Histoires Des Invitées
Une Mauvaise Blague De Lisa
Par Eux Dominique Dono
Ceci est une histoire vraie qui s'est passée aux alentours de mes 20 ans. Je connaissais lisa depuis assez peu de temps, elle était très vivante et
malicieuse. Nous ne sortions pas ensemble, mais j'étais toujours fourré avec elle. J'avais rendez-vous dans l'après-midi avec lisa, histoire de faire un
tour en ville et pourquoi pas aller au ciné, avant de partir à l'anniversaire d'Emilie, une amie de lisa. Je la retrouvai donc vers 15h dans la rue, les
bras chargés de paquets. - Tiens face j'en connais une qui a du faire chauffer la carte bancaire cet après-midi!- Même pas, et puis bon c'est les soldes,
ça sert à ça!- On va où alors ?- En fait il me reste une course à faire, et c'est pas loin de chez moi! On va y aller vite fait, comme ça après on pourra
aller tout poser chez moi avant de repartir quelque part! Ca te va ? - Ok pas de problème!Nous discutons tranquillement en marchant pendant une dizaine de
minutes, quand tout à coup lisa me lance :- Dis-moi, t'es déjà rentré dans un magasin de lingerie ?- Euh.. non jamais. Parce qu'en plus tu veux te racheter
des p à ce que etites culottes ? lui répond-je en rigolant. Je vais avoir l'air de quoi moi là-dedans...- J'en aurai pas pour longtemps.., et puis je te
demandrai ton avis! Nous continuons encore sur quelques centaines de mètres, puis lisa reprend avec un sourire :- Je viens d'avoir une idée super conne...-
Quoi donc ? - Monsieur fait le timide pour rentrer dans un magasin de lingerie, donc... je te lance un défi..Amusé, je lui demande de s'expliquer.- T'es
pas capable de te mettre 30 secondes à poil dans une cabine d'essayage du magasin..- Hein? C'est nul comme truc ; et on sera pas S 10 tout seuls !- Si il
n'y a personne d'autre dans le magasin, tu le fais!- Mais...- J'ai déjà fait ça avec mon cousin, lui il a pas grogné!- Si ca t'amuse je le fais, mais bon
c'est bien parce que c'est toi!- Ok c'est noté!En fait le magasin n'était qu'à quelques mètres, et j'entrai derrière lisa un peu gêné. Heureusement il y
avait une cliente qui parlait avec la vendeuse au fond, je me retournai donc vers lisaavec un sourire. lisacommença donc à se promener dans les rayons, e
tendant de temps en temps un soutien-gorge en dentelle ou un string en me lançant en rigolant un : "Ca te plaît ?". Soudain elle se tourna vers moi : -
L'autre cliente s'en va ! Dépèche-toi les cabines sont à l'étage !- T'es sûre que...- Allez vas-y vite si tu veux pas que quelqu'un d'autre ar S rive entre
temps!Je posai les sacs par terre et je me lançai sans réfléchir vers l'escalier. Arrivé en haut je m'engouffrai dans une cabine. Après une longue
hésitation, je commençai à me déshabiller : chaussures, chaussettes, sweat, t-shirt, jean, puis après un long soupir mon caleçon. lisaarriva soudain : - Ca
y est ? Allez, passe moi tout ça!- Quoi ? - Eh on me la fera pas celle-là! répliqua-t-elle avec un sourire, au moins tu risques pas de tricher !Je lui
tendis donc le tas de mes habits à travers le rideau, et sans attendre elle s'éloigna en s'esclaffant. Et j'attendis... nu comme un ver, ne préférant pas
réfléchir à la situation dans laquelle lisam'avait fourrée ! 30 secondes... 1 minute... je craignais à tout moment que quelqu'un ne rentre dans le magasin,
et lisa n'arrivait pas..! ...2 minutes ! Soudain j'entendis ses pas dans l'escalier. - Coucou ! Pas trop froid ma mignonne ?- trés drôle lisa passa soudain
sa tête par l'entrebaillement du rideau en rigolant :- C'est vrai que c'est pas génial ces sous-vêtements, il faudrait te trouver quelque chose de mieux
!lisa ressortit soudain, prit quelque chose par terre et me le lança par dessous le rideau.- Avec ça ça ira sûrement mieux, dépêche-toi de tout enfiler
!lisa m'avait fait passer l'ensemble sous-tifs/string en dentelle rouge qu'elle m'avait montré tout à l'heure !- Allez non me dis pas que tu veux que je
