Je préparais les ingrédients
pour le souper, un sauté au porc et légumes, plat que Claudia
appréciait beaucoup.
J'ai rencontré Claudia par le
biais des petites annonces dans le journal; " Recherche femme ouverte
d'esprit, sachant prendre sa place sans prendre tout la place ".
En fait, je cherchais une femme dominante avec qui je pourrais établir
une relation stable incluant des jeux sexuels. Je n'avais reçu
que quelques réponses. Celle de Claudia avait attiré mon
attention. Elle expliquait qu'elle avait cheminé et qu'elle aimait
prendre sa place.
Dès notre première rencontre,
j'avais été charmé. Ses yeux bleu-gris, combinés
à un regard franc et direct, attiraient l'attention. On voyait
qu'elle n'avait pas peur de la vie. Son corps dégageait une impression
de solidité avec des hanches marquées.
Le contact avait été
facile. Nous avons discuté devant un café pendant quelques
heures. Le temps avait filé et nous avons décidé
de nous revoir de nouveau le week-end suivant. Samedi soir, nous avons
soupé au restaurant. J'ai tenté de savoir si elle avait
compris le message dans mon annonce. Elle n'avait pas fait de jeux sexuels
mais elle était intriguée et intéressée à
essayer. Nous avions convenu d'apprendre à nous connaître
avant d'aborder une sexualité moins conventionnelle. Après
trois mois de fréquentation, nous étions prêts à
briser la glace.
Pendant que je complétais la
préparation du souper, j'essayais de m'imaginer l'état d'esprit
de Claudia qui savait que c'était son initiation ce soir. Nous
avions décidé qu'il serait mieux qu'elle soit soumise durant
les premiers jeux afin qu'elle saisisse l'essence de la domination et
soumission.
Elle sonna à l'heure précise
que je lui avais indiqué. Après l'accolade, je lui servis
un scotch comme à notre habitude. Elle portait une jupe et une
blouse selon mes instructions. Je lui ai demandé d'enlever sa culotte
et de me la donner. Elle était mouillée et j'ai dit :
-Tu es pas mal excité, hein!
Elle confirma par un oui de la tête. Je sentais qu'elle était
gênée. Je lui ai demandé :
-Tu t'es masturbée, aujourd'hui?
Elle répondit un petit " non " peu convaincant. J'ai
décidé de ne pas relever ce fait tout de suite. Nous avons
continué à parler sans faire allusion à ce qui devait
se produire.
Contrairement à nos habitudes,
je n'ai pas servi un deuxième verre avant le repas. Nous sommes
passés à table. Je sentais une certaine fébrilité
chez Claudia mais je faisais comme si tout était normal.
Après le repas, je nous servis
un cointreau. Je lui ai demandé d'enlever sa blouse et son soutien-gorge.
Je l'ai fait mettre à genoux devant moi. Sa respiration se faisait
plus rapide. Ses seins étaient déjà très excités.
Ses mamelons qui sont proéminents, pointaient déjà,
très durs.
J'ai commencé à caresser
ses seins et j'ai senti son excitation monter encore d'un cran. Avec mes
ongles, je traçais des lignes de l'extérieur vers le mamelon.
En arrivant au mamelon, je le pinçais. Claudia inspirait rapidement
pour soulager le mélange d'excitation et de douleur malgré
que je n'avais pas encore mis beaucoup de pression.
Après quelques instants, je
pris ses mamelons entre mes pouces et index et je tournais d'un côté
et de l'autre en allant un peu plus loin à chaque fois. Par moment,
je les tirais vers moi. Sentant que Claudia avait besoin d'un répit
et ne voulant pas qu'elle utilise le code de sécurité, j'ai
diminué la pression.
J'ai placé une jambe entre les
siennes. Elle comprit qu'elle pouvait se frotter contre ma jambe. Sa jupe
remonta et elle put presque s'asseoir sur ma jambe. Je lui dis :
-Tu ne peux pas jouir. C'est bien compris.
Elle fit un signe que " Oui ".
-Comment? Je n'ai pas compris ce que tu as dis.
-Oui.
-Oui, je vais obéir.
-Oui, je vais obéir.
-Je voudrais que tu le dises d'une façon plus convaincante.
Elle s'exécuta. Je repris le travail des mamelons pendant quelques
instants.
Je pris ensuite ses seins à
pleine main afin de faire monter son excitation. Je voulais savoir si
elle résisterait à la tentation de l'orgasme. Elle diminua
le rythme du frottement au fur et à mesure que j'augmentais les
caresses à sa poitrine. Je pris son menton dans ma main et, remontant
sa tête, je lui dis :
-C'est bien.
Je l'ai embrassée. Je l'ai ensuite aidée à se lever
et l'ai serrée fort dans mes bras.
J'ai dégrafé sa jupe
qui tomba par terre. Je lui ai demandé de baisser les yeux pendant
que j'examinais son corps. J'ai caressé ses cuisses et son entrejambe.
