chapitre
1. L'admission.
Il était 16h30, lorsquélise
gara sa voiture sur le parking de l'hôpital.
Cette jeune femme de 24 ans, avait subit il y a quelques temps, une petite
intervention chirurgicale, et devait refaire des examens pour vérifier
que l'intervention donnait tous les résultats sans complications.
Elle sortit de son véhicule, prit le petit sac où elle y
avait glissé quelques affaires, et se dirigea vers le grand perron
du bâtiment principal.
Une fois au guichet d'accueil, elle expliqua son cas à l'hôtesse
qui la reçut.
"- bonjour madame, je dois être
admise en chirurgie pour une intervention demain matin.
- avec le docteur..... demanda lhôtesse.
- le professeur Dolose. Répondit élise en consultant
ses papiers.
- euh le professeur Dolose est souffrant, on ne vous a pas prévenu?
Linterrompit lhôtesse.
- euh non. Sétonna élise.
- Bon, un instant je vais me renseigner. Dit lhôtesse.
- merci vous êtes bien aimable."
L'hôtesse décrocha son
téléphone, et composa un numéro.
"Bonjour, c'est Sylvie à
l'accueil principale, dit-elle, j'ai une dame qui devait être admise
pour le professeur Dolose, il est rentré?
Ah d'accord, bien je l'a préviens et l'envoie. Merci, bon
courage."
Elle raccrocha.
"- bien, apparemment le professeur Dolose est toujours en arrêt
mais c'est le professeur
Mutulida qui reprend ses patients en attendant son retour. Expliqua
lhôtesse en se tournant vers élise. Cependant, il n'opère
pas dans cette aile de l'hôpital.
Il vous faut aller dans l'aile sud, au premier étage, unité
4.
-bien merci. Répondit élise toujours sous le coup de la
surprise.
- prenez le couloir là bas, et longez-le jusqu'à la troisième
entrée puis prenez lascenseur. Continua lhôtesse
en pointant du doigt un couloir.
- d'accord merci madame."
Elise emprunta donc le couloir indiqué
et le longea. Au
Fur et à mesure qu'elle avançait, elle se sentait mal alaise,
comme si quelque chose aller lui arriver, si elle continuer.
Une fois dans l'ascenseur, elle appuya sur le bouton du premier étage,
Quand les portes se fermèrent elle hésita à faire
demi-tour, tellement elle avait l'impression bizard de marcher sur un
chemin dangereux.
Les portes se rouvrirent. Élise sorti et se trouva face à
un guichet d'accueil.
" Bonjour madame, lui dit l'hôtesse
qui se trouvait derrière le guichet.
- bonjour je viens pour... commença élise.
- je sais vous venez pour une admission avec le professeur Mutulida? Reprit
lhôtesse en souriant.
-euh oui. Répondit élise en sursautant.
- on m'a prévenu de votre arrivée. Je vais vous demander
de remplir ce dossier puis je vous ferai signer les papiers d'admission.
Dit lhôtesse en sortant
des papiers.
- d'accord merci.
Élise pris le dossier et le
compléta sans difficulté majeure. Elle commençait
à avoir l'habitude de ce type de paperasse.
" Voilà madame Dit
élise en tendant le dossier rempli;
- merci beaucoup, voilà signer ici, là, et encore ici
Élise parapha les documents
sans trop les lire, connaissant leurs contenus.
" Bien, je vous emmène
à votre chambre. Veuillez me suivre s'il vous plaît. Annonça
lhôtesse en se levant et rejoignant élise devant le
guichet.
C'est une chambre individuelle. Reprit-elle.
Élise suivit l'hôtesse
qui s'arrêtant devant une porte et l'ouvrant annonça
Voilà c'est ici chambre 162.
Mettez vous à l'aise quelqu'un va passer un peu plus tard.
- oui. Répondit élise en entrant dans la pièce.
- je vous laisse vous installé. Si vous avez besoin, n'hésitez
pas.
Lhôtesse sortit de la chambre,
laissant élise seul.
Elle observa ce qui composait le mobilier, un lit, une petite table de
chevet sur lequel était posé un téléphone,
un placard, un téléviseur en hauteur...
Élise s'assit sur le lit, puis sorti les affaires de
son sac. Quelques culottes, des soutient gorges, des teeshirts. Une petite
trousse de toilette elle
rangea dans le placard les habits qu'elle avait amenés, et mis
la trousse de toilette dans la salle de bain.
Elle s'allongea sur le li, en réfléchissant à sa
situation, à ce pressentiment de danger qui ne la quitté
plus.
Environs 45 minutes plus tard, on frappa à la porte.
Entrez! Dit élise dune
petite voix.
- bonjour madame, je viens prendre votre tension et voir les détails
du déroulement des évènements pour demain. dit un
infirmier en entrant et en refermant
la porte derrière lui.
Comment allez-vous? Demanda t il?
- euh ça va, un peu peur mais ça va. Dit élise en
hésitant.
- oui je comprends l'angoisse d'avant l'intervention. Répondit
linfirmier en souriant.
Ne vous inquiétez pas le professeur est au courant de la situation,
et je puis vous assurer que c'est l'un des meilleurs de la région.
Pour ce qui est du déroulement de demain. Vous devrez être
à jeun à partir de minuit, vous ferai votre toilette à
7h
Et à partir de 8H vous devrez être prête pour partir
au bloc opératoire.
- oui, acquiesça élise, combien de temps doit durer l'intervention?
Environs une à deux heures. Répondit linfirmier.
- d'accord.
- bien maintenant avez vous des objets de valeurs à mettre au coffre
fort?
- euh non.
- bien je vais prendre votre tension. Dit il en attrapant le bras d'élise.
Tout de suite élise eu un frisson qui lui traversa tout le corps.
- bien 12.8 c'est normal. Annonça t il.
Je vous laisse dans la salle de bain une chemise de nuit de l'hôpital;>
- mais j'en ai apporté une ? Sétonna élise.
- non ça n'est pas la peine, linterrompit linfirmier.
- il faut que vous mettiez celle ci quand même je suis désolé.
- ah bon. Dit élise à la fois surprise et de plus en plus
mal alaise.
- allez vous changé je vous attends.
Élise entra dans la salle de
bain, referma la porte, et commença à se déshabiller.
Une fois nue, elle enfila la petite chemise et l la boutonna par
derrière.
la chemise était à la fois assez large pour lui permettre
de faire des mouvements sans être gênée, mais lui arrivait
juste au haut des cuisses.
Elle pensa :
" Si Bernard me voyait, il me
trouverait sans doute excitante comme ça. "
Après avoir remis ces affaire
sur le petit meuble, elle retourna dans la chambre où se trouvait
toujours l'infirmier;
Dès qu'elle vit son regard se posait sur elle, élise rougit.
En effet c'était la première fois que depuis son mariage
Avec Bernard, qu'elle se montrait pratiquement nue devant un homme.
" Venez vous allongez sur le lit
s'il vous plaît je dois prendre votre température et vous
faire une prise de sang. Linvita linfirmier. Vous serez
mieux installé.
Élise obtempéra, tandis que l'infirmier, releva le dossier
du lit.
Elle s'allongea sur le lit, l'infirmier approcha une table roulante et
prépara le bras, puis piqua.
Élise ne pu retenir un sursaut et une grimace.
" Je vous ai fait mal? Demanda t il.
Non, non ça va j'ai était surprise c'est tout. Répondit
la jeune femme.
- bien maintenant je vous allonge complètement reprit il, allez
y mettez vous sur le coté. Voilà, comme ça,
je vais prendre votre température.
Voilà, ne bougez plus c'est très bien.
en disant cela l'infirmier souleva
le bord de la chemise et insinua le thermomètre entre les fesse
d'élise.
Le bout de l'appareil tâtonna afin de trouver son orifice puis rentra
en douceur.
Élise, senti une petite vague
de plaisir et de honte mélangés, en sentant le thermomètre
rentrer en elle et se sachant observer dans sa simple petite tenue.
Après un moment, l'infirmier retira le thermomètre,
Bien vous n'avez pas de température.
Annonça t il. Vous pouvez vous rallonger normalement.
Élise se remit sur le dos puis
le dossier fut remis en position oblique.
" Glissez vous sous les couvertures,
pour ne pas avoir froid. Linvita t il en souriant. Votre repas va
arriver d'une minute à l'autre, profitez en et reposez vous. "
Linfirmier sorti.
Élise passa ses pieds sous les couvertures, et remonta celles ci,
jusqu'au milieu de ses cuisses.
Après avoir diné et que le repas ait été
débarrassé, élise se dit qu'elle allait passer
au toilette et se remettre au lit pour lire avant de dormir.
Elle repoussa ses couvertures et c'est à ce moment là qu'elle
s'aperçu que sa chemise avait sans qu'elle s'en rende compte remonté
sur le bas de son ventre
Sans doute lorsqu'elle s'était rallongé après la
prisse de température. Mais alors, cela voulais dire aussi que
son
Intimité avait été à la vue non seulement
de l'infirmier mais aussi des personnes qui lui avait apporté et
débarrassé son plateau repas.
Elle eu honte d'une telle impudence, elle qui ne se mettait nue juste
que lorsqu'elle était seule ou avec son Bernard.
Elle se leva, passa au toilette, et revint s'allonger.
Une fois allongée, elle passa sa main sous sa chemise et commença
à se caresser les seins car malgré la honte de se savoir
la chatte exposée à tous Les regards, cela l'excitait énormément.
Elle tripota ses tétons, en tirant dessus, les pinçant,
elle poussa un petit soupire de plaisir, et avec son autre main passa
un doigt sur sa chatte qui
Commençait à s'humidifier dexcitation.
Elle fit rentrer un de ses doigts dans sa fente maintenant complètement
trempé de désire, et entrepris des va et viens.
Le plaisir monta en elle avec une vitesse qui la surprise totalement,
et elle ne tarda pas à jouir en grognant de satisfaction.
Elle reprit ses esprits après quelques instants, et réalisa
qu'elle aurait pu être découverte par quelqu'un, mais elle
s'en fichait elle était
Bien fatigué, mais soulagé également.
Elle se mit sous les couvertures et ne tarda pas à s'en dormir
profondément.
chapitre 2. Le bloc opératoire.
7 heures. On frappa trois coups à
la porte.
« Bonjour madame, dit l'infirmier
en entrant. »
Élise ouvrit les yeux en sursautant.
« Bonjour madame il faut
vous réveillé il va être temps de votre toilette,
répéta celui-ci.
Tout d'abord je prends votre tension et votre température.
Ne bougez plus. »
Élise à moitié
éveillé ne réagit pas tout de suite. Elle senti que
l'infirmier prenait son bras, installait le tensiomètre puis le
retirait après avoir
pris sa tension.
« Tournez vous sur le coté
s'il vous plaît, lui demanda t-il. »
Élise obéit sans discuter.
Elle sentit à nouveau le thermomètre s'insinuer en elle
puis ressortir après quelques instants.
«- Bien ça va madame?
Vous vous sentez bien? Demanda t il.
- Euh oui ça va aller merci il me faut quelques instants s'il vous
plaît répondit élise, encore engourdie par la nuit.
- Daccord! bien sur!
- Mvoilà j'arrive dit-elle en se redressant.
- Je vais vous emmenez en salle de toilette.
- Pourquoi je ne me prépare pas dans la salle de bain de la chambre?
Sétonna la jeune femme.
- Non venez. Dit linfirmier en secouant la tête.
- Mais, Mais. La fois dernière je me suis préparé
juste là? Protesta telle.
- Pas cette fois ci madame allez allons y! reprit-il sur un ton
plus sec. »
Élise, toujours sur le coup
de l'étonnement, suivit l'infirmier dans les couloirs.
Après avoir tourné pendant 2 à 3 minutes dans des
couloirs interminables et zigzaguant à travers des salles et des
chambres, l'infirmier s'arrêta devant
une porte qu'il ouvrit, puis entra.
Élise lui emboita le pas. Elle se trouva dans une pièce
comportant des portes manteaux, un petit banc.
«- Voilà je vous
laisse vous déshabiller et dès que vous êtes prête,
vous me rejoindrez dans la pièce devant vous. Déclara t-il
en lui indiquant le banc.
