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Chapitre 1
Je suis un jeune homme de 25 ans et
j'ais depuis très longtemps le fantasme de la soumission. Mais
je n'ais jamais pratiqué. Ce jour là, j'ai décidé
de franchir le pas. Régulièrement, je cherchais des annonces
sur le net de dominatrice cherchant un soumis. En faite pendant longtemps,
le seul fait de chercher une dominatrice suffisait à m'exciter.
Mais au fil du temps, je ne m'en contentais plus. J'ais donc décider
de répondre à l'annonce d'une domina se prénommant
Jessica qui me paraissait sérieuse. Plusieurs fois par jour, je
consultais ma boite mail dans l'attente d'une réponse de ma future
Maîtresse. Huit jours plus tard, je recevais enfin le message tant
attendu. Il était clair et concis. "Si tu es réellement
motivé, viens vendredi soir au 9 rue de Boterreau à Nantes
à 21h pour qu'on commence ton éducation.". J'ais très
longtemps hésité avant de me présenter au rendez-vous
fixée. J'étais tiraillé entre la peur et l'envie
d'y aller. Et finalement, le vendredi, je me suis présenté
comme convenu. La maison de Madame Jessica était une petite maison
en banlieue de Nantes relativement isolée. J'étais très
nerveux devant la porte ne sachant pas ce qui m'attendais de l'autre côté.
Je me faisais la réflexion que j'aurais pu au moins me renseigner
un peu sur la personne chez qui j'allais. Je ne savais rien d'elle. Mais
j'étais bien trop excité pour que ces réflexions
me fassent reculer. J'ai donc sonné à la porte. Et rien.
Aucun bruit, au bout de quelques secondes, je sonne une deuxième
fois, toujours rien. Au bout de quasiment une minute, je m'apprête
à partir, à la fois déçus et soulagé
quand jentends des bruits de pas derrière la porte. La porte
s'ouvre et je vois une femme, probablement âgée d'une quarantaine
d'année, vêtue d'une combinaison en latex et de hautes bottes
à talon aiguille. Elle me regarde brièvement et me dit 'Entre!'
d'un air sévère puis disparait à l'intérieur
de la maison. Sans trop réfléchir, j'entre également
dans la maison. A peine franchi le seuil, elle vérouilla la porte
à double tour et me dit sur un ton méprisant: "Alors
comme ca Monsieur est impatient, il sonne deux fois, il n'hésite
pas à me déranger parce qu'il a froid dehors...". Je
balbutiais des explications : "Non, Je pensais que vous n'aviez pas
entendu..." pas le temps de finir ma phrase qu'elle me colle une
énorme gifle qui me fait tomber au sol. Elle en profite pour m'immobiliser
les mains dans le dos avec la paire de menottes qui se trouvaient à
porté de sa main sur la table de l'entrée. Elle me cria
au visage : "Tu oses contre dire ta maitresse?". Je la regardais
d'un air ahuri. J'avais déjà lu des récits sur la
soumission, mais je ne m'attendais pas à une telle violence. Sur
un ton un peu plus calme, elle m'expliqua les règles de la maison:
"Premièrement, tu dois toujours terminer tes phrases par 'Madame'
ou 'Maîtresse'. Deuxièmement, si je décide de te faire
attendre, tu ne dis rien et tu attends. Et pour finir tu ne me manques
jamais de respect et tu ne me contredis jamais. Comme c'est ta première
fois avec moi, je ne serais pas trop sévère." Je commençais
à me rassurer un peu quand j'ais entendus derrière moi des
bruits de chaine et d'autres objets que Madame prenait sur la tables.
Elle se retourna vers moi avec à la main, un bâillon boule,
une chaine avec un cadenas et une autre paire de menotte. Je sentais déjà
que la nuit serait plus longue que prévu. Avant même que
j'ai le temps de réagir, elle m'enfonçait de force dans
la bouche le bâillon et serrait les lanières de cuir derrière
ma tête. Je ne pouvais plus émettre que quelques gémissements
en guise de refus. Les bras immobilisés dans le dos, je ne pouvais
rien faire. Une fois le bâillon bien en place, elle m'expliqua :
"Je fais ca pour ton bien. Tant que tu n'auras pas appris à
me parler avec respect, tu garderas cette accessoire". Je tentais
de m'expliquer mais les sons qui sortaient de ma bouche étaient
incompréhensibles, entièrement étouffés par
le bâillon. Elle sourit et me dit "Ne me remercie pas. C'est
normal, je suis là pour t'apprendre les bonnes manières.".
