Chapitre 2 - Le châlet
La voiture roule depuis un moment, les filles ne parlent pas, ce n'est
qu'à cet instant qu'Aline se manifeste.
- On s'arrête, nous allons faire
le plein, nous avons encore une heure de route avant d'arriver au chalet.
Je comprends alors que nous sommes
partis pour la montagne et la destination est le chalet d'Aline... Elle
a donc prévue d'y passer le week-end avec Mireille et moi. La voiture
arrêtée, les filles descendent, j'entends Mireille dire à
quelqu'un :
- Faites le plein, nous allons faire
quelques courses en attendant.
Heureusement que les vitres de sa voiture
sont teintées, car sinon le pompiste me verrait dans ma drôle
de position!!! Un moment plus tard, le hayon arrière est ouvert,
des paquets sont chargés. Nous repartons pour un trajet encore
long. Enfin la voiture s'arrête, l'ouverture du garage est enclenchée
et quelques secondes plus tard le moteur est coupé, nous sommes
arrivés.
Le déchargement commence et ce n'est que plus tard que je suis
extrait à mon tour. Bien que nous soyons en juin, je sens la fraicheur,
ma tenue plus que légère n'est pas adaptée à
la montagne, je suis libéré des liens des bras et des jambes
et conduit au chalet.
- Je t'autorise à profiter de
la salle de bains, ensuite tu nous rejoindra au salon. Je vais t'enlever
le bâillon et le bandeau, je vais chercher les clés, commence
à te déshabiller en attendant.
Je me déchausse, commence à
retirer le corset, dans le noir, ce n'est pas facile, je finis par me
déshabiller entièrement. C'est à ce moment là
qu'Aline revient.
- Baisse-toi, je vais t'enlever les
cadenas.
Elle m'ôte le bâillon,
puis le bandeau, puis essaye d'enlever le cadenas du collier. Elle s'y
reprend plusieurs fois et finit par me dire:
- Je n'ai pas la bonne clé,
elle est restée à la maison, Tu vas devoir garder la cagoule
en permanence. Tant pis pour toi, de toute façon tu n'as pas le
choix.
Elle pose des affaires sur la chaise
et repart. Nu, je passe directement sous la douche. J'apprécie
longuement celle-ci, d'autant plus que je ne sais pas ce que je vais devenir
entre ses mains, cela commence bien avec la cagoule !!!
Je sors et m'essuie, puis regarde sur la chaise, il y a mes chaussures,
une paire de bas à couture, un porte-jarretelles et un string noir.
C'est tout ce que j'ai à me mettre. J'entends la voix d'Aline qui
m'interpelle.
- Alors tu te dépêches
?
Je n'ai pas le choix, enfile mes affaires
et descend les rejoindre. Aline est sur un fauteuil devant la cheminée,
en train de lire, Mireille est debout à ses cotés, elle
porte un catsuit et une mini robe rouge, ses poignets et chevilles sont
dotés de bracelets de cuir fermés de cadenas, une cagoule
comme la mienne couvre sa tête et un collier assorti orne son cou.
Un jeu de chainettes relie tous les bracelets. Seuls ses yeux et sa bouche
sont visibles. Un maquillage rouge assorti à sa tenue les mets
en valeur. Elle est immobile, comme une statue, ses mains tiennent une
lampe permettant à Aline de lire. Je me présente devant
elles, et attends. Ce n'est qu'une dizaine de minutes plus tard qu'Aline
lève les yeux sur moi.
- Tournes-toi. Les coutures ne sont
pas droites, prends le reste de ta tenue sur la chaise et va te préparer.
J'obéis aussitôt, prends
les affaires et regagne la chambre. Après avoir repositionné
mes bas ,j'enfile ma tenue, robe courte en latex et tablier de devant.
J'ajuste l'ensemble en faisant attention à ce que tout soit parfait
et redescend me présenter devant Aline. Comme tout à l'heure
je dois attendre plusieurs minutes avant qu'elle ne me regarde. Mireille
n'a pas bougé, toujours immobile à ses cotés. Elle
se lève alors et m'équipe de bracelets et d'un collier,
le tout relié par des chainettes, comme Mireille
- C'est mieux, tu vas préparer
la table, et faire le service du repas, mais auparavant tu vas me servir
l'apéritif.
Je me dirige alors vers le bar et commence
alors mon service de soirée. Je porte le plateau avec verre et
le nécessaire, le pose sur la table de salon. Aline trouve alors
que le plateau est trop loin d'elle et me fait mettre à quatre
pattes devant le fauteuil, puis prend le plateau et le pose sur mon dos.
- Ne bouges plus, c'est parfait.
Elle se sert alors et reprend sa lecture,
prenant de temps en temps un toast. Je reste immobile, en face de moi
se trouve la pendule de salon, l'apéritif va durer une demi heure,
temps que je vais passer transformé en table de salon. Aline décide
alors de passer à table, elle fait changer Mireille de position,
et la fait éclairer la table. Je fais le service du repas, me tenant
parfaitement immobile entre chaque plat, enfin quand elle a terminé,
elle dit
- A vous de manger maintenant, allez
à la cuisine, mais avant débarrassez et rangez tout. Fais-lui
comprendre à Mireille, car elle a des bouchons dans les oreilles,
et n'entend presque rien !!!
Une fois terminé, nous nous
y rendons, pendant qu'Aline allume la télévision. Elle nous
rejoint, et nous fait asseoir sur les chaises. Elle passe derrière
nous à tour de rôle et nous attache rapidement par la taille,
avec des sangles, et dit:
- Je vous laisse demi heure, profitez-en,
ne buvez pas trop...