- Euh, je, je.
- Oui, reprit il en la fixant dans les yeux, vous vous déshabillez,
vous laissez votre chemise aux portes mentaux, et vous venez dans la pièce
à coté.
- Euh bon d'accord, hésita élise. »
Élise, restée seule,
s'assit sur le banc, se demandant ce qui lui arrivait.
Le pressentiment d'hier était revenu encore plus fort, plus pressant.
Elle déboutonna sa chemise et
se rassit. Le contact de ses fesses sur le métal froid la fit frissonner.
Après une minute, élise se leva, puis se dirigea vers la
porte, et passa dans l'autre pièce;
Elle observa autour d'elle. Une table d'examen, un placard métallique,
une chaise et une cabine de douche. Le blanc des murs augmenté
par la luminosité
des néons lui fit mal aux yeux pendant quelques secondes.
Linfirmier entra par une autre porte
« Bien je viens vous apportez
le produit avec lequel vous devez vous laver intégralement les
cheveux y compris je vous laisse aussi une serviette pour vous
essuyer. Déclara t il en tendant à la jeune femme un flacon
et une serviette. Dès que vous aurez fini, je vous demanderai de
bien vouloir venir vous asseoir
sur la table d'examen et je vous aiderez à
Mettre la tenue de bloc. »
Élise pris le flacon que lui
tendait l'infirmier et entra dans la cabine de douche.
elle fit couler l'eau, et au contact de celle ci ses tétons se
durcirent, ce qui provoqua un frisson de plaisir qui parcourut tout le
corps de la jeune
femme.
Elle se savonna longuement et se rinça.
Malgré le stress qui l'avait envahi depuis qu'elle était
arrivée dans cet hôpital, l'eau chaude qui coulait sur son
corps lui faisait du bien et la détendit petit à petit.
Une fois essuyer avec la serviette que lui avait préparé
l'infirmier, élise sortit et vint se placer sur la table.
Linfirmier entra en portant un paquet plastique fermé.
Il le déposa sur la chaise à coté de la table et
l'ouvrit.
Il déplia une chemise en pvc et aida élise à l'enfiler,
puis la boutonna dans son dos.
La chemise tombait à mi cuisses.
« Maintenant allongez vous.
Dit-il. »
Élise se coucha donc.
Linfirmier tourna la tête de la jeune femme afin de lui nettoyer
les oreilles, puis nettoya son nombril, et enfin vérifia
l'état des ongles des mains
et des pieds,
« Voilà s'est pratiquement
fini. Reprit-il.
Rasseyez-vous. »
Il lui mit aux pieds des chaussons
en pvc, lui posa sur la tête un bonnet dans la même matière,
qui recouvrait les oreilles de la jeune femme.
« Ne bougez pas je reviens
de suite. Demanda t il en séloignant.»
Il sorti et revint en poussant un fauteuil
roulant.
« Je vais vous portez pour
vous mettre dedans car à partir de maintenant vous n'avez plus
le droit de poser le pied par terre, puisque vous êtes prête
pour
le bloc. »
en disant cela, il passa un bras sous
les cuisses d'élise, et l'autre derrière sons dos. Il la
souleva, et la déposa dans le fauteuil.
Il plaça un drap sur les jambes de la pauvre élise, qui
reprise par le stress, commençait vraiment à se demandait
quelle était cette cérémonie, qui n'avait d'ailleurs
pas eu lieu la fois précédente.
Le fauteuil s'ébranla, et élise ne sachant plus quoi, ni
où elle allait, se vit partir et longeait à nouveau d'autre
couloirs.
Elle rentra dans une pièce assez sombre et le fauteuil s'arrêta
juste devant un brancard.
Linfirmier repris élise, la souleva, et l'allongea sur le
brancard.
Ouvrez la bouche ! Lui demanda
t il. Je vous mets un produit, vous le gardez pendant 10 secondes sous
la langue avant de l'avaler.
Élise avala le produit, elle
eu un haut le cur.
« - Vous avez un souci?
Vous devez vomir? Lui demanda t-il?
- Non, non, c'est le produit
- Oui il n'est pas très bon au goût je sais. Samusa
linfirmier.
- Cest le moins que l'on puisse dire, répondit élise
avec une grimace.
- Maintenant levez les pieds je vais vous injecter un produit pour vous
détendre. »
Élise sentit la pointe d'une poire se poser sur son petit trou,
et entrer de quelques millimètres.
Elle sentit un liquide froid
entrer en elle et remonter dans son ventre.
« Voilà, je n'ai plus
qu'à vous mettre en place votre bracelet d'identifications et vous
serez tout à fait prête. »
Il fixa à la cheville droite
et au poignet gauche de la jeune femme, un bracelet, plastifié.
« - Vous avez la référence
KX48C, annonça t-il.
- Et c'et quoi ce numéro? Demanda élise surprise.
- Cest juste pour vous identifier ne vous inquiétez pas.
Répondit-il.
Cest mon collègue qui viendra vous prendre et vous emmenez
au bloc opératoire.
Voilà je vous mets ce drap sur vous pour que vous n'ayez pas froid.
Je vous souhaite bon courage et n'oubliez pas vous ne devez plus poser
le pied par terre pour l'instant si vous avez besoin tirez sur la sonnette.
- Merci, dit élise timidement avec une voix inquiète. »
La porte se ferma
Élise se mit à réfléchir.
Elle se dit :
« Mais qu'est ce que je
fais ici?
Pourquoi suis-je ici?
La dernière fois ce n'était absolument pas du tout comme
ça?
Que me veut-on ?
Et pourquoi cette tenue si bizard? »
À force de réfléchir,
l'angoisse montait, et au bout d'un moment une larme perla sur son visage.
Elle pleura doucement sans bruit angoissée comme jamais elle ne
l'avait été.
Au bout d'un moment les produit qu'on lui avait donné commencèrent
à faire effet, et la firent se calmer.
Si bien qu'elle commença à se sentir flottante.
Après une demi-heure un homme entra.
«- Bonjour, je viens vous
cherchez pour aller au bloc, lui dit-il d'un ton solennel,
Aller on y va,
- Moui, souffla élise. »
Élise se sentit partir et vit
les néons défiler au dessus d'elle
Elle aurait voulu se lever et partir à toutes jambes mais elle
ne sentait plus ses muscles, comme si elle ne pouvait plus bouger.
Elle s'arrêta, et repartit pour monter dans un ascenseur.
Elle senti qu'elle descendait, puis elle repartit, après quelques
minutes elle s'arrêta.
Elle entendit une porte s'ouvrir puis elle sentit de nouveau qu'elle avançait.
Le drap qui était sur elle fut enlevé.
« -Vous pouvez vous asseoir?
lui demanda l'homme.
- Euh je vais essayer
- Je vous aide allez y! lui dit-il en la saisissant par les bras.
Voilà c'est bien
Maintenant on va se mettre sur la table à coté allez y
Voilà. »
Élise sentit les boutons de
la chemise se séparer et celle-ci tomber vers l'avant.
Lhomme qui l'avait conduit dans cette pièce l'aida à
l'enlever.
Puis il la rallongea
Élise était maintenant à l'exception des chaussons
et du bonnet, complètement nue sur la table.
Tout tournait dans la tête d'élise. Son stress, les médicaments,
lui faisaient progressivement perdre le contact avec la réalité.
Elle senti qu'on lui passait un brassard de tensiomètre et qu'on
lui posait des électrodes sur la poitrine.
On lui prit la main et elle sentit la piqure aiguë d'une aiguille
qui s'enfonçait dans sa peau. Mais elle était trop assommée
pour réagir.
Ses yeux s'obscurcirent lorsquon lui posa un masque sur le visage.
Lodeur qu'elle respirait la prit à la gorge et lui fit tourner
la tête. Plus elle respirait au plus sa tête tournait.
Les voix commencèrent à se déformer, puis ce fut
le noir, elle sombra dans l'abîme de son inconscient.
chapitre 3. Le réveil.
Il était 12 Heures 30, quand Élise reprit ses esprits.
Elle se sentit très faible.
Elle essaya de bouger la main, puis le bras, rien à faire, l'autre,
même chose.
Les pieds, elle ne parvint à peine qu'à les faire
pivoter.
Elle ne voyait rien, c'était le noir devant ses yeux.
Elle tenta de parler. Sa bouche, elle ne la sentait plus.
Aucun son ne sortit.
Elle n'entendit qu'un bip régulier, et un bruit de pompe.
Au bout de quelques minutes, les sensations revinrent petit à petit.
Elle se rendit compte que dans sa bouche passait un tuyau qui ne lui permettait
plus de parler.
Elle comprit alors que le bruit de pompe, venait de ce tuyau, mais pourquoi,
pourquoi elle ne pouvait pas bouger?
La mémoire lui revint soudainement. Lhôpital, la préparation,
les médicaments, la tête qui lui tournait, les électrodes
qu'on lui posait sur le corps,
le masque...
Elle réalisa que le bip venait de l'électrocardiogramme,
et le bruit de pompe de la machine qui l'aidait à respirer.
Peu à peu ses yeux reprirent vie, et elle aperçut la lumière
qui était au dessus d'elle.
Elle entendit des pas qui approchaient.
" Bonjour madame, je vois que
l'on est réveillé?"
Linfirmière qui venait
de rentrer, saisit les mains d'Élise.
" Vous pouvez serrer ma main?
Lautre maintenant?
Bon c'est très bien ça.""
Élise aperçut le visage
de l'infirmière qui se penchait sur elle.
Et l'interrogeait du regard.
" Madame, ça va? Vous savez
ce qu'il s'est passé? Cligner une fois pour oui et deux pour non.
Bon, ne vous en faites pas, l'intervention s'est bien passée,
le professeur va venir vous voir tout à l'heur.
Reposez vous maintenant, vous en avez besoin. Je reviendrai vous voir
plus tard."
Le visage de l'infirmière disparut
du champ de vision d'Élise.
Les pas s'éloignèrent.
Élise, restée seule, encore sur le coup de l'anesthésie,
malgré l'angoisse qui la reprit, fini par se rendormir.
Elle fut réveillée par des voix :
"- Eh Jean Jacques, apporte la
bassine ste plaît y'a la LP31v qui a un souci.
- ok j'arrive.
- merci gars, tu finis à quelle heure ton service aujourd'hui?
- 14 heures et toi?
- même chose.
- ya la kx48C dont il faut faire la toilette d'après bloc et vérifier
son pansement.
- Ok on va y aller ensemble dès que j'ai fini."
Élise sursauta.
Elle se souvint des paroles de l'infirmier qui l'avait préparé
ce matin.
"KX48 C, c'est moi ça.....
se dit-elle."
"- bon t'as fini Gilles?
- Ouais Jean Jacques, 3 secondes....
- j'ai du boulot moi
- ben moi aussi t'excite pas comme ça gros, j'arrive."
Les deux hommes rentrèrent dans
la pièce où se trouvait Élise.
Ils s'approchèrent.
" - ah merde elle est encore intubé
pff Anne est pas encore passée ou quoi? dit le premier.
- ben j'en sais rien moi, attend je l'appelle à l'interphone. Répondit
l'autre"
Il s'approcha de l'interphone et décrocha.
" Anne, c'est Gilles, j'suis avec
Jean Jacques pour la toilette d'après bloc de la kx48c,
Elle est encore intubée c'est normale, on la laisse comme ça
et on attend un peu, ou on peut l'ex tuber?"
La voix dAnne retentie dans la
pièce par un petit haut parleur.
« - Non vas y ex tube
la. Son volume est normal? Demanda-t-elle.
- euh oui, dit Gilles hésitant
- son scope aussi?
- oui, déclara t-il en consultant l'écran devant lui.
- ok alors vas y je viendrai la voir lorsque vous aurez fini, dit-elle. »
Gilles raccrocha, et revint près
de la table où se trouvait Élise.
"- Bon c'est bon on y va. Tu l'ex
tube ou je le fais, demanda t-il à son collègue?
- comme tu veux.
- ben fais le t'as plus l'expérience dans ce truc là.
