La rencontre....
Un jour de septembre, maussade et
pluvieux, elle marchait seule dans un parc de la 24 ième rue, tenant
son parapluie fermé dans la main. Un homme assis sur un banc attira
son attention. Il pleurait et tentait de cacher son chagrin en relevant
le col de son imperméable.
Elle qui se voulait stricte et autoritaire
dans la vie , ne pouvait pas voir pleurer un homme sans qu'elle ne soit
toute chavirée. Et surtout , lorsqu'il s'agissait d'un jour triste
comme aujourd'hui.
Elle venait en effet de vivre une
séparation douloureuse, et elle se rappelait très bien les
états d'âme par lesquels elle était passée.
N'écoutant que sa compassion,
elle marcha doucement vers l'homme, et lui adressa un regard compatissant.
L'homme releva la tête et la
regarda. Il tenta d'essuyer ses larmes, mais elle lui dit, " laisser vous
aller, je comprends que quelquefois, l'on ait besoin de pleurer, cela
fait du bien ".
" Aimeriez vous avoir de la compagnie".
" Je vous remercie Madame, mais ne
vous croyez pas obligée".
" Non , croyez-moi, cela me ferait
plaisir , si je ne vous dérange pas".
L'homme releva un peu son chapeau
de feutre, et rabaissa le collet de son manteau, et il lui fit une place
sur le banc.
Elle prit son sac et en sortit un
papier mouchoir et le tendit à l'homme.
" Merci Madame , vous êtes gentille,
je m'excuse , je ne me suis pas présenté". Il lui tendit
la main et dit, " mon nom est Pierre ". Est ce que je pourrais savoir
quel est le votre"?
" Mon nom est Eloïse de La salle".
Je suis enchantée de faire votre connaissance, bien que ce ne soit
pas dans des circonstances idéales", lui dit-elle.
" Je m'excuse encore, croyez-moi,
mais j'ai eu des mots avec ma conjointe, et elle m'a quitté pour
un autre homme, voila pourquoi je suis si triste".
Madame Éloïse dit, " on
dit bien, ¨une de perdue , dix de retrouvées¨, il ne faut pas vous
décourager, la vie n'est pas terminée et vous êtes
encore jeune, et bel homme de surcroit, vous allez sûrement vous
retrouver quelqu'un d'autre".
" Je ne pense pas que cela soit si
facile, car je n'ai pas de cercle d'amis dans cette ville, je n' y suis
arrivé que récemment
et je n'ai personne à qui me
confier". " Je suis sans famille, et à mon travail je ne relève
de personne, je fais un travail autonome, et je n'ai de compte à
rendre à personne, aussi ,bien que j'aille au bureau à l'occasion,
je ne connais personne assez intimement pour pouvoir demander une écoute
ou même me confier à qui que ce soit".
"Avez -vous un endroit pour vous abriter
ou pour coucher ce soir"? lui demanda-t-elle" . "Non pas ce soir, Mais
je crois que je vais aller à l'hôtel, pour une nuit ou deux,
le temps de me trouver un nouvel appartement, et de récupérer
mes affaires".
"Je pourrais vous offrir le gîte
pour une nuit ou deux, si cela peut vous accomoder. Je vis moi-même
seule et j'ai suffisamment d'espace pour vous recevoir. De plus vous pourrez
faire votre toilette, et vous réchauffer".
" Je vous remercie de votre offre,
mais je ne voudrais surtout pas abuser de votre hospitalité".
" Non! Je vous assure, cela me ferait
plaisir".
" Venez", dit-elle, " il fait froid,
et je crois que nous allons être trempé si nous restons assis
sur ce banc".
La femme se leva et Pierre la suivit
. Ils se dépêchaient , mais la pluie reprit de plus belle,
et c'est à la course qu'ils se rendirent à l'auto de la
dame. La pluie, maintenant incessante, les avait tout mouillés,
et Madame Éloïse qui n'avait pas eu le temps d'ouvrir son
parapluie, avait les cheveux défaits, et son maquillage avait coulé
sur son visage.
Pierre sortit les papiers mouchoirs
qu'elle lui avait donné auparavant et les lui tendit pour qu'elle
puisse s'essuyer le visage.
" Merci!" Dit-elle, " vous voyez,
tout finit toujours par nous revenir, un jour ou l'autre."
Elle regarda Pierre en souriant, et
dit.
" Vous me plaisez beaucoup , vous
savez, j'aime vos manières et je vous vous trouve très gentil.".
" Vous aussi Madame ", lui répondit
Pierre.
" Je vous offre un café, cela
va nous réchauffer, qu'en pensez vous?"
"Je ne dis pas non, je pense que cela
nous fera du bien à tous les deux".
Tout au long du parcours, Pierre regarda
la dame et analyser un peu plus la situation. Il se sentait en sécurité
avec cette femme. Un sentiment d'abandon, et de bien-être inondait
sa personne, et bien que le trajet fut de courte durée, cela suffît
pour qu'il tombe entre les bras de Morphée.
La voiture ralentit , et s'arrêta
devant un petit café de quartier. Madame Éloïse descendit
de la voiture, et entra dans le restaurant. Elle se dirigea vers la salle
de toilette et se refit une beauté. A son retour, elle prit une
table, et demanda le garçon.
Pierre se reveilla et vit Madame Éloïse
attablée au restaurant, discutant avec le serveur. Il sortit de
la voiture et s'en alla la rejoindre. En arrivant, elle lui fit un grand
sourire et lui dit,
" alors, bien dormi!". "Oui , je m'excuse,
mais vous savez j'étais tellement fatigué , que je ne me
suis pas rendu compte.
" Il n'y as pas de faute, je vous
comprend, mais asseyez vous, et dites-moi ce que vous comptez faire?"
" Merci encore, Madame."
Il prit place à la table, et
se commanda à son tour un café, puis il regarda cette femme
qui était assise devant lui.
Pour la première fois quelqu'un
lui avait manifesté de l'attention.
Madame Éloïse, était
une grande femme mais son visage avait cet air sévère de
celles qui doivent assumer de grandes responsabilités. Pierre pouvait
tout de même s'apercevoir, qu'elle était d'une grande beauté.
Tout , dans ses gestes, dans sa manière de parler, dans sa démarche
ainsi que de la façon dont elle s'habillait et se maquillait dénotait
une prestance peu commune.
Ses cheveux , montés en chignon
la vieillissait un peu , mais cela lui donnait un air de supériorité
entremèlé d'une tranquilité et d'une force intérieure
hors de l'ordinaire.
Il bredouilla, pour débuter,
mais elle le mit en confiance en prenant sa main sous la table.
" Doucement," dit-elle , "commence
par le début."
Pierre , lui expliqua alors toutes
les circonstances de sa séparation. Elle ne dit mot durant tout
ce temps et écouta Pierre avec attention et intérêt.
Il se faisait tard, et le seveur s'impatientait
derrière son comptoir . Madame fit signe au garçon de venir.
Elle paya la facture et se leva.
" Je t'emmène chez-moi, mais
à une condition, c'est que tu porte un bandeau sur les yeux, car
je ne veux pas que sache ou j'habite exactement. Je veux conserver ma
tranquilité , et un peu de confidentialité , aussi je préfére
que tu ne sache pas ou je demeure. J'espère que tu n'y vois pas
d'inconvénient?"
" Non Madame, je vous conprends, c'est
un peu exceptionnel, mais j'accepte de jouer le jeu."
" Bon,"dit Madame Éloïse,
l'on s'entend bien, je vais te bander les yeux, et je vais te demander
de ne pas regarder sous le bandeau, et de ne pas tenter de l'enlever avant
que je ne te le dise, on est bien d'accord ? ".
"Oui , Madame , vous pouvez avoir
confiance , je vous obéirai."
"Ok, suis moi !"
Pierre la suivit derrière jusqu'à
la voiture, elle se dirigea vers sa portière, et attendit que Pierre
daigne lui ouvrir , pour y monter. Ensuite alors que Pierre prenait place
sur le siège, elle lui dit, "tourne toi, maintenant, je vais te
mettre le bandeau sur les yeux."
Elle plaça sur ses yeux un
bandeau tout en cuir qui lui obstrua la vue totalement.
"Est ce que tu vois quelque chose
?" Lui demanda-t-elle.
" Non Madame , je n'y vois plus rien.".
" Bien , met ta ceinture de sécurité
maintenant. car on à une longue route à faire. "
Tout au long du chemin, Madame écouta
la radio.
Elle ne parlait guère, et Pierre
aurait bien voulu discuter , mais elle ne semblait pas disposée
à parler avec lui.
Cependant, elle lui mit la main entre
les deux jambes, et tâta son sexe, comme pour s'assurer qu'il pouvait
ressentir des sensations. Elle le caressa jusqu'à ce qu'il ait
une érection, et satisfaite de ce qu'elle avait provoqué,
elle le laissa ainsi, sans poursuivre . Il dû se contenter, que
de cette brève caresse.
Madame prit enfin la parole, et dit,
"on est arrivé, n'enlève pas ton bandeau immédiatement."
Il sortit du véhicule, et attendit
que Madame vienne lui indiquer la direction à suivre.
Elle lui prit la main, et le le guida
jusqu'au seuil d'entrée de la résidence de la dame. Elle
entra, et le poussa vers l'intérieur, puis elle lui enleva le bandeau
de sur les yeux.
Ils étaient dans un salon .
La murs de la pièce, étaient recouverts de pierres. Au centre
, trônait un immense foyer, et tout autour, des fauteuils de style
rustique, siègeaient dans la pièce. Le plafond et le plancher
étaient de bois, mais on y trouvait tout le confort moderne des
maisons d'aujourd'hui. Un téléviseur avec écran géant,
un système de son à la fine pointe de la technologie, et
tout cela était agencé avec goût .
Madame Éloïse dit à
Pierre, " prends toi un fauteuil, " et elle lui présenta une chaise.
" Raconte moi un peu ta vie, j'aimerais
un peu mieux te connaître. "
"Si tu es d'accord, mais auparavant,
aimerait -tu quelque chose à boire ? "
" Quelque chose qui nous réchaufferait."
Un grog chaud ou une tisane, qu'est ce que tu préfères?"
" Ne vous dérandez surtout
pas pour moi Madame."
"Non, j'insiste, cela te feras le
plus grand bien."
"Bon d'accord, si vous aviez un gin
chaud , j'apprécierais beaucoup."
"Installe-toi comfortablement , je
reviens dans quelques instants, et si tu le désire tu peux regarder
la télé, je ne serais pas longue."
En effet, quelques instants plus tard,
Madame Élöise revint au salon, avec deux verres. Celui de
Pierre enrobé d'une serviette de papier, et le sien qu'elle déposa
sur une table.
" Je m'excuse pour la serviette ,
mais c'était trop chaud. "
"Pas de problème , j'aime cela
quand c'est presque bouillant."
Madame Eloïse prit la télécommande,
et mit en marche la stéréo, une musique douce et relaxante
donnait à cet espace le complément idéal pour la
conversation.
Pierre qui buvait tranquillement son
verre pour ne pas se brûler, sentit monter en lui comme une chaleur
profonde . Il se sentait partir doucement, Madame qui lui parlait, buvait
elle aussi son verre de tisane, et bientôt sa tête se renversa
vers l'arrière. les paroles de Madame parvenaient à ses
oreilles par brides, il se sentit soudain très fatigué.
Il tentait d'écouter les propos de son hôte, mais le sommeil
le gagnait de plus en plus. Il essaya de s'excuser, mais c'est à
peine s'il parvenait à bredouiller quelques mots.
Il s'endormit d'un profond sommeil,
affalé dans le fauteuil. Son esprit sombra et il perdit la notion
du temps et de tous ses sens. La musique douce et l'alcool , la tranquilité
du salon, la fatigue des évènements, avaient eu raison de
sa résistance, mais normalement cela n'aurait pas réussi
à le terrasser ainsi. Mais Pierre qui se sentait en confiance et
en sécurité ne se formalisa pas outre mesure de son inconvenance,
et s'endormit profondément.
Le réveil...
Le réveil s'avéra cependant
plus douloureux pour Pierre.
Une sensation étrange lui envahissait
l'esprit. Encore tout engourdi, il tenta de bouger , mais il n'y parvenait
pas. Il ouvrit les yeux, mais il n'y voyait pas non plus, comme si le
bandeau de la veille lui recouvrait toujours les yeux. Il avait froid,
et surtout, il se trouvait dans une drôle de posture. Quelque chose
dans sa bouche l'empêchait de respirer et de parler, mais surtout,
ses jambes et ses bras, étaient devenus inertes, incapable du moindre
mouvement.
Pierre , s'efforça de bouger,
mais de solides attaches le maintenait immobile. Une odeur étrange
filtrait dans ses narines, et une douleur lancinante se faisait ressentir
derrière ses genoux, et à son sexe.
Il prit conscience tranquillement
de la posture étrange de son corps.
Il se trouvait suspendu dans le vide,
tête en bas, les genoux repliés sur une barre de métal,
cuisses écartées, les bras derrière son dos, insérés
dans une sorte de carcan , qui l'empêchait de bouger , sa tête
était recouverte d'une combinaison de cuir, à ce qu'il pouvait
en juger par l'odeur.
Un objet était enfoncé
profondément dans sa bouche, qui l'empêchait de parler ou
de crier, et un bandeau recouvrait ses yeux.
Ses poignets insérés
dans le carcan , étaient tirés vers le sol. et il ne pouvait
les relever, ce qui lui tirait les épaules douloureusement vers
le bas. Il aurait réussi à bouger ou à essayer de
se débattre , si ce n'avait été de l'installation
qui recouvrait son pénis et ses testicules, il ne pouvait voir
ce qui le retenait, mais il lui semblait que à chaque effort qu'il
tentait pour ramener son corps dans une position perpendiculaire au sol,
ce qui aurait pour effet de diminuer la douleur à ses épaules,
son pénis voulait s'arracher de son entre-jambe.
Il était suspendu dans le vide
, entre ciel et terre, les bras derrière le dos, les genoux reliés
sur cette barre , les chevilles fermement fixées à des chaines,
fixées à leur tour à une large ceinture de cuir autour
de sa taille, et ce sac qui lui enfermait le sexe et qui était
lui-même, relié à une chaine rivée au plancher
.
Il prit soudain conscience qu'il était
nu, ce qui expliquait ses frissons. Aucun bruit ne lui parvenait si ce
n'est celui de sa respiration saccadée. Le sang dans sa tête
lui martelait les tempes, cela provenait de sa position inversée.
Depuis combien de temps était-il
ainsi suspendu, il ne pouvait le dire, mais depuis quelques heures sûrement,
à en juger par la douleur à sa tête, et aux élancements
derrière ses genoux. Il ne sentait plus ses jambes tant la tension
exercée par son poids était contraignante.
Il entrevit un début de réponse
dans la manière dont Madame Éloïse l'avait incité
à boire quelque chose à son arrivée.
Il comprit enfin qu'elle l'avait drogué.
Il s'était endormi, et elle l'avait sûrement installé
de la sorte pour il ne savait quelles raisons.
Comme il ne pouvait bouger ni parler,il
ne lui restait plus qu'à attendre que quelqu'un vienne le libérer.
toutes tentatives qu'il puisse imaginer pour se libérer seraient
necéssairement vouées à l'échec. Aussi il
ne lui restait plus qu'à ruminer et à penser ce que Madame
Éloïse envisageait faire de lui.
Il lui semblait que cela allait perdurer
éternellement. La panique s'emparait peu à peu de son esprit,
et il pensa que peut-être elle avait décidé de le
garder ainsi suspendu jusqu'à ce quelqu'un se décide à
payer une rançon, ou bien voulait-elle simplement le maintenir
prisonnier, pendant qu'elle en profiterais pour vider ses comptes de banque
Mais pourquoi l'avoir installé
dans une pareille position? Toutes ces questions ces questions se
bousculaient dans son esprit, au fil des heures, et il ne parvenait à
y trouver quelques réponses que ce soit.
Un bruit de porte qui se referme,
lui parvint.
Il commençait à ressentir
une légère érection. L'étrangeté de
la situation, exacerbait sa libido. Mais la fraicheur de la pièce
ou il se trouvait , lui donnait en fait la chair de poule, sa nudité
et la disponibilité de son corps immobile ainsi offert, déclenchait
tout une panoplie de fantasmes dans son esprit.
Il pouvait s'imaginer Madame Éloïse
, abusant de son corps, et lui incapable de résister. Mais il ne
pouvait si bien dire. il était bien loin de la réalité.
En ce sens que cela n'était en fait que la pointe de l'iceberg.
Les aspirations de la dame allaient
s'avérer beaucoup plus extrèmes que ce qu'il n'aurait jamais
imaginer.
Une porte s'ouvrit, et des claquements
de talons sur un plancher de ciment, s'avança vers lui.
Il ressentit comme une traction douloureuse
sur son pénis et ses bras arrières, Et la voix de Madame
Éloïse lui dit,
" alors mon petit, tu n'as pas trop
froid ?"
" Je te trouves bien ainsi, je pense
que je vais te laisser ainsi suspendu pour la journée, on vas voir
si tu es résitant."
" Ou peut-être vais -je tout
simplement abuser de ton pénis j'usqu'à ce que tu me supplie
de cesser , ou bien je déciderai de te fouetter le cul , jusqu'au
sang , je verrai, je ne sais pas encore ce que je vais faire de toi. "
Pierre commencait à être
nerveux. Des mains lui enlevérent son bandeau, et après
quelques instants, et quelques clignements, il vit devant lui une longue
paire de jambes chaussées de bottes de cuir au genoux, juchées
sur de vertigineux talons pointus. Il releva la tête et Madame Éloïse
lui apparût dans toute sa splendeur. Un body de cuir , lui moulait
le corps, et un lacage sur le devant laissait apparaitre les formes de
sa poitrine. Elle portait de longs gants de cuir et elle tenait à
la main une cravache souple et fine, qu'elle agitait pendant qu'elle parlait.
De sa main restée libre, elle
tenait la chaine qui retenait son pénis au plancher de la pièce,
et elle excercait de petites traction sur celle-ci , afin de bien faire
ressentir à Pierre, la fragilité de sa posture. Pierre se
trouvait suspendu à environ trois pieds du sol, juste au niveau
des hanches de la femme.
Elle s'avança vers lui, en
tenant toujours la chaine, et de sa main qui tenait la cravache, elle
défit les boutons pressions de l'entre jambe de son body- suit,
qui s'ouvrit , et elle se positionna, de manière à ce que
le visage de Pierre soit vis à vis son sexe. Puis elle dit, " suce
moi, suce moi tout doucement, lèche ta Maîtresse, fais aller
ta langue, montre moi si tu peux faire jouir une femme. " Elle s'appuya
le sexe tout contre son visage, et lui enfonca le nez entre ses jambes
en poussa sa tête avec son autre main.
N'ayant d'autres choix, Pierre se
mit à lècher le sexe de la femme. L'odeur du sexe de Madame
Éloïse était forte et musquée et son sexe velu
obligeait Pierre à chercher son chemin pour pouvoir donner satisfaction
à la dame. Elle avait enlevé le baillon de sur sa bouche
pour ce faire, et sa langue encore ankylosée par le baillon ne
semblait pas donner pleine satisfaction à Madame, aussi tira-t-elle
brusquement sur la chaine de son pénis , pour bien signifier son
mécontentement. " Allez, un peu plus de nerf," dit-elle, "sinon
je vais t'arracher la queue."
Pierre cette fois ressentit si douloureusement
la traction qu'il faillit en mourir. Cela eut pour effet de le convaincre
d'obéir. Il s'activa et entra au plus profond du sexe de Madame
Éloïse sa langue , tout en la tournant, et en lui aspirant
le clitoris, il fit pénétre sa langue , comme pour la masturber
dans le sexe de la femme, il fit tout son possible pour la satisfaire.
et à chaque fois qu'il s'arrètait un peu pour souffler,
une nouvelle traction le rappelait à l'ordre. Il s'étouffait
et avalait de nombreux poils mais il réussit quand même à
provoquer un balancement de plus en plus saccadé du bassin de sa
géolière. Elle commencà à prendre du plaisir,
et parvint à son orgasme. Elle tenait toujours la tête de
Pierre fermement collée contre son sexe. et Pierre sentit soudain
son visage inondé par la jouissance de la femme.
Elle prit tout son plaisir, et relacha
enfin les cheveux de Pierre, et se recula de son visage.
"Hum , hum," murmura -t-elle, pendant
qu'elle continuait à se caresser le sexe, de sa main libre. Puis
elle se retourna et lui présenta son postérieur et lui dit,
" suce -moi le cul maintenant, pousse moi ta langue bien au creux de mon
trou, tu dois terminer ton travail, et bien me nettoyer, sinon, je connais
une bite qui va s'en ressentir."
Pierre s'exécuta , et entra
sa langue dans l'anus de la femme, et lècha le trou jusqu'à
ce qu'elle lui intime l'ordre de cesser . "Ça suffit maintenant,
je vais te détacher, et je veux que dorénavant tu m'obéisse
au doigt et à l'oeil." Mais pour aujourd'hui je t'ai aménagé
un endroit pour te garder à ma disposition." ,
Elle libéra Pierre de ses chaines,
et il se retrouva étendu sur le plancher de ciment , incapable
du moindre mouvement, tant ses muscles étaient ankylosés.
