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Ce recit n'est que l'expression d'un
fantasme. Loin de moi toute idee de le mettre en pratique
J'ai envie de vous raconter ce que j'ai vécu ces derniers mois.
J'ai 24 ans et au printemps dernier, j'étais encore un gigolo.
A l'époque j'allais souvent au théâtre. J'y allais
par goût mais aussi parce que j'y rencontrais souvent des femmes
d'un certain âge assez sophistiquées qui aiment s'offrir
le luxe d'une nuit avec un homme très jeune. C'est ainsi que j'arrondissais
mes fins de mois d'une façon très substantielle.
Mais ce soir là, ma vie a basculé. A l'entracte, comme d'habitude
au foyer je laissais traîner mon regard au hasard dans l'espoir
de croiser celui de celle qui ferait de moi son amant pour la nuit. Comme
souvent, une femme qui paraissait avoir entre quarante et quarante-cinq
ans, me fixait. C'était une brune sophistiquée son visage
qui, s'il n'avait plus la fraîcheur de celui d'une fille de vingt
ans, montrait par contre une personnalité avec beaucoup de caractère.
Je lui ai souri puis tranquillement je me suis assis à sa table.
Nous avons commencé par échanger des banalités sur
la pièce, mais son regard démentait son intérêt
pour le théâtre. J'ai été un peu surpris lorsque
son pied est venu contre ma cheville. En effet d'habitude, c'est plutôt
à la sortie que j'avais l'habitude de proposer un dernier verre
à ma conquête d'un soir. A la fin de l'entracte elle m'a
donné rendez-vous à la sortie.
A la fin du spectacle, je l'ai attendue longtemps. Je crois qu'elle a
fait exprès de traîner dans les couloirs. Lorsqu'elle m'a
enfin rejoint, elle m'a pris d'autorité par la main et m'a emmené
vers sa voiture. C'était une BMW noire aux vitres teintées.
De prime abord c'était agréable de se laisser faire comme
çà. Au moment de s'asseoir elle a remonté sa jupe
ample sur ses cuisses. - C'est pour ne pas marcher dedans ! Çà
n'a pas fait un pli ; j'avais une vision privilégiée sur
le haut de ses cuisses. Elle était en bas et porte-jarretelles.-
Ne sois pas timide, caresse-moi ! J'ai posé la main sur son genou
puis doucement je l'ai caressée. Au bout de deux minutes, d'un
mouvement vif, l'air excédé, elle m'a pris par les cheveux,
a écarté les cuisses en grand, et m'a écrasé
le nez contre son sexe complètement épilé. - Lèche
! et applique-toi petite salope. J'ai voulu résister mais elle
me tenait bien. Son odeur m'a envahi, j'ai fait ce qu'elle voulait autant
par goût que par espoir d'une belle gratification le lendemain.
Je me faisais des illusions.
Je l'ai léchée tout le temps qu'a duré le trajet.
Comme sa voiture était une automatique elle ne m'a pas lâché.
En s'arrêtant elle m'a repoussé violemment. - Descend et
viens m'ouvrir la porte. Le jeu me plaisait, la soirée ne s'annonçait
pas banale. J'ai contourné la voiture et lui ai ouvert. Elle m'a
donné les clefs. - Rentre la et dépêche-toi de me
rejoindre.
Il m'a fallut quelques minutes pour trouver la télécommande
du garage puis, la voiture dans le garage je suis allé la rejoindre.
Je l'ai trouvée en sous-vêtements noirs, étendue dans
le canapé. - Déshabille-toi, et sers-moi un cognac. Il faut
que je vous dise, je ne suis pas très poilu, un léger duvet
au menton, mais rien sur le torse et les jambes. pendant que je me déshabillais,
elle me regardait avec un sourire ironique et lorsque je j'ai été
nu - Pas très viril tout çà, mais pour ce que j'ai
en tête c'est plutôt bien.
Je l'ai regardée étonné. J'étais perplexe.
