu aurais pu ne pas être d'accord.
Bon, allons y.
Nous nous levons. Alex me donne un
manteau pour que je puisse sortir dans Paris sans me faire trop remarquer.
Nous prenons la voiture et nous nous dirigeons vers Pigalle. Nous entrons
dans un magasin ou toutes sortes de vêtements en cuir et latex,
ainsi que divers objets tels des fouets ou des menottes sont exposés
en vitrine. Carole entre la première, je la suis et Alex ferme
la marche. Apparemment habituée des lieux, Carole pose son manteaux
de fourrure et le tend à la jeune femme se trouvant à l'entrée.
Alex l'imite. La femme, blonde, plutôt court vêtue, la poitrine
opulente et le regard trop maquillé, se retourne vers moi et me
tend le bras attendant visiblement que je lui tende mon manteau.
- Non merci, ça ira.
- Comment ça non merci, pas de discussion, donne ton manteau à
la charmante demoiselle.
- Mais...
- Tu discutes ?
- Non, mais...
Alex se penche à mon oreille.
- Tu sais Julien, je crois que tu
ne m'as pas encore vu en colère. Fais ce que te dit Carole immédiatement.
Le ton d'Alex ne laissant place à
aucune hésitation possible, je pose le manteau, au grand bonheur
de la femme qui s'en saisit et, sans me quitter des yeux une seconde,
accroche les trois vêtements sur des cintres. Elle parcourt mon
corps des yeux pendant de longues secondes. Le silence devient pesant.
Déjà, certains clients se tournent pour m'observer. La jeune
femme pose son regard dans mes yeux, peut-être pour me faire rougir
un peu plus puis me demande sans se préoccuper ni d'Alex, ni de
Carole :
- Je m'appelle Katia, que puis-je
pour vous monsieur.
- Katia, nous cherchons pour Julien de quoi l'habiller de manière
plutôt sexy.
- Mais bien sûr Madame, nous avons tout ce qu'il faut pour cela.
Vous avez une préférence, cuir, latex, transparent peut-être.
- Je ne sais pas trop, nous allons en essayer quelques-uns. Que nous conseillez-vous
?
- Je pense que ce body transparent lui ira très bien. Regardez,
il est en plus muni de chaînes qui permettent de l'attacher où
vous voulez.
- Non, je veux quelque chose qui fasse plus habillé.
- Peut-être alors cette tenue en latex rouge. Il est vrai que le
sexe et le cul sont offerts à la vue, mais le reste du corps est
caché. C'est un modèle très apprécié
de nos clients.
- Il va l'essayer.
- Mais bien sûr, les cabines d'essayages sont par ici.
- Cela vous dérange-t-il qu'il fasse l'essayage ici ?
- Pas du tout Madame, au contraire.
La vendeuse me regarde d'un air carrément
lubrique maintenant. Tous les clients, sans exception, assistent à
mon essayage. Alex m'ordonne évidement de ne pas garder mon string
sous la combinaison. J'ai du mal à y entrer, ça colle. Cette
combinaison fait ressortir mes formes. Carole m'ordonne de marcher lorsque
je l'ai enfilée. Les clients se poussent pour me laisser passer.
Alors que j'avance au milieu de l'allée formée par les voyeurs,
je sens des mains qui se font baladeuses. Sur mon cul, sur ma bite et
mes couilles, qui pendent à travers le trou dessiné dans
la combinaison. Je me retourne et reviens vers la vendeuse, Carole et
Alex. J'ai l'impression d'être un robot, il suffit que l'on ordonne
quelque chose pour que je m'exécute sans discuter.
- C'est très sexy en effet,
mais nous voudrions quelque chose qui lui permette de sortir dans la rue
sans se faire arrêter par la police.
Tous rigolent, sauf moi. J'ai la tête
baissée, je vois mon sexe surgir de ce trou dans le latex rouge.
J'ai honte. J'ai peur, et si quelqu'un que je connais passait par là,
un collègue, un ami ? La vendeuse m'observe une fois de plus et
se dirige dans un autre rayon. Nous la suivons.
- Regardez cette combinaison de cuir
noir. Quasiment toutes les parties sont détachables, si bien que
vous pouvez ne garder caché que le sexe. Ou mieux, si vous voulez,
vous pouvez découvrir uniquement le sexe. Mais vous pouvez en enlever
les bras ou les jambes, ou le torse. tout est à base de fermeture
éclair. L'inconvénient est qu'elle est assez difficile à
enfiler seul. Mais je me ferais un plaisir de vous aider à l'essayer.
- Bien sûr. Julien, pose ta combinaison, Mademoiselle va t'aider
à essayer celle là.
Pendant que je pose la combinaison
rouge, la vendeuse attrape le cintre qui supporte celle que je vais essayer
maintenant. Elle se saisit de la combinaison que je viens de poser et
me laisse là, seul au milieu de tous. Un couple présent
dans la boutique discute avec Alex et Carole, ils m'observent tous les
quatre, un peu en retrait. Lorsque je tente de me cacher le sexe avec
les mains, Alex me fait signe de les retirer. Katia, la vendeuse revient
bientôt et me demande de me tourner, pour que j e sois face à
elle. Elle m'enfile le pantalon puis le haut de la combinaison. Pour terminer
elle ferme les nombreuses fermetures de la combinaisons. Pendant toute
la durée de l'habillage, elle s'est tenue extrêmement proche
de moi, j'ai pu sentir sa poitrine dans mon dos, ses mains sur mes hanches,
son souffle sur ma nuque.
- Faites quelques pas, histoire de
voir si elle vous va bien.
Une fois de plus, je marche dans la
boutique sous le regards de mes maîtres et de la vendeuse.
- Parfait, nous la prenons. D'ailleurs,
il va la garder sur lui.
Je sens le cuir sur ma peau. Tout
de noir vêtu, je sais que je ne vais pas passer inaperçu,
mais je commence à aimer cela. L'impudeur est comme toute chose,
elle s'apprend. Alex paie. Carole viens me voir, me dit que je suis très
mignon dans cette tenue. Elle m'apprends que le couple avec qui je les
ai vus discuter va venir déjeuner avec nous. Elle fait les présentations.
- Monsieur et Madame Mac Pride, je
vous présente Julien.
- Bonjour Julien. Tu es appétissant dans cette combinaison tu sais
! Je suis heureuse que nous ayons rencontré Alex et Carole ici
par hasard.
- Bonjour Madame.
Madame MacPride me prend par la main
et me tire vers la sortie. Dans la rue, je me dis que j'aurai du réfléchir
avant de venir chez Carole et Alex. J'essaie de me faire tout petit. Et
si je croise une personne de ma connaissance ? Et si on me reconnait ainsi
? Heureusement, la voiture n'est pas loin et je m'y engouffre avec empressement.
Nous voilà donc partis vers un restaurant. En fait, c'est une brasserie,
tout ce qu'il y a de plus banal dans Paris. Je me retrouve assis entre
Carole et Alex, sur la banquette,
Monsieur et Madame Mac Pride sont en face nous. Le repas se passe comme
si de rien n'était, nous discutons de tout et de rien. Parfois
quelques remarques de Madame MacPride me font rougir, mais sans plus.
Jusqu'au dessert, j'ai l'impression que tout va bien se passer. Mais c'est
sans compter sur l'imagination débordante de Carole ...
Chapitre VIII : Restaurant.
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- Julien, pose la partie de ta combinaison
qui te cache le sexe.
Je la regarde éberlué.
Je n'ose pas bouger. Mais je me rends compte que son regard n'est pas
le seul à être braqué sur moi avec insistance. Je
me doute que plus un mot ne sortira de la bouche des convives jusqu'à
ce que je me sois exécuté. Tout tremblant, je détache
donc la fermeture qui entoure mon pubis et pose le morceau de cuir ainsi
libéré sur la table. C'est ce moment précis que choisi
le serveur pour venir prendre la commande des desserts. J'avance imperceptiblement
mes fesses afin que ma queue se
retrouve cachée par la nappe. Le serveur, pas plus bête qu'un
autre, ne manque pas de remarquer mon trouble, même s'il n'en connaît
pas la cause. Alors qu'il repart annoncer la commande en cuisine, Carole
se retourne vers moi, un regard que je ne lui avait encore jamais vu lui
traverse les yeux l'espace d'un instant. Ce que j'y entrevois m'effraie.
