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Depuis
quelques temps, je correspondais sur MSN à la recherche dune
femme qui saurait me plier à sa volonté, me mater, qui me
demanderait de lui obéir et qui me conduirait sur la voie de la soumission.
Je pensais avoir trouvé ce que
je cherchais, son pseudo, psy13, conversait avec moi depuis deux semaines,
et je me laissais aller à lui raconter ma vie, mes aspirations,
mes fantasmes de soumissions
Je maperçois aujourdhui
que lors de ces échanges par claviers interposés, elle ne
s était jamais dévoilée, et je ne savais pas
grand chose delle.
Je savais quelle approchait de
la quarantaine, était sportive, mesurait 1,71m et pesait 58 kgs.
Elle se disait bien faite, aimant le classique, et semblait une femme
très cultivée dont la position sociale devait être
protégée.
Elle mavait réclamé
plusieurs photos, pour me juger, je pense que mon physique devait lui
convenir, et cest pourquoi un jour elle me proposa de lui rendre
une visite à son bureau. Elle mavait expliqué que
nous serions plus libres pour discuter entre femmes, et que son bureau
se trouvait dans un immeuble déserté le week end.
Je devais donc me rendre à Aubagne,
le samedi suivant. Sa seule exigence était que je ne parle pas
sans y être invitée par elle, et que je devrais obéir
en tout point à ce quelle me commanderait.
Je pris donc ma voiture et mon courage
à deux mains pour me rendre à Aubagne. Javais pris
un plan sur internet, et linconnu de ce futur RDV me rendait anxieuse,
mais en même temps excitée. Comme je ne savais pas à
qui javais affaire, javais confié à une amie
très chère, ladresse de cette femme, au cas où
La veille au soir de ce RDV, psy 13
mavait adressé un mail avec des directives.
- vous vous habillerez avec un tailleur
strict, des escarpins, pas de maquillage, sans bijou et une hygiène
irréprochable.
- Vous arriverez rue X, à 09h00
précise, vous entrerez dans le parking souterrain situé
à gauche de lentrée de limmeuble, vous vous
garerez à côté dune CLIO noire.
- Vous prendrez lascenseur situé
côté ouest à côté de la sortie de secours,
jusquau 4ème étage, appartement 4A. Vous vous déshabillerez
devant la porte, puis une fois nue, vêtue de vos seuls escarpins,
vous sonnerez, entrerez dans lentrée.
- Vous trouverez un placard à
vote droite où vous déposerez vos affaires. Ensuite vous
viendrez vous placer devant la porte à gauche et frapperez deux
coups.
- Je vous attendrais et vous autoriserais
à entrer.
Toutes ces recommandations mavaient
dans un premier temps surprise, car psy13 ne semblait pas lors de nos
échanges sur le net aussi directive. Je pense quelle mavait
bien analysée lorsque je métais confiée à
elle et quelle se permettait à présent de laisser
tomber peu à peu le masque.
Je partis donc de bon matin vers Aubagne,
prétextant une sortie shopping avec une amie pour aller voir les
maîtres santonniers. Javais pris le plus grand soin au niveau
de ma toilette, fraîchement manucurée et épilée
de la veille, et mon état dexcitation était à
son comble. Un mélange de peur et denvie, qui me rendait
folle et je sentais le désir grandir entre mes cuisses. Mes tétons
étaient tout dur, et je mimaginais nue livrée aux
caprices de cette inconnue.
Jarrivais à 08h50 dans
la rue de son domicile, et je me garais le long du trottoir en attendant
les 09h00. La rue était déserte, un centre des impôts
à ma gauche, fermé le samedi et dautres cabinets ou
immeubles de bureaux fermés qui rendait lendroit angoissant.
A 09h, je pénétrais dans le parking souterrain, la porte
souvrit, et distinguant une clio noire, je stationnais à
côté delle.
Je pris mon sac à main, que
je serrais contre ma hanche gauche, jétais glacé,
excitée, je me sentais comme un prostituée se rendant à
un RDV fixé par une cliente.
