Histoires Des Invités
L’histoire de Sarah
Par Crumb
Traduit par Rose Mimbo
1. Une lecture passionnante
Sarah, 30 ans, 1m80, mince, cheveux longs blonds foncés jusqu'à la taille,
caissière de banque depuis 10 ans et toujours célibataire.
Elle a eu de nombreux rendez-vous, mais aucun homme n'a jamais pu la faire
se sentir assez comblée pour s'engager. Elle a toujours senti que quelque
chose manquait dans sa vie. Elle déteste son travail. Elle n'a plus aucune
idée de ce qu'elle veut faire de sa vie. Rien ne la satisfait.
Un vendredi après le travail, elle rentre dans son appartement et se
déshabille tout de suite. Il fait très chaud et on étouffe dans son
appartement. Elle ouvre les fenêtres et ferme les stores pour pouvoir se
sentir libre de se promener nue sans que ses voisins l'espionnent.
Elle se prépare un grand verre de thé glacé et va dans la salle où se
trouve son ordinateur, allume l'écran et a commencé sa recherche rituelle
avec le mot-clé BDSM. Elle atterrit sur un site où il n'y a que des
histoires écrites par des gens ordinaires qui veulent les partager avec le
public. Sarah est tombe sur le titre d'une histoire qui attire son
attention : « Mon esclave ». Elle lit le petit texte de présentation et
décide que ce sera l'histoire qu'elle va lire ce soir.
Peu après le début de l'histoire, Sarah devient très chaude et humide. Elle
se met à jouer avec son clito et à se pincer les tétons pendant qu'elle
lit. Au bout d'une demi-heure, elle n’en peut plus d’attendre l'orgasme
dont elle a désespérément besoin et commence à se doigter furieusement.
Elle a l'un des meilleurs orgasmes qu'elle ait eu depuis longtemps. En
temps normal, Sarah n’envoie pas de courriel aux auteurs des histoires
qu'elle lit, mais celle-ci l'a véritablement fascinée et elle veut vraiment
faire savoir à l'auteur à quel point son travail est bon. Elle clique sur
le lien pour lui envoyer un courriel. Il se présente sous le nom de Maître
Erik. Elle lui raconte à quel point sa chatte est devenue humide dès
qu'elle a commencé à lire et à quel extraordinaire orgasme elle a eu. Elle
lui explique qu'elle n'a pas encore fini de le lire et qu'elle avait hâte
d'y revenir. Elle signe le courriel... Sincèrement, Sarah xo.
Sarah se remet à lire. Au bout d’une heure, elle décide qu'il est temps
d'aller préparer le dîner. Au moment où elle s'apprête à éteindre son
ordinateur, elle entend le son familier qui l'avertit qu'elle a du courrier
entrant. Elle décide de jeter un œil à son courrier avant de fermer. C'est
une lettre de lui, Maître Erik ! Elle l'ouvre rapidement et se met à lire.
« Bonjour Sarah,
Je suis très heureux que vous ayez trouvé mon histoire passionnante. J'ai
apprécié vos commentaires et la description de la façon dont vous avez joué
avec vous-même pendant la lecture. Vous m'avez rendu curieux et j'aimerais
maintenant que vous répondiez à certaines questions sans tarder. J'attends
de vos nouvelles, je vous donne une demi-heure pour compléter cette liste
de questions.
1. Êtes-vous mariée ?
2. À quoi ressemblez-vous ? Décrivez-vous en détail et envoyez une photo de
vous avec votre réponse.
3. Quel âge avez-vous ?
4. Depuis combien de temps vous intéressez-vous au monde du BDSM ?
5. Combien de personnes ont utilisé votre corps ?
6. Quels trous ont-ils utilisés ?
7. Avez-vous déjà été possédée ou entraînée comme une esclave-salope ?
8. Où habitez-vous ?
Ce sont toutes les questions pour le moment. J'attends de vos nouvelles. Ne
me faites pas attendre trop longtemps, je me mets facilement en colère.
M E »
Sarah est nerveuse, on ne lui a jamais dit quoi faire de sa vie et on ne
lui a certainement jamais posé ces questions personnelles. Elle se met en
colère, marmonne « Va te faire foutre ! » et éteint rapidement son
ordinateur. Elle a faim, après tout, et elle n'a pas l'intention de courber
l’échine devant un parfait inconnu, surtout un provenant de l’ordinateur.
Sarah va prendre son dîner puis se couche, elle a eu une journée épuisante.
Toute la nuit, elle rêve de cet étranger, Maître Erik. Des rêves chauds,
des rêves où il lui ordonne de faire des choses qu'elle n'aurait jamais cru
possibles. Elle se réveille très humide et très excitée.
2. La réponse de Sarah
Une brise fraîche entre dans la chambre de Sarah par la fenêtre ouverte.
Elle dégage sa couverture d'un coup de pied et s'étire. Elle commença à
masser ses mamelons et lentement, une main se glisse vers son endroit
humide le plus secret. Elle commence à masser sa chatte à un rythme lent.
Elle met un doigt dans son vagin, l'en retire et le porte lentement à ses
lèvres pour goûter à sa douceur. Elle aime vraiment se goûter elle-même.
Elle se remet à penser à Maître Erik pendant qu'elle se fait du bien et
commence à se sentir coupable. Elle cesse brusquement de jouer avec
elle-même, même si elle a désespérément envie de se libérer. Mais l'envie
de contacter ce Maître Erik est forte dans son esprit. Elle veut lui dire
ce qu'elle pense. Elle se lève rapidement, enfile son peignoir et se rend
aux toilettes pour se soulager. Ensuite, elle se lave puis se rend à la
cuisine pour se préparer une tasse de café, tout en pensant qu'elle va dire
à ce Maître Erik où il peut aller se faire voir !
Sarah s'assoit devant son ordinateur et l'allume. Elle va directement à sa
boîte aux lettres et commence à écrire à Maître Erik. Voici ce qu'elle
écrit :
« Cher Maître Erik,
Je suis terriblement désolée de ne pas avoir répondu tout de suite à votre
courriel. Pour être honnête, il m'a prise au dépourvu et j'ai été
décontenancée par vos questions. Depuis, j'ai eu beaucoup de temps pour
réfléchir à la façon dont j'ai été impolie envers vous et je vous présente
toutes mes excuses. Dans cette lettre, vous découvrirez tout ce qu'il y a à
savoir sur moi et j'y ai joint une photo de moi.
Je suis célibataire. Je pèse cinquante kilos et mesure un mètre soixante.
Mes mensurations sont 95C, 66, 92. J'ai de longs cheveux blond-sale qui
m'arrivent dans le bas du dos. Je suis très tonique et en parfaite forme.
J'ai trente ans et de grands yeux marron foncé.
Je pense que j'avais une vingtaine d'années lorsque j'ai découvert le BDSM
et j'ai toujours trouvé cela excitant. Je dois dire que je suis extrêmement
soumise. J'ai eu dix amants mais aucun ne m'a jamais satisfait au point de
vouloir passer ma vie avec eux. Mes "trous" n'ont jamais été utilisés ; on
m'a fait l'amour dans mon cul, ma chatte et ma bouche et j'en ai apprécié
chaque instant. Je n'ai jamais été formée comme une "esclave-salope", ni
possédée d'aucune façon et je vis à Austin, au Texas.
Maintenant, j'aimerais Vous poser quelques questions. Possédez-Vous des
"esclaves salopes" ? Quel âge avez-vous ? Où habitez-vous ? Avez-vous une
photo que vous pourriez m'envoyer ? Êtes-vous marié ?
Sincèrement,
Sarah. »
Sarah joint sa photo, vérifie l'orthographe et clique sur « envoyer ». Elle
attend, fixant l'ordinateur, sans bouger pendant deux heures avant de
recevoir enfin un message de Lui. Elle regarde l'heure et s'étonne du temps
qu'elle a passé assise là, à attendre. Elle n'était pas elle-même, c'est
sûr ! Comment a-t-elle pu laisser un étranger l'atteindre ainsi ? Aucun
homme n'a jamais été capable de lui faire ça. Dès qu'elle voit l’objet du
message, « Pas contente de toi putain ! », elle a un pressentiment et
ressent une profonde tristesse de L'avoir déjà déçu. Elle ferme les yeux,
prend une profonde inspiration, expire lentement et ouvre son courriel...
3. Sans fioritures
« Salope,
Tu es une petite fille qui a beaucoup de chance que je lui réponde. On
dirait que tu ne sais pas suivre les consignes tout de suite, n'est-ce pas
? Il ne se passe pas grand-chose dans ton petit cerveau, n'est-ce pas ? Je
déteste qu'on me fasse attendre ! Ne préoccupe pas ta petite cervelle pour
l'instant. Tu verras, bien assez tôt, que je ne mâche pas mes mots et que
j'exige des résultats dès que les ordres sont donnés.
A cet instant, tu ne mérites pas de savoir quoi que ce soit sur moi. Je
vais néanmoins te satisfaire, juste pour cette fois. Je ne suis pas marié.
J'ai possédé, dans le passé, trois esclaves. J'ai récemment laissé partir
la dernière à cause de ses obligations familiales. Je possède ma propre
entreprise et c'est un travail sous haute pression. J'ai quarante-six ans,
je mesure un mètre quatre-vingt-dix et je suis athlétique.
Qui sait ? Peut-être sommes-nous voisins, ma petite salope. Moi aussi,
j’habite à Austin ! Je dirais que c'est une belle coïncidence, tu ne
trouves pas ? Je t'enverrai ma photo en récompense quand je sentirai que tu
la mérites. Tu ne l'auras pas avant. Tu devras donc travailler dur à me
plaire !
J'accepte d’échanger avec toi par ordinateur, mais pas plus de trois mois,
après quoi, si je sens que tu le mérites, nous nous rencontrerons. Pas
d’affolement, ce sera dans un lieu public et tu pourras prévenir un ami ou
un membre de ta famille de l'endroit où nous serons. Avant d'aller plus
loin, je dois t’avertir que je ne suis pas du genre à jouer avec des
salopes en puissance. C'est mon choix de style de vie. Je suis un Maître et
tu t’adresseras toujours à moi en tant que tel ! Si tu veux continuer à
échanger avec moi, tu feras toujours, à tout moment, ce que je te dis.
Je vais te laisser un peu de temps pour y réfléchir, est-ce que tu veux
être ma propriété, ma petite salope d'esclave ? Si oui, as-tu un travail et
es-tu prête à le quitter pour venir me servir si je le décide ? Seras-tu
prête à abandonner tout ce que tu possèdes, tout ce que tu chéris ?
Maintenant, voici ta première série de règles : tu ne dois plus jamais
toucher aucune partie de ton corps sans ma permission. Tu n'appelleras
jamais ta chatte une chatte. C'est un con. Seules les vraies femmes ont des
chattes. Pour cette raison, tu ne permettras jamais à une autre personne
d'entrer dans l'un de tes trous non plus C'est moi qui décide quand et qui
peut t'utiliser ! Tu t'habilleras exactement comme je te le dis. Si tu n'as
pas ce que je veux que tu portes, tu iras l'acheter !
