Histoires Des Invitées
The Story Of Sandy
Par Rubberjohn
Un jour de l’hiver 2013 je reçus par le courrier un paquet anonyme marqué US Post. C’était un DVD sans aucun signe distinctif. Je l’ai immédiatementintroduit dans le lecteur par curiosité et j’ai commencé un voyage stupéfiant qui m’a jeté dans un immense trouble…
Dès les premières images, la caméra suit dans une rue une femme, de dos, marchant d’un pas rapide. Grande et d’allure sportive, elle est vêtue d’une veste courte ceinturée en vinyle noir très brillant sur une jupe longue de cuir rouge, oscillant sur une paire de bottes à talons en vinyle noir assorties à sa veste. Elle porte des cheveux bruns et mi-longs. Il fait soleil dans cette ville visiblement britannique ou américaine, à lire les indications en anglais. C’est apparemment l’automne, des feuilles mortes virevoltent. La caméra suit fidèlement à quelques mètres cette grande femme, s’arrêtant aux passages cloutés, reprenant le rythme de la démarche avec quelques mouvements de zoom sur un détail de vêtement ou sur les cheveux qui flottent. Ce plan séquence ne s’arrête pas, la femme continue son chemin, la circulation se fait moins dense, moins bruyante. On s’écarte du centre ville pour aborder un quartier plus industriel. Les trottoirs sont plus rugueux et la femme doit s’arrêter pour faire passer de lourds et bruyants camions chargés de conteneurs. Les passages cloutés ont disparu, on est dans une zone industrielle, ou portuaire.. La caméra continue de suivre imperturbablement cette femme qui ne se retourne jamais. Elle hésite sur la direction à prendre, s’arrête pour consulter une adresse, reprend son chemin en regardant attentivement les plaques de rue. Puis elle s’oriente vers un hangar qui apparaît mal entretenu, voire abandonné. Elle prend son sac pour en extraire une clef, ouvre avec peine le portail rongé de rouille, entre dans une cour envahie par les herbes et où gisent quelques pièces de machinerie hors d’usage et se dirige vers une porte métallique d’un grand bâtiment aux façades métalliques rouillées pour y trouver une porte secondaire qu’elle se contente de pousser pour pénétrer dans le bâtiment. La caméra la suit. La femme referme la porte.
On y découvre avec surprise un tout autre environnement que ce que laissait supposer l’état délabré du bâtiment. Au milieu de la pièce fraichement repeinte, au sol de béton visiblement refait à neuf récemment, un cylindre de couleur noir, d’environ 3 m de long et 1 m de diamètre. De ce cylindre partent plusieurs câbles qui disparaissent hors de la pièce. La caméra s’attarde longuement sur ce cylindre, sorte de cuve, et en détaille chaque aspect. Sur une extrémité du cylindre on découvre une porte métallique, apparemment très lourde, à la manière d’un sous-marin, et la caméra s’en rapproche pour faire découvrir l’intérieur très spartiate. Une sorte de matelas, noir et brillant, occupe toute la partie inférieure. Plusieurs câbles sont reliés à un masque qui ressemble à un masque à gaz. Puis la caméra se retire de cet étrange habitacle de sous-marin, et se retourne sur la femme. Cette fois, on peut découvrir son visage, des traits fins et distingués, où apparaissent quelques fines rides, des yeux bleus, des cheveux châtains, mi long… La caméra recule,écouvrant la femme dans son entier. Elle s’assoie sur une chaise métallique, toujours vêtue de sa veste en vinyl noir, croisant ses jambes et ses bottes brillantes sous la jupe en cuir rouge mat. Elle est élégamment vêtue avec des pièces qui proviennent visiblement des meilleurs designers. Elle commence à parler, en anglais, la voix est posée, ferme, jeune.
