Lorsque Marc rentre, je suis nue assise
dans le salon à l'attendre.
Je me présente: je m'appelle
Eléna. Je suis brune, plutôt mignonne et assez exhibitionniste.
J'ai de longues jambes et une petit cul bien rond qui fait tourner bien
des têtes. Marc, mon mari, et moi-même aimons beaucoup les
plaisirs du sexe et sommes toujours à la recherche d'expériences
nouvelles, de nouvelles sensations.
" Je t'attendais avec impatience.
Ce soir, je t'ai réservé une surprise. Nous sommes de sortie.
Viens vite, tu as juste le temps de NOUS préparer.
" De NOUS préparer ??
" Viens, tu vas comprendre.
Cet après-midi et prévision
de cette soirée, je me suis rendue chez l'esthétisienne:
" Je voudrais une épilation des jambes et des aisselles mais
aussi une épilation complète du sexe et de l'anus.
Lorsque j'ai été vierge de tout poil, je suis allée
chez le coiffeur sans même prendre la peine de remettre mon string
pour profiter déjà des sensations produite par mon sexe
nu et glabre sous ma jupe courte.
En attendant le retour de Marc, je me suis consciencieusement maquillée
et "vêtue" uniquement de quelques bijoux.
Le prenant par la main, je l'entraîne
dans notre chambre. Sur notre lit, il découvre un de ces costumes,
une chemise, une cravate et un de ses strings qui lui dégage si
merveilleusement les fesses. Sur l'autre côté du lit ne se
trouvent qu'une cravache et une longue cape.
" Voilà, je voudrais que
tu te fasses beau, que tu mettes ce costume. Pour ma part, je resterai
nue, seulement parée des marques de cette cravache. La cape me
couvrira pendant nos trajets.
J'ai choisi particulièrement cette cravache pour les belles marques
qu'elle laisse sur la peau. Je voudrais que tu me marques les fesses mais
aussi les cuisses, le sexe, les seins et le ventre. Nous n'avons pas trop
le temps pour des préambules, donc frappe directement suffisamment
fort pour bien me marquer.
Je prends la cravache, la tend à
Marc et me couche alors sur le ventre en travers du lit, attendant le
premier coup.
Rapidement, je me mets à gémir
mais Marc continue à me frapper jusqu'à ce qu'il me juge
suffisamment marquée.
Il m'ordonne de me retourner et recommence
à me frapper sur le sexe et les seins cette fois. Mes cris remplissent
la chambre et pour me permettre de plus facilement résister à
cette épreuve et m'éviter que je me dérobe, il m'attache
aux quatre coins du lit.
La cravache est enfin jetée
sur le lit et Marc me délivre.
Nous nous retrouvons tous les deux
dans la salle de bain pour nous rafraîchir. Pendant qu'il enfile
son costume, je me remaquille tranquillement admirant dans la glace les
belles marques sur mon corps durement méritées.
En attendant le taxi que j'avais commandé,
je mets de beaux escarpins et me couvre de la cape juste fermée
par un lacet attaché autour du cou.
A l'heure prévue, le taxi sonne
à la porte. J'ouvre un tiroir du meuble du hall d'entrée
et en sors une paire de menottes.
" Attache moi les mains dans le dos stp. Cela m'évitera de
succomber à l'envie de tenir ma cape fermée pendant le trajet.
De plus en plus étonné mais aussi excité par ce jeu,
Marc ramène mes mains dans le dos et passent les menottes autour
de mes poignets.
Nous sortons et montons dans le taxi.
Bien entendu, au passage ma cape s'ouvre et dévoile mon corps nu
au chauffeur de taxi qui croit rêver. Je lui donne l'adresse du
restaurant fétichiste où j'ai réservé une
table.
Arrivé devant le restaurant,
le taxi ralenti. Je lui dis alors:
" Continuez jusqu'au bout de la rue svp.
Je suis toute angoissée et excitée
à la fois à l'idée de souper nue dans ce restaurant,
exposant à tous mon corps fraîchement marqué par une
cravache. Voulant reculer un peu encore ce moment pour profiter de l'attente
mais aussi pour jouir plus du plaisir de me trouver en rue juste couvert
de ma cape, je descends du taxi à plusieurs centaines de mètres
du restaurant. Au gré de mes pas et de petits coups de vent, ma
cape s'ouvre pendant ce trop court trajet livrant mon corps au regard
étonné et admiratif des passants.
Nous entrons dans le restaurant. Il
y a déjà pas mal de monde attablé. Je sens une bouffée
de chaleur m'envahir et mon sexe s'humidifié un peu plus lorsque
Marc passe derrière moi. Il tire doucement sur le lacet qui ferme
ma cape. Celle-ci glisse sur mes épaules me dévoilant entièrement
aux personnes présentes dans le restaurant. Marc tend la cape au
garçon qui nous a accueilli et je suis celui-ci, serpentant entre
les tables, la poitrine projetée en avant par mes bras toujours
attachés dans mon dos. A mon passage, les conversations s'arrêtent
et les yeux se portent sur mon corps nu et des murmures accompagnent la
découverte des marques de cravache qui ornent celui-ci.