J'espère que j'ai été assez clair pour toi, ma petite salope. Tu as
maintenant exactement une heure pour me répondre. Si je n'ai rien entendu
d'ici là, je ne répondrai plus à tes courriels.
M E. »
"Oh mon Dieu, dans quoi me suis-je fourrée ?", pense Sarah.
Elle respire profondément et est très excitée par ce qu'elle lit. Elle
cherche son pouls et se rend compte qu'il bat rapidement. Elle tend la main
vers sa chatte et sent qu'elle est humide. Elle se met à la caresser et
s'interrompt brusquement. Se rappelant les règles de Maître Erik. Elle le
veut et, pire que tout, elle veut appartenir à ce parfait inconnu. C’est
alors qu’elle prend sa décision. Il est temps pour Sarah de sortir de sa
cachette et d'admettre qui elle est et ce qu'elle veut de la vie. Sarah
commence à taper sur son clavier...
4. Premières consignes
« Cher Maître Erik,
Je Vous remercie beaucoup de m'avoir répondu. Je sais que je ne mérite pas
un tel honneur. Je vais essayer d'utiliser mon cerveau plus souvent, Maître
Erik. Je Vous suis très reconnaissante pour tout ce que Vous m'avez dit sur
Vous et je Vous imagine comme un beau Maître à la volonté très forte. Je
suis très heureuse d'apprendre que nous vivons dans la même région, Maître
Erik ! Je travaillerai très dur pour Vous plaire afin de Vous montrer que
je suis digne d'être possédée par un grand homme comme Vous.
Je suis très heureux de savoir que Vous souhaitez me connaître et me
permettre de Vous connaître avant que nous nous rencontrions enfin, Maître.
Ce n’est pas un jeu pour moi et je veux vraiment cela dans ma vie, Maître.
Je veux vraiment gagner le privilège d'être Votre esclave et Votre salope.
Je promets de faire tout ce que Vous direz à tout moment, Maître. Je ne
Vous laisserai pas tomber. J'ai une messagerie Yahoo et une webcam si Vous
avez besoin de garder un œil sur moi, Maître.
À partir de maintenant, j'appellerai ma chatte, con. Je travaille dans une
banque comme caissière, Maître, et je suis plus que prête à abandonner mon
travail pour Vous si c'est ce que Vous choisissez. D'après ce que je peux
comprendre de votre lettre, vous cherchez une esclave à demeure, Maître ?
Je n'ai plus de famille donc ce ne serait pas un problème pour moi, Maître.
J'ai beaucoup d'amis et ils me manqueront beaucoup, mais si tout va bien
entre nous, je peux penser à une ou deux raisons pour m’absenter de leurs
vies sans qu’ils s’inquiètent.
Je ne permettrai à personne d'utiliser aucun de mes trous plus longtemps,
Maître, sauf si c'est ce que Vous choisissez pour moi. Je m'habillerai
aussi de la manière que Vous choisirez pour moi, Maître. Je dois avouer que
j'ai touché ma chatte et l'ai frottée un peu pendant que je lisais ce que
Vous m'avez envoyé. Je n'en avais pas l'intention, c'est arrivé comme ça et
je ne faisais pas attention. Je me suis arrêtée dès que j'ai réalisé ce que
je faisais.
Sincèrement,
Sarah xo. »
La lettre part. Sarah est très anxieuse et ne quitte pas l'ordinateur une
seule seconde. Elle reste assise, fixant l'écran et attendant. Cette fois,
elle reçoit une réponse plus rapidement. L’objet est le suivant : "Bonne
fille !" Son cœur bat la chamade et elle a des papillons dans le ventre. Ce
petit message la rend folle de joie. Elle l'ouvre rapidement et se met à
lire...
« Ma chère petite salope,
C'est une lettre très appropriée que tu m'as envoyée. Je dois d'abord te
corriger sur quelques points. Ce n'est pas ton con, c'est le MIEN, ce ne
sont pas tes trous, ils sont À MOI. Je ne t'ai peut-être pas encore mis de
collier, mais avec le temps, cela pourrait être possible. Pour l'instant,
tu M'appartiens et tout ce que tu es et as est à Moi. Tu penseras comme Je
te dis de penser, et tu te comporteras comme Je te dis de te comporter. Je
suis sûr que ta petite cervelle peut comprendre cela. Je vois que nous
allons devoir travailler sur le petit cerveau que tu as, n'est-ce pas,
salope ? D'après ce que je vois, c'est ton con qui pense pour toi et il va
falloir que ça cesse immédiatement !
Maintenant, je veux que tu m'ajoutes à ton Yahoo et que tu allumes ta
caméra. À partir d'aujourd'hui, Je te regarderai tout le temps quand tu
seras chez toi. La caméra ne doit jamais être éteinte et Je dois savoir où
tu vas quand tu quittes le champ de la caméra et ce que tu fais. J'ai aussi
une webcam, mais tu n'as pas encore mérité de Me voir. Oh, J'espère que tu
as un micro ? Je trouve que taper au clavier est ennuyeux alors qu'il est
tellement plus facile de parler. Cela aussi sera en fonction à tout instant
!
Tu dois savoir une dernière chose. Toutes tes erreurs ont été écrites et le
moment venu, tu seras punie pour chaque erreur. Je dois donc t’avertir
d'essayer de faire un peu plus attention à ce que tu Me dis et à la façon
dont tu parles. Gardez tes pattes loin de mon con ! J'espère avoir de tes
nouvelles très bientôt.
M E »
À cet instant, Sarah est extrêmement nerveuse et, les doigts tremblants,
elle ouvre rapidement ouvert sa messagerie Yahoo et s'y connectée. Elle
ajoute le nom de Maître Erik à sa liste et bloque tous ses amis. Sarah a vu
en effet que Maître Erik est en ligne et elle Lui envoie immédiatement un
message.
« Bonjour Maître, c'est moi, Sarah. »
Elle entend tout de suite Sa voix et Il n'a pas l'air content.
5. La caméra
« Es-tu vraiment une salope en état de mort cérébrale ? »
La voix de Maître Erik sort des haut-parleurs. Sarah allume rapidement son
micro en frémissant :
« Je suis terriblement désolée, Maître, je ne voulais pas vous contrarier.
Je voulais juste Vous faire savoir que j'étais en ligne.
- Oui, Je vois que J'ai une gagnante, ici, répond Maître Erik. Tu vas
certainement être une grosse charge de travail, hein ? Au moins, tu as un
micro, ce qui aide beaucoup. Maintenant, petite salope idiote, allume la
webcam comme je te l'ai ordonné plus tôt. Tu n'aurais pas dû essayer de
parler sans que je te voie d'abord !
- Oui Maître, tout de suite, je suis vraiment désolée ! »
Sarah allume sa webcam et garde la tête baissée jusqu'à ce qu'elle entende
à nouveau Maître Erik :
« C'est beaucoup mieux, Ma petite salope. Maintenant, Je ne veux pas que tu
dises un seul mot, fais simplement ce que Je te dis. Regarde dans la caméra
ma petite. »
Sarah lève lentement la tête et regarde dans la caméra.
« Tu as de très jolis yeux, ma petite ; maintenant, fais-moi voir un beau
sourire sur ton visage. (Sarah sourit.) Miam, miam ! Tu es vraiment très
jolie ! Maintenant, lève-toi et tourne-toi très lentement, je veux voir ce
qui est à moi. »
Sarah se lève de la chaise et recule suffisamment pour que son corps entier
puisse être vu par Maître Erik dans la caméra.
« Stop ! Est-ce que Je t'ai dit de porter quelque chose ? Pardonne-moi si
Je me trompe, mais j'aurais juré t'avoir dit dans un précédent courriel que
tu ne devais porter que ce que je te disais ! »
Sarah se fige immédiatement sur place et Maître Erik s'amuse de
l'expression d'effroi sur son visage tandis qu'Il note son erreur dans son
petit carnet. Sarah répond :
« Oui, Maître, Vous m'avez dit que je ne devais porter que ce que Vous
m'avez dit. Pardonnez-moi, Maître, je ne savais pas que cela devait
commencer immédiatement.
- Déshabille-toi immédiatement, salope ! Dit-il en souriant. À partir de ce
jour, tu resteras nue à la maison à moins que Je n'en décide autrement,
est-ce que Je me fais bien comprendre ?
- Oui, Maître. »
En rougissant, Sarah défait lentement sa robe et la laisse tomber sur le
sol à ses pieds. Ses yeux sont baissés et elle se tourne lentement vers cet
homme invisible, cet étranger. Elle sent la chaleur au fond de son ventre.
« Ok salope. Maintenant, fais face à la caméra, garde les yeux baissés, les
mains jointes sur la nuque et les jambes écartées. C'est la position dans
laquelle tu te mettras gracieusement quand je donnerai l'ordre
d'inspection. »
"Mon Dieu, comme elle est belle !", se dit Erik.
Il sent sa bite devenir plus dure à chaque instant.
"Elle va devenir de la pâte à modeler dans mes mains !"
« Très jolie petite. À en juger par tes tétons en érection, Je vois que tu
adores faire ça pour moi, n'est-ce pas ? Ah, ne dis pas un mot ! C'est
l'heure d'un nouveau commandement. Quand je te dirai "montre-Moi", tu
mettras ton doigt dans ton con et tu l'approcheras de la caméra pour que Je
puisse voir à quel point tu es mouillée pour Moi. »
Erik la laisse dans cette position pendant cinq minutes en silence. Il
apprécie la façon dont ses genoux tremblent un peu et ses bras frémissent.
Il sait qu'il a enfin trouvé le jouet parfait.
« Montre-moi ! »
Sarah hésite un instant puis se baisse rapidement et enfonce un doigt dans
son con. Oh, comme elle aime avoir son doigt à cet endroit. Elle est
surprise de voir à quel point elle est devenue humide. Elle sentir la
cyprine qui coule de sa chatte et qui dégouline sur sa main. Sarah joue
dans sa chatte pendant un petit moment jusqu'à ce qu'elle entende Maître
Erick crier.
« Arrête tout de suite et montre-Moi ton con ! »
"Tsss, la salope ne se rend pas compte de la punition qu'elle va recevoir
!", se dit Erik en notant une énième erreur de sa part.
Rapidement et avec un sursaut, Sarah retire le doigt de sa chatte et
s'approche de la caméra pour montrer à Maître Erik à quel point elle est
mouillée.
« Eh bien, tu es une salope excitée, n'est-ce pas ? Jolie et humide, juste
comme j'aime les salopes ! Maintenant, mets ton doigt dans ta bouche et
nettoie tout ce qui est gluant. Quand tu auras fini, tu iras t'agenouiller
face au mur, les mains dans le bas de ton dos, et tu ne bougeras pas de cet
endroit jusqu'à ce que je te donne la permission de bouger ! Assure-toi
d'être dans le champ de vision de la caméra et pas un bruit depuis ta
trappe ! »
6. Joanna
Erik est assis à son bureau et la regarde, son membre palpite afin d’être
libéré. Il est interrompu dans ses pensées quand on sonne à la porte.