- ok, acquiesça Jean Jacques. »
Jean Jacques s'approcha de la tète
d'Élise
« Bonjour madame, dit-il,
je vais vous enlever ce tube. Vous aller prendre une grande inspiration,
et quand je vous le dirai, vous soufflerez très fort.
Allez on va y aller.
Attention, on inspire, allez y soufflez!"
"Voilà c'est très bien, n'essayer pas de parler pour
l'instant, votre gorge est encore congestionnée par le tube."
Après quelques instants, Gilles
se tourna vers Jean Jacques, et demanda:
"-bon on la fait cette toilette?
- aller on y va, répondit Jean Jacques.
Je retire les électrodes madame, ça va peut être tiré
un peu dit-il, en tirant sur les électrodes qui ornaient le corps
de la jeune femme. »
Au contact des mains, de linfirmier,
sur son corps, Élise frémit.
Ces tétons pointèrent au bout de quelques secondes.
"- Et ben mon pépère
on dirait que tu lui fais de l'effet, s'amusa Gilles?
- oh ça va hein, répondit sèchement Jean Jacques.
- ben regarde moi ça n'en profite pas je te surveille, recommença
Gilles. »
Élise ne sachant pas trop ce
qui lui arrivait, ne pouvant pas bougez du tout, se contracta lorsque
les mains
Des infirmiers passèrent leurs gants de toilette, sur ces jambes.
Cela lui faisait du bien mais bientôt les gants remontèrent
et l'un d'eux passa entre ses cuisses.
Elle voulu protester, lorsque le gan de toilette, après être
passé plusieurs fois sur
Lintérieur de ses cuisses, vint se frotter délicatement
sur son pubis et glisser lentement sur sa fente.
" Non ne parlez pas, laissez vous
faire, dit doucement Gilles"
Le gant de toilette était passé
à plusieurs reprises maintenant sur son bouton et Élise
commença à sentir que malgré elle, ces caresses
résonnaient dans
sa tête.
"- et ben mon Jean Jacques c'est
qu'elle mouille la cochonne, s'esclaffa Gilles en riant ?
- ah ouais en effet, et pas qu'un peu mon neveu, s'étonna Jean
Jacques.
- et ben Dolose et mutulida ils nont pas pris la plus refroidie?
- non c'est clair, déclara Jean Jacques. »
Gilles et Jean Jacques finirent de
laver consciencieusement Élise puis vérifièrent son
pansement.
"- eh Gilles, appela Jean Jacques
- ouais répondit son compère
- si on vérifié si elle démarre toujours comme ça,
demanda Jean Jacques.
- euh t'es sur hésita Gilles?
- bah aller c'est pour le plaisir, insista Jean Jacques ?
- et si on se fait choppé par mutulida, on pourra pointer à
l'a n p e dès demain tu le sais bien, répondit soucieusement
Gilles.
- pourquoi tu veux qu'on se fasse chopper c'est juste comme ça
pas longtemps ré insista Jean Jacques en donnant un coup de coude
à son compagnon.
- bon ok si tu veux décida Gilles. »
Gilles approcha un doigt de la fleur
d'Élise et passa celui-ci à plusieurs reprises avant
de venir pénétrer l'intimité de la pauvre fille.
" Non je....... Articula péniblement
Élise. »
Élise ne parvint pas à
parler plus longtemps, sa gorge lui faisait trop souffrir, le tube avait
passé un trop long moment dans sa gorge pour que sa voix
soit sans douleur.
Alors, incapable de résister, impuissante contre l'assaut de ce
doigt, Élise subit les caresses et cette pénétration
forcée.
"- Et gros laisse la place faut
que j'en profite un peu moi aussi, dit Jean Jacques en poussant Gilles.
- bon d'accord, vas y elle mouille déjà la coquine,
répondit Gilles. »
Jean Jacques pris la place de Gilles,
et repris les caresses de plus belle. Élise finit par s'abandonner
complètement.
Sa respiration s'accélèra, et après quelques instants,
elle jouit en gémissant, ce qui lui fit horriblement mal à
la gorge.
« - ben t'es content de
toi Jean Jacques, tu l'a fais jouir et maintenant on a plus qu'à
la nettoyer à nouveau, bougonna Gilles.
- oh t'énerve pas Gilles, t'es furieux parce que ce n'est pas toi
qui l'a fait c'est tout, nargua Jean Jacques.
- tu parles..... marmonna Gilles, Bon allez au boulot. »
À ce moment des pas se firent
entendre dans le couloir,
Et Anne apparut.
"- Vous êtes encore là
vous, s'étonna telle?
- Euh ! Euh ! Oui comme tu le vois, dit Gilles en hésitant.
- vous en mettez bien du temps pour faire une toilette, et vérifier
un pansement?
- ben, ben ...bafouilla t-il. »
Anne s'approcha et vit Élise
encore tremblante des spasmes qui
Lui avait secoués tout le corps.
"- Je vois pourquoi vous mettez
autant de temps. Déclara t elle,
Vous savez que le professeur Dolose et le professeur mutulida ne
vont pas vous louper sils voient ça.
- Euh comment veux tu qu'ils le sachent?
- ils sont là! Deux chambres à coté, ils arrivent
d'ici 3 minutes, déclara Anne solennellement.
- pardon?
- oui ils arrivent ce nest pas une connerie.
- merde de merde, de merde!!!!!Quest ce qu'on fait Gilles dit Jean
Jacques affolé?
- ben qu'est ce que tu veux qu'on fasse Jean Jacques? Je ne crois pas
qu'on puisse faire grand choses? »
Au même instant, les deux médecins
apparurent;
"- Bien voici mon cher Claude,
la patiente que tu m'a demandé de te mettre de coté, déclara
l'un des deux médecins.
- ah oui je me souviens, ne la trouve tu pas magnifique, répondit
l'autre?
- Si bien sûr elle te fera un bon modèle.
- oui je pense aussi. Toutes les formalités sont faites?
- Oui toutes. »
Le professeur Dolose s'approcha d'Élise
"- Bonjour, comment vous sentez
vous lui demanda t-il?
- bien, murmura telle
- Alors c'est parfait dit il en la
regardant fixement. »
Le professeur tourna la tête
et son regard tomba sur les cuisses d'Élise.
Il se tourna vers son confrère :
"-tu as fait quelques chose pour
la tester?
- non pas du tout. Pourquoi, s'inquiéta le professeur mutulida
- alors comment ça se fait qu'elle soit dans cet état là,
demanda-t-il sur un ton sec??
- fais voir ça, s'empressa t-il? »
Le professeur mutulida s'approcha,
il se retourna et vit Anne, Gilles, et Jean Jacques qui s'étaient
reculé sans bruit.
"- Puis je savoir ce qui s'est
passé? Pourquoi cette patiente est elle dans cet état?
- Euh, euh, euh... Balbutia Anne.
- et bien parler Anne, alors ça vient?
- c'est eux docteur parvint elle a articuler.
- c'et vous Gilles, c'est vous Jean Jacques? Demanda le professeur en
colère
- euh et veina oui docteur. En faisant sa toilette on a remarqué
qu'elle démarrer très fort et.....
- oui et vous avez voulu en profiter, interrompit il Mmmmmmm vous
savez ce qui vous attend?
- mais docteur c'était pour ....
- vous n'aviez pas à faire ça vous le saviez. Et ....coupa
t-il furieux
- calme-toi Gilbert, intervint le professeur Dolose
- quoi tu va leur pardonner leur faute professionnelle, hurla t-il
- non mais je vais leur donner une chance de se racheter.
- ah ! Ah ! On fera tout ce que vous voudrez docteur dirent
Gilles et Jean Jacques en cur
- bien Anne préparez le transfert et vous deux vous serez chargés
de son accompagnement à partir de maintenant et de la suivre constamment
déclara le professeur
Dolose en s'écartant de la table sur laquelle se trouvait Élise.
- oui bien sûr docteur s'empressa de répondre Anne.
- nous vous rejoindrons sur le lieu d'arrivée.
- Venez mon cher Gilbert passons au patient suivant invita t-il. »
Les deux médecins sortirent
"- Et ben on a eu chaud?
- tu parle ouais
- bon les gars faudrait peut être pensé à la préparer
convenablement maintenant sans faire les dégueulasses, dit Anne
les bras croisés?
- oui c'est vrai t'as raison,
- Allez au boulot
- et moi je prépare son transfert dit elle en faisant demi-tour. »
Anne sorti de la pièce et se
dirigea vers le téléphone et composa un numéro
"- Michel, ici Anne, salut comment
ça va?
- salut Anne, ça va et toi?
- ça va merci dit moi j'ai un transfert pour le professeur Dolose
- ok comme d'habitude?
- Oui référence de la patiente kx48C
- Ok pour quand?
- En fin d'après midi si possible?
- Pas de souci je passe vers 18 heures.
- Bien merci. »
Anne raccrocha et revint dans la pièce
où se trouvait Élise
"- Alors ça avance, demanda
t elle?
- oui stress pas!
- on a fini
- le transfert est pour 18 heures allez vous préparer
Je m'occupe d'elle
- ok à toute à l'heure madame.
- À toute ! »
Élise resta seule avec
Anne.
« - mais, mais, quel transfert,
s'enquit Élise
- pardon?
- Je ne comprends plus dit Élise affolée
- Faites attention à votre voix, dit Anne en posant sa main sur
l'épaule d'Élise
- Mais, mais s'inquiéta Élise
- Vous allez être transférer pour une meilleure prise en
charge ne vous faites pas de souci rassura Anne. »
Élise ne comprenais pas
Elle pensa et se dit :
" Transfert mais où? Pourquoi?
Je fais quoi ici ??? »
Anne l'interrompit dans ses pensées
« - Maintenant il faut vous
reposer madame voulez vous que je vous donne un calmant -
- Non merci dit Élise difficilement
- Bien alors je vous laisse vous reposer et reviens tout a l'heure pour
le transfert. »
Anne sortit, laissant Élise
à son stress et dans son angoisse.
La jeune femme ferma les yeux.
L'angoisse était si forte, elle était encore tellement
assommé qu'elle s'endormi très vite
chapitre 4. Le transfert.
Laprès midi s'achevait
lentement, lorsqu'Élise rouvrit les yeux.
Elle ne savait pas combien de temps, elle avait dormi, mais les médicaments
n'avaient apparemment pas fini de faire
Leur office car elle se sentait encore sans force.
Elle essaya de parler pour voir si sa gorge n'était plus trop douloureuse:
" Ah ! Ah ! Ah !
Ah ! Ça fait encore un peu mal, mais je crois que ça
va mieux"
Elle tourna la tête et aperçu
les machines auxquelles elle était reliée il y a tout juste
quelques heures à peine, rangée contre le mur.
Elle essaya de remettre les derniers évènements quelle
avait vécu dans l'ordre dans sa tête pour essayer de comprendre
ce qui lui arriver.
Elle ne voyait pas pourquoi, elle était arrivée ici dans
cette situation si bizard, oui c'était bien le mot, bizard.
Pendant qu'elle était dans ces pensées, dans une pièce
un peu plus loin, Gilles et Jean Jacques, se préparaient.
« - eh quand même
Jean Jacques, je ne sais pas toi, mais je nai pas vu souvent une
fille monter comme ça dès qu'on la titille, un peu.
- ouais c'est vrai, ça tu l'as dit. Répondit Jean Jacques
à son collègue. Mais on la transfère où
là?
- franchement? Je nen sais absolument rien.
- bon on va se bouger il est bientôt 17 heures 45 et Anne a dit
que le transfert était pour 18 heures environs.
- ouais mais bon sachant pas où on va?
- Mouais sais vrai. »
Tout en discutant, les deux hommes
se préparèrent. Ils enfilaient leurs gants lorsquAnne
entra dans la pièce.
"- Vous êtes prêt
vous deux? Va falloir, y aller?
- oui pratiquement
- ok rejoignez-moi auprès d'elle. Reprit-elle. Et pas dans
30 ans, Michel ne va pas tarder à arriver. »
Anne sorti de la pièce,
emprunta le couloir et entra dans la salle où se trouvait Élise.
Celle-ci était toujours dans ses pensées.