Je me sentais mal à laise
su le point de renoncer à mengager plus en avant, mais une
force, un défi intérieur mobligeait à commander
lascenseur pour me rendre vers le plaisir que jattendais.
Les portes souvrirent, jappuyais
sur le bouton 4et sentais mon corps senvoler vers un destin imaginé.
Jarrivais sur le palier, me remémorant
les directives de Psy13. Je posais mon sac à main sur un tapis
épais qui ornait le couloir, je me déchaussais, me débarrassais
lentement de ma veste, de mon chemisier que je pliais sommairement. Jenlevais
ma jupe, la mettais de côté. Je retirais ms bas, jetant un
regard derrière mois, et espérant que personne ne me surprendrait.
Jétais comme folle, je minterrogeais encore sur ma
position et mon comportement. Mais bizarrement, plus je me sentais coupable,
plus jétais excitée et continuais à me dévêtir.
Une fois mon string enlevé, je remis mes escarpins et nue comme
Eve, je rassemblais mes vêtements et dirigeais un doigt vers la
sonnette de la porte 4A.
Je rentrais dans lappartement,
la porte était ouverte, et un air classique de Smetana «
La moldau »se fit entendre. Je vis trois portes devant moi, et le
placard à ma droite, où je déposais mes vêtements
sur des cintres et étagères.
Je me retournais et jallais me
placer, comme un soldat au garde à vous devant la porte de gauche.
Je frappais deux coups à la
porte, me sentant fragile et anéantie. Une voix qui me paru assez
douce minvita à entrer.
Une femme se tenait au fond de la pièce
assise derrière un bureau de ministre, une lampe de forte intensité
me renvoyait uniquement sa silhouette. La pièce était dans
une pénombre reposante et en même temps austère. Dépais
tapis style persans recouvraient un plancher de bois en chêne. Un
divan destiné à des patients se situait à la droite
du bureau. Les volets étaient fermés et dépais
rideaux cachaient les fenêtres.
Mon hôte se mit à parler
: « Bonjour nath, vous êtes à moi à compter
de cette minute à moins que vous repartiez de suite. »
Je répondis mal à laise
un timide « non »
Psy13 continua alors : « Je considère
que vous êtes venue ici pour me servir, mobéir et que
votre souhait est que je sois satisfaite de os services, nêtes
vous pas daccord avec ceci ? »
Je répondis « Oui »,
me demandant ce qui me poussait à rester debout, nue devant cette
inconnue. Jétais comme hypnotisée.
Elle continua : « Vous mappartenez
donc à présent, et je peux faire de vous ce que je veux.
Vous êtes une petite chienne, qui a besoin dêtre dressée,
et dont je suis prête à me servir comme un simple objet que
je jetterais après usage. »
Ce ton qui venait de changer, plus
ferme, plus mature me déstabilisa, me fit leffet dune
gifle. Je nétais plus une femme aimant son mari, je nétais
plus rien quun objet, un simple mouchoir en papier que lon
jette une fois utilisé. Même le mot chienne, me paraissait
plus noble quun objet.
Mais avant que jai eu le temps
de répondre, elle me rappela quelle ne souhaitait rien entendre,
et que je navais quà hocher la tête et baisser
le regard . Ce que je fis prestement.
Elle se leva de derrière son
bureau et le contournant sapprocha de moi. Je vis alors une femme
brune aux cheveux coiffés en chignon, grande, fine et élancé,
habillée dune robe noire à boutons, fendue sur le
devant. A sa main une baguette fine denviron un mètre comme
les maîtres en possédaient pour montrer des points au tableau.
Elle me demanda de me retourner, me
toucha à différents endroits du corps avec sa baguette,
me jaugeant et attendant je suppose une réaction. Elle me demanda
de me déchausser, le tapis était doux, épais, chaud
et mes pieds me procuraient une sensation troublante. Je frissonnais,
elle dût s »en apercevoir car elle me demanda de me mettre
à genoux et mexpliqua ce quelle attendait de moi.