J'avais l'impression de perdre pied. Cette femme était attirante
mais semblait dangereuse. J'étais perdu dans mes pensées,
je n'ai pas entendu ce qu'elle disait. Elle s'est levée, est venue
vers moi, elle m'a enlacé, m'a embrassé. J'ai repris mes
esprits et j'ai répondu à son baiser. Nos langues se cherchaient,
se trouvaient se perdaient. Ses mains courraient sur mon corps, les miennes
malaxaient ses seins qu'elle avait arrogants. Elle a caressé mes
fesses puis mes cuisses. Elle est passée derrière moi et
tout en m'embrassant dans le cou, au creux de l'épaule, elle a
joué avec mon sexe. Mes testicules, mon pénis qui commençait
à durcir. C'est alors qu'elle a refermé la main brutalement
emprisonnant le tout. - Petit con. Tu pensais vraiment pouvoir me séduire
? Me prends-tu pour une de ces vieilles peaux ?
Elle a fouillé dans un tiroir et en a sorti quelque chose qui cliquetait.
- Les mains dans le dos ou je t'arrache les couilles et elle a serré
à me faire très mal. J'ai immédiatement obéi.
Elle m'a immobilisé avec des menottes, puis me lâchant, elle
m'a fait pivoter et m'a giflé à la volée. D'un coup
de genou entre les cuisses, elle m'a fait tomber à genoux et, comme
dans la voiture m'a obligé à la lécher en me prenant
par les cheveux. Pendant que je la léchais elle m'a expliqué
: - Tu vas devenir la plus belle chienne que l'on puisse imaginer. Les
mecs comme toi ne manquent à personne ce n'est pas demain qu'on
va se mettre à ta
recherche (elle avait raison sur toute la ligne). Je vais faire de toi
un beau travelo soumis. Esclave de gré ou de force. Je vais te
modeler à coup de cravache, d'hormones, de fringues et de liens.
Bientôt tu ne sauras plus dire si tu es un homme ou une femme, si
tu as envie de caresses ou de coups. Elle m'a repoussé, j'ai basculé
elle m'a immobilisé les chevilles et m'a bâillonné.
Puis elle est partie et m'a laissé au milieu du salon toute la
nuit.
Louise est médecin, le lendemain elle est arrivée avec une
seringue. - Des hormones, je vais te faire une poitrine de grosse salope,
lourde et pendante. Je me suis tortillé pour essayer de lui échapper
mais elle s'est assise sur moi et a fini par piquer. Puis elle m'a détaché
les chevilles et m'a conduit dans une chambre où elle m'a attaché
par la cheville au pied du lit. Elle a cadenassé le bâillon
puis m'a détaché les mains. lorsque 'jai voulu me jeter
sur elle, elle a fait un pas en arrière et m'a regardé trébucher.
La chaîne était vraiment très courte. Puis elle a
brandi une cravache et m'en a asséné une dizaine de coups.
- Tu as intérêt à devenir docile. Dans trois semaine
tu seras une belle petite chienne lubrique mais d'ici là tiens-toi
à carreau. Elle est partie et n'est revenue que le soir pour me
déposer une gamelle de viande hachée et de riz. Elle défaisait
alors le bâillon après m'avoir attaché les mains dans
le dos. Je devais alors manger le nez dans la gamelle, comme un chien.
Pendant trois semaines ce sont les seuls rapports que nous ayons eus.
Au début je me révoltais, j'essayais de l'attraper. Çà
m'a valu pas mal de coups. Mais peu à peu alors que mes seins gonflaient,
je perdais mon assurance, ma violence. Je me masturbais de plus en plus
souvent. J'avais besoin de plaisir. Quand elle me corrigeait, une fois
qu'elle avait cassé ma résistance, elle se masturbait parfois
face à moi ou jouait avec mes testicules.
Au bout des trois semaines, il lui arrivait de me retirer le bâillon,
je ne pensais même plus à crier. - Tu deviens très
bien. Tiens mets ces bas et ces escarpins. Petit à petit elle me
féminisait. Comme je n'avais pas de miroir je ne pouvais pas me
faire une idée de mon image mais peu à peu je m'habituais
à ces vêtements. Elle jouait avec moi comme les gamines jouent
avec leur poupée "Barbie". Cuir, latex, vinyle toutes
ces matières me devenaient familières. Les liens, les attaches
aussi. Ma poitrine avait d'abord pris l'apparence de celle d'une jeune
fille à peine pubère, puis s'était affirmée
fermement. Elle est devenue très sensible, aux caresses et aux
coups. Depuis, comme le traitement hormonal a continué j'ai une
poitrine énorme qui pend et s'étale. Ma maîtresse
me traite de grosse vache.
