Histoires Des Invités
Les Contes De Fées DEVIENNENT Réels
Par Sir Striker
Traduit par Rose Mimbo
À chaque fois que je t’imagine, c’est selon la manière habituelle.
Peut-être que tu viens de rentrer à la maison après un repas d’affaires. Tu
as dîné avec de la bonne cuisine et du bon vin, et négocié un bel avantage
pour la communauté. Le premier ministre fut ébloui par ton génie et l’étude
en profondeur du sujet, et a pleinement soutenu tes idées. Comme une
fonctionnaire satisfaite, tu t’es sentie appréciée pour ton travail acharné
et tu as été excitée pendant toute la journée.
Puis, finalement, tu es venue à la maison vers Moi. Ton attitude change
alors et de triomphante, tu passes à une soumission totale. Lorsque tu
passes le seuil de ta maison, Je suis assis dans un canapé et je t’attends.
Toutes tes réussites de la journée s’évanouissent soudain quand tu vois
l’expression sévère sur Mon visage.
D’instinct, tu t’arrêtes, tu commences à retirer tes habits et tu les plies
soigneusement à l’intérieur de la maison. Tu ne gardes que tes bas, qui
sont tenus par le porte-jarretelles que Je t’ai fait mettre ce matin, et
tes hauts talons torrides ; tu t’agenouilles et tu t’approches à quatre
pattes de Mon siège. Tu baisses la tête et tes yeux fixent le tapis.
L’excitation de la journée a maintenant disparu et au creux de ton estomac
se trouve un profond désir de servitude envers ton Maître. Près de moi, tu
t’arrêtes et tu retires amoureusement mes chaussures et mes chaussettes.
Tandis que Je parcours le journal du soir en semblant t’ignorer, Je sens ta
langue d’esclave qui rend hommage à mes pieds moites. C’est vendredi soir,
aussi J’enlève le téléphone de son support pour ne pas être dérangé. Comme
ton dos est courbé devant moi, Je tends la main et saisis un chat à neuf
queues. Le cuir frappe durement ton dos. Tu gémis mais ta bouche ne quitte
pas Mes pieds. Tu fais la grimace lorsque les lanières tombent sur ton dos.
Les zébrures rouges apparaissent immédiatement. Un gémissement discret
franchit tes lèvres. Le fouet tombe en trois coups successifs en travers de
ton tendre dos blanc et de tes épaules. Avec le côté de Mon pied droit, Je
te frappe le visage et t’oblige à te mettre sur le dos. Tu es surprise par
le mouvement rapide de ton corps allongé mais avant que tu puisses bien
comprendre ce qui s’est passé, tu sens Mes mains qui enroulent une corde
mouillée autour de tes chevilles. Tu sais qu’il vaut mieux ne pas lutter
lorsque ton Maître choisit de commencer une autre séance disciplinaire.
Même si tu viens d’achever un projet de plusieurs millions de dollars de
budget, tu es maintenant, chez toi, face avec ta vraie vocation … celle de
n’être rien de plus que l’esclave sexuelle de ton Maître noir.
Tes chevilles sont attachées aux extrémités de deux lourds fauteuils. Ils
sont beaucoup trop lourds pour que tu puisses les faire bouger avec la
force de tes jambes. Ensuite, Je me lève et J’attache tes poignets
au-dessus de ta tête à la rampe de l’escalier. Tu es nue et complètement
attachée, Je suis debout au-dessus de ta tête, Je m’agenouille et Je te
gifle durement du revers de la main. Cela laisse la marque de quatre doigts
sur ton visage, et tes yeux pleins de larmes. Comme il y a un certain temps
que tu vis cela et que tu sais fort bien que ton Maître choisit souvent des
moments pour de telles séances, tu restes là bouche-bée et ta respiration
devient aléatoire. Une curieuse excitation t’envahit. La même excitation
qui te remplit profondément à chaque fois que ton Maître décide de
t’utiliser pour son étrange plaisir sadique. Après tout, c’est vraiment là
qu’est ta vie. Le service que tu n’as pas appris à l’université, que tu
n’as pas recherché pendant ta longue semaine de réunions d’équipes et de
repas d’affaires. Non, Ma petite, c’est la cerise sur le gâteau du succès
du monde des affaires dans lequel tu as foncé pendant toute la semaine.