Ensuite, elle me mit la deuxième paire de menotte aux chevilles
et relia les deux paires de menotte par une très courte chaine
ce qui m'obligeait à relever le buste et plier mes jambes en arrière.
Cette position était très inconfortable, mais impossible
d'émettre la moindre objection. Après avoir vérifié
que je ne pouvais pas me libérer, elle me lança un "Bonne
nuit!" et s'en alla en rigolant. J'ais mis quelque secondes à
comprendre que je passerais la nuit là, attaché, sans pouvoir
bouger avec le bâillon dans la bouche. La vision de la nuit à
venir ne m'enchantait pas. Je commençais à réfléchir
à ma situation. Bizarrement, ça m'excitais, mais mon excitation
retomba rapidement en sentant mes membres s'engourdir rapidement. J'étais
allongé à même le carrelage et je sentais le froid
du sol me pénétrer jusqu'aux os. Je réalisais aussi
que je n'aurais pas du avoir la négligence de me présenter
sans avoir manger. Je sentais déjà mon ventre me le reprocher.
Je ne parvins à m'endormir que beaucoup plus tard dans la nuit.
Chapitre 2
Dès six heures du matin, Madame
Jessica vint me réveiller d'un coup de cravache sur les fesses.
Heureusement, j'étais vêtu d'un jean donc je ne sentis pas
grand chose. Elle devait à peine se lever car elle n'avait sur
ses épaules qu'une robe de chambre transparente qui ne me cachait
pas grand chose de son anatomie. Elle détacha la chaine qui m'obligeait
à me tenir recroquevillé puis me détacha les chevilles.
Elle m'ordonna de me lever mais je ne sentais plus mes jambes. Une nuit
complète plié en deux avait anéanti mes forces. N'exécutant
pas son ordre assez rapidement à son goût, elle m'assena
cinq coups de cravaches dans le dos. Cette fois la douleur fut bien réelle.
N'ayant qu'un tee-shirt sur les épaules, je sentis la douleur m'irradier
le dos à chaque coup de cravache. Toujours bâillonné,
je ne pouvais pas crier. Je réunie donc toutes mes forces pour
me mettre debout afin de ne pas déclencher une nouvelle ruée
de coup. Elle m'ordonna de la suivre à la salle de bain. Je la
suivais donc sans rechigner, espérant être libérer
et profiter d'une bonne douche bien chaude. En entrant dans la pièce,
elle me détacha effectivement les mains. J'entendis le cliquetis
de la clef dans les menottes avec soulagement. Mais hélas cette
amélioration de ma situation ne dura pas longtemps. Elle me saisie
par la main et me tira dans la cabine de douche. Là elle enleva
mon tee-shirt et m'attacha les deux mains au dessus de la tête grâce
à un anneau fixé dans le mur. J'étais à nouveau
prisonnier des mêmes menottes. Elle défit les boutons de
mon jean ce qui eu pour effet de me déclencher une érection
instantanée. Elle retira mon pantalon et mon caleçon ce
qui fit que je me retrouvais entièrement nu devant elle. Hormis
le bâillon boule dont les lanières de cuir me lacéraient
le visage, j'étais nu. A la vue de mon érection, je la vis
faire la moue. Elle me regarda d'un air méprisant. "Qu'est-ce
que tu crois! Tu crois que tu vas pouvoir enfoncer ta bite dans ma chatte?!
Tu te prends pour qui? Je vais te calmer moi...". Elle saisit la
pomme de douche et arrosa mon sexe d'un jet d'eau glacé. De l'autre
main, elle leva la cravache qu'elle avait gardée à la main
et me frappa au niveau du sexe à de nombreuse reprise. L'effet
ne se fit pas attendre, mon érection retomba aussi vite qu'elle
était venu. Madame Jessica était satisfaite et arrêta
d'abattre sa cravache sur mon gland déjà tout rouge. Je
gémissais de douleur et elle m'expliquait d'un ton sévère.
"Tu ne bandes que quand je te l'autorise". Elle se retourna
et saisie une boite derrière elle en me disant "Je vais m'occuper
un peux de toi... J'ai décidé de faire de toi ma soumise...
je vais donc m'atteler à faire ressortir ta féminité."