« Bonjour
Je m’appelle Sandy, slave Sandy. Je fête aujourd’hui mes cinquante ans. Oui je ne les fais pas. Merci. C’est le résultat d’un long travail sur mon corps depuis trente ans. Beaucoup de sport, un régime draconien, pas d’alcool. Dur ? Non, cela a toujours fait partie de mon régime d’esclave depuis que j’ai choisi cette vie à ma sortie de l’université. J’ai été avocate, chef d’entreprise, jusqu’à l’âge de 35 ans. Puis mon maître de l’époque m’a proposé un régime permanent d’enfermement 24/24 qui me contraignait à renoncer à toute vie professionnelle comme sociale. J’ai accepté cette situation car avec les années l’épanouissement de mon masochisme et de mon fétichisme m’ont conduit à rechercher un régime de vie conforme à mes désirs les plus intenses. Je me sentais mûre pour quitter une vie brillante, intellectuellement et socialement. J’ai accepté le contrat qu’il me proposait et qui, avec mon accord, me privait progressivement de toute indépendance physique puisque je devais vivre en permanence enfermée dans un cachot soumise à ses rêves les plus intenses. Mais j’étais encore une femme qu’il aimait, qu’il choyait à sa manière. Au début, je sortais encore à l’extérieur, mon corps en bondage étant dissimulé sous une burka en latex, les mains entravées dans le dos, les chevilles reliées par une courte chaîne qui limitait mes mouvements. Ces sorties, fréquentes,étaient à la fois exténuantes et exaltantes car je croisais le regard des autres, parfois compatissant, souvent méprisant ou indigné, et je savourais ces moments d’intenses humiliations. Je trouvais dans ce régime l’épanouissement de mon rêve d’humiliation et de souffrance. Je rentrais en sueur, totalement épuisée, mais profondément heureuse et je retrouvais le silence de mon cachot avec soulagement.
Puis mon maître a décidé de me vendre. Il s’en est longuement expliqué, un soir, et m’a demandé de consentir à cette issue de notre relation. J’étais en effet à 40 ans une esclave d’occasion, usée même si j’étais encore désirable. Rien ne m’avait préparé à cette décision brutale. Ce fut un choc violent car je n’avais jamais conçu mon parcours d’esclave en dehors d’une relation amoureuse qui justifiait ces renoncements et alimentait mon désir. J’ai accepté, par soumission et confiance, mais aussi par résignation et curiosité. En signant mon nouveau contrat, j’ai ressenti soudain un immense désir qui m’a choqué, m’a coupé le souffle. Qui étais-je désormais ? Comme cadeau de départ il m’a fait tatouer ses initiales sur le pubis, en très grosses lettres, ensuite barrées d’une croix rouge, accompagné d’un texte également en rouge « former slave of ». Cette croix et ce texte, inutilement humiliants, m’ont fait pleurer pour le première fois. C’était le symbole d’une fin réelle, la projection vers un monde inconnu et angoissant qui m’attitrait. Je ne l’ai jamais revu.
Mon nouveau maître n’avait aucun attachement pour moi. Je n’étais qu’une esclave encore belle, mais dont la seule valeur était l’endurance, le masochisme authentique et un fétichisme absolu qui me conduisait à vivre en permanence en latex avec un plaisir sans cesse renouvelé. J’étais le clou de ses soirées. Attachée dans les positions les plus diverses, sans visage, toujours dissimulé sous des cagoules ou masques, en latex, en cuir, en acier sophistiqués, j’étais offerte aux pénétrations les plus insolites où je trouvais un plaisir renouvelé. Objets, humains de tous sexes, animaux de toutes tailles, j’étais ouverte, dilatée, réduite à n’être qu’un orifice sans visage, sans nom, sans existence. J’acceptais tout, humiliations, douleurs… me retrouver seule après leurs fêtes, attachée, inconsciente, immobile dans mon urine et mes excréments, dans le matin glauque, réveillée par un seau d’eau glacé, détachée sans ménagement et poussée dans un coffre de voiture pour être reconduite dans mon cachot. Ce régime a duré quelques années. J’ai trouvé au cours de ces années un accomplissement total contraire à tous les principes humanistes de mes vingt ans. Oui je l’avais désiré toute ma vie, j’étais devenu ce que je souhaitais, une putain, ouverte, sans âme, sans nom, sans image. Mon temps se partageait en séances violentes de flagellation, de tortures et de pénétrations et de longues périodes enfermée dans le cachot, le plus souvent dans un épais sac latex gonflable, réveillée toutes les trois heures pour une séance de gymnastique sur appareil destinée à maintenir mon corps en forme acceptable. Mes seins étaient en permanence douloureux. Des aiguilles en acier les traversaient, mes tortionnaires avaient plaisir à les chauffer pour me brûler l’intérieur. J’étais fouettée avec des fouets aux pointes métalliques qui me laissaient des plaies ouvertes , régulièrement exposée aux torture électriques. Mon vagin était dilaté en permanence, mes grands lèvres percées étaient cousues sur la face interne de mes cuisses. Mon corps était devenu sans forme. J’accomplissais ce chemin sans regret. J’avais choisi par vanité, arrogance, folie sûrement, ce sort extrême.