- Qui t'a dit de te cacher ?
- ...
- Réponds !
- Personne Madame.
- Je t'ai déjà dit que lorsque tu es avec nous, tu n'as
plus droit à la pudeur. Et surtout il t'est interdit, tu entends
bien, INTERDIT de ne pas faire ce qu'on te demande.
Pendant qu'elle parle, elle attrape
mon sexe et le serre fortement. Je sens la douleur monter en moi. Je n'ose
pas réagir, je sais que la punition serait pire. Mais déjà
le châtiment s'intensifie. Carole sait très bien ce que je
redoute.
- Branles toi !
Lentement, tel un automate, ma main
droite passe sous la table, empoigne ma queue et commence un lent va-et-vient.
Je m'efforce de ne pas faire bouger le haut de mon corps pour ne pas être
remarqué d'une table voisine ou d'un serveur. Madame MacPride me
regarde droit dans les yeux, un sourire amusé sur les lèvres.
Le serveur vient nous resservir du vin. Carole me regarde fixement, ses
yeux me disent clairement que je n'ai pas intérêt d'arrêter,
même en présence du serveur. Alors mon mouvement se fait
légèrement plus lent, plus subtil, mais ne cesse pas. Ma
respiration s'accélère imperceptiblement. Le désir
se fait de plus en plus fort. Je sens que je ne vais pas pouvoir poursuivre
ce traitement très longtemps sans tacher ma nouvelle combinaison.
Madame MacPride, toujours le sourire aux lèvres m'interroge :
- As tu déjà goûté
ton sperme julien ?
- Oui, Madame MacPride.
- Ahhh ! Et à quand remonte la dernière fois ?
- Ce matin, Madame.
A ces mots, Alex me regarde, étonné.
Il doit se demander comment j'ai pu jouir alors que j'étais attaché.
Et encore plus comment j'ai pu avaler mon sperme. Carole lui donne la
réponse.
- Mon chéri, il était
si mignon ce matin quand je suis allé le réveiller que je
n'ai pas pu m'empêcher de le chevaucher. Ce sexe lisse qui bandait
... Tu sais qu'il est des choses auxquelles je ne résiste pas !
- Je comprends.
Madame MacPride poursuit son idée
:
- Alex, quel goût à ton
sperme ?
- C'est... ça a un goût unique, que l'on ne retrouve nulle
part ailleurs. Amer peut-être.
- J'adore voir un homme boire son sperme, tu vas le faire pour moi maintenant.
- Ici ?
Elle me tend mon verre, à moitié
remplit de vin.
- Oui, ici, je veux que tu jouisses
la dedans. Tu boiras ensuite le vin.
Sans un mot, j'attrape le verre de
la main gauche et le passe sous la table. Ma main droite, toujours en
mouvement, accélère de plus en plus. Je ferme les yeux.
Je ne peux pas retenir un râle lorsque je me vide dans le verre.
Je transpire. Je suis évidement écarlate. Je porte le verre
à ma bouche. Madam MacPride m'arrête.
- Attends, nettoies d'abord tes doigts.
Un mince filet de sperme coule entre
mes doigts. Je pose le verre, porte ma main à la bouche et lèche
avec application. Je retrouve le goût du sperme que j'ai déjà
avalé ce matin, alors mélangé au suc de Carole.
- Je pense que tout cela a du te donner
soif, non ?
- Oui Madame MacPride, un peu.
Obéissant à cet ordre
déguisé, je porte le verre à ma bouche et lentement,
très lentement, je bois. J'apprécie le vin. J'apprécie
le sperme. J'apprécie le restaurant. Et, plus que tout, j'apprécie
ce que je suis devenu. Je ne suis ici, le sexe à l'air, en train
de boire mon propre sperme dans un verre, que l'objet des perversion de
Carole, Alex et leurs amis. Je suis conscient maintenant que, dans cette
combinaison, plus rien ne me fait peur. Je ne suis plus du tout enfermé
dans mes principes et mes tabous.
Le repas se poursuit gentiment, sans
nouvelles bizarreries que l'on m'ordonne de faire. Par contre, je soupçonne
fortement le serveur d'avoir remarqué que mon sexe n'est plus couvert.
Ses yeux louchent régulièrement sur moi, un petit sourire
amusé sur le visage. Tout se passe bien donc, jusqu'à ce
qu'Alex demande l'addition. C'est ce moment que choisit Carole pour s'emparer
du morceau de cuir qui me cache le sexe. Ce geste provoque chez moi l'équivalent
d'une balle en plein cur. Elle va m'obliger à sortir du restaurant
dans mon état actuel.
Le sexe à la vue de tous !
Je sens mon cur s'accélérer,
de petites perles de sueurs coulent sur mon front. L'adrénaline
monte en moi. Comment vais-je pouvoir me sortir de cette situation ? Alex
se lève, suivi de Madame MacPride et de son mari. Je sens chez
eux une envie folle d'éclater de rire. Je me tourne vers Carole,
puis vers Madame MacPride. Carole se lève à son tour. Voyant
que je reste assis, elle se tourne vers moi.
- Et alors, tu ne nous suis pas, tu
restes là ?
Je ne réponds pas. Je sens
ma mâchoire inférieure s'affaisser.
- Allez, habilles-toi et dépêches-toi.
Elle me lance le carré de cuir.
Je ferme les yeux, remercie le Saint-Patron des soumis, ainsi que tous
les autres Saints-Patrons de la terre et m'empresse de remettre ma combinaison
en ordre.
Nous sortons.
Chapitre IX : Promenade.
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Arrivé dans la voiture, Carole
me demande si je serai sorti du restaurant sans mon "cache-sexe".
Je lui réponds que non, mais que si je n'avais pas eu le choix,
j'aurai bien dû m'y résoudre.
- Ne te fais pas de souci, tu sais,
nous ne sommes pas là pour faire des scandales. Mais je dois avouer
que j'ai bien aimé ton visage lorsque tu m'as vu prendre le morceau
de la combinaison. Rassures-toi, nous ne te ferons rien qui puisse te
porter préjudice. Enfin, pour l'instant....
J'espère que ces dernières
paroles n'ont été dites que pour augmenter mon trouble,
et mon incertitude et non parce qu'elles sont vraies. Mais Carole et Alex
m'ont assuré plusieurs fois que rien ne pourrait m'arriver d'irréparable
lorsque je suis avec eux. Nous poursuivons donc ce week-end fou. Nous
ne sommes que le samedi en début d'après midi et j'ai déjà
fait et subi plus de choses que je ne l'imaginais possible en une vie
entière. Les MacPride nous ont quittés, apparemment à
cause d'un rendez-vous dans un cinéma porno. Je me doute que leur
après midi va bien se terminer. Carole me parle du programme de
notre après-midi.
- Tu sais Julien, la majorité
des hommes adorent voir des femmes baiser ensemble. Moi, ce que j'aime,
c'est voir des hommes baiser, et Alex aussi aime voir ça. Toi je
ne sais pas si tu aimes voir, mais je suis certaine que tu va aimer le
faire pour nous, n'est-ce pas ?
- C'est à dire que... je ne sais pas trop...
- Mais moi je le sais pour toi ! Tu vas te faire enculer parce que j'ai
envie que tu te fasses enculer. Et tu vas aimer cela parce que j'ai envie
que tu aimes ca.
Un sourire effrayant apparaît
sur son visage.
- Et je suis certaine que tu en redemanderas.
Je ne sais pas si j'en redemanderai,
mais je sais une chose, c'est que je n'ai aucun à priori contre.
Je suis là pour faire de nouvelles expériences et aucune,
du moins je pense, n'est irréalisable. Que l'on aime ou pas, on
ne peut répondre à cette question qu'après avoir
goûté. Et je vais goûter à la sodomie si Carole
me le demande. On verra plus tard si j'en redemande.