C’est la mise en lumière de ta vie, ta vie secrète qui se nourrit de ton
essence même toute la semaine. Cette partie de toi qui t’est intérieure, le
côté profondément masochiste que tu caches si soigneusement à tes collègues
et à tes subordonnés, au bureau. C’est le côté que tu permets seulement,
non, que tu donnes entièrement à la seule personne qui peut l’exploiter, le
développer, le nourrir et le rendre fécond en toi. C’est le côté qui a soif
d’attention et Je suis le Jardinier qui s’en occupe. Moi seul peux biner
les mauvaises herbes, retirer les pierres, nettoyer les débris et extraire
la saleté de ton être mauvais, et après avoir travaillé comme il faut cette
terre fertile, créer la plus grande roseraie dans ton âme même.
Debout au-dessus de toi, alors que tu me fixes silencieusement et
désespérément, Je ricane avec un dégoût apparent. Tu cherches dans ta
mémoire une infraction que tu aurais pu commettre cette semaine. Tu n’en
trouves pas, pourtant, tu sais que tu as dû négliger quelque chose et tu te
résignes à subir l’imminente séance de punition. Subir, enfer, tu la
recherches ! Avec une obéissance passive, tu es allongée en essayant
d’éviter de croiser Mon regard dur. Ce sont des moments où Mon regard sur
toi paraît une horrible éternité de silence. Je n’ai pas dit un mot et tu
ne romps pas le silence. Tu restes simplement allongée là, dans une
soumission complète… dans l’attente des attentions de ton Maître.
Complètement dans un état de soumission totale à Son plaisir et à Sa
volonté.
Cela va commencer avec le choix que Je fais d’un vibrateur en caoutchouc
assez épais. Je l’utilise pour te frapper les joues. Cela signifie qu’il te
faut ouvrir grandes tes lèvres et l’accepter maintenant que tu sais où il
va s’enfoncer de force. Peut-être vais-Je enfoncer cet intrus jusqu’au fond
de ta bouche avec une pression constante, et même plus loin encore, jusqu’à
ce qu’il cogne au fond de ta gorge ? Dans des moments comme celui-ci, tu
n’es pas vraiment sûre de Mes intentions. Mais une chose demeure constante,
c’est que, lorsque je te mets ce jouet particulier de force, tu as toujours
trouvé qu’il valait mieux que tu l’enduises du plus de salive possible.
Juste au moment où tes mâchoires douloureuses semblent s’habituer à la
grosse et épaisse bite en caoutchouc, Je l’arrache de tes lèvres. Lorsqu’il
en sort, il fait un bruit agréable de bouchon qui saute. Comme il est plein
de ta salive qui goutte, Je le passe sur ta poitrine et sur ton ventre et
il vient se placer à l’entrée de tes lèvres sexuelles humides. Je
l’autorise à s’y attarder en lui faisant lentement parcourir cet endroit
sur toute sa longueur. J’aime la sensation des muscles de ton ventre qui se
contractent et se relâchent en essayant d’anticiper le moment imminent de
l’entrée tout en te gardant à la limite de l’équilibre tandis que Mes yeux
d’acier maintiennent le contact avec les tiens. Je vois que ta respiration
est hachée, ta poitrine se soulève et retombe. Ton visage est visiblement
rouge, et les lèvres de ton sexe s’écartent involontairement. À cet instant
précis, J’utilise la force de Mon bras pour pousser l’épais intrus de
caoutchouc directement au-delà de tes lèvres sexuelles qui cèdent. Un
gémissement sonore t’échappe lorsque tu pousses tes hanches pour accepter
la longueur du monstre. Il a une quinzaine de centimètres de diamètre et en
mesure près de cinquante. C’est presque trop à gérer, trop vite, et
beaucoup trop dur, pourtant, tu ravales toute idée de résistance car tu
sais qu’accepter cette torture va te faire gagner la faveur de ton Maître.