Elle tremblait un peu. Je lui ai bandé les yeux avec un foulard
de soie que je lui avais demandé d'apporter. Puis, je l'ai guidée
vers la chambre. J'ai attaché ses poignets avec une ceinture de
robe de chambre et j'ai ensuite attaché une corde à la ceinture
et j'ai passé la corde par-dessus la porte d'une garde-robe. En
attachant l'autre extrémité de la corde à la poignée
intérieure de la porte et en la fermant, Claudia se retrouvait
avec les bras en l'air et peu de possibilité de mouvement. Habitant
un vieil immeuble où les fondations avaient travaillé, cette
porte offrait un jeu avec le cadre supérieur. J'ai attaché
une ficelle à ses mamelons qui étaient encore très
excitées. Je tirais doucement sur la ficelle en commençant
à lui frapper les fesses avec l'autre main.
Je lui ai reposé la question
:
-Dis-moi la vérité. Est-ce que tu t'es masturbée
aujourd'hui?
Il y eut un long silence. En tirant sur la ficelle, je lui dis :
-Réponds.
Avec une voie hésitante, elle répondit :
-Oui.
-Je t'avais pourtant demandé de ne pas te masturber aujourd'hui.
-J'étais trop excitée. Je ne tenais plus en place. J'avais
besoin de me calmer.
-Bon. Tu as désobéis et tu as mentis.
Je lui ai administré une violente claque sur les fesses et j'ai
continué à un rythme soutenu. Après quelques minutes,
je l'ai tourné et j'ai attaché un poids à la ficelle.
Je lui ai demandé d'écarter les jambes et j'ai alterné
des caresses et des tapes sur le pubis. Je sentis sa respiration monter
rapidement.
-Tu ne dois pas avoir d'orgasme.
-Je vais essayer.
J'ai glissé un doigt dans son vagin et elle était vraiment
très excitée. Elle m'a demandé :
-Est-ce que je peux venir? Je ne suis pas sûre de pouvoir me retenir.
-Tu en subiras les conséquences.
J'ai continué à la caresser.
Je savais qu'elle ne pourrait pas résister. Je sentis son orgasme
venir et, en la tournant un peu pour rendre ses fesses plus accessibles,
j'ai recommencé à lui donner des tapes en maintenant un
doigt dans son vagin. Elle a crié très fort et j'ai diminué
mon rythme en suivant son apaisement.
Elle dit :
-Excuse-moi mais je n'ai pas pu me retenir plus longtemps.
-La punition sera en conséquence.
J'ai enlevé le poids et j'ai
caressé ses fesses en sentant leur chaleur.
Après quelques minutes, je lui
ai demandé si elle avait soif. Je suis allé chercher un
grand verre d'eau et, en même temps, j'ai apporté une spatule
en bois. Je l'ai fait boire et lui ai donné le temps de récupérer.
J'ai approché une chaise près
d'elle pour m'asseoir. J'ai mis un de ses pieds sur la chaise entre mes
jambes. Elle se trouvait exposée à mes caresses. Je pinçais
ses lèvres et je passais mon ongle sur son clitoris. Je sentais
son excitation monter de nouveau.
Après quelques temps, j'ai détaché
la corde reliée à la ceinture et j'ai installé Claudia
sur mes genoux dans une position pour la fessée. Avec la spatule,
j'ai commencé lentement d'abord, puis de plus en plus fort. Quand
j'ai senti qu'elle était sur le point de pleurer, j'ai arrêté
et j'ai caressé doucement ses fesses qui étaient passablement
rougies. Je l'ai fait mettre à genoux devant moi et j'ai amené
sa tête vers mon pénis en érection. Claudia était
une experte de la fellation. Elle réussissait à générer
beaucoup de salive qui servait de lubrifiant. Quel délice! J'ai
allongé ma jambe entre les siennes et elle a compris qu'elle pouvait
s'exciter.
Je lui ai dit :
-Tu peux venir de nouveau mais en même temps que moi.
Elle s'exécuta. Après
nos orgasmes, je me suis déshabillé et nous nous sommes
étendus dans le lit. Je lui ai demandé :
-As-tu aimé l'expérience?
-Beaucoup mais je crois que j'ai encore besoin de beaucoup de formation.
Je ne serais pas prête à devenir dominante avant plusieurs
mois sinon plusieurs années.
-Eh bien! Ça m'apprendra de choisir quelqu'un qui n'a pas d'expérience.
Je crois que je vais placer une autre annonce en étant plus spécifique.
-Tu es cruel. Tu me martyrises et puis tu veux me laisser tomber. Il n'en
est pas question.
-Tu n'as qu'à apprendre plus vite.
-Je vais faire un effort.
-C'est bon. Je te donne une chance.
-Tu es bon pour moi. Je m'en souviendrai quand je serai dominante.
Elle arborait un large sourire qui
m'indiquait que je ne m'ennuierais pas avec elle.
Nous avons gardé le silence
quelques instants et soudain j'ai senti que Claudia dormait profondément.
Je l'ai regardée dormir en pensant que j'étais chanceux
de l'avoir rencontrée.
|