Tant bien que mal, les gestes réduits
par les chainettes, nous commençons à manger. Pour atteindre
les choses, il me faut parfois me lever, entrainant la chaise avec moi,
surtout pour ranger la cuisine et faire la vaisselle.
Aline nous regarde en souriant.
- Bien, vous avez fini, je vais vous
détacher des chaises.
Elle nous reconduit ensuite au salon,
nous fait mettre à quatre pattes devant le fauteuil, face à
face.
- Approchez-vous l'un de l'autre et
levez la tête.
Elle fait des signes à Mireille
pour qu'elle comprenne, nous avançons l'un vers l'autre et arrivons
presque à nous toucher, c'est alors qu'elle attrape les deux chainettes
pendant des colliers, les rejoint et y fixe un cadenas, faisant par la
même occasion toucher nos visages.
- Bien, ne bougez plus maintenant,
je vais regarder mon film.
Elle s'installe alors sur le fauteuil,
allonge ses jambes, les posant sur nos dos, nous transformant en pouf
de salon, puis déroule une couverture qu'elle jette sur ses jambes,
couvrant par la même occasion nos têtes. Elle monte le son
du poste et bien installée, se concentre sur le film.
Quant à nous deux, nous ne bougeons pas pendant un moment, nos
respirations sont confondues. Cependant imperceptiblement, je sens Mireille
bouger sa tête, et l'incliner pour se mettre bien face à
moi. Sa bouche se rapproche alors de la mienne, et malgré les cagoules,
se colle contre mes lèvres, sa langue pénètre en
moi et s'active en un baiser interminable. Je sens monter en moi une douce
chaleur et dans le bas de mon corps une turgescence envahit le string
!!!
C'est à ce moment là qu'Alice retire ses jambes, et se lève
sans toutefois ôter la couverture. Nous restons immobiles, ou va-t-elle
? Quelques secondes plus tard, j'entends ses pas dans l'escalier, Mireille
en profite pour reprendre son activité, m'embrassant de plus belle.
Des pas à nouveau nous font cesser rapidement, Aline redescend
et se réinstalle à nouveau jusqu'à la fin du film.
Elle se lève alors, retire la couverture et nous sépare
l'un de l'autre. Elle me repose le bâillon anneau bien ajusté.
- Bon, ce n'est pas tout, il est tard,
je vais vous installer pour la nuit.
Prenant les chainettes comme des laisses,
elle nous fait monter à l'étage et entrer au fond du couloir
dans une petite chambre. Celle-ci est dotée d'un lit ancien avec
un cadre de bois, les montants sont équipés d'anneaux métalliques
à différentes hauteurs. Elle nous fait mettre de chaque
coté du lit elle revient vers moi, ôte mes bracelets, puis
mes vêtements, me laissant uniquement le string. C'est ensuite au
tour de Mireille, elle fait de même et la laisse aussi avec son
string. Prenant un bandeau, elle la prive alors de la vue en plus de l'ouïe,
puis prend un catsuit noir en latex, lui fait enfiler, le ferme entièrement,
et repose ses bracelets aux chevilles puis aux poignets qu'elle relie
dans son dos avec un cadenas. Elle est entièrement recouverte de
latex hormis sa bouche qui ne tarde pas à être emplie du
bâillon anneau. Satisfaite, elle la fait coucher sur le lit, puis
l'attache, les pieds reliés au fond du lit et le collier à
la tête de celui-ci l'empêchant de bouger. Satisfaite, elle
vient vers moi.
- Elle est parée, à toi
maintenant.
Elle prend un catsuit noir, entièrement
opaque. D'un geste elle m'ôte le string, passe ses mains sur mon
corps nu, ce qui ne tarde pas à me mettre en érection. Elle
commence alors à m'enfiler le catsuit, repose mes bracelets aux
chevilles, les reliant de suite avec un cadenas, elle reprend un instant
son massage et s'arrête brusquement alors que j'étais sur
le point d'exploser. Elle est diabolique !!!
Le catsuit fermé, elle ajuste les bracelets aux poignets, je suis
immobilisé comme Mireille, les mains liées dans le dos.
A nouveau Aline pose ses mains sur mon corps, insistant cette fois sur
les tétons qu'elle pince fortement. Elle me fait coucher sur le
lit et m'immobilise à mon tour. Elle me pousse contre Mireille,
puis commence à nous relier l'un à l'autre avec des cordes,
d'abord au niveau des genoux, puis de la taille et du torse. Elle s'active
ensuite autour de mes poignets, elle y fixe une corde, puis passe l'extrémité
libre entre mes cuisses et celles de Mireille. Un instant plus tard, j'ai
compris qu'elle avait fixé l'autre extrémité aux
poignets de Mireille, ce qui colle nos ventres l'un contre l'autre. Aline
rit.
- Comme ça, vous serez proche
l'un de l'autre, mais attention, s'il y a des débordements je le
verrai et vous serez punis, alors à vous de choisir. Je vous laisse,
passez une bonne nuit...
Aline est partie, Mireille ne bouge
pas pendant un long moment, puis tout à coup esquisse un mouvement
qui la plaque encore plus contre moi, des épaules aux genoux. Ma
verge reprend forme et s'en apercevant, Mireille bouge son bassin et me
bloque. C'est terriblement excitant, j'essaye de me contrôler, elle
ne bouge plus. Quant à moi, ma raideur ne faiblit pas et nous restons
longuement ainsi. Mireille doit craindre aussi les paroles d'Aline...