« Bon sang ! Qui diable peut venir ici si tôt un samedi matin ? »
Erik se lève de son fauteuil et avec comme seule idée d'étrangler le
sagouin à la porte. Il ouvre la porte pour découvrir Joanna qui attend,
aussi belle que d'habitude. Joanna est une belle femme de quarante ans avec
une silhouette de sablier. Son teint foncé et ses yeux noirs la rendent
encore plus sexy pour ceux qui la rencontrent. Elle a un air dominateur et
il n’est pas difficile de dire qui dirige quand elle est à proximité.
« Eh bien, bonjour Joanna, qu'est-ce qui t'amène dans ce coin de pays si
tôt le matin ? Demande Erik.
« Bonjour Erik. Je n'ai pas pu résister à l'envie de voir ton nouveau jouet
! Tu ne devrais vraiment pas te vanter de quelque chose comme ça auprès des
autres... Tu sais à quel point certaines personnes ne peuvent pas garder un
secret ! »
Joanna rit et se soulève sur la pointe des pieds pour lui donner un baiser
sur la joue. Erik répond en riant également :
« Hmmm, John et sa grande gueule… Je lui ai dit qu'elle n'était qu'à
l’essai pour l'instant ! Eh bien, j'ai l'impression que la petite salope va
me rejoindre sous peu. Elle est tellement facile !
- Eh bien, à en juger par cette bosse dans ton pantalon, tu l'es aussi, mon
cher ami ! Rétorque Joanna en faisant un clin d'œil à Erik. Je vais te
dire, chéri : tu me montres ton petit jouet et je t'aiderai à régler ton
petit problème de pantalon, d'accord ?
- C'est d'accord ! Répond Erik toujours rieur. Suis-moi. Je l'ai mise à
genoux face à un mur. Tu peux la regarder rapidement et ensuite on va
jouer. Après, tu pourras me regarder jouer avec la salope. »
Erik et Joanna retournent dans le bureau d’Erik. Joanna prend place sur le
siège devant l'ordinateur et regarde l'écran.
« Eh bien, tu as toujours eu bon goût pour les salopes ! Je ne peux pas
encore voir son visage, mais pour l'instant, tout va bien, j'ai hâte
qu'elle soit là ! Je suis excitée rien qu'en pensant à tout le plaisir
qu'on peut avoir avec cette chose. »
L'imagination de Joanna est déjà en train de vagabonder. Comme elle
aimerait posséder un tel spécimen ! Elle n'a jamais eu trop de chance dans
ce domaine, c'est Erik qui a toujours eu de la chance.
"Mais, bon", se dit-elle, "au moins, je sais qu'Erik me laissera m'amuser
avec cette salope".
Erik et Joanne sont bons amis depuis douze ans. Ils se sont rencontrés à la
fête BDSM d'un ami commun et se sont tout de suite entendus. De temps en
temps, quand le besoin s'en fait sentir, ils s'envoient en l'air. Erik
voulait que Joanne emménageât avec lui et partageât tous les esclaves qu'il
pouvait trouver, mais malheureusement, Joanna n'était pas et n'est toujours
pas prête pour un engagement aussi important.
Erik aime la façon dont son corps noir s'adapte si parfaitement à son corps
blanc. C'est une déesse noire d’un mètre soixante-dix-huit de haut. La
paire de longues jambes la plus sexy qu'il ait vue depuis longtemps ! Ses
seins et ses hanches... Il ne pourra jamais leur donner les compliments
qu'ils méritent et quant à sa chatte. Eh bien, disons juste qu'elle sait
comment l'utiliser. Oui, dans une petite mesure, Erik est comme de la pâte
à modeler entre les mains de Joanna et elle le sait aussi. Non, il ne se
soumettra jamais à elle, mais l'avoir avec lui tout le temps… Ce serait un
rêve devenu réalité. Il aime vraiment cette femme et souhaite qu'elle
puisse le voir.
Erik commence un massage lent du cou de Joanna. Il se penche et se met à
mordiller son cou. Il sait que ça va lui faire de l’effet. Elle se retourne
sur la chaise, l'attrapé par le cou et met sa langue dans sa bouche. Il la
soulève facilement, la pose sur le sol et commence à défaire son chemisier.
Il l'embrasse lentement, le long de son cou jusqu'à ses tétons. Il met un
téton dans sa bouche et entreprend de le sucer. Joanna devient folle et
arrache littéralement la chemise d'Erik.
Avant de s'en rendre compte, ils sont nus, se roulent par terre et font
l'amour. Aucun des deux ne résiste longtemps. Ils sont tous les deux très
excités et cela fait un mois qu'ils n'ont pas été ensemble. Joanna est
allongée sur Erik et lui donne de petits baisers dans le cou et sur le
menton. Tous deux halètent et transpirent.
« Ça n'a pas duré longtemps, n'est-ce pas, mon amour ? Dit Joanna.
- Tu vois ce qui arrive quand tu attends si longtemps pour me voir ! Répond
Erik avec un sourire narquois.
- Mmm, oui. Dommage que ta petite salope ne soit pas là pour nous nettoyer.
Allons prendre une douche ensemble et ensuite, je pourrai te regarder jouer
avec ton nouveau jouet. »
Erik se relève et aide Joanna à en faire autant. Ils se tiennent par la
main pendant tout le trajet jusqu'à la salle de bains, qui se trouve au
bout du couloir et à côté de la cuisine.
La maison d'Erik est petite : seulement deux chambres, un bureau, une
cuisine assez grande et un salon de taille moyenne. Mais l’endroit qu’il
préfère entre tous est son sous-sol. Plus connu sous le nom de donjon. Il
est entièrement équipé de toutes sortes de fouets, de cravaches, de
chaînes, de cordes, de menottes, de colliers, de laisses, de pinces, de
godes, de plugs de fesses et de trois grandes cages à chiens. Tout ce qui a
été inventé pour son style de vie BDSM, il le possède.
En plus de son sous-sol, il aime l'intimité dont il dispose avec ses vingt
hectares. Il adore les jeux en plein air ! Il avait une belle piscine
creusée et un jacuzzi avec moustiquaire sur sa propriété.
Erik et Joanna s’aident mutuellement à se laver. Ils s’embrassés un peu
plus pendant qu'ils sont sous la douche, se sèchent et décident qu'il est
temps d'aller voir la salope.
7. Une fuite fâcheuse
Pendant ce temps, la pauvre Sarah est à genoux, face au mur, pendant ce qui
doit durer une heure, sinon plus. Ses genoux sont douloureux et elle est
fatiguée de garder ses mains derrière son dos. Elle se sent raide dans tout
le corps. Plus encore, elle a besoin d'aller aux toilettes. Cela fait
longtemps qu'elle n'est pas allée faire pipi et le café qu'elle a bu plus
tôt la perturbe. Elle set dit :
« Peut-être qu'il ne regarde pas et que je pourrais m'éclipser pour aller
aux toilettes et revenir sans qu'il s'en aperçoive. »
Elle jette un rapide coup d'œil derrière elle à l'écran de son ordinateur,
puis regarde l'horloge sur le mur. Oui, cela faisait une heure et quart
qu'elle est à genoux comme ça. Elle a désespérément envie d'évacuer l'envie
de faire pipi. Elle se ravise et décide de ne pas bouger. Elle est
persuadée que Maître Erik va bientôt lui parler et qu'elle pourra s'excuser
un instant pour obtenir la libération dont elle a besoin.
Une autre heure passe et elle ne peut plus retenir sa vessie. Elle commence
à faire un geste pour se lever et aller rapidement aux toilettes.
« Pour ce que j'en sais, ce salaud n'est probablement même pas chez lui ! »
Elle s'arrête. Elle se sent coupable d'avoir de telles pensées. Elle
réfléchit longuement et décide qu'elle pourra toujours nettoyer les saletés
après coup, et elle est certaine que le Maître sera content qu'elle soit
restée sur place même si elle est mal à l'aise et a désespérément besoin de
se soulager.
Sarah ne peut pas se retenir plus longtemps et laisse les eaux couler. Elle
fait pipi sur ses jambes et sur le sol et se retrouve à genoux dedans. Elle
est honteuse et embarrassée, elle sait que Maître verra la flaque, mais
elle sait aussi qu'il sera content d’elle. Enfin, c'est ce qu'elle pense...
« C'est trop drôle, Erik ! Regarde cette chose, qui se pisse dessus et sur
le sol, comme ça ! Joanna affiche un large sourire. Je suppose que tu as
oublié de signifier à la salope qu'elle ne doit rien faire du tout sans ta
permission ?
- Tu sais, honnêtement, je ne me souviens pas si je lui ai dit ou pas !
Dommage, ce n'est pas la question. Eh bien, une autre encoche dans son
livre de punitions. On dirait que je vais devoir prendre cette salope
beaucoup plus tôt que prévu. Je vais avoir besoin de ton aide pour
distribuer les punitions, bébé : regarde la liste qu'elle a réussi à
acquérir jusqu'à présent ! »
Erik tend le bloc-notes à Joanna.
« Oui, je vois qu'elle a un grand besoin d'entraînement. Je serai plus
qu'heureux de t'aider ! »
Erik prend place sur la chaise de l'ordinateur, attrape Joanna par la
taille et la fait asseoir sur ses genoux.
« Erik ! Encore ? Cette salope te fait bander tout le temps ! »
Joanna se redresse un peu, prend la queue d'Erick et la guide dans sa
chatte. Elle s'assied sur ses genoux comme ça, très immobile pour pouvoir
profiter de la sensation de sa grosse et juteuse queue de vingt-trois
centimètres en elle.
« À ta place, je ne parlerais pas, Joanna : d'après ce que j'ai pu sentir,
tu as les chutes du Niagara dans ta douce chatte ! »
En donnant à ses tétons un petit pinçon, Erick ajoute :
« Chut maintenant, et reste tranquille : je vais ouvrir le micro. »
Joanna glousse.
« Salope ! Maître Erik beugle bruyamment dans le micro. "=Mais qu'est-ce
que tu as fait ? »
Il voit Sarah qui sursauter en l'entendant.
« Ne bouge pas d'un poil, salope. Je veux que tu restes exactement où tu
es, tourne-toi lentement, fais face à la caméra et garde les yeux baissés.
Assure-toi de bien regarder la flaque d'eau que tu as par terre en dessous
de toi ! »
Sarah se tourne lentement en gardant ses mains derrière son dos. Elle
manque de basculer, mais retrouve son équilibre. Erik et Joanna se sourient
l'un à l'autre ; ils savent qu'elle est assez endolorie et raide.
« Je vais te poser deux questions et tu devras y répondre quand j'aurai
fini de parler. Est-ce que je t'ai donné la permission, à un moment
quelconque, de te soulager quand tu en avais envie ? Est-ce que je t'ai dit
comment tu pouvais pisser ? Réponds maintenant, salope ! »
Les larmes aux yeux et le visage très rouge, Sarah répond :
« Non Maître, Vous ne m'avez pas donné la permission d'aller faire pipi
quand j'en ai envie et Vous ne m'avez pas dit comment je pouvais faire
pipi. Je suis vraiment désolée, Maître, je n'ai pas su...