Elle lui laissa la gaine de cuir sur
son pénis, ainsi que la cagoule qui lui recouvrait la tête
et le visage, de même que le sac de cuir qui enfermait ses bras
derrière son dos. Puis elle alla ouvrir une armoire, à deux
battants, et revint avec un collier de cuir qu'elle lui passa autour du
cou.
Elle referma le collier avec un petit
cadenas, et fixa une laisse à un anneau rivé au collier
sous son menton.
" Voila, , tu vas me suivre, et tu
vas faire tout ce que je te demanderai," et elle appuya ses dires par
quelques bons coups de cravache bien appliqués sur les fesses de
Pierre.
Elle prit la courte chaine de la laisse,
et tira Pierre jusqu'à la porte qu'elle ouvrit, elle passa devant
entrainant Pierre derrière elle dans un escalier étroit
et sombre.
Ils montèrent deux étages
, une autre porte donnait sur l'autre pallier, et Pierre vit qu'elle donnait
sur une cave de maison standard.
Il comprit que sous le premier sous-sol,
Madame Éloïse avait fait aménagé un autre soubassement,
immédiatement. enfouit sous la cave de la maison. C'est pouquoi
il n'y avait ni portes extérieures, ni fenêtres, à
l'endroit où il s'était reveillé, et pourquoi aussi,
il n'y filtrait aucun bruit de l'extérieur.
L'explication....
Bien sûr Madame Éloïse,
ne semblait pas avoir l'intention de laisser aller son nouveau jouet,
c'est pourquoi, elle le gardait constamment enchainé et même
enfermé. À cet effet , dans son donjon , comme elle se plaisait
à désigner cet endroit, elle avait fait installer une cage
de métal, boulonnée au plancher de ciment, dans laquelle
elle enfermait Pierre pendant la nuit. Cette cage d'un mètre de
coté, avait une hauteur d'environ 75 centimètres et une
largeur de 50 centimètres
Une porte se refermait et se barrait
avec une serrure qui comportait une combinaison à numéros,
ainsi qu'une autre qui se fermait avec une clé. De gros barreaux
de métal en garnissait les parois et le dessus. et les coins et
le plancher de métal, étaient soudés ensemble à
même les barreaux de la cage.
Pour une personne qui s'y trouvait
enfermé , il était impossible d'en sortir, ni même
de la déplacer. De plus on ne pouvait s'étendre au long,
car l'espace pour les jambes y était trop restreint, de même
qu'il y était impossible de s'y asseoir comfortablement pour les
mêmes raisons. L'on devait s'y tenir soit en position accroupie
, à quatres pattes, ou couché en boule comme un chien.
Que l'on n'y entre de reculons ou
d'avant , une fois la porte bien fermée, il devenait problématique,
même pour une très petite personne de se retourner sur elle-même.
Les barreaux ne permettaient pas de passer, ni un bras ni même une
jambe vers l'extérieur, Il n'y avait que quelques centimètres
entre chaque barreau. Et comme pour donner plus de sécurité
encore, Un gros anneau de fer était soudé sur le plancher
de la cage pour y fixer soit une chaîne ou soit des menottes.
Cette cage n'était que l'un
des nombreux appareils ou instrument que reçelait le donjon de
Madame Éloïse. Divers appareillages de contention, des tréteaux
, une croix de bois fixée au mur, à laquelle on pouvait
attacher une personne bras et jambes écartées, il y avait,
une toilette spécialement conçue dans laquelle un sujet
avait la tête confinée sous la lunette et recevait les déjections
de la personne assise sur le dessus. Deux anneaux de chaque coté
devaient servir à arrimer le receveur à la base de la toilette.
Des chevalets de toute sortes, des carcans, qui devait retenir le sujet
par les bras, par le cou, et par les jambes, ainsi qu'une longue table,
comme on pourrait en imaginer dans une salle de torture médiévale,
servant à étirer les membres. Mais celle-ci devait principalement
servir à immobiliser bien plus qu'à vraiment arracher les
membres. Un grand fauteuil trônait sur une plateforme surélevée.
et près de ce fauteuil, une table pouvait servir à recevoir
des boissons ou divers accessoires.
Au mur, plusieurs anneaux, étaient
rivés, ainsi qu'au plafond. Un treuil électrique, et deux
gros poteaux en plein centre de la pièce principale soutenaient
le plancher supérieur.
La cave en question, comportait trois
pièces, dont la principale qui faisait office de donjon. Il y avait
aussi une salle de toilette complète, et une autre pièce
semblait servir à entreposer divers équipements. Sur une
table , il y avait une radio et un téléviseur avec un appareil
vidéo, et une ciné-caméra sur un trépied,
était connecté à l'ensemble.
Tel était donc ce que Madame
Éloïse tenait tant à garder secret. Et ce pourquoi
elle avait exigé de Pierre qu'il porte un bandeau sur les yeux
lors du trajet en automobile le soir d'avant.
Pierre se retrouvait entre les mains
de cette femme qui vivait une double vie. De jour Madame Éloïse
dirigeait une entreprise de construction prospère, qu'elle avait
hérité de son défunt mari, et de nuit elle vivait
comme une dominatrice.
Elle financait cette activité
nocturne, par des tournages de films occasionnels, avec des partenaires
qui comme elle aimaient ces jeux de domination. Films qu'elle revendait
par la suite sur le marché noir de la pornographie.
Mais que venait -il faire dans cet
univers étrange ?
Quelles étaient les intentions
de Madame Éloïse à son endroit ? Pourquoi l'avait-elle
choisi, et que comptait elle faire avec lui? Il aurait pu comprendre que
Madame ait voulu juste s'amuser à ses dépens, mais elle
ne semblait pas prévoir le libérer ni le laisser voir qui
que ce soit à l'extérieur.
Il se faisait tard, et la journée
était fort avancée déjà,
Pierre commençait à
être affamé, car il n'avait pas mangé depuis hier
midi. De plus les nombreux évènements récents, avaient
siphonné toute son énergie.
Madame Éloïse, s'en aperçu
elle aussi, car elle-même commençait à avoir faim,
"pauvre petit, " dit-elle, "tu dois être affamé, attend un
instant , je vais te préparer quelque chose."
Elle laissa Pierre gisant sur le plancher
du salon, toujours nu , sa laisse attachée près du foyer,
et elle quitta la pièce pour en revenir avec un plat comme celui
que l'on utilise pour les chiens ou les chats, et le déposa près
de Pierre, et lui dit , " mange mon chéri, ce n'est pas grand chose,
mais cela te soutiendra."
Elle lui avait préparé
du porridge, et Pierre quoique très affamé ne pouvait se
résoudre à manger. Il avait les bras toujours enfermés
dans le gant de cuir derrière son dos, et il ne pouvait les utiliser.
De plus il portait encore la cagoule de cuir lacée derrière
sa nuque.il osà finalement parler à sa géolière
en ces termes. " Madame , est-ce que vous pourriez me détacher
les mains s'il vous plait, que je puisse manger avec une cuillère."
"Il n'en n'est pas question , pour le moment du moins, si tu as faim ,
tu mange à même le plat , ou sinon tu ne mange pas, tu m'as
bien comprise."
Pierre comprit la situation, mais
la faim l'emporta sur l'orgueuil et il s'astreignat à manger tête
première dans le plat.
" Tu vois, ce n'est pas si difficile
, "dit-elle, à Pierre .
" Je pense que tu feras un bon esclave,
tu apprends vite, et de plus tu sais que tu as un beau petit cul, surtout
lorsque tu es en train de manger, dans ta gamelle." Elle se tenait debout
derrière lui , il était à genoux, le cul relevé
, la tête prostrée dans le plat esseyant de manger, sans
tout renverser sur le plancher, mais ce n'était pas évident,
mais comme il avait faim, il mangea tout le contenu du plat. De temps
en temps, Madame Éloïse lui tapottait le derrière avec
sa cravache , pour l'encourager, et pour aussi lui faire sentir son pouvoir.Elle
avait sûrement l'habitude, car elle maniait à merveille son
instrument, chaque coup était précis, et donnait le maximum
de souffrance. Pierre redoutait le sifflement de la cravache, car la douleur
après , était intolérable. mais comme il voulait
faire bonne figure , il essayait de résister pour le moment. Mais
chacun des coups lui laissait une marque sur sa chair. Madame Éloïse,
n'utilisait sa cravache que pour l'inciter à faire ceci ou celà,
mais avec discernement cependant.
Elle n'abusait pas de son pouvoir,
mais lui en faisait seulement ressentir, la présence constante.
Comme une menace permanente, comme un symbole de sa supériorité,
la cravache de Madame Éloïse, allait devenir au cours de jours
qui allaient suivre, la compagne fidèle de son derrière.
Pierre venait de terminer son souper,
si l'on peut dire, lorsque la sonnette d'entrée tinta.
Madame se leva et alla répondre.
La visiteuse entra et Pierre aperçu , une jeune personne, que Madame
connaissait sûrement, elles discutèrent un moment dans le
vestibule, et les deux femmes tournèrent leur regard vers le salon.
Pierre y était toujours à
genoux, les bras derrière le dos, la laisse toujours fixée
au foyer, et sa cagoule sur le visage encore toute maculée du porridge
de son souper.
Elles se mirent toutes deux à
rire , en le voyant, en si piteux état.
Pierre ne savait plus ou se cacher
tant il était gèné.
Il ne pouvait se soustraire de leur
regard, et la gène aidant , l'étrangeté de sa situation,
le beauté des deux femmes, tout cela provoqua chez lui une érection.
Son sexe pointa bientôt dans la direction des deux femmes , qui
discutaitent toujours sur le seuil de l'entrée du salon. La jeune
femme vit cela, et pointa du doigt dans sa direction. Madame Éloïse
se retourna vers lui, et vit son nouvel esclave le sexe raide, mais toujours
enchassé dans la gaine de cuir qu'elle lui avait préalablement
fixé sur le sexe.
Elle se dirigea vers lui, qui était
toujours à genoux, et son visage exprimait le mécontentement.,
elle lui donna un coup de cravache directement sur son sexe raidi. Pierre
se tordit de douleur, car elle n'y avait pas été de main
morte. Et elle lui dit, " est ce que je t 'ai donné la permission
de bander espèce de trou à merde, je ne tolère pas
que tu bande sans ma permission, est -ce bien compris "?. "Oui Madame
", répondit Pierre qui se crispait de douleur.
L'autre femme entra enfin dans le
salon, et Madame Éloïse, la fit approcher de Pierre, et lui
tendant la cravache , elle dit, "frappe le , il m'as fait honte, et il
mérite une punition, il doit apprendre à bien se comporter
en présence de dames, et si tu veux un jour qu'il t'appartienne,
tu dois commencer immédiatement à lui montrer ton pouvoir.
La jeune femme frappa Pierre doucement
sur les épaules avec la cravache de Madame, mais Madame lui dit
," non pas comme cela." Elle passa derrière Pierre, et elle entra
son index dans un anneau situé sur le dessus de la cagoule au dessus
de sa tête, et dit, "Au visage, frappe le au visage, cela ne marquera
pas, à cause de la gagoule, de chaque coté, et appuie bien
tes coups, qu'il les sente bien."
La fille fit ce que lui avait dit
Madame Éloïse, elle frappa Pierre au visage avec la cravache.
Elle frappa de toute sa force, et chaque coup qu'elle donnait résonnait
dans la tête et le cerveau de Pierre comme un coup de masse. Cela
faisait horriblement mal, mais était surtout terriblement insultant.
Il ne pouvait s'esquiver, et il recût à pleine volée
chacun des coups.
"Ça suffit " dit Madame Éloïse,
"je crois qu'il à compris," et la fille arrêta. Pierre demeura
tout étourdi, et son visage brûlait comme du feu. S'il avait
pu, il aurait tué la fille ,tant cela , l'insultait. Se faire frapper
au visage, même juste une claque frustrait déjà son
orgueuil, imaginez une pareille furie de coups, se déchainant sur
sa tête.
Madame Éloïse relacha
sa prise, et Pierre retomba face contre terre.
Il était vaincu, et Madame
Éloïse le savait. Aussi, elle détacha sa laisse du
foyer auquel elle était fixée, et tira Pierre doucement
vers elle, et alla s'asseoir dans un comfortable fauteuil.
Pierre suivit sur les genoux, et lorsqu'elle
fût bien installé, elle tendit sa botte sous le visage de
Pierre, et lui dit, " embrasse mes bottes maintenant, cher esclave, montre-moi
que tu te soumet, lèche la bien proprement. " Pierre baissa la
tête, et fit comme la femme lui avait ordonné , et ne protesta
pas, désormais il connaissait le pouvoir que la douleur pouvait
avoir sur lui, et il ne désirai tpas en réitérer
l'expérience à nouveau.
" Viens près de moi , ma chère
Frankie, tu vas prendre ma place pendant un instant,il est à toi,
je vais revenir ,juste le temps de préparer un bon café
et je reviens."
Pierre commençait à
comprendre quelque brides de la situation dont il faisait les frais.
Madame Éloïse , avait
été mandaté pour trouver un esclave , à cette
Frankie, et le choix de Madame s'était malheureusement porté
sur lui, soit par pur hazard, ou soit simplement par une sorte de préméditation.
La femme revint avec le café
, le tout sur un cabaret qu'elle déposa sur un guéridon
près du fauteuil, puis elle reprit sa place dans le fauteuil, et
indiqua à Frankie de s'approcher d'elle. et de prendre l'autre
fauteuil à sa gauche.
"Voilà, maintenant je vais
t'expliquer , pourquoi tu es ici présentement, et ce que nous attendons
de toi."
"Tu connais mon nom, déjà,
mais je t'ai menti, ce n'est pas mon vrai nom, et le vrai tu ne le connaîtra
jamais. Par contre je veux que dorénavant lorsque tu m'adressera
la parole ce sera désormais sous le nom de Maîtresse Eloïse.
Si tu as à me parler pour quelque raisons que ce soit, tu le feras
toujours avec une extrême politesse, et tu me vouvoieras toujours
et partout. Celle qui est mon amie ici, se prénomme Maîtresse
Frankie. Elle est jeune et débute sa carrière de dominatrice,
et je lui ai promis de lui former un esclave qu' elle pourrait éventuellement
posséder pour son propre usage. "
"Je t'ai choisi, parce que tu étais
bel homme, tu semble en bonne santé physique, et de plus tu n'as
plus d'attaches personnelles ni d'obligations envers qui que ce soit.
J'y ai veillé personnellement. À compter de maintenant,
ne te préoccupe plus de ta carrière , ni de ta vie antérieure,
plus rien de cela n'existe pour toi. Tu devras te consacrer uniquement
à ma personne et à celle de Frankie. Tu vivras en permanence
sous notre tutelle, et tu devras apprendre tous les rudiments de la soumission
et la façon de se comporter, de nous servir et de nous adorer".
"Lorsque je te jugerais fin prêt,
tu deviendra la propriété exclusive de Frankie". " Mais
pour le moment tu m'appartient,et c'est moi qui te formerai. "
" J'ai beaucoup d'expérience
dans ce domaine , comme tu as sûrement pu en juger par toi-même,
et crois -moi tu n'es pas le premier que je dresserai."
Pierre avait de la difficulté
à saisir l'ampleur de la situation, mais il savait qu 'il valait
mieux ne pas argumenter avec cette femme, ses fesses et son visage s'en
rappelait encore les conséquences.
Aussi se contenta-t-il d'opiner de
la tête, et de baisser les yeux en signe de soumission.
" Bon ça suffit pour lui ce
soir, si on le descendait au donjon , après nous pourrions écouter
un bon film à la tétévision."
Maîtresse Éloïse
, se leva et entraina Pierre dans les escaliers, par sa laisse. Frankie
la suivit, et pendant que Maîtresse Éloïse préparait
quelque chose pour Pierre, l'autre lui enlevait le gant de cuir qu'il
portait déjà depuis près d'une journée.
Ses épaules , et ses bras ne
pouvaient plus remuer, à cause de l'engourdissement .Le simple
fait de pouvoir ramener ses bras vers l'avant, dans leur position normale,
lui occasionnait de pénibles élancements. Ensuite , elle
lui enleva la cagoule qui recouvrait son visage . Maîtresse Éloïse
revint vers eux, avec à la main des paires de menottes. Elle lui
passa la première à ses poignets , les deux bras devant
lui, et la seconde autour de ses chevilles. Puis elle le fit mettre à
quatre pattes, et le força à entrer dans la cage. Frankie
ferma la porte de la cage derrière lui, et Maîtresse Éloïse,
passa devant la cage, et elle passa difficilement sa main au travers des
barreaux, et avec un cadenas, elle fixa la chaine des menottes de ses
poignets à l'anneau rivé au fond de la cage. Elle revint
vers Frankie, et s'assura que la porte était bien fermée
et elle ferma la serrure à numéros en prenant bien soin
de ne pas le dévoiler à Frankie.
" Je m'excuse ma chère "dit-elle,
"mais deux précautions valent mieux qu'une. "
" Ho! Je te comprends," lui répondit
cette dernière.
" Garde la clef de la serrure avec
toi, " dit Maîtresse Éloïse, comme cela , je devrai
attendre que tu sois avec moi pour le libérer, et toi de même,
car je garderai la combinaison secrète jusqu'à ce que tu
sois en pleine possession de ton esclave".
" Oui, c'est une bonne idée
". dit Frankie.
" Dors bien l'esclave, car tu auras
une grosse journée demain, je vais débuter ton dressage,
et je veux que tu sois en pleine forme."
Elles quittèrent toutes deux
le donjon, et la lumière s'éteignit, la porte se referma,
puis plus rien.
Le dressage...
Pierre, se remémora les évènements
. Il comprenait un peu mieux les agissements de Madame Éloïse,
et se souvenait maintenant que son ex-conjointe , depuis quelque temps
déjà se comportait d'étrange manière. Comme
si elle préparait son expulsion et qu'elle avait prémédité
ses agissements. Cela lui parût d'autant plus évident, depuis
que Madame Éloïse lui avait brèvement mentionné
qu'elle semblait l'avoir préalablement choisi.
Il était presque certain que
la rencontre dans le parc n'était pas le fruit d'un pur hazard.
Les circonstances mêmes de sa prise de bec avec son ex-conjointe,
lui semblait maintenant avoir été planifiées à
l'avance. Et comme cette dernière connaissait bien ses habitudes
, elle savait qu'il se retrouverait au parc , après une telle déception.
Sûrement que Madame Éloïse et son ex avait préalablement
organisé sa sortie.
Et par la suite rien n'avait été
plus facile pour Madame Éloïse de le rencontrer , et de le
kidnapper à sa manière.
Dans la situation présente,
il se devait de se soumettre , à cette femme, car il comprenait
très bien qu'elle n'aurait de répit que lorsqu'il serait
totalement soumis et obéissant.
Tout depuis hier avait basculé
, sa vie, ses sentiments, son travail. Il venait de plonger dans une autre
dimension, Et il se sentait perdu et incapable de prendre la moindre initiative
pour le moment. La situation présente venait de balayer d'un coup,
tous ses vieux concepts.
Son esprit fatigué et son corps
exténué , l'incitait au sommeil, et il tenta de se trouver
une position plus ou moins comfortable, et après un bref instant
, il tomba dans un profond sommeil.
Un fracas infernal et de violentes
secousses le réveillèrent en sursaut. La lumière
crue, le bruit que faisait Madame Éloïse en martelant avec
un bâton de fer la cage où il était confiné
, le firent s'éveiller brusquement.
Il demeura apeuré pour un instant,
mais peu à peu il sortit de sa torpeur, pour entendre Madame Éloïse
lui parler en ces termes. Frankie l'accompagnait et ce fût elle
qui la première ouvrit la serrure principale. Puis Maîtresse
Éloïse dit à Frankie, "tu peux y aller maintenant ,
je vais m'en occuper."
Frankie quitta le donjon et Madame
Éloïse lui dit d'une voix sans réplique.
" Debout la dedans ", ordonna-t-elle.
Il la vit à travers les barreaux de la cage. Elle portait des botillons
de suède aux pieds et elle s'était revêtu d'une courte
robe de chambre rouge en satin, et d'une petite culotte coordonnée
au teddy de la même couleur. Ses longues jambes bronzées
étaient très belles et cela faisait très érotique
de la voir ainsi, Mais Pierre lui , était transi de peur, car il
savait que cette dernière allait débuter son dressage aujourd'hui,
et déjà il entrevoyait que la journée serait très
difficile et que Madame serait des plus exigeante.
" Pour débuter , je vais t'expliquer,
certaines choses importantes . Tu m'écoutes et tu te tais, ceci
est la première des choses."
" Ensuite, lorsque tu désire
m'adresser la parole, tu commenceras toujours par m'appeler Maîtresse,
et ce à chaque phrase qui sortira de ta bouche."