Finalement, nous nous endormons.
Samedi matin...
Ce qui me réveille c'est l'impression
de sentir quelque chose dans mon dos, Aline est là, silencieusement,
elle entreprend d'ouvrir mon catsuit, descend le zip sous mes fesses,
ses mains gantées de latex entreprennent alors une série
de massages qui me conduisent rapidement à une érection
maximale, ce qui réveille Mireille. Celle-ci colle son ventre contre
moi, profitant de mon état. Aline qui se rend compte de la situation
passe ses mains entre nos torses et me pince les tétons. Ce qui
devait arriver se produit, j'explose tout d'un coup.
Mireille rit, et dit:
- Ce n'est pas bien du tout ce que
tu viens de faire, tu seras puni pour cela...
Je ne peux répliquer et clamer
mon innocence, c'est elle qui est responsables de la situation.
- Bon, c'est l'heure de se lever, je
vais vous détacher, et vous rendre la vue.
Elle me détache du lit, me fait
lever, remplace les bracelets des poignets par des menottes et m'enlève
les bracelets des chevilles. Mon bas ventre est humide, mon bandeau enlevé
je suis devant la glace et ce que je vois confirme ce que je pensais,
le plug vibre à nouveau. Elle s'occupe de Mireille et la détache
à son tour, la libère des différents bracelets, ôte
son bandeau ainsi que son bâillon. Sous la cagoule elle a toujours
ses bouchons d'oreille aussi elle s'approche tout près d'elle,
lui demandant de me laver entièrement à la salle de bains,
et que nous disposons d'une demi-heure. Elle nous pousse dans la salle
de bains et nous laisse.
Mireille s'occupe d'elle en premier,
prend son bandeau, elle me le pose m'aveuglant à nouveau, je l'entend
quelques secondes plus tard prendre sa douche. Un moment plus tard, elle
ouvre la fermeture de mon catsuit, ne pouvant éviter de voir mon
état entretenu par le gode qui vibre toujours en moi.
Mes mains menottées dans le dos l'empêchent de me libérer
complètement du catsuit. Elle me fait asseoir sur le tabouret,
le fait glisser de mes épaules, et repliant mes jambes, me le fait
quitter, celui-ci n'étant plus retenu que par mes bras menottés.
Elle le roule en boule et me le coince dans les mains. Elle commence mon
lavage complet, le dos et ensuite le devant, prenant de toute évidence
plaisir devant cette situation particulière. Elle m'essuie ensuite.
- Je vais dire à Aline que j'ai
terminé.
De toute façon, je ne peux bouger
seul. Quelques instants plus tard, Aline entre dans la salle de bains,
détache les menottes, m'ôte le catsuit, me rattache aussitôt
les mains dans le dos et après avoir vérifié le serrage
du bandeau replace un cadenas, interdisant son enlèvement. Elle
accroche une chaine à l'anneau de mon collier et me tire nu hors
de la salle de bains, on descend l'escalier, arrivés au pied de
celui-ci, elle attache l'extrémité de la chaine à
la rampe et me laisse. Elle revient me chercher quelques minutes plus
tard, je comprends qu'elle m'entraine à la cuisine, me fait asseoir
sur une chaise, glisse une corde autour de ma taille me lie à celle-ci,
mes poignets dans le dos sont eux aussi pris par la corde. Elle m'enlève
alors le bâillon.
- Mireille, fais-le déjeuner,
tu as dix minutes, je vais prendre ma douche.
La porte de la cuisine se ferme, Mireille
me dit alors
- Je vais te faire déjeuner,
tiens, commence par un croissant chaud...
Je sens le croissant devant mes lèvres
et croque dedans, c'est alors que les mains de Mireille se posent sur
mes épaules et lentement elle vient s'asseoir sur moi. Je réalise
alors qu'elle a mis l'autre extrémité du croissant dans
sa bouche !!! Je la sens contre moi, sa poitrine est nue, et le contact
de ses cuisses gainées de nylon m'électrise. Elle soulève
son ventre et d'un seul coup s'empale sur moi. Quel petit déjeuner
!!! En quelques secondes, j'explose en elle. Elle se lève alors.
- Il ne faut pas qu'Aline voit ce que
l'on vient de faire, je vais faire disparaître les traces...
Je sens alors la bouche de Mireille
m'avaler littéralement, ce qui bien entendu n'a pas pour effet
de calmer mon émoi. Mireille imperturbable finit alors de me faire
déjeuner, laissant sur mon ventre une serviette. C'est ainsi qu'Aline
nous trouve quelques instants plus tard. Elle dit à Mireille :
- Vas te préparer dans ta chambre,
nous partirons dans une demi-heure, je t'appellerai.
J'entends Mireille monter l'escalier,
Aline est toujours dans la cuisine, tout à coup, ses mains se posent
sur mes épaules, elle est derrière moi, ses mains descendent
lentement sur ma poitrine et saisissent mes tétons, les pince fortement
ce qui me fait pousser un petit cri. La serviette qui reposait sur mon
ventre est alors transformée en bâillon.
- Comme ça, tu ne pourras pas
crier...
Elle reprend son jeu, se concentrant
sur ma poitrine, puis sa main droite descend et me saisit fermement, le
jeu consiste alors à alterner pincements et va et vient sur ma
verge, m'amenant à une érection totale.
Elle me détache de la chaise, me fait lever, me tire par la verge
et m'entraine dans la maison.