Anne s'approcha
" Madame, il va falloir se préparer
pour votre transfert. Dit-elle. »
Élise sursauta.
« - Euh! Oui! Oh! Mais je
ne comprends pas, je ne comprends plus rien.dit la jeune femme affolée.
- qu'est ce que vous ne comprenez plus? Demanda Anne.
- tout ça ! Pourquoi je suis ici, pourquoi ce
transfert, pourquoi? Pourquoi? »
Élise se mis à sangloter
« - là, ça
va aller, quel est votre nom? Senquit Anne avec une voix douce et
rassurante.
- Élise. Dit la jeune femme entre deux sanglots.
- d'accord Élise, moi c'est Anne.
Ne vous en faites pas c'est normal. Vous êtes là pour que
nous puissions vérifier que votre intervention c'est déroulée
correctement,
Et que vous ne faites pas une rechute, et que tout se passe bien là
dedans.
Cest tout.
Là calmez-vous. »
Tout en disant cela Anne avait pris
la main d'Élise.
"- Mais pourquoi tout ça
pourquoi, suis je dans cet état là? Pourquoi ses sangles...
articula élise, sanglotant de plus belle.
- calmez-vous Élise s'il vous plaît. Les sangles c'est juste
pour que vous ne tombiez pas du brancard c'est tout. Lui répondit
Anne avec calme. Vous savez
c'est pour tout le monde pareil.
- mais la dernière fois ça n'était pas comme ça
aussi.
- - oui je sais mais le professeur mutulida à des règles
très strictes vous savez.
Là calmez vous c'est tout. »
Après quelques minutes Élise
finit par se calmer.
Anne lui sourit.
"- Ça va mieux? Demanda
t elle ?
- euh un peu? Renifla élise.
- bon maintenant il faut se préparer. Dit Anne en souriant.
Je vous défais les sangles pour le moment mais je devrai vous les
remettre après. »
Anne joignant le geste à la
parole laissa la main d'Élise pour retirer les sangles qui entravaient
toujours la jeune femme.
«- Là voilà.dit
elle.
Vous sentez ça-
- Oui.
- - bien, reprit Anne, on va essayer de s'asseoir doucement, je vous aide
là allez y. »
Élise se redressa péniblement.
"- La tête ne vous tourne pas trop? Ça va?
- Un peu mais ça va aller. Répondit doucement élise.
- Bon on va remettre la chemise. »
en disant cela, Anne pris la chemise
en pvc qu'&lise avait dû enfiler avant d'aller au bloc, et l'aida
à la remettre.
« - Vous n'avez pas trop
froid?
- Un peu si.
- Je vous mettrai une couverture pour le transfert.
Je vous laisse 30 secondes je reviens. Je vais chercher le nécessaire
pour vous préparer. »
Anne sorti.
Élise, seule dans la pièce, fit bouger un peu ses mains
et ses bras pour les dégourdir, puis fit de même avec ses
jambes et ses pieds.
Anne revint bientôt avec un paquet plastique fermé hermétiquement
comme celui qu'avait ramené l'infirmier ce matin et dans lequel
Se trouvait les vêtements qu'elle portait) à présent.
Elle s'approcha et déposa sur la chaise le petit paquet et l'ouvrit.
« - On va y aller? Demanda
t elle.
- euh......hésita élise.
- aller ne vous inquiétez pas ça va bien se passer.
- euh bon.
- allez y rallongez vous, pas trop vite pour ne pas avoir de souci.
Je dois prendre votre température avant tout, et votre tension. »
Anne saisit le bras d'Élise
et lui posa le tensiomètre. Après quelques instants elle
l'enleva en disant :
« Cest parfait. Soulevez vos jambes s'il vous plaît. »
Élise obéit lentement
« Voilà merci pas
plus c'est bien. Continua Anne. On ne bouge plus. »
Élise, tout comme les autres
fois, senti une troublante sensation qui la parcourut lorsque le thermomètre
entra en elle.
« 37 vous n'avez pas de
température.
Mais c'est excellent dites moi. »
Élise reposa les pieds mais
Anne l'interrompit.
« Non, non, gardez les jambes
levées s'il vous plaît je dois vous installer une protection
car vous n'avait pas uriné depuis plus de 12 heures et le transfert
ne vous permettra pas de le faire avant un bon moment. »
Anne installa une couche sous les fesses
d'Élise et la déplia.
« Allez y poser les pieds.
Voilà restez comme ça le temps que je finisse. »
Anne referma la couche sur les cuisses
d'Élise, puis lui enfila une culotte toujours en pvc.
« Vous pouvez rallonger
les jambes Élise. »
Élise se sentait mal alaise
elle se voyait redevenu une toute petite fille que l'on vient de changer
après qu'elle ait fini sa sieste.
Anne la sorti de son songe.
« Maintenant je dois vous remettre
les sangles. Je ne les serrerai pas comme tout à l'heure ne vous
inquiétez pas. »
Les sangles une fois ajustées,
Anne demanda :
« - Vous désirez
toujours une couverture?
- euh oui. Répondit élise dune petite voix.
- d'accord, je vous amène ça. »
Anne se dirigea vers une armoire, en
sorti une couverture qu'elle déplia et en couvrit Élise.
« Vous aurez plus chaud comme
ça et puis ça vous évitera de revivre des moments
comme toute à l'heure. Reprit-elle. »
En disant cela, Anne sourit tendrement
à Élise qui essaya de lui rendre son signe amical.
« Je dois vous laisser
maintenant.
Jean Jacques et Gilles viendront vous chercher pour effectuer le transfert
lorsque l'ambulancier sera là.
À bientôt madame je vous retrouverai sans doute après
votre transfert. »
Anne sorti après avoir lancé
un dernier sourire à Élise.
La jeune femme commença à sentir la douce chaleur de la
couverture l'envahir. Cette sensation lui fit du bien et la détendit.
Elle somnolait lorsque Jean Jacques et Gilles entrèrent.
« - Madame il va falloir
y aller
- Euh oui. Murmura élise.
- Gilles tu déverrouille la porte s'il te plaît? Demanda
Jean Jacques.
- Ok
- Allez c'est parti. Lança Jean Jacques en poussant le brancard. »
Élise vit la lumière
qui était au dessus d'elle disparaître derrière elle
et les néons commencèrent à défiler.
Jean Jacques poussait le brancard pendant que Gilles à l'avant
le guider et ouvrait les portes.
« - on va à quel
sorti?
- Anne m'a dit qu'il nous attendait au sous sol au niveau du parking du
privé.
- ah bon t'es sûr? Cest bizard non?
- ben oui mais bon on ne va pas faire les difficiles après le coup
de bol qu'on vient d'avoir.
- oui je crois quon na pas le choix d'obéir. »
Après quelques minutes, ils
arrivèrent devant un ascenseur. Ils montèrent dedans pour
descendre.
La descente parut interminable à
Élise.
La porte s'ouvrit et ils repartirent.
Les couloirs étaient beaucoup plus sombres, et ils parvinrent à
un grand hall.
« - Bon maintenant faut
le trouver.
- Ouais ça ne va pas être de la tarte.
- En effet.
- eh reg arde là bas ça ne serait pas
lui?
- Euh peut être
- Bon, allons voir. »
Ils se remirent en route.
Élise devina qu'ils se trouvaient dans le parking l'odeur de carburant
y flottait comme l'odeur des anesthésiants, régnaient à
l'étage qu'elle venait de
quitter.
« - Bonjour, monsieur.
Vous êtes Michel?
- Ouais salut les jeunes. Répondit lhomme. Cest la
kx48C?
- Oui c'est ça.
- Ok on va la faire monter. Dit Michel.
Michel adressa un sourire à
Élise.
Il fit le tour du véhicule et ouvrit la double porte arrière.
« - Aller Gilles on y va.
Dit Jean Jacques.
- ok à trois on soulève
Ne bougez pas madame
1, 2, 3 ! « 3
Élise se senti soulever et déposait
dans le véhicule.
Gilles et Jean Jacques reculèrent pour laisser monter Michel.
Celui ci fixa les verrous aux roues du brancard, puis redescendit.
Gilles et Jean Jacques remontèrent et vinrent s'asseoir de chaque
coté dÉlise.
Michel claqua les portes, et monta à l'avant.
« - Bon vous êtes
prêt les jeunes, on peut y aller? Demanda t il.
- Oui vas y Michel
- ok direction le centre du docteur Dolose. Reprit Michel. »
Le véhicule démarra.
Élise tourna la tête et vi par dessus l'épaule de
Jean Jacques, et à travers la fenêtre, le décor du
sous sol qui commençait à bouger, au fur et à mesure
que le véhicule avançait.
Jean Jacques remonta la couverture sur Élise.
« - vous aller attrapez
froid. Cest mieux comme ça non? Demanda t il.
- Euh oui merci répondit élise.
- On en a pour combien de ton Michel?
- Environs une heure
- Quoi une heure? C où son centre à Dolose?
- Ce nest pas la porte à coté mon petit gars. Dit
Michel en riant.
- Mais qu'est- ce qu'on va faire pendant ce temps là?
- mouais je comprends pourquoi il avait un petit sourire le Dolose quand
il nous a dit qu'on devait l'accompagner.
- pff ouais en tout cas on va faire quoi là?
- attendre qu'est ce que tu veux.
- vous voulais la radio les jeunes? Demanda Michel.
- euh ça dépend quoi ?
- Je fais tourner vous me dite quand je dois arrêter.
- Vassy.
- arrête c'est bien ça.
- Cest pas mal ouais. »
Le trajet se déroulait assez
tranquillement et Élise ne voyait par la fenêtre que des
véhicules qui passaient. Elle en déduit qu'ils étaient
sorti de la
ville, et étaient entré sur l'autoroute.
Elle senti une alerte de sa vessie qui lui signaler qu'il était
temps de se vider.
Élise se retint, mais au bout de quelques instants le signal d'alerte
se fit plus fort et plus pressant. À force de se retenir elle devint
toute pâle.
« - Vous avez mal quelque
part?
- Non, non ça va. Murmura t elle gênée. »
Au bout d'un moment, Élise
n'en puis plus, et se laissa aller et aussitôt quelle
se relâcha, elle sentit une vague chaude envahir ses entre cuisses,
et son pubis.
Elle rougit.
Les infirmiers la regardèrent et sourirent.
Élise voyant qu'ils avaient sans doute compris ce qu'il venait
de se passer rougit de plus belle, honteuse comme une petite fille.
Le trajet continua tranquillement.
Au bout d'un moment Michel déclara :
« On est environ à
10 minutes d'arriver les jeunes.
Là c'est les bouchons qui risque de commencer je vais mettre le
Giro pour faire de la place. »
Il appuya sur un bouton et la sirène
retenti immédiatement.
Gilles passa sa main sous la couverture d'Élise et frôla
la chemise de pvc au niveau du sein d'Élise.
Le téton pointa lorsque la main repassa plus prêt encore.
« - Mais que faites-vous?
Saffola la jeune femme.
- Chut taisez-vous! »
Jean Jacques compris et fit un clin
d'il à Gilles
« - Tu me laisse l'autre
coté?
- Vas y ! »
Élise avait maintenant les mains
de Jean Jacques et Gilles sur les seins, et ne pouvait rien faire pour
les empêcher de la toucher comme il le faisait
« - Mais arrêter s'il
vous plait? Protesta t elle.
- Je vous ai dit de vous taire laissez vous aller
- comment tu les trouve?
- Bien, très bien, je n'en ai pas vu des comme ça depuis
pas mal de temps. »
Ils en étaient là lorsque
la voix de Michel les fit sursauter
« - Oh les jeunes vous faites
quoi là?
- euh, euh, rien, rien, Michel t'inquiète
- on va arriver.
- Ok merci de linfo. »
Les mains se retirèrent.
Élise s'enfonça dans sa couverture.
Le véhicule ralentit, puis s'arrêta à plusieurs reprises.
On entendait le GPS de Michel lui indiquer la route.
Le véhicule fini par s'arrêter et Michel baissa sa vitre
pour appuyer sur l'interphone qui apparaissait sur le mur devant la portière.
