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J'étais au cinéma "Utopia",
comme souvent le samedi soir, au Luxembourg. Les places étant numérotées
par rangée et par numéro, je m'assieds à la place
indiquée sur le billet qui m'a été remis à
l'entrée.
Quelques minutes avant la séance,
un couple (du moins je le crois à ce moment) vient s'assoir sur
les sièges à coté du mien. La jeune femme, très
brune, la trentaine, assez élégante, se place à coté
de moi; tandis que celui qui l'accompagne, plus âgé, les
cheveux dégarnis, s'assied un siège plus loin. Leur discussion
va bon train, et voilà qu'elle me demande mon opinion sur l'actrice
du film (Vanessa Paradis), étant donné qu'elle n'est pas
du même avis que son "compagnon". Très neutre ou
par solidarité masculine, je vante le physique de l'actrice, et
sa crédibilité en tant qu'actrice. La jeune femme éclate
de rire, en affirmant que les hommes préfèrent les garces.
Ce qui me trouble sur le moment, c'est
qu'elle appuie avec sa main sur mon avant bras. Pendant le déroulement
du film, j'imagine des scénarios (du genre, partie de jambes en
l'air à 3), car je m'emballe probablement assez vite (dans ma tête),
et parce que la jeune femme à un ascendant sur son "compagnon".
Le film terminé, je prends volontairement
mon temps pour ramasser mes affaires après avoir attendu le retour
de la lumière. C'est alors qu'elle tourne légèrement
la tête vers moi, en souriant un peu ironiquement, et qu'elle me
demande si je n'ai pas changé d'avis sur l'actrice. Assez lâchement,
je me range à son avis.
Ce qui me paraît le plus surprenant
dans la situation, c'est le "compagnon" qui semble inexistant.
Une fois sorti de la rangée, celui-ci s'éclipse assez rapidement
après avoir dit bonsoir à la jeune femme en faisant semblant
de ne pas me voir. De mon coté, l'air faussement géné,
j'explique mon étonnement, croyant qu'ils étaient ensemble
(ce qui est d'ailleurs la vérité). Elle me répond
que ce n'est pas le cas, sans plus.
Après quelques secondes de silence,
je lui propose une boisson dans le bar du cinéma (boisson sans
alcool). Je profite de l'occasion pour lui demander si quelqu'un l'attend.
Après une légère moue, elle accepte l'invitation
en me précisant qu'elle n'est pas attendue. Tout se passe bien
jusque là, sauf que je n'avais rien prévu à l'avance,
et que je ne suis pas du genre "Don Juan" avec plein de bagou.
J'essaye donc d'alimenter la conversation en lui posant des questions.
Elle ne répond que par des phrases courtes, sans donner l'impression
de vouloir m'aider. J'essaye de paraître décontracté,
mais intérieurement, je ne sais pas trop comment m'en sortir.
Finalement, elle me dit que l'endroit
n'était pas une très bonne idée.
Cela me vexe, car c'était ma proposition, mais me permet de me
sortir de ce qui semble être un mauvais pas. Elle me propose donc
de nous rendre à l'extérieur du cinéma. J'avoue que
c'est une très bonne idée, et j'insiste pour payer les consommations.
Elle me fait alors un grand sourire, et me demande de la rejoindre après
les portes.
Lorsque je la rejoins, elle fume une
cigarette. Je me rends rapidement compte que quelque chose à changer.
Désormais, elle prend la direction des opérations. Elle
me demande si ma voiture se trouve au parking, et je lui réponds
que je suis venu en transport en commun.
"Parfait, on va boire un verre
chez moi, et je vous ramènerai à la gare", dit-elle.
J'accepte évidemment, bien que surpris qu'elle ne me demande pas
vraiment mon avis. Pendant le parcours, elle me parle beaucoup, et ne
me demande rien. Je me sens très en confiance, et j'apprends qu'elle
se prénomme Valérie, qu'elle est responsable des achats
pour sa boîte, qu'elle parle plusieurs langues, et qu'elle habite
à 5 kms de Luxembourg ville. Elle me laisse entendre qu'elle sort
d'une aventure douloureuse.
Elle est charmante, à l'aise, et intelligente.
On arrive sur le parking extérieur
au bàs de son immeuble. Elle me guide vers son appartement, puis
me demande ce que je souhaite boire. Je choisis, un whisky, léger
avec glaçons. Elle ramène aussi de l'eau pétillante
pour elle. Pendant que je suis assis sur le divan, à coté
de la table où se trouvent les boissons, elle en profite pour se
changer légèrement. Elle a une tenue plutôt décontractée,
et sexy.
Elle s'assied dans un fauteuil, face
à moi, les jambes croisées.
Maintenant, elle me demande de me présenter, car je ne lui ai pas
beaucoup parlé de moi. Cela me remet un peu mal à l'aise,
surtout qu'elle me demande si je drague souvent les femmes au cinéma.
Après m'avoir laissé un peu m'empêtrer, elle me dit
qu'elle m'apprécie car je ne suis pas un macho. Elle me reparle
de son aventure douloureuse, et me dit que désormais, elle recherche
un homme obéissant.Elle me dit cela en me fixant droit dans les
yeux.
J'essaye de ne pas rentrer dans le
jeu, en faisant semblant de ne pas comprendre l'allusion évidente
à mon égard.
Elle enfonce le clou, et me demande
de lui répondre avec franchise si j'ai déjà éprouvé
des sensations à l'idée d'être dirigée par
une femme, où même si j'ai déjà eu une expérience
dans ce domaine. Elle est très à l'aise dans son rôle,
et me précise que pour elle, toute relation doit être basée
sur la confiance réciproque. Mon coeur bat la chamade, et je me
mets à me dévoiler. Je lui explique qu'effectivement, j'avais
parfois des fantasmes de ce genre, et que j'ai fait une expérience
avec une professionnelle une fois, mais que je n'ai pas gardé un
très bon souvenir.