« Vous allez vous diriger à
quatre pattes, en relevant votre croupe, et vous installer sous mon bureau.
Je suis psychiatre et jattends
ce matin plusieurs RDV de patients. Je vous ai fait venir pour me divertir,
pour maider à trouver le bien être nécessaire
à ma concentration. Vous serez donc à mes pieds, cachée
aux yeux des patients et prête à utiliser vos mains, doigts,
lèvres ou langue pour satisfaire mes exigences. Sans aucun mot,
ni murmure et avec toute lapplication que jattends de vous
Objet. Pour indiquer ce que je souhaite, je montrerais lendroit
avec mon doigt, puis deux doigts pour caresser, trois doigts pour masser,
un doigt traçant des cercles pour me donner votre langue. Si je
suis satisfaite de vous, je vous accorderais une récompense, sinon
vous serez punie à la hauteur de votre échec à me
contenter ». Une chose encore pour vous je suis dorénavant
madame B, et rappelez vous que vous êtes à présent
en mon pouvoir. Je vous veux donc soumise, dévouée, une
chienne fidèle. Aussi je vais vous placer ce collier autour du
cou, marque de votre renonciation à toute liberté en ma
présence.
Je sentis alors une sangle de cuir
autour de ma gorge se refermer, marque dune soumission acceptée.
A présent, je me sentais soulagée, comme si ce collier de
chienne, me donnait le droit dexister, de jouer un rôle, dun
objet de plaisir certes, mais cependant par choix. Jarborais un
sourire, et madame me donna un coup de baguette dans le bas du dos, et
mordonna daller me placer dans ma niche, sous le bureau.
A quatre pattes, sentant la douceur
de la laine des tapis tissés mains, aux graphismes compliqués,
je commençais à avancer vers ce lieu désigné
où je devais commencer à jouer mon rôle. Je navais
pas dépassé le premier tapis que Madame marrêta
en se plaçant devant moi. Je ne vis que deux escarpins de cuir
noir, et des mollets bien faits dans un premier temps.
Je relevais doucement la tête,
eu juste le temps dapercevoir lourlet de sa jupe, un coup
sec de sa baguette me fit aussitôt plonger le regard vers le sol.
Elle me lâcha cette phrase qui
devait rester dans ma mémoire : « En ma présence,
tu garderas les yeux baissés, si tu portais un regard sur moi,
tu serais punie pour impudence. »
Je répondis : « Oui, Madame
», elle sécarta et je continuais ma progression, les
lattes de bois de chêne étaient dures et me faisaient mal
aux genoux. Aussi, cest avec bonheur que je retrouvais un épais
tapis de couleur rouge et vert qui me parut dune douceur infinie
et me permit de retrouver la force de continuer.
Jarrivais à hauteur du
bureau, qui me parut massif, austère. Il était fait de chêne
massif, couleur foncée, il cachait parfaitement aux yeux des clients
potentiels ce qui se cachait derrière. Je ne pus voir que les pieds
du fauteuil que jécartais légèrement pour me
glisser dans ce que Madame appelait ma niche. Je restais ainsi quelques
secondes, ne sachant pas quelle position adopter.
Madame arriva, sassit sur son
fauteuil, ou devrais je dire se laissa tomber en allongeant ses jambes
devant elle et en sappuyant sur le dossier. Cette action me permit
de découvrir quelques formes de son anatomie qui me comblèrent
daise.
Elle me dit aussitôt me stoppant
dans mes réflexions : « assieds toi en tailleur, face à
moi, calée le dos contre le fond du bureau. Mes premiers rendez
vous devraient arriver dici peu, je te rappelle que je ne veux rien
entendre de ta part, tu dois être la plus discrète possible,
comme ce tapis sur lequel tu es assise ».
Les rideaux de coton épais ne
laissaient que peu de lumière passer, et léclairage
de la lampe de bureau donnait un poids pesant et angoissant à ce
discours. Je me sentais abandonnée, bien sûr, jaurais
pu mille fois me lever et quitter cette pièce et dici dix
minutes, je serais en route pour mon domicile, mais jéprouvais
une sensation nouvelle, celle dappartenir à Madame, de ne
plus rien décider, de navoir quà obéir.