- Que vais-je faire de toi, Mireille
et moi allons profiter de ce beau temps pour aller en excursion, mais
la femme de ménage doit venir, accompagner de son mari qui est
plombier pour réparer la fuite d'eau, il ne faut pas qu'ils te
voient.
On remonte à l'étage
et elle me conduit à la salle de bains.
- Débrouilles-toi, car tu n'y
retourneras pas avant ce soir...
Elle me laisse quelques minutes, puis
revient me chercher, nous parcourrons le couloir, et me fait entrer dans
la chambre.
- Je vais t'attacher sur le lit, Mireille
a sorti les cordes, mets toi bien droit, jambes serrées et bras
le long du corps et ne bouges plus. Avant enfiles ça.
Elle me tend une culotte de plastique
que j'enfile et elle commence alors son ligotage par les épaules
et descend méthodiquement jusqu'aux chevilles. Je ne peux plus
bouger, les cordes font des anneaux espacés d'une dizaine de centimètres,
elle reprend alors d'autres cordes et relie verticalement les anneaux,
des pieds aux épaules, devant et derrière, passant une fois
à gauche et une fois à droite de ma tête. Enfin deux
dernières cordes relient chaque anneau, au niveau des bras, passant
entre mes bras et mon corps empêchant toute tentative de ma part
de faire glisser ceux-ci. Le bondage est total !!! C'est alors qu'elle
appelle Mireille et à elles deux me font basculer sur le lit.
- Toute la journée, il risque
d'avoir froid, on va l'enrouler dans la couverture, aides-moi.
Elles me roulent alors dans celle-ci.
- Passe-moi le sac des sangles, Mireille,
il restera bien dedans comme ça et cela nous aidera à le
fixer au lit pour qu'il ne tombe pas.
Quelques instants plus tard, je suis
attaché sur le lit et l'une d'elle me glisse un oreiller sous la
tête.
- Bon c'est parfait dit Aline, bonne
journée, on pensera à toi, ne t'ennuie pas et ne t'inquiète
pas si tu entends du bruit, ce seront les employés qui travaillent,
je ne te mets pas de bâillon, comme on n'est pas là, ne fait
pas de bruit.
Elle ferme la porte et j'entends la
clé tourner dans la serrure. Je les entend dans le chalet un long
moment, puis le bruit de la voiture me fait comprendre qu'elles sont parties.
Me voilà seul, j'essaye de bouger, en vain, le bondage est parfait
et l'enveloppement plus les sangles qui me lient au lit me collent à
celui-ci.
Je pense que je me suis endormi, ce
sont des bruits dans le chalet qui me réveillent, surement la femme
de ménage et son mari. Ils proviennent de la cuisine. Tout à
coup une voix féminine se fait entendre.
- Tu vas en avoir pour longtemps ?
- Je ne sais pas, mais je vais devoir
changer un partie du tuyau, une grosse heure environ.
- Quelle heure est-il ?
- Dix heure trente.
- Je vais faire le ménage, puisque
c'est comme ça.
Quelques minutes plus tard, l'aspirateur
fonctionne dans le séjour, le bruit des chaises et fauteuils que
l'on bouge, montre que le travail est bien fait. Cela dure un long moment,
puis la voix de la femme se fait à nouveau entendre.
- Je vais aller faire les chambres,
puisque j'ai le temps, je monte.
A ce moment là, je réalise
qu'elle va venir, mais je me souviens aussi qu'Aline a fermé la
porte à clé avant de partir. A nouveau l'aspirateur fonctionne
à l'étage, elle fait le couloir, puis les deux chambres
d'Aline et de Mireille. Tout à coup, la poignée de ma chambre
est tournée, puis une deuxième fois en vain. C'est à
ce moment là que la femme de ménage parle à nouveau,
elle réfléchit à haute voix.
- Mais pourquoi ont-elles fermé
cette chambre, elles sont agitées ces filles, tant pis, je ne vais
pas la nettoyer.
Elle repart, puis quelques minutes
plus tard, une clé tourne dans la serrure...
- Je savais bien que la clé
du placard ouvrait toutes les chambres, voilà.
La porte s'ouvre tout à coup,
le clic de l'interrupteur, puis sa voix, mais cette fois très peu
forte.
- Qu'est-ce c'est que ça ? Elles
ont encore recommencé, un nouveau colis, et bien emballé.
Elles sont folles ces deux.
Tout à coup, une main se pose
sur moi, et commence à travers la couverture à me palper,
d'abord au niveau de la poitrine, puis plus bas.
- Pas mal le paquet, et bien ficelé
à ce que je vois. Bon cela ne va pas m'empêcher de faire
le ménage.
Elle active l'aspirateur et se met
à le passer dans la chambre. C'est à ce moment la que la
voix du plombier se fait entendre.
- J'ai fini, tu veux que je monte chercher
ton matériel ?
La voix de la femme de ménage
dit aussitôt :
- Non, non j'ai terminé, je
vais descendre, charge la voiture en attendant.
Elle replie son matériel et
soudain j'entends près de mon oreille :
- Je vais revenir en début d'après-midi,
mais seule... A tout à l'heure beau prisonnier.
Elle sort de la chambre et referme
à clé aussitôt.
- Voilà, j'ai terminé,
viens prendre l'aspirateur sur le palier si tu veux.
Quelques minutes plus tard la voiture
s'éloigne du chalet. Je suis surpris par la tournure des évènements,
apparemment, ce n'est pas la première fois qu'Aline amène
quelqu'un dans le chalet, mais quelles sont les intentions de la femme
de ménage ?