A ce moment précis, je sentis une sueur glacée me couler
le long du coup. Je ne pouvais pas protester, toujours réduis au
silence par mon bâillon. Madame Jessica saisie un pot de cire chaude
et me l'étala abondamment sur les jambes. Je sentis que j'allais
passer une rude journée et qu'il faudrait dorénavant que
j'évite de me mettre en short en public. Au bout d'un certain temps,
elle arracha les bandes de cires (et mes poils avec) ce qui eu pour effet
d'irradier mes jambes de douleurs. J'en avais les larmes aux yeux. Ma
maîtresse me regarda d'un air compatissant. "Je sais ce que
c'est ma chérie. Mais il faut souffrir pour être belle! Maintenant
on passe au torse puis on finira par le maillot...". A l'idée
de recommencer cette opération au niveau de mon torse et autour
de mon pénis me glaça d'horreur. J'aurais donné n'importe
quoi pour que ca s'arrête. Mais Madame Jessica avait une idée
bien précise en tête et à priori, elle n'était
pas prête à s'arrêter si vite. Je me demandais comment
j'avais pu être assez naïf pour me laisser attacher par cette
femme. Mais j'aurais encore de nombreuses occasion de me poser cette question
dans mon avenir de soumise. Après plus de 3 heures d'épilation,
mon corps était lisse comme un miroir. On ne pouvait plus y détecter
le moindre poil. Madame Jessica, très satisfaite de son travail,
régla la température de l'eau de la douche et me lava longuement
en me massant doucement. Malgré toutes les tortures subies depuis
la veille, à ce moment précis, je ressenti une attirance
notable pour cette femme, qui toujours en robe de chambre transparente,
caressait mon corps de ses mains. Forcément, l'érection
tant redouté ne se fit pas attendre. Je fis tous ce que je pus
pour la retenir, ayant peur de subir à nouveau un châtiment
à coup de cravache mais rien ny fit. Bizarrement, Madame
Jessica ne dit rien. Je vis bien la grimace qu'elle fit en voyant mon
membre se durcir, mais elle ne dit pas un mot. Je pensais qu'elle avait
pitié de moi et qu'elle estimait m'avoir déjà fait
suffisamment souffrir. Mais je compris plus tard qu'il n'en nétait
rien. Elle termina ma toilette puis sorti de la salle de bain en me laissant
toujours attaché les bras en l'air. Vingt minutes plus tard, elle
réapparu, vêtu d'une mini jupe en cuir et d'un corset noir,
avec de haut talon aiguille. Elle avait à la main, un accessoire
constitué d'anneaux et de chaine. Je n'osais pas comprendre ce
que c'était. Elle prit soin de m'expliquer : "Ceci est une
ceinture de chasteté. Comme tu nes pas capable de garder
ta queue entre tes jambes, je vais t'y forcer. Je ne veux plus voir cet
organe disgracieux. Je vais donc t'enfiler cet accessoire et désormais,
c'est moi qui déciderais si tu a le droit de bander ou pas. Mais
n'espère pas trop. J'ai d'autre projet pour toi que de te laisser
t'amuser avec ta bite". Sans pouvoir protester ni bouger, je n'avais
pas d'autre choix qu'accepter les désirs de ma maîtresse.
Elle me saisie donc le sexe et l'enfila dans les anneaux reliées
aux chaînes qu'elle attacha autour de ma taille. Elle saisissa une
troisième chaîne à laquelle était relié
la série d'anneaux qui emprisonnent désormais mon pénis
et l'attacha aux autres chaines en la faisant passer par la raie de mes
fesses. Mon sexe fut ainsi ramené en arrière entre mes jambes
sans aucune liberté de mouvement. Madame Jessica, admirant mon
sexe mis en cage, eu un sourire de satisfaction suivit d'un petit rire
sadique. "Voila c'est beaucoup mieux comme ca. D'autant plus qu'avec
la tenu que j'ais prévu pour toi, cette bosse disgracieuse entre
tes jambes n'aurais pas du tout été appropriée.".
Après avoir passé une bonne partie de la mâtiné
à m'épiler et après avoir enfermé mon sexe
dans une cage, je craignais fort d'imaginer le type de tenue que madame
avait pu prévoir pour moi. Elle se retourna pour fouiller dans
un placard et en sorti un petit paquet qu'elle déposa à
mes pieds. Elle m'expliqua : "Je vais t'enlever ton bâillon
et je vais te laisser toute seule dans la salle de bain pendant 30 minutes.