La voiture se dirige vers la sortie
de Paris, en direction d'un bois dont je ne connais pas le nom. Nous y
pénétrons, empruntons des chemins plutôt calmes. Nous
dépassons une voiture dont la porte entrouverte laisse dépasser
une jambe dont le pied retiens une petite culotte en dentelle. Trois hommes
matent par la vitre baissée la propriétaire de la culotte
qui apparemment se branle tant pour son plaisir que celui des voyeurs.
Plus loin, nous nous arrêtons. Carole descend et me fait signe de
la suivre.
- A genoux.
Alors que je m'exécute, Carole
s'accroupit devant moi, ses seins sont à hauteur de mon visage.
Elle prend ma tête entre ses mains et plonge son regard au fond
du mien. Après m'avoir embrassé fougueusement elle penche
sa tête pour approcher sa bouche de mon oreille.
- Tu sais, Julien, aucun encore de
nos soumis n'a été aussi brillant que toi. Mais Alex et
moi voulons que tu nous demande de continuer. La prochaine étape,
je te l'ai dit sera de te faire prendre par des hommes, ici à la
vue de tous. Alex et moi aimerions que tu en exprimes le désir.
Et je suis sûre que tu le veux aussi au fond de toi-même,
non ?
J'ai la gorge sèche. Je la
regarde, un peu perdu. Oui, Carole à tout à fait raison,
j'en ai envie. Mais je crois cependant que si je suis ici, c'est que c'est
une décision que je n'ai jamais été capable de prendre
seul. Je savais que Carole et Alex me pousseraient à faire des
choses que je n'ose pas faire par moi-même. Je sens tout à
coup une main se poser sur mon épaule. Je sursaute. Ce n'est qu'Alex,
mais il remarque mon regard affolé. Il se penche et amenche sa
bouche près de mon oreille, son regard
en direction des arbres alentours qui commencent à découvrir
deux ou trois hommes qui regardent dans notre direction.
- Tu n'as pas le choix, Julien. Tu
vas te faire prendre, ici, devant nous. Que tu le demandes ou pas n'y
changera rien. Mais je veux juste être certain que tu en as vraiment
envie. Je suis persuadé que tu as aussi envie de le dire, cela
te libérera et tu apprécieras encore plus. Alors ?
Nouvelle hésitation. Deux hommes
s'approchent maintenant dangereusement. Après avoir pris une grande
inspiration, je me lance.
- Oui...
- Oui quoi Julien ?
- J'ai envie de me faire prendre... Maintenant.
- Bien ! Lève toi et choisis.
Je vois à son sourire et à
celui de Carole qu'ils sont contents de moi. Tout comme moi, c'est la
première fois que je demande à me faire enculer, même
avec ma copine je n'ai jamais osé alors que j'en ai souvent eu
envie. Alex tend le bras vers les deux hommes qui sont à côté
de nous maintenant. Il me demande de choisir lequel des deux va m'enculer.
Je réaliserai plus tard que le choix portait sur le premier à
m'enculer car les deux évidemment vont profiter de moi. Je me lève
donc et m'approche des deux hommes. Leur sourire est la seule chose que
je distingue, je serai incapable de les reconnaître dans la rue,
je suis dans un autre monde, un état second. J'espère d'ailleurs
qu'eux aussi ne me reconnaîtraient pas s'ils me croisaient. Je tends
ma main vers l'entrejambes de l'un d'eux. Je m'agenouille pendant que
le second passe derrière moi et me détache la partie de
ma combinaison qui me cache le cul. Je fais jaillir la queue de celui
qui me fait face et la prends dans ma bouche alors que je sens un doigt
mouillé s'insérer dans mon intimité.
L'homme derrière moi fouille
mon anus de plus en plus rapidement et de plus en plus profondément.
Il me dit qu'il va m'enculer profondément, qu'il va me faire jouir
parce que je ne suis qu'une salope qui aime se faire prendre par tous
les trous. C'est la première fois que l'on me parle ainsi. Je ne
suis, ici encore plus qu'hier soir au château et ce midi au restaurant,
qu'un objet servant au plaisir des autres. Mon plaisir ne vient que de
cet état, celui de soumis aux ordres de ces inconnus qui m'ont
pris en mains. L'homme insère bientôt un second doigt dans
mon cul, suivi d'un troisième. Ca me fait mal car il ne me ménage
pas. Je suce toujours la queue qui a maintenant une taille plus que correcte.
J'aperçois du coin de l'il Carole qui se caresse lentement
et Alex, dont le camescope ne perd pas une miette de mes ébats.
La queue de l'homme qui me force le
cul depuis un moment se présente bientôt à ma porte
secrète. Elle n'a aucun mal à trouver un chemin déjà
bien ouvert par les doigts qui l'on précédée. Les
paroles de cet homme ont sur moi un effet étrange. J'ai comme l'impression
de sortir de moi-même. Et d'ailleurs, mes souvenirs de la fin de
cette séance sont plutôt flous pour moi. Je me rappelle que
l'homme est sorti brutalement de mon cul pour venir se branler et jouir
sur mon visage. Le second a pris sa place et a joui très vite en
moi. Je sentais le sperme couler de mon anus lorsque d'autres hommes nous
ont rejoint et m'ont tous utilisés. Je ne sais plus exactement
combien ils étaient. J'étais dans un rêve...
Chapitre X : Réveil.
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Je me réveille. Ils m'ont fait
boire. Beaucoup. Je ne sais plus trop comment je suis arrivé là.
J'ai oublié. J'ouvre les yeux. Alors que j'essaie de me tourner,
je me rends compte que je suis attaché, les bras en croix et les
jambes écartées. Je suis nu, évidemment. Comme souvent
depuis le début de ce week-end complètement fou, je n'ai
pas le droit à la pudeur. Il faut toujours que je sois prêt
à Les servir. Dès qu'Ils en expriment le désir, je
dois être prêt à leur procurer du plaisir. J'ai mal
à la tête. J'ai bu. Je ne peux pas bouger, mes liens sont
solidement fixés, comme toujours. J'entends des voix, plusieurs,
dans la pièce à coté. Des rires aussi, féminins.
Tout à coup, je réalise que je ne connais pas cette pièce,
ni ce lit. La pièce est vide, hormis le lit auquel je suis attaché.
Un rayon de soleil entre par la fenêtre. Il court sur le lit et
finit sa course au bas de mon ventre, comme un doigt pointé sur
mon sexe qui durcit. Habitude matinale qu'il à toujours eu. J'aime
faire l'amour le matin. Ohhhh, ma tête...
Tout à coup, la porte s'ouvre.
Une femme entre, magnifique. J'aime les femmes, et j
'adore encore plus leur donner du plaisir. Celle-là est rousse,
ses longs cheveux courent sur ses épaules. Ses yeux sont bleus.
En me voyant, elle sourit. Je rougis, je ne la connais pas.
- Mmmmmhhhh !!! Mais c'est mignon ce que je vois là ! Dit elle
en s'approchant. Ses longues jambes sont chaussées de bottes en
cuir. Elle porte un body, noir, en cuir. La vue de ses seins, de son corps
si peu caché par ses vêtements contribue un peu plus à
mon érection.
- Tu n'as pas honte. Bander de la sorte.....
Elle rit, moi pas ! Je rougis, comme je sais si bien le faire, même
si ce n'est pas voulu. Elle pose sa main sur mon sexe et commence un va
et vient qui je sais va me faire vite jouir. Mon souffle s'accélère.
Je ne peux pas bouger. Je suis à sa merci. Elle fera de moi ce
qu'elle veut. Je suis à elle. C'est la première fois que
je la vois et pourtant je suis à elle. Je suis sa chose.
- Sylvie, vient voir çà. Il démarre au quart de tour.
Cette fois ci, c'est une brune, les yeux ver
ts, des cheveux courts qui entre dans la pièce. Elle est vêtue
d'une combinaison de latex, rouge. Je ne sais plus ou me mettre. Je ferme
les yeux.
- Je crois qu'on va bien s'amuser aujourd'hui avec lui. On va faire un
tas d'heureux !!!
- Oui, quand je suis entrée, il bandait déjà...