Je me sentais, comme soulagée, à présent jétais
comme nimporte quel objet de la pièce, je lui appartenais,
elle pouvait maimer, comme me casser, me garder ou me rejeter.
Jéprouvais dailleurs
un sentiment étrange, une peur indicible de la décevoir,
aussi je mattachais à tenter tout ce qui me serait possible
pour contenter cette maîtresse, comme une chienne fidèle
que je me considérais à présent.
Madame V se déchaussa, enleva
félinement ses escarpins, les déplaça de côté
du bout de ses orteils, et avança ses deux pieds pour les reposer
sur mes cuisses. Je vis un index pointer vers ses pieds et décrire
deux petits cercles. Je compris aussitôt que ceci était mon
premier test, et je pris son pied gauche dans mes mains et avec ma langue
je me mis à lécher chaque doigt lun après lautre,
glissant le bout de ma langue entre chacun, aspirant parfois, mais surtout
en restant très douce, pour que la caresse buccale soit appréciée.
Jentendis un petit soupir, qui me remplit de joie, Madame appréciait
ma langue, et je me sentais fière de la combler.
Je quittais les doigts pour lever le
pied, et faire glisser ma langue sous le dessous de son pied, amplifiant
les mouvements, et en accélérant mon rythme pour montrer
à ma maîtresse que jaimais ce quelle me demandait.
Elle pointa alors son index vers lautre pied, qui reçut immédiatement
le même traitement, en le prenant délicatement entre mes
mains et en jouant du palper roulé à peine appuyé
sur le dessus de son pied, pour rendre plus douce et décontractante
le travail de ma langue.
Soudain un coup de sonnette et la porte
dentrée qui souvre, quelquun un ou une cliente,
nous nétions plus seule, panique, angoisse, un frisson dans
le dos, un coup de pied de madame, qui se leva, remit ses escarpins et
séloigna de moi pour aller ouvrir.
Je restais seule, comme une bête
apeurée, sentant le danger, mais ne pouvant fuir. Jétais
nue sous ce bureau à la merci de nimporte qui.
La porte souvrit, des paroles
échangées, une femme répondit qui entra suivie de
Madame. Elle lui dit de se mettre à laise, et daller
sallonger sur le divan de cuir noir, dont je ne pouvais entrevoir
en me penchant un peu que le haut du dossier. Ce nétait apparemment
pas son premier rendez vous, à en croire les échanges de
conversations et jappris rapidement le mal dont souffrait cette
femme.
Elle sappelait Nicole, était
célibataire, plus par dépit que par choix, ces quelques
relations avec des hommes avaient été des échecs,
ils la trouvaient frigide et elle de son côté ne ressentait
aucun plaisir dans lacte sexuel. Madame se proposait une nouvelle
fois de procéder à une séance dhypnose pour
essayer de découvrir lorigine de ce mal qui handicapait Nicole
dans toutes relations sérieuses.
Cette femme sallongea sur le
divan, et par curiosité, en me penchant, je vis un bout de chevelure
blonde. Jétais à présent intéressée,
de partager des moments intimes de sa vie, et mon côté voyeur
me poussa à ne rien perdre de la conversation que Madame entreprit
avec sa patiente.
Madame parla dune voix douce,
enivrante, et Nicole commença à senfoncer dans un
état de veille apparentée au sommeil.
Madame lui demanda de simaginer
en maillot sur une plage, le bruit des vagues venant mourir sur un sable
blanc et doux comme de la farine. Un souffle de vent chatouillait sa peau,
et une ombre pointait à lautre bout de cette plage, elle
se rapprochait. Madame demanda si elle la voyait, puis de la décrire.
Nicole qui devait imaginer larchétype de la séduction
commença à décrire un corps mince, celui dune
femme nue, rousse, à la poitrine insolente dont les tétons
chauffés par le soleil, étaient entourés dune
auréole brune.