Il y a quatre ans, mon maître m’a à nouveau vendue. Cette fois il ne m’a pas informé et malgré mes services appréciés voulait se débarrasser de moi comme d’un objet encombrant, sans ménagement. Un soir deux hommes sont entrés dans ma cellule, m’ont endormie par une piqûre et je me suis réveillé dans un cadre inconnu. Bien sûr attachée par des sangles métalliques, toujours enfermée dans la combinaison latex qui ne quittait plus depuis des années, respirant à travers un masque à gaz qui laissait entrevoir la lumière du néon qui éclairait la pièce dont je ne pouvais découvrir la taille.
C’était le jour de mes quarante six ans.
Quelques jours plus tard, deux hommes cagoulés sont venus me rendre visite. On m’a retiré mon masque mais immédiatement remis une cagoule latex épaisse totalement opaque. L’un des hommes pris la parole.
« Slave Sandy
Tu as été achetée il y a quelques jours pour être prostituée comme esclave masochiste dans un bordel spécialisé. Tu n’as plus que quelques années à vivre et donc tu peux te réjouir du fait que les clients auxquels tu seras proposée n’auront aucun ménagement à ton égard. Mais avant de rejoindre ce lieu, tes nouveaux propriétaires ont décidé d’accroitre ta valeur marchande. Tu vas donc être totalement privée de tes organes sexuels, totalement épilée, tu n’auras plus de caractère féminin et ton corps mince pourra être utilement exploité comme homme ou femme uniquement par l’orifice anal qui sera définitivement déformé. Demain tu entreras en clinique pour subir une épilation complète par laser, en particulier tes cheveux, sourcils et cils, l’ablation des seins, du clitoris des lèvres, de l’utérus, puis ton sexe sera cousu, par des agrafes métalliques, l’urètre détourné. Tes dents seront arrachées. Nous tenons à ce que tu consentes à ce traitement. Car il n’a pas que cela… Tu vas être détachée pour signer ton contrat. «
Effectivement, je fus détachée, libérée de ma cagoule, puis assise sur une chaise où on me tendit un texte à lire. Je commençais à lire les articles qui confirment dans le détail ce qui venait de m’être expliqué. Au dernier article « Termination of contract » je m’arrêtais avec surprise devant des dispositions qui ne m’avaient pas été expliquées.