Obtenir l’acceptation de ton Maître est ce dont tu rêves secrètement. Être
à Lui pour Son plaisir, quoiqu’Il exige de toi, est le puits dont jaillit
la vie qui te donne le fluide qui réchauffe tes os. Aussi, tu détends tes
muscles internes, tu t’enfonces dans le tapis et, comme d’habitude, tu
acceptes l’empalement avec un silence soumis. Et secrètement, dans les
profondeurs de ton cœur, tu es heureuse de t’être si bien comportée jusqu’à
présent.
Ahhhhhh, mais ce n’est que le début, petite ! Nous savons tous les deux que
dans des moments tels que celui-ci, il va y avoir plus, beaucoup plus, de
choses pour tester ta résolution. Tu vas avoir de nombreuses occasions de
prouver que tu mérites Mes attentions. Oh oui, il y en a beaucoup d’autres
qui souffrent avec joie les plaisirs sadique de ce Maître et qui aspirent à
porter fièrement Son collier, Sa marque, et à être Son esclave. Tu en as
déjà dépassé beaucoup qui ont appris la leçon de « Attention à ce que tu
souhaites ». Un profond sentiment de satisfaction passe dans ton esprit
lorsque tu te rappelles des noms des salopes précédentes qui ont essayé
d’utiliser leurs charmes féminins pour distraire ton Maître. Celles qui se
sont trouvé dans une posture semblable à celle dans laquelle tu te trouves,
mais qui ont crié grâce peu après et n’ont pas tardé à être renvoyées.
Exilées par ce Maître pour en chercher Un autre, inférieur, à servir, un
qui échoue à repousser les limites et à leur faire pleinement réaliser leur
potentiel. Mais puisque jusqu’ici, tu as atteint ou dépassé tous Ses
désirs, cette nuit ne sera pas différente. Avec un sourire, Je sais cela
sur toi. Et ceci n’est pourtant qu’un test de plus pour repousser les
limites de ta résolution. Un que Je suis sûr que tu vas passer haut la
main.
L’intrus en caoutchouc est enfoncé jusqu’à la garde et se niche contre ta
vulve même. Un léger grognement s’échappe de ta gorge, je l’ignore, je sais
très bien qu’il va y en avoir bientôt beaucoup d’autres.
Ensuite, un mince gode qui se termine en une base plus épaisse est plongé
dans un bocal de lubrifiant. Ma main passe sur ton cul pour faire descendre
l’onguent et graisser le gode de la tête jusqu’à la base. Je le tiens bien
en vue et Je le regarde comme un instrument de désir. Ce n’est pourtant
qu’un outil qui va être utilisé sur ton corps d’esclave. Je le masse
doucement avec la patience et la gentillesse dont tu souhaites
intérieurement que je te traite. Mais ce ne va pas être le cas… du moins
pas pendant cette séance. Cette soirée est réservée pour continuer à
t’humilier et t’apprendre que tout ce qui brille n’est pas or.
Je sais que tu n’es pas avec Moi pour de belles paroles. Je comprends que
toutes les félicitations dont tu as besoin sont fournies entre neuf heures
et dix-sept heures. C’est là que tu gagnes l’appréciation pour tes
prouesses mentales. Au travail, c’est là que tu brilles et que tu avances
lentement dans la structure. Ton bureau est l’endroit où tu as une équipe,
des larbins, ceux qui t’embrassent le cul et ne désirent que gagner ton
approbation, ton bureau, et même ta place de parking. C’est là qu’est ton
gagne-pain et que tu exploites tout ce que tu as appris et à quoi tu t’es
formée. Mais là, tu n’es plus à ton bureau. À présent, tu es attachée sur
le sol, avec un gros et épais vibrateur enfoncé profondément et bien
attaché dans ta chatte d’esclave. Et maintenant, sur ton propre tapis, dans
ta maison, tu es allongée devant ton vrai Maître, et sur le point de
recevoir un gode en plastique dans le cul.
Par un mouvement qui ne se soucie pas de savoir si tu vas avoir mal ou pas,
tu sens tes fesses qui s’écartent et la tête de plastique dur du gode
pénètre dans ton cul. Il présente peu de résistance et le gode glisse
d’abord lentement puis plus vite et vient se loger jusqu’à la garde dans
ton cul. La mince paroi entre ta chatte et ton cul repousse les deux intrus
et essaie de trouver un moyen de se faire à leur présence. C’est peu
confortable mais avec le temps, c’est comme si tu avais grandi depuis
l’enfance avec les deux en place. Jusqu’à ce que je les mette en fonction.