" Jamais tu ne devras me regarder
dans les yeux, je ne tolère pas qu'un esclave lève le regard
sur moi."
"Enfin , tu obéis à
la lettre à tous mes ordres, et tu apprends . Puis tu te fais un
devoir de bien te rappeler tous mes désirs et de les exécuter
parfaitement et sans discuter."
"Maintenant tu vas sortir de ta cage,et
aller t'étendre sur le dos, sur le lit que tu vois la-bas. "
Pierre sortit à reculons de
la cage et fit ce que Madame lui avait ordonné. Elle s'approcha
de lui, et lui écarta les bras et les jambes puis lui passa des
bracelets de cuir à chacun de ses poignets et en installa des identiques
aux chevilles. Ensuite elle fixa avec des anneaux et une attache concue
à cet effet, ses quatres membres , aux quatre coins de la table.
Elle partit quelques instants dans
l'autre pièce, celle ou elle gardait les équipements, et
elle revint avec un plateau à la main et divers petits objets qu'elle
déposa sur une table près de lui. Puis elle alla dans la
salle de bain et ramena une bassine remplie d'eau chaude. Elle sortit
un razoir d'un étui, et mélangea un peu de crème
à raser dans un plat de céramique blanche et prit un blaireau
puis lui en badigeonna l'intérieur des cuisses, le sexe et le bas-ventre.
Elle saisit son sexe dans sa main et lui rasa tout le pourtour du pénis.
Elle poursuivit ainsi le travail sur tout son corps.
Puis elle le détacha et lui
dit de se retourner sur le ventre. Elle lui fixa de nouveau ses liens
et continua à le raser totalement , des pieds à la tête.
"Y à-t-il quelque chose de
plus laid qu'un corps couvert de poils. Je déteste cela, et à
partir de maintenant, je veux que tu conserve ton corps toujours rasé
ainsi, et surtout ne m'arrive jamais avec une peau qui pique. Je veux
que tu sois toujours rasé de très près. " "Sinon
tu vas le regretter amèrement. "
Pierre avait soudain très froid.
Pour la toute première fois de sa vie, il ne portait plus sa toison
d'homme. Non pas que cela fût douloureux, mais cela le gênait
et l'humiliait terriblement . Se sentir ainsi ,son sexe complètement
dégarni , le frustrait de sa virilité naturelle. Il avait
la sensation d'être soudain devenu autre chose qu'un homme.
Elle le laissa reposer ainsi près
d'une demi-heure , puis le libéra de ses liens pour mieux lui en
imposer d'autres, plus solides.
A chaque extrémités,
elle lui passa des bracelets de métal, qui fermaient sur eux-mêmes
avec une serrure incorporée au bracelet, puis elle lui mit une
chaîne entre ses deux chevilles , qui ne lui permettait de marcher
qu'à petits pas. Puis , elle lui entoura la taille avec un ceinturon
de cuir, qu'elle serra fortement derrière son dos, et prit les
menottes de ses poignets et les fixa de chaque coté de sa taille
, à des anneaux ancrés dans le ceinturon avec de petits
cadenas. Elle lui remit une laisse à son collier, et le força
à la suivre derrière elle jusqu'au rez de chaussée.
Arrivé à l'étage,
elle cadenassa sa laisse près de la porte d'entrée, à
un anneau disposé à cet effet sur le mur, et elle le quitta
pour monter à l'étage.
Il demeura ainsi jusqu'à ce
que la sonnette de l'entrée ne tinte. Il entendit Maîtresse
Éloïse crier, "entrez".
La porte s'ouvrit et Frankie accompagnée
d'une femme et de deux hommes entrèrent.
Tous le scrutèrent attentivement,
et un des deux hommes dit à Frankie, "il est bien monté
, un peu mou peut-être, mais avec de l'exercice, tu pourras en tirer
quelque chose.
La femme qui les accompagnait fit
le tour par derrière et lui tapota un peu les fesses, puis passa
une main inquisitrice dans la sa raie, et avec son doigt elle le pénétra
par derrière soudainement. Pierre sursauta et laissa échapper
un petit cri de douleur. Mais sur le fait , il vit Madame Éloïse
qui descendait l'escalier, et il se retint de protester.
Les quatres convives se retounèrent,
et Madame Éloïse dit, "bonjour Frankie, salut Murielle, comment
ça va les gars ? , comment trouvez vous le futur esclave de Frankie
?"
"Cela semble acceptable," dit l'un
des deux gars.
"Moi je le trouve trop maigrichon,"
dit Murielle .
"Et toi Jack , qu'en pense tu?" demanda
Maîtresse Éloïse.
"Hé bien, je pense que tu pourra
en tirer quelque chose de potable, on verra bien. Dans un mois ou deux,
s'il apprend bien et si tu t'y prends bien , tu pourras sûrement
le dresser pour qu'il plaise à Frankie." "C'est bien mon intention,"
répondit Maîtresse Éloïse.
" Bon si on passait au salon", dit
Frankie,
" Je te suis " dit Murielle. "Mais
on ne restera pas longtemps, car j'ai beaucoup de chose à faire
aujourd'hui."
Frankie détacha la laisse de
Pierre, et le tira derrière elle jusqu'au salon. Les convives s'assèyerent
et Madame Éloïse leur offrit de prendre un café en
sa compagnie.
Elle prit la laisse de Pierre , et
l'amena avec elle à la cuisine. Elle prépara un cabaret
et des tasses ainsi que le lait le sucre et déposa le tout sur
le cabaret. Puis elle dit à Pierre, "tu vas nous servir le café,
et gare à tes fesses si tu renverse quoi que ce soit."
Les deux mains de Pierre, enchainées
àutour de sa taille au ceinturon, pouvaient tenir le cabaret. En
effet , Madame Éloïse lui avait laissé juste assez
de jeu entre le bracelet de ses poignets et le ceinturon, pour qu'il puisse
utiliser ses mains à cet effet. Par contre, il ne pouvait toucher
ses deux mains ensemble, et il devait se concentrer pour ne pas renverser
le cabaret contenant les tasses de café , et il ne pouvait non
plus avancer à pas normal, à cause de la chaine entre ses
deux chevilles.
Elle le dirigea vers le salon, et
il dût distribuer les cafés aux invités. Lorsqu'il
eut terminer sa tournée, et que chacun des invités fut servis,
Maîtresse Éloïse lui dit de déposer le cabaret,
et venir s'agenouiller devant elle et de lui embrasser les pieds. Il s'exécuta,
comme elle lui avait ordonné , et ensuite il dut aller se prosterner
devant chacun des invités et embrasser les chaussures de chacun
et chacune à tour de rôle.
C'était la première
fois de sa vie qu'il devait s'humilier de la sorte. Et pour être
certaine que Frankie et ses amis voient combien il était soumis,
il dût se coucher sur le dos à même le plancher , relever
ses jambes, en écartant les cuisses et en retenant ses genoux avec
ses mains et leur présenter son sexe et tenir cette position tout
au long de la discussion.
Tous pouvaient le regarder et le voir
sans retenue.
Son corps glabre et son sexe ainsi
exposé à la vue de tous, le maintenait humilié et
soumis. Maintenir cette position et ne pas pouvoir se cacher des regards
achevait de saper sa résistance et enseignait à son esprit
à se soumettre et à se rendre disponible en tout temps pour
plaire à sa nouvelle Maîtresse.
Les invités se levèrent
et s'embrassèrent mutuellement, puis quittèrent les lieux.
Pierre ne bougea pas , attendant les
ordres de Madame Éloïse.
" Tu peux te relever maintenant ",lui
dit-elle, "ramasse les assiettes et le cabaret et va les porter à
la cuisine. "
Pierre s'exécuta, et Maîtresse
Éloïse le fit redescendre au donjon, et l'enchaina à
un poteau par sa laisse.
Il devait se tenir debout, car elle
avait attaché la laisse audessus de sa tête, et ne lui avait
laissé que le jeu nécessaire pour qu'il puisse fléchir
un peu les genoux.
Elle remonta et le laissa seul .
Elle ferma la lumière et Pierre
entendit fermer la porte.
Combien de temps dura l'attente. il
ne pouvait en juger, car la noirceur était totale dans le donjon.
Peu à peu ses yeux s'habituèrent à la noirceur, et
il esseya sans grands espoirs de se libérer de ses chaines , mais
c'était peine perdue.
Quelques heures plus tard , Maîtresse
Éloïse revint le chercher. Elle s'était habillée
autrement. Une combinaison de latex noire, la revêtait de la tête
au pieds, et elle portait une sandale ouverte avec des lanières
de cuir qui lui laissait le pied découvert. une semelle surélevée
de près de deux pouces la grandissait en-
core plus surtout que les talons de
la sandale devait avoir près de sept pouces de hauteur.
Elle avait un corps superbe, et fière
allure , dans cet accoutrement. Et elle imposait vraiment le respect.
Elle vint vers lui et se tenant ainsi
debout devant lui, elle le dépassait presque d'une tête.
Il dût baisser le regard, car il comprit qu'il aurait à subir
ses foudres s'il osait la regarder .
Elle le détacha et l'amena
à un chevalet, et elle le força à se pencher par
dessus. Elle lui enleva la chaine d'entre ses chevilles et lui intima
l'ordre d'écarter largement les jambes. Puis elle lui fixa les
chevilles solidement arrimées à chacun des pieds du chevalets.
Ensuite elle libéra ses poignets
et les fixa de la même manière aux pieds avant du chevalets.
Il ne pouvait se redresser. et ainsi plié en deux sur le chevalet
, son postérieur relevé s'offrait à tous les sévices.
Madame Éloïse se rendit
ensuite dans la pièce ou elle entreposait ses instruments, et revint
après quelque minutes .Un fouet avec plusieurs lanières
dans une main , et une grande palette de bois dans l'autre, de plus elle
s'était installé une ceinture à la taille qui retenait
sur son bas ventre un gros gode de caoutchouc noir , qui lui faisait comme
un immense pénis
entre ses deux jambes. Ce sexe factice
était retenu à la ceinture qu'elle portait .
Elle s'approcha de Pierre , et se
positionna devant lui, puis de sa voix la plus autoritaire, elle lui ordonna
d'ouvrir la bouche.
"Suce bien mon gode ", dit-elle, "car
je vais te l'enfoncer bien creux dans le cul tout à l'heure et
si tu ne l'as pas assez bien humecter, cela pourrait te faire très
mal." Et sans plus attendre , elle l'enfourna dans la bouche de Pierre,
qui se retrouva complètement étouffé par la grosseur
de l'engin. Elle laissa à Pierre le temps de bien mouiller toute
la surface du gode avec sa salive, et le fit glisser d'avant en arrière
dans sa bouche en le poussant profondément à chaque fois
dans sa gorge et ce ,à plusieurs reprises. À plusieurs fois
Pierre faillit s'étouffer. Mais Maîtresse Éloïse
était sans merci.
Elle le tenait fermement de sa main
gantée par les cheveux, et il n'avait d'autre choix que de faire
ce que Madame Éloïse lui avait ordonné.
" Bon ça suffit ", dit-elle,
"passons maintenant aux choses sérieuses."
Elle passa derrière le chevalet,
et positionna le bout gode bien appuyé sur la rondelle de son anus,
et Pierre sentit entrer en lui l'engin. Son cul s'ouvrit et pour être
certaine qu'il le prendrait en entier, elle lui écarta les fesses
avec ses deux mains.
Il poussa un râle de douleur
quand , d'un coup sec elle poussa avec son bassin l'engin dans son intérieur.
Puis avec fermeté elle le saisit à deux mains par les hanches
et elle débuta un mouvement de va et viens .Le gode entrait en
lui avec difficulté , mais au fur et à mesure que Madame
s'échauffait, cela devint plus facile. Il sentait glisser l'engin
dans son fondement, et peu à peu cela provoqua en lui une excitation,
que jamais il n'aurait soupconné possible venant de son anus. Plus
Madame se trémoussait et plus Pierre devenait sensible. Mais la
douleur aussi se faisait plus intense, à un point tel que des cris
jaillirent bientôt de sa bouche.
Mais Madame ne cessa pas pour autant
de le pilonner. Ce fût seulement lorsqu'elle eut prit son plaisir
qu'elle se retira de son anus maintenant béant .
Elle prit le temps de souffler un
peu, et elle lui tapota un peu les fesses. Une douleur intense persistait
malgré tout en lui.
Elle revint devant lui et lui reprenant
les cheveux à pleine main, elle lui releva la tête, ell lui
dit, " tu vas me nettoyer cela maintenant, bien à fond." Elle approcha
le gode de la bouche de Pierre, et il lui dit , en détournant la
tête, " non Madame je ne peux pas, je me refuse à celà".
" C'est trop dégueulasse, je refuse de faire cela."
"On se rebelle , à ce que je
vois." dit-elle.
"Hé bien , c'est ce qu 'on
va voir!
Elle saisit son fouet et alla derrière
Pierre, et lui administra quelques bon coups durement appliqués.
Pierre essaya d'éviter les
coups, mais il ne pouvait bouger. aussi ressentit-il chacun des coups
, et il hurla de douleur.
Elle revint devant lui, et dit,"alors,
as tu décidé de m'obéir?"
Voyant qu'il ne voulait pas ouvrir
la bouche, Elle recommança à le fouetter, mais cette fois
elle ne prit pas ses gants blancs. Elle frappait de toutes ses forces
, et bientôt le cul de Pierre, devint tout boursoufflé sous
la morsure des lanières dans sa chair. Elle prenait un malin plaisir
à viser ses couilles , son pénis et à frapper entre
la raie de ses deux fesses. Pierre qui au début essayait de résister,
se tordait maintenant de douleur, et se mit à crier, et à
la supplier d'arrêter.
Madame de sa voix sévère
lui dit, "vas tu le sucer , espèce de salope, je vais te montrer
moi à refuser un ordre! Lorsque je donne un ordre j'entends bien
qu il soit exécuté, si tu pense que tu vas me tenir tête
, mon sale chien, , tu te trompes lourdement."
Pierre pleurait à chaudes larmes,
et suppliait toujours Madame Éloïse d'arrêter, et elle
cessa enfin de le frapper.
Elle se plaça debout devant
lui, et approcha le gode de ses lèvres, et Pierre qui voulait que
cesse ce supplice, ouvrit largement la bouche pour nettoyer le gode comme
elle lui avait ordonné.
Il ferma les yeux, pour ne pas voir
les résidus de merdes qui maculaient la surface de l'engin, l'odeur
était exécrable,et déjà il en appréhendait
le gôut.
Mais Madame Éloïse lui
dit alors, " tu veux le manger maintenant n'est ce pas, petit minable."
" Oui Madame", répondit -il.
" Alors demande moi la permission,
de le faire et poliment , je te le conseille."
"Vite "dit-elle, "ça refroidit,
et je ne suis pas patiente."
Pierre se souvint des règlements
à suivre, et d'une voix humble et soumise, il demanda.
"Maîtresse Éloïse,
me permetteriez vous de nettoyer le gode que vous portez fièrement
devant vous, car je suis votre esclave, ce serait un honneur pour moi
de recevoir ce cadeau de votre part. "
"Pour une première fois je
tolère ton imbécilité , et j'espère que cela
ne se reproduira plus." "Vas-y nettoie moi cela maintenant, et ne laisse
rien trainer."
Pierre se ferma de nouveau les yeux,
, mais la Maîtresse lui dit, " non , ouvre les yeux, je veux que
tu vois ce que tu avale, et je veux être certaine que tu nettoies
à fond toutes tes merdes. "
Son derrière en feu lui rappelait
d'obéir, et c'est avec courage qu'il nettoya l'engin.
Le coeur sur le bord des lèvres,
il combattait les nausées qui montaien en lui, et il parvint à
tout nettoyer sans devoir régurgiter devant sa Maîtresse.
Lorsqu'il eût terminé,
Maîtresse Éloïse , se retira et elle revint avec une
serviette et lui nettoya le visage.
Il lui semblait que l'odeur de merde
se soit imprègné en lui, dans ses cheveux, son haleine,
et cela lui remontait constamment aux narines.
Elle le détacha du chevalet,
et l'amena avec elle près de la grande armoire, qu'elle ouvrit,
et elle en sortit, un petite robe noire, des bas de soie, une paire d'escarpin,
et un petit tablier de dentelle.
Puis elle lui dit, " tu vas m'enfiler
tout cela, et fais cela rapidement, car je vais recevoir à souper
tout à l'heure, et tu vas devoir faire le service. "
Lorsqu'il eut terminé de s'habiller,
elle le fit passer à la chambre de bain, et lui maquillà
le visage avec un rouge à lèvres , du mascarat, de l'ombres
à paupieres etc ,etc.
" Te voila bien plus belle ainsi,
petite salope." Dit-elle. puis elle le ramena devant un miroir, et ajusta
le tablier autour de sa taille, et lui dit de la suivre à nouveau.
La courte robe de servante laissait
entrevoir son pénis qui pendouillait entre ses deux jambes, et
comme pour la première fois de sa vie il marchait sur des escarpins
à talons, sa démarche était quelque peu chancelante.
Son cul toujours boursoufflé par le fouet , demeurait sensible,
et à chaque mouvement , une douleur lancinante irradiait ses fesses.
Surtout que la courte jupette, qui ne recouvrait que la partie supérieure
de ses reins laissait entrevoir les nombreuses zébrures du fouet
sur son derrière.
Elle lui enleva le collier qu'il portait
depuis la veille autour de son cou, et elle le remplaça par un
autre tout en cuir, mais beaucoup plus large que le précédent.
Ce dernier l'obligeait à garder le cou très droit, et lui
maintenait le menton levé très haut, , il ne pouvait plus
baisser la tête, ni même la tourner de coté.
Un gros anneau de métal se
balancait sur le devant du collier, et elle y fixa une clochette . Ainsi
à chacun de ses mouvements, la clochette annoncait sa présence.
Elle lui remit la chaine entre ses
chevilles, et elle lui enchaîna le poignets à une autre chaine
qui se reliait à celle de ses chevilles. Cependant cette dernière
lui laissait suffisamment de liberté pour pouvoir écarter
les bras, et pour manipuler tout ce qu'il voulait. Mais sans toutefois
pouvoir relever ses mains plus haut que ses hanches.
Et c'est ainsi harnaché qu'il
suivit Maîtresse Éloïse à la cuisine, pour lui
servir le souper.
Un souper rituel....
Maîtresse Éloïse,
lui expliqua la marche à suivre et la façon dont elle voulait
qu'il effectue le service du repas.
-Il ne devait sous aucunes considérations,
adresser la paroles aux convives.
-Il ne devait pas non plus rester
en leur présence à moins qu'un des convives ne lui demande
une faveur ou ne lui en donne l'ordre.
-Jamais il ne devait interrompre la
conversation pour effectuer le service de table.
-Cependant il devait être en
permanence aux aguets pour prévoir tous les petits détails
concernant les besoins des convives.
-Il devait agir silencieusement, avec
promptitude, et délicatesse pour ne pas déranger.
-Il verrait à servir les couverts,
à desservir, à voir à ce que les assièttes
ne trainent pas, que les cendriers soient toujours d'une propreté
impeccable, à servir le vin, à nettoyer les restants du
repas, et à laver la vaisselle, sitôt le repas terminé.
-De plus , dès que les invités
passeraient au salon,il devra une fois son travail terminé , aller
se poster, près du seuil du salon, et s'àgenouiller, le
derrière bien en évidence, façe contre le sol, et
sans bouger,de façon à bien montrer à tous les traces
de fouets sur ses fesses , et attendre ainsi de recevoir ses ordres.
Les invités arrivèrent
un à un, et Frankie fût la première à arriver.
Elle s'était revêtu , d'une grande cape noire, elle portait
de grandes bottes de cuir, lacées sur le devant, jusqu'à
mi-cuisse, et sous la cape qu'elle enleva à son arrivée,
elle portait un bustier de cuir rouge, un corset lacé et qui lui
comprimait la taille très esthétiquement, ainsi qu'une jupe
de cuir lustré noire.
Pierre qui la voyait pour la première
fois en tenue de dominatrice, put apprécier sa grande beauté
ainsi que la parfaite harmonie de son corps. Bien qu'elle ne soit pas
très grande, elle en imposait quand même par la prestance
de sa démarche féline.
Maîtresse Éloïse
lui remit la laisse de Pierre, en main propre, et lui dit, " il est à
toi, je lui ai indiqué ce qu'il devait faire, et comment il devait
se comporter, et il devrait te satisfaire."
"J 'ai tenu compte de tes exigeances,
et je crois qu'il à bien compris." "J'espère qu'il sera
à la hauteur. "
"Maintenant je vais m'occuper des
invités ." "Amène le à la cuisine et montre lui ce
qu'il doit servir, et ou sont les assièttes , et tout ce qu 'il
doit connaître de la maison, pour pouvoir nous servir."