Mon souffle se fait de plus en plus saccadé. La rousse dont je
ne connais toujours pas le nom enlève sa main. Elle approche la
bouche de mon sexe, y dépose un baiser.
- Bon repose-toi bien mon mignon... tu va avoir besoin de toutes tes forces
aujourd'hui. Ils seront nombreux à t'observer.
Une dernière caresse, la plus frustrante, et les deux créatures
sont sorties. Je suis à nouveau seul, mon sexe plus dur que jamais.
Je ne sais toujours pas ou je suis,
ni ce qui m'attend. Hier soir, j'étais chez Eux, Alex et Carole,
après être revenu du bois ou une bonne dizaine d'homme m'a
utilisé. Ma mémoire revient peu à peu. Je me rappelle
que nous sommes rentrés. Je sais que j'ai du lécher leur
sexe, l'un après l'autre. J'aime autant celui d'Alex que celui
de Carole. Ensuite, alors que j'étais allongé sur la table
basse, les mains attachés aux pieds de la table, Carole s'est assise
sur mon visage. J'ai goûté son sexe, j'en ai bu le suc. La
table était froide, son sexe chaud. J'ai lancé ma langue
le plus loin possible dans son intimité. Je l'ai sentie jouir sur
mon visage. Pendant ce temps Alex prenait des photos. Puis, Carole s'est
levée. Elle s'est empalée sur mon sexe, me tournant le dos.
Je voyais ses fesses rebondies, fermes, aller et venir sur moi. Elle a
pris mes jambes, les a écartées. Alex s'est mis face à
elle, puis, tout en l'embrassant, s'est mis à me pénétrer.
Je me souviens que nous avons jouis ainsi, tous les trois. Mais eux ne
s'occupaient pas de moi. Ils étaient enlacés, moi en elle
et lui en moi. Puis je les ai servit, nu sous mon tablier. Ils m'ont fait
boire... et je me suis retrouvé là !
La rousse a parlé de nombreuses
personnes qui seront là pour m'observer. Qui seront-ils ? encore
des gens que je ne connais pas ? Certainement. Mais je sais une chose.
Je ferais tout ce qu'il me demandera, car je sais que le châtiment
peut être parfois désagréable pour celui qui désobéit.
Mais j'ai envie de dépasser mes limites, de faire des choses que
je n'ai même pas imaginées. Je veux être un objet de
plaisir.
Ca fait une bonne demi-heure maintenant
que je suis seul dans cette pièce, toujours attaché au lit.
J'essaie d'imaginer ce qui va m'arriver. Mais je n'en ai aucune idée.
Petit à petit, le doute s'insinue en moi. Doute qui peu à
peu se transforme en peur. La porte s'ouvre enfin. Un homme entre, nu
lui aussi. Non, pas complètement nu, il porte un collier auquel
est attachée une corde. Cette corde, elle est tenue par la rousse
de tout à l'heure. Dans l'autre main, elle tient ce qu'on pourrait
appeler une
cravache. Ils s'avancent tous les deux
vers moi. Ils m'observent. La femme s'adresse à moi.
- On va voir si tu sauras t'en sortir
aujourd'hui... Toi Détache-lui les mains et mets-toi en position.
L'homme s'approche de moi. Il détache
ma main gauche, fait le tour du lit et libère la droite. Il m'aide
à m'asseoir sur le lit, les jambes toujours écartées.
Puis, sans un mot, il monte sur le lit, debout, et présente son
sexe à ma bouche. Je regarde la femme, hésitant. Sans prévenir,
elle me donne un coup de cravache. Je n'ose pas crier de peur d'en recevoir
d'autres.
- Allez !!! Tu crois être là
pour te reposer ? Suce-le !
Doucement, je prends son sexe dans
ma bouche. Je le suce, le lèche. Ma langue cours sur sa queue.
Je prends ses couilles dans ma bouche pendant que je le branle lentement
de la main gauche. Nous sommes observés par la femme rousse qui
fait des commentaires sur ma façon de faire. Au bout de quelques
instants, la brune, Sylvie, entre, au bras d'un homme. Tous les trois
me regardent sucer cet inconnu. Je fais de mon mieux pour leur plaire.
Cet homme, debout devant moi n'est là que pour le spectacle. Nous
ne sommes pas là pour
notre plaisir, mais pou
r le Leur. Même si lui ne tarde pas à jouir. Il se retire
et joui sur mon visage. Je sens sa semence chaude couler sur ma joue,
dans mon cou et sur mon corps. Au bout de quelques secondes, Sylvie prends
la parole et s'adresse à celui qui vient de jouir sur moi.
- Bien, maintenant mets-lui ce collier
et cette laisse.
Il s'exécute et m'attache une
laisse, puis se retire. Je suis maintenant seul avec ces deux femmes et
cet homme. Toujours attaché par les pieds, du sperme partout sur
le corps et le visage. Je me rends compte de ma position. Je ne sais vraiment
pas ou me mettre, d'autant que mon sexe est fièrement dressé
depuis que j'ai sucé cet inconnu. Ils m'observent, sans dire un
mot. L'homme sort de la pièce. Les deux femmes détachent
mes pieds, un chacune. L'homme revient vite et jette sur le lit un body
pour homme en latex noir et un manteau long.
- Habille-toi.
C'est la première fois que
je m'habille ainsi. J'ai l'impression que ce body ne cache rien, au contraire,
il en montre plus que ma nudité habituelle. Il fait ressortir mon
impudeur forcée. J'aime la sensation du latex sur mon corps. Cela
se voit. Ils sont conscients que j'aime ça. L'homme me tend la
veste, que je mets. Il attrape ma laisse et me tire brusquement. Je le
suis. Nous sortons. Dans la rue. Les gens m'observent, ils ne doivent
pas souvent voir un homme ainsi tiré par une autre, au bout d'une
laisse. J'ai honte. Il me jette à l'arrière d'une voiture,
prends le volant. Je ne connais pas notre destination.
Que va-t-il m'arriver d'autre ? Jusqu'où
va aller ma soumission ? Quelle vont être les limites de ce qui
va m'arriver ? Je me doute que ce qui m'est arrivé n'est rien en
comparaison de ce qui m'attendent. Sur ces questions, l'homme dit quelque
chose qui augmente un peu plus mon désarroi et ma peur.
- Tu vas voir, je suis sûr que
tu vas aimer l'arène...
Chapitre XI : La Comtesse.
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Au bout de quelques minutes de voiture
dans Paris, nous arrivons. Je n'ai pas dit un mot de tout le voyage. Je
n'ai pas envie de parler. Et de toute façon, on ne m'en a pas donné
l'autorisation. La voiture entre dans une cour et une grande porte cochère
se referme derrière nous. De nombreux véhicules de luxe
sont présents dans la cour. L'homme coupe le moteur. J'attends.
Deux femmes discutent non loin de la voiture. Elles ne semblent pas nous
avoir remarqués. L'homme descend, leur parle quelques instants.
Il revient vers moi, j'aperçois un sourire non dissimulé
sur le visage des deux femmes. Il ouvre la porte et attrape ma laisse.
- Pose ta veste et Descend !
Obéissant aux ordres, je ne
me retrouve vêtu que de mon body. Alors que je sors de la voiture,
les yeux baissés pour ne pas avoir à supporter les yeux
féminins posés sur moi, il s'adresse à elles.
- Je vous présente Julien,
mais évidemment, ici, il portera le nom qui vous plaira.
- Bonjour.
- Bonjour. dis-je après une courte hésitation.
- Nous te trouverons un nom plus tard, pour l'instant Jean Paul
va te présenter à la Comtesse.
Celui dont je viens d'entendre le
nom pour la première fois tire sur ma laisse et m'entraîne
à l'intérieur. Je sens le regard des deux femmes dans mon
dos et sur mes fesses à peine cachées. Une fois de plus,
je rougis. Je ne sais toujours pas ce qui m'attend. Que peut donc bien
être cette arène ? Je sais un chose, c'est que j'ai envie
que l'on m'utilise... et j'ai le pressentiment que je vais être
exaucé. Nous entrons par une haute porte vitrée dans une
grande pièce qui n'est visiblement que le hall d'une grande maison
de maître. Des gens vont et viennent, des verres à la main.