Le gros monstre du con se met à tourner et à se tordre dans le sens inverse
des aiguilles d’une montre. Sa tête balaie ta vulve et touche les endroits
les plus sensibles de ta chatte. Juste au moment où le vibrateur en
plastique, plus dur, se met à tourner dans l’autre sens dans le petit
passage de ton trou du cul. Ta taille remue d’un côté et de l’autre, se
soulève et claque en retombant sur le tapis. Au début, tu essaies de
rejeter les intrus hors des deux trous, puis tu découvres soudain des
muscles que tu avais oubliés depuis longtemps, pour les saisir et les
serrer tous les deux en espérant entretenir leur présence envahissante.
Alors que tu penses que l’un d’eux pourrait glisser accidentellement, tu
trouves en toi une force de contrôle inconnue pour les aspirer vraiment
tous les deux et les faire revenir à l’endroit où Je les avais enfoncés.
Ton visage est tout rouge et ta tête roule de plaisir d’un côté à l’autre.
Plaisir de savoir que jusqu’ici, tu as accepté ce que ton Maître t’a donné.
Plaisir car, à mesure que tu contrôles à nouveau ta respiration, tu es
capable de continuer avec ce que ton Maître a en réserve pour ton corps
d’esclave. C’est ta vie, ta vraie vie, que de prendre ce que ton Maître
désire te donner. Afin de prouver que, quoi que ce Maître sadique puisse
avoir à te donner, c’est exactement ce dont tu as besoin pour devenir
l’esclave complète et réussie qu’il exige.
Aucune parole ne franchit tes lèvres. Tu sais bien que le dialogue n’est
pas nécessaire, à moins qu’il soit initié par ton Maître. C’est la
soumission silencieuse qui Lui plaît pendant ces séances. Il se soucie peu
des réalisations que tu as faites aujourd’hui. Le fait que tu puisses avoir
gagné un nouveau contrat, déménagé vers un bureau plus vaste et augmenté
ton équipe des deux tiers n’a aucune incidence sur ta position actuelle qui
consiste à être attachée nue sur le sol avec deux intrus logés dans ton con
et dans ton cul. La seule chose qu’exige silencieusement le Maître à
présent est que tu conserves dans tes deux trous ce qu’Il y a placé. Et
savoir qu’il va y avoir encore d’autres choses à venir avant la fin de
cette séance… Oh, tant d’autres choses… Quelque part, au plus profond de
toi, tu en es avide.
Pendant que les deux trous endurent les intrus, Je me lève et vais dans la
salle à manger. Il s’y trouve une vitrine ordinaire avec des portes en
verre et diverses tasses et plats anciens. Mais nous savons tous les deux
qu’elle comporte un compartiment caché derrière ces objets. Mon coffre à
trésor, empli de jouets que J’utilise de temps en temps sur ton corps
souple.
En ouvrant la porte intérieure, j’expose à ta vue les instruments de
discipline qui te sont familiers. Les pinces, les fouets, les palettes, et
autres. Je les étudie longuement et je les fixe avec étonnement. Je me
demande par quoi nous allons commencer cette nuit.
En me relevant, je prends les trois électrodes métalliques brillantes. Tes
yeux libèrent une petite larme qui coule sur ta joue. Ta gorge émet un
petit hoquet lorsque tu te souviens de la dernière fois où ces appareils
ont trouvé tes points sensibles. Un onguent froid est étalé sur tes tétons
raides et un autre est badigeonné sur ton clitoris, exposé lorsque Je le
dégage de son capuchon. Lorsque Je l’applique, il produit une fausse
sensation de fraîcheur, mais tu sais que c’est autant de plaisir à venir.
Puis les électrodes métalliques sont posées et fixées sur les endroits
humides. Elles se fixent elles-mêmes et ne glissent pas. Pour m’assurer de
leur position, Je prends une télécommande et la dirige vers ton corps.
J’appuie sur le bouton en haut à gauche et maintiens la pression pendant
trois secondes. Ton corps se convulse lorsque neuf watts d’une douleur
tranchante frappent en plein ton mamelon. Ton cri est involontaire et il
emplit la pièce.