- Silence salope ! Je ne t'ai pas dit d'en dire plus. Je vois que tu as du
mal à suivre les ordres. Nous allons devoir travailler sur ton cerveau !
Voici ce que tu vas faire maintenant. Tu vas te lever, aller dans ton
armoire, choisir la tenue la plus sexy, la plus salope que tu aies et tu
vas aller faire du shopping. Tu vas acheter une mini-jupe noire très serrée
et un chemisier noir transparent très serré. Puis tu reviendras ici et tu
t’habilleras comme je l'aime, ce dont je suis sûr que tu es consciente.
Demain, à dix heures précises, tu me retrouveras dans un endroit appelé
Joe's Diner, dans ta nouvelle tenue. Si tu sais où c'est, fais un signe de
tête. »
Sarah acquiesce.
« Très bien alors. Tu peux éteindre ton ordinateur, je n'ai plus besoin de
toi aujourd'hui. Ne t’inquiétez pas pour ce qui est de me trouver, je te
trouverai. »
8. L’établissement d’un rendez-vous
« Je ne parviens pas à croire que tu l'aies laissée s'en tirer si
facilement, Erik ! Qu'est-ce qui t'arrive ? Tu as changé, tu t'es ramolli !
S'exclame Joanna.
- Non, ma chère et tendre, elle ne va pas s'en tirer à si bon compte. Je
prends juste mon temps. Elle vivra ici d'ici lundi. Maintenant, attends une
seconde, je dois appeler Joe et prendre quelques dispositions… Salut Joe,
c'est moi, Erik.
- Hé, Erik, comment ça va mon pote ? Ça fait longtemps que je n'ai pas eu
de tes nouvelles !
- Très bien, Joe, merci. Écoute, j'ai besoin d'une faveur de ta part. J'ai
besoin que tu ouvres ton restaurant pour moi dimanche à dix heures.
- N'importe quoi pour toi, mon pote. Qu'est-ce qui se passe ?
- J'ai une nouvelle soumise que je dois rencontrer. Je veux une totale
intimité, donc tu devras garder le panneau "fermé", elle sera prévenue à
l'avance de passer la porte de toute façon.
- Pas de problème pour moi, Erik. Tout pour toi, mon pote ! Tu as vraiment
bon goût pour les salopes ! Répond Joe qui sourit de toutes ses dents à
l'autre bout du fil.
- Merci beaucoup Joe, je savais que je pouvais compter sur toi. Il y aura
un cadeau pour toi dans tout ça. Une dernière chose, je veux que tu lui
bandes les yeux avant dix heures vingt, d'accord ?
- Pas de problème, elle aura les yeux bandés. On se voit demain alors ?
- Oui, je serai là à dix heures et demie, glousse Erik. Oh, j'ai
l'intention de faire une fête d'ici une semaine ou deux, alors garde tes
week-ends libres. À plus tard, Joe, bye ! »
Erik raccroche.
« Les yeux bandés ? Interroge Joanna avec un air perplexe. Ses yeux
s'illuminent la seconde suivante. Elle te connaît ! Espèce de diable rusé !
- Oui, elle sait exactement qui je suis et c'est pourquoi je suis sûr
qu'elle sera là lundi. Surtout quand elle aura perdu son travail, dit Erik
dit avec un sourire diabolique sur le visage.
- Ok, maintenant tu dois me le dire ! Tu dois m'expliquer tout ça !
- Non, pas maintenant. Si tu restes avec moi, tu verras lundi et tout cela
aura un sens pour toi. Pour l'instant, j'ai une queue très dure dans ta
chatte très chaude et je pense que nous devons régler notre petit problème.
»
Joanna glousse et commence à se tortiller lentement sur la queue d'Erik.
Erik l'attrape par la taille, la soulève et la fait tomber sur sa bite en
guise de revanche. Les seins de Joanna rebondissent au rythme de sa bite
qui entre et sort d'elle. Tous deux gémissent.
« Oh bébé, je suis prêt à jouir, et toi ? »
La respiration d'Erik est rapide et laborieuse.
« Oui bébé, oui ! Crie Joanna.
- Je jouis maintenant ! Répond Erik. »
Joanna gémit bruyamment et halète. Les deux ont joui en même temps.
Respirant difficilement, Joanna dit :
« Encore une fois, on dirait qu'on va devoir s'occuper de ce bordel
nous-mêmes. Dommage que tu n'aies pas cette petite salope ici. J'aurais
bien besoin d'un bon coup de langue !
- Chaque chose a son heure, bébé, chaque chose en son temps.
- Il est temps d'envoyer un courriel à la salope pour qu'elle sache
exactement ce qu'elle doit porter et faire.
- Ok, mon doux ami. Je vais profiter de ce temps pour aller me laver, mais
d'abord, tu sais combien j'aime le goût de ta bite après qu'elle ait été
dans une chatte ! »
Joanna se détache du membre d'Erik et se met à genoux. Lentement, elle
lèche le liquide sur la bite d'Erik. Il soupire. Joanna prend toute sa
queue dans sa bouche et commence à la sucer.
« Ouhaa là Joanna ! Je pense que ça suffit pour le moment... J'ai du
travail à faire ! »
Erik sourit, soulève doucement Joanna et l'embrasse profondément et
pleinement sur la bouche.
« Sport gâché ! »
Joanna le taquine et lui caresse les tétons, puis se retourne rapidement
pour aller prendre une douche, mais pas avant qu'Erik ait pu lui donner une
petite tape sur les fesses. Joanna, en riant, court vers la salle de bains.
"Ah, ça va être encore mieux qu'avant", se dit Erik.
Maintenant, pour fixer les règles de la salope, Erik se tourne vers son
ordinateur et commence une lettre à Sarah.
9. Les préparatifs de Sarah
« Salope,
Je suis sur le point de t'expliquer ce que tu dois porter demain et comment
tu dois te comporter. J'espère ne pas être déçu par toi. Je n'ai aucune
patience pour la désobéissance ou l'insubordination. Tu paieras un prix
très élevé si tu ne fais pas exactement ce que je dis.
Tout d'abord. Tu devras porter ta nouvelle tenue. Absolument pas de culotte
ni de soutien-gorge et assure-toi de mettre ces talons ! Tu arriveras au Joe's Diner à exactement dix heures demain matin et pas une minute
plus tard. Tu remarqueras un panneau de fermeture sur la porte, ignore-le
et entre. Joe ouvre son restaurant spécialement pour moi.
En raison de sa générosité, tu te mettras à genoux devant Joe et tu lui
diras que tu aimerais le remercier en lui faisant une pipe. Tu lui diras
que je préférerais qu'il jouisse sur ton visage quand il sera prêt et non
dans ta bouche. Explique-lui que ton Maître mérite d'être le premier à
jouir en toi. Avant de prendre sa bite dans ta bouche, tu lui demanderas de
te bander les yeux afin que tu ne sois pas tentée de regarder un supérieur
dans les yeux pendant qu'il s'amuse. Dis-lui que tu es une très mauvaise
salope et que tu as du mal à garder les yeux au sol, là où ils doivent
être.
Je te suggère de mémoriser tout cela. J'ai l'impression que ton con va
prendre le dessus sur votre cerveau et je ne l'accepterai pas du tout :
j'ajouterai une autre punition si nécessaire.
Lorsque tu reviendras de tes courses, tu m'enverras immédiatement un
courriel et tu allumeras ta caméra pour le reste de la nuit. Je ne te
parlerai pas du tout, mais je te regarderai. Pour cette fois, et cette fois
seulement, tu pourras utiliser les toilettes aussi souvent que tu en auras
besoin. Tu mettras aussi une couverture sur le sol avec un oreiller à un
endroit que je peux voir et c'est là que tu dormiras. Tu dois être nue à
tout moment et ne dois pas couvrir ton corps du tout. Ne me déçois pas,
salope !
M E »
Sarah réussit à trouver une mini-jupe noire moulante et sait qu'elle ne
pourra pas du tout se pencher une fois dedans. Elle couvre déjà à peine ses
fesses. Elle trouve également un chemisier transparent et moulant. Il a des
manches longues et elle pourra avoir chaud dedans. Elle espérait trouver
quelque chose d'un peu plus estival car le temps est plutôt chaud ce
printemps.
La première chose qu'elle fait en arrivant chez elle est d'enlever ses
vêtements. Elle est pas mal en sueur après avoir fait les courses et essayé
les vêtements. Elle a reçu beaucoup de regards d'hommes pendant qu'elle
était dehors. L'un d'entre eux a même eu le culot de l'aborder et de lui
demander si elle voulait bien rentrer avec lui pour passer un bon moment.
Elle était consternée et s'est rapidement éloignée de lui. Elle portait une
mini robe légère, décolletée, avec un imprimé fleuri et des talons noirs de
dix centimètres. Elle avait l'air plutôt sexy.
Dès que Sarah est nue et que ses vêtements sont rangés, elle se dirige vers
son ordinateur et l'allume. Elle espère tellement que Maître Erik sera en
ligne. Elle se connecte à son Yahoo et reçoit tout de suite le message
indiquant qu'elle a du courrier. Son cœur fait un bond et elle prie pour
que ce soit une lettre de Maître Erik. Et bien sûr, c'est le cas.
Sarah l'ouvre rapidement et lit ce qu'il a écrit. Son cœur palpite et elle
devient plus humide et plus avide qu'avant. En même temps, elle est
méfiante. Elle se parle doucement :
« Comment pourrai-je dire toutes ces choses à un étranger ? Ce sera très
dur et très humiliant pour moi ! Mais je dois le faire, j'aimerais bien
pouvoir boire un petit verre avant de partir ! Je ne veux vraiment pas
décevoir Maître, je ne veux pas gâcher cette chance avec lui. »
Elle se convainc qu'elle va le faire et commence à essayer de trouver un
moyen de se rendre à sa voiture et de la voiture au restaurant. La façon
dont elle doit s'habiller, il fait trop chaud pour porter une veste et elle
a peur de se faire prendre. La jupe n'est pas si mal, mais le chemisier !
Elle n'a pas le choix, elle devra transpirer un peu et porter son
trench-coat noir. Au moins, elle pourra allumer l'air conditionné dans la
voiture.
Elle allumé sa caméra et espère que Maître Erik lui parlera. Elle ne veut
pas paraître anxieuse, alors elle prépare son lieu de couchage comme Il le
lui a ordonné et va préparer son dîner. Elle s'assure de manger là où
Maître peut la voir. Elle n'entend pas un mot de sa part et à dix heures,
elle décide qu'il est temps d'aller dormir. Elle pense à éteindre la
lumière, mais elle est sûre que Maître sera contrarié s'il ne peut pas la
voir. Elle s'endort en rêvant de cet étranger qu'elle appelle Maître Erik.
10. Chez Joe’s Diner
Sarah se réveille le lendemain matin avec une sensation de froid. Il semble
toujours faire froid le soir et elle a oublié de fermer sa fenêtre. Elle
s'étire lentement et ses réflexes automatiques l'amènent à porter une main
à son mamelon gauche en érection, qu'elle presse et pince. Son autre main
va vers son con chaud et humide et elle se met à jouer avec son clitoris.