Ils se dirigent quasiment tous vers les escaliers qui se trouvent au fond
de la pièce. Apparemment, nous sommes au beau milieu d'une réception
donné par et pour le "Tout Paris". Tous m'observent,
me détaillent. Jean Paul me laisse seul quelques instants le temps
de saluer une personne qui semble être la maîtresse des lieux.
J'ai l'impression que les femmes présentes ici ont été
sélectionnées grâc e à leur beauté.
Elles sont toutes magnifiques, habillées en robe de soirée
et parées de riches bijoux. Les hommes sont tous sans exception
en costume.
Alors que je suis debout, au milieu
de la pièce, attendant Jean Paul, un couple s'approche de moi.
La femme, brune, les cheveux long tombant sur sa robe rouge caresse mon
dos puis mon ventre à travers le latex de mon body.
- J'aime cette matière. Dit-elle.
Elle fait ressortir les formes. Et les sensations de celui qui la porte
sont multipliées.
En disant cela, sa main s'aventure
plus bas dans mon dos, puis lentement passe sous mon cul, entre les jambes.
L'homme, une coupe de champagne à la main, acquiesce en riant.
Elle prend possession de mes couilles, les malaxe au travers du latex.
Rapidement, mon sexe commence à durcir, je n'ose pas bouger. Il
est vrai que le vêtement que je porte peut donner des envies. Et
la mienne est bien visible maintenant. Bientôt, un serveur passe
avec un plateau de petits fours. Le couple m'abandonne pour se
servir puis se dirige vers l'escalier, comme tout le monde. C'est à
ce moment que Jean Paul revient accompagné de la femme pour laquelle
il m'a abondonné quelques instants auparavant. Blonde, ses cheveux
longs sont attachés en un chignon. Sa robe en cuir laisse voir
un merveilleux décolleté. Elle porte un très mignon
tour de cou, en cuir lui aussi, auquel est attaché un pendentif
en or. Ses avant-bras sont gantés, ce qui renforce un peu plus
sa féminité.
Jean se rend compte tout de suite
de l'état dans lequel m'a laissé le couple.
- Mmmmhhhh ... Comtesse, regardez-moi
ça .... notre petit ami est pris d'une érection. Cela doit
être dû à votre beauté.
Agissant en maîtresse de maison,
et en maîtresse tout court, elle s'adresse à Jean Paul.
- Laissez moi régler cela je
vous prie.
- Bien sûr.
Sans rien dire, elle me regarde quelques
secondes, qui me paraissent une éternité. Puis, tout à
coup, sans que je m'y attende, une gifle s'abat sur mon visage.
- Qui t'a ordonné de bander
?
Après une seconde gifle, elle
ordonne.
- Réponds !
- Personne.
Une troisième gifle.
- Personne Comtesse ! Et si tu reste
ici, ça deviendra Personne Maîtresse !
- Bien Comtesse.
Sur ces mots, sa main se dirige vers
mon sexe, le palpe à travers le latex, puis, écartant le
body, le libère. Me voilà debout, au milieu du hall d'entrée
d'une grande demeure parisienne. Un tas de gens m'observent et je leur
montre mon sexe. Je rougis encore un peu plus, si toutefois c'est possible.
- A genoux !
- Bien Comtesse.
- Branle-toi.
Lentement, ma main se dirige vers
mon sexe et commence un mouvement de va et vient. Malgré la situation,
je suis de plus en plus excité. Tout le monde me regarde, les gens
se sont arrêté dans les escaliers, font même demi-tour
pour apprécier le spectacle que je leur offre. J'entends des murmures,
je distingue même quelques mains qui s'aventurent sous quelques
robes.
- Tu ne jouiras que quan
d je te l'ordonnerai. Ici, c'est moi qui commande.
- Oui Comtesse.
- Regardez le bien, mes chers amis. C'est lui que vous allez retrouver
dans l'arène aujourd'hui. J'espère qu'il vous plaira. Jean
Paul, qui nous amène souvent nos meilleurs spécimens m'en
a dit beaucoup de bien.
Elle tourne autour de moi, je suis
humilié. Je ne suis plus qu'un objet, un robot. On ordonne et je
m'exécute. Je sens le plaisir monter petit à petit. Mais
je me retiens, ne voulant pas subir la foudre de cette comtesse inconnue.
Alors qu'elle pose un doigt sur mon épaule et qu'elle le fait courir
lentement dans mon cou, elle se penche et murmure à mon oreille.
- Maintenant, tu vas jouir pour moi.
Parce que je te le demande et que tu ne sais pas faire autre chose que
ce que l'on te demande de faire. Ici, tu vas devenir ce que tu n'oseras
jamais être ailleurs. Nous allons amener notre plaisir à
tous à un point extrême, et c'est toi qui seras l'objet de
ce plaisir. L'arène est ce qui va t'arriver de pire, mais aussi
de meilleur. Tu vas perdre toute notion de temps, de dignité, de
fierté et de pudeur. Mais tu vas découvrir ce qu'est le
vrai plaisir pour un homme tel que toi. Tu vas servir et donner du plaisir
à tous ceux qui le désireront. Vas y maintenant, lâche-toi...
Ne pouvant me retenir plus longtemps,
et surtout parce qu'elle me l'a demandé, je jouis, sans un mot.
Je n'ose pas faire le moindre bruit. C'est tout juste si ma respiration
s'est accélérée. Je sens le sperme couler de ma main,
de petites tâches se sont formées sur le sol.
- Lèche !
Lentement, je porte ma main à
ma bouche et la nettoie de mon liquide chaud. Ensuite, je me penche, et
lèche tout le sperme qui se trouve sur le sol. Pour faire tout
cela, il faut que je me surpasse. Ici, je ne suis plus moi-même,
je ne suis que celui que l'on me demande d'être. A partir de maintenant,
mes limites ont disparues, elles sont devenues les limites de la Comtesse...
- C'est bien, lève toi m'ordonne
t-elle.
Alors que je
m'exécute, elle attrape ma laisse et la tend à Jean Paul.
Toutes les personnes qui sont restée assister à mon petit
spectacle improvisé retournent dans les escaliers pour se diriger
au premier étage.
- Jean Paul, vous pouvez l'amener
dans l'arène maintenant.
- Bien sûr Comtesse, avec plaisir.
Je suis Jean Paul, nous nous dirigeons
vers une porte qui se trouve sous l'escalier. Jean Paul tends la main
et ouvre la porte...
Chapitre XII : L'arène.
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Derrière la porte se trouve
un petit couloir, long de deux mètres tout au plus se terminant
par une autre porte. Sur le coté gauche se trouve un crochet auquel
Jean Paul attache ma laisse, après m'avoir détaché.
Il me pousse devant lui, ouvre la seconde porte et me voilà dans
ce qu'Ils appellent l'arène. C'est une pièce ronde, assez
grande, elle doit faire une quinzaine de mètres de diamètre.
Les murs sont recouverts de glaces qui doivent faire chacune deux mètres
de large. Dans n'importe quel sens que
je regard e, je vois mon image sur les murs. Il y a dans cette arène
une lumière plutôt faible. Au-dessus des glaces, à
environ deux mètres du sol, de nombreux rideaux font le tour de
la pièce. Au centre de la pièce se trouvent deux anneaux
fixés au sol à environ cinquante centimètres d'intervalle.
Jean Paul me guide jusqu'entre ces deux anneaux, puis se retourne et me
laisse seul, sans me dire un mot. Il repart par la porte que nous avons
empruntés pour entrer. Lorsqu'il la referme, je m'aperçois
qu'il n'y a pas de
poignée de ce côté
de la porte, donc aucun moyen de sortir d'ici.
J'entends des voix, nombreuses, des
rires aussi. Tout à coup, les rideaux se trouvant au-dessus des
glaces se lèvent, mais très lentement. Les voix se taisent.