Pendant que les convives arrivaient,
Frankie, indiqua à Pierre, les ustensiles, les assiettes, et ce
qu'il devait servir aux invités et dans quel ordre le faire. Puis
elle lui demanda de se pencher et de lui montrer les marques de fouets
sur ses fesses. Elle passa sa main tout doucement sur son postérieur,
et lui dit, " je suis contente que tu portes des marques , cela me rend
fier de toi." " Je veux que tu sache que dorénavant il se peut
que tu aies à subir le fouet de ma main, et comme je ne suis pas
aussi experte que mon amie, je vais devoir me pratiquer un peu plus souvent,
mais je suis une bonne élève, et Maîtresse Éloïse
m'as dit que j'apprenais vite."
"Mais plus tu seras obéissant,
moins j'aurai à me pratiquer, cependant , contrairement à
Éloïse, j'ai un très mauvais caractère, et je
ne sais pas me contrôler comme elle." " Aussi il te faut savoir
que je me fâche beaucoup trop souvent, c'est pourquoi j'ai demandé
à mon amie de te former pour commencer, car je n'ai pas une grande
patience comme cette dernière."
"Mais je pense que tu feras un bon
esclave, et que le choix de Madame Éloïse s'est avéré
un choix judicieux." " Aussi je veux que tu sois parfait ce soir, car
je tiens à ce que les invités de Madame soient contents
de leur soirée. "
" Donc il n'en tient qu'à toi
de prouver aux yeux de tous, que tu mérite de me servir. "
" Et je te suggère fortement
de faire de ton mieux, car je suis très exigeante envers mes esclaves,
et il vaut mieux m'obéir , car cela fait souvent très mal
de mal me servir."
" Allez maintenant, tu sais ce que
tu dois faire."
Le souper se termina tard dans la
soirée, et Pierre semblait se débrouiller très bien,
jusque là, mais un des invités qui avait un peu trop bu,
voulût se lever pour aller au toilettes, et ne vit pas Pierre qui
arrivait avec un verre de vin à chaque main pour les servir. En
se levant, l'homme trébucha et tomba entre les chaines que Pierre
avait entre ses poignets, Pierre même après de vains efforts
pour ne pas tomber, , ne réussit pas cependant à conserver
son équilibre , et il renversa les verres de vin sur une des invitées.
Aussitôt, Maîtresse Frankie
se leva d'un bon, et marcha vers lui le visage décomposé
par la colère. Mais Madame Éloïse , qui se trouvait
assise à sa droite, la retint par le bras, et lui dit, " non Frankie,
ce n'est pas de sa faute, laisse le nettoyer, et après on verra
à le punir, tu dois le punir , c'est vrai, mais pas maintenant
."
Pierre qui venait de se relever,était
encore tremblant de peur, il venait de voir à quel point Maîtresse
Frankie, pouvait se fâcher et la rapidité avec laquelle ,
elle avait réagi, cela lui fit prendre conscience du travail qu
'il aurait à faire pour satisfaire une telle femme.
La soirée se termina sur une
note joyeuse pour les invités, quand Madame Éloïse
fit passer Pierre au salon, et qu'elle lui intima l'ordre de danser pour
ses invités. Il dut monter sur un banc et se dandiner langoureusement,
pour ensuite, aller remercier tous les invités de leur patience
à son endroit, en leur embrassant les pieds à tour de rôle,
et en se prosternant devant eux.
Lorsque tous furent partis, Maîtresse
Frankie, le descendit au donjon, et avec des gestes brusques, elle le
déshabilla, lui enleva ses chaînes, pour ensuite lui mettre
le cou et les poignets bien enfermés dans un carcan de bois monté
sur un socle, puis elle lui intima l'ordre d'écarter les jambes
. Elle lui passa des chaînes aux bracelets de ses chevilles, et
les fixa de chaque coté du socle , très largement écartelé.
Puis sans un mot, elle lui entra de
force un baillon dans la bouche qu'elle boucla derrière sa nuque.
Il la vit prendre une baguette de
bois souple, qu'elle replia à maintes reprise comme pour s'assurer
de sa souplesse et de son efficacité, puis passant derrière
son esclave, elle le frappa douloureusement sur les reins. Pierre qui
ne pouvait crier, émis un faible râlement profond et sourd,
quand arriva le deuxième coup, il en ressentit la brûlure
intense et se tordit de douleur.À chaque venue, un sifflement fendait
les airs, et une violente douleur lui traversait le corps. Elle ne savait
pas retenir sa force, et Pierre faillit perdre conscience tant la douleur
était intolérable.
Quand Maîtresse Éloïse
descendit l'escalier, et vit Maîtresse Frankie lui administrer cette
sévère correction, elle lui dit,
" calme toi Frankie, tu ne dois pas
le tuer non plus."
" Regarde je te montrer, " elle prit
la canne de jonc, et Pierre entendit un très léger sifflement,
et soudain une douleur très intense se fit ressentir, sur sa fesse
droite, il aurait voulu hurler, mais le baillon l'en empêchait.
Encore un fois le petit sifflement se fit entendre, et cette fois l'autre
fesse reçût cet ultime torture. Pierre n'avait jamais ressenti
quelque chose d'aussi atroce.
Après une dizaine de coups
bien appliqués, elle dit à Frankie, "délivre le maintenant,
car il vas tomber dans les pommes si je continue."
En fait , Pierre avait déja
perdu consience. Et Maîtresse Éloïse dut le ranimer,
pour le faire entrer dans sa cage. Elle lui enleva son baillon, et lui
passa sur la tête une cagoule sans aucunes ouverture, elle dit à
Frankie, lace la lui bien solidement, et ferme la avec un cadenas, et
assure toi qu'il puisse cependant respirer. Deux petits trous au niveau
des narines permettait à celui qui la portait , de respirer, et
un baillon bien monté à l'intérieur de la cagoule,
entrait profondément dans la bouche du porteur et empêchait
que celui-ci n'émette le moindre son.
" Voila" dit Frankie, c'est fait.
"Bien maintenant entre dans ta cage esclave, et donne tes mains que je
te passe les menottes."
Pierre fut à nouveau menotté
dans la cage, à l'anneau du plancher, et la porte se referma derrière
lui. Il entendit tourner la clef de Maîtresse Frankie et Maîtresse
Éloïse referma l'autre serrure à numéros, cela
fit un "clic" lorsque la serrure se referma, puis le deux femmes , marchèrent
toutes les deux vers l'escalier, puis le bruit cessa.
Son corps couvert d'échymoses
le faisait souffrir atrocement, et il ne put trouver le sommeil immédiatement.
mais finalement la fatigue , la douleur, le stress et la peur avait eu
raison de sa résistance, et il s'endormit recroquevillé.
sur lui même au fond de la cage.
Le corps à l'honneur....
Maîtresse Frankie et Madame
Éloïse , vinrent le libérer de sa cage, tard dans l'avant-midi.
Elles portaient toutes deux des vêtements de ville, et dirent à
Pierre, qu'elle songeaient à sortir ensemble pour aller faire des
courses.
Son corps encore sensible et son postérieur
surtout, lui rappelait la fouettée d'hier soir. Certainement que
pour quelques jours encore, il n'oserait plus s'asseoir, et c'est avec
précautions qu'il recula de l'espace restreint de sa cage, pour
ne pas toucher aux parois de celle-ci.
Maîtresse Frankie lui ordonna
de se dépêcher, car elle n'avait pas de temps à perdre
.
On lui enleva sa cagoule, et Madame
Éloïse menotta ses mains derrière son dos, puis lui
noua une corde autour des coudes , elle fit plusieurs tours , et serra
fortement jusqu'à ce que ses coudes se rejoignent et se touchent
presque.
Cela fait, elle lui remit le large
collier de la veille, et avec une laisse au cou , elle lui dit, " tu vas
monter avec nous, et passer à la chambre de toilette, pour te laver,
ta Maîtresse à fait le nécessaire, et elle à
acheté ce qu'il faut pour te garder propre. "
Il suivit la femme et elle le fit
monter avec elle au premier étage et fit couler la bain. Elle défit
son collier de son cou, libéra ses coudes, et défit une
des menottes, . Ensuite, elle menotta sa main gauche à un tuyau
posé sur le mur du bain ou il devait prendre sa douche, comme ceux
utilisés pour les personnes handicapées, elle lui donna
une brosse à dents, un savon, du shampoing et une débarbouillette.
"Voila ,"dit-elle lave -toi, et n'utilise
pas trop d'eau chaude, je reviendrai te chercher."
Le jet de la douche lui fit le plus
grand bien , surtout sur son dos et sur les boursoufflures de ses fesses,
bien que douloureuses à l'extrême , cela soulagea ses douleurs.
De plus le jet puissant et tiède le relaxait et il avait l'impression
de se laver de tous les affronts vécus depuis quelques jours.
Il se lava le visage longuement pour
enlever toutes les traces de maquillages, et il se nettoya à fond
la bouche et les dents car il avait toujours le gôut de sa merde
qui lui revenait constamment.
Maîtresse Éloïse
vint le chercher, et avant de passer à autres choses, elle le fit
s'agenouiller, et prit dans la pharmacie, un pot de crème, et lui
en appliqua délicatement sur ses blessures.
"Cela vas aider à cicratriser
tes plaies ,"dit-elle.
Elle le libéra de sa position,
et lui remit le collier, lui rattacha à nouveau les coudes derrière
le dos, et lui remit les menottes au poignets.
Ils descendirent tous deux au rez
de chaussée, et elle le fit attendre à la cuisine.
" Tu dois avoir faim, " dit-elle,"
aussi je t'ai préparé une collation."
Dans un plat sur le sol, Pierre vit
une patée poisseuse.
Elle le fit approcher de la gamelle,
et dit, " mange esclave , car ce sera tout ce que tu auras pour aujourd'hui."
Il s'agenouilla , courba l'échine
et approcha son visage de la gamelle. Cela ne lui plaisait pas , ni par
l'odeur ni par la couleur et ni par la consistance. On aurait dit de la
nourriture pour bébé.
"Aller", dit Madame Éloïse,
"je n'ai pas toute la journée". Pierre dut manger le contenu du
plat en silence et terminer entièrement sa patée. Pendant
ce temps Maîtresse Frankie arrivait à la cuisine. Prépare
lui donc un bol avec de l'eau ma chérie, dit Madame Éloïse
à Frankie.
Elle déposa l'eau près
de sa gamelle, et Pierre dut lapper le breuvage comme le font les chiens.
" Il est temps de partir", dit Frankie.
" Je sais", répondit son amie,
" fait démarrer l'auto, je vais arriver dans un instant, juste
le temps de l'installer comfortablement dans le donjon.
Pierre la suivit, au donjon, et elle
le fit se coucher sur le sol et alla préparer des chaînes
pour les lui passer aux pieds.
Il dut écarter largement les
jambes, alors elle lui enfonça un gros gode dans l'anus, qui était
retenu par une ceinture autour de sa taille.Ensuite elle le fit se pencher
le torse en avant et passa une longue chaîne à ses menottes
derrière son dos, puis elle fixa cette chaîne à un
treuil, et tourna une manivelle qui actionnait le treuil et les bras et
les poignets de Pierre furent tirés vers le plafond. Il se sentit
soulevé et bientôt, c'est à peine si ses pieds touchaient
le sol. Cela était très inconfortable comme position. Ensuite
elle lui ouvrit la bouche, et lui entra un baillon de caoutchouc à
l'intérieur. Un petit tuyau en ornait le devant, et une petite
pompe pendait au bout de ce tuyau. Une fois le baillon bien installé
, elle pressa la pompe à plusieurs reprises, et Pierre sentit grossir
le baillon dans sa bouche. Elle pompa jusqu'à ce que le baillon
emplisse complètement sa bouche et ses joues. Cela lui faisait
mal aux mâchoires tant la pression exercée était grande.
L'attache derrière sa nuque l'empêchait de recracher le baillon,
et il ne pouvait plus émettre le moindre son.
Elle lui fixa un bandeau sur les yeux
, et elle quitta la pièce, en le laissant ainsi presque suspendu
au plafond.
En quittant elle lui dit, " ce soir
à mon retour , je vais te montrer comment tu dois faire plaisir
à une Maîtresse, soit tranquille, et sutout concentre toi
bien sur ce que je viens de te dire". " On devrait être de retour
après le souper".
Puis elle s'en alla.
De nouveau Pierre entendit fermer
la porte du donjon, et il resta ainsi suspendu pour tout l'après-midi
au plafond du donjon.
Il eut tout le temps nécessaire
pour réfléchir à sa nouvelle situation. Il essaya
de se libérer de ses liens , mais ce fut en vain. Les menottes
étaient très solides, et comme il ne portait que sur la
pointe de ses pieds, il devait se concentrer pour garder son équilibre.
Le gode enfoui au fond de son cul le faisait souffrir, car il lui écartelait
l'anus et entrait en lui très profondément. Il se sentait
,comme violé par derrière.
L'attente lui parût durer des
jours, et il devenait de plus en plus éreinté par sa position,
et ses jambes commenaient à flageoller sous lui.
Pierre entendit marcher, mais personne
ne vint le libérer.
Dans la soirée, Madame Éloïse
, vint le chercher.
Il monta derrière elle, jusqu'à
la chambre à coucher de Madame. Elle délia la corde qui
nouait ses coudes, lui enleva ses menottes, et elle le fit coucher au
pied du lit.
Elle s'asseya sur le bord du lit,
jambes écartées, et lui intima de venir lui lècher
la vulve.
Il s'approcha, et enfouit sa tête
entre les deux jambes de Madame Éloïse, et commença
à la lècher.
" Hé! Vas-y doucement". Dit-elle
. Elle le prit par les cheveux, et guida sa tête , jusqu'à
son entre-jambes, et Pierre entra sa langue en elle, pour la sucer.
" Pointe la langue, pour que je la
sente bien travailler".
" Vas-y profondément", tu ne
vas pas y passer la veillée j'espère " .
Pierre faisait de son mieux, et cela
porta ses fruits.
Madame Éloïse, se mit
à se trémousser et à se tortiller sous les coups
de langue de Pierre. Elle haletait bruyamment, et dans un grand cri ,
elle eut en premier orgasme. Pierre continua à sucer et lècher
, et Madame Éloïse repartit encore une deuxième fois.
Il avait la tête prise comme dans un étau , les cuisses puissantes
de sa Maîtresse lui enserrait le cou et il parvenait à peine
à respirer.
Elle relacha les cheveux de Pierre,
elle se retourna, et lui présenta ses fesses. "Lèche mon
cul maintenant, et entre ta langue, bien au fond". Elle avait un cul magnifique,
et Pierre se montra compétent une nouvelle fois. Madame Éloïse
qui se masturbait maintenant pendant que Pierre honorait son fondement,
eut encore un orgasme, dans un grand râle de jouissance.
Pierre continuait de la lècher
, mais elle s'avanca sur le lit, et referma finalement les jambes . Pierre
recracha quelques poils et lui aussi retomba sur le plancher. il était
recru de fatigue.
Madame Éloïse se releva
enfin, et elle se rassit sur le bord du lit,.Elle dit,"maintenant tu vas
jouir pour moi, je vais te masturber, mais je ne veux pas que vienne sur
le plancher, pour que tu salisse tout autour de toi, aussi tu te videra
dans cette soucoupe , là ,sur le meuble".
Elle l'encourageait du bout de son
pied, elle avait placé son pénis entre ses orteils et le
masturbait.Pierre amena son bassin plus près du lit et la main
de Madame prit le relais.Elle n'eut pas longtemps à attendre ,
que son esclave. parvienne à la jouissance. Elle prit la soucoupe
et y déposa le sperme chaud de son esclave .
Elle se leva , se plaça debout
, jambes écartées de chaque coté du corps de Pierre,et
dit," à genoux maintenant esclave".
"Tu vas manger ton sperme maintenant,
pour me montrer que tu es un bon esclave". Elle lui placa la soucoupe
sous son nez, et Pierre se recula , pour ne pas sentir. Il bégaya
quelques mots, et Maîtresse vit qu'il ne voulait pas goûter
sa semence.
" Auparavant c"etait toi qui demandait
aux femmes de te sucer et d'avaler, maintenant c'est à ton tour,
tu vas savoir ce que cela goûte , et crois moi, ce n'est pas très
bon au goût".
Elle se plaça derrière
la nuque de Pierre, s'appuya contre ses épaules, et tenant la tête
de son esclave solidement, elle avança la soucoupe près
de ses lèvres, puis elle lui mit le nez directement dans la soucoupe.
Il pouvait en sentir l'odeur nauséabonde
et dans un suprème effort , il lècha le contenu de la soucoupe.
Elle relacha son étreinte,
et lui intima l'ordre de se coucher sur le ventre.
Puis elle lui dit, " qu'est ce qu'on
dit, quand on reçoit un cadeau ?" Remercie ta Maîtresse pour
le privilège qu 'elle vient de t'accorder".
" Viens ici près de moi, et
remercie moi".
Il marcha sur les genoux, jusqu'au
pieds de Madame Éloïse, et baissant la tête, il dit,
"Je vous remercie Maîtresse de m'avoir permis de jouir en votre
présence".
" Hum! Je pense que tu peux faire
mieux que cela". " Je te laisse une seconde chance, je ne ressens pas
une grande ferveur, je suis certaine que quelques petits coups de fouets
sur les fessses améliorerait ton discours ,qu'en pense tu?"
" Non Maîtresse, je vous en
supplie", dit Pierre.
"Okay alors, vas y , et réfléchis
bien à ce que tu vas dire, car tu n'auras pas d'autres chances".
Les mots se bousculaient dans sa tête,
mais il parvint à les articuler décemment , et il dit enfin
, "Je vous supplie d'accepter Madame , mes humbles remerciements, pour
l'immense honneur que vous avez daigné m'accorder, je vous en suis
très reconnaissant, je vous conjure Maîtresse, de ne pas
me tenir rigueur de mon incompétence, et je vous assure que dorénavant
j'obéirai à tous vos désirs."
" Oui c'est mieux, ce n'est pas encore
parfait, mais çà s'est amélioré"." J'accepte
cela pour ce soir"
" Tu dois apprendre à développer
un language qui plaît à une Maîtresse, , la remercier
toujours polîment, et même aller au devant de ses désirs".
" je dois t'enseigner comment te comporter, et il est impératif
que tu apprenne comment parler et répondre aux ordres que Maîtresse
Frankie te donneras.
Elle le mena à chambre de toilette,
lui lava le visage, et le pénis, puis ils descendirent au donjon.
Elle alla s'asseoir dans le fauteuil,sur
l'estrade, et le fit se coucher à ses pieds sur le plancher. Elle
prit la laisse dans sa main droite, et de l'autre elle lui caressa les
cheveux.
Elle chantonnait doucement, et attendait
que Maîtresse Frankie revienne. "Demain", dit-elle à Pierre,
" je vais te montrer de quelle façon tu dois te tenir lorsque tu
es en notre présence, comment placer tes mains, comment t'asseoir,
comment marcher, t'agenouiller et te comporter , afin de montrer ta disponibilité
et ta soumission. Je sais que tu apprendras tout cela rapidement, et que
tu feras de ton mieux, car il vas falloir que tu prouve à Maîtresse
Frankie que tu sera obéissant, et je ne voudrais pas qu'elle se
fâché à nouveau contre toi".
Maîtresse Frankie arriva enfin,
et elles le reconduire dans la cage pour la nuit. On lui remit sa cagoule,
et la porte se referma derrière lui.
Les rudiments....
Pendant la semaine qui suivit, Pierre
dut se pratiquer à s'asseoir, savoir se tenir devant une Maîtresse,
comment attendre , et dans quelle position, comment demander quelque chose
à une femme , comment marcher, de quelle manière répondre
à des ordres, et ce qu'il devait faire pour plaire à une
Maîtresse et la servir.
. Maîtresse Éloïse
savait se montrer patiente, mais parfois, elle devait sévir, car
à certains moments le nouvel esclave de Maîtresse Frankie,
oubliait de pratiquer et d'appliquer quelques uns des principes qu'elle
tentait de lui inculquer.
Il apprenait aussi à tenir
la maison, à servir les repas, à connaître les lieux
de la maison et les espaces réservés à ses Maîtresses.
Il apprit que chaque matin il devait baiser les pieds de sa Maîtresse,
et chaque soir, en signe de soumission, il devait se prosterner devant
elle et lui demander pardon pour les erreurs qu'il avait pu commettre
dans la journée.
Maîtresse Éloïse,
lui appris aussi à préparer le bain, la température
de l'eau, les produits qu'elle utilisait pour se laver, de même
qu'à nettoyer la toilette , le bain et les lavabos.
Il apprit aussi à s'asseoir
sur une cuvette pour uriner, et à nettoyer les souliers et les
bottes de ses Maîtresses, avec sa langue et sa bouche.
Tout cela afin qu'il puisse devenir
la propriété de Maîtresse Frankie.
Madame Éloïse qui se chargeait
de l'éducation de Pierre, faisait tout, et voyait à tout.
Quelquefois , Maîtresse Frankie venait le prendre en charge, mais
on voyait bien que son esclave , lui importait moins que les nombreux
amis avec qui elle sortait continuellement, et Pierre avait pu s'aperçevoir
à maintes reprises, que Madame Éloïse , en avait fait
le reproche à son amie.