Je ne comprenais plus, cette femme
avait parlé de problèmes avec les hommes et ne rêvait
sous hypnose quà une femme ??
Soudain, je vis la baguette de Madame
devant mon visage dimpudente. Elle traça un trait vers le
fauteuil et je compris que je devais sortir. Je neus quun
bref regard vers la femme endormie, mais cela suffit pour recevoir un
coup cinglant sur ma coupe.
Madame me prit par la laisse sans un
mot, me traîna vers le divan. Elle annonça à la femme,
que le corps de la femme rousse se penchait sur elle, lui déposait
un baiser légèrement mouillé à la commissure
des lèvres.
Je reçus un nouveau coup de
baguette, puis un deuxième et comprit que la femme rousse, cétait
moi et que je devais obéir sous peine de sentir le feu sur mes
fesses blanches.
Je mapprochais donc du visage
de Nicole et déposait des baisers, sur les lèvres, le cou,
à la base de loreille, pointait ma langue pour la rendre
prisonnière de mes caresses.
Madame me fit signe de déshabiller
cette patiente, la veste, puis le corsage blanc, la jupe en lin qui sur
le divan était toute froissée. Nicole à présent
était en sous vêtements que je me fis un devoir denlever.
Pour Nicole, il sagissait de son maillot de bain et Madame continuait
à lamener dans son rêve à se laisser caresser,
embrasser par une douce inconnue.
Le string et le soutien gorge rejoignirent
le reste des vêtements. Madame demanda à Nicole douvrir
grandement les cuisses, et un index vers son sexe et un quart de tour,
me firent comprendre où je devais continuer mes offices.
Je déposais donc quelques baiser
à lintérieur des cuisses de Nicole, je remontais doucement
glissant avec ma langue vers les premiers poils pubiens, soignés
certainement par une esthéticienne.
Ma langue pointa davantage, entrouvrit
les lèvres, les mouilla délicatement. Je sentais lexcitation
monter du corps de Nicole et je sentais le goût sucré et
parfumé sous ma langue. Je sortis en enroulant le bout de ma langue
le petit capuchon qui recouvrait le point de tous les désirs inavoués
et jentrepris de le masser entre mes lèvres et ma langue.
La salive coulait pour rendre les caresses plus douces et enivrantes et
un râle dextase séchappa de la bouche de Nicole.
Elle était à moi, elle dansait sous ma langue, elle nétait
quun instrument de plaisir que je mévertuais à
satisfaire et conduire à la jouissance quelle semblait attendre
depuis trop longtemps. Jaccélérais mes mouvements
de langues, augmentant la pression. Nicole était tendue comme la
corde dun arc et fut parcourue de nombreux frissons, marques dun
orgasme multiple.
Je reçus un coup de baguette
léger de Madame et je me retirais. Elle mattrapa par mon
collier et me tapota la joue, ce que jassimilais à une flatterie.
En bonne chienne, je me mis à lui lécher la main qui tenait
la baguette.
Elle me reconduisit alors sous le bureau
ou elle déposa une gamelle bleue remplie deau. Elle annonça
: « Bois petite chienne vicieuse, tu la mérité
». Jétais fière, je nétais plus
un objet, mais sa chienne fidèle, jexistais et je commençais
à sentir dans mon bas ventre lexcitation qui me gênait.
Quand Madame séloigna, je me rassis en tailleur, et je glissais
une main pour me caresser et calmer le feu qui montait en moi. La séance
se termina avec Nicole, qui fut rhabillée par Madame, on aurait
dit un habillage dune poupée de chiffon. Puis une fois habillée,
elle la réveilla, Nicole semblait épuisée, mais comme
soulagée dun poids comme elle le disait. Elle se sentait
libérée. Madame vint se rassoir à son bureau et cette
fois ne déchaussa que son pied droit , avec trois doigts. Je commençais
donc le massage.
Nicole repartit dix minutes plus tard.