J'ai les yeux baissés, mais je sais que les rideaux ont libéré
la vue de tous les gens que j'ai vu plus tôt dans le hall. Tous
les yeux sont posés sur moi. Je lève lentement la tête
pour apercevoir qu'il y a trois rangées de spectateurs. Un spot
s'allume, je me retrouve au centre d'un cercle de lumière. Comme
un artiste arrivant sur scène, j'ai le trac. Mais à la différence
d'un artiste, je ne sais pas en quoi va consister le spectacle, même
si je ne doute pas d'en être l'acteur.
- Tournes-toi !
Cette voix, je la connais. C'est la
voix de la Comtesse. Je me tourne et la cherche du regard, mais je suis
ébloui par la lumière. Je suis face à la voix maintenant,
mais je ne fais que distinguer la forme sensuelle autant qu'autoritaire
de la Comtesse. Je suis dos à la porte par laquelle je suis entré.
- A genoux !
Alors que je m'exécute, j'entends
la porte s'ouvrir derrière moi. Alors que je commence à
tourner la tête pour voir qui entre dans l'arène, la Comtesse
m'apostrophe :
- Qui t'a ordonné de tourner
la tête ? Personne ! Tu ne bougeras que quand on te l'aura demandé.
Je sens des mains sur mes jambes,
deux de chaque coté. On tire sur mes mollets pour les écarter
de sorte qu'ils soient collés aux deux anneaux fixés au
sol. Puis mes genoux sont fixés aux anneaux. J'ai les jambes écartées,
je ne peux plus les refermer. Tous les regards sont posés sur moi.
J'entends quelques murmures d'admiration, mais je n'ai pas la tête
à remercier toutes ces personnes qui m'observent. On m'a souvent
dit que j'étais mignon, mais ici, j'ai trop peur de ce qui va m'arriver
pour y penser. Tout au fond de moi, je sais qu'il ne me sera fait aucun
mal irréversible. Mais je ne peux m'empêcher de penser que
tout peut basculer d'un moment à l'autre. Mes mains sont
attachées dans mon dos à l'aide de menottes en cuir. Les
liens sont solides et très serrés. Je n'ai aucun espoir
de pouvoir me libérer. Des menottes en cuir sont aussi fixées
à mes chevilles auxquelles sont reliées les menottes que
je porte aux poignets. De cette manière, je suis obligé
de me tenir droit, je ne peux pas me pencher en avant. Pour terminer,
une cagoule en latex m'est passée sur la tête. Un seul orifice
placé au niveau de la bouche me permet de respirer. Je suis dans
l'obscurité maintenant. Les bruits se font sourds à travers
la cagoule, mais je distingue tout de même la voix de la Comtesse
lorsque les deux personnes se retirent.
- Te voilà prêt maintenant.
Il me faut aussi te trouver un nom. Attends que je réfléchisse...
Oh, et puis non, tu m'as l'air tellement bien dans ta fonction d'esclave
que tu n'as pas besoin de nom. Nous t'appellerons donc Esclave, tout simplement.
Mais en tant qu'esclave, tu n'auras pas droit à la faiblesse. Tu
devras obéir sans limites aux ordres qui te seront donnés.
Il faut que tu sache que tout ce qui va t'arriver ici sera filmé,
et chaque participant aura droit bien entendu à une copie de tes
exploits.
Je suis dans le noir le plus total,
de plus en plus affolé. J'aimerai fuir, mais je suis attaché.
J'entends un murmure dans le public. Je sens des présences près
de moi, nombreuses. Une main de femme me caresse à travers le body
et une voix me murmure à l'oreille.
- Je suis ici pour te diriger. Tu
es là pour donner. Et tu vas te donner ! To
n corps et ton esprit ne t'appartiennent plus. Si tu ne m'obéis
pas, j'aurai quelques surprises pour toi dont voilà un minuscule
aperçu.
Sur ce, je sens les lanières
de ce qui est sans conteste un fouet. Elles glissent lentement sur mes
épaules. Puis je sens un coup de fouet sur mes bras tendus, un
autre sur les mollets au sol, ensuite sur les cuisses et pour finir sur
le ventre. J'ai eu mal, mais cela reste supportable. J'essaie donc de
bouger le moins possible, pour ne pas subir le fouet un peu plus.
- Tiens-toi droit !
Je tire sur mes bras pour me redresser
le plus possible. Mes chevilles sont légèrement décollées
du sol. Je sens deux jambes féminines qui se collent à mon
corps, devant moi.
- Lèche, et appliques toi.
C'est avec plaisir que je me rends
compte que le sexe que l'on me présente est épilé,
complètement. Ma langue s'aventure dans les plis de cette chatte
qui m'est offerte. Le femme lève une jambe pour laisser un peu
plus de place à ma langue. Je m'insinue dans ce corps inconnu.
je lèche ce clitoris, l'aspire, le prends délicatement entre
mes dents. Je l'embrasse puis lance ma langue profondément à
l'intérieur. Des doigts aident ma langue, mais je ne sais pas s'ils
sont ceux de la propriétaire de cette chatte délicieuse
ou ceux d'une autre inconnue. Je sens son plaisir me couler dans la gorge.
Au bout de quelques minutes de ce traitement, je sens les contractions
typiques de l'orgasme agiter ce doux vagin. J'entends les cris de bonheur
de celle que je suis en train de faire jouir. Je ne cesse pas pour autant
de lécher le clito. Puis elle se retire. Mon sexe s'est dressé
au travers de mon body depuis un moment déjà.
- C'est bien. Elle a bien joui. Passons
à la suite. J'ai dans la main un scalpel, et je te conseille de
ne surtout pas bouger.
Sur ces mots, je sens la lame sur
mon épaule gauche. Lentement, elle découpe le haut de mon
body. Je tremble, j'ai peur, je ne vois pas ce que l'on me fait. La bretelle
gauche cède. Puis la droite, alors qu'une fine coupure fait couler
une petite goutte de sang sur mon épaule. Le body ne tient plus
que par les hanches. Mes pectoraux imberbes sont maintenant à la
vue de tous.
- Tu as bougé, tant pis pour
toi... La prochaine fois, le scalpel ira peut être un peu plus profond
si tu ne fais pas attention.
Une autre paire de jambe se colle
à mon ventre. La main qui quelques secondes plus tôt tenait
le scalpel me fourre un sexe masculin dans la bouche. Je suis obligé
maintenant de sucer cet homme que je ne connais pas. Alors que je le prends
dans ma bouche, je sens un liquide chaud jaillir sur mon torse. Un autre
homme, qui se branlait près de moi, vient de jouir. Une main étale
le sperme. Je suce cette bite du mieux que je peux. De temps en temps,
un homme joui sur moi. J'ai le corps, le visage et le dos recouvert de
sperme. L'homme ne tarde pas à jouir dans ma bouche. Je sens un
filet de sperme couler au coin de ma lèvre pendant que je continue
de lécher le gland lentement.
- Je vois que tout cela te fait bander
très fort, mais ne compte pas jouir. Ici, c'est le plaisir des
autres que tu dois servir. Et cela ne fait que commencer...
Chapitre XIII : Film.
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Cela dure ainsi un long moment, certainement
plus d'une heure, voire même deux ou trois. J'ai complètement
perdu la notion du temps. Chaque queue qui joui dans ma bouche est remplacée
par une chatte, et vice-versa. Je ne croyais pas pouvoir un jour atteindre
un tel niveau d'avidité. J'ai peut être donné du plaisir
à une vingtaine de personne, sans compter ceux et celles qui se
sont masturbés autour de moi, et sur moi aussi. Mais certains d'entre
eux ont du utiliser les services de ma bouche en plusieurs fois. Et pendant
tout ce temps, la voix qui me parle à l'oreille n'a pas arrêté
de me parler, peut être pour me donner du courage, mais certainement
aussi pour me montrer à quel point je suis devenu esclave de mes
désirs et de leurs plaisirs à eux.
Enfin, tout cela s'arrête. Ma
cagoule m'est retirée. Le spectacle qui s'offre à moi est
étrange. Je peux me voir dans tous les miroirs autour de moi. Et
je découvre enfin la personne qui m'a parlé depuis tout
à l'heure. A mon grand bonheur, il s'agit de Carole. Je n'avais
plus espoir de la voir ici. Je me doute qu'Alex est dans les tribunes.
