Il
s'agit d'une femme mal dans sa peau et qui pour des raisons qui lui sont
propres demande à être dominée de temps en temps. Pour
cela elle appelle son maître et lui demande à recevoir le fouet.
Son maître répond par l'affirmative: "Bien, j'envoie une
équipe vous chercher".
Peu de temps après deux costauds,
blouson de cuir, cheveux courts et brassard rouge "Sécurité"
autour du bras sonnent chez elle. Elle est habillée de manière
sage, mais a posé une mini-jupe en cuir, bas et talons sur le canapé.
Disons qu'elle a la quarantaine, plus très belle, plus la femme
avec laquelle on est plein d'égards.
"A poil" disent les malabars
qui lui font face. Malgré sa pudeur elle doit baisser la jupe,
enlever ses sous-vêtements devant eux. Ils inspectent soutien-gorge
et petite culotte à la recherche de limes, lames de rasoir ou autres
objets interdits, lui demandent d'écarter les cuisses et fouillent
son vagin toujours à la recherche d'objets interdits, puis, désignant
les vêtements sur le canapé lui intiment l'ordre de s'habiller.
Avec un peu de chance cela fait de
longues minutes qu'elle leur fait face. L'excitation initiale a laissé
place à l'impression plus vraiement agréable d'avoir demandé
quelque chose dont on se passerait bien. Se sentant prête à
craquer, avec courage elle provoque une réaction violente. Voilà
qu'elle devient insolente et en les regardant droit dans les yeux elle
dit "non, je veux bien vous suivre, mais pas habillée en pute,
j'ai ma fierté"
Comme prévu l'un des costauds
lui décoche une gifle qui la fait vaciller et lui crie "Non
mais pour qui tu te prends? Tu n'est qu'une salope habillée en
bourgeoise. Nous venons chercher une pute, tu vas t'habiller comme on
te dit conasse".
C'était probablement ce qu'elle
attendait: être clairement obligée à mettre ces habits
et ne pas les mettre de son propre chef. La giffle l'a un peu sonnée
et la voilà donc qui enfile ses bas, sa mini et chausse ses talons
sous le regard lubrique des deux hommes.
L'un d'entre eux sort une paire de
menottes Rivolier, les menottes officielles des gendarmes, munies de leur
chaine de conduite. Avec courage la femme, apeurée mais excitée
leur lance dans un dernier effort de défi: "Ah non, je veux
bien vous suivre, mais pas menottée!"
Inévitablement les deux hommes
se jettent sur elle. Par réflexe elle cherche à leur échapper,
mais elle est vite plaquée contre le mur. C'est alors qu'elle craque,
panique et se débat, mais les hommes sont les plus forts, en nombre
et en corpulence et ont tôt fait de la menotter. Ils la menottent
par devant, afin qu'elle voit bien ces menottes et qu'elle soit vue comme
tenue en laisse et les suivant docilement comme un chien. Ils sortent
une clef de sécurité et verrouillent les serrures.
De toute façon elle sait que
si elle se débattait trop, ils la jetterait hors de son appartement,
nue et l'obligeraient à s'habiller dans le couloir, avec le risque
que les voisins la voient par l'oeilleton de la porte. Donc la partie
est perdue pour elle et, terrorisée elle ne dit plus rien et se
laisse conduire. Les malabars la tirent donc dans le couloir et referment
la porte derrière.
L'humiliation augmente lorsqu'elle
est tirée par la chaine dans la rue. La peur produit une extrème
docilité. Elle avance sans broncher entre les deux hommes que l'on
prend pour des membres d'un service de sécurité. Dans la
rue tout le monde la regarde, voit les menottes en acier qu'elle ne peut
cacher, par exemple parce qu'elle n'a qu'un vêtement à manches
courtes. A un arrêt de bus c'est vingt personnes qui la regardent.
Elle baisse la tête pour ne pas croiser leur regard.
Qui est cette femme plus très
jeune, habillée de manière provocante ? Qu'a-t-elle commis
? Un vol, une escroquerie ?
Que peut-elle faire ? Si elle crie
au kidnapping, les hommes vont simplement la laisser dans la rue et disparaître
avec les clefs de son appartement. Elle restera menottée en mini
de cuir, bas et talons dans la rue, au milieu des gens à attendre
la police et lui expliquer qu'elle est maso. Non, vraiement il n'y a rien
à faire pour échapper à son sort. Autant se résigner
et être docile.
Après avoir marché une
distance qui lui semble infinie, on ouvre un porche et on entre dans la
cour intérieure du domicile du maître. Elle a bien demandé
à ce qu'on vienne la chercher, mais à ce moment là
elle préférerait être venue seule et habillée
de manière anodine. Les hommes sonnent et le maître leur
ouvre. Tout le monde entre. Le maitre examine la femme, l'attrape par
la laisse des menottes, se fait remettre les clefs et donne congé
aux hommes en leur demandant de revenir deux heures plus tard.
Alors il prie la femme de le suivre.
Il lui fait subir le tourment habituel. Il sait que ce tourment doit être
insuportable, au point que la femme se débatte de toute ses forces,
crie et supplie d'arrêter. Ce n'est pas qu'elle y trouve du plaisir
à ce moment là, mais cela est nécessaire à
la panique précédant. S'il ne s'agissait que d'être
trainée dans la rue, il n'y aurait pas de peur, tandis que si elle
est convaincue qu'elle va souffrir, son coeur bat la chamade et elle regarde
avec ses yeux épouvantés s'il existe la moindre chance de
fausser compagnie aux hommes qui la conduisent.
La fin est simple: Les hommes reviennent
comme prévu deux heures après, ils trouvent la femme dans
un canapé, épuisée. Ils devinent les fesses et les
reins zébrés sous ses vètements. Ils sortent les
menottes et la chaine. La femme comprend et se lève lentement,
le regard vague et las et leur tend docilement les poignets qu'elle approche
l'un de l'autre et se laisse menotter sans bouger et sans opposer la moindre
résistance. Lorsque les hommes sortent, elle les suit docilement,
repasse dans les rues où elle avait été dévisagée
deux heures plus tôt, retrouve son appartement. Les hommes la libèrent
et repartent en silence. Elle s'assied dans le canapé, épuisée
mais apaisée car lavée de toute colère contre elle-même.
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