« Aaahhhhhhh ! »
Tu hurles lorsque le serpent du courant parcourt tes nerfs et s’installe à
la base de ton sein. Oui, le bruit de la soumission M’attire. Le mouvement
brusque de ton épaule et le fléchissement de tes doigts M’informe sur la
charge des piles. J’appuie sur le bouton en haut à droite et la danse de la
douleur secoue tout le haut de ton corps comme celui d’une stripteaseuse.
Tes hanches s’agitent vers le haut et vers le bas pour tenter de
s’échapper, mais ne perdent pas les deux intrus, tandis que ta poitrine se
secouée de part et d’autre dans une tentative ratée de soulager la douleur
de tes tétons.
Lorsque le troisième bouton, celui du milieu, est écrasé, tes hanches
décollent du sol lorsque le courant traverse ton clitoris. Là commence une
danse inconnue où tu te tords et te tournes pour essayer de te rouler et
d’arracher les trois électrodes qui punissent maintenant tes mamelons et
ton clitoris. Des larmes tombent de tes yeux pendant que j’enfonce et que
je relâche alternativement les trois boutons. Tu ne sais jamais où ni quand
les cuisantes décharges vont se produire et tu essaies d’anticiper la
douleur, mais tu te trompes à chaque fois.
Tandis que la torture continue, ton corps cède et en un instant, tu
t’habitues à l’étrange douleur. En fait, en quelques minutes, tu
l’accueilles vraiment et tu l’attends. Après tout, c’est ta véritable
nature que d’accepter la douleur et le châtiment provenant de ton Maître.
C’est un insigne de courage que tu portes fièrement pour prouver
qu’au-dessus de toute autre chose, tu as appris à accepter, non, à attendre
ce moment que tu passes pour le plaisir de ton Maître. Certainement, tu
sais que l’échec aurait pour résultat que tu serais virée et remplacée par
une autre. Cette pensée est bien pire que n’importe quel traitement offert
par ton Maître à ton corps… à Son corps. Le plus précieux des cadeaux que
tu puisses jamais lui faire.
Au plus profond de toi, quelque part, tu sais que, d’une manière bizarre,
Il t’aime vraiment. Il a besoin de toi pour satisfaire Son besoin de te
punir ainsi. Tu sais que si tu n’étais pas là pour te soumettre à Ses
étranges désirs sadiques, Il ne serait rien. Tu le sais parce qu’Il te l’a
dit lors d’un moment beaucoup plus doux et agréable. Tu fus ahurie qu’il
admît vraiment ce fait. C’est rare, un Maître qui admet que le véritable
pouvoir dans toute relation BDSM est en fait du côté de l’esclave, et non
du Dom. Pourtant, ce Maître, qui est si certain de son statut réel et de
qui Il est, t’a dit cette vérité en plus d’une occasion. Et c’est armée de
ce savoir que tu te soumets complètement à cela et à n’importe quoi d’autre
qu’Il peut être amené à ordonner, pour continuer de Lui plaire. Ainsi, dans
une soumission aimante et bien formée, tu offres ton corps à Son plaisir et
tu acceptes la souffrance.
Tu es stupéfaite qu’Un si grand et si fort pourrait mettre un terme à ton
existence en te brisant le coup d’un geste, et pourtant, à travers la
douleur, tu n’as pas peur de la mort. Même Un aussi sadique que Lui ne se
débarrassera pas un tel trésor. À maintes reprises, à chacun de Ses
caprices, tu es attachée par terre, fouettée sur la croix, courbée et
attachée sur un chevalet, et frappée par divers objets jusqu’à la limite de
l’évanouissement, pour trouver finalement que d’une certaine manière, Il
sait d’instinct exactement où se trouve le point de rupture de ton seuil de
douleur et s’arrête aussitôt. C’est ce qui t’excite le plus. Savoir qu’Il a
l’intention de te sauver et de te garder pour une autre séance à un autre
moment. C’est ce pourquoi tu vis, et la raison pour laquelle tu L’aimes et
Lui fais ainsi confiance.
