Pour répondre à votre demande,
voilà comment nous organisons notre vie : Le mieux es de vous donner
lemploi du temps dune journée de la semaine et puis
le dimanche
Dans la semaine :
Je me lève le premier vers 6 h 30. Je file dans la salle de bain.
Je me rase depuis le haut du pubis jusquen haut de la raie des fesses
(depuis quelques jours Maîtresse essaie un nouveau produit dépilatoire
pur éviter de me raser tous les jours et avoir des boutons). Ma
queue est retroussée car je dors toujours avec un petit anneau
de caoutchouc autour du gland. Je place trois pinces à linge lune
sur lautre sur chaque sein et une cordelette autour des boules et
de la queue dans le but de mempêcher de me masturber sous
la
douche. Je me lave soigneusement en faisant le moins de bruit possible.
Je n enlève mes pince et la cordelette que fois séché
et jenfile un peignoir Je vais réveillé Maîtresse
et je lui présente mes seins et ma queue. Elle analyse les marques
laissées par les pinces. Si elle est satisfaite mes seins seront
tranquilles pour la journée dans le cas contraire elle me pose
des petites pinces discrètes (ce sont des attaches de tableaux
que lon appelle chez moi des pinces « à clé
»). Pour la queue, il suffit quelle la gifle doucement : si
elle bande immédiatement cest que je nai pas éjaculé
alors elle retire le retrousseur et membrasse le gland. Si elle
ne bande pas tout de suite, alors je vais porter toute la journée
une coquille (du même type que portent les boxeurs pour se protéger).
Mais pour moi cela veut dire pas le droit duriner de toute la journée.
Puis je mhabille (en été, seulement une chaîne
fine autour de la taille et un anneau en cuir ou en métal selon
les envies de maîtresse et en hiver, soutien-gorge et bas à
jarretières élastiques. Puis jenfile les vêtements
que je veux pour la journée. Je ne porte jamais de slip ou de culotte
Je réveille ensuite mes enfants
et une journée tout à fait normale commence sans fait particulier
(sauf que je fais attention de toujours servir Maîtresse en premier,
lui ouvrir les portes et portières de voiture, de passer toujours
après elle, de ne jamais lui couper la parole, .. . Tous ces petits
faits qui discrètement lui montre ma soumission sans que personne
ne puisse y voir autre chose que de lamour et de la galanterie.
Je dépose tout le monde qui
au collège qui à son bureau et je file au mien. Grâce
au téléphone portable, je lui adresse toujours deux messages
damour et de soumission dans la journée (du style : «
Merci Maîtresse pour la punition dhier soir, ou je taime
maîtresse, tu es la plus belle de toutes les femmes »).
Ah autre signe de soumission : je
nurine jamais debout. Je massois sur la faïence directement
si jutilise des toilettes, même publiques et sinon dans la
nature, je fais accroupi en poussant ma queue en arrière (cela
moblige dans tous les cas à me déculotter entièrement).
A la pause de midi, elle mappelle
au téléphone si nous ne pouvons pas nous voir. Je lui réponds
toujours en lappelant Maîtresse quelque soit l endroit.
Pour le repas jai des interdictions car jai tendance à
prendre du poids : (charcuterie gras, fromages,
) que je respecte
car la balance est sans appel. Mais javoue que cest dur et
que je me laisse tenté parfois à midi, hors de son contrôle.
Javoue de toute manière le soir.
Dès que je rentre, je me déshabille
et je lave mes sous-vêtements. Je passe un gant de toilette sur
mon anus et je place mon retrousseur du soir. Puis je mets ma guêpière
de la soirée et mon peignoir que Maîtresse a raccourci pour
quil arrive en haut des cuisses. On se retrouve le soir, repas (très
souvent fait par moi), discussion entre nous et les enfants.
Pendant que maîtresse couche
les enfants je range la cuisine fait la vaisselle : pour les enfants cest
normal puisque chacun à une tâche particulière à
accomplir (mise de table, rangement de sa chambre, etc
.). Pour moi
les taches ménagères sont la cuisine (faire le repas, la
ranger, la nettoyer : seule différence : je retire toujours mon
peignoir et jaccomplis mon ménage, porte fermée mais
en guêpière. Puis je monte dire bonsoir aux enfants .