« - oui bonjour Marine à
votre écoute?
- Bonjour Marine c'est l'unité 47C j'amène la patiente référence
kx48C pour le professeur Dolose? Annonça Michel.
- Vous m'avez dit référence? Demanda la voix.
- kx48C
- Un instant je vérifie?
- Merci. Dit Michel.
- Ok je vous ouvre. Reprit la voix. Garez vous là devant
l'entrée j'arrive.
- Bien merci. »
Michel remonta sa vitre et démarra?
Il se gara à l endroit indiqué et arrêta le
moteur.
Il descendit et ouvrit la porte arrière. Une femme arriva
« - c'est la kx48C? demanda
t elle.
- Oui c'est cela même ma petite dame. Répondit Michel. Les
infirmiers l'ont accompagné.
- Oui je sais on m'a prévenu. »
Gilles et Jean Jacques sortirent
« - tiens mais c'est Marine?
Sécria Jean Jacques.
- tiens Jean Jacques, ça fait plaisir de te voir? Répondit
Marine.
Tu nous amène une patiente?
- Ben oui comme tu vois;
Je te présente Gilles mon collègue, Gilles voici Marine,
une amie, et ancienne camarade de classe. »
Tandis qu'il discutait, Michel était
montai et avait débloqué les verrous du brancard d'Élise.
Il descendit en disant.
«- Voilà les jeunes
elle est dispo. »
- Ok merci Michel. »
Les deux hommes remontèrent
et sortir Élise du véhicule.
« - Bonjour madame. Dit
Marine.
- Bonjour. Dit élise.
- On va rentrer sinon vous allez avoir froid.
- Gilles tu prends le brancard? Demanda Jean Jacques.
- Oui ok si tu veux. »
Élise reparti donc pousser par
Gilles suivant Marine et Jean Jacques.
Tandis qu'ils allaient rentrer ils entendirent derrière eux
« Salut les jeunes et à
la prochaine! »
Gilles se retourna et fit signe en
criant
« Salut Michel à
la prochaine! »
Gilles reparti pour ne pas perdre de
vue Jean Jacques et Marine qui avançaient sans faire attention
derrière eux.
La porte s'ouvrit et se ferma derrière Élise.
Une fois entrée, Élise se trouva dans un hall, puis emprunta
un couloir.
Gilles et le brancard d'Élise rejoignirent Jean Jacques et Marine
devant l'ascenseur.
Ils montèrent ensemble et descendirent pendant un long moment.
La porte s'ouvrit enfin et le groupe reparti de plus belle. Ils s'arrêtèrent
devant une porte que Marine ouvrit en composant un code sur un panneau
de commande.
La porte coulissa et Marine fit signe à Gilles de faire entrer
le brancard.
Élise commençait à avoir mal. Le trajet, avait dû
écourter les effets des calmants.
La porte se referma sur Marine et Jean Jacques qui avait suivi Gilles
dans la pièce qui s'ouvrait maintenant devant eux.
Gilles manuvra le brancard afin de le positionner sur le côté
du lit qui trônait au milieu de la pièce.
"- Faites la passer sur le lit
elle sera mieux. Dit Marine."
Gilles et Jean Jacques retirèrent
la couverture d'Élise.
"- Je vais aller chercher de quoi
la changer. Annonça Marine en séloignant.
- ok vas y on t'attend. »
Marine sorti.
Les deux hommes débloquèrent les sangles d'Élise.
« On va s'asseoir je pourrais
vous enlever cette chemise.
Voilà. »
Gilles détacha les boutons qui
retenaient la chemise dans le dos d'Élise, puis l'aida à
la retirer.
« - Maintenant on se rallonge,
nous allons vous changer, et nous vous ferons changer de lit. »
Marine revint bientôt.
"- Voilà tout est là.
Dit-elle en sapprochant du brancard.
- Soulevez les jambes madame. »
Élise leva les pieds comme elle
l'avait fait il y a quelques heures.
Jean Jacques retira la couche qui protéger toujours l'intimité
de la jeune femme et la jeta à la poubelle que Marine avait ramenée.
Il nettoya les entre
cuisses, le pubis et l'intimité d'Élise.
Celle-ci troublée se croyait retomber 23 ans en arrière
lorsque sa mère la langer.
Jean Jacques aller ajuster une nouvelle couche quand Marine intervint.
"- non attend le professeur Dolose
va passer il veut la voir sans ça.
Tu lui mettras pour la nuit après son passage.
- bien on ne va pas contredire ses ordres au monsieur. »
Gilles pris le nécessaire et
changea le bonnet et les chaussons de pvc pour des chaussons et un bonnet
en satin.
« - eh ben il se fait pas
chier le professeur?
- en effet ce nest pas courant.
- c'est pour les patientes qu'il apprécie vraiment. Déclara
Marine.
- ma chère madame j'crois que vous avez tout à gagner. »
Jean Jacques aida Élise à
se redresser et lui enfila une chemise dans la même matière.
La sensation de douceur envahie Élise immédiatement.
« - Gilles tu m'aide on
va la transférer dans le lit. Dit Jean Jacques.
- Ok. Laisser vous aller madame.
- Tes prêt?
- Ouais quand tu veux;
- 1 2 et 3. »
Élise fut soulevée et
déposée sur le lit.
Marine releva le dossier de celui -ci.
Gilles couvrit Élise des couvertures.
« Nous allons vous laisser
vous reposer maintenant.
Lun d'entre nous viendra vous apporter quelques choses à
manger tout à l'heure. Annonça Marine en souriant.
- pourrais-je avoir à boire s'il vous plaît. Demanda élise
dune petite voix timide.
- Euh je vais voir ce que je peux faire.
- Merci. »
Les trois infirmiers sortirent.
Élise entendit la porte se refermer et le verrou électronique
se déclenchait.
Elle goutait avec délices l'agréable sensation de ne plus
être entravé par des sangles et de pouvoir bouger comme elle
le désirait.
Elle se détendait pour la première fois aujourd'hui.
La porte s'ouvrit et Jean Jacques, entra.
« Je vous amène un verre
d'eau sucré pour commencer. Déclara t il.
Ne buvez pas trop vite pour ne pas risquer d'avoir un souci. »
Élise pris le verre que lui tendait Jean Jacques, et le porta à
sa bouche.
Elle avala une petite gorgée. La douceur du sucre lui fit du bien
dans sa gorge encore endolorit.
Une fois qu'elle eu fini elle rendit le verre à Jean Jacques.
« - Pouvez vous abaissez
un peu le dossier s'il vous plaît, je vais essayer de me reposait.
- oui bien sur madame
Est ce que ça va comme ça ?
- Oui merci c'est très bien. »
Jean Jacques regarda fixement Élise.
Elle avait fermé les yeux.
Il s'approcha sans bruit et saisit ses mains.
Lorsquel ouvrit les yeux il était déjà trop
tard sa bouche entra en contact avec celle de Jean Jacques.
Elle voulut se débattre mais pas moyen.
« - laissez-vous faire.
Lui murmura t il.
- Non, je, non, non
protesta t elle. »
Élise ne pu en dire plus, la
langue de Jean Jacques lui bloqua toute parole.
Lorsque Jean Jacques se retira enfin Élise ne bougeait plus.
Elle était restée prostrée, n'ayant plus de volonté,
épuisée par sa journée.
Jean Jacques lui sourit.
Au bout d'un instant elle leva les yeux sur Jean Jacques.
« - Pourquoi ? Pourquoi ?articula
t elle.
- Pourquoi quoi, madame?
- Pourquoi avez vous fait ça?
- Je n'ai pas pu résister vous êtes magnifique comme ça.
Et ça me dégoute de penser que c'est un gars comme Dolose
qui en profitera.
- pourquoi vous dites ça?
- pour rien pour rien.
- mais, mais
...
- Bon il faut que je retourne on va se demander ce que je fous.
À tout à l'heure. »
La porte se ferma à nouveau,
laissant Élise seule sans force.
Elle se pelotonna sous sa couverture et pleura doucement, puis épuisée
finit par s'endormir.
Le bruit de la porte la fit sursauter.
« - Ah voilà cette
patiente après son transfert, annonça le professeur mutulida.
- elle est encore plus belle dans cette tenue, non?
- ah ça oui je ne te le fait pas dire. »
Le professeur Dolose s'approcha d'Élise.
« Vous avez bien l'air triste
madame? Demanda t il. »
Élise ne répondit pas
et s'enfonça sous les couvertures.
« Madame, vous allez bien? »
- un timide « MMH »
sorti de la bouche d'Élise.
« - Comment vous appelez
vous? Demanda le professeur Dolose.
- Élise. Souffla la jeune femme.
- Élise, c'est très beau.
Je peux retirer la couverture je dois regarder l'état de votre
pansement.
- euh oui. fit timidement Élise en repoussant un peu les couvertures. »
Le professeur Dolose fit descendre
la couverture jusqu'à la moitié des cuisses dÉlise.
Il remonta la chemise, et commença à tirer sur le pansement.
« Ça va tirer un
peu ne vous en faites pas. »
Le professeur mutulida s'approcha.
« - un peu d'aide?
- non ça va aller dit-il en finissant de retirer le
pansement.
Bon ça va la plaie est belle.
- Oui c'est très bien. «
Le professeur passa sa main ganté
sur le bas ventre d'Élise et tata celui-ci.
Sa main descendit petit à petit, et fini par atteindre la fente
d'Élise. Un doigt pénétra dans le trou d'Élise
qui ne bougeait plus, anéantit par la fatigue,
et le stress.
Le doigt décrivit des va et viens, ce qui provoqua, des gémissements
de la part de la jeune femme.
« - oui en effet, Gilles
et Jean Jacques avaient raison lorsqu'ils disaient qu'elle démarrait
très vite.
- oui c'est le moins que l'on puisse dire. »
La respiration d'Élise s'accéléra,
et lorsqu'elle jouit en grognant, un spasme la parcourut et lui raisonna
dans la tête.
Le doigt se retira.
« - Eh bien mon cher Claude
je crois que cette jeune Élise, te conviens? Demanda le professeur
Mutulida.
- Oui elle est parfaite, je programme des examens approfondit demain.
Je te laisse refaire son pansement si tu le permets?
- Oui bien sur. »
Le professeur mutulida refit
le pansement d'Élise, puis la recouvrit des couvertures.
Il la regarda, elle avait le regard perdu dans le vague, encore sous le
choc de l'orgasme qui venait de la secouée.
Il se tourna vers son confrère.
« - Je pense qu'il faut
la laisser se reposer maintenant.
- Oui tout à fait d'accord.
À demain ma chère Élise. »
Élise tourna la tête vers
lui et murmura un faible
« Oui »
Les médecins sortirent de la
chambre.
Élise, épuisé, ne bougeait plus du tout.
Lorsque Marine lui apporta un peu à manger, elle eu du mal à
finir tant la fatigue était présente.
Marine abaissa complètement le dossier du lit, et remis les couvertures
correctement sur la jeune femme, après lui avoir remis une protection
urinaire pour
la nuit.
Élise, une fois seule, ferma les yeux, et presquaussitôt
plongea dans un profond sommeil.
chapitre 5. Les examens.
Il était 7h30, quand élise
ouvrit les yeux en entendant de l'animation provenant du couloir, qui
aboutissait à sa chambre.
Le bruit du verrou électrique de la porte se fit entendre.
Marine et Anne entrèrent dans la chambre.
« - bonjour madame.
« - Bonjour madame
- bonjour. Répondit élise.
- Vous avez bien dormi?
- Euh ça peut aller.
- Parfait, voici votre petit déjeuner. »
Anne déposa un plateau sur une
petite table roulante, qu'elle approcha du lit et mit devant élise
« - Merci.
Dit élise en souriant.
- nous vous laissons déjeuner tranquillement et après
nous viendrez-vous faire votre toilette et vous aider à vous préparer.
Bon appétit »
Les deux femmes sortirent
Élise prit son petit déjeuner sans chercher à comprendre
ce qu'il se passait.
À quelques distances de là...
"- Pardon Michel, que me dites-vous?
- oui professeur, ils ont osé!
- ah, ah, ah, ah, ah, ah ils ont recommencés les vicieux!