« Arrête tout de suite, espèce de salope ! Rugit Erik dans le micro. »
Sarah est surprise et éloigne immédiatement ses mains de son corps. Pendant
un moment, elle a oublié où elle était et que sa caméra était allumée.
« Je suis désolée, Maître Erik, je ne savais pas que...
- Ferme ta gueule ! »
Erik est très en colère, il sait qu'il devra attacher cette salope tous les
soirs jusqu'à ce qu'elle apprenne à ne pas toucher à ce qui lui appartient.
Il met une nouvelle note dans son livre de punitions, comme il aime
l'appeler. Il secoue la tête et dit :
« Je t'ai assez vue pour l'instant. Va te laver le con et le trou du cul et
reviens ici. Avant que j'oublie… Je veux que tu rases ces horribles poils
sur ton con. Je déteste les cons poilus ! J'inspecterai tes trous quand tu
auras fini.
- Maître, puis-je parler ? Demande Sarah avec un petit tremblement dans la
voix.
- Quoi encore, tu ne comprends pas ce que je te dis ? Tu es si bête que ça
? Qu'est-ce que tu veux, salope ? »
Erik est irrité. Sarah chuchote :
« Je n'ai rien pour me laver le trou du cul, Maître, je n'ai pas de poche à
lavement.
- Bon sang, tu as vraiment beaucoup à apprendre. Il est évident que je vais
devoir dire à la petite fille comment se laver maintenant. Tu m'exaspères
et tu me fais perdre mon temps avec ta stupidité, mais je vais te dire
comment faire, pour cette seule fois. Prends ton tout petit doigt, fais
mousser du savon dessus et mets-le dans ton cul. Puis répète le processus
avec l'eau de ta pomme de douche ou de ta baignoire. Voilà, est-ce que ça a
aidé ton petit cerveau à se dégager un peu, ma pauvre chérie ? »
Erik s'amuse de ce petit jeu d'esprit et Joanna aussi. Elle doit étouffer
un rire.
« Oui, Maître, merci, Maître. Je vais y aller maintenant. »
Le visage de Sarah rougit d'humiliation à cause de la façon dont il la
considère comme une enfant stupide, mais en même temps, elle est de plus en
plus excitée par la façon dont il la traite. Elle se lève rapidement pour
aller se laver et se raser. En trois quarts d’heure, elle a terminé ; elle
retourne à l'ordinateur et se tient devant la caméra pour que son Maître
puisse voir qu'elle a fait ce qu'il lui a ordonné.
« Hmmm, très beau travail de rasage, rapproche la caméra de ton con pour
que je puisse mieux voir. »
Sarah approché la caméra de sa chatte.
« Très bien salope, il se fait tard et je veux que tu sois à l'heure, va
t'habiller et maquille-toi je ne veux pas que tu sois en retard". »
Sarah se maquille soigneusement et s'habille. Elle s'examine dans le miroir
de sa chambre et est impressionnée de voir à quel point elle est salope et
sexy. Ses mamelons sont durs et érigés et le tissu du chemisier ne cesse de
frotter contre eux. Elle sent son clitoris palpiter pour attirer
l'attention, mais préfère ne pas se toucher. Elle n'a qu’un quart d’heure
pour se rendre au restaurant, elle enfile rapidement son manteau, prend ses
clés et s'en va.
Sarah arrive au Joe's Diner à dix heures précises. Elle est nerveuse et
tremble visiblement lorsqu'elle franchit la porte. Joe est là, il la
regarde. Elle reste là pendant ce qui lui semble être une éternité, le
regardant et essayant de jauger son tempérament. Il mesure environ un mètre
quatre-vingt, il est un peu grassouillet au niveau du ventre, elle pense
que c'est une panse de buveur de bière. Des yeux bruns, et des cheveux gris
pour la plupart. Elle estime qu’il a environ cinquante-cinq ans. Elle
observe la façon dont il la reluque, comme s'il était dégoûté par son
apparence, puis elle se souvient qu'elle porte son manteau et l'enlève
rapidement pour le poser sur une chaise. Joe sourit enfin et la regarde de
haut en bas. Elle voit bien qu'il a faim d'elle.
Elle s'approche de lui, se met à genoux, les yeux vers le sol et dit :
« Bonjour Monsieur, je voudrais vous montrer ma gratitude pour avoir ouvert
votre restaurant à mon Maître, en vous faisant une pipe. »
Elle s’exprime en tremblant et a continue avec nervosité :
« Avant de vous faire jouir, j'aimerais que vous sortiez de ma bouche et
que vous jouissiez sur mon visage, Monsieur. Maître n'a pas encore eu
l'occasion de me faire son cadeau et il aimerait être le premier à le faire
si cela ne vous dérange pas, Monsieur. »
Joe fait un sourire narquois et dit à Sarah que cela lui convient.
« De plus, si vous pouviez avoir la gentillesse de me bander les yeux,
Monsieur, j'apprécierais beaucoup. J'ai du mal à garder les yeux fixés sur
le sol et je regarde souvent mes supérieurs dans les yeux.
- Ha, Ha, quelle salope mon ami a trouvé là ! Trop précieuse ! Je peux déjà
dire que tu as un problème avec ça. La façon dont tu m’as regardé quand tu
es entré. Comme si tu pouvais être mon égal ! Je pourrais en parler à ton
Maître, on verra si tu es bonne. Si tu es vraiment bonne, ce sera notre
petit secret, cette fois ! »
Joe est très excité à présent, il se retourne pour aller chercher le
bandeau.
Joe fixe rapidement le bandeau sur Sarah et lui ordonne d'ouvrir la bouche.
Il y introduit rapidement sa queue et commence à baiser son visage avec des
poussées rapides et dures. Elle essaie de suivre et essaie encore plus de
ne pas s'étouffer. Il lui enfonce son membre dans la gorge. Elle voudrait
que ce soit fini, elle se met à sucer plus fort et à s'étouffer en même
temps. Sarah entend la porte s'ouvrir et entend deux types de pas. Joe
pompe plus fort, puis il finit par retirer sa bite et la fait exploser sur
son visage et dans ses cheveux. Une partie du sperme de Joe coule de son
visage, sur son chemisier et sur le sol.
Sarah entend ensuite des applaudissements.
« Bon travail Joe ! Hé, hé. »
Cette voix ! Elle connaît cette voix, mais comment et d'où ? Elle semble
différente de ce que le micro de l'ordinateur lui fournissait.
11. De découverte en découverte
Erik et Joanna entrent dans le restaurant main dans la main aussi
discrètement que possible. Erik voulait assister à la prestation de Sarah.
Quel beau spectacle elle fournit, à genoux avec une queue à moitié enfoncée
dans sa gorge. Il sourit à Joanna et elle lui fait un clin d'œil. Comme ils
s'approchent, Joe se retire et laisse échapper son sperme sur Sarah. C'est
agréable de voir le sperme dégouliner sur son visage et sur son chemisier.
Dommage qu'elle ait des taches de sperme pour aller travailler demain,
habillée comme ça.
"Eh bien", se dit-il, "c'est la vie !"
Erik et Joanna applaudissent le travail de Joe sur la salope.
« Eh bien, merci Erik, j'ai fait du bon travail, n'est-ce pas ? Est-ce
qu'on va le laisser sécher sur son visage comme ça ?
- Bien sûr, Joe, mais je pense que tu voudrais qu'elle nettoie ta bite et
qu'elle lèche les saletés qu'elle a faites sur le sol.
- Ah oui, j'ai besoin que ma bite soit nettoyée. Mais elle est débraillée,
elle a fait un sacré bazar, n'est-ce pas ? Ah, ah ! Tu as entendu ton
maître, salope : active-toi, lèche ma bite et ensuite je pointerai ton
visage vers les saletés sur le sol pour que tu puisses les nettoyer aussi !
»
Joe ricane. Il adore regarder les salopes nettoyer son sol avec leur
langue. Erik est un salaud verni !
Sarah se met à lécher la queue de Joe, quand elle a fini, Joe l'attrape par
les cheveux et pousse son visage contre le sol en lui disant de commencer à
le nettoyer. Sarah trouve le sperme et se met à nettoyer le sol avec sa
langue. Elle est totalement humiliée par cet acte et son visage est tout
rouge. Elle a un peu les larmes aux yeux. Lorsque Joe est satisfait de son
travail, il la tire par les cheveux pour la remettre sur ses pieds.
« Alors, comment s'est-elle débrouillée pour sucer, Joe ?
- Pas bien, j'en ai peur, elle n'arrêtait pas de s'étouffer à chaque fois
que ma bite touchait le fond de sa gorge. J'ai même passé un petit accord
avec elle juste avant qu'elle me supplie de la sucer.
- Oh, et quel était cet accord Joe ? Demande Erik.
- Eh bien, tu vois, la petite salope ici présente a eu le culot de
m'examiner, elle m'a même regardé droit dans les yeux en arrivant ici. Je
lui ai dit que si elle faisait du bon travail, je ne te mentionnerais pas
ce fait. Je sais comment tu es à propos de ce genre de choses, j'étais
d'humeur gentille et je pensais donner à cette pute une pause, mais... le
reste appartient à l'histoire.
- Merci de me le dire mon pote, j'apprécie. »
Joe sort son carnet et le remplit une fois de plus.
« Mais cette liste s'allonge de minute en minute ! Je me rends compte que
cette salope a fait pas mal de fautes ; malheureusement, la seule façon de
lui apprendre est de la punir. Je vais te dire Joe : je vais pencher la
salope sur la table et tu pourrais être le premier à lui fouetter le cul
pour la façon dont elle t'a traité. Cela fera une punition de moins à gérer
pour moi, j'en ai déjà beaucoup trop comme ça. Joanna, sois gentille et
tiens les mains de la salope à l'autre bout de la table, d'accord ?
- Tout ce que tu veux, poupée, mais avant, j'ai juste une toute petite
question... Joe chéri, c'est ton trench-coat là ?
- Non, la salope est arrivée en le portant.
- Espèce de salope stupide ! »
Erik crie sur Sarah et la gifle. Sarah se met à pleurer et à trembler
encore plus. Elle tend la main vers sa joue qui a maintenant une empreinte
rouge, mais quelqu'un saisit sa main et l'arrête. C'est Joanna qui
l'arrête.
« Je me souviens très bien t'avoir dit quoi porter et un manteau n'était
pas inclus dans cette liste. Mon Dieu, celle-là va demander beaucoup
d'entraînement ! Eh bien, au lieu de l'écrire, Joanna, tu pourras faire ce
que tu veux d'elle quand Joe en aura fini avec elle et nous dirons que
c'est pardonné mais pas oublié.
- Oh chouette ! J'espérais tellement pouvoir jouer avec elle aujourd'hui !
Dit Joanna tout excitée.
- Je peux la fouetter maintenant, Erik ?