Il règle la télécommande sur un autre mode qui envoie aléatoirement des
décharges dans tes mamelons et ton clitoris, puis la pose juste à côté de
tes doigts tendus. La règle est toujours que si tu peux à l’atteindre, tu
peux l’arrêter, mais comme d’habitude, tu n’y parviens pas.
Ensuite, il se relève et choisit une règle plate. Il dispose une chaise
au-dessus de ton ventre et s’assoit face à ton clitoris qui te lance, et il
frappe les lèvres gonflées de ton sexe à coups successifs, rapides et
réguliers. L’humidité de la base de la bite en caoutchouc qui s’agite
toujours profondément dans ta chatte éclabousse de cyprine l’intérieur de
tes cuisses. Celle-ci coule ensuite et forme une tache sur le tapis, sous
ton trou du cul distendu.
Les coups tombent sur tes tendres lèvres sexuelles et tes hanches gigotent
sur un nouveau rythme. À chaque fois que tu soulèves ta chatte, du fait de
l’électrode sur ton clitoris ou d’un coup sur tes lèvres, tu fais ensuite
durement claquer ton cul à son retour sur le tapis. Ce qui, évidemment,
enfonce plus profondément le gode en plastique dans ton cul, et occasionne
une constellation de plaisirs qui traversent ton corps tout entier.
Ahhhhhh, la douce acceptation de plaisir et de douleur. Tu découvres alors
que l’un et l’autre sont une même chose. Être utilisée et passer du temps
entre les Mains de ton Maître. Ton esprit cède maintenant à tes émotions,
et la sensation de soumission et de plaisir donné à ton Maître dépasse tout
ce que trahissent tes expériences corporelles. À part les cris et les
gémissements de douleur, et d’autres bruits involontaires que laisse
échapper ta gorge, tu ne fais aucun bruit. Tu es plus que contente d’être
allongée et attachée là, sur le sol, et de fournir à ton Maître quelque
chose que beaucoup d’autres ont échoué à Lui donner. Ta complète
soumission.
Bientôt, tu acceptes toute l’attention qu’Il offre, et cela devient aussi
bienvenu et naturel que si tu étais dans un bain chaud et bouillonnant. Ce
n’est pas la première fois que tu exécutes cette danse. Comme toujours, il
te faut un certain temps pour t’y mettre, et cette fois n’est pas
différente des autres. Le claquement de la règle sur tes lèvres sexuelles.
L’alternance des chocs électriques dans tes tétons et ton clitoris. Les
deux intrus menaçants qui s’agitent et sont enfoncés dans les profondeurs
de ton sexe et de ton cul… tout cela simplement pour un nouvel exercice de
soumission. Cela te réchauffe jusqu’au plus profond de toi. Cela satisfait
le côté sombre de ton existence. Tu te sens finalement entière en sachant
que tu satisfais les besoins de ton Maître comme personne auparavant n’a
été capable de le faire. Et tu restes là, dans une acceptation satisfaite
et triomphante.
Au bout d’un moment, la flagellation de ton sexe cesse. Et l’agitation des
deux intrus également. Tu te sens trompée car tu as réussi à t’habituer à
ces étranges manipulations, pourtant, tu restes silencieuse. Seule
l’expression de ton visage montre ta déception. Je prends la télécommande
et diminue les décharges électriques dans tes mamelons et ton clitoris pour
qu’elles soient plus agréables. À peine assez pour t’avertir qu’elles sont
toujours là, mais pas aussi fortes qu’avant. Tout au plus un doux
bourdonnement. C’est presque réconfortant pour ces endroits sensibles.
Je ressors la bite de caoutchouc de ton sexe et elle frotte les lèvres
copieusement battues de ton sexe. Cela cause un hoquet bruyant qui sort de
tes lèvres. Puis le gode mouillé et luisant est placé juste au-dessus de ta
bouche et je fixe tes yeux. Je souris lorsque tu l’ouvres délibérément et
que tu sors la langue pour lécher et nettoyer amoureusement ton jus de
salope sur toute la longueur du gode tout chaud.
Lorsqu’il est lentement poussé au-delà de ta langue et se loge au fond de
ta gorge, tu t’étouffes presque mais tu relâche les muscles de ta gorge
pour l’accepter. C’est un talent que tu as acquis par la pratique régulière
de ce jeu, et par le fait de sucer sans cesse Ma propre bite longue, dure
et noire.