Et madame me dit que je lavais excitée et que sa petite chienne
allait la soulager en la léchant comme une brave petite salope
quelle était. Allongée en arrière sur son fauteuil,
les cuisses largement écartées, les pieds sur le bord du
bureau, elle souvrit à moi et je plongeais ma langue dans
sa toison brune pour plaire à Madame. Elle me tenait dune
main par la laisse et samuser à tirer dessus pour que mon
collier serre ma gorge et mempêche de macquitter correctement
de ma tâche.
Mais je me serais plutôt ouvert
les veines, que de ne pas combler Madame, je nétais plus
rien, je ne mappelais plus Nathanaelle, mais chienne, je nétais
plus une cadre supérieure dans une entreprise multinationale, mais
une bête vicieuse et perverse pour la seule joie de sa maîtresse.
SUITE N°2
A quatre pattes, sentant la douceur
de la laine des tapis tissés mains, aux graphismes compliqués,
je commençais à avancer vers ce lieu désigné
où je devais commencer à jouer mon rôle. Je navais
pas dépassé le premier tapis que Madame marrêta
en se plaçant devant moi. Je ne vis que deux escarpins de cuir
noir, et des mollets bien faits dans un premier temps.
Je relevais doucement la tête,
eu juste le temps dapercevoir lourlet de sa jupe, un coup
sec de sa baguette me fit aussitôt plonger le regard vers le sol.
Elle me lâcha cette phrase qui
devait rester dans ma mémoire : « En ma présence,
tu garderas les yeux baissés, si tu portais un regard sur moi,
tu serais punie pour impudence. »
Je répondis : « Oui, Madame
», elle sécarta et je continuais ma progression, les
lattes de bois de chêne étaient dures et me faisaient mal
aux genoux. Aussi, cest avec bonheur que je retrouvais un épais
tapis de couleur rouge et vert qui me parut dune douceur infinie
et me permit de retrouver la force de continuer.
Jarrivais à hauteur du
bureau, qui me parut massif, austère. Il était fait de chêne
massif, couleur foncée, il cachait parfaitement aux yeux des clients
potentiels ce qui se cachait derrière. Je ne pus voir que les pieds
du fauteuil que jécartais légèrement pour me
glisser dans ce que Madame appelait ma niche. Je restais ainsi quelques
secondes, ne sachant pas quelle position adopter.
Madame arriva, sassit sur son
fauteuil, ou devrais je dire se laissa tomber en allongeant ses jambes
devant elle et en sappuyant sur le dossier. Cette action me permit
de découvrir quelques formes de son anatomie qui me comblèrent
daise.
Elle me dit aussitôt me stoppant
dans mes réflexions : « assieds toi en tailleur, face à
moi, calée le dos contre le fond du bureau. Mes premiers rendez
vous devraient arriver dici peu, je te rappelle que je ne veux rien
entendre de ta part, tu dois être la plus discrète possible,
comme ce tapis sur lequel tu es assise ».
Les rideaux de coton épais ne
laissaient que peu de lumière passer, et léclairage
de la lampe de bureau donnait un poids pesant et angoissant à ce
discours. Je me sentais abandonnée, bien sûr, jaurais
pu mille fois me lever et quitter cette pièce et dici dix
minutes, je serais en route pour mon domicile, mais jéprouvais
une sensation nouvelle, celle dappartenir à Madame, de ne
plus rien décider, de navoir quà obéir.
Je me sentais, comme soulagée, à présent jétais
comme nimporte quel objet de la pièce, je lui appartenais,
elle pouvait maimer, comme me casser, me garder ou me rejeter.
Jéprouvais dailleurs
un sentiment étrange, une peur indicible de la décevoir,
aussi je mattachais à tenter tout ce qui me serait possible
pour contenter cette maîtresse, comme une chienne fidèle
que je me considérais à présent.