Une voiture s'arrête devant le
chalet, serait-ce le retour de la femme de ménage ? Je ne vais
pas tarder à le savoir. Quelques minutes plus tard, la clé
tourne dans la serrure, quelqu'un entre dans la chambre.
- Me voilà, j'ai toute l'après-midi
devant moi, elles rentreront tard, je les ai eues au téléphone,
je leur ai dit qu'il y avait une soirée dansante au Club, et que
ce serait dommage qu'elles la loupent, et que je passerai fermer les volets
pour qu'elles soient tranquilles. Elles ne savent pas que je connais leurs
manies, mais que j'adore pratiquer aussi. Voyons voir, je vais te déballer
un peu, mais avant tout, te mettre un bâillon, ce sera mieux.
Elle me pose le bâillon anneau
et entreprend de défaire les sangles, la couverture est tirée,
me laissant nu, avec ma culotte de plastique sur le lit, entièrement
saucissonné.
- Bon, pas mal protégé
et bien attaché, je ne vais rien enlever, les possibilités
sont nombreuses à exploiter.
Je sens qu'elle monte sur le bord du
lit et soudain, me retourne comme une crêpe.
- C'est pas mal de ce coté non
plus, je vais te chauffer un peu les fesses, elles ne verront rien, je
doute qu'elles te déballent au retour, il sera trop tard.
Un martinet s'abat soudainement sur
mes cuisses, puis remonte sur mes fesses à travers la culotte et
le bas de mon dos, cela dure un long moment, j'essaye de me soustraire
aux coups en vain, une chaleur monte en moi, je dois être cramoisi.
- Les lanières sont larges et
ne laissent pas de trace, sauf que tout devient rouge, bien sur !!!
Elle reprend son action, poursuit sur
l'ensemble de mon corps, l'impression de chaleur ne me quitte plus. Je
l'entends à nouveau près de moi, ses mains se posent sur
moi et me mettent sur le coté, puis je sens contre mon ventre et
le haut de mes cuisses comme un gros coussin, elle me fait basculer sur
le ventre et je me retrouve cette fois les fesses en l'air.
- C'est parfait, allez encore quelques
coups pour bien rougir ton fessier.
Elle baisse la culotte et le martinet
entre à nouveau en action pour plusieurs minutes, puis je sens
ses mains contre mes fesses, elle a mis des gants de caoutchouc, elle
écarte celles-ci. Que vas-t-elle faire ? Je commence à paniquer.
- Ne bouges pas, je vais combler ce
trou devant moi.
Je sens alors le contact d'un objet,
un plug ! Lentement, mais fermement, elle l'introduit en moi jusqu'à
ce que je sente le contact de la partie large contre mes fesses et remonte
la culotte.
- Tu vois, cela rentre bien avec un
bon lubrifiant.
Elle me retourne alors d'un seul coup
sur le dos, bloquant en même temps l'objet en moi. Je ne suis pas
insensible à son action et cela se voit.
- Oh, mais tu as l'air d'aimer ça
dis-moi.
Ses mains gantées s'emparent
de mes tétons et les triture fortement.
- Bon quelques pinces à linge
en bois maintenant, rien de mieux pour entretenir ton état.
Elle commence par mes seins, puis mes
bourses, suivent les cuisses, le ventre. Je pense qu'elle ne s'arrête
que lorsque toutes ont été placées. Je sens alors
le martinet se promener sur moi, faisant bouger les pinces, c'est diabolique.
Je pense que mon érection est maximale à ce moment là.
- Mais cela t'excite mon salaud, tu
aimes ça, eh bien, tu vas en profiter, je vais te laisser un bon
moment avec.
Pendant quelques secondes, sa main
gantée glisse sous la culotte, s'empare de ma verge et me lâche
au moment ou la pression monte.
- Gardes tes forces pour tout à
l'heure. Je reviendrai plus tard, je vais voir ma copine. Qui sait, peut-être
je lui parlerai de ce que j'ai fait de toi...
Elle s'en va, et la voiture s'éloigne
du chalet, me voilà seul et sous la torture des pinces qui se font
sentir partout sur mon corps. Combien de temps cette situation a durée
? Le fait est que les pinces agissent et j'aimerai bien qu'on me les enlève.
Enfin une voiture s'approche, quelques instants plus tard, la porte de
la chambre s'ouvre.
- Alors comment as-tu passé
cette heure qui vient de s'écouler ?
C'est bien la femme de ménage,
elle a remis les gants de caoutchouc et se promène à nouveau
sur mon corps, quelques pinces tombent, à chaque fois je sens l'afflux
de sang et cela provoque un grognement de ma part.
- Je vais t'en enlever quelques unes
de plus, mais avec le martinet, tu vas voir, tu vas apprécier...
Effectivement, elle se met au travail
et de nombreuses pinces sautent, me faisant sursauter à chaque
fois. Cela produit aussi un autre effet dont-elle ne peut pas ne pas voir.
- Mais tu aimes ça, tu es vraiment
maso.
Ses mains, nues cette fois, baissent
ma culotte, s'emparent de ma verge et lentement font des va-et-vient.
C'est à ce moment là que je reçois de nouveaux coups
de martinet. Elle n'a pas trois mains !!! Il y a donc quelqu'un avec elle,
une personne qui ne parle pas, mais qui m'a pris en main !!!