- Vas-y Joe, donne-lui dix coups sur chaque fesse. »
Erik amène Sarah à la table et la pousse dessus. Il écarte ses pieds sur
les côtés pour que ses jambes soient bien ouvertes. Joanna va à l'autre
bout de la table et s’empare des mains de Sarah qu’elle tient fermement
pour qu'elle ne bouge pas. Les seins de Sarah sont plaqués contre la table
froide. Elle sent que l’on relève sa jupe au-dessus de ses fesses.
« Attendez ! S’exclame Joanna. Ne serait-ce pas mieux si la salope était
nue ?
- J'aime ta façon de penser, Joanna, j'aimerais bien voir ce qu'il y a sous
ces vêtements. »
Joe ricane. Erik saisit la salope par les cheveux et la tire de la table.
« Déshabille-toi, salope ! »
En reniflant, Sarah commence à déboutonner son chemisier. Lentement, elle
le laisse tomber par terre, elle se sent horriblement gênée d'être là, de
ne voir personne et elle sent leurs regards sur son corps.
Plus vite ! Lui crie Erik. »
Elle défait rapidement le bouton et la fermeture éclair à l'arrière de sa
jupe et la laisse tomber sur le sol. Erik se penché pour attraper son
chemisier et sa jupe et les jette de côté. Il la pousse à nouveau sur la
table alors que Joe est occupé à retirer sa ceinture de cuir, et ordonne :
« Maintenant salope, après chaque coup, tu annonceras le compte à voix
haute. Dis à mon ami ici présent à quel point tu es désolée de ton
comportement et remercie-le d'avoir aidé à te punir. »
Les trois Doms ont un sourire éclatant.
Slaash, le premier coup sur sa fesse gauche. Sarah crie :
« Ahhhh ! »
Une courte pause.
« Un, je suis désolée d'avoir été impolie avec vous, Monsieur, merci
d'aider à me punir. »
Cela continue ainsi pendant les vingt coups que Sarah reçoit. Elle ne pas
fait d'erreur en comptant, à la grande déception d'Erik, qui était sûr
qu'elle se planterait et que Joe pourrait passer un peu plus de temps avec
elle. Elle est visiblement en train de trembler et de pleurer à chaudes
larmes. Son derrière a des marques rouges profondes sur les deux fesses qui
brûlent comme l'enfer quand Joe en a fini avec elles.
Sarah transpire beaucoup. Quand Joe a fini, Erik plonge son doigt dans le
con de Sarah et le ressort dégoulinant.
« Eh bien, eh bien, regardez-moi ça ! Je pense que la salope aime toute ces
attentions. »
Erick remet debout une Sarah très tremblante. Il lui enlève son bandeau et
la tourne vers lui.
« C'est vous ! S’exclame Sarah avec un regard choqué sur le visage. »
Elle le regardé droit dans les yeux ; elle ne voulait pas le faire, mais
elle doit le faire. Erik affiche un large sourire.
"Il est merveilleux et c'est mon Maître.", se dit Sarah.
Elle est tout excitée, c'est le moins qu'on puisse dire.
12. Le choix de Sarah
Erik enfonce son doigt humide dans la bouche de Sarah et lui ordonne de le
nettoyer. Sarah a vu M. Erik Johnson de nombreuses fois à la banque. C'est
un client régulier. Elle l'a souvent observé du coin de l'œil en espérant
qu'il la remarque. Elle le trouvait assez beau et elle aurait tellement
voulu entrer dans son pantalon pour voir à quel point il était viril. Elle
pensait qu'il ne l'avait même pas remarquée. À en juger par son sourire et
son manque de surprise lorsqu'elle lui a dit qu'elle le connaissait, il la
connaissait et elle est sûre que c'est à cause de la banque. Il l'avait
remarquée, mais il ne lui avait jamais dit un mot !
Erik observait Sarah depuis un certain nombre d'années, sept pour être
exact. Il attendait juste le bon moment pour agir. Sarah lui a facilité la
tâche, c'est elle qui a fait le pas avec la petite lettre qu'elle lui a
envoyée. Tout se passe plus tôt que prévu, mais ça se passe maintenant et
il est content. Il a su qu'elle lui appartiendrait dès qu'il a reçu sa
lettre. Lui mettre un collier n'est qu'un détail et il a prévu de le faire
demain dès qu'elle sera entrée chez lui.
« Eh bien, petite miss Sarah, tu sembles choquée. Tu n'as pas à l'être,
j'avais prévu de te prendre depuis un certain temps maintenant. En fait,
j'avais bien l'intention de faire mon coup dans quelques semaines ; tu as
juste contribué à accélérer le processus et à me rendre la vie plus facile.
J'aime bien quand les salopes me facilitent la tâche, sourit Erik. Avant de
continuer avec autre chose, je veux que tu comprennes que tu es maintenant
ma propriété. C'est ta dernière chance de t'en aller, Sarah. La porte est
juste derrière toi. Si tu choisis de partir, je ne t'embêterai plus et mes
amis ici présents n'essaieront pas de t'arrêter.
Si tu choisis de rester, tu es à moi aussi longtemps que je choisirai de te
posséder. Tu n'auras rien à dire sur quoi que ce soit. Tout ce que tu dis
et fais sera surveillé vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur
sept. Tu subiras des punitions, parfois à cause d'une erreur de ta part ou
parfois juste parce que j'en ai envie. Tu auras des règles strictes à
suivre et à respecter. Tu as beaucoup à apprendre et je veux commencer tout
de suite.
Maintenant petite Sarah, voici ta chance. Mets ton manteau et sors par la
porte maintenant ou décide d'être utilisée et abusée comme je l'entends et
mets-toi à genoux tout de suite. »
Tout le monde est silencieux, on pourrait entendre une épingle tomber.
Sarah pense prendre son manteau et s'enfuir, mais quelque chose l'arrête.
Elle a besoin de Lui dans sa vie, chaque fois qu'elle le voit, elle avait
des papillons dans le ventre. Elle sait à ce moment-là qu'elle lui
appartient depuis longtemps. Elle le regarde droit dans les yeux une fois
de plus. Elle voit de l'amour et de l'attention dans ses yeux doux et
chers. Elle fond sur le champ, prend une profonde inspiration, expire et se
met à genoux en prenant soin de baisser les yeux. Elle se soumet à lui pour
la durée qu'il choisira.
Erik regarde également Sarah dans les yeux au même moment ; il veut être
sûr que c'est bien ce qu'elle veut. Il n'est pas offensé qu'elle prenne son
temps ; il voir bien qu'elle cherche une réponse dans ses yeux. Il sent
l'amour qu'elle avait déjà pour lui, il est fier d'elle et sait qu'elle va
s'agenouiller devant lui. Elle est maintenant son trésor et il va en
prendre grand soin. Erik sourit, ses yeux brillent de fierté et de bonheur
pour sa nouvelle salope. Joanna remarque la façon dont Erik la regarde et
lui chuchote à l'oreille :
« Ne commence pas à être tendre avec celle-là, Erik, c’est une perle, et la
dernière avec laquelle tu as été tendre a profité de toi.
- Oui, je sais, ne t'inquiète pas. »
Erik ne chuchote pas, il le dit à voix haute pour que tout le monde
l'entende :
« Ok, petite salope, tu as fait ton choix maintenant. Il n'y a pas de
retour en arrière possible. Demain matin, je viendrai te chercher chez toi
et je t'amènerai au travail. Tu porteras exactement ce que tu portes
aujourd'hui, pas de manteau ! Habillée de la sorte, je suis sûr que tu
seras renvoyée presque dès que tu auras franchi la porte. Je t’attendrai
dans la voiture. Nous discuterons des autres détails plus tard.
Pour l'instant, Maîtresse Joanna a eu la gentillesse de t’aider à te
maintenir au sol, alors tu vas la remercier en faisant plaisir à sa chatte.
Joanna, assieds-toi et la petite salope ici présente va ramper jusqu'à ta
chatte et nous donner un bon spectacle.
- Eh bien il est temps, je meurs d'envie que cette salope s'occupe de moi !
Je veux voir à quel point elle est bonne lécheuse de chatte, S'exclame
Joanna. »
Sarah hésite.
« Maintenant, putain ! Crie Erik.
- S'il vous plaît Maître, je n'ai jamais été avec une femme ! S’écrie
Sarah.
- Ok salope, prends ton putain de manteau et dégage d'ici ! »
Erik est visiblement en colère. Sarah hésite encore un moment, puis elle se
glisse entre les genoux de Joanna, prend une profonde inspiration et ferme
les yeux en serrant fort pour trouver le clito de Joanna avec sa bouche.
Lentement, Sarah se met à lécher son clito. Sa langue se déplace ensuite
vers l'ouverture des lèvres de sa chatte et trouvé le doux nectar de
Maîtresse Joanna. Sarah commence à s'exciter. Elle aime le goût de la
cyprine de la Maîtresse. Elle apprécie les gémissements de Maîtresse
Joanna.
« Arrête salope, retourne à mon clito et suce-le fort jusqu'à ce que je
jouisse ! Ordonne Joanna. »
Sarah retourne au clito de sa Maîtresse et commence à le sucer et à
l'aspirer. Joanna se met à baiser le visage de Sarah avec fureur.
Finalement :
« Ahhh… Oui salope ! C'est ça, c'est ça... Je jouuuuiiiiis ! »
Joanna joui avec précipitation et elle force la tête de Sarah pour qu'elle
puisse goûter son doux nectar.
« C'est bien, salope, nettoie-moi, assure-toi d'avoir tout mon cadeau dans
ta bouche, dit Joanna avec satisfaction. »
Joe et Erik regardent le petit spectacle avec des membres bien durs.
Une fois que Joanna est satisfaite du bon travail de nettoyage de Sarah,
elle la repousse en mettant ses pieds sur les épaules de Sarah. Sarah tombe
en arrière et se retrouve sur le dos mais reste où elle est. Elle n'ose pas
bouger jusqu'à ce qu'on lui dise de le faire.
« Ok salope, habille-toi et rentre chez toi. Je garde ton manteau, tu n'en
as plus besoin et je pense qu'il sera magnifique sur Maîtresse Joanna." »
Joanna sourit à Erik qui lui sourit en retour :
« Merci chéri, c'est gentil de ta part ! »
- Je viendrai te chercher demain à huit heures précises, Sarah. Sois prête
! »
Sarah dit rapidement "Oui Maître", se rhabille et court vers sa voiture.
13. Sarah hors d’état de se nuire
« C'est comme ça que tu la connais ! Petit diable rusé ! S'exclame Joanna.
- Oui, je l'ai observée de près et j'ai surveillé ses faits et gestes à
chaque étape de son parcours pendant les sept dernières années, répond Erik
en souriant. Je dois rentrer rapidement à la maison et garder un œil sur
cette salope, je suis certain qu'elle va essayer de se faire plaisir ! Tu
viens Joanna ?
- Je crains de ne pas pouvoir, j'ai des tonnes de travail à faire à la
maison et une réunion tôt demain matin. Comment peux-tu être si sûr qu'elle
va s’occuper de ses besoins de toute façon ? Elle semblait tout à fait
désireuse de te plaire tout à l'heure !
