Au
dessus de chez moi il y a une grande forêt domaniale, avec une route
forestière de plusieurs km sans passage la nuit.
Je quitte mon domicile en début
de nuit (23h) et je vais à l'extrémité de la route
forestière. J'y dépose les clefs pour ouvrir ma voiture
dans un endroit discret et identifiable (au pied d'une grosse pierre).
Je repars vers l'autre extrémité de cette route. Je gare
ma voiture en retrait.
Je me met en mini-jupe de cuir, collant
clair et de belles bottes en cuir à hauts talons. Je me passe un
collier, que je cadenasse et j'y fixe des menottes, qui pendent donc sous
ma gorge. Je sors de la voiture en la fermant de l'intérieur, les
clefs des cadenas et des menottes à l'intérieur.
C'est fait, je vais faire plusieurs
km pour aller chercher les clefs de la voiture et autant pour revenir.
Je commence à marcher en mini
et talons. Je suis mort de trouille en guettant les bruit des voitures
qui pourraient arriver ou pire des cyclistes ou des marcheurs que l'on
n'entendrait pas.
Je quitte la route pour m'engager sur
un sentier plus discret. Il monte. Il y a la pleine lune. Je vois la mini
dans laquelle je suis, je sens l'impression bizarre pour un homme d'être
en jupe, ainsi que d'être sur des talons.
Dernier saut, me passer les menottes.
Je suis excité, je me caresse une dernière fois et, prenant
du courage je poste mes mains à ma gorge. Je me glisse les mains
dans les bracelets et je referme la crémaillère des menottes.
C'est fini, je ne peux plus me caresser.
Mon sexe est inaccessible et en outre il me faudra marcher ainsi, les
mains pendues sous la gorge de nombreux km, sans compter que si je perds
l'équilibre, mes bras ne seront pas là pour amortir la chute.
La marche est longue. Comme toujours
c'est exitant d'imaginer être dans de telles situations, avant et
après les avoir vécues, mais pas agréable au moment
de les vivre.
Je retrouve heureusement les clefs
et pour le retour je prends la route, au lieu de reprendre les chemins
de terre, toujours apeuré à l'idée d'entendre une
voiture arriver. Dans ce cas je suis prêt à me jeter dans
les ronces en collant et mini.
Le retour est pénible. A un
moment, lassé de marcher en talons, je sors mes jambes des bottes
et je prends ces dernières dans mes mains.
J'arrive à ma voiture fatigué
par une marche qui m'aura pris deux heures environ. Je me libère
et je me masturbe aussitôt.
J'ai recommencé plusieurs fois
sur différents chemins, par exemple en robe de cuir et talons,
menotté dans le dos.
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