Bien présentez vous tout à l'heure au centre et nous mettrons
ça au clair.
- d'accord professeur je viendrai. »
Le professeur mutulida, raccrocha le
téléphone.
« Javais dit qu'il
n'aurait pas du leur laissé ce transfert, je l'avais dit! Mmmmmmm! »
Après avoir déjeuné,
élise se rallongea et se blottit dans ses couvertures.
Anne et Marine revinrent bientôt.
« - Vous avez fini de manger?
- Oui merci
- Daccord, il va falloir faire votre toilette, et vous préparer
pour vos examens.
- euh quels examens? Demanda élise, inquiète.
- juste des examens de routine ne vous en faites pas.
- Euh bon. »
Après avoir débarrassé
le plateau déjeuner, les deux femmes s'afférèrent
autour d'élise et firent sa toilette.
Elles la débarrassèrent de sa couche et de sa tenue. Après
l'avoir laver minutieusement,
Elles lui enfilèrent une autre tenue semblable à celle qu'elle
venait de quitter.
« - Voilà maintenant
reposez vous encore un peu, en attendant que l'on vienne vous chercher
pour vos examens.
Si vous devez aller aux VC sonnez et on viendra vous aider. Vous ne devez
pas vous lever seule.
- Daccord. Répondit élise.
- Aller à tout à l'heure. »
Seule, élise remonta la couverture
sur elle et ferma les yeux. La pénombre de la chambre aidant, elle
se détendit et se reposa.
Elle se sentait bien, pour la première fois depuis quelle
était rentré à l'hôpital avant son intervention.
Quelques minutes plus tard, Gilles entra dans la chambre poussant un fauteuil
roulant.
« - bonjour madame, je viens
vous chercher pour vos examens.
- euh, euh, oui. Dit élise hésitante.
- je vais vous aider à vous asseoir dans le fauteuil. Allez y.
voilà. Comme ça. »
Une fois assise dans le fauteuil élise
frissonna au contact du cuir du fauteuil sur la peau de ses fesses nues.
Gilles couvrit les jambes de la jeune femme avec une couverture.
Il débloqua le verrou de la porte puis il sorti en poussant le
fauteuil, pour emprunter de long couloirs assez sombre.
Quelques instants plus tard ils entrèrent dans une salle d'examens
dans laquelle les attendait Jean Jacques.
« - Bonjour madame,
dit-il.
- Bonjour répondit la jeune femme.
- On va l'installer sur la table
- Ok on y va. 1 2 3 ! »
Élise Fu soulevée et
déposée sur la table.
Jean Jacques lui enleva sa chemise, et la fit s'allonger.
« Je dois vous faire une
petite piqure, annonça Gilles, ne vous inquiétez pas
ça n'est vraiment pas grand choses. »
Gilles piqua.
« Cela va vous détendre.
Reprit-il. »
Très vite élise se senti
très légère, comme si elle flotter, elle ne sentait
pratiquement plus rien, les voix se brouillaient, et s'éloignaient.
Des formes
étranges passaient et tournaient devant ses yeux.
« - Cest bon je crois
qu'elle est dedans.
- Oui ça en a l'air
- Allez mettons la en place.
- Oui mutulida et Dolose ne vont pas tardé à arriver. »
La jeune femme se trouva bientôt
complètement offerte les pieds dans des étriers, les bras
attaché en l'air, incapable physiquement de pouvoir bouger et
mentalement de résister.
Élise se sentait comme dans du coton elle se sentait bien. Elle
entendait les voix des infirmiers mais ne comprenait pas ce qu'ils
disaient.
Ses yeux ne lui permettaient que de voir la lumière de la salle
cachée derrière un épais brouillard.
« - madame vous m'entendais?
- bon je crois quelle est dans les choux?
- oui je crois bien.
- Elle est quand même super excitante comme ça?
- tu las dit mon pote
- Je lui ferai bien des trucs moi
- Ah je te reconnais bien là,
- Quoi parce que tu ne pense pas la même chose?
- Mais si bien sur
- Alors tu vois je ne suis pas aussi vicieux que toi moi je le dit
- Oh calme-toi!
- De toute façon je crois que je ne vais pas tenir longtemps, je
ne vais pas résister
- mais oui ne fait pas ton chaud lapin!
- Quoi mon chaud lapin?
Tu vas voir! »
Jean Jacques s'avança vers la
jeune femme.
« - Eh arrête t'es
pas maboule toi?
- Laisse moi tu vas voir
- Non arrête gros
- Fout moi la paix tu mas provoqué tu vas voir de quoi je
suis capable. »
Gilles s'élança pour
arrêter Jean Jacques mais il fut repoussait du bras par celui ci.
Gilles le ceintura, Jean Jacques réussi à lui mettre un
coup de pied qui lui fit lâcher son étreinte.
Les deux hommes commencèrent à se battre entre eux.
Des coups de poings partirent, Gilles disaient :
«- Non mais tu vas te calmer
pauvre con! Tu veux qu'on se fasse choper?
- Ferme là j'en ai rien à foutre ! »
Jean Jacques était en rage.
Il n'était plus dans une salle d'examen du centre du professeur
Dolose, mais sur le ring de boxe pour la final du championnat
et pour lui ce qui comptait c'était d'envoyer au tapis tout ceux
qu'il rencontrerait.
Il se battait comme un tigre il recevait des coups, en distribuait à
la volée.
Soudain des cris se firent entendre derrière lui.
Deux arbitres le séparèrent de son adversaire.
« Arrêtez Jean Jacques,
vous allez vous arrêtez, oui ou non? »
Il revint dans la réalité
et se rendit compte que les deux médecins étaient rentrés
dans la pièce.
Le professeur Dolose le tenait solidement et le professeur mutulida en
faisait de même avec Gilles.
« Vous allez vous calmer enfin? »
Jean Jacques respirait profondément.
« Jean Jacques ça va? »
Le professeur Dolose en disant cela
secoua l'infirmier encore tremblant.
«- Euh, euh, oui, oui,
ça va ça va ! »
- Non mais franchement vous vous rendez compte de ce que vous venez de
faire? Demanda en hurlant le professeur Mutulida. »
Les deux infirmiers ne répondirent
pas.
« - Quand même vous
venez de vous battre déjà dans une salle d'examen, et devant
une patiente de sur croit!
Et vous trouvez ça normal?
Vous dépasser les bornes là messieurs.
Vous allez vous calmer en salle 17 Gilles et vous Jean Jacques en salle
303 au moins je serai sûr que vous ne déclencherai plus de
tempête.
Vous ne bougerez pas de là jusqu'à nouvel ordre c'est bien
compris?
- Euh oui professeur
- Oui, oui, si vous voulez
- Anne accompagnez Gilles et vous Marine accompagnez Jean Jacques, et
revenez une fois qu'ils seront dans leurs salles. »
Gilles sorti suivi de près par
Anne puis quelques instants plus tard Jean Jacques fit de même suivi
de près par Marine.
« - Je lui avais dit d'arrêter!
Marmonnait Gilles.
- Darrêter quoi Gilles?
- Darrêter de se battre! Darrêter de vouloir faire
des choses avec la patiente!
- tu le connais aussi comme moi tu sais qu'il n'est pas méchant
dans le fond, mais quand il a une monter de colère.....
- Oui je le connais et c'est bien pour ça ...
- Bon aller calme toi Gilles c'est tout. »
Gilles entra dans la salle et s'assit
sur une chaise
« Bon je te laisse je retourne
voir les docs voir si ils ont besoin de moi. »
Anne sorti de la pièce.
Un peu plus loin dans l'ascenseur, Jean Jacques rageait encore
« - Calme-toi Jean Jacques
s'il te plait! Disait Marine.
- calme toi calme toi mais je suis calme! Ruminait Jean Jacques.
- Calme toi maintenant arrête je te connais!
- MMMMMMM il navait pas à me provoquer!
- Quoi il ta provoqué? Ça m'étonne d'un gars
comme Gilles quand même?
- Oui parfaitement provoquer. Et la patiente aussi m'a provoqué!
- Pff comment veux tu qu'elle te provoque avec la dose de calmant qu'elle
a reçu? Elle est dans les choux je suis sur qu'elle ne s'est même
pas rendu
Compte de quelques choses.
- si elle m'a provoqué avec sa position et ses formes..........
elle est sacrément bonne là salope!
- Ah, ah, ah, ah, ah, a tu ne changeras pas tu sais ? »
Ils rentrèrent dans la salle
et Jean Jacques s'assit.
« Bon je te laisse mon petit
Jean Jacques je retourne voir les professeurs! »
Marine sorti et ferma la porte.
Pendant ce temps, les deux professeurs restaient seuls, se regardèrent
en soupirant
« - tu vois Claude je t'avais
dit?
- Tu m'avais dit quoi Gilbert?
- Je t'avais dit que ces deux infirmiers ne devaient pas approcher cette
patiente. Espérons qu'elle ne se soit rendu compte de rien. »
Il s'approcha d'élise et après
quelques instant se retourna
«- Bon apparemment elle
à l'air encore bien assommé.
- Bien alors procédons à l'examen. »
Le professeur mutulida approcha un
chariot sur lequel se trouvaient plusieurs instruments.
Il saisit un spéculum et le mis en place dans la fente d'élise
et commença à forcer l'ouverture de celle ci.
Lorsque le vagin fut complètement dilaté il bloqua l'appareil.
« Allons voir ça. »
La main ganté du professeur
entra dans la chatte béante de la jeune femme et tâtonna
plusieurs fois.
La main de son confrère pris sa place et fit de même.
Après quelques minutes et diverse observations, et plusieurs prélèvements
le spéculum fut enlevé.
La fente d'élise resta complètement étiré
par le travail prolongé du spéculum.
« - Quen penses-tu
mon cher Gilbert?
- En effet Claude tu m'avais dit qu'elle serait certainement un bon model,
tu ne t'étais pas trompé.
- Oui tu vois comme quoi?
Je ne me trompe pas souvent.
Je dirai même qu'elle est meilleure que la précédente. »
Élise commençait à
revenir de son voyage médicamenteux, elle retrouvait lentement
ses sensations. Le brouillard se dissipait devant ses yeux.
Après quelques minutes, elle senti une forte douleur la traversait
dans son intimité.
Elle gémit de douleur.
Les professeurs se retournèrent.
« - Ah vous m'entendez madame?
- Euh, euh, euh, euh,
- Madame? »
Le professeur mutulida enleva létrier
et détacha les mains d'élise.
Il prit le bras de la jeune femme et le secoua doucement
« - Vous m'entendez?
- Euh oui?
- Vous savez où vous êtes?
- Euh à l'hôpital?
- Bien. Les infirmières vont arriver pour s'occuper de vous.
Nous vous laissons vous reposer. »
Les deux médecins sortirent.
Dans le couloir les infirmières les rejoignirent.
« - Et bien vous en avez
mis du temps?
- Excusez nous professeur mais nous avons était demandé
lorsque nous revenions ici.
- Bon, bon, bon.
- Préparez là pour le scanner biologique détaillé.
Déclara le professeur Dolose.
- Tu veux un scanner biologique détaillé? Demanda son confrère
étonné.
- Oui, oui, tu m'as bien compris Gilbert!
- Bien professeur
- Et une fois ça fait vous la remettrez dans sa chambre et vous
irez chercher ces deux pervers d'infirmier et rendez vous dans mon bureau.
Continua le professeur
Mutulida.
- Bien professeur. »
Les deux médecins s'éloignèrent.
Les deux infirmières rentrèrent dans la salle.
Elles aidèrent élise à se dégriser des calmants.
Elles la remirent sur le fauteuil roulant et partirent avec elle dans
le couloir.
Elles arrivèrent dans une salle.
Marine enleva la chemise d'élise et elle l'aida à s'allonger
sur un plateau.
Élise fut bloquer au niveau des chevilles, des genoux, des
hanches, des aisselles, et de la tête, par des sangles de sorte
qu'elle ne pouvait plus bougez
du tout.
« - On va y aller madame
- Euh, euh
- Voilà je vous mets ça sur les oreilles pour vous protéger
un peu du bruit.dit Marine.