- Elle était tellement pressée de rentrer chez elle qu'elle ne m'a même pas
laissé son adresse. Je suppose que c'est parce qu'elle pense à sa chatte en
manque, sourit Erik
- Bon sang, c'est vrai, comment vas-tu trouver où elle habite Erik ?
Demande Joe. »
Avec un regard sournois, Erik répond :
« Qu'est-ce que tu n'as pas compris dans ma déclaration sur le fait de
surveiller chacun de ses mouvements ? »
Tous se mettent à rire.
« Ouais, tu m’as eu là, Erik, j'ai posé une question stupide, n'est-ce pas
?
- Ok les amis, je dois y aller. Je ne peux pas encore faire confiance à
cette pute ! Tu veux que je te dépose, Joanna ?
- Non, c'est bon, va t'amuser, je vais demander à Joe de me ramener à la
maison. Je passerai dans la semaine pour récupérer ma voiture, peut-être
même rester quelques jours. Après tout, je n'ai pas eu la possibilité
d'utiliser ta salope à mon niveau de satisfaction et tu me le dois bien !
- Ok Joanna, répond Erik en riant. »
Il se penche pour l'embrasser pour lui dire au revoir.
« Attendez une minute les amis ! Vous êtes tous en train de faire des plans
et j'ai un gros problème d'érection ! Se plaint Joe.
- Ha, ha, c'est bon Joe, tu peux venir chez moi et on va régler ton petit
problème avant que j'aille travailler, répond Joanna.
- Hé, c'est pas juste ! Et moi alors ?
- Allez, allez, Erik, laisse Joe tranquille, il n'a pas de femme ni de
salope pour l'aider en ce moment. C'est le moins que je puisse faire pour
lui et d'ailleurs, tu auras ton jouet bien assez tôt ! Dit Joanna avec un
sourire malicieux sur son visage.
- Bien ! »
Erik rit et avec un petit pincement aux fesses de Joanna, il se retourne
rapidement, fait ses adieux et sort par la porte.
Sarah gare sa voiture devant son immeuble et entre en courant. Haletante,
elle enlève tout de suite ses vêtements. Elle veut désespérément les laver,
mais sait qu'elle ne peut pas. Elle les plie soigneusement et les met sur
le dessus de sa commode pour qu'ils soient prêts pour le lendemain matin.
En se promenant dans son appartement et en regardant toutes les possessions
qu'elle n'aura plus à partir du lendemain, elle réalise que cela ne la
dérange pas. Rien de ce qu'elle possède ne semble plus avoir d'importance
pour elle. Elle pense à ses actions de la journée, en particulier à ce
qu'elle a fait à Maîtresse Joanna. Elle ne comprend pas son désir de lui
faire plaisir. Elle n'a jamais été avec une femme auparavant et n'en a
jamais eu le désir, mais elle s'est certainement efforcée de plaire à
Maîtresse Joanna. Plus elle pense à son comportement, plus elle devient
humide.
Sarah s'empêche de profiter de l'absence de caméra. Elle est sûre qu'elle
aura tout le temps de s'occuper de ses besoins dès qu'elle aura allumé son
ordinateur et sa webcam pour Maître. Elle n'a aucune idée de l'endroit où
il vit, mais elle sait qu'il ne semblait pas pressé de partir quand elle
l’a fait. Une chose dont elle est sûre, c'est qu'il ne la surprendra
certainement pas avec sa caméra éteinte et qu'elle la pointera vers la
chaise, tandis qu'elle s'étend sur sa couverture et joue avec elle-même. Il
ne pourra jamais savoir qu'elle s'est satisfaite elle-même et elle a bien
l'intention de le faire. Elle ne peut pas supporter la façon dont sa chatte
palpite et elle va y remédier.
Une fois que Sarah a tout installé, elle s'allonge sur sa petite couverture
et commence à fantasmer sur Maître et Maîtresse Joanna. Oh, comme elle
espère désespérément pouvoir goûter Maîtresse Joanna une fois de plus. Sa
main descend jusqu'à sa chatte, elle y met un doigt et commence à le faire
tourner. Elle veut sentir la différence entre son goût et celui de
Maitresse Joanna. Elle retire son doigt et le met dans sa bouche pour
goûter son jus. Elle se fige avec le doigt dans la bouche au son des
applaudissements et de la voix de Maître Erik.
« Très beau spectacle, salope ! Dit Erik avec colère. De toute évidence, on
ne peut pas te faire confiance du tout ! Tu n'as jamais pensé que j'aime
que mes salopes soient toujours dans le besoin. C'est plus facile pour
elles d'être prêtes à tout ce que je veux quand je le veux. J'attends de ta
chatte qu'elle reste dans un état de besoin à tout moment. Maintenant,
puisque tu as des difficultés à m'obéir, il semble que je vais devoir
passer la soirée ici. Tu ferais mieux d'aller manger maintenant. Tu as une
demi-heure et dès que j'arriverai, tu seras enchaînée pour que je puisse me
reposer en sachant que tu garderas tes pattes loin de ma chatte ! »
Erik est impatient de commencer les punitions dont sa petite esclave a
besoin, mais il va attendre, jusqu'à demain après-midi en tout cas.
- Je suis vraiment désolée, Maître, pardonnez-moi. Je ne savais pas à quoi
je pensais ! S’écrie Sarah.
- C'est justement ça, salope, tu ne pensais pas, c'est ta chatte qui le
faisait ! Va manger maintenant, je serai bientôt là !
- Mais Maître, je ne vous ai pas donné mon adresse.
- Petite idiote, il ne t'est pas venu à l'esprit que je sais tout ce qu'il
y a à savoir sur toi ? Ne réponds pas, occupe-toi et mange. Ce sera ta
dernière chance jusqu'au matin. »
Sur ce, Erik éteint son ordinateur et se prépare pour passer la nuit chez
Sarah.
Sarah prépare rapidement un grand déjeuner pour elle-même et en fait plus
au cas où son Maître ait faim et voudrait manger. Une fois qu'elle a fini
de manger, Sarah attend sur sa couverture que l'on sonne à la porte et que
son Maître soit là.
Maître Erik arrive peu après et avec des doigts tremblants, Sarah
déverrouille sa porte et le fait entrer.
« A genoux, salope ! »
Sarah se met rapidement à genoux.
« Aucune de mes salopes ne marche sur ses pieds, sauf indication contraire.
Ta place est sur tes mains et tes genoux à tout moment, sauf quand tu me
prépares le dîner ou quand tu nettoies des endroits qui ne sont pas faciles
à faire sur tes mains et tes genoux. C'est clair, salope ?
- Oui, Maître, répond Sarah, les yeux baissés.
- Très bien salope, maintenant va dans ta chambre, je dois t’attacher pour
la journée et la soirée. »
Sarah rampe jusqu'à sa chambre avec le Maître derrière elle. Il prend une
longueur de corde et attache les poignets de Sarah à ses chevilles,
derrière son dos. Quand elle est bien attachée, il la fait rouler sur le
côté pour pouvoir observer son inconfort. Comme il aime voir ses esclaves
attachés comme ça ! Erik sourit, il s'assoit sur la chaise d'ordinateur de
Sarah et pense que quelque chose manque dans cette image...
14. Préparatifs
Sarah est allongée sur le côté, elle se sent déjà courbaturée et a envie de
s'étirer. Elle s'assure de garder les yeux baissés et de ne pas risquer de
regarder Maître Erik. Elle sait qu'il est assis en face d'elle. Elle sent
ses yeux sur elle.
« Je sais ce qui manque ! Dit Erik à haute voix. Un bâillon pour la bouche
de la salope ! Ah, ah… »
Erik se lève, fouille dans son sac et en sort un bâillon. Il s'approche de
Sarah, se penche et lui ordonne d'ouvrir grand la bouche. Sarah s'exécute
et ouvre grand la bouche pour que son Maître puisse placer le bâillon. Ceci
fait, Erik se lève en regardant sa salope.
« J'adore quand mes salopes bavent pour moi. Tu ne pourras pas avaler ta
salive et tu devrais bientôt commencer à baver. Tu sais ce que j'aime
d'autre, ma petite chienne de salope ? A en juger par tes actes d'hier, je
suppose que tu aimes ça aussi ! J'adore quand mes salopes sont couvertes de
pisse, en y réfléchissant, ma vessie est un peu pleine. »
Sur ces mots, Erik glousse en défaisant la fermeture-éclair de son jean et
en sortant sa bite. Dirigeant sa queue vers les seins de Sarah, il laisse
échapper son urine. Il se met à pisser sur ses seins, descend jusqu'à son
entrejambe et remonte lentement vers son visage. Il pointe son membre vers
le bâillon, sûr qu'une partie de son urine va passer à travers et entrer
dans sa bouche. Puis plus haut sur son visage, sur son nez. À ce stade,
Sarah a fermé hermétiquement les yeux. Elle gémit et s'étouffe pendant que
le Maître lui pisse dans la bouche et sur le visage. Il dirige son flux sur
ses yeux et dans ses cheveux. Enfin, il termine et se rapproche de Sarah
pour que les dernières gouttes atterrissent sur son visage. Il secoue sa
bite sur son visage et lorsqu'il est sûr qu'il n'y a plus de gouttes, il la
remet dans son jean et recule pour admirer son travail.
« Eh bien maintenant tu as l'air de la vraie pute à pisse que tu es ! Tu
sens bon aussi. Maintenant, tu devrais me remercier de te permettre un tel
privilège. Je suis très généreux avec toi, je crois. »
Erik rigole. Il voir qu'elle n'aime pas être ainsi couchée dans la pisse,
mais il sait qu'elle va s'y habituer et qu'elle finira par le supplier de
lui pisser dessus. Sarah remercie Maître Erik à travers son bâillon. Sa
voix est étouffée, mais il sait ce qu'elle dit. Erik se rassoit et regarde
Sarah. Il remarque qu'elle commence à baver et décide de la laisser ainsi
jusqu'au matin. Il lui laissera tout le temps nécessaire pour se laver
demain matin.
Erik allume l'ordinateur de la salope et sa webcam, il se lève et ouvre la
fenêtre, il sait que lorsqu'elle aura froid à force d'être couchée dans sa
pisse, elle finira par devoir y aller elle-même aussi, il aimait bien les
putes à pisse. Il prend les clés de la maison de Sarah et s’en va.
Maintenant, il peut rentrer chez lui et se préparer pour demain sans se
soucier de la salope.
Sarah somnole de temps en temps pendant la journée et l'après-midi. À un
moment donné, elle doit libérer sa vessie. Elle bave et tremble si fort.
Elle doit somnoler à nouveau parce que son réveil sonne. Elle ne peut pas
l'atteindre pour l'éteindre, mais elle voit qu'il est cinq heures du matin.
Elle reste allongée à attendre. Au bout d'un moment, Erik arrive. Il se
sent frais et dispos après une bonne nuit de sommeil.
Erik s'approche de Sarah et lui donne un petit coup sur le sein gauche avec
son pied botté.