Un soir elle m'a détaché. Ma première idée
a été de m'enfuir. Mais toujours à demi-nu, et cette
poitrine qu'est ce que j'aurais bien pu devenir. Ici Louise s'occupait
de moi. Et comment dire, j'avais pris goût à cette vie. Le
lendemain comme une esclave docile, je lui portais son petit-déjeuner
au lit. Je la réveillai d'un baiser et d'une main passée
sous les draps je lui caressais l'intérieur des cuisses. - Nous
y voilà, dit-elle en s'étirant. Recule un peu que je te
voie. J'avais mis un body en latex qui laissait mes seins nus, un short
en vinyle et des bottes assorties ainsi qu'une paire de gants en latex.
Au cou un collier de chien et une paire de menottes pendait à ma
ceinture. - Très bien, avance. Je m'approchai d'elle et elle me
gifla. Tu n'es pas maquillée. - Je ne sais pas le faire, dis-je.
- Je ne veux pas te voir comme çà, allez sous les draps
et lèche-moi comme la chienne que tu es devenue "Clivia".
Depuis elle ne m'appelle plus que comme çà. Je l'ai léchée
jusqu'à ce qu'elle ait fini de manger. J'étouffais sous
les draps, mais retrouver le goût de sa liqueur était un
tel plaisir que j'y suis resté sans broncher. Ce matin là
elle m'a appris à me maquiller comme une pute et m'a imposé
le port des menottes en permanence.
Cela fait maintenant quelques mois que je suis sa chienne. Je pense à
moi au féminin malgré mon sexe que le traitement n'a pas
altéré. Il lui arrive souvent de m'attacher en croix sur
le dos et de me chevaucher. - Les attributs du mâle et la mentalité
d'une fille soumise, dit-elle à ses amies qu'elle invite parfois.
Au début elle m'exposait attachée (oui je parle de moi au
féminin) puis voyant ma docilité elle m'a libérée
pour que je puisse faire le service. Mais attachée ou pas je suis
en permanence à la disposition de tout qui me rencontre. C'est
souvent alors que je suis baissée qu'un doigt s'introduit entre
mes fesses et fouille mon anus. Les ongles longs sont parfois douloureux
mais l'humiliation me met dans un tel état que ma Maîtresse
m'impose quand ses amies viennent un harnais en cuir autour du sexe pour
ne plus me voir en érection sans son autorisation.
Je vis en permanence perchée
sur des talons-hauts qui cambrent mes reins et offrent mon cul aux regards.
Toujours trop maquillée et je fais tout les menottes aux poignets.
Enfin, il y a vingt centimètres de chaîne entre les bracelets.
Les clefs me sont accessibles mais sous scellés. Je peux me libérer
en cas de besoin. Mais si Louise voyait les scellés défaits
sans une bonne raison, elle me virerait.
Je suis amoureuse d'elle je crois et je fais tout ce que je peux pour
lui plaire. Pour mon anniversaire elle m'a proposé d'aller au cinéma.
Nous sommes passées devant un sex-shop et je lui ai suggéré
d'acheter un plug. Elle a souri m'a embrassée et nous sommes entrées.
Nous avons acheté le plug, et Louise a ouvert mon trois-quarts
en vinyle devant le vendeur
pour m'enfiler le plug. Comme je ne portais que mes bas et mon body seins
nus quand je me suis penchée j'avais l'air d'une grosse vache.
L'humiliation ma faite rougir mais dès que le plug a commencé
à me déchirer l'anus je n'ai plus pensé à
rien d'autre.
J'ai passé une des plus belles soirées de ma vie cette nuit
là.
Depuis elle m'emmène souvent en ville et m'abandonne à moitié
nue dans la BMW. Avec les vitres teintées il faut vraiment se coller
le nez sur la vitre pour me voir. L'odeur de cuir des fauteuils m'excite
et Louise me retrouve souvent avec un doigt dans l'anus quand elle ne
m'a pas totalement immobilisée. Parfois en fin de soirée,
elle me dépose au bois de Boulogne là où se trouvent
tous les voyeurs. Lorsqu'elle arrête la voiture, je dois allumer
le plafonnier et ouvrir mon manteau. A moitié nue, enchaînée,
je dois me masturber. Elle en profite pour m'injurier. Les mots qu'elle
emploie sont orduriers et vulgaires. Dans des moments comme ceux-là,
la honte m'envahit de nouveau et ma jouissance est encore plus grande.
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