« Le soussigné prend connaissance des règles de fin de son contrat. Le jour de son 50e anniversaire, l’esclave se rendra de son propre chef dans un lieu qui lui sera indiqué soixante jours auparavant ce qui lui permettra avec les soins requis de retrouver une apparence normale. Elle sera dotée d’une perruque, vêtue de vêtements de marque destinée à la rendre désirable et à dissimuler sa transformation androgyne. Elle suivra les consignes qui lui seront remises alors. »
Je signe alors ce texte qui me condamnait à au moins quatre années d’une vie consacrée à la douleur. Tout dans mon âme et dans mon corps acceptait ce sort. Mon chemin prenait forme, vers une issue encore incertaine, mais que je pressentais fatale. Tout se réalisa comme prévu. Je fus opérée dès le lendemain. Au moment de l’anesthésie, l’infirmière, prévenue, m’a accordé par une caresse experte un orgasme que je savais être le dernier. En quelques semaines, je fus de nouveau opérationnelle. Je n’avais plus de sexe, plus de sein, je ne ressentais plus rien. Je n’étais plus rien. Un objet asexué, un corps anonyme sans visage, un sac de latex jeté dans un coin… Je fus ensuite conduite dans une cellule entièrement couverte de latex, insonorisée, fermée par une lourde porte. Seul un appareil de gymnastique occupait la cellule. On me remit une combinaison latex avec une cagoule qui fut cette fois collée à la combinaison et un masque à gaz totalement étanche avec un tube m’alimentant en air, en eau et en liquide nutritif. Mes mains furent emprisonnées dans des mitaines latex sans doigt. Je fus couchée sur le ventre sur un lit mécanisé permettant de varier les angles de pénétration, jambes écartées, bras écartés, seul mon orifice anal étant en contact avec l’extérieur.
Je n’imagine pas avoir vécu ainsi quatre ans, immobilisée, fouettée, brûlée, pébétrée, remis debout toutes les six heures pour terne minutes d’exercice. Comme le stipulait mon contrat, j’ai effectivement été libérée de ma cellule il y a huit semaines. Mon corps a retrouvé l’air libre, en quelques jours j’ai pu recommencer à marcher, puis je fus transportée par un vol commercial normal, avec un passeport doté d’un nom d’emprunt dans une station balnéaire au Mexique où j’ai commencé à revivre, courir sur la plage, manger normalement. Seule mais avec un contrôle efficace autour de moi. Cette liberté retrouvée,ce désir d’air et de soleil, ne me faisait pas oublier l’échéance et le contrat. Il y a cinq jours je suis revenue à New York. On m’a offert une chambre au Waldorf et habillé des vêtements que vous me voyez porter aujourd’hui , Versace. Ce matin, au réveil, j’ai reçu un mot me donnant cette adresse. Je vais ouvrir avec vous la suite des instructions.
« Slave Sandy
C’est ton premier maître qui t’écrit. Tout ce que tu as vécu jusqu’alors a été conçu par moi et mes amis. J’ai suivi jour après jour ton aventure, programmé tes traitements, été présent lors de tes opérations. Je suis fier de ce chemin.
Aujourd’hui j’attends encore de toi un nouvel effort. Le cylindre que tu vois dans cette pièce peut être ta une nouvelle expérience exaltante si tu le souhaites. Tu vas revêtir la combinaison de latex que tu vois ici. A ce moment la porte va se refermer. Le cylindre est relié au courant électrique, mais j’ai prévu deux générateurs de secours, nous sommes à New York ! Une fois enfermée dans le cylindre, un liquide se répandra pour remplir intégralement le cylindre. Les lumières s’arrêteront. Ce liquide opaque durcira progressivement pour devenir entièrement rigide et t’enfermer dans un cocon solide, te privant totalement de mouvement, mais te permettant de respirer. Des circuits électriques exciteront tes muscles pour te permettre de maintenir leur tonicité.
Le reste de l’histoire est à écrire. La capacité de ce cylindre est illimitée. Mais tu peux en être extraite. Je diffuserai dès de main ton histoire et les images qui sont actuellement prises sur plusieurs sites. Je donnerai suffisamment d’informations pour que ce lieu puisse être identifié par un candidat perspicace et opiniâtre à ta reprise, suffisamment motivé. Si quelqu’un te cherche et de trouve, il pourra disposer de toi. Tu es désormais libre. Nous sommes aujourd’hui le 3 septembre 2012. Je te dis adieu cette fois je ne te parlerai plus jamais. A toi en effet de choisir ton sort.