Un soir que Pierre préparait
le bain de Madame, il avait entendu cette dernière , parler à
Maîtresse Frankie, de manière assez directe. Et il avait
entendu la porte claquer. Lorsque Madame Éloïse était
revenu le chercher, elle avait le visage tout rouge et ses gestes étaient
soudain plus brusques. Elle le redescendit au donjon, et l'enchaîna
solidement, jusqu'à ce que Maîtresse Frankie ne revienne
pour le coucher dans sa cage.
Tous les jours, il devait honorer
Madame Éloïse, et il voyait que celle-ci appréciait
les efforts qu'il mettait à la satisfaire.
Le lundi de la semaine suivant son
entrée au service de Madame Éloïse, Maîtresse
Frankie, qui devait revenir pour le sortir de la cage avec Madame, n'arrivas
pas, et il dut rester enfermer dans la cage jusqu'avant le souper, heure
à laquelle Maîtresse Frankie arriva enfin. Elle n'eut pas
à descendre au donjon, car Madame Éloïse lui avait
réclamé les clefs de la cage, et était venu elle-même
libérer Pierre.
Elle le fit monter au salon, en ne
lui mettant que des menottes dans le dos comme tout liens, et lui ordonna
de s'agenouiller devant elle. Elle se versa un verre, prit place dans
son fauteuil, et lui parla en ces termes,
" Je ne sais pas ce que je vais faire
de toi, car vois-tu, je pense que mon amie , Maîtresse Frankie,
n'est pas encore prête pour posséder un esclave. Elle m'avait
demandé de te former, et de faire de toi un esclave exemplaire,
mais je crains qu'elle ne soit pas assez sérieuse pour avoir son
propre esclave permanent. Cela exige de bien s'en occuper , de pourvoir
à tous ses besoins, et surtout à le respecter et à
lui prouver que l'on tient à lui et que sa soumission es tl' ultime
cadeau qu'il fait à sa Maîtresse , parce qu'il l'aime, et
qu'il donnerait sa vie pour elle". " Et cela elle ne l'as pas encore comprise".
"On est plus au temps des romains
ou l'esclave ne servait qu'à travailler et ce jusqu'à la
mort", une Maîtresse qui se respecte doit aussi être fière
de son esclave , et apprécier ce qu'il fait pour elle". " Et elle
peut parfois le récompenser, pour son bon travail"."L'un ne vas
pas sans l'autre". "Et je crois que ta Maîtresse, ne voit pas encore
les choses sous cet angle".
"Selon moi tu mérite une meilleure
propriétaire qu'elle et je lui ai dit d'ailleurs". "Mais là
j'ai maintenant un problème et je ne vois pas comment le résoudre".
" Je ne peux te libérer, car
tu pourrais me poursuivre et m'accuser de séquestration, ou de
je ne sais quoi d'autre , et je ne sais pas non plus à qui je pourrais
te confier comme esclave, car dans notre petit cercle d'initié
, il n'y a pas beaucoup de demande présentement.
"J'aimerais savoir si tu serais prêt
à devenir l'esclave d'un homme, et ce que tu me suggère
de faire, car il me resterait cette possibilité, il y a beaucoup
de Maître qui se cherchent un esclave".
Pierre qui écoutait attentivement,
comme elle le lui avait enseigné, dit, "Maîtresse Éloïse,
je vous supplie de me prendre à votre service, plutôt que
de me donner à un Maître , je serais obéissant, et
je vous assure que vous pourriez être fière de moi".
" Hola ! Mon petit , je ne suis pas
sûre que je veuille d'un esclave à temps plein, j'en ai suffisamment
comme cela déjà". "Mais ton idée m'intéresse,
et je vais y réfléchir".
" Il te faudrait me prouver que tu
serais à la hauteur, et j'ai bien peur que cela ne soit beaucoup
te demander".
"Je suis très exigeante tu
sais, et peu à ce jour, ont réussis à me satisfaire
totalement ".
"De plus, je vais bientôt prendre
ma retraite, et il se peut que je déménage vers la Floride,
et je ne saurais plus quoi faire de toi".
"Par pitié Maîtresse,
je vous suivrai partout ou vous irez plutôt que de servir un homme,
je me ferai tout petit, et je ne vous causerai pas d'ennuis, je vous le
jure, demandez moi n'importe quoi, mais pas cela Madame.
"Hé bien je vais y réfléchir,
et je te dirais quelle sera ma décision, si tu te comporte bien
et que tu m'écoute, je serais peut-être plus encline à
te prendre à mon service, mais seulement si tu te plies à
mes conditions".
" Bon , il est tard, et je suis fatiguée
de cette journée".
Il redescendit au donjon, accompagné
de Maîtresse Éloïse, et il entra de lui même dans
la cage, elle referma la porte, et pour la première fois , elle
passa sa main à travers les barreaux de la cage, et lui caressa
et lui flatta le dos, et les fesses tendrement.
Pierre dormit beaucoup mieux cette
nuit là. Il prenait goût à sa nouvelle vie d'esclave.
Il aimerait vivre sous le joug de cette femme, bien qu'elle soit plus
agée que lui, elle était encore très belle, et Pierre
savait qu'elle pourrait le respecter, en étant stricte et exigeante
tout à la fois.
Cela pouvait paraître étrange,
mais il se sentait comfortable à l'idée de devenir l'esclave
de cette femme.
Bien que sa vie antérieure
n'ait pas été si malheureuse, il avait en effet vécu
de belles périodes de bonheur.
Il ne savait cependant plus , de quelle
façon il pourrait recommencer une nouvelle vie, depuis la récente
séparation qu'il venait de vivre avec son ancienne conjointe.
La compagnie pour laquelle il travaillait
ne voudrait sûrement pas le réengager, s'il revenait, car
il savait pertinemment qu'ils avaient déjà dût le
remplacer .
Aussi était-il certain qu'il
n'avait plus d'emploi et il se retrouvait donc sans ressources pour le
moment.
De plus aspirait-il à un peu
moins de responsabilités, car depuis de nombreuses années
qu'il subissait le stress de la compétition féroce avec
les autres intervenant, et il se sentait blazé de tout cela. Il
avait besoin d'un repos moral avant toute chose.
L'opportunité qui s'offrait
maintenant à lui, lui semblait soudain plus logique , que de se
retrouver à nouveau dans l'arène de la vie sociale coutumière.
De plus il n'aurait pas à négocier
, ni à se battre avec Madame Éloïse, car elle lui semblait
en mesure d'imposer et de décider par elle-même , du cheminement
de son esclave.
Bien qu'elle soit sévère
et dure, Pierre la devinait juste et rationelle, et cela lui plaisait.
Tout ainsi serait très clair entre eux, il obéirait, et
elle ordonnerait.
Après avoir réfléchit
à tout cela , Pierre s'endormit, du sommeil du juste.
Une page venait de se tourner dans
la vie de Pierre, il le savait , mais il ne se doutait pas de l'ampleur
de ce changement et jusqu'où, cela le mênerait.
Le contrat....
À son réveil, Madame
Éloïse s'affairait dans le donjon. Elle l'entendit bouger,
et vint le libérer de la cage.
" Bonjour mon esclave ", dit-elle.
"As tu bien dormi ?" Moi j'ai réfléchit toute la nuit à
ta requête, et je crois que j'ai trouver la manière de parvenir
à nous entendre." " Je t'en reparlerai, mais il n'en tiendra qu'à
toi de me prouver que tu feras un bon esclave."
" Lorsque je te sentirais prêt,
je te le dirai."
" Mais pour l'instant , contente toi
de me servir et de m'obéir, et apprends de toutes tes forces à
me satisfaire."
Pendant la semaine qui suivit, Pierre
exécuta sans dire un mot, les ordres de Madame. Il se comporta
en parfait serviteur, et il donna le meilleur de lui-même , pour
la satisfaire.
Mais un soir, comme elle regardait
la télévision dans le salon, et que Pierre était
enchaîné dans la cuisine , occupé à préparer
le petit déjeuner de Madame pour le lendemain, elle le surprit
à se masturber en cachette sans qu 'elle ne lui en ait donné
la permission.
Pierre, qui ne l'avait pas entendu
arrivé, fût confondu de cette malencontreuse initiative.
Il savait que Madame n'accepterait jamais que son esclave se comporte
ainsi.
Mais quelle ne fut pas sa surprise
lorsqu'il la vit sourire. Elle retourna au salon sans dire un mot, et
oublia semble-t-il cet évènement.
Le lendemain matin, à son lever,
Madame Éloïse , après qu'elle l'eut libéré
de sa cage, ne lui enleva pas sa cagoule immédiatement comme elle
avait coutume de le faire.
Elle lui ordonna de se tenir debout
sans bouger, les jambes légèrement écartées.
puis ses mains s'affairairent autour
de son sexe, sa taille, ses fesses , pendant plusieurs minutes. Puis elle
l'amena lui semblait-il au milieu du donjon. et lui attacha les mains
à une poutre.
Il devait se tenir sur la pointe des
orteils,car elle lui avait laissé le strict jeu nécessaire
pour qu'il ne puisse posé les talons sur le sol.
Il ne pouvait voir ce que Madame faisait,
mais il sentit la morsure du fouet sur ses fesses. " Voilà , pour
hier soir." "Tous les jours, pendant vingt jours , tu vas recevoir vingt
coups de fouet pour ta punition, cela t'apprendra à te toucher
sans ma permission."
"À chaque coup, je veux que
tu me remercie et que tu me jure que tu ne le referas plus."
Au deuxième coup Pierre se
cabra de douleur, mais il dit quand même, " Maîtresse , je
vous remercie de me punir , car je sais que je le mérite, et je
vous jure de ne plus jamais me masturber sans votre permission."
Un troisième coup , et un quatrième,
et ainsi de suite , jusqu'à ce qu'il s'effondre de douleur.
Elle le laissa ainsi suspendu pour
le restant de l'avant-midi, et elle ne revint le chercher que pour le
dîner.
Il avait les fesses toutes zébrées,
mais Madame Éloïse , fit comme s'il ne s'était rien
passé. Il reprit sa routine habituelle, et Madame ne lui en glissa
pas un mot.
Le lendemain matin, il recût
à nouveau la fouettée de Madame, et la routine poursuivit
son cours.
Pendant les vingt jours qui suivirent,
il recût sa punition comme promis ,et à chaque fois, il devait
demander pardon et promettre de ne plus se toucher sans la permission
de Madame.
Au fur et à mesure des jours,
il tolérait de plus en plus le fouet, mais il pouvait de moins
en moins s'asseoir, car ses fesses, ne parvenaient pas à se cicatriser
de fois en fois.
Comme elle le lui avait promis, elle
cessa la punition, après vingt jours, et ce matin là, elle
le laissa dormir plus longtemps que de coutume.
Mais au soir du vingt et unième
jour, elle le descendit plus tôt que d'habitude, dans le donjon,
et lui demanda de s'asseoir sur un petit banc qu'elle avait déposé
devant son propre fauteuil.
"Alors , esclave, qu'as tu appris
de ta punition?"
Pierre répondit, "Maîtresse,
j'ai appris que je ne devais pas toucher à mon sexe sans votre
autorisation, sous peine de subir votre colère.".
" C'est bien esclave, je crois tu
as bien saisis ce que tu dois faire." "Mais vois-tu, je reste dans le
doute."
"Je suis certaine que pour le moment
tu pense vraiment ce que tu dis, mais il se peut que plus tard, il ne
te revienne des idées et que tu tente à nouveau en cachette
de passer outre à mes ordres, aussi comme je n'aime pas fouetter
mon esclave pour rien, je préfère prévenir , plutôt
que de guérir."
"Donc , à partir de maintenant
tu vas devoir porter une ceinture de chasteté de façon permanente."
" Je te l'ai commandé sur mesure,
et elle vient juste d'arriver."
"Vas me chercher la boite sur la table
là.-bas , et ramème moi aussi la petite enveloppe qui est
à coté."
Pierre obéi , et ramena le
tout à sa Maîtresse.
"Ouvre la boite maintenant." Lui ordonna-t-elle.
Il sortit de la boite, un arsenal
de chaîne , et de métal, ainsi que plusieurs autres divers
petits paquets de différentes grosseur.
Madame, lui demanda de se retourner,
et lui fit ouvrir les jambes. Puis il dut passer les pieds à tour
de rôle entre les chaînes de la ceinture. Ensuite, Madame
Éloïse fixa à une bande de métal qui devait
lui passer entre la raie de ses deux fesses, un gode qui lui entrerait
profondément dans l'anus. Elle entra son pénis, dans un
tube spécialement conçu à cet effet, et lui remonta
la ceinture au dessus de ses hanches, et après s'être assurée
que tout était bien positionné, elle ferma le tout avec
une clef, sur le devant de la ceinture.
Pierre entendit tourner la clef dans
la serrure , et Madame Éloïse, passa la petite clef dans une
chaîne, qu'elle passa tranquillement , avec un geste théatral,
autour de son cou.
Pierre sentait dans son cul le gode
de métal froid et brillant, et il tentât de replacer son
pénis incomfortablement positionné entre ses cuisses, mais
il ne pouvait ni le toucher, ni même le déplacer.
" Voila, dorénavant je serai
certaine que tu ne te mastuberas plus sans ma permisssion,et que peu à
peu tu apprendra à contrôler tes pulsions."
"Mais Maîtresse, comment je
ferai pour aller aux toilettes."
"Pour uriner, tu n'auras pas de difficultés,
car tu n'auras qu'à t'asseoir sur le cuvette comme une femme. Il
y à un trou aménagé dans le tube qui retient ton
pénis, ce qui te permet de pisser, en tout temps. Mais pour défecquer,
tu devras venir me demander la permission, car tu ne peux enlever toi-même
le gode que je t'ai enfoncé dans le cul."
La ceinture toute d'une pièce
interdisait tout accès à ses parties génitales, et
lui interdisait même , de pouvoir obtenir une érection. car
celle-ci maintenait son pénis courbé entre ses deux jambes.
dans un tube complètement inaccessible et impossible à briser
ou à violer.
"Maintenant ,"dit-elle, "ouvre les
deux autres paquets."
Pierre obtempéra, et du premier
paquet, il sortit un collier de métal chromé, et qui se
refermait par une serrure du même type que celle de la ceinture
qu'il venait de mettre, et de l'autre il en extirpa deux bracelets du
même métal brillant.
" Ceci est mon cadeau." Dit Maîtresse
Éloïse, je veux que tu les portes en permanence, pour que
tout le monde sache que tu m'appartienne."
"J'y ai fait gravé mon nom
, et je veux que tu sois fier de m'appartenir.
"Mais, Maîtresse, " dit Pierre,"
vous savez bien que je vous appartient corps et âme, déjà."
" Oui Pierre , je le sais, mais je
veux que tous le sache aussi."
" Ils sont. très beau Madame,
et je vous en remercie, mais je ne pourrai plus sortir de votre résidence
ainsi entravé ."
" Bien sûr que tu pourras, tu
n'auras qu'à mettre un gilet à col roulé ainsi personne
ne pourra remarquer tes nouveaux bijoux. "
"Je les ai fait fabriqué spécialement
pour toi, j'espère ne pas être décue de mon initiative,
Je te laisse y réfléchir, encore quelques jours, mais rappelle
toi bien que c'est toi qui m'as supplié de faire de toi mon esclave
personnel, et j'entend bien que tu sache que cela comporte des obligations
de ta part. "
" Tu as jusqu'à 18h00 vendredi
soir pour me donner ta réponse, sinon , je te donne à Maître
Jack, et tu ne me verra plus jamais."
" Maintenant tu vas aller réfléchir
dans ta cage et ruminer sur ce que je t'offre."
Elle lui remit la cagoule, et le fit
entrer dans la cage, mais elle ne lui menotta pas les mains cette fois.
puis elle refema à double tour, et lui dit encore une fois.
"Réfléchis bien, mon
cher esclave, je ne te ferais pas une autre offre. Bonne nuit."
Pierre dormit peu cette nuit là,
et retourna dans sa tête les pours et les contres d'une telle proposition,
mais il savait bien tout au fond de lui-même qu 'il accepterait
de devenir l'esclave de Madame Éloïse, aussi , comme la nuit
souvent porte conseil, il se réveilla le lendemain matin, avec
la ferme intention d'accepter l'offre de Maîtresse Éloïse.
Comme il ne pouvait pas voir, à
cause de la cagoule sur son visage, et qu'il lui était impossible
de l'enlever , car elle était bien cadenassé , il ne pouvait
savoir s'il était tôt ou s'il faisait encore nuit . Dans
sa cage , il perdait à chaque fois la notion du temps. Et comme
il parvenait difficilement à bouger, vu l'étroitesse de
la cage, il enrageait parfois ,de ne pouvoir sortir et regarder le soleil
se lever ou se coucher sur le jour ou la nuit.
Le vendredi matin, Maîtresse,
vint le chercher. Elle semblait nerveuse, et irritable, mais elle ne lui
manifesta pas ses inquiètudes. Il reprit son service coutumier,
et il donna le meilleur de lui même. Ce matin là cependant,
Maîtresse Éloïse lui ordonna de lui embrasser les pieds
avant de monter au rez de chaussée.
Il obéit , un peu surpris de
cet ordre, mais il ne se posa plus de questions par la suite.
Peu après le dîner, Maîtresse
, lui annoncât qu'elle aurait des invités pour le souper,
mais qu'il n'aurait pas à servir, car il y aurait d'autres esclaves
prévus pour cela.
Elle le descendit au donjon avant
que les invités n'arrivent, et lui dit qu'elle reviendrait le chercher,
après qu'ils auraient terminé de souper.
Comme elle le lui avait promis, elle
revint un peu plus tard le chercher, et lui passa de nouveau des chaînes
aux chevilles , laissant libre ses poignets elle lui demanda de mettre
lui même le collier de posture autour de son cou, et d'y attacher
la laisse.
Il suivit sa Maîtresse, et elle
le conduisit, à la salle à manger, devant les autres invités.
Puis elle lui ordonna de s'agenouiller sur le sol, afin que tous puisse
bien le voir, dans la position de soumission, qu'elle lui avait apprise.
Il devait écarter un peu les genoux, garder ses mains derrière
son dos, baisser les yeux vers le sol, redresser les épaules, et
attendre sans bouger.
Maîtresse Éloïse
prit la parole.
" Ce soir, chers amis, je vais décider
si je prends possession de cet esclave, et si il est digne de me servir."
" Mais auparavant , il va devoir me
supplier de le posséder d'en faire ma propriété personnelle."
Je vous demande votre aide afin de juger s'il est digne de me servir et
si sa demande serait acceptable. "
Il y avait près de dix personnes
présentes, et Maîtresse expliqua à tous ,( c'étaient
tous des Maîtres et des Maîtresses, sauf le deux femmes qui
assuraient le service à la table),que Pierre serait celui qui aurait
l'honneur de la servir, et de lui appartenir. Elle relata , les circonstances
de leur rencontre, les dressages et ce qu'il avait jusqu'à ce jour
subit, et demanda à Pierre de s'adresser aux invités et
de les convaincre qu'il serait digne de devenir l'esclave de Maîtresse
Éloïse.
" Tu dois convaincre chacun et chacune
de tes bonnes intentions, et plaider en ta faveur leur permission. "
"Avance toi , à genoux, et
viens leur demander leur approbation."
Pierre , s'approcha du premier, et
posa sa tête sur ses bottes, puis il dit, " Maître , je vous
supplie de me permettre de servir Maîtresse Éloïse,
je serais obéissant, soumis, et je respecterai tous ses désirs
et je me ferai un devoir de l'honorer en esclave sincère et loyal."
Cela dit, il se déplaça et alla vers une des Maîtresses
présente. Puis il réitéras sa demande, et ainsi de
suite, jusqu'à la dernière des Maîtresses, qui lui
dit sur un ton sans réplique, " je veux bien te croire esclave,
mais je les connais moi, les esclaves, ils promettent bien des choses,
mais quand vient le temps de donner , et de se soumettre, il changent
d'avis et se rebellent."
"Prouve moi que tu es digne de mon
amie, ici devant tout le monde."
Pierre ne savait que faire, ,il dit,
en bégayant ,
"que dois-je faire Madame, "elle le
regarda, et lui dit, tu vas passer sous la table, et aller prendre dans
ta bouche toute les queues que tu verras , et les sucer bien à
fond, ensuite tu viendras et tu recrachera le sperme ainsi récupéré
dans ce bol ici à coté de moi."
Elle prit un bol à soupe inutilisé
et le posa sur le sol à ses pieds.
" Vas-y , maintenant si tu veux finir
un jour, "lui ordonna-t-elle.
Elle le poussa de sa botte jusque
sous la table, et Pierre chercha du regard un pénis qui surgirait
d'un pantalon.
Un des Maîtres présent
se trémoussa un peu et sortit son sexe de son pantalon de cuir,
et commença à se masturber doucement, puis un autre, et
un autre encore.
Pierre toujours à quatre pattes
fit à chacun une fellation et retournait à chaque fois recracher
le sperme dans le bol à coté de la Maîtresse en question.
Cela lui prit un bonne demi-heure pour parvenir à extraire à
chacun sa semence.