Peut-être a-t-il joui sur moi ou dans ma bouche tout à l'heure.
Je ne le vois pas. Je penche la tête et observe tout ce sperme sur
moi. Certaines coulées sont complètement sèche alors
que d'autres sont encore tièdes. Carole se met face à moi
et m'embrasse rapidement.
- Je vais finir de t'enlever ce body
pour que tu puisses te laver correctement.
Elle attrape le scalpel et délicatement
termine de le découper sur les côtés. Elle à
apparemment l'habitude de manier cet outil... Je m'en tire avec juste
avec une légère égratignure. Cela me fait plaisir
de voir que Carole prends soin de moi. Mon regard se lève un peu.
Je regarde ces gens qui m'observent avec plus ou moins d'attention. Le
spectacle est maintenant plus calme. Ils ont quasiment tous un verre à
la main. Certains mangent, comme cette femme qui tient dans sa main une
cuisse de poulet et la porte à sa bouche en regardant son voisin
droit dans les yeux. Dans un autre endroit, cela n'aurait rien eu de particulier,
mais ici, on se croirait vraiment au beau milieu d'une orgie romaine.
La main de l'homme se pose sur un sein mais descend rapidement. Je ne
peux plus voir cette main mais je ne doute à aucun instant de sa
destination. La femme continue de manger comme si de rien n'était,
un sourire animal posé sur ses lèvres.
Je me rends compte que je ne suis
là que pour faire le spectacle. Je suis un film porno vivant. Certains
vont se branler au cinéma, d'autre viennent ici. La différence
est qu'ici tout le monde ose dire pourquoi il est là. Et les gens
n'ont pas peur de se mélanger. La première partie de mon
spectacle terminée, certains discutent entre eux comme à
l'entracte, d'autres se caressent, mais tout ceci se fait dans une atmosphère
étrange. J'ai effectivement l'impression d'être dans un film,
je ne suis en fait qu'un acteur, l'acteur d'un rôle que je n'aurai
jamais cru jouer un jour. Mais je suis un peu fier de moi, de savoir qu'ici
je peux faire tout ce qui m'est interdit, ou plutôt que je m'interdis
ailleurs. Alors que je sui perdu dans mes pensées, Carole ma rappelle
à la dure réalité maintenant qu'elle vient de me
dévêtir complètement.
- Tiens voici un gant et un bac d'eau.
Lave-toi bien.
Me voilà donc en train de m'ôter
tout ce sperme qui souille mon corps. Cela prends un certain temps car
tout est presque sec. Mais apparemment, les gens ne font plus trop attention
à moi, hormis quelques regards en coin. Je m'applique à
devenir le plus propre possible, n'économisant pas le savon et
frottant énergiquement. Je fais tout cela comme détaché,
comme s'il m'était habituel de me laver ainsi, à l'aide
d'un simple bac d'eau, devant une bonne cinquantaine de personnes. Pendant
tout ce temps Carole reste dans l'arène et m'observe avec affection.
Lors que j'ai fini, elle
vient vers moi et m'essuie lentement. Les gestes de Carole me font du
bien. Elle me parle doucement à l'oreille pour me dire que j'ai
fait d'énormes progrès, que je suis parfait et que je vais
voir comment un garçon tel que moi peut tomber dans la débauche
la plus totale.
- Et je suis certaine que si tu savais
ce qui t'attend, tu t'effondrerais sur-le-champ.
- Pourquoi, qu'est-ce qui va m'arriver ?
- Tu le sauras bientôt, mais pour l'instant, je vais te laisser,
tout le monde ici, et une personne en particulier, veulent savoir comment
s'est passé ton week-end.
Sur ce, Carole se retire, me laissant
une fois de plus seul avec mes doutes. Qui est cette personne qui veut
savoir, plus que les autres, ce qui m'est arrivé pendant le week-end.
Quelles surprises me réservent encore ceux qui ont pris en main
mon destin. On amène bientôt deux téléviseurs
à écran géant que l'on place au centre de l'arène,
sans s'occuper de moi qui suis toujours là, seul, debout dans l'attente
de la suite. Lorsque les écrans sont installés de façon
à ce que tous les spectateurs puissent les voir, la comtesse se
lève et prend la parole.
- Esclave, tu as été
parfait jusqu'ici dans l'arène. Nous allons maintenant voir quelles
ont été tes aventures de ces deux derniers jours. Il faut
que tu saches qu'une surprise t'attend à la fin de cette séance.
Mets toi debout près des écrans, que tout le monde puisse
voir quel est l'acteur de ces séquences qui ont été
filmées par notre ami Alex.
C'était donc ça, tous
les films pris par Alex depuis vendredi soir vont être diffusés
maintenant dans l'arène. Je me vois, là, nu, debout, mon
image renvoyée par les miroirs entourant l'arène, attendant
de voir mes ébats diffusés devant de nombreuses personnes.
Tout à coup, la lumière baisse pour plonger la salle dans
le noir, comme au cinéma. Un cinéma dont je vais être
l'acteur. Mais autre chose me trouble plus encore. C'est la surprise qui
m'attend, et qui est cette personne dont m'a parlé Carole
tout à l'heure...
Les écrans s'allument, l'image
est renvoyée partout dans les miroirs de l'arène. Je reconnais
tout de suite l'endroit, le magasin où j'ai acheté mon string
vendredi à midi. J'apparais bientôt sur l'image. Rien ne
va donc m'être épargné, je vais revivre ici toutes
mes aventures. Je reste là, comme tétanisé, me regardant
descendre aux enfers. D'abord le magasin, puis chez mes Nouveaux Maîtres.
Même certaines séquence dont je n'ai jamais soupçonné
qu'elles aient pu être filmées, comme mon déshabillage
dans l'entrée ou le repas de vendredi soir à l'auberge.
A la vue de ces images, je sens mon sexe se soulever lentement, au rythme
de mes pulsations cardiaques, qui s'accélèrent de plus en
plus. Lorsque la séquence, dans le bois, où j'ai prononcé
le désir de me faire prendre arrive, je peux enfin compter le nombre
d'hommes qui m'ont utilisé. Neuf ! J'ai été pris
par neuf hommes, à la chaîne. Moi à quatre pattes,
souvent un sexe dans la bouche. Par deux fois, ils sont même venus
jouir dans ma bouche. La fellation que j'ai prodigué ce matin à
mon réveil termine la projection. Les lumières se rallument.
Je suis là, le sexe fièrement
dressé maintenant, les gens applaudissent. Ce film a certainement
duré plus de deux heures, deux heures ou je n'ai pas arrêté
de bander. Je ne sais pas quelle heure il peut être. J'ai perdu
toute notion du temps. Mais après une courte réflexion,
je me dis que lorsque je me suis réveillé, le soleil était
déjà levé depuis un bon moment, il était peut-être
dix heures. L'après-midi doit être bien entamé maintenant.
Je n'ai rien mangé depuis hier soir.
Les téléviseurs sont
sortis de la pièce. Mon sexe retrouve son état normal. C'est
étrange, cette sensation de frustration, de ne pas jouir alors
que je ne suis là que pour faire jouir les autres. Mais j'adore
ça. La comtesse entre et vient me parler.
- Je crois que nous avons tous particulièrement apprécié
ce spectacle. Toi aussi je pense. Tu as découvert de nombreuses
sensations ce week-end. Tu en connaîtras d'autres avant la fin de
cette journée, fais moi confiance. Mais en attendant, peut-être
veux tu te reposer un peu, tu es debout depuis longtemps.
- Oui, merci, j'aimerai aller aux
toilettes.
- Mais pas de problème.
J'aurai du me douter que cette proposition
cachait quelque chose. J'aurai dû savoir que la Comtesse ne propose
jamais aux esclaves un peu de répit. A la rigueur elle leur ordonne
le répit... J'ai encore décidément beaucoup de choses
à apprendre.
Chapitre XIV : Surprise.
--------------
- Qu'on lui amène un pot de
chambre !
- Quoi ? Ici ? Mais...
La gifle stoppe toutes mes protestations.