Tu peux repartir par où tu es venue, tu es belle, désirable, intelligente. Tu n’as que cinquante ans ce qui est désormais rien pour une femme comme toi et la chirurgie réparatrice pourra faire des miracles pour te permettre de retrouver une vie presque normale si tu le souhaites.
Tu peux entrer dans ce caisson et t’exposer à une nouvelle aventure. Je pense que tu seras secourue. Un clavier électronique permet de liquéfier à nouveau le liquide qui va t’immobiliser comme un insecte dans l’ambre, puis d’ouvrir la porte. Certes l’immobilisation forcée réduira tes capacités physiques et mentales. Mais tu es forte, tu reviendras à la vie.
Il se peut que personne ne vienne à ton secours. Je ne le ferais pas non plus, ne t’accroche pas à cette hypothèse. Remets t’en au hasard et à la chance ! Dans ce cas tu vivras encore quelques mois dans ce cocon, tu vivras un rythme aléatoire d’éveil et de sommeil, sans dates, sans jours ni nuits. Tu subiras aléatoirement des décharges électriques d’intensité variable qui te feront souffrir sans jamais être létales. Tu auras certainement le désir d’en finir, de ces souffrances, de cette immobilisation, de cet ennui. Tu ne le pourras pas. On ne sait pas combien de temps tu pourras vivre dans cette installation autonome et robuste. Des mois, sans problème, es années sûrement et un jour sans que l’on sache pourquoi, ton cœur cessera de battre. Alors ce cylindre et tout ce qui le contient s’autodétruira. »
La caméra se tourne alors en gros plan sur le visage de Sandy. Elle semble hésiter mais après quelques brefs instants de réflexion elle dit très clairementet sobrement: « Je vais continuer l’Expérience ». Elle se défait de ses vêtements de luxe qui lui donnaient si belle allure, elle retire sa perruque, les faux cils et sourcils, et se montre totalement nue devant la caméra. On découvre alors que son corps est intégralement tatoué. Sur son ventre, est tatoué la réplique exacte du cylindre noir. Sur son dos, l’image précise en couleur de la femme en ciré noir et cuir rouge. Partout des dessins de femmes fouettées, pendues, décapitées… Un livre d’images SM toutes réalistes et violentes sur lequel la caméra s’attarde longuement. Sur son crâne chauve et lisse., les lettres FTWTD. « Fuck this Whore to Death » .
Elle se dirige vers l’épaisse combinaison de latex noir qu’elle met sans difficulté, insérant dans son anus un long et épais cylindre, avalant avec plus de difficultés le tube gastrique qui lui permettra d’être alimentée. Elle est familière avec ces procédures de routine qui ne lui prennent que quelques minutes. Puis elle pénètre dans le cylindre, s’étend sur la couchette en latex, se saisit du masque qu’elle ajuste à sa combinaison, ayant mis préalablement un cordon de colle pour solidariser les deux pièces et vérifier les connections, l’arrivée d’air et d’eau, la connexion électrique de la combinaison et du plug anal. Sur le panneau de contrôle toutes les diodes passent au vert. Elle appuie sans hésiter sur le gros bouton rouge qui déclenche la procédure finale, tous les tests de contrôle. La porte se ferme alors lentement, le verrouillage s’opère. La caméra extérieure passe le relais à la caméra intérieure. Dans la cellule éclairée, on voit clairement Slave Sandy, maintenant fermement tenue aux chevilles, aux genoux, au buste et enfin au cou par des sangles en acier qui se sont déployées, puis progressivement un liquide noir envahit la base de la cellule, monte lentement pour recouvrir le corps de la femme, parvient à son masque puis le submerge avant de dissimuler la totalité du corps. Lorsque le liquide parvient au niveau de la caméra, tout s’éteint. De l’extérieur à nouveau, on voit le cylindre où est peint un grand S en blanc. Le DVD s’arrête sur cette image.
Le mardi 30 octobre 2012, la ville de New-York était frappée par un ouragan gigantesque, Sandy, qui balayait la zone portuaire.
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