Madame V se déchaussa, enleva
félinement ses escarpins, les déplaça de côté
du bout de ses orteils, et avança ses deux pieds pour les reposer
sur mes cuisses. Je vis un index pointer vers ses pieds et décrire
deux petits cercles. Je compris aussitôt que ceci était mon
premier test, et je pris son pied gauche dans mes mains et avec ma langue
je me mis à lécher chaque doigt lun après lautre,
glissant le bout de ma langue entre chacun, aspirant parfois, mais surtout
en restant très douce, pour que la caresse buccale soit appréciée.
Jentendis un petit soupir, qui me remplit de joie, Madame appréciait
ma langue, et je me sentais fière de la combler.
Je quittais les doigts pour lever le
pied, et faire glisser ma langue sous le dessous de son pied, amplifiant
les mouvements, et en accélérant mon rythme pour montrer
à ma maîtresse que jaimais ce quelle me demandait.
Elle pointa alors son index vers lautre pied, qui reçut immédiatement
le même traitement, en le prenant délicatement entre mes
mains et en jouant du palper roulé à peine appuyé
sur le dessus de son pied, pour rendre plus douce et décontractante
le travail de ma langue.
Soudain un coup de sonnette et la porte
dentrée qui souvre, quelquun un ou une cliente,
nous nétions plus seule, panique, angoisse, un frisson dans
le dos, un coup de pied de madame, qui se leva, remit ses escarpins et
séloigna de moi pour aller ouvrir.
Je restais seule, comme une bête
apeurée, sentant le danger, mais ne pouvant fuir. Jétais
nue sous ce bureau à la merci de nimporte qui.
La porte souvrit, des paroles
échangées, une femme répondit qui entra suivie de
Madame. Elle lui dit de se mettre à laise, et daller
sallonger sur le divan de cuir noir, dont je ne pouvais entrevoir
en me penchant un peu que le haut du dossier. Ce nétait apparemment
pas son premier rendez vous, à en croire les échanges de
conversations et jappris rapidement le mal dont souffrait cette
femme.
Elle sappelait Nicole, était
célibataire, plus par dépit que par choix, ces quelques
relations avec des hommes avaient été des échecs,
ils la trouvaient frigide et elle de son côté ne ressentait
aucun plaisir dans lacte sexuel. Madame se proposait une nouvelle
fois de procéder à une séance dhypnose pour
essayer de découvrir lorigine de ce mal qui handicapait Nicole
dans toutes relations sérieuses.
Cette femme sallongea sur le
divan, et par curiosité, en me penchant, je vis un bout de chevelure
blonde. Jétais à présent intéressée,
de partager des moments intimes de sa vie, et mon côté voyeur
me poussa à ne rien perdre de la conversation que Madame entreprit
avec sa patiente.
Madame parla dune voix douce,
enivrante, et Nicole commença à senfoncer dans un
état de veille apparentée au sommeil.
Madame lui demanda de simaginer
en maillot sur une plage, le bruit des vagues venant mourir sur un sable
blanc et doux comme de la farine. Un souffle de vent chatouillait sa peau,
et une ombre pointait à lautre bout de cette plage, elle
se rapprochait. Madame demanda si elle la voyait, puis de la décrire.
Nicole qui devait imaginer larchétype de la séduction
commença à décrire un corps mince, celui dune
femme nue, rousse, à la poitrine insolente dont les tétons
chauffés par le soleil, étaient entourés dune
auréole brune.
Je ne comprenais plus, cette femme
avait parlé de problèmes avec les hommes et ne rêvait
sous hypnose quà une femme ??
Soudain, je vis la baguette de Madame
devant mon visage dimpudente. Elle traça un trait vers le
fauteuil et je compris que je devais sortir. Je neus quun
bref regard vers la femme endormie, mais cela suffit pour recevoir un
coup cinglant sur ma coupe.
Madame me prit par la laisse sans un
mot, me traîna vers le divan. Elle annonça à la femme,
que le corps de la femme rousse se penchait sur elle, lui déposait
un baiser légèrement mouillé à la commissure
des lèvres.