Comme Je vois que tu as à nouveau maîtrisé le gode, Je le retire de ta
bouche et je tends la main pour attraper ton menton entre Mon pouce et Mon
index. En serrant fort, tu tords tes lèvres et tu les ouvres en sachant ce
qui va suivre. Mes yeux brûlants plongés dans les tiens, Je M’abaisse
jusqu’à ce que Mon entrejambe s’écrase contre ton visage. Ma queue plonge
sans douceur entre tes dents, se glisse contre ta langue et se loge près du
haut de ta gorge. J’écrase Ma toison pubienne noire et frisée contre ton
nez et je la fais aller et venir contre ton visage que je chevauche. À
maintes reprises, elle glisse jusqu’entre tes lèvres, tu inspires
rapidement, avant que la queue noire s’enfonce jusqu’au fond de ta gorge.
Plus vite, plus fort, écrasant ta tête sous Moi, tandis que les électrodes
font danser tes tétons et ton clitoris sur un air inédit.
La seule chose dont tu sois consciente à présent est de satisfaire la
longue queue noire de ton Maître. Et toi, comme d’habitude, tu le fais avec
beaucoup de soin et de dévotion. La baise de ton visage s’accélère et tu
sens Mes couilles gonflées qui se mettent à claquer contre ton menton
renversé. C’est le signe pour toi que tu es en train de gagner la bataille
de la succion de bite. Bientôt, Je gémis et Je grogne, Je saisis ta
chevelure et tire ton visage vers le haut, plus près de Mon entrejambe. Tes
narines sont pleines de ma sueur, et c’est par là que tu respires.
Puis, ainsi que tu savais que cela se produirait, Je me mets à gémir et
grogner et tu goûtes peu après le liquide chaud que tu devais recevoir… la
semence de ton Maître. Le liquide collant frappe d’abord le fond de ta
gorge. Ta langue se sent trompée car elle ne reçoit pas le goût dont elle
est avide et pour lequel tu as travaillé, mais tu sais comment obtenir ce
que tu désires. En utilisant ta langue au bout de Ma queue lorsque je me
retire, tu lapes sa fente et peux enfin goûter la chaude semence de ton
Maître. Tu utilises ta langue pour passer sur les côtés de ta bouche, dans
une tentative pour ne pas l’avaler, mais plutôt pour la mettre de côté,
comme un écureuil met des noix en réserve pour en profiter plus tard. De
cette manière, le foutre de ton Maître emplit ta bouche et goutte au coin
de tes lèvres. Comme tu ne veux pas gaspiller une goutte de ce pourquoi tu
as tant travaillé et souffert, tu avales à nouveau, lentement, cette queue
qui revient en pulsant dans ta bouche.
Lorsque Je sens que les dernières gouttes sont sur le point de disparaître,
je me retire de ta bouche et Je place Ma queue au-dessus de ton visage.
Quelques gouttes filandreuses tombent alors sur ton nez, ton front et tes
paupières, elles te marquent de Mon fluide. Tu es allongée, avec ça qui
coule sur ton visage d’une manière vraiment servile. Puis j’attrape une
poignée de tes cheveux et l’utilise pour sécher ta salive et les résidus de
Mon sperme, et je laisse tes cheveux humides, emmêlés et en désordre.
Je me relève et te laisse attachée par terre ; je reviens une demi-heure
plus tard. Tu n’as aucune idée d’où je suis allé et pendant combien de
temps mais tu n’y peux rien de toute façon. En revenant, Je ne parle
toujours pas. Je me penche vers tes chevilles et Je retire tes talons. Je
sais qu’au cours de cette séance, tes pieds ont produit beaucoup de sueur
pour que J’en profite. Ahh, voici une autre de Mes passions, et tu le sais
très bien. Aussi, lorsque Je détache la menotte d’une cheville, tu lèves la
jambe vers Mon visage pour que j’aie facilement accès à l’essence du parfum
de ton pied. C’est une étape critique de cette séance et tu sais très bien
que si je ne trouve pas le parfum auquel j’aspire, tout cela aura bien pu
être inutile. Car beaucoup d’esclaves ont appris à accepter la douleur et
la soumission exigées par un Maître, mais bien peu parviennent à créer et
conserver le parfum de pied qui mène CE Maître. Et un plus grand nombre
encore d’esclaves ont été virées pour échec sur ce point. Cependant,
considérant que tu portes toujours ces mêmes chaussures à talons depuis
trois semaines, depuis notre dernière séance, tu es certaine que Je vais
l’accepter.