« On dirait que tu as eu un sommeil parfait, petite. Eh bien, je pense
qu'il est temps de te détacher et de te mettre sous la douche, tu sens
vraiment très bon ! C'est incroyable à quel point tu aimes dormir dans la
pisse ! »
Sur ces mots, Erik enlève le bâillon et détache Sarah. Sarah est plutôt
raide et endolorie d'avoir passé la plupart de son temps attachée de cette
façon. La bite d'Erik grandit et il se dit qu'elle est belle comme ça.
« A genoux, les mains derrière le dos, salope. C'est l'heure de ton
petit-déjeuner. »
Erik enfonce sa bite dans la bouche de Sarah et tout de suite, elle se met
à sucer et à lécher. Erik saisit sa tête et fait pomper sa queue dans et
hors de sa bouche avec une grande force jusqu'à ce qu'il soit sur le point
de jouir. Quand il commence à jouir, il enfonce son membre dans la gorge de
Sarah et tient sa tête pour qu'elle ne puisse pas bouger. Sarah a du mal à
respirer et pensait qu'elle va s'évanouir lorsqu'elle sent son jus chaud au
fond de sa gorge. Elle essaie d'avaler aussi vite qu'elle peut pour pouvoir
tout absorber. Une partie de son sperme sort de sa bouche et se répand sur
ses seins. Erik se retire de la bouche de Sarah et lui dit de nettoyer son
membre. Elle l'e fait. Il recule ensuite un peu et la regarde à nouveau.
« Mon Dieu, tu es bien négligée quand on te donne un bon petit déjeuner. Tu
as du gluant qui coule sur tes seins et tu pues comme la pire pute qui ait
jamais existé ! Maintenant, utilise ton doigt pour essuyer la matière
gluante sur tes seins et mets-la dans ta bouche, là où elle doit être ! »
Sarah fait ce qu'il lui ordonne. Quand Erik est satisfait, il ordonne à
Sarah de ramper jusqu'à la salle de bain et d'entrer dans la baignoire. Ce
qu'elle fait.
Une fois Sarah dans la baignoire, Erik lui ordonne de s'asseoir comme la
chienne qu'elle est. Sarah est gênée, mais elle veut montrer à son nouveau
Maître qu'elle fera n'importe quoi si cela lui plaît. Elle s'assoit comme
un chien le ferait. Erik ouvre l'eau froide, saisit la pomme de douche et
laisse l'eau glacée éclabousser le corps nu de Sarah. Elle crie quand l'eau
froide la touche ; Erik lui donne une légère claque derrière la tête et lui
demande de se taire. Sarah obtempère et reste silencieuse et frissonnante.
Après environ cinq minutes de ce traitement, Erik arrête l'eau et demande à
Sarah de se lever et de se pencher. Sarah s’exécute et s'accroche à la
barre sur laquelle est son gant de toilette. Elle ne sait pas ce que fait
Maître, mais elle entend l'eau couler dans le lavabo. Elle n'ose pas
regarder le Maître. Elle sent le Maître cracher sur son trou du cul et
insérer quelque chose de long. Elle gémit un peu mais une fois l'objet en
elle, elle se détend. Elle commence à ressentir une sensation de plénitude
dans son ventre et réalise alors que Maître lui fait un lavement.
Elle est froide et mouillée, mais elle ne bouge pas un muscle ni ne fait un
bruit. Lorsque le sac est vide, Erik dit à Sarah de rester comme elle est
et de garder ce qu'elle a dans le ventre jusqu'à nouvel ordre. Finalement,
Erik permet à Sarah de vider ses intestins. Il lui ordonne ensuite de se
laver et de se préparer rapidement. Il l'emmène au travail.
15. Virée !
Erik fait asseoir Sarah sur le siège avant avec sa jupe relevée. Sarah est
extrêmement gênée de devoir aller au travail dans sa chemise noire
transparente tachée de blanc, sa mini-jupe noire et ses talons noirs de
douze centimètres. Elle se sent et ressemble à une pute. Elle pense en même
temps qu'il est très étrange qu'elle soit mouillée et très excitée. Elle
est sûre qu'elle faisait du désordre sur le siège de la voiture de son
Maître.
Ils se s’arrêtent devant la Banque Bailey, le lieu de travail de Sarah.
Erik dit à Sarah qu'il va l'attendre dans la voiture, il est certain
qu'elle va se faire virer immédiatement. Sarah commence à baisser sa jupe
avant de sortir de la voiture.
« Non salope, garde la jupe comme ça jusqu'à ce que je te dise de la
baisser !
- Oui, Maître. »
Le visage de Sarah devient rouge mais elle fait ce qu'il lui ordonne, ouvre
la porte, sort de la voiture et attend. Elle espère que personne ne peut
voir depuis les fenêtres de la banque et que personne ne passera par là.
Finalement, Erik dit :
« Regarde les saletés que tu as faites sur mon siège ! Je n'arrive pas à
croire à quel point tu es négligée et désordonnée, salope ! Avant que je ne
te permette de baisser la jupe, penche-toi et lèche ça tout de suite ! »
Sarah fait ce qu'il lui dit et quand elle est sûre que c'est propre, elle
se remet debout, les yeux baissés et attend.
« Très bien, salope, baisse ta jupe et vas-y. Je t'attends ici. »
Sarah entre dans la banque en tremblant ; elle garde la tête et les yeux
baissés. Elle sait que son visage est rouge car elle sent la chaleur
monter. Elle sent que tous les regards sont braqués sur elle ; essayant
d'ignorer cette sensation, elle se dirige vers son poste et commence à se
préparer à recevoir des clients. Moins de cinq minutes plus tard, elle
entend M. Bailey l'appeler.
« Sarah, venez immédiatement dans mon bureau ! Crie M. Bailey. »
Sarah a l'impression que ses genoux vont se dérober si elle bouge d'un
iota. Elle est si embarrassée et effrayée.
Sarah frappe légèrement à la porte de M. Bailey et entend l'ordre d'entrer.
Elle entre et ferme doucement la porte derrière elle. Elle a trop peur de
regarder M. Bailey et de voir dans ses yeux le dégoût qu'elle inspire.
« Qu'est-ce que c'est que ça, Sarah ? C'est déjà Halloween ? Pourquoi
diable êtes-vous habillée comme une clocharde ? C'est une banque
respectable et je ne tolérerai pas qu'un de mes employés s'habille d'une
manière aussi provocante et dégoûtante ! »
M. Bailey crie à pleins poumons et Sarah reste là, tremblante, les larmes
aux yeux.
On frappe à la porte.
« Qui est là, bon sang ? S’écrie M. Bailey.
- Erik Johnson.
- Nom de nom ! Reste là et ne bouge pas d'un poil, je n'en ai pas encore
fini avec toi, Sarah ! Entrez Mr. Johnson. »
Erik entre et ordonne à Sarah :
« À genoux salope ! »
Elle s’exécute immédiatement.
« Espèce de fils de pute ! Glousse M. Bailey, que toute la colère a quitté.
C'est la salope dont tu parlais ?
- C'est exact, John, et puis-je ajouter, tu ne sais pas tenir ta langue,
n'est-ce pas ? Rigole Erik. Joanna était chez moi à la seconde où tu le lui
as dit ! »
John et Erik rient tous les deux en se serrant la main.
« Espèce de sournois, je ne t’ai même pas vu lui faire des avances. Par
l'enfer, tu parles de vouloir celle-là depuis un temps très long
maintenant. Juste sous mon nez et je n'ai même pas remarqué ! Quand est-ce
que tu as fait ton coup ? Demande John.
- Ah, ah... Je ne l'ai pas fait, c’est elle qui l'a fait ! Cette petite
salope m'a rendu la tâche très facile, dit Erik en souriant.
- Eh bien, je suppose que je n'ai pas d'autre choix que de la virer,
n'est-ce pas Erik ?
- Non, tu ne peux pas laisser tes employés s'habiller comme ça au travail.
Cette salope m'a supplié de l'autoriser à s'habiller comme ça ! Dit Erik en
faisant un clin d'œil à John.
- Eh bien, on a toujours pensé que c'était une pute qui attendait
l'occasion de se pavaner, n'est-ce pas Erik ? »
Les deux hommes rient.
« Pour être honnête, elle a de la chance que je ne l'ai pas baisée à la
seconde où elle a franchi cette porte, tu sais à quel point je mourrais
d'envie de planter mes griffes dans elle aussi ! Dit John avec de la
convoitise dans les yeux.
- Eh bien, je suis content que tu ne l'aies pas fait, tu sais à quel point
je déteste que les gens utilisent mes salopes sans mon accord, déclare Erik
à John qui hoche la tête. Je vais te dire, John, après toutes ces années où
elle a travaillé pour toi, elle te doit quelque chose. Salope, va et fais à
mon ami ici présent la meilleure pipe que tu puisses faire, et assure-toi
de manger tout son sperme. Je ne veux pas de saletés. Mon ami est un homme
occupé et il n'a pas besoin de perdre du temps à attendre que tu nettoies !
»
Sarah rampe jusqu'à l'endroit où se tient M. Bailey. Il mesure environ un
mètre quatre-vingt, il a la cinquantaine, il est chauve mais en très bonne
forme.
Sarah commence à défaire lentement la boucle de ceinture de John, puis sa
fermeture-éclair. John est impatient et baissé son pantalon et ses
sous-vêtements. Pendant ce temps, Erik ferme la porte du bureau et
s’installe au bureau de John. Il veut voir à quel point sa petite salope
d'esclave est une bonne suceuse de bites.
Les yeux de Sarah s’écarquillent quand elle voit le membre de John. Il
mesure au moins vingt-quatre centimètres de long et est extrêmement épais.
Elle ne pense pas pouvoir la mettre dans sa bouche. Avant même qu'elle ait
pu essayer, John s’empare d’une poignée des cheveux de Sarah, enfonce sa
queue dure dans sa bouche et se met à la baiser furieusement. Les yeux de
Sarah pleurent, elle a du mal à suivre ses poussées et s'étouffe de temps
en temps avec sa bite.
« Alors John, comment ça se passe ?
- Eh, elle pourrait être une meilleure suceuse de bite, je pense que tu
dois mieux l'entraîner. »
Sur ce, John laisse échapper un gros grognement et fait gicler son cadeau
dans la bouche de Sarah et dans sa gorge. Quand il est sûr d'avoir fini, il
se retire, en tenant toujours ses cheveux et ordonne :
« Nettoie, salope ! »
Sarah nettoie son membre avec sa langue et sa bouche. Elle saute en l'air ;
elle est extrêmement excitée et voudrait absolument une bite dans sa
chatte. Erik et John rient et secouent leurs têtes.
« C'est une salope en manque d'affection, n'est-ce pas Erik ?
- Ah, ouais ! On dirait bien. Elle apprendra bien assez tôt que ses besoins
ne signifient rien pour moi. »
Erik se lève, avance jusqu'à Sarah et la regarde de haut.
« Sois une bonne fille, remercie M. Bailey en lui embrassant les pieds et
va m'attendre dans la voiture. »
Sarah fait ce qu'on lui dit et quitte le bâtiment.
« Ok Erik, je vais m'assurer que tout son argent est transféré sur ton
compte, à bientôt !
- Merci John. »
Ils se serrent la main et Erik quitte le bâtiment.
FIN
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