Je reçus un nouveau coup de
baguette, puis un deuxième et comprit que la femme rousse, cétait
moi et que je devais obéir sous peine de sentir le feu sur mes
fesses blanches.
Je mapprochais donc du visage
de Nicole et déposait des baisers, sur les lèvres, le cou,
à la base de loreille, pointait ma langue pour la rendre
prisonnière de mes caresses.
Madame me fit signe de déshabiller
cette patiente, la veste, puis le corsage blanc, la jupe en lin qui sur
le divan était toute froissée. Nicole à présent
était en sous vêtements que je me fis un devoir denlever.
Pour Nicole, il sagissait de son maillot de bain et Madame continuait
à lamener dans son rêve à se laisser caresser,
embrasser par une douce inconnue.
Le string et le soutien gorge rejoignirent
le reste des vêtements. Madame demanda à Nicole douvrir
grandement les cuisses, et un index vers son sexe et un quart de tour,
me firent comprendre où je devais continuer mes offices.
Je déposais donc quelques baiser
à lintérieur des cuisses de Nicole, je remontais doucement
glissant avec ma langue vers les premiers poils pubiens, soignés
certainement par une esthéticienne.
Ma langue pointa davantage, entrouvrit
les lèvres, les mouilla délicatement. Je sentais lexcitation
monter du corps de Nicole et je sentais le goût sucré et
parfumé sous ma langue. Je sortis en enroulant le bout de ma langue
le petit capuchon qui recouvrait le point de tous les désirs inavoués
et jentrepris de le masser entre mes lèvres et ma langue.
La salive coulait pour rendre les caresses plus douces et enivrantes et
un râle dextase séchappa de la bouche de Nicole.
Elle était à moi, elle dansait sous ma langue, elle nétait
quun instrument de plaisir que je mévertuais à
satisfaire et conduire à la jouissance quelle semblait attendre
depuis trop longtemps. Jaccélérais mes mouvements
de langues, augmentant la pression. Nicole était tendue comme la
corde dun arc et fut parcourue de nombreux frissons, marques dun
orgasme multiple.
Je reçus un coup de baguette
léger de Madame et je me retirais. Elle mattrapa par mon
collier et me tapota la joue, ce que jassimilais à une flatterie.
En bonne chienne, je me mis à lui lécher la main qui tenait
la baguette.
Elle me reconduisit alors sous le bureau
ou elle déposa une gamelle bleue remplie deau. Elle annonça
: « Bois petite chienne vicieuse, tu la mérité
». Jétais fière, je nétais plus
un objet, mais sa chienne fidèle, jexistais et je commençais
à sentir dans mon bas ventre lexcitation qui me gênait.
Quand Madame séloigna, je me rassis en tailleur, et je glissais
une main pour me caresser et calmer le feu qui montait en moi. La séance
se termina avec Nicole, qui fut rhabillée par Madame, on aurait
dit un habillage dune poupée de chiffon. Puis une fois habillée,
elle la réveilla, Nicole semblait épuisée, mais comme
soulagée dun poids comme elle le disait. Elle se sentait
libérée. Madame vint se rassoir à son bureau et cette
fois ne déchaussa que son pied droit , avec trois doigts. Je commençais
donc le massage.
Nicole repartit dix minutes plus tard.
Et madame me dit que je lavais excitée et que sa petite chienne
allait la soulager en la léchant comme une brave petite salope
quelle était. Allongée en arrière sur son fauteuil,
les cuisses largement écartées, les pieds sur le bord du
bureau, elle souvrit à moi et je plongeais ma langue dans
sa toison brune pour plaire à Madame. Elle me tenait dune
main par la laisse et samuser à tirer dessus pour que mon
collier serre ma gorge et mempêche de macquitter correctement
de ma tâche.
Mais je me serais plutôt ouvert
les veines, que de ne pas combler Madame, je nétais plus
rien, je ne mappelais plus Nathanaelle, mais chienne, je nétais
plus une cadre supérieure dans une entreprise multinationale, mais
une bête vicieuse et perverse pour la seule joie de sa maîtresse.
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