Lorsqu'il eut enfin terminé
,il revint vers la Maîtresse et attendit son verdict.
"C'est bien esclave, je vais m'assurer
que tu est bien sincère," Elle se leva, baissa sa petite culotte
de sous sa jupe, et dit à Pierre, "tu vas tenir le bol dans tes
mains et je vais pisser dedans, tiens toi bien droit et surtout n'en échappe
pas."
Pierre exécuta l'ordre , se
mit en position et recueillit l'urine de la femme dans le bol à
soupe . Un jet puissant gicla dans le bol et rapidement il fut rempli
à raz bord. La Maîtresse cessa d'uriner, et se rasseya sur
sa chaise.
Elle dit alors, "maintenant tu vas
boire ce bol, tout ce qu'il contient, et surtout n'en laisse pas tomber
une goutte."
Pierre tenta de regarder sa Maîtresse,
et vit qu'elle était d'accord avec son amie, aussi dut-il se résoudre
à avaler le mélange malodorant et infect que cette femme
lui avait concocté.
Lorsqu'il eut bu la mixture, il déposa
le plat sur le sol et attendit de nouveau que la Maîtresse exprime
son consentement.
" Quant à moi,"dit-elle, je
n'y vois pas d'inconvénient, et je crois qu'il sera un bon esclave,
il vient de me prouver ce dont il est capable, " "songe tu à lui
faire signer un contrat maintenant?"
"Oui , on vas passer au salon et j'ai
préparé le document et les cadeaux sont déja là."
Ils passèrent tous au salon,
les invités devant et Pierre qui suivait derrière eux sur
les genoux.
Maîtresse Éloïse
avait allumé de nombreuses chandelles,qu'elle avait posé
sur tous les meubles de la pièce. Cela créait un atmosphère
étrange et solonnel tout à la fois.
Elle amena Pierre près du foyer,
le feu crépitait derrière lui et lui agaçait les
sens. Tous installèrent leur fauteuil en cercle devant lui, et
Maîtresse Éloïse prit place en plein centre de cette
étrange assemblée.
Elle plaça devant elle une
table, et déposa sur celle-ci des documents, une plume, une lame,
et un chandelier. Puis elle prit un sceau,posa le collier et les bracelets
sur la table, et un des Maître dit, d'une voix forte
"Approche maintenant futur esclave."
"Marche à quatre pattes devant
ta reine".
"Tu vas répéter après
moi."
"MOI, PIERRE ST-CYR, JE JURE DEVANT
TOUS CEUX ICI PRÉSENTS , DEVANT DIEU ET DEVANT LA LOI, ICI REPRÉSENTÉ
PAR MAÎTRE JULES BOURRET, NOTAIRE, DE SERVIR , D'OBÉIR ET
DE ME SOUMETTRE TOTALEMENT , À MADAME ÉLOÏSE DE LASALLE,
À TITRE D'ESCLAVE , ET CE, POUR LA VIE ."
"JE RECONNAIS , QU'ELLE AURA TOUS
LES DROITS, QUE JE DEVRAI ACCEPTER ET SUBIR LES PIRES SÉVICES SI
ELLE NE JUGE PAS MON COMPORTEMENT ACCEPTABLE .QU'ELLE SERA SEULE JUGE
DE MES ACTES, ET QUE SON EMPRISE SUR MOI SERA TOTALE ET PERMANENTE."
Maître Jules, demanda à
Maîtresse Éloïse de se lever, et de poser sa main droite
sur ma tête, et lui demanda de repéter après lui.
"MOI , ÉLOÏSE DE LASALLE,
JE JURE DEVANT TOUS CEUX ICI PRÉSENTS , DEVANT DIEU ET
DEVANT LA LOI, ICI REPRÉSENTÉ
PAR MAÎTRE JULES
BOURRET, NOTAIRE, DE PROTÉGER,
DE POSSÉDER ET
DE SUBVENIR AUX BESOINS DE MON ESCLAVE,ET
DE
VEILLER À CE QU'IL SOIT SOUS
MA GARDE ET QU'IL N'
AIT PAS À SE SOUCIER DE BESOIN
MONÉTAIRE D'AUC-UNE MANIÈRE. JE LE DRESSERAI SELON MA VOLONTÉ,
ET J'ACCEPTE SON HUMBLE REQUÈTE."
Maître Jules prit la lame, et
dit à Pierre, " tends ton bras,"il entailla le poignet de Pierre,
et il versa son sang sur les document sur la table. Puis il fit de même
avec le bras de Madame Éloïse. Ensuite il demanda à
une des Maîtresse de bien vouloir mettre les bracelets et le collier
aux poignets et au cou de Pierre. Ce dernier entendit le "clic" que fit
la fermeture, et il sût , qu'à compter de maintenant il devenait
un esclave pour la vie.
Maître Jules lui tendit la plume,
et l'encrier, et il signa le document en contrebas des pages. Après
, Madame Éloïse contresigna elle aussi, et enfin le notaire
y apposa le sceau et sa propre signature.
Ceci terminé, Pierre fût
enjoint à se prosterner devant sa nouvelle Maîtresse et à
lui baiser les pieds en signe de soumission.
Maîtresse Éloïse
le releva, et le regarda cette fois dans les yeux, elle approcha son visage
du sien, et déposa sur les lèvres de Pierre un baiser langoureux.Puis
elle lui murmura à l'oreille, " je vais bien m'occuper de toi,
tu m'appartient maintenant, je vais te chérir et te protéger
ne t'inquiète plus."
Peu à peu les invités
quittèrent leur hôtesse, et la soirée se termina.
Maîtresse Éloïse,
demanda à Pierre de venir la retrouver dans sa chambre pour leur
première nuit.
Soumis pour la
vie.
Des marques perpétuelles....
Une autre journée, se terminait,
et Pierre, achevait de nettoyer la cuisine et de desservir le repas de
sa Maîtresse. Cette dernière, avait manifester le désir
de sortir pour la soirée, et avait ordonné à Pierre
de lui préparer son bain,et de sortir les vêtements qu'elle
porterait pour cette occasion.
Le téléphone sonna et
Madame répondit, car Pierre n'avait pas l'autorisation de prendre
les appels.
Pierre entendit sa Maîtresse,
parler à voix basse, et il ne rechercha pas à savoir ce
qu'elle disait à son interlocuteur.
L'appel terminé, Madame vint
voir son esclave et lui annonça, qu'elle l'amènerait avec
elle à son rendez-vous.
" Tu vas descendre au donjon, et te
préparer,"dit-elle. " Je vais aller te rejoindre, et je te choisirai
tes vêtements moi-même."
" Maîtresse, dois-je me laver,
auparavant?"
" Tu prends une douche, et tu te laves
les cheveux. Ensuite, tu te brosse bien les dents, et tu te rase , si
cela est nécessaire, à toi de voir."
"Pendant ce temps , je m'habille."
Pierre fit sa toilette comme Maîtresse
Éloïse le lui avait ordonné , et attendit sagement
l'arrivée de Madame.
Elle portait une jupe de cuir noir,
ouverte sur la cuisse, des escarpins de la même couleur , et un
bustier serré , qui lui relevait les seins et la poitrine. Par
dessus le tout, une blouse de tulle transparent, d'un rouge éclatant,
recouvrait ses épaules et son corps. elle avait noué les
deux pans de la blouse ensemble devant elle, et avait enfilé de
longs gants de latex rouge ,eux aussi.
Une longue natte de cheveux derrière
la tête et un maquillage , façon théatre, lui donnait
une allure sévère et dure.
Une large ceinture de cuir noir ,
décorée de centaines de rivets argent, venait achevé
son accoutrement.
" Comment me trouve tu?" Lui demanda
-t-elle.
" Maîtresse, cela vous donne
un allure plutôt sévère, mais cela vous va bien,"
répondit-il poliment.
" À toi , maintenant, voyons
ce qui t'irait bien."
Elle se dirigea vers la pièce
qui lui servait à garder les équipements, et elle ouvrit
un placard, qui contenait une panoplie de vêtements , des plus extravagants
au plus contraignants.
" Voilà , ce que tu vas porter."
Elle jetà sur le sol aux pieds
de son esclave, un corset de cuir noir, une jupette en paillette dorées,
des bas de nylon , des jarretelles, des escarpins avec des talons vertigineux,
et une blouse de satin du même rouge tapageur que la sienne. Puis
elle lui lui entra de force sur son crâne, une perruque blonde toute
décoiffée.
"Prends cela , et vas t' habiller,
pendant que je vais finir de me préparer. "
" Mais Maîtresse , je ne peux
pas mettre cela pour sortir, ce sont des vêtements de femme."
" Figure-toi donc , que je m'en étais
aperçue, " répondit-elle d'une voix irritée.
" Pour ce soir tu seras ma petite
pute, et c'est ce que j'ai décidé que tu porterais pour
cette occasion, et je ne veux plus en entendre parler."
" J'espère que je me suis bien
fait comprendre?"
" Oui Maîtresse , " répondit
Pierre, en baissant la tête.
Il ramassa les vêtements, et
alla s'asseoir à même le sol du donjon et s'habilla sans
plus dire un mot.
Maîtresse Éloïse,
revint vers lui, et lui demanda de se lever.
Elle vérifia si les jarretelles
étaient bien installées, lui ajusta la perruque , afin qu'il
ait le visage bien dégagé,
et lui ordonna de s'asseoir sur une
chaise, et avec du rouge pour les lèvres , de la poudre, du mascarat
, etc. Elle le maquilla outrageusement , elle lui mit un rouge à
lèvres provoquant, et exagéra sur la poudre , l'ombre et
le fard à paupière.
Puis pour terminer, elle lui peignit
les ongles avec un cutex rouge sanguignolant. Enfin, elle le parfuma de
la tête aux pieds.
Elle dit alors." Regarde toi dans
la glace, et admire la belle petite putain que tu es devenue."
Pierre se regarda dans le miroir et
vit en effet la transformation, et il pâlit de honte. Il revint
vers sa Maîtresse, et cette dernière qui l'observait lui
dit, " arrète toi là,
que je te regarde. "
" Il manque quelque chose, ça
ne vas pas."
" Ha oui ! Je sais, les seins, " dit-elle.
" Enlève ta blouse , je vais
remédier à cela."
Elle retourna chercher , une brassière,
et des prothèses en caoutchouc mousse, et avec lui fixa sur le
torse des bandes adhésives, qui fixerait les faux seins sur sa
poitrine.
Elle lui ordonna de ne pas bouger
, pendant toute la durée de l'opération. Ensuite elle vérifia
si le tout était bien fixé , et elle lui mit la brassière
qui maintiendrait les prothèses bien en place.
" Tu peux remettre ta blouse maintenant."
Cette fois, Pierre ressemblait vraiment
à une pute ,et les seins qui pointaient vers l'avant , lui donnait
un air vulgaire et provoquant tout à la fois.
" Enfin," dit Maîtresse Éloïse,
tu ferais un tabac , si tu faisais la "main"."
" Vas chercher, la laisse, mon fouet,
prends aussi les menottes et ta cagoule, mets tout cela dans un sac, car
il se peut que j'ai à m'en servir."
Ils sortirent de la maison, et pour
la première fois Pierre put admirer les environs et apprécier
la stature imposante de la résidence de sa Maîtresse.
Elle le conduisit au garage situé
derrière, et le fit monter dans la voiture et prendre le volant.
Elle s'installa derrière et lui dit, " suis mes instructions, je
vais te dire ou aller."
Il conduisit la voiture , sur une
bonne trentaine de milles et Madame lui indiquait la direction à
suivre.
Ils arrivèrent devant un entrepôt,
aux confins de la ville, dans un secteur abandonné , et Pierre
gara la voiture dans un immense stationnement désert.
Madame Éloïse , sortit
la première, contourna la voiture, et fit signe à Pierre
de descendre.
Elle prit la laisse dans le sac, la
fixa au cou de son esclave, et lui dit, " tu vas porter le sac , et marcher
derrière moi. "
Sous la lueur des réverbères,
ils traversèrent le stationnement de l'édifice, jusqu'au
portail d'entrée.
Madame Éloïse sonna, et
une jeune femme vint leur répondre.
" Est ce que je peux vous aider?"
Leur demanda-t-elle.
" Je voudrais voir Monsieur Gilbert."
" Ho ! Le monsieur du troisième,
oui je vois," répondit-elle en esquissant un sourire gèné
aux deux femmes.
" Je crois qu'il vous attendait."
" Je le crois aussi."
Elle referma la porte, et les précéda
jusqu'au troisième et s'arrêta devant une porte d'un des
bureau. Elle frappa doucement, et une voix cria, "qu'est ce que c'est?"
" Vous avez des visiteurs monsieur."
" Un instant , j'arrive."
La porte s'ouvrit, et un homme de
race noire les invita à entrer.
Dans la pièce qui faisait office
de vestibule, il y avait plusieurs personnes assises qui attendaient ,
Pierre ne savait quoi. Il y avait entre autre deux filles, à l'habillement
un peu bohême, et un couple de punk, vêtus de guenilles colorées.
Un paravent séparait le vestibule
d'une autre pièce.
L'homme leur indiqua des chaises,
et retourna derrière le paravent. Maîtresse Eloïse prit
un siège, mais Pierre resta debout , enchaîné par
sa laisse, que sa Maîtresse tenait à la main. Les gens les
regardaient d'un air étonné , mais personne n fit la moindre
remarque.
À tour de rôle, les personnes
qui étaient arrivées avant eux, passèrent derrière
le paravent.
Arriva enfin leur tour. Maîtresse
se leva, et la jeune fille les escorta jusqu'à une pièce
tout au fond de l'appartement.
L'homme noir discuta quelques instants
avec Maîtresse Éloïse, et Madame se retira.
"Toi , couche toi sur le ventre sur
la table, et ne bouge plus."Dit-il .
Pierre obéit et se coucha comme
indiqué sur une table comme on en voit dans le bureaux de médecins.
L'homme revint et lui ordonna d'enlever
sa jupe, puis il sortit d'une armoire, un appareil pour tatouer, et mit
en marche l'engin. Un grondement inquiètant envahit la pièce.
Il demanda à son assistante
de venir l'aider, et il commença à dessiner quelque chose
sur la fesse droite de Pierre.
Il attendit quelques instants, discutant
avec la femme, pendant qu'elle préparait des encres et nettoyait
l'appareil.
" Allons -y ", lui dit-il.
Pierre sentit au début une
vibration sur sa fesses, mais bientôt une douleur irradia sa fesses,
c'était comme si on lui avait passer du papier sablé sur
la peau.
Cela se poursuivit pendant presqu'une
heure. de temps à autre son assistante essuyait le sang , et changeait
les aiguilles du graveur.
Lorsqu'il eut terminé , il
badigeonna le tatouage avec un tampon, afin de bien nettoyer la plaie.
Puis il fit venir Maîtresse Éloïse , pour lui montrer
les résultats.
Elle examina le dessin, et se montra
satisfaite.
" Dans combien de jours est-ce que
ce sera guéri?" Demanda-t-elle.
" Il faut attendre une quinzaine de
jours , avant d'appliquer une autre couche de couleur, revenez , dans
un mois, et je vais finir le travail."
" On s'en va, rhabille toi, et vas
m'attendre dans l'entrée." Lui ordonna-t-elle.
Pierre ne se le fit pas dire deux
fois, trop heureux de quitter cet endroit.
L'assistante les raccompagna, jusqu'à
l'entrée principale, et Pierre suivit sa Maîtresse .
Cette fois , elle lui demanda de s'asseoir
à l'arrière du véhicule , et elle prit le volant.
La douleur sur sa fesse persistait,
et il se demandait ce que Maîtresse Éloïse avait bien
pu lui faire tatouer .
La voiture roulait à vive allure,
Maîtresse se dirigea vers le centre-ville.
Elle suivit une rue achalandée,
et s'arrèta devant une boutique de sexe bien connue.
Ils sortirent de la voiture, et dit
à Pierre, "attends moi sur le trottoir, je te ferais signe d'entrer.
Pierre aurait aimé disparaître
sous le trottoir, tant sa position était embarassante . Vêtu
comme une prostitué ,juché sur ses talons, avec cette ridicule
perruque blonde sur la tête, et si seulement il n'y avait eu que
cela, mais la laisse qui pendait à son cou, ses bracelets et le
collier, l'humiliait bien davantage. Tous les passants se retournaient
et le regardait en rigolant.
Il y eut même un homme qui s'approcha
de lui, et qui demanda, "combien tu prends ma poulette , pour une heure?"
Pierre bégaya quelques mots, et se mit à pleurer.
Mais sur les entrefaites, Maîtresse
, sortit de la boutique, et lui demanda d'y entrer.
Une commis le conduisit , par un escalier,
à l'étage supérieur, et lui enjoignit de s'asseoir.
Maîtresse vint les rejoindre,
et toutes deux discutèrent , comme de vieilles amies.
" Viens içi Pierre, lui ordonna-t-elle,
tournes-toi, et montre ton tatouage."
Son amie examina attentivement le
dessin, et toucha la fesse de Pierre , pour voir si c'était bien
sensible.
" Il en à pour deux bonnes
semaines , avant que ce soit guéri. "
" Oui, c'est ce qu'il m'a dit." Répondit
Maîtresse Éloïse. .
" Que puis-je faire pour toi Éloïse,"
lui demanda-t-elle.
Maîtresse s'approcha de l'oreille
de son amie, et lui murmura quelque chose tout bas.
" Oui , je vois, j'ai ce qu'il te
faut, suis moi. "
Elle revint , de l'arrière
boutique, avec à la main , deux sacs, dont un très lourd,
et un second plus petit.
" Combien pour le tout, "demanda-t-elle
à la femme.
La commis prit la main de Maîtresse,
et lui dit, " On discutera de prix une autre fois. Il est tard et je dois
fermer, reviens me voir, et on s'entendra sur un prix, disons la semaine
prochaine, ça te vas? "
"Oui , d'accord, la semaine prochaine.
Elle donna à Pierre la tâche
de porter les sacs jusqu'à la voiture, et le fit à nouveau
monter derrière , et elle retouna vers la maison.
Elle ordonna à Pierre de se
coucher tout au fond de la voiture, pour la durée du trajet.
Il se déshabilla de lui même
, devant sa Maîtresse, puis il entra dans sa cage , car il se faisait
tard .
Elle referma la porte de la cage,
ou il passa la nuit.
Des bijoux intimes....
Le tatouage de Pierre avait finalement
cicatrisé, et Madame Éloïse, lui avait permis de regarder
le travail de l'artiste.
En fait ce n'était pas vraiment
un dessin , mais plutôt un pictogramme. Un genre de blazon en forme
d'écu, avec le nom de Maîtresse, inscrit à l'encre
rouge , dans la partie inférieure.
En plus petite lettres, on pouvait
y lire, les mots," JE SUIS UN ESCLAVE ET J'APPARTIENT À " et suivait
le nom de Maîtresse, " MADAME ÉLOÏSE
DE LASALLE".
Tout cela était inscrit sur
un fond de couleur jaune bordé d'un liséré orangé
. Cela était simple, mais très bien exécuté,
et sans fioritures. Le texte était bien lisible, et le message
clair et explicite. Un fouet était dessiné sous le blazon,
et la signature de Madame se lisait dans la continuité de la forme
imprimé au dessin.
Pierre , ne pouvait admirer le dessin
que dans un miroir, et ne pouvait lire correctement les inscriptions,
car le dessin lui apparaissait inversé dans la glace.
Madame l'avait marqué à
sa propriété et ce , de façon indélébile.
Une fierté l'avait envahit,
car il savait maintenant qu'elle l'avait enfin accepté comme son
esclave, et il en était fier.
Mais quelques semaines après
, Maîtresse, le conduisit de nouveau chez le même tatoueur,
pour rafraichir les couleurs du dessin, et améliorer les détails
manquants.
Il passa de nouveau sur la table,
et cette fois cependant le tatoueur lui attacha les mains et les pieds
aux quatres extrémités du meuble. Il l'avait installé
sur le dos, entièrement nu , à l'exception de sa ceinture
de chasteté.
Pierre ne comprenait pas l'utilité
d'une telle mesure, mais Maîtresse Éloïse lui dit de
se tenir tranquille . Elle lui mit un baillon, dans la bouche, et l'homme
passa
sur son torse une large ceinture de
cuir , qu'il fixa fermement de chaque coté de la table, et une
autre sous son menton, qui lui retenait la tête bien immobile, et
enfin il attacha chacunes de ses cuisses solidement en lui écartant
les jambes avec des courroies qu'il serra à des attaches aux cotés
.
Il devenait impossible pour Pierre
de bouger le moindre de ses membres, tant il était solidement fixé.
Maîtresse , lui enleva sa ceinture
de chasteté et Pierre se sentit tout drôle. En effet il y
avait des semaines que son sexe se trouvait confiné dans cet écrin
de sûreté, et le simple fait de sentir son sexe manipulé
par des mains étrangères, lui amena une érection.
L'homme se mit à rire, ainsi
que Maîtresse, et cette dernière lui dit, " tu es en manque
je crois."
