Histoires Des Invitées

Le Transfert D'Elise

Par Thierry D

Elise a commis un délit dont nous ne parlerons pas. Elle est donc détenue. Elle doit être transférée dans une autre prison pour purger sa peine plus près de sa famille. Bien sûr elle a demandé son transfert, mais elle appréhende terriblement celui-ci. Elle aimerait pouvoir sortir discrètement de la prison et se rendre elle même dans l'autre prison, mais bien sûr ce n'est pas comme cela que cela se passe.

Le soir une surveillante vient l'informer de son transfert le lendemain. Elle doit mettre toutes ses affaires dans un sac.

Comme elle est terriblement excitée à l'idée d'être exhibée menottée entre des gendarmes, elle choisit le lendemain de mettre sa minijupe en cuir noir, collant noir, escarpins à talons aiguille et un chemisier à manches courtes, que les menottes soient bien visibles sans qu'elle puisse les cacher. Elle met tout le reste dans son sac et attend avec angoisse et excitation. Elle guette les pas dans le couloir. Elle a encore le temps d'ouvrir le sac, mettre un jean et un pull à manches longues pour attirer moins l'attention, mais elle attend résistant à l'envie de faire marche arrière.

Elle finit par entendre des pas qui se rapprochent, qui, c'est désormais sûr viennent vers sa cellule. On ouvre, une surveillante lui ordonne sèchement "Transfert, mains dans le dos". Elle ne peut plus reculer. Conformément au règlement, elle sait que les détenues sont menottées lors des transferts dans la prison. Elle se lève, tourne le dos à la porte et à la surveillante, met ses mains dans le dos.

Elle sent qu'on lui passe une paire de menottes simples (des "menottes bracelets"). Elle se recule et se retrouve dans le couloir. Une seconde surveillante prend son sac et le trio se met en marche dans le couloir.

On arrive dans une pièce où quatre gendarmes vont prendre en charge Elise. Le regard des hommes indique immédiatement leur excitation à l'idée d'escorter une telle femme sexy avec sa tenue inhabituelle. Des questions sur son identité, des papiers administratifs qui passent de main en main et une surveillante lui enlève les menottes.

C'est au tour du chef d'escorte de sortir une paire de menottes de gendarme, avec une chaîne de conduite, crochets ouverts. "Vos poignets" Elise s'exécute, dévisagée par les gendarmes. Désormais plus possible de demander à se changer. C'est la marche vers le fourgon cellulaire, la sortie et la route vers la gare.

Là c'est le grand saut, la porte s'ouvre et un gendarme tire sur sa chaîne de conduite. Elle sait que si elle résiste, la chaîne va se tendre et le gendarme va tirer et la forcer à sortir. Donc pas d'alternative. Elle baisse les yeux et contemple ses bras et ses avants-bras nus avec la paire de menottes bien visible et que tout le monde dans la gare peut voir.

C'est la marche devant la gare, puis dans le hall, puis sur le quai. Le train n'est pas encore arrivé, elle attend donc sur le quai en minijupe de cuir, menottée et sous le regard des voyageurs.

Enfin le train arrive et on la monte dans un compartiment où elle va devoir s'assoir sous le regard des gendarmes, que l'on devine excités par cette allumeuse.

La suite est connue. Enfin elle finit dans une nouvelle cellule, après bien sûr avoir du subir une fouille intime, nue devant des femmes. Une fois la porte de la cellule refermée, elle se précipite sur le lit pour se caresser et se déstresser.

Mesdames, si ce récit vous plait reportez-vous à mon annonce sur ce site pour en parler, et plus si vous le voulez.
Thierry D

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