Quand je reviendrais, je veux que tu te sois rasé, maquillé,
et que tu es revêtu les vêtements et les accessoires qui se
trouve dans ce paquet. Si tu n'es pas parfaite au moment ou je rentre,
non seulement, tu retrouveras ton bâillon mais en plus, tu tâteras
de ma cravache...". Aussitôt, elle saisie tous mes vêtements
masculin ainsi que mon portefeuille en m'expliquant qu'elle gardera tout
ca sous clef bien en sureté jusqu'à mon départ. Ensuite,
elle revint, m'enleva le bâillon et détacha mes menottes.
Sans mot dire, elle sorti de la salle de bain et j'entendis la clef tourner
dans la serrure. Je me retrouvais seule, sans beaucoup d'autres choix
que d'exécuter les ordres de Maîtresse Jessica. N'ayant plus
mon portefeuille et aucun autre vêtement que ceux qu'elle mavait
fournis, je n'avais pas la possibilité de fuir. D'autant plus que
la porte était verrouillée. Je défis donc le paquet
avec une curiosité mêlée d'une grande crainte. Dedans,
il y'avait un nécessaire de rasage, une trousse de maquillage,
des bas résille noir avec un bustier porte jarretelles également
noir avec des rubans rose sur le devant, un string, des faux seins, des
talons aiguille noir vernis, une minijupe rose bonbons, une perruque blonde,
des grandes boucles d'oreilles créoles, une bague et un lot de
bracelet doré. J'étais abasourdi devant toutes ces choses.
Je n'étais pas habitué à revêtir des vêtements
féminins. Et je ne me sentais pas près pour ca. Mais en
même temps, je me rappelais des menaces de Madame Jessica. Entre
la honte de paraître ridicule et le bâillon plus la cravache,
mon choix se fit rapidement. N'ayant qu'une demi heure, je me mis tout
de suite à la tache. Je décidais donc de commencer par me
raser au plus près. La tache fut difficile, car j'avais la mâchoire
complètement bloquée par les longues heures passées
avec le bâillon boule coincé dans ma bouche. Je dus me masser
longuement les joues avant de retrouver la souplesse nécessaire
à toutes les grimaces obligatoire d'un bon rasage. Ensuite, je
mis les faux seins en tendant bien les bretelles pour me faire une belle
poitrine. Ensuite ce fut le tour du bustier qui lui me donna beaucoup
plus de mal. C'étais un bustier serre taille. Je commençais
donc par attacher les agrafes puis terminais par le serrage des lacets.
Je passais en suite le string puis tendais les bas sur mes jambes toutes
douces et lisse suite à la longue séance d'épilation
que je venais de subir. Je n'avais aucune idée du temps qu'il m'avait
fallu pour faire tout ca. Mais je sentais que je ne serais pas dans les
temps. Jenfilais la mini jupe qui laissait apparaître le haut
de mes bas quand je me baissais puis m'activais donc pour commencer mon
maquillage. Hélas n'ayant jamais pratiqué ca, je n'avais
aucune idée de comment m'y prendre. Je trouvais dans la trousse
à maquillage, une multitude de pinceau, bâton de rouge à
lèvre, brosse, far à paupière, crayon et autre chose
dont j'ignorais totalement l'existence quelques secondes auparavant. Je
saisie le premier bâton de rouge à lèvre que je trouvais
au hasard et me barbouillais les lèvres sans aucune méthode.
Ensuite, je pris un far à paupière noir et l'étalais
abondement au dessus de mes yeux en débordant largement. En voyant
le résultat, je pris peur. J'étais horrible. Je ressemblais
plus à fétide Adams qu'à une jolie poupée...
A ce moment précis, j'entendis la clef tourner dans la serrure.
Mon sang se glaça. Mon maquillage était immonde, je n'avais
pas mis mes chaussures, ni ma perruque, ni les boucles d'oreille, les
bracelets et la bague. Je n'avais même pas ma perruque. Madame Jessica
s'approcha sans mot dire. Elle fit le tour de moi. Je n'osais ni bouger
ni parler. Je sentais que le moindre mot de ma part ne ferait qu'aggraver
la situation. Au bout d'un long examen, elle me dit nous allons faire
le bilan. En défaisant le nud des lacets de mon serre taille,
elle commença : "Ton serre taille n'est pas assez serré,
une punition", je l'interrompais : "Mais c'est vous qui venais
de ..." Je n'eus pas le temps de finit ma phrase qu'un violent coup
de cravache s'abatis sur mes fesses pour me faire taire. Elle ajouta "On
dira donc une punition pour le serre taille te une punition pour t'apprendre
à ne pas contredire ta Maîtresse. J'ais même envie
de te remettre le bâillon pour ça. Mais on verra plus tard."