Cette personne s'allonge sur moi tête bêche, elle est nue
de toute évidence et je sens des sangles se serrer et nous lier
ainsi l'un à l'autre. De toute évidence, nous sommes collés
l'un à l'autre, je ne sens pas ses bras ni ses mains, ce qui laisse
supposer qu'elle les a maintenant liées dans son dos. Sa bouche
est contre ma verge et tout à coup m'avale littéralement.
- Mais c'est bien comme ça,
je vais vous laisser une petite heure, vous pourrez profiter de ce contact.
Allez, vides-le pour voir si tu peux et pas de saletés donc débrouilles-toi.
Ma " partenaire " se remet
à l'uvre et en quelques secondes arrive à ses fins.
- Bien, je vous laisse, tu peux recommencer
si tu veux dans quelques minutes, tiens prend ça dans tes mains,cela
pourra te servir.
Elle s'en va et à nouveau repart
du chalet.
Ma partenaire d'infortune a reposé
sa tête sur mon bas ventre, mais quelques minutes plus tard ,sa
langue commence à se mettre en action et me redonne de la vigueur.
Se soulevant légèrement; je suis à nouveau avalé
et ne peux résister à ses attentes. La scène va se
reproduire, elle est vraiment insatiable, et jouit plusieurs fois. Quant
à moi, je m'épuise à ce jeu et ai du mal à
répondre à ses attentes. Une vibration se fait en moi, mon
plug vibre, elle lui a mis la télécommande dans les mains,
et elle essaye ainsi de me réactiver.
C'est ainsi que va nous trouver la
femme de ménage à son retour.
- Vous avez l'air ramolli complètement,
il est bientôt dix neuf heures, il faut partir, on va tout remettre
en place.
Elle détache alors ma partenaire
et remet la culotte en place et la couverture sur moi, puis les sangles
comme elle m'a trouvé.
- Je vais t'enlever le bâillon,
surtout pas un mot à qui que ce soit de notre passage, bien compris
?
Je fais oui de la tête et elle
m'ôte le bâillon. Quelques instants plus tard, elles sont
prêtes à partir.
- Allez, fais-lui un petit câlin
avant de partir, tu en as bien profité, non ?
Ma compagne d'après-midi posant
une main sur ma verge à travers la couverture, m'embrasse alors
longuement, jusqu'à ce que j'ai montré par une nouvelle
raideur que j'avais apprécié la situation.
- On s'en va, la maison est fermée,
elles ne rentreront pas avant plusieurs heures encore, mais tu aimes-ça
n'est-ce-pas ? Bonne soirée et qui sait, à une autre fois
?
Elles repartent me laissant dans ma
méditation avec toujours le plug enfoncé en moi. Je finis
par m'endormir et c'est le bruit de la voiture d'Aline qui me réveille.
Elle ouvre et entre dans la chambre.
- Alors, tu es toujours là ?
Mais tu n'as pas bougé du tout, c'est bien. Il est très
tard, je n'ai pas le courage de te changer de position, on verra demain
matin, bonne nuit.
Elle sort de la chambre et me laisse
ainsi. L'activité de la journée ,malgré mon immobilité
a été intense et finalement je m'endors moi aussi.
Dimanche matin...
Des bruits dans la maison me font comprendre
qu'elles sont levées, personne ne vient me voir, et je me demande
si elles vont me laisser ici encore longtemps. Enfin la voix d'Aline se
fait entendre.
- Il est 8 heures, tu as bien dormi,
tu es reposé, couché depuis hier, mais peut-être tu
as envie de passer à la salle de bains, je vais te détacher.
Elle me libère, et sans me faire
prier file directement à la salle de bains, réussissant
à lui cacher le plug qui est en moi. J'ouvre la douche et m'y glisse
dessous, appréciant vivement cet instant. Les marques des cordes
sont encore présentes, Aline tout à coup m'appelle et m'ordonne
de descendre nu. Je m'empresse de m'essuyer et descend à la cuisine.
Elles sont la toutes deux, Aline en survêtement et Mireille avec
un body et une cagoule de latex rouge, des bracelets de cuir aux poignets
et chevilles.
- Allez, tu déjeunes et ensuite
on va décider de la journée, il fait beau nous allons en
profiter pleinement avec Mireille.
J'en conclus que pour moi, cela va
être encore une journée de privations. Sur la table de la
cuisine, deux sacs à dos sont prêts, n'attendant que les
filles pour une promenade, pour la journée semble-t-il. A peine
le déjeuner terminé, je suis rejoint par Mireille qui porte
un carton. Elle pose celui-ci sur la table et commence à en sortir
plusieurs choses, en premier une culotte de plastique, un collant noir
opaque et un body raz-le-cou à manches longues qu'elle me tend.
- enfiles-les le temps que je vide
le carton, Aline arrive.
Je les prends et pendant que je les
enfile, elle sort des bracelets, diverses chaines, une boite de cadenas
et une autre contenant des maillons rapides à vis (attache rapide).
Elle passe derrière moi et remonte la fermeture dans mon dos jusqu'au
cou. Un " clic " me fait comprendre qu'elle a fixé l'anneau
de la fermeture du body à un anneau du collier avec un petit cadenas.
Puis le bâillon anneau vient prendre sa place et Mireille le fixe
solidement.
- Comme ça, tu ne pourras pas
l'enlever, si tu étais libre de tes mouvements, mais cela ne sera
pas le cas.
Mireille repart et monte à l'étage,
Aline arrive alors, elle est en tenue de montagnarde, elle entreprend
de me poser les bracelets aux poignets et chevilles, les condamnant avec
des cadenas.