Cela aussi j'aurai dû m'y attendre. Et j'aurai dû le savoir,
on ne proteste jamais. Il va donc falloir que j'urine là, devant
tout le monde. Je ne pourrai jamais le faire. Et pourtant, plus je me
dis que je n'y ariverai pas, et plus l'envie de pisser est forte. Alors
qu'un homme pose un pot de chambre en porcelaine à mes pieds, la
Comtesse se met derrière moi et me caresse lentement les fesses.
- Allez, ne nous fait pas attendre.
- Mais, je ne peux pas...
- Détends toi, ou dois-je te
donner la fessée ?
- Non Comtesse, j'essaie.
Effectivement j'essaie. Je me dis
que de toute façon, les gens présents dans cette arène
ont tous assisté à mes ébats de tout à l'heure
ainsi qu'à la projection du film. Et comme je n'ai pas uriné
depuis que je me suis levé ce matin (on ne m'en a pas laissé
le temps). L'envie et la plus forte et un long jet d'urine sors bientôt
de mon sexe. Je n'ai jamais eu aussi honte, même pas dans la boutique
hier pendant l'essayage.
- Stop !
- Pardon ?
- Arrête toi de pisser ! Tout
de suite.
Il me faut faire un effort quasi surhumain
pour m'arrêter. Mais au bout d'une seconde ou deux, mon jet d'urine
se tarit. L'envie de pisser est encore plus forte. Quelle folie va-t-il
encore m'arriver, pourquoi me faire pisser ainsi, devant tout le monde,
pour ensuite me dire de m'arrête
r ? Est-ce juste pour voir si j'en suis capable ? Je ne sais pas.
La comtesse me passe un bandeau sur
les yeux. Je ne vois plus rien, je suis vraiment désorienté.
Au bout de quelques secondes, une main se saisie de mon sexe du bout des
doigts. La voix de la Comtesse m'ordonne de recommencer de pisser. Je
me lâche donc, le sexe dans cette main inconnue. Je suis tombé
bien bas, une fois de plus, je me dis que je suis arrivé au bout,
qu'il ne peut rien m'arriver de pire.
Et pourtant...
Tout à coup, une main me retire
le bandeau que j'ai sur les yeux.
Mon cur s'arrête à
la seconde ou je découvre le visage de la personne qui me tient
le sexe. Je n'arrive pas à y croire. Ma vie est terminée,
je ne pourrais plus me regarder en face. Cette personne n'est autre que
Soraya, ma copine, l'amour de ma vie. Elle me regarde en silence. Une
larme coule lentement du coin de son il droit. Je ne sais pas quoi
dire. Ma tête explose de question. Comment a-t-elle su que j'étais
ici ? Comment vais- je lui expliquer ? Va-t-elle toujours vouloir de moi
après ça ? Et pourquoi n'a-t-elle rien fait pour arrêter
tout cela ? N'est-elle pas partie pour le week-end ?
Alors que je tente de bredouiller
son nom, elle murmure un "chut" amoureux et m'embrasse. Je tremble.
Mon envie de pisser s'est évidemment arrêtée. Elle
me regarde comme si c'était la première fois qu'elle me
voyait, et aussi la dernière. Elle me découvre. J'ai peur,
je suis persuadé qu'elle ne va plus vouloir de moi.
- Je t'aime Julien.
- M... M... Moi aussi Soraya.
Voilà tout ce que je trouve
à dire, "Moi aussi". C'est d'une platitude inégalable
en un instant pareil.
- Je ne croyais pas que tu sois capable
de tout ça.
- Mais...
- Tais toi. Tu voulais connaître la soumission. Tu connais.
- Comment as-tu appris ?
La discussion a duré ainsi
quelques minutes, pendant lesquelles elle n'a pas lâché mon
sexe. Elle m'a tout raconté. Comment elle avait réagit la
seule et unique fois ou je lui ai parlé de mes désirs de
soumissions. Comment à force de réflexion, elle s'est rendu
compte que c'était aussi ce qu'elle désirait. Comme je discute
souvent sur Internet, elle s'est arrangée pour entrer en contact
avec des gens qui pourraient me donner un premier aperçu de la
soumission. Son choix s'est porté sur Carole et Alex. Elle leur
a parlé de moi et ils se sont arrangés entre eux pour que
je crois notre rencontre sur ce forum due au hasard. Et vendredi soir,
c'est avec Soraya qu'Alex discutait sur le forum Internet.
Et moi qui était certain avoir
tout choisi. J'étais persuadé de les avoir sélectionné.
Mais non. Et a bien y réfléchir, ils sont les seuls que
je n'avais pas rencontrés sur un forum dédié au BDSM.
Ils ont su faire venir la discussion là où ils voulaient
qu'elle aille. Depuis le début je n'ai fait que suivre les désirs
de Soraya. C'est tout elle ça ! Tout ou rien ! Faire de Julien
un objet sexuel ? Qu'à cela ne tienne ! Un week-end chez Carole
et Alex (qu'elle a rencontré de nombreuses fois) est la meilleure
des façons de commencer.
C'est ce moment là que choisit
la Comtesse pour intervenir.
- Julien, je pense que tu devrais
t'agenouiller devant ta nouvelle maîtresse.
- Oui, mets toi à genoux devant moi.
Sans hésitation aucune, je
m'agenouille et baisse la tête.
- Définitivement, j'aime te
voir ainsi Julien. Le corps entièrement rasé est une chose
que j'apprécie particulièrement. Il faudra que tu veilles
à rester parfaitement imberbe dorénavant. Et je suis persuadé
que Carole et Alex n'apprécieraient pas de te voir autrement
- Qu ... Quoi ?
- Mais oui. Nous allons certainement
les revoir souvent. Ce qu'ils ont fait de toi ce week-end m'a énormément
plu. A partir d'aujourd'hui, tu seras mon plaisir, mais aussi le leur.
- .... Bien ....
- De toute façon tu n'as pas
le choix, à compter de maintenant tu n'as plus aucun pouvoir sur
moi. Je vais vivre comme je l'entends. Toi aussi d'ailleurs... tu vivras
comme je l'entends !
- Je ferais ce que tu voudras, je t'aime.
- Heureuse de te l'entendre dire.
Après quelques secondes ou
son regard a été plongé dans le mien, elle s'assoit
sur une chaise, amenée là comme par hasard au bon moment.
J'ai honte, je suis là, aux pieds de celle que j'aime, et elle
sait maintenant tout de ce que je croyais lui cacher. Pour me montrer
que je suis devenu pour elle un objet de plaisir, elle saisit ma tête
et la porte entre ses jambes après avoir relevé sa jupe.
- Lèche-moi, et Fais-moi jouir
!
Fin.
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J'espère que ce texte vous
aura plu.
Ce texte est le reflet de mon imagination
à un moment donné. Il m'a fallu quasiment un an pour le
terminer. Et en le relisant, je me rends compte qu'en fait il ne fait
que commencer... Au fil des lignes et des paragraphes, je me suis souvent
surpris. Je ne m'attendais pas à me voir subir tout cela. De tous
ces fantasmes, celui qui m'a le plus étonné, et peut être
aussi celui que j'ai le plus aimé écrire (mais certainement
que les deux sont liés) a été celui où j'ai
servi de dessert. Je n'y avais jamais pensé avant de l'écrire.
Il faut que je dise ici que souvent
je ne savais pas ce qui allait se passer 10 lignes plus loin. Mais je
ne suis pas mécontent du résultat. Il ne manque qu'une chose
à ce texte. Je pense que le lecteur un peu avisé devinera
vite quoi ;) En effet, Ce texte sort de mon imagination. Il me faut maintenant
faire sortir la réalité de ce texte. En bref, réaliser
tout cela est pour moi la prochaine étape. J'ai bien conscience
que ce ne sera pas aussi facile. Mais je compte bien m'y employer rapidement,
la
chose la plus difficile étant de trouver les partenaires adéquats.
Je suis évidemment ouvert à
toute critique, tout commentaire, ou même mieux, à toute
proposition...
(Note du webmaster: Pour écrire
à Julien, nous lui ferons parvenir tout email qui nous sera envoyé.)
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