Maîtresse est allée dans
le salon : elle lit, se détend, regarde la télé,
Nous attendons toujours que les enfants dorment puis je retire mon
peignoir et je magenouille devant elle mains derrière le
dos : Je confesse alors mes fautes de la journée (nourriture, regard
vers les autres femmes, etc.) ou je raconte ma journée en détails
Selon mes erreurs, maîtresse
dresse les punitions immédiates ou avec effet retard, sur le week-end
ou pour la nuit ou le lendemain.
Je ne cherche pas forcément
les fautes car jaime être puni : fessées sur les fesses,
la queue, le visage, le corps, travail des seins, élargissement
anal, port de gode de manière prolongé, privation de nourriture
ou privation de masturbation ou déjaculation.
Les soirées sont difficiles
à résumer car nous ne faisons jamais la même chose
et nous faisons souvent lamour dans le salon ou dans la chambre.Pour
le coucher, je remet mon retrousseur si maîtresse la retiré
dans la soirée pour satisfaire ses envies .Je dors tout nu dans
le lit de Maîtresse. Mais il arrive que je sois obligé de
dormir ailleurs. Dans le bureau, je dispose dun petit lit avec juste
une couverture qui sert dordinaire de canapé. Si Maîtresse
est en colère contre loi ou chaque fois que jéjacule
en elle sans son autorisation, je dors là avec un gode dans lanus
pour la nuit et parfois des pinces sur les seins (plus rarement). Je dois
alors me lever à 6 h 00 même le dimanche et je dois tout
ranger avant que les enfants ne se réveillent.
Le dimanche je me réveille aussi
à 6 h 30, je fais ma toilette et je prépare le petit déjeuner
que je monte sur un plateau vers 7 h 30. Mais jattends que Maîtresse
se réveille. Je suis tout nu bien sûr et je ne déjeune
pas. J attends à genoux face au lit en tenant le plateau.
La porte est verrouillée et les enfants savent que dans ce cas
il ne faut pas nous déranger (nous appelons cela : « la grasse
matinée »). Généralement Maîtresse est
réveillée par les bonnes odeurs. Dès que le jardin
nous loffre je cueille une rose que je pose sur le plateau. Je lai
bien sûr cueilli tout nu avec la queue retroussée.
Ensuite nous faisons lamour :
le dimanche je nai jamais le droit d éjaculer : mais
maîtresse doit avoir joui au moins deux fois. Puis elle se retire
me laissant la queue vibrante de frustration et de désir. Elle
s assoit alors sur mon visage et je lui nettoie la chatte de sa
liqueur. J adore !!! Si Maîtresse est contente de moi, elle
en profite pour me gifler les testicules et la queue. Puis jenfile
ma ceinture de chasteté (fabrication maison avec du cuir) je peux
juste faire pipi. La ceinture est devant derrière : cela
signifie que maîtresse menfonce un gode dans la chatte que
je garde toute la journée. Puis nous décidons, ce que nous
allons faire de notre journée. Après avoir consulter les
enfants, il nous arrive de partir en promenade ensemble. Si les enfants
viennent la sortie est seulement familiale (Je fais seulement attention
à respecter les attentions dusage : galanterie,
) Si
nous partons seuls, la promenade se termine rarement sans que mes fesses
soient rouges, ma chatte élargie, mes seins meurtris et que jai
dû descendre mon pantalon et montrer aux oiseaux mes sous-vêtements
de soumis. Ce que jadore le plus cest la douche dorée
: Nous la pratiquons uniquement dans la nature pour des raisons de simplicité.
Nous cherchons un coin tranquille, je me déshabille et je mallonge
sous Maîtresse qui baisse sa culotte et me pisse dessus, bouche
bien ouverte. Parfois, elle sassoit sur moi pour que je ne perde
aucune goutte ou bien m inonde et je dois rentrer avec la soutien
gorge mouillé ou la guêpière (car il marrive
de la garder toute la journée). Chaque fois je dois bien la nettoyer
et jadore cela. Pendant la miction, elle choisit toujours une petite
badine et me fouette la queue à travers la ceinture de chasteté.
Au
début je ne sens rien mais les coups répétés
finissent par être douloureux et cela excite ma queue qui veut bander
mais est bloquée par le cuir. Ma queue est alors douloureuse pendant
un grand moment.
Voilà un peu la manière
dont je vis ma soumission au quotidien.
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