Elle prend une longue chaine et fixe une extrémité à
l'anneau du collier devant mon cou avec un maillon, fait descendre la
chaine jusqu'à ma poitrine, l'entoure et à l'aide d'un nouveau
maillon la fixe sans laisser de jeu, puis recommence autour de la taille.
Elle passe l'extrémité de la chaine entre mes cuisses et
la remonte en la tendant. Trois nouveaux maillons lui permettent de la
fixer à la taille, sous la poitrine et à un anneau du collier
derrière mon cou, ce qui constitue un début de réseau
de chaines.
Elle tire sur la chaine, s'assure qu'elle est bien tendue, ensuite à
l'aide d'une petite clé à molette, elle serre les dispositifs
de vissage de chaque anneau les rendant impossibles à ouvrir sans
un outil.
Elle passe aux jambes, et recommence un maillage serré en partant
des pieds, chevilles. mi-tibias, sous et au-dessus des genoux, puis à
mi-cuisses, et une dernière au niveau du bas-ventre. Ces chaines
sont reliées entre elles par une autre chaine attachée devant
à celle de la taille et par son équivalent à l'arrière.
Les maillons servent pour les liaisons, bloqués méthodiquement
l'un après l'autre.
Seuls mes bras sont encore libres, mais pas pour longtemps, deux maillons
passés dans les anneaux des bracelets sont fixés à
la chaine du bas-ventre au niveau des cuisses, puis des chaines plus courtes
bloquent les bras le long du corps. Aline prend une nouvelle chaine, elle
attache une extrémité à la cheville droite, puis
la fait remonter le long de ma jambe jusqu'à l'épaule, un
maillon la fixe, puis à l'aide d'autres maillons, elle relie tous
les anneaux transversaux à cette chaine. Elle fait une boucle large
autour de mon cou, bloquée avec un maillon et redescend sur le
coté opposé en faisant les mêmes opérations,
terminant en passant l'extrémité sous mes pieds et l'attache
à l'autre extrémité de la même chaine près
de ma cheville droite.. Cette fois, je suis comme dans une cage métallique
souple.
- Te voilà bien enchainé,
encore deux chaines verticales au niveau de tes tétons et ce sera
parfait.
Un quart d'heure plus tard, je suis
entièrement pris dans une cage métallique qui colle parfaitement
à mon corps, Aline vérifie le serrage de tous les maillons
avec sa clé, en les bloquant un à un de toutes ses forces.
- Bon, que vas-t-on faire de toi maintenant
?
Aline se tourne et voyant une poutre
transversale, près de l'escalier, pas loin de moi, semble avoir
fait son choix.
- Je te soutiens, sautille jusque sous
la poutre, allez avance.
Lentement je sautille et me déplace
de quelques mètres.
- Parfait, ne bouges plus.
Aline va chercher deux nouvelles chaines
et les passe sur la poutre, les pans tombent sur moi.
- C'est bon, je vais te relier maintenant,
avant je vais te faire mettre sur ce dictionnaire.
Approchant un tabouret du bar contre
moi, elle me fait poser mes fesses dessus et glisse alors sous mes pieds
le dictionnaire qui me surhausse de quelques centimètres. Aline
me fait mettre debout dessus et revient près des chaines, ayant
pris au passage quatre cadenas.
- Allez, mets-toi sur la pointe des
pieds.
J'obéis, bien que l'équilibre
soit précaire, elle fixe les deux pans de la première chaine
latéralement aux chaines verticales en la tendant au maximum, puis
fixe les deux pans de l'autre chaine à l'anneau horizontal qui
se trouve au niveau de ma poitrine.
Aline vérifie la tension des chaines et s'appuyant contre moi,
me déstabilise et d'un coup de pied fait glisser le dictionnaire.
Je me retrouve pendu, les pieds à quelques centimètres du
sol.
- Eh bien voilà, c'est parfait,
tu ne peux plus rien faire, si il reste encore quelque chose, mais tout
à l'heure.
Elle appelle alors Mireille, lui disant
qu'il est 9h30 et qu'elles vont partir. Celle-ci descend, vêtue
comme Aline, avec la différence que ses poignets sont toujours
équipés des bracelets et son cou porte un lourd collier
de cuir avec plusieurs anneaux.
- Nous allons prendre le chemin derrière
la maison et suivre le GR, si tout va bien, nous rentrerons vers 16h00,
viens ici, mets ton sac sur le dos, mais avant ramasse tout ce qui est
sur la table et va le porter dans la benne à ordures.
Mireille s'exécute et un quart
d'heure plus tard revient et s'équipe de son sac. Aline vient et
me fixe le bandeau m'isolant totalement, suspendu dans l'air.
- Jusqu'à ce soir, j'ai peur
que tu prennes froid, je vais y remédier, nous avons le gros rouleau
de film plastique, je serai plus tranquille.
Je sens tout à coup qu'elle
déroule autour de moi le film plastique, en quelques minutes je
suis entièrement enveloppé par dessus les chaines, cela
m'immobilise encore plus, des pieds au cou, seule ma tête est épargnée.
- Bon, c'est parfait, allons-y partons.
J'entends la porte claquer et la clé
tourner dans la serrure, me voilà seul pour plusieurs heures, la
position n'est pas trop dure, les chaines sont bien équilibrées
et me soutiennent totalement. Seule la notion du temps qui passe va m'occuper,
pour l'instant le chant des oiseaux en ce début de matinée
est présent. Aucun autre bruit ne parvient au chalet isolé
des autres habitations de plusieurs centaines de mètres.