- Aller on y va. Lança Anne. »
Anne actionna une manette et élise
vit le plafond se déplacer lentement, puis elle entra entièrement
dans un long tube.
Élise entendis faiblement Anne lui crier :
« Attention on commence! »
Aussitôt, le tube dans lequel
était rentrait élise commença à vrombir fortement.
Un bruit de tac, tac, tac, tac, vint se rajouter à celui déjà
présent.
Après une bonne vingtaine de minutes, élise avait les oreilles
qui bourdonnaient.
Lappareil se tue enfin et élise se senti bouger. Elle ressorti
du tube pour revenir à l'endroit doù elle était
parti.
Marine l'attendait et lui enleva les sangles.
« - Vous n'avez pas trop
mal aux oreilles?
- Euh, euh ; non ça va ça va merci.
- Bien on vous ramène dans votre chambre. »
Élise fut remise sur son fauteuil
roulant, rhabillé, et reparti pousser par les infirmières.
Une fois dans la chambre, Marine et Anne la saisirent pour la remettre
au lit.
« - Euh s'il vous plaît,
je dois aller aux VC?
- Ah d'accord
- Oui je dois faire pipi
- Bon on va vous aider.
Vous profiterez pour faire votre analyse d'urine. »
Élise fut emmener dans une petite
pièce sur le coté de la chambre, et fut placer sur les VC.
Anne la maintint pendant qu'elle fit ce qu'elle devait faire,
et l'aida à se remettre dans le fauteuil.
Elle fut mise au lit après être
revenue dans la chambre.
« Voilà reposez vous
pour l'instant votre repas va arriver et nous reviendrons après.
Si vous avez besoin sonnez ici!
A toute à l'heure! »
Les infirmières sortirent, laissant
élise seule, qui se pelotonna dans sa couverture et ferma les yeux.
Les deux femmes se séparèrent devant la chambre d'élise,
et Marine rejoignit Jean Jacques et Anne Gilles.
Puis les quatre se retrouvèrent dans le bureau du docteur mutulida.
Lorsquils rentrèrent ils trouvèrent les docteurs mutulida
et Dolose en pleine discutions avec Michel.
« - ah vous voilà
!
Les examens de la patiente sont faits?
- Oui docteur
- Pas de problèmes?
- Non docteurs les résultats doivent arriver du labo dans une à
deux heures environs.
- Parfait.
- Bien asseyez-vous
- Vous savez pourquoi vous êtes ici je présume? Demanda le
professeur Mutulida en fixant Gilles et Jean >Jacques.
- Ben oui je crois que c'est à cause de tout à l'heure?
- Oui en parti
Mais sinon?
- Ben, ben, moi je ne vois pas.
- Vraiment?
- Ben moi non plus qu'est-ce qu'on a fait?
- Quest-ce qu'on a fait? Vous osez me demandez ça ?sindigna
le professeur Mutulida.
Michel veuillez nous redire ce que vous venez de
Nous apprendre?
- Eh bien hier dans l'ambulance je les ai surpris.
- Surpris à quoi Michel?
- Et ben à la tripoter!
- Tripoter qui?
- Ben la kx48C pardi
- Mais! Mais! Mais!!!!!
- Il n'y a pas de mais je vous ai vu! Je suis peut être au volant
mais je fais gaffe quand même!
Vos mains sous le drap s'était peut être pour un massage
cardiaque?
- Ben, euh, euh, euh?
- Ben voilà qu'est ce que je vous disais?
- Gilles? Jean Jacques? Est-ce la vérité? Senquit
le professeur Dolose.
- Ben, ben, oui enfin euh à vrai dire?
- Ah, ah, a, quest-ce que je vous avez dit hier? Rien que
pour ça vous auriez du être virer sur le champ! Hurla le
professeur Mutulida.
- Ben, ben, ben
...
- Cest vrai messieurs. Sil n'y avait eu qu'hier nous aurions
pu laisser cette petite incartade...commença le professeur Dolose.
- Petite incartade!!!! interrompit le professeur Mutulida en se levant.
- Enfin oui Gilbert ne me dit pas que tu nas jamais eu de chose
comme ça?
- Euh et bien euh si mais bon euh...
- Alors tu vois?
Mais là avec ce que je viens d'apprendre, et la bagarre d'aujourd'hui
vous ne me donnez pas le choix.
Vous ne l'approcherai plus hors de notre présence ou celle de ces
dames c'est bien compris?
- Euh oui docteur
- Euh oui bien sur bien sur...
- Nous verrons quelle sanction appliquer par la suite. Continua le professeur
Dolose. »
Le téléphone sonna.
Le professeur mutulida décrocha.
« Oui j'écoute
Oui
Bien
Je vous envoie quelqu'un
Merci d'avoir fait si vite
À bientôt. »
Il raccrocha
« - Marine ? dit-il en se
tournant vers les infirmières.
- Oui professeur
- Allez me chercher les résultats des examens de la patiente.
- Oui professeur. »
Marine sorti, et revint quelques minutes
plus tard.
Elle tendit une pochette au professeur.
Le professeur mutulida la prit et y jeta un coup d'il.
« - Bien tiens regarde.
Dit-il en tendant la pochette à son confrère.
- Moui. Pas mal Très bien....
- Que faisons-nous?
- Et bien je crois que c'est une candidate parfaite pour la suite des
opérations......déclara le professeur Dolose.
Anne préparez là nous voulons pouvoir intervenir dans l'après
midi sur la patiente.
- Euh oui professeur bien sur. Sempressa dacquiescer linfirmière. »
Anne sorti accompagner de Marine.
« - Et vous je vous prie
de vous tenir tranquille. Allez en salle de repos, et n'en bougez pas
jusqu'à nouvel ordre
- Oui professeur.
- Bien nous ferons ça. »
Jean Jacques et Gilles sortirent.
Les deux médecins enfin seuls continuèrent à parler
du cas d'élise.
Le professeur Dolose dit:
« - Tu veux savoir mon cher
Gilbert ?
- Vassy je t'écoute?
- Je crois que nous allons avoir bien du plaisir dans quelques heures. »
chapitre 6. Rêve, réalité, révélation...
Élise ouvrit les yeux lorsquAnne et Marine rentrèrent
dans la chambre, l'air grave.
« - Madame, nous devons
vous préparer le professeur vous veux au bloc dans très
peu de temps. Déclara Marine.
- Pardon? Répondit élise en sursautant.
- Oui vous avez bien compris. Reprit Anne.
- Mais pourquoi? Demanda la jeune femme affolée.
Que se passe t-il?
- Nous ne pouvons rien vous dire, car nous n'en savons pas tellement plus
que vous. Dit Anne en souriant tristement. Apparemment vos examens indiquent
qu'une
intervention est conseillée au plus vite.
- Mais je ne comprends pas. Hésita élise. Le professeur
a dit que tout était parfait lorsqu'il est venu vérifier?
- Nous demanderons au professeur de vous parler pour vous expliquer, vous
voulez? Demanda Marine doucement.
- Euh oui s'il vous plaît.
- Nous le ferons, mais pour l'instant il faut se préparer. Aller
on i va. Continua Anne. »
Anne et Marine aidèrent Élise
à venir s'asseoir sur le fauteuil roulant qu'elles avaient apportées,
puis la conduisirent dans une pièce où elles la lavèrent
intégralement et l'habillèrent d'une tenue identique à
celle quélise avait dû porter avant de rentrer au bloc
opératoire la première fois. Elle dut à
nouveau s'allonger sur un brancard inconfortable.
Élise fut prémédiquée comme la fois précédente.
Les médicaments avaient l'air moins puissant car la jeune femme
ressentait moins leurs effets.
« Nous devons vous laisser pour
l'instant. Déclara Marine.
Lune de nous deux viendra vous chercher pour vous emmener au bloc.
Reposez vous. »
Anne déplia une couverture et
en couvrit Élise.
« Ainsi vous n'aurez pas
trop froid.
A toute à l'heure madame. »
Les deux infirmières sortirent.
- Eh Anne, tu as vu la tête de
la patiente? Demanda t elle.
- Euh elle avait quelques choses de particulier?
- Quoi tu n'as pas vu les yeux qu'elle a faits lorsque je
lui ai dit qu'elle devait retourner au bloc?
- Ben j'ai bien vu quelle semblait pas trop en forme mais ...
- Attend! Elle a changé de couleur! Sécria Marine.
Comme si on lui avait annoncé qu'on l'emmener à l'échafaud.
- Tu crois qu'elle a été choquée?
- Je n'en sais rien mais vaudrait peut être mieux en parler aux
professeurs non?
- Oui je crois bien qu'il faut. »
Les deux femmes se dirigèrent
d'un pas décidé vers le bureau des deux professeurs et arrivées
devant, elles frappèrent à la porte.
« Oui entrer. »
Les deux femmes entrèrent.
« - Oui mais dames que
ce passe t-il? demanda t il.
La patiente est elle prête?
- Euh oui mais professeur voyez vous ... commença Marine.
- Et bien? Reprit le professeur Dolose.
- Et bien en fait il y a un souci. Lorsque nous lui avons dit qu'elle
devait retourner au bloc elle a faillit se sentir mal. Continua Anne.
- Pardon? Senquit le professeur Dolose.
- Oui professeur comme si elle venait d'être frappé par la
foudre. Dit Marine.
- Oui je vois. Elle s'est remise après? Demanda le professeur Mutulida.
- Euh si on peut dire. Répondit Anne songeuse.
- Mais elle voudrait qu'on lui explique ce qui se passe, et je crois sincèrement
que si ça n'est pas fait elle risque fort de vraiment faire un
malaise
ce qui pourrait retarder à mon avis l'intervention. Continua Marine.
- Oui forcément. Acquiesça le professeur Dolose perplexe.
Ça ne nous conviendrait pas c'est vrai.
Bien je crois avoir une idée.
- Ah oui laquelle Claude? Demanda le professeur Mutulida en se renfonçant
dans son fauteuil.
- Ne t'inquiète pas Gilbert.
Merci mes dames. Retournez auprès d'elle et rassurez là
en lui tenant compagnie. Soyez aux petits soins sans la materner de trop
non plus. Compris?
- Oui professeur! Sécria Marine.
- Bien c'est compris. Renchérit Anne. »
Les infirmières sortirent et
fermèrent la porte derrière elle.
Le professeur mutulida se tourna vers son confrère.
- Bon tu vas m'expliquer ce que tu
veux faire Claude? Demanda le professeur Mutulida.
- Voilà Gilbert.
Je crois que la meilleure solution c'est de demander à Jean Jacques
et à Gilles de remplir cette tache.
- À qui? Sécria le professeur Mutulida en se levant
presque.
Jean Jacques et Gilles? Mais enfin tu veux encore un désastre avec
cette patiente?
- Non Gilbert. Mais réfléchis une minute qui appart eux
sont le mieux placé?
Nous? Si c'est ça elle risque en comprenant de craquer complètement.
Anne et Marine? Très franchement tu les vois faire ça?
- Non c'est vrai.
- Alors je ne vois qu'eux.
- Oui sur le principe je te suis. Daccord! Mais .... Très
franchement je ne sais pas si ça n'est pas risqué. Sachant
de quoi sont capables ses deux gusse.
- Ne t'inquiète pas nous allons leur expliquer exactement ce qui
doivent dire et ne pas dire.
- Bon si tu le dis, je te suis. »
Le professeur décrocha son téléphone.
« Bonjour ici le professeur
mutulida.
Pouvez-vous faire monter Gilles et Jean Jacques s'il vous plait dans mon
bureau?
Oui, oui.
Daccord!
Merci beaucoup
Au revoir. »
Il raccrocha.
« Bien ils arrivent. dit-il. »
Quelques minutes plus tard on frappa
à la porte, et Gilles et Jean Jacques entrèrent.
« - Bien messieurs asseyez
vous s'il vous plait. Leur dit le professeur Mutulida en leur indiquant
deux sièges.
Et écoutez attentivement ce que nous allons vous dire.
Votre conduite de tout à l'heure a été inqualifiable
vous le savez, et nous ne reviendrons pas dessus mais sachez que votre
licenciement ne tiens pas à
grand chose.