Elle se retourna vers l'homme , et
lui demanda , "pense tu que j'ai le temps de lui donner un petit plaisir?"
"Bien sûr, prends tout ton temps,
j'ai encore bien des choses à préparer auparavant."
" Il y à des papiers mouchoirs
dans le tiroir, si tu en à besoin."
Maîtresse saisit le sexe de
Pierre, et le masturba jusqu'à ce qu'il ait un orgasme. Il inonda
la main de sa Maîtresse, et dans un suprême effort , il parvint
à ne pas crier sa jouissance trop bruyamment, malgré le
baillon dans sa bouche.
Elle essuya le sperme de sa main,
lui nettoya le sexe , et le recouvrit d'un drap afin qu'il n'ait pas trop
froid.
L'homme arriva enfin. Pierre malgré
sa posture immobile commencait à s'assoupir.
Maîtresse le sortit de sa torpeur,
avec deux bonnes claques bien appliquées dans le visage.
" Réveille toi," dit-elle.
"On va passer aux choses sérieuses."
Un bassin sur la table contenait divers
outillages et une odeur de désinfectant montait aux narines de
Pierre.
L 'homme prit le sexe de Pierre dans
sa main et l'examina attentivement, puis avec un marqueur au feutre, il
y indique des points de repères.
Il saisit ensuite une seringue, et
enfonça l'aiguille sous les testicules et une autre juste dans
le muscles encore flasque de son pénis, et il attendit.
"Ce ne sera pas long , " dit-il ,
en se retournant vers Maîtresse Éloïse.
En effet, Pierre ne sentit bientôt
plus son sexe.
Le tatoueur, prit alors une pince,
comme un emporte pièce, et perça le sexe de Pierre de part
en part de son gland. Cela saignât abondamment, et l'homme épongea
le tout jusqu'à ce que le flux ne cesse. Ensuite il se hâta
de désinfecter la plaie, et passa un anneau de métal brillant
qui trempait dans le bol , dans le trou qu'il venait de percer.
Il referma l'anneau, et un clic sonore
se fit entendre. il vérifia à nouveau la solidité
de l'anneau ainsi installé, et satisfait de son travail, il dit,
"cela sera long à cicatriser, et il faudra que tu le désinfecte
tous les jours."
Il entortilla un bandage autour du
sexe de Pierre, et Maîtresse Éloïse lui remit sa ceinture
de chasteté.
L' homme qui la regardait faire, dit,"c'est
une bonne idée , cette ceinture, comme cela il ne pourra pas toucher
à son pénis, et cela vas l'aider à guérir
plus rapidement."
"Ok, On vas terminer ce pourquoi tu
es venue."
Il reprit à nouveau la seringue,
et cette fois, il piqua tout autour des mamelons de Pierre.
Il injectait de petites quantités
d'anesthésiant, pour s'assurer que ses mamelons soient bien insensibles.
Il perça chacun des bouts des
mamelons, et leur inséra respectivement le même genre d'anneau
qu'à son pénis.
Cela saignât cependant moins
que précédemment. Pierre ressentit quand même la douleur
dans sa chair. L'homme s'empressa de lui insérer les anneaux dans
chacunes des ouvertures. et il les referma.
Maîtresse Éloïse
, s'approcha de son esclave, et de sa main droite, elle vérifia
elle-même la solidité des anneaux.
" Hé bien je crois, Manius,
que tu as fait du bon travail." "Je suis satisfaite."
Ils passèrent au petit comptoir,et
Maîtresse Éloïse paya le tatoueur.
Pierre fut libéré de
ses liens, et suivit sa Maîtresse.
"Avant de partir, tu vas remercier
Manius pour sa gentillessse envers toi, à genoux, et fais lui une
bonne pipe. je pense que c'est la moindre des choses," dit-elle à
Pierre .
Pierre s'exécuta et prit le
pénis de l'homme dans sa bouche. et le suça . Le sexe de
l'homme était immense, c'était la première fois que
Pierre voyait un pareil engin.
Son orgasme lui inonda le visage de
sperme, et Pierre reçut un jet brûlant au fond de sa gorge,
il faillit s'étouffer, et c'est pour ca que Pierre ,qui avait retiré
le sexe de l'homme de sa bouche, venait d'en reçevoir, les dernieres
éclaboussures aux visage.
Lorsqu'il eut consommé le sperme
de l'homme en sa totalité , comme sa Maîtresse le lui avait
ordonné,
il attendit près de l'entrée
que Manius et Maîtresse Éloïse quitte la boutique.
Maîtresse amena avec elle Manius,
jusqu'à la maison.
Pierre dût prendre place dans
le coffre arrière de la voiture, et y faire le voyage.
Maîtresse le libéra de
la malle et il les suivit jusqu'à la chambre de sa Maîtresse,
et elle l'enchaînà , au pied de son lit, et lui posa un baillon
.
Peu de temps après, elle et
Manius, vinrent se coucher et Maîtresse et l'homme firent l'amour
comme des bêtes toute la nuit.
Au petit matin, ils se levèrent
et Pierre dût de nouveau honorer l'amant de sa Maîtresse.
Puis ils redescendirent tous ensemble,
et Pierre prépara le déjeûner et le leur servit.
Manius quitta Maîtresse Éloïse,
et cette dernière le remercia de nouveau pour son bon travail.
"Dans ta cage maintenant, esclave",
dit-elle, "je dois sortir et aller me faire coiffer".
Pierre decendit au donjon, et Maîtresse
le suivit.
Elle le menotta solidement, par les
poignets et par les coudes, et lui enfonça un "butt plug" profondément
dans l'anus, lui passa une cagoule et lui inséra un gros baillon
entre les dents. Il entra dans sa cage , et Maîtresse referma la
grille derrière lui, et barra à double tour.
Son pénis et ses seins retrouvaient
peu à peu de leur sensibilité et une douleur sourde et profonde
envahissait sa chair. Il ne pouvait crier.
Il s'enfonça dans un sommeil
profond, car la fatigue accumulée de la dernière nuit ,les
évènements récents ainsi que ses blessures avaient
eu raison de sa résistance physique.
Des vacances à la ferme.
Dans la semaine qui suivit, Maîtresse
Éloïse, surveilla de près la guérison de son
protégé.
Tous les jours, à chaque matin
et chaque soir, elle désinfectait et nettoyait ses plaies , et
voyait à ce que les bijoux soient bien incrusté dans ses
chairs.
La cicatrisation avançait et
bientôt la douleur cessa . Le bout de son pénis était
encore un peu sensible, mais il pouvait désormais uriner sans se
tordre de douleur.
Lors d'une séance de nettoyage,
elle lui dit, qu'ils partiraient bientôt faire un petit voyage ,
car disait-elle, elle voulait se reposer , et voulait profiter de l'été
qui allait se terminer.
"Je vais aller faire un tour à
la campagne , chez une de mes amies, et je vais t'emmener avec moi. "
"Durant cette semaine là,
je te ferai découvrir de nouveaux plaisirs".
" Tu vas faire les bagages, et dès
demain matin , on part".
" Je vais te faire une liste de ce
que j'ai besoin, et tu prépareras un petit lunch pour la route,
car nous devrons manger en chemin".
"La campagne te feras du bien, tu
en as bien besoin". Si je veux que mon esclave reste en bonne santé
, il faut bien qu'il prenne l'air quelquefois".
Pierre , fit les baggages et ramassa
les affaires que Madame voulait apporter avec elle , lors de son périple.
Elle lui avait , en effet , préparer une longue liste de choses
à préparer et à nettoyer avant de partir. .
Il devait aussi voir à nettoyer
la maison avant leur départ, et celui lui prit presque toute la
soirée.
Elle voulait partir tôt le matin
et Pierre eut toutes les peines du monde à terminer les tâches
qu'elle lui avait ordonné d'accomplir, avant le départ.
Pendant ce temps, Madame, regarda la
télévision et lu pendant une bonne partie de la soirée
dans le salon. À l'occasion elle venait vérifier le travail
de Pierre, pour s'assurer qu'il n'oubliait rien.
Elle gardait à la main sa cravache,
et l'encourageait parfois du bout de son instrument. Mais Pierre était
beaucoup trop surchargé de travail pour se préoccuper de
la cravache. Il était en sueur , celle-ci coulait sous ses aisselles
et dans la raie de son fessier.
Maîtresse s'amusait du spectacle.
De le voir ainsi , nu comme un ver, portant sa ceinture de chasteté
à la taille, ses deux anneaux se balancant au bout de ses tétons
ainsi que son tattou sur la fesse , cela lui montrait à quel point
le pouvoir qu'elle détenait sur cet esclave était valorisant
pour elle .
Elle était fière de
son travail, et elle de ce qu'elle avait réalisé avec son
nouvel esclave.
Son vieux rêve , s'était
enfin concrétisé. Elle possédait son propre esclave,
et pouvait l'utiliser comme bon lui semblait à sa propre guise.
Pierre était exténué,
et dès qu'il eût terminer de préparer les baggages
et qu'il eût nettoyer la maison de fond en comble, il alla au salon
, ou sa Maîtresse se prélassait dans son fauteuil favori,
et il entra doucement et vint s'agenouiller devant elle.
"As-tu terminé", lui demanda-t-elle.
"Oui Maîtresse, est-ce que je
pourrais aller me reposer, s'il vous plait Maîtresse? J'aimerais
être en forme pour voyager avec vous demain, et j'ai besoin d'une
bonne nuit de sommeil."
" Tu as parfaitement raison, ma petite
"LULU" , tu vas descendre dans ta cage, et je vais aller la fermer après
cette émission, entres-y bien sagement, , mets ta cagoule, serres
la bien, et n'oublies pas les menottes, tu sais , celles de police, tu
les passes derrière ton dos, attends moi je ne serai pas longue".
"Allez, vas, que je ne te vois plus ". Dit-elle en souriant et en le poussant
gentiment du bout de son pied.
Pierre allait descendre. "Un instant",
dit-elle, "tu n'aurais pas oublier quelque chose"?
Elle tendait devant elle son pied,
et Pierre embrassa tendrement le pied tendu vers lui, et remercia sa Maîtresse,
une dernière fois avant de descendre.
"Ouste!, descend maintenant , je veux
finir de regarder mon émission, et tu me dérange".
Une nouvelle page venait de tourner,
Maîtresse Éloïse lui avait choisi un nouveau nom, et
Pierre savait dans son for intérieur ce que cela signifiait.
Il descendit au donjon et fit comme
Maîtresse lui avait ordonné, et referma la porte avec ses
pieds derrière lui. Beaucoup plus tard, Maîtresse Éloïse
vint vérifier et fermer la porte de la cage, mais son esclave dormait
déjà. Elle ne le réveilla pas, elle le regarda dormir
et un sourire de satisfaction et de bonheur lui vint au lèvres.
Elle aimait bien son esclave et elle s'y attachait de plus en plus. Elle
remonta tranquillement se coucher elle aussi.
Tôt , le lendemain matin, Maîtresse
Éloïse, vint reveiller Pierre .
"Allez, debout , ma petite Lulu, "
lui ordonna-t-elle.
Elle lui ordonna de se laver et de
bien s'assurer qu'il était parfaitement glabre de tout poils, puis
elle le laissa se débrouiller pour le déjeûner.
Ils redescendirent au donjon, et Maîtresse,
lui mit un collier de métal autour du cou, qu'elle referma avec
un cadenas, ensuite, elle lui mit un gode bien enfoncé dans son
intérieur, fixé à sa ceinture de chasteté,
et lui demanda de s'habiller.
Pierre dût enfiler un gilet
de laine blanche, et mettre un pantalon moulant, et chausser des botillons
à talons comme ceux de nos grands mères. Elle lui donna
une large ceinture de vinyle noir pour passer autour de sa taille, et
il dut mettre sa perruque et se maquiller comme elle le lui avait apprit.
"Wow, tu es belle à croquer,
ma Lulu," dit-elle.
Elle portait pour l'occasion une tenue
décontractée. Pierre s'occupa des baggages, et il les mit
dans la malle de la voiture, et attendit que sa Maîtresse ferme
la maison, et ils partirent. Elle fit assoir Pierre à sa droite,
et elle prit le volant.
Pierre n'osait demander quelle était
leur destination, et attendit que Maîtresse Éloïse daigne
prendre la parole la première.
"Mets la radio ", lui dit-elle. Puis
elle lui demanda si ses nouveaux anneaux étaient douloureux, et
s'il se sentait comfortable avec ceux-ci.
Tout au long du voyage, Pierre ne
dit mot, si ce n'est pour répondre à sa Maîtresse
, lorsqu'elle lui donnait un ordre , ou qu'elle lui demandait de faire
quelque chose.
Sur la route, ils firent un arrêt
pour satisfaire leurs besoins et prîrent un léger repas dans
une halte routière.
Pierre laissa à sa Maîtresse
le soin de commander le repas, et il dût s'asseoir et attendre que
celle-ci daigne lui donner la permission de manger.
Ils reprirent la route, et ce ne fût
que tard dans la soirée qu'ils arrivèrent à destination.
Maîtresse Éloïse
stationna la voiture, ouvrit la malle arrière, et ordonna à
Pierre de transporter le baggages à l'intérieur.
L'endroit, semblait être une
ferme, car Pierre apercevait une grange, une écurie , ainsi que
de nombreux autres bâtiments.
"Tu attends dehors", lui dit sa Maîtresse,
"les esclaves ne sont pas authorisés à pénétrer
à l'intérieur". "Dépose les valises, sur la galerie,
quelqu'un se chargera de les monter à ma chambre".
Elle entra dans la maison, et Pierre
attendit sur le perron que sa Maîtresse revienne s'occuper de lui.
Près d'une heure avait passée
lorsque Maîtresse Éloïse ressortis de la maison.
Elle avait pris le temps de se changer,
et elle avait revêtu une tenue plus légère et comfortable.
Elle lui passa une laisse à
son collier, et le tira vers la grange, derrière elle.
Avant d'entrer, elle lui ordonna de
se déshabiller complètement, puis ils entrèrent.
Tout au fond, , derrière un
porte, un espace avait été spécialement aménagé
pour créer un genre de donjon , mais surtout pour permettre de
loger des esclaves.
Trois autres esclaves étaient
enfermés dans des cages individuelles, à genoux ou couché
sur de la paille qui leur servait de matelas.
Maîtresse Éloïse
ouvrit la dernière des cages et le fit entrer. puis elle ferma
la serrure par un cadenas,
Ensuite elle glissa dans un ouverture
situé sous les barreaux de la porte, un bol d'eau pour la nuit.
Elle tourna les talons et quitta la
pièce en fermant la porte soigneusement.
Malgré la noirceur, de la nuit,
Pierre vit qu'il n'y avait pas de poignées sur la porte par l'intérieur.
On voulait être certain que les esclaves ne cherchent pas à
s'enfuir.
Pierre se coucha sur la paillaisse
de sa cage et essaya de dormir.
Il entendait les autres esclaves qui
s'agitaient dans leurs cages respectives, et il s'endormit profondément..
Tôt le lendemain, une femme
vint les réveiller, et frappant sur les cages avec un bâton
de fer.
"Debout la-dedans", criait-elle, "allez
on se lève".
Elle portait une tenue de cavalière,
avec des bottes aux genoux, des éperons aux talons, et elle tenait
à la main une fine cravache, qu'elle frappait à répétition
sur le cuir de ses bottes.
Les autres esclaves semblaient savoir
de quel bois elle se chauffait , car ils ne dirent pas un mot, et se hâtèrent
de sortir de leur cage.
Elle fit aligner les esclaves debout
face contre un mur , et elle fit une inspection minutieuse de leur personne.
Elle donnait parfois un coup de cravache par çi par là,
et tâta chacun de leurs postérieur, comme pour s'assurer
de leur fermeté.
"Tout le monde dehors, et au galop",
criat-elle de nouveau, tous s'exécutèrent et tout le monde
se retrouva dehors sous un soleil resplendissant.
Elle nous dirigea vers une auge de
bois dans la cour , et les esclaves durent s'agenouiller et boire tous
ensemble en lappant ,dans l'auge.
Lorsque tous eurent terminé
, on revint devant le bâtiment, et la femme leur ordonna de se tenir
droit, et de ne plus bouger.
Maîtresse Éloïse
arriva , avec d'autres Mâitres et Maîtresses , et elle se
dirigea vers Pierre, et lui dit , " ma belle petite LULU, pour aujourd'hui
je vais commencer tout doucement, et je vais me faire aider par Maîtresse
Star, elle saura mieux que moi ce qui te conviendra pour ton entrainement.Mais
je vais tenter d'apprendre moi aussi.
Maîtresse Star vint la trouver,
elle regarda Pierre, lui ouvrit la bouche, examina ses dents, son cul
, ses muscles, ses pieds, et se tourna vers Maîtresse Éloïse,
et dit, " je crois qu'il fera très bien l'affaire, il est en bonne
forme, et il est bâti solide". " On vas commencer par lui mettre
un mors, et puis je vais te montrer comment le diriger avec les rênes.
Elle revint avec un harnais de tête,
un mors de caoutchouc, et une paire de rênes.
Elle fixa le tout sur la tête
de Pierre, et recula avec les rênes en main, et cria "hue Lulu".
Pierre comprit que c'était
à lui qu'elle s'adressait, et avança tranquillement.
Il sentit claquer les rênes
sur son dos, et il prit de la vitesse, mais elle tira soudain le rêne
droit, et il faillit s'arracher la joue et il tourna malgré lui
dans la direction indiquée.
" Voilà comment il faut faire",
dit-elle à Maîtresse Éloïse, " tu dois constamment
avoir le contrôle, c'est toi qui commande , et qui dirige".
Elle tira d'un coup sec sur les deux
rênes et Pierre dût s'arrêter pile, car le mors lui
auraient arracher la commissure des lèvres.
" À ton tour maintenant, et
ne te gênes pas , il lui faut de l'autorité, sans cela il
finira par te contrôler".
" Fais le tourner dans la cour, dans
un sens et dans l'autre, puis tu le fait arrêter, repartir, et ainsi
de suite, jusqu'à ce qu'il ait bien compris .
Ensuite on lui mettra un vrai harnais.
et on le fera trotter, et je lui apprendrai à marcher comme un
vrai poney.
Tout l'avant midi, Pierre se pratiqua
à marcher et à tourner dans la cour de la grange.
Sa bouche lui faisait mal, car le
mors tirait continuellement sur ses lèvres, et il ne pouvait fermer
la boucher ni le recracher.
Maîtresse Éloïse,
semblait beaucoup s'amuser, et elle prenait de plus en plus de plaisir
à le faire arrêter, brusquement, et devenait plus stricte
avec les rênes.
Le jeu cessa pour le dîner et
Pierre put enfin se reposer quelque peu. On lui apporta pour dîner
un sac de moulée dilué dans de l'eau, et on le conduisit
à l'auge pour qu'il puisse se désaltérer.
Après le dîner, Maîtresse
Star, revint et lui fit passer un harnais, qui lui entourais la taille,
lui passait entre les fesses et lui remontais dans le dos jusqu'au cou
par un collier, sur le devant du torse une large bande de cuir de laquelle
partait d'autres lisières de cuir qui lui ceignait tout le corps.
et les bras.
Lorsque tout fut bien mis en place,
et que le harnais fut bien serré , les bras de Pierre se retrouvèrent
fixés au harnais, et il lui était impossible de les utiliser
et de les bouger.
Ensuite , elle lui passa un harnais
sur la tête, mais celui-ci cette fois était retenu au collier
du harnais, et portait des oeillères de chaque coté de son
visage, ce qui l'empêchait de voir de chaque coté de lui,
il ne pouvait que regarder devant lui.
" Les oeillères " dit-elle,
"vont l'empêcher d'être distrait par ce qui se passe ailleurs,
cela le forçera à se concentrer sur ce que tu lui demande.
le mors dans sa bouche deviendra ses yeux, et tes yeux. " Je vais lui
mettre un mors plus sévère, ainsi , il sera très
obéissant à tes ordres , tu verras".
Elle ouvrit la bouche de Pierre, et
y cala profondément un mors de métal froid, et lui passa
la langue entre les deux parties du mors dans sa bouche. Cela lui touchait
presque le fond de la gorge, et il pouvait le recracher, ni parler, car
sa langue ne parvenait plus à bouger. Elle fixa solidement le mors
par un lanière sous son menton .et d'autres qui lui passaient de
chaque coté de son nez , pour se rejoindre sur son front et ensuite
se rattacher à son harnais de tête. Puis elle poussa le mors
dans sa bouche et le rattachant derrière son cou à des anneaux
à son collier, ce qui le forcait à garder le menton relevé
et le cou bien droit.
"Tu vois", dit-elle , "les oeillets
de chaque coté du mors", tu vas y fixer les rênes , c'est
par là que tu vas le diriger . Comme il ne peut plus baisser ni
tourner la tête, c'est à toi de lui montrer ou il doit aller,
et s'il se rebiffe, tu n'as qu'a`tirer sur les rênes, et crois moi
le mors qu'il porte le rappellera immédiatement à l'ordre
".