J'entends le clocher du village sonner les heures, 10 puis 11 et maintenant
midi j'ai l'impression d'être prisonnier depuis longtemps, et ce
n'est pas fini.
Un bruit me fait sursauter, la clé dans la serrure, quelqu'un rentre
dans la maison, les filles ont sans doute décidé d'écourter
leur promenade. Ce qui me paraît bizarre, c'est qu'elles ne font
aucun bruit, pensent-elles que je dors ?
Tout à coup, je sens des mains
me toucher, mes tétons sont pincés à travers le plastique,
puis les mains se portent sur mes fesses et parfois sur mon sexe. Qui-est-ce,
Aline ou Mireille, je ne le sais pas, ce qui est sur c'est qu'elle a décidé
de me mettre en émoi. Tout à coup, je sens qu'elle découpe
le plastique autour de mon ventre, écarte le body, baisse le collant
et la culotte, libère ma verge qui est aussitôt prise en
main. En quelques secondes, je suis en érection. Les mains abandonnent
leur action pour se reporter sur mes tétons et mes fesses, ce qui
me maintient en émoi.
Puis plus rien, est-elle allé faire quelque chose dans la maison
? Toujours aucun bruit ne me parvient. C'est à ce moment-là
que je suis littéralement avalé, la bouche qui m'enveloppe
est active et vorace, s'écarte lorsqu'elle sent que je risque de
me lâcher. L'expérience va durer un très long moment,
jusque à mon éjaculation. Elle reprend son action et me
nettoie minutieusement, puis je sens qu'elle découpe le plastique
me libérant de celui-ci. Aussitôt, j'entends le rouleau de
film plastique et son contact sur moi, elle m'enveloppe à nouveau
entièrement, tout en tendant le plastique au maximum, et en posant
plusieurs couches, des pieds aux épaules.
Me voilà encore plus emballé, puis plus rien, si ce n'est
le bruit de la clé qui tourne dans la serrure. Je suis seul à
nouveau semble-t-il dans la maison. Qui est venue me traiter de la sorte
? J'avoue que cela m'intrigue, la seule autre personne disposant de la
clé est à ma connaissance la femme de ménage. Serait-elle
venue en douce ?
17h ont sonné quand j'entends
cette fois Aline et Mireille revenir de leur promenade. Sans se préoccuper
de moi, elles vont et viennent dans le chalet. Aline fait remarquer qu'elles
sont en retard et qu'elles doivent se dépêcher de partir,
Mireille est chargée de préparer les affaires et de les
mettre dans la voiture, Aline demande à Mireille :
- Je ne trouves plus la clé
pour défaire les anneaux des chaines, tu l'as prise ?
Non réponds Mireille. Aline
reprends :
- Mais elle était sur la table
dans le plastique.
C'est à ce moment que Mireille
dit:
- Le plastique, mais il y avait des
saletés, je l'ai jeté avec le reste des ordures dans le
container métallique.
Aline dit alors:
- Il est impossible de récupérer
le sac, on ne peut pas ouvrir la trappe du container, et il n'y a pas
d'outils ici, il ne nous reste plus qu'à le ramener attaché,
on le libèrera à la maison. Viens m'aider à le mettre
dans la voiture.
Elles viennent près de moi,
me mettent le dictionnaire sous les pieds et détachent les chaines
qui me suspendent, puis me soutenant chacune d'un coté, elles me
font sautiller et lentement je suis conduit à la voiture au garage,
et installé sur le siège arrière. Elles me mettent
la ceinture qui me maintient droit sur le siège. Aline dit :
- Eh bien, tu vas être satisfait,
tu es attaché encore pour un certain temps.
Elles s'affairent encore un moment
et nous voilà partis pour rejoindre la maison. Le trajet de retour
se passe sans problème. Enfin la voiture s'arrête, je ne
sais pas ou nous somme, Aline se manifeste alors.
- Il est tard, on va te faire rentrer
chez toi, on verra pour la suite.
Je n'en sais pas plus, Aline et Mireille
comme au chalet, me font sautiller pour entrer dans la maison, elles me
guident chacune d'un coté et me font coucher sur le canapé.
C'est à ce moment la que le portable d'Aline sonne, elle est dans
la cuisine vraisemblablement. Elle parle quelques secondes, puis revient
dans le séjour en disant.
- Je dois partir, on m'attend, Mireille,
tu viens avec moi, Marc ne risque rien, on va le laisser, on reviendra
le détacher plus tard.
Je les entends encore quelques instants
et la porte se ferme, elles m'ont laissé sans rien me dire de plus
que ce que j'ai entendu. Le temps passe, rien ne se passe et je finis
par m'endormir ainsi sur le canapé.
Je me réveille enfin, quelle heure peut-il être ? Je n'en
ai aucune idée, je suis toujours aveuglé et rien ne filtre
à travers le bandeau. Tout à coup le téléphone
sonne, bascule sur le répondeur, je reconnais aussitôt la
voix d'Aline :
Lundi matin...
Bonjour Marc, tu as bien dormi, il
est neuf heures, on n'a pas eu le courage de revenir hier au soir, nous
sommes au travail et avons de nombreux rendez-vous, aussi j'ai demandé
à Anna de venir te libérer, elle m'a dit qu'elle viendrai
dès que possible. Ne t'impatientes pas trop ! Je t'embrasse.
(à suivre)
|