Si vous voulez vous faire pardonnez voilà ce que nous attendons
de vous.
Nous avons décidé de ré intervenir sur la kx48C.
Il n'y a que vous pour lui expliquer clairement ce qui l'attend.
Elle risque toutefois de faire un malaise ce qui retarderait l'intervention
ce qui ne doit pas arriver.
Pour plus de sécurité je vous demande de sangler la patiente
bien qu'elle ait été prémédiquée.
Vous me suivez pour l'instant?
- Oui docteur.dit Gilles dun air dubitatif.
- Oui, oui. Reprit Jean Jacques.
- Je vais laisser le professeur Dolose vous expliquer ce qu'il faudra
dire à la patiente car il a plus connaissance que moi de la procédure
et de cette
intervention.
- Et bien l'intervention n'est pas simple et je vous demande de bien retenir
tout les détails au cas où elle aurait des questions. Commença
le professeur
Dolose.
Lintervention consiste à faire une incision sur la ligne
....... »
Le professeur Dolose expliqua en détails
l'intervention à Jean Jacques et Gilles.
Lorsquil eu fini il fixa les deux infirmiers.
« - Vous avez des questions
messieurs? Demanda t il.
- Non je pense que c'est compris.dit Jean Jacques timidement.
- Si moi j'en ai une.dit Gilles.
Vous croyez sincèrement pouvoir faire une telle intervention de
ce type et de cette ampleur sur une patiente d'une part sans son consentement,
et d'autre
part sans risquer des poursuites?
- Mais mon jeune ami pourquoi à votre avis, avons nous effectuer
le transfert dans ce centre? Demanda le professeur Dolose en fixant Gilles
droit dans les
yeux.
Cest pour toutes ces raisons bien entendu.
- Attendez là vous me dites que si on a transférer cette
jeune femme c'était pour ça ?sécria Gilles
surpris.
- Mais oui pour ça comme vous dites. Répondit le professeur
Dolose avec un sourire.
- Mais vous êtes fou! Reprit Gilles.
- Et Gilles calme toi mon gars! Dit Jean Jacques en posant sa main sur
lépaule de Gilles.
- Non cette fois si je ne me calmerai pas. Reprit Gilles énervé.
Jusquà présent j'ai exécuté les ordres
j'ai fait mon boulot dans les règles, et pour
contenter quoi et qui?
Deux gars vicieux et pervers qui enlèvent c'est le mot, des patientes
afin d'assouvir je ne sais quelles envies!
- Je me permets de vous rappeler que ça n'est pas moi qui ai joué
avec le feu le premier.dit le professeur Dolose imperturbable.
Dois-je vous rafraîchir la mémoire?
- Et alors vous n'avez jamais fait d'erreurs vous? Demanda gilles, serrant
les poings.
- Il n'est pas question de moi mais de vous.
- Et ben oui d'accord j'ai fait des erreurs et alors?
- Et alors? Vous êtes dans une situation plutôt délicate
non? Demanda le professeur Dolose.
- Délicate, pourquoi?
- tout simplement parce que pour vos erreurs je peux sans mal vous renvoyer
si en contre parti vous ne suivez pas les instructions de vos supérieurs,
et
d'autre part vous n'avez aucune preuve de ce que vous pourrez raconter.
- Peut être aucune preuve mais je ne me rendrais pas complice de
ce genre de pratique. Rétorqua Gilles.
- Pourtant si vous n'accepter pas vous vous retrouverez sans travail.
- Je préfère perdre mon travail plutôt que daider
à quelque chose de cette ignominie.
- Dois-je comprendre que vous refuser?
- oui parfaitement je refuse.
- Alors veuillez sortir aller prendre vos affaires et quitter ce centre.
Vous êtes renvoyé.
Ça n'est pas non plus la peine de vous représenter à
l'hôpital vous n'y travaillez plus non plus.
- Mais gars arrête tu va foutre ta carrière en l'air! pense
à toi un peu! Dit Jean Jacques surpris par le comportement de son
collègue.
- Toi ne te mêle pas de ça hein! Sécria Gilles.
Car si tu avais un peu de professionnalisme et de cur tu n'accepterais
pas non plus de leurs rendre service et d'obéir à leurs
ordres.
- Ben oui mais bon euh enfin.....hésita Jean Jacques.
- Je vous quitte messieurs et je vais directement à la police.
Sécria Gilles en se levant et se dirigeant vers la porte.
- Allez mon jeune ami! Allez! Dit le professeur Dolose toujours aussi
calme. »
Gilles sortit en claquant la porte.
Le professeur mutulida soupira et se tourna vers Jean Jacques.
« - Et vous Jean Jacques
que décidez vous? Demanda le professeur Mutulida en soupirant.
- Euh ben à vrai dire....hésita Jean Jacques.
- Bon alors ça vient? Reprit le professeur Mutulida impatient.
- Ben, euh, euh, euh, euh, ben, oui, je vais le faire mais...
- Non soit vous accepter et il n'y a pas de mais soit vous n'accepter
pas et vous prenez la porte. Sénerva le professeur Mutulida.
- Ben euh j'accepte. Articula Jean Jacques.
- Bien. Enfin. Répondit le professeur en se calmant.
Si vous faites cette tache correctement nous envisagerons de vous permettre
d'assister à l'intervention;
- Ah oui! À j'aimerai beaucoup! Dit Jean Jacques dun air
subitement intéressé.
- Alors allez y et ne tardez pas nous arrivons au bloc d'ici 20 minutes.dit
le professeur Dolose.
- Bien professeurs j'y vais.dit Jean Jacques en se levant. »
Jean Jacques sortit presquen
courant.
Le professeur mutulida regarda son confrère.
« - Tu crois qu'on peut
vraiment lui faire confiance? Demanda t il.
- À mon avis oui. Il en veut! Il est comme on dit au taquet. Répondit
son confrère.
- Ah, ah, ah, ah, ah, Moui.
Bon buvons un café et allons nous préparer mon cher! »
Les professeurs partirent pour le bloc
quelques minutes plus tard et trouvèrent Jean Jacques au près
d'Élise.
« - Voilà elle sait
tout professeur.dit Jean Jacques en souriant.
Elle ne veut pas mais bon.
- Oui je me doutais. Elles disent toute ça.dit le professeur Dolose.
Aller chercher Marine et Anne s'il vous plait.
- Oui tout de suite professeur. »
Le professeur s'approcha d'Élise qui était sur la table,
sanglé solidement, et qui pleurait maintenant à chaud
de larmes.
« - Et bien et bien ma chère
Élise, qu'avez vous? Demanda t il.
- Je ne veux pas je ne veux pas. Articula la jeune femme.
- Mais ça n'est rien vous ne sentirez rien. Reprit le professeur
Dolose en souriant.
- Vous n'avez pas le droit.
- Cest tout c'est tout. »
En disant cela il passa sa main ganté
sur le pubis d'Élise et la fit descendre progressivement entre
ses cuisses.
« Non, non, je ne veux pas.
Protesta élise. »
La main continua sa progression et
bientôt les spasmes du plaisir envahir la pauvre jeune femme qui
ne pouvait éviter cela.
Juste à l'instant où Élise poussa un grognement de
soulagement provoqué par un violent orgasme, Jean Jacques fit son
entrée en compagnie dAnne et Marine.
« Bien vous êtes tous les
trois prêts? Demanda le professeur Mutulida. »
Les trois hochèrent de la tête.
« Bien vous Marine venez lui
tenir la main. reprit-il.
Jean Jacques passé lui la perf.
Anne mettez lui le masc. »
Élise senti la main de Marine
attrapé la sienne, vit Jean Jacques s'approcher et senti la piqure
d'une aiguille dans son bras,
Tandis qu'Anne lui posait un masc. sur le visage.
La jeune femme essaya de tourner la tête pour se dégager
de l'emprise de cette odeur infecte qui lui faisait tourner la tète
et le cur.
« - Madame calmez vous calmez
vous là c'est tout c'est tout.dit Marine dune voix rassurante.
- Non, non, non, je ne veux pas, non, je ne veux pas, je, je ne, non,
je ne... tenta de protester élise. »
La tête lui tourna encore plus
et encore plus. Les voix se déformèrent.
Elle avait l'impression que tout tourner autour d'elle.
Puis tout s'assombrit pendant quelques secondes et peu à peu tout
se calma petit à petit.
Elle ouvrit les yeux et découvrit qu'elle était dans une
grande pièce dans un lit d'hôpital.
« Élise? Calme-toi? Élise? »
Elle tourna la tête et vit son mari à ses cotés.
« - Mais? Mais tu es là mon chérie? Demanda élise.
- Mais oui ma puce, l'intervention s'est bien passé. Répondit
Bernard.
- Mais, je, je. Balbutia élise.
- Chut! Chut! Là c'est tout.
Magalie, est sorti prendre l'air elle ne tenait plus en place.
- Magalie est là aussi? Demanda élise dune petite
voix.
- Oui la chut calme toi maintenant je suis là. »
Bernard remonta les couvertures sur
Élise.
Quelques minutes après une jeune femme arriva;
« - Tiens voilà Magalie
qui revient.dit Bernard.
- Ah ça y est elle est réveillée? Coucou Elise! Sesclaffa
Magalie.
- Coucou surette. Répondit élise. »
Un infirmier les interrompit.
« - Bonjour madame,
Je vois qu'on est réveillé? dit-il.
Bon l'intervention s'est très bien passée. Le professeur
mutulida va venir tout à l'heure.
Je vais vous mettre dans une chambre vous serez plus confortablement installé,
et plus alaise pour discuter.
- Merci beaucoup monsieur. »
Linfirmier débloqua le
lit et le conduisit dans une chambre. Bernard et Magalie le suivirent.
« Voilà je vous laisse
vous reposer un peu je reviendrait tout à l'heure et le professeur
devrait arriver.dit linfirmier en séloignant ».
Linfirmier sortit.
Élise serra la main de Bernard
« - Chérie, je l'ai
déjà vu ce gars tu sais? Dit élise.
- Euh ah bon: et où ma chérie, demanda Bernard.
- Euh je ne sais plus mais j'en suis sur. »
Après une heure environs, on
frappa à la porte et celle ci s'ouvrit.
« Bonjour madame, je suis le
professeur mutulida. On est réveillé? »
Élise sursauta.
« Mais, mais! Mais! Balbutia
élise. »
Le professeur sourit.
« - Et bien madame, vous
avez un souci,
- Cest vous? Demanda élise se décomposant.
- Mais enfin ma puce que se passe t-il? dit Bernard lair surpris.
- Je vous ai déjà vu non? Demanda la jeune femme.
- Euh non je ne crois pas pourquoi?
Je remplace juste le professeur Dolose pendant son arrêt de travail,
enfin je reprend ses patients.
- Mais, mais, oh, je ne sais plus.
- Sachez madame que l'intervention est une réussite complète.
Je vous laisse maintenant je reviendrai pour vérifié le
pansement tout à l'heure, et vous pourrez manger quelque chose
en fin de journée. Reposez vous maintenant. »
Le professeur sortit
Élise serra encore plus la main de Bernard en s'enfonçant
dans ses couvertures. Elle réfléchissait à cette
impression bizard;
Elle se dit :
« Mais que ce passe t-il?
Est-ce la réalité?
Est-ce un rêve? »
suite:
L'Histoire De Malaurie
Ceci est la première fiction d'une
petite trilogie. Elle ne comporte peut être pas de scènes très démonstratives,
mais Elle permet d'introduire les deux autres fictions qui composent la
trilogie.
je suis notamment à la recherche de
volontaires bénévoles afin de pouvoir adapter d'autres fictions de ce
type sous format audio, qui serait prêts soit, à lire ces textes, soit
à rentrer dans la peau des personnages, de ces fictions. Si vous êtes
donc intéressés par ce projet, qui permettrait d'une part de donner accès
à ce type de récit à n'importe qui, et d'autres part, de donner à ce type
de récit une autre dimension plus concrète, n'hésitez pas à écrire
au webmaître de ce site qui me fera parvenir votre message.
Cette fiction est protégée
par copyright.
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