A ces mots, je compris que mon intérêt était de me
taire. Madame Jessica continua "Tu n'as pas mis tes escarpins, tu
n'as pas ta perruque. Don deux punition de plus. Je ne vois ni tes bracelets,
ni ta bague, ni tes boucles d'oreille. Mais je vais être gentille,
je ne te donne qu'une punition pour ces trois oublis. ET pour finir le
maquillage..." A ce moment, Madame Jessica ne put retenir un rire
plus que moqueur. Elle me regarda et me dit "Ma pauvre chérie,
même un aveugle ne voudrais pas de toi". A ce moment, je me
regardais dans un grand miroir et me vis. Je n'étais déjà
plus un homme avec mes vêtements ultra féminins, mais je
n'étais pas non plus une femme avec mes cheveux court et mon maquillage
qui ne ressemblaient à rien. Je me sentais vraiment ridicule et
regardais ma Maîtresse d'un air suppliant. Cela ne me gênait
plus de ressemblais à une femme. Tous ce que je voulais, c'étais
qu'elle arrête de rire et qu'elle m'aide à ressembler à
quelque chose. Voyant mon désarroi, elle s'approcha de moi et me
dit "Je vais m'occuper de toi". Ce fut pour moi un soulagement.
Elle me dit "Pour résumer, tu auras donc le droit à
sept punitions. Mais d'abords, on va s'occuper de te rendre plus féminine
et plus attirantes." Elle saisie des lingettes démaquillante
et effaça toutes les traces qui souillaient mon visage. Ensuite
elle m'expliqua. On va accorder ton rouge à lèvre avec ta
jupe. On va te mettre ce rose bonbon puis une couche de gloss. Tu seras
magnifique. Ensuite, on va te mettre un peu de poudre sur les joues pour
finir de faire disparaître ta barbe et donner un peu plus de couleur
à tes joues. Pour les paupières, je vais te mettre du blanc
à l'intérieur pour finir par du rose vers l'extérieur.
Ca sera du plus belle effet. Ensuite un coup de crayon pour souligner
tes yeux et on finira par une bonne dose de mascara pour allonger tes
cils. Mais avant tout cela, je vais m'occuper d'épiler tes sourcils.
" Elle saisie tous le nécessaire et commença à
me redessiner les sourcils en les arquant au maximum. Je préférais
ne pas y penser, mais je ne pouvais m'empêcher d'être inquiet
quant à la réaction des gens quand ils me verraient avec
les sourcils ainsi épilé. Plus ca allait plus je me disais
qu'il serait difficile de cacher cette transformation par la suite. Une
fois bien épilée, elle appliqua le maquillage tel qu'elle
me lavait expliqué. "Regarde biens comment je fais car
la prochaine fois, tu devras le faire toute seule. Je ne serais pas toujours
là pour m'occuper de toi.", le maquillage terminée,
elle me mit mes boucles d'oreille, mes bracelets et ma bague. Elle enfonça
la perruque sur ma tête. Au fur et à mesure, je voyais apparaître
dans le miroir une femme plutôt jolie et plutôt séduisante.
J'avais du mal à croire que c'étais moi. Pour peu, je serais
tombé amoureux de moi-même. Voyant mon sourire, Madame Jessica
me sourit à son tour. "Voilà. Tu es beaucoup plus jolie
comme ca.". Ensuite, elle sortie un vernie rouge vif qu'elle appliqua
sur mes ongles. "Pour finir je vais te resserrer ton corset pour
affiner ta taille, et tu n'auras plus qu'à mettre tes chaussure!".
Elle se mit derrière moi et commença à serrer au
maximum les lacets du corset, je senti l'étau se resserer sur moi.
A tel point que j'en avais du mal à respirer. "Allez encore
un petit effort, tu dois avoir la taille fine, si tu veux être jolie.