Lorsqu'elle me demande pourquoi, je lui explique que j'ai ressenti une
douleur pendant la pénétration avec un gode, et que je n'aime
pas du tout la sodomie. Elle me donne son point de vue, et me dit que
pour elle, la relation doit être progressive, et non pas imposée
de cette façon.
Elle me propose alors de me laisser
guider par ses soins, si j'accepte.
- "Je crois que cela me plairait,
mais je ne suis pas totalement sûr".
Elle me dit ne pas m'inquiéter,
et me demande de lui expliquer comment s'est déroulé mon
expérience avec une professionnelle, et quand cela s'est-il produit.
Voici donc lhistoire
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C'était il y a environ 3 ans.
Je dois d'abord expliquer brièvement quelles sont mes attentes
(à la professionnelle). Ensuite, elle me fait attendre à
genou dans le salon, les mains sur la tête, en portant seulement
un slip, les fesses tournées vers la porte. Lorsqu'elle revient
dans la pièce, elle me parle, et me demande de m'approcher d'elle
à 4 pattes.
- "Tu aimes être un bon
chien, je crois ?"
- "Oui, Madame".
- "Un gros chien ou un petit chien ?"
- "Un petit chien, Madame".
- "Enlève ton slip chien, en restant à 4 pattes".
Ce que je fais.
- "Marche autour de la pièce,
petit chien".
Je commence à avancer.
- "Remue un peu ces fesses, et cambre-toi".Tu n'es pas fier
d'être mon chien ?
- "Si Madame, c'est un honneur pour moi".
A ce moment, elle me claque la joue
très rapidement.
Je ne sens pratiquement rien, mais je suis surpris car je ne l'ai pas
vu venir.
- "Un chien ne parle pas, mais se contente de remuer sa queue quand
il est content."
- ...
- "Allez, remue ton bassin de gauche à droite, et de droite
à gauche. Fais moi remuer cette queue".
J'obéis, et elle se place derrière moi.
- "Tu imagines un peu le spectacle que tu m'offres ? Je vois ton
cul se trémousser, et ta queue se balader dans tous les sens".
"C'est très excitant". "Allez, tourne-toi vers moi,
petit chien".
Je me retourne, toujours à 4 pattes.
Elle retire sa culotte devant moi, et je vois son sexe.
- "Tu vas laver ma culotte avec ta salive, cela t'apprendra à
m'exciter. Ouvre ta bouche".
Elle rentre sa culotte complètement dans ma bouche, et je dois
la nettoyer.
Pendant ce temps là, elle va
chercher un gode et du lubrifiant. Après un petit moment, elle
revient et me dit de retirer sa culotte de ma bouche. Tout en préparant
mon anus, elle me demande si j'ai déjà été
sodomisé. Je lui réponds que non. Elle me répond
que maintenant, je vais savoir ce que ressent une femme, quand c'est moi
qui la sodomise. Elle commence à me pénétrer. Cela
n'est pas agréable, mais je sens qu'elle y va doucement. Lorsque
le gode pénètre un peu plus, cela commence à me faire
mal, et je le lui dis.
- "Tes fesses ne sont pas suffisamment
détendues, je vais les assouplir".
Je dois m'allonger sur ses cuisses, et elle me donne une bonne petite
fessée. Cela n'est pas douloureux, et j'apprécie ce moment.
- "Mets-toi à 4 pattes,
le cul tourné vers moi"
Elle reprend la sodomie, mais cette fois je ressens une douleur lorsqu'elle
force le passage. Je lui dis que j'ai mal et que je préfère
arrêter.
On en restera là.
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Valérie me remercie pour ma
franchise, et me laisse entendre que je ne suis pas totalement novice,
car on n'arrive pas chez une professionnelle par hasard. Elle n'insiste
pas davantage. Elle me dit qu'elle ne partage pas le point de vue de la
professionnelle concernant la fessée. Une fessée, cela ne
sert pas à faciliter le passage d'un gode. Pour elle, ce n'est
pas à cela que sert une fessée.
Elle me demande ce que j'attends d'une
Maîtresse, quelles doivent-être ses principales qualités,
et comment je pourrai envisager une relation avec cette Maîtresse
idéale.
Je réponds qu'une Maîtresse
doit être confiante, et savoir se faire obéir naturellement.
Elle doit prendre du plaisir à diriger son soumis, et celui-ci
doit être à l'écoute de sa Maîtresse pour la
servir, et apprécier de se laisser guider.
Elle ne me donne pas son avis sur ma
réponse, mais semble satisfaite.
Elle m'indique ensuite, que ce qui
l'interresse, ce sont les fesses. Elle aime que les fesses d'un soumis
soit à sa disposition. Dans le courant de la discussion, elle m'indique
aussi qu'elle me giflera. Je ressens une jubilation de sa part lorsqu'elle
me le dit, d'autant qu'elle le fait à la 2ème personne,
et non plus à la 3ème, comme jusqu'à présent.
Finalement, elle me fait comprendre
qu'elle est satisfaite de m'avoir rencontré, et qu'elle me trouve
plutôt ouvert. Elle préfère en rester là pour
ce soir. Moi aussi d'ailleurs, car j'ai eu beaucoup d'émotions
en une soirée. Elle me demande mon adresse internet, et je la lui
donne. Elle propose de me ramener à la gare comme convenu, si je
ne souhaite pas rentrer par le bus. Je lui indique que le bus me conviendra
très bien.
Jattends maintenant un message
de Valérie, en espérant que cela se produira.
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