Nous nous asseyons à la table
qui nous a été attribuée. Le garçon nous apporte
la carte mais ne pouvant ouvrir la mienne, Marc commande pour nous deux.
C'est à la paille aussi que je bois mon apéritif.
Je prends beaucoup de plaisir à être nue parmi ces gens habillés,
certaines dames étant néanmoins vêtues de tenue assez
sexy. En plus, les initiés doivent apprécier les marques
sur mon corps et se rencontrent compte de la souffrance que j'ai endurée
avec de venir.
Lorsque le garçon nous apporte
l'entrée, Marc se lève et vient me détacher les mains
pour me permettre de manger. Le souper se déroule dans une ambiance
sensuelle et presque comme si de rien n'était, baigné par
la lumière des 3 grosses bougies qui trônent sur notre table.
Lorsque le désert arrive, Marc
se lève à nouveau, vient se mettre derrière moi et
m'embrasse tendrement dans le cou comme j'aime. Je me penche un peu en
arrière pour lui tendre mes lèvres et lui permettre de voir
l'ensemble de mon corps dons les jambes se sont un peu écartées
par ce mouvement. Marc prend alors une des grosses bougies sur la table
et en me regardant droit dans les yeux verse la cire chaude sur mon sein
droit. Je pousse un gémissement mais je ne me dérobe pas.
Il tend maintenant la main vers la seconde bougie et je sais que cette
fois, c'est mon sein gauche qui va être couvert de cire chaude.
Nos lèvres se rejoignent enfin.
Tout t'en m'embrassant langoureusement, Marc empoigne la dernière
bougie dont la cire coule d'un coup sur mon pubis et mon sexe que rien
ne protège. Un orgasme monte en moi et mes lèvres ne quittent
plus les siennes. De savoir ces gens autour de moi me voir atteindre ce
merveilleux point où la douleur se transforme en jouissance décuple
encore plus mon plaisir si c'est possible.
Lorsque le repas est terminé,
nous reprenons un taxi vers une nouvelle destination: un club échangiste
mais non sans que Marc m'aie au préalable rattaché les mains
dans le dos.
Arrivé devant celui-ci, le taxi
s'arrête mais de l'autre côté de la rue. Le chauffeur
allume le plafonnier pour faciliter le payement. Marc m'ôte ma cape
en me disant que je n'en ai plus besoin pour le moment.
Il paye tranquillement la course pendant que le chauffeur me dévore
littéralement des yeux, ceux-ci allant de la cire qui couvre mes
seins et mon sexe aux marques de cravache.
Nous traversons la rue, moi toujours
intégralement nue, Marc portant ma cape pliée sur son bras.
Nous entrons et très vite un attroupement se forme autour de nous.
Nous montons avec ce petit monde dans une pièce éclairée
par une douce lumière. Je demande à Marc de s'asseoir dans
un fauteuil et de regarder. Les mains toujours attachées dans le
dos, m'adressant aux hommes et femmes qui nous ont suivi:
" Mon corps est à vous
pendant une heure mais je veux dans une heure être couverte de sperme
et de cyprine.
Il s'en suit une séance indescriptible
pendant laquelle des mains courent sur mon corps, des sexes me pénètrent,
d'autres se pressent contre ma bouche pour être sucé. Des
sexes épanchent leur liqueur un peu partout sur mon corps si bien
qu'au bout d'une heure, je suis entièrement poisseuse mais heureuse
et être excitée. Pendant tout ce temps, je plonge régulièrement
mon regard dans celui de Marc pour voir monter le désir en lui.
Je demande à Marc de me ramener
à la maison. Sans m'essuyer, il me recouvre de ma cape et nous
rentrons chez nous.
A peine la porte d'entrée refermée,
je ne peux plus attendre!
" Marc, ôte moi ma cape
et détache moi s'il te plait.
Une fois à nouveau nue et les
mains libres, j'entreprends de le déshabiller intégralement
à son tour. Je nous offre un petit plaisir supplémentaire
en lui ôtant son string avec les dents.
Je le sers alors dans mes bras, le maculant en partie du sperme et de
la cyprine répandus sur mon corps. Je l'embrasse puis doucement
me laisse tomber à genou. Je me retourne, pose au sol les épaules,
lui tendant ainsi mes fesses grandes ouvertes.
Il en extrait le rosebud qui le paraît
depuis le début de la soirée et qui avait interdit cette
entrée de mon corps à mes partenaires du club échangiste.
Sans qu'il soit besoin de le lubrifier,
le sexe de Marc me pénètre lentement les reins pour très
vite nous emporter tous les deux dans un orgasme d'une intensité
peu courante.
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