Rentre le ventre." Je fis mon maximum pour rentre mon ventre pourtant
déjà pas bien gros. Elle serra encore un peux plus le corset
et fis un noeud. Je me sentais totalement compressé. Les baleines
du corset me rentraient dans la peau. Je ne pouvais respirer que par petite
bouffé. J'étais tellement serré que je ne pus même
pas me pencher pour mettre mes chaussures. Ce fut donc Maitresse Jessica
qui me mit mes souliers. Seule problème, les souliers étaient
des escarpins fermés de pointure 41 et je faisais du 43. Je ne
pensais pas pouvoir rentrer dedans. Cependant, grâce à un
chausse pied et à de nombreuse contorsion de mes doigts de pied,
je finis par rentrer dedans. Je crus que j'allais mourir. Entre le corset
ultra serré et mes pieds prisionnés de ces chaussures beaucoup
trop petite, je sentais que j'allais vivre l'enfer aujourd'hui. "Mais
Madame Jessica parut fort satisfaite. Elle prit du recul et me demanda
de me lever. Ce que je fis aussitôt. Sauf que n'ayant jamais marché
avec des talons, ce fut très difficile pour moi de tenir droit.
Elle m'en fit la remarque et me promis une séance d'entraînement
pour apprendre à marcher avec des talons. Cette idée ne
m'enchanta pas vraiment. "Pour parfaire ta tenue et faire de toi
une vraie pute, voila une ceinture noir vernie avec une grosse boucle
sur le devant et cette petite veste transparente pour couvrir tes épaules.".
Cette fois ci, ma préparation vestimentaire était belle
et bien terminée. Je me regardais dans un grand miroir et, effectivement,
Madame Jessica avait raison. Au lieu de voir apparaître l'homme
que j'étais, je vis une belle pute, blonde, ultra maquillée
et ultra provocante. A ce moment j'eus vraiment honte de moi. Dautant
plus que depuis quelques heures, javais une affreuse envie duriner.
Ne pouvant plus guère me retenir, je me vis obligé de lui
demander ou se trouvais les toilettes. Cela la fit beaucoup rire. «
Tu as envie de pisser ! Très bien ca sera loccasion de tacquitter
d ta première punition. » Elle sorti à nouveau de
la pièce et revint avec un grand seau en plastique jaune. «
Va-z-y ! Pisse là dedans. ». Je restais figé sur place.
Nexécutant pas sont ordre assez rapidement, elle massenât
3 bon coups de cravache sur les fesses qui me firent réagir. Je
lui dis : « Il faudrait menlever ma cage de chasteté
pour que je puisse uriner. ». Cela déclencha une nouvelle
vague de rire chez maîtresse Jessica. « Pourquoi je tenlèverais
ta cage ? Tu vas faire comme font toutes les femmes depuis des milliers
dannées. Tu va te mettre accroupis. Je veux que tu te sentes
femmes. Dailleurs à partir de maintenant, tu ne répondras
plus quau nom de Nadia. Cest ton nouveau nom. En tant que
pute de luxe, tu ne pouvais pas garder ton patronyme actuel. ».
Ne voulant pas recevoir une nouvelle tournée de coup de cravache,
je fis ce que Madame Jessica me demandais. Je maccroupis sur le
saut et commençais à uriner. Malgré mon envie pressante,
javais beaucoup de mal à me soulager. Je navais pas
pour habitude duriner accroupis devant une femme, moi-même
vêtue comme une poufiasse. Une fois terminé, elle me demanda
de me relever, pris le seau et me le tandis. « Bois ». Je
la regardais consterné. « Bois, cest ta première
punition ». Je me sentais totalement incapable de faire ce quelle
me demandait. Elle mexpliqua. « Cest simple, sois tu
es une gentille fille et tu bois tout de suite ce que ta maîtresse
toffre. Sois tu fais ta vilaine et tu seras à nouveau punis
et bien plus violemment que tout ce que tu peux imaginer et tu finiras
quand même par boire. ». Après un petit temps de réflexion,
je compris que je navais pas le choix. Je portais donc mes lèvres
maquillées au bord du seau et linclinais jusqu'à recevoir
les premières gorgées du liquide salé. La première
gorgée me donna envie de vomir. Ma gorge se révulsait. Mais
je réprimais mon dégoût pour continuer à boire.
A peu près à la moitié, Madame Jessica me dit que
je pouvais arrêter. « Tu vois cétais pas si terrible
que ca. Ca valait pas le coup de faire tant de chichi ma ptite Nadia
! Alors quest-ce quon dit à sa Maîtresse ?».
je balbutiais un « Merci Maîtresse » bien à contre
cur.
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