" J'aimerais que tu le fasse galoper
un peu, et ensuite tu le feras aussi trotter" , " je reviendrai pour voir
comment tu te débrouilles".
Maîtresse Éloïse,
prit les rênes, et conduisit Pierre dans une arène à
l'intérieur d'un grand caroussel, elle saisi en passant un long
fouet, et tenant les rênes à bout de bras, elle ordonna à
Pierre de commencer à marcher, elle se tenait derrière lui
pour débuter, et au fur et à mesure elle lui donna de plus
en plus de jeu. À chaque fois que Pierre faisait un mauvais geste
, ou qu'il n'anticipait pas assez les désirs de sa Maîtresse,
un cou de fouet sur la croupe venait le ramener à l'ordre, et son
mors claquait douloureusement dans sa bouche. Le métal du mors
tapait durement sur le palais supérieur,et comme il ne pouvait
le recracher, il devait absolument alors, suivre la direction voulue sans
quoi, le mors lui arracherait la langue et briserait son palais en lui
déchirant le coin des lèvres, il avait donc tout intérêt
à réagir àdéquatement à chacunes des
commandes données sur le mors.
Pierre commençait à
comprendre et à sentir le pouvoir d'un mors et il abdiqua totalement
devant cet intrus dans sa bouche, il chercha donc à prévoir
et à attendre sagement chacunes des secousses que sa Maîtresse
donnait à ses rênes, et à obéir immédiatement
afin de ne pas souffrir inutilement .
Maîtresse Eloïse prit un
moment de repos, et Maîtresse Star, prit sa relève.
"Allez Lulu, maintenant on va voir
ce dont tu es capable", le fouet frappa sêchement ses fesses, et
Pierre se mit en route. Il détala comme le vent, et son entraineuse
en resta agréablement surprise, mais elle se prit au jeu , et tout
en demeurant tout au centre de l'arène, elle fit galoper Pierre
de plus en plus rapidement tout autour d'elle. Elle l'incitait avec le
fouet, sur les jarrets, les fesses , son dos et sus les cuisses, jusqu'à
ce qu'il s'écroule de fatigue sur les sol sablonneux de l'arène.
Il bavait et suait à grosses
gouttes, mais Maîtresse Star lui intima l'ordre de se relever, et
de continuer encore. "Allez Lulu , on n'a pas terminé " elle le
frappa à plusieurs reprises, et tira sur ses rêves pour le
forcer à se relever, et malgré lui , Pierre dut reprendre
son entrainement.
Mais cette fois , il ne dut que trotter
doucement, et faire de nombreuses haltes , repartir, arrêter encore,
tourner à gauche , à droite, marcher droit devant, et reculer
droit derrière aussi. Elle maniait les rênes avec dextérité
, et aussi le fouet. Elle savait ou et quand frapper, et Pierre en sentait
la brûlure , que quand il ne réagissait pas comme elle l'entendait.
Elle se tourna vers Maîtresse
Éloïse, et dit" voila, ce sera assez pour aujourd'hui, demain
on passera à autre chose, tu vas aller le brosser et le nettoyer,
tu lui donnera de l'eau, et tu le feras se reposer, avant de le nourrir".
" En tant que propriétaire
, c'est à toi de voir à ce qu'elle se sente bien, et qu'elle
soit en bonne forme".
" Pour la laver , tu prendra le boyau
dans la grange et tu l'arrosera copieusement, ensuite nettoie lui bien
les fesses, tu lui enlève son harnais, et après je vais
t'aider à lui passer son licou.
Maîtresse Éloïse
conduisit sa jument dans la grange , la lava à l'eau froide et
la fit entrer dans une stalle avec de la paille fraiche sur le sol. Elle
lui enleva ensuite son harnais, et lui donna de l'eau fraîche dans
une gamelle fixée au mur de la stalle, à la hauteur de sa
bouche.
Maîtresse Star arriva et elle
débarassa Pierre de son harnais de tête, mais lui laissa
son collier, et puis elle prit un licou, et une bride en gros cuir épais
qu'elle cadenassa sur son cou en la lui passa sur la tête et l'attacha
à une longue chaine qu'elle cadenassa encore à un anneau
fixé au mur de la stalle devant lui.
Ainsi Pierre ne pouvait sortir de
la stalle, ni enlever sa bride, car tout était bien cadenassé
et barré.
Maîtresse Éloïse
ferma la porte du box, emplit son auge de moulée et la lui donna
,et elle laissa son esclave à lui même pour la nuit.
Pierre qui avait très faim
dut se résoudre encore une fois à manger la moulée,
car il sentait que ce sera là ,sa seule nourriture pour la durée
de son séjour dans cette écurie.
Cela avait un goût de céréale,
et lui rappelait son époque de vie libre.
Il mâchouillat cette nourriture
sans grand intérêt, et bu surtout beaucoup d'eau. car en
fait il avait très soif, et il était totalement déshydraté.
Il avait mal aux jambes, et tout son
corps était endolori. L'eau lui fit du bien et soulagea la douleur
dans sa bouche causé par le mors. Il se coucha dans la paille ,
pour dormir, mais une envie urgente le prit,et malgré les sons
qu'il parvenait à proférer malgré la bride dans sa
bouche et sous sa gorge, personne ne vint, et il dû défèquer
et uriner à même la paille de son box .
Il se coucha tout de même, en
prenant soin de ne pas se salir avec ses selles, et s'endormit jusqu'àu
petit matin.
Le soleil qui filtrait à travers
une fenêtre le réveilla , et bientôt Maîtresse
Éloïse vint le chercher pour le mener dans un enclos derrière
la grange avec d'autres esclaves portant comme lui une bride et un licou.
Elle le laissa , ferma la barrière du corral, et retourna déjeuner.
Un homme de service surveillait les
esclaves, afin qu'ils ne tentent pas de se sauver, Il tenait ;a la main
un bâton électrique, et malheur à celui ou à
celle qui aurait tenté de se soustraire à sa surveillance.
Un peu plus tard, Maîtresse
Star et Maîtresse Éloïse s'amenèrent, et chacunes
d'elles se prit un esclave pour les ramener au carroussel.
Elles passèrent à chacun
des rênes, et tous les quatres prirent le chemin du carroussel.
Maîtresse Éloïse
prit Pierre , bien sûr,et Maîtresse Star s'occupa de l'autre.
" Aujourd'hui on vas le chausser adéquatement,
Eloïse, un bon cheval doit porter de bon fers pour bien trotter,
tu vas aller dans l'armoire , et me ramener les bottes en cuir , celles
avec les fers. et je vais te montrer comment les lui mettre".
Maîtresse Éloïse
revint avec les dites bottes, et Maîtresse Star fit agenouiller
Pierre, à quatre pattes, et lui ordonna de relever les jambes en
ne se portant que sur les genoux.
Elle prit de la poudre de talc, et
en badigeonna les pieds et les chevilles de Pierre, elle prit ensuite
une botte, et inséra le pied droit de Pierre à l'intérieur.
cela semblait en fait trop petit pour son pied, mais avec de la patience
et de la tenacité, elle parvint à y faire entrer tout le
pied. Cela s'avéra une tâche ardue, et le pied de Pierre
pouvait à peine loger à l'intérieur de la botte.
Cela semblait comme une seconde peau
sur son pied et sur sa jambe. Et lorsqu'il se porterait dessus, il marcherait
alors comme avec des talons hauts, mais avec les orteils placées
bien à plat sur le sol. Elle passa la seconde de la même
manière, et dit à Pierre , "retourne toi maintenant, et
place tes mollets sur le banc et assied toi sur le sol".
Pierre fit ce qu'elle lui demandait,
et vit enfin les bottes, Mais Ho! Quelle surprise, il n'y avait pas de
talons aux bottes, mais un gros fer sous la semelle, un peu comme ceux
des chevaux, ce qui ne les rendaient pas des plus légères.
En fait , chacunes d'elles devait bien peser près d'un demi kilo.
Maîtresse Star laça le devant de l'étrange chaussure.
Puis refit de nouveau le laçage vers le bas en serrant plus fort
puis elle remonta à nouveau , mais cette fois elle prit soin de
serrer le plus fortement possible , ensuite, elle nouà le lacet
derrière le genoux, et rabaissa une large courroi de cuir sur le
noeud du lacet, et vint en boucler la fermeture sur le devant du genou
en le barrant avec un petit cadenas.
Elle céda sa place à
Maîtresse Éloïse, car elle était exténué."Voila
, ce qu'il faut faire, c'est à ton tour maintenant".
Maîtresse Éloïse
passa l,autre botte à pied gauche de Pierre , de la même
façon.
" Bon , la voila ferrée pour
le reste de la semaine, j'espère que l'on aura pas à les
lui enlever de sitôt.
" Lève toi Lulu, et essaie
de ne pas tomber par en avant". Elle soutint Pierre par le coude, et il
prit conscience de la poussée que les bottes exercaient sur son
équilibre.
En effet, il ne pouvait se porter
que sur les orteils et l'arche prononcée de la botte, l'obligeait
à se tenir debout comme avec une chaussure à talons hauts,
mais sans les talons, le poid prononcé de la chaussure, lui exigeait
un effort constant à chaque pas qu'il faisait, de plus de chaque
coté des bottes, à l'intérieur de la cheville et
à l'extérieur, un anneau de métal pendait , pour
sûrement quelques usage encore inconnu.
Cela lui conférait quand même
fiere allure, et lui galbait la jambe. Il venait de grandir de près
de six pouces instantanément.
" Voila pour les fers", dit Maîtresse
Star, maintenant le harnais, et un bon plug, dans son croupion".
On lui passa de nouveau le harnais,
on lui remit le même mors et la même bride que la veille,
puis Maîtresse Star lui fixa des bracelets aux chevilles par dessus
les bottes, et d'autres aux poignets. et enfin elle lui entra de force
un gode dans le derrière, des crins de chevaux pendaient du bout
du gode, et une fois bien installé cela pouvait faire office de
queue, comme un vrai cheval et pendait entre les jambes de leur esclave
jusqu'àux genoux.
" Aimerait tu ajouter un petit extra,
pour t'amuser" ?
" Quoi donc"? dit Maîtresse
Éloïse.
"Attends moi, tu vas voir.
Elle revint et placa sous le nez de
Pierre un anneau qu'elle ferma sur la cloison interne de son nez. Elle
serra une petite vis concue à cet effet , qui une fois bien vissée
interdisait à l'anneau de s'enlever. et fixa ensuite une petite
clochette dans l'anneau. Celle -ci , dès lors , pendait sous le
nez de l'esclave et tintait a chacun des mouvements de sa tête.
Elle plaça ensuite d'autres
clochettes identiques aux anneaux de ses seins.
Elle demanda alors à Maîtresse
Éloïse. "Est ce obligé qu'il porte sa ceinture de chasteté"?
" Non", répondit Maîtresse
Éloïse, " " je peux lui enlever, j'ai la clé sur moi".
" Est ce qu'il porte un anneau au
pénis"? " J'ai une autre clochette en réserve.
" Oui je vois" , répondit Maîtresse
Éloïse. "Attends, je vais lui enlever".
On défit le harnais, et il
fut dévêtu de sa ceinture. Il se retrouva le pénis
`l'air et on lui remit son harnais. bien solidement. Puis Maîtresse
Star lui posa la clochette au bout du pénis, bien en évidence.
Pour terminer, Maîtresse Star,
prit deux lanières de cuir, et les fixas de chaque coté
de son harnais de tête, à des anneaux situés près
de ses oeillères, et les passa derrière son dos, et tira
sa tête vers l'arrière, puis elle fixa sur la large ceinture
autour de sa taille les deux courroies, qu'elle fixa solidement.
Cela obligea Pierre à se tenir
le front haut et il ne pouvait plus baisser la tête de quelques
façons.et il
devait constamment regarder devant
lui et se tenir droit et il lui était physiquement impossible de
tourner la tête non plus.
" Il est fin prêt, il ne reste
plus qu'à l'atteler et à le faire pratiquer ".Dit Maîtresse
Star.
"Allons nous , l'atteler au boggey"?
" Oui , je crois que l'on pourrait", mais allons y doucement pour commencer,
il n'est pas habitué encore, mais je vais faire un essai pour voir",
dit Maîtresse Star. " Peut-être ne pourra-t-il pas marcher
comme il faut avec les fers, mais je vais essayer".
Maîtresse Star, amena Pierre
près du, boggey, elle plaça les manchons du boggey de façon
à ce que l'extrémité passe dans les anneaux de son
harnais, de chaque coté de ses hanches, et fixa ses poignets aux
manchons afin qu'il puisse les saisir, et tirer le boggey derrière
lui. Elle lui laissa suffisamment de jeu pour qu'il puisse manoeuvrer
ses mains et bien tenir les poignées, puis elle cadenassa les bracelets
de ses poignets aux manchons.
Ainsi il devait rester en position
toujours entre les deux manchons , et qu'il recule ou qu'il avance, le
boggey suivrait obligatoirement derrière lui.
Elle plaça ensuite une courte
chaîne entre ses deux chevilles, suffisamment longue cependant pour
qu'il puisse lever lles genoux bien droit devant lui, mais pas assez pour
lui permettre de faire de longues enjambées.
Elle plaça les rênes
à son mors, et sauta dans la voiturette , s'asseya comfortablement,
et claqua les rênes sur son dos en criant "hue Lulu".
Il avança de quelques pas,
mais pas assez vite au goût de sa passagère, et il sentit
la brûlure du fouet sur son derrière. Il tenta d'accélérer,
mais la chaîne entre ses chevilles le restreignait dans ses mouvements.
"Lève les genoux "cria-t-elle
derrière lui, "et pointe tes pieds vers le sol, cela ira tout seul".
Il fit comme ell lui disait, et peu à peu il commença à
sautiller et à trotter de jambe en jambe. De temps à autre
le fouet le ramenait à l'ordre, afin qu'il conserve le rythme,
et les rênes lui indiquaient la direction à suivre.
Un coup sec sur les rênes lui
signifière de s'arrêter, et Maîtresse Éloïse
prit place à son tour dans le boggey.
" Prends le chemin derrière
l'écurie, il mène tout droit à la rivière
", dit Maîtresse Star à son amie, "cela le fera pratiquer
un peu , et te permettra de profiter du paysage en même temps".
"Ne vas pas trop vite au début, et ne te gênes surtout pas
avec le fouet, ils ne comprenne que cela, c'est la seule manière
de les dresser".
Le fouet claqua, et Maîtresse
Éloïse relacha les rênes, et Pierre se mit aussitôt
au trot.
"S'il prends le mors au dent, tu lâches
tout", lui cria Maîtresse Star, mais déja ils étaient
trop loin, et Pierre trottait vers le sentier derrière le batîment.
Il tenait fermement les poignées
des manchons, et levait les genoux bien haut devant lui, car cela était
vrai, il pouvait ainsi mieux sautiller pour trotter. Mais cela était
très fatiguant, et s'il ne se concentrait pas continuellement,
il perdait la cadence, et passait près de tomber à chaque
fois, car la chaîne venait s'emmêler dans ses chevilles.
Les rênes le ramenait à
l'ordre, et plus souvent que nécessaire le fouet lui rappelait
de ne pas ralentir. Il trotta ainsi pendant une bonne demie heure, et
bientôt Maîtresse Eloïse le fit tourner dans un petit
bois, et le sentier s'avéra plus difficile à trotter, elle
le fit ralentir, et le mît au pas, et ce jusqu'à une clairière
près de la rivière. Elle arrêta, et alla se désaltérer
en s'agenouillant sur le bord , elle se pencha vers l'eau et bût
à même le courant.
Elle revint vers son poney, et le
tirant par les rênes , elle le fit s'agenouiller à son tour
, dessèrra son mors pour lui permettre de boire à la rivière,
et lorsqu'il eut avalé tout son soul, elle ressera le mors et alla
attacher les rêne à un arbre, afin qu'il ne se sauve pas.
Maîtresse Eloïse s'étendit
ensuite sous un grand chêne et fit une sieste. Pierre pendant ce
temps dût attendre debout , toujours harnaché au boggey,
que sa Maîtresse se repose. Peu à peu , des moustiques de
plus en plus nombreux, se mirent à harcelé Pierre , sûrement
à cause de la sueur , mais cela devint bientôt intenable
et il se mit à se trémousser comme un fou devant cette attaque
massive. Il essaya de ruer, il balançait sa queue dans tous les
sens, mais peine perdue, il dut subir son calvaire jusqu'à la fin.
Le soleil commençait à
plomber sérieusement, et le retour à la ferme fût
encore une fois , des plus exténuant.cepandant, Maîtresse
Éloïse, ne le pressa pas et il pût trotter plus doucement
. Il fût désarnaché et elle le conduisit dans sa stalle
à l'intérieur de l'écurie. Avant de le laisser ,
elle lui flatta la croupe gentiment et vérifia les nombreuses piqures
de moustiques ,surtout autour de ses parties. Afin de s'assurer qu'il
n'en subirait pas de facheuses séquelles.
Tout lui sembla sans conséquences
, et elle le quitta avec un sourire aux lèvres, en riant de la
mésaventure de son poney .
L'après midi se passa sans
que personne ne daigne s'occuper de lui, mais peu avant le souper,Maîtresse
Star vint le sortir de l'écurie, et elle l'attela à une
grosse voiture avec à ses cotés, un autre esclave jumelé
en tandem avec lui.
Le fouet claqua et tous deux se mirent
à trotter essayant de se coordonner afin de pouvoir avancer sans
à coup. Si ils perdaient la cadence, le fouet de Maîtresse
Star venait les rappeler à l'ordre.
Elle conduisit la voiture devant la
résidence principale, et Maîtresse Éloïse et
une autre de leur amie, montèrent à l'arrière. Le
fouet claqua à nouveau, et tout l'équipage se mit en mouvement.
Ils prirent la route, et Maîtresse
Star, leur fit accélérer le pas.
Les deux poneys , réussirent
finalement à accorder leur cadence et se mirent au trot naturellement.
Tout ce que leur conductrice devait faire . était de les retenir
afin qu'ils ne s'emballent pas et pour ce faire, elle tenait d'une main
de fer, les cordeaux de leurs rênes.
Ils trottèrent ainsi jusqu'à
une croisée de chemin, et Maîtresse Star les fit tourner
vers la droite, sur une petite allée bordée de chênes,
et ils arrivèrent devant un petit manoir, et elle s'arrêta
enfin.
Un homme les attendait sur le perron,
et leur fit signe d'entrer.
Toutes descendirent de la voiture,
et Maîtresse Star conduisit ses deux poneys jusqu'à un abreuvoir
dans la cour arrière, elle y attacha les rênes à un
piquet tout près , et retourna dans le manoir retrouver ses amis.
Tard dans la soirée, elles
firent le retour, vers la ferme, mais cette fois, la fraicheur de la nuit,
et la fatigue de leur équipée, incita Maîtesse Star
a rentrer rapidement . Aussi les deux esclaves durent-ils trotter le plus
rapidement possible, et le fouet claquait souvent derrière eux,
et leurs croupes s'en ressentait.
Ils furent détellé sitôt
leur arrivée à la ferme, et conduit jusqu'à leur
stalle respective pour la nuit.
Le lendemain Maîtresse Eloïse,
vint elle même trouver son esclave, et elle lui enleva , tout les
gréments qui le gênait. Elle lui ordonna de se rhabiller
, car elle devait maintenant rentrer en ville, le week end était
terminé.
Le retour se fit sans encombres, si
ce n'est que Pierre était maintenant diplomé de l'académie
équestre de Madame Star. il avait passé avec brio toutes
les épreuves, et Maîtresse Eloïse était fière
de son esclave.
La transformation finale....
De retour chez Maîtresse Eloïse,
Pierre qui avait dormi dans sa cage comme à l'habitude, rêvait
de retrouver un peu de tranquilité.
Il aurait bien aimé prendre
un temps de repos, afin de pouvoir se libérer du joug envahissant
de sa Maîtresse, mais il savait bien que cela lui serait dorénavant
impossible. Il s'était engagé à obéir et à
servir sa Maîtresse, et en cela tout retour en arrière lui
était devenu interdit et voir , même impossible.
Il en était à songer
à tout cela , lorsque sa Maîtresse vint le sortir de la cage.
Elle lui passa la cagoule, lui passa
des menottes derrière le dos. et lui en posa d'autres autour des
chevilles, avec une chaine entre les deux .
Toute la semaine , elle obligea son
esclave à porter les chaines, et tous les soirs il dormait dans
sa cage, enchaîné solidement. Cela lui paraissait quand même
étrange, car Maîtresse Éloïse, ne semblait pas
fâchée après lui, et se comportait envers lui comme
à l'habitude.
La seule chose différente ,
fut la nourriture qu'elle lui donnait . Elle le gavait littéralement,
il devait de plus manger toujours la totalité de sa gamelle, et
il n'avait plus le privilège de manger les restants de sa Maîtresse
comme auparavant.
La routine avait reprise son cours
régulier, et peu à peu, il lui semblait que son caractère
se transformait, il devenait plus impatient et plus incomfortable dans
sa peau, etil mettait cela sur la fatigue, et sur les exigeances de son
état d'esclave.
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