En respirant l’odeur familière de tes orteils et de tes plantes de pieds,
je sais que tu M’as complètement obéi et satisfait à Mes désirs. J’apprécie
pleinement ce parfum de pied que tu as créé pour Moi et pendant près d’une
heure, Je n’ai plus conscience de ton existence, à l’exception de tes
pieds. Les ongles parfaitement manucurés, peints en rouge salope, comme
exigé. La forme de tes pieds, les plis de tes plantes de pieds, si douces
et humides, ainsi que Je t’ai prescrit de les conserver. Tout cela pour le
plaisir de ton Maître.
Une telle obéissance ne restera pas sans récompense, ma petite. Après que
Je Me suis suffisamment calmé et réconforté avec les pieds de Mon esclave,
je soulève un de ces pieds succulents jusqu’à Mon visage et je respire
profondément ce parfum qui vient de toi. Ma longue queue noire revient à la
vie et Mes mains la saisissent. Je la pompe de haut en bas tout en léchant
entre tes mignons petits doigts de pied et, en un rien de temps, ton visage
est une fois de plus enduit comme l’était ta bouche par les giclées
successives de sperme filandreux. J’utilise la raideur de ma bite pour
frapper les côtés de ta figure en giclant du sperme partout sur ton front
et dans tes cheveux, ton nez et ta bouche. Ta langue se faufile pour laper
et lécher ce qu’elle peut atteindre et Je détecte un petit sourire
satisfait qui s’affiche sur tes lèvres. Lorsque J’ai repris mon souffle, Je
ne peux pas éviter de sourire moi aussi. Un sourire approbateur du fait que
tu as une fois encore accompli ce que J’attendais de toi et que tu t’es
avérée digne de porter Mon collier.
À nouveau, J’essuie Ma bite qui goutte dans tes cheveux, puis Je retire les
électrodes et J’éteins la télécommande. Tu gémis lorsque s’arrête
soudainement le bourdonnement continu. Je détache les menottes de tes
poignets et Je t’offre une main. Je te soulève et te remets sur pieds, au
bout de tes jambes tremblantes, J’étreins ton corps bien employé contre le
Mien et J’embrasse doucement ton front en goûtant ma propre semence.
J’embrasse tes cheveux emmêlés et je passe gentiment mes mains sur tes
épaules et le long de ton dos. Je te tiens bien serrée et nous savons tous
les deux que c’est Ma manière d’exprimer Mon approbation. Et ton corps se
détend contre le mien dans l’acceptation d’une séance menée à bien.
Brisant l’étreinte, tu réalises à présent pourquoi je t’ai laissée seule,
attachée, pendant si longtemps, lorsque je t’emmène dans la salle de bain
du Maître. J’ai rempli la baignoire en forme de haricot avec de l’eau
savonneuse bien chaude. J’ai même répandu des pétales de rose sur la
mousse. Je te conduis à l’extrémité de la baignoire et Je te tiens
gentiment la main pendant que tu y entres. Lorsque tu regardes la coiffeuse
sur le côté de la pièce, tu vois que J’ai sorti une robe de soirée
élastique noire avec tous les accessoires nécessaires. Cela te signale que
Je suis vraiment content de toi ce soir et que, pour te récompenser, nous
allons bientôt aller dans l’un de Mes restaurants préférés où, décorée de
ton collier, tu seras traitée comme la Dame que tu es, pendant une agréable
soirée en ville.
Un sourire satisfait s’installe sur ton visage lorsque tu t’adosses et que
tu sirotes le verre de vin que j’ai posé à ton intention de l’autre côté de
la baignoire, tandis que je sors et que je referme la porte avec ces seuls
mots qui résonnent à tes oreilles :
« Bien joué, ma chatte, bien joué ! »
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