mette ça! lui lançai-je d'un ton implorant, et si quelqu'un arrive ? - Tu préfères repartir tout nu on dirait ? Comme tu veux ! Je te laisse 20 secondes
!La mort dans l'âme je pris le petit bout de dentelle à mes pieds, et y passai les deux pieds, puis je le remontai le long de mes jambes... Heureusement
Caro avait bien choisi, mon attirail y rentrait de justesse, mais par contre ça me rentrait dans le derrière... Je commençai alors à enfiler le
soutien-gorge, mais je n'arrivais pas à l'attacher dans mos dos.. Soudain lisa se glissa dans la cabine, et éclata de rire en voyant mes efforts : - Laisse
moi faire ma chérie je vais t'aider !La chose faite elle prit alors dans un sac deux collants roulés en boule, et les enfonça dans mes bonnets C.-
Magnifique le rouge sombre te va à ravir !- Très drôle.. tu me rends mes habits maintenant ?Pour seule réponse je vis lisa ressortir de la cabine, et
revenir avec un des sac que je portais tout à l'heure :- Bah attends avec tout le mal que tu t'es donné pour en arriver là, on va quand même pas s'arrêter
en si bon chemin! Et dans le même temps elle sortit du sac un chemisier blanc !- J'ai mis tes affaires avec les autres sacs en bas, si tu préfères aller
les chercher te gêne pas!, ajouta-t-elle en s'esclaffant. Allez tends tes bras!Mortifé, voyant que j'étais maintenant totalement à la merci de lisa, je
préférais me dépêcher de lui obéir, pour pouvoir en finir... Je lui tendai donc un bras, qu'elle m'enfila dans les manches étroites du chemisier. - Aowww !
m'exclamais-je pendant qu'elle me prenait l'autre bras, ce chemisier est minus six cule !lisa eut grand mal à m'enfiler le second bras, et après cela mes
épaules étaient complètement serrées! ; et le chemisier n'était pas encore boutonné...- Je rentrerai jamais là-dedans ! m'exclamais-je. Ha ha t'as visé
trop petit !- C'est vrai t'as raison.. Ca va pas aller comme ça.. Attends je reviens !lisa s'éloigna rapidement, pendant que j'enlevai le chemisier tant
bien que mal. Cela me prit beaucoup de temps, et lisa ne revenait toujours pas.. Enfin, alors que je m'apprêtais à faire de même avec le soutien-gorge,
lisa revint tout à coup dans la cabine. - Désolé miss, ça a pas marché ton petit plan, lui lançais-je.- Oui, je sais...Et sur ce elle m'aida à enlever mon
sous-tifs, mais alors que je me penchai pour me séparer de mon strin est-ce g, lisa me retint le bras :- Attends attends j'ai pas tout fini !Elle sortit de
sa poche un foulard noir, et me banda les yeux avec ! avant de prendre quelque chose derrière le rideau... Puis elle me prit un bras, puis l'autre, et me
les passa dans de fines bretelles. Sans attendre elle commença alors à me refermer cet habit inconnu devant moi, de la poitrine à l'entrejambe. Puis elle
passa derrière moi, prit ce qui me semblait être des lacets dans mon dos, et soudain.. elle serra ! Je tentai de protester mais inexorablement elle tira
sur les boucles dans mon dos, de haut en bas, et ma poitrine à nouveau remplie de collants se comprima, mon torse tout entier se modela, écrasé par le cuir
baleiné du corset. Je respirais à peine quand enfin lisa noua les lacets dans mon dos, puis admira ma taille de guêpe en rigolant. - Voila ca devrait
rentrer maintenant !Elle reprit alors le chemisier et m'y repassa les bras. Je la sentis, impuissant, me le boutonner sur le devant.. Le chemisier épousait
parfaitement mes formes maintenant ; puis sans attendre lisa s'accroupit, et m'enfila alors une paire de bas à coutures, qu'elle fixa ensuite au corset par
6 jarret elles.. Je ne protestais même plus, cherchant plutôt mon souffle et essayant de me rappeler comment j'avais pu en arriver là. lisa poursuivit
ensuite avec une jupe droite beige en velours, encore très serrée, qui me descendait juste en dessous des genous et se terminait par un volant qui venait
frotter contre mes jambes gainées de lycra. Alors seulement elle m'ota mon bandeau, et me permit de voir mon corps remodelé : - T'as de la chance moi j'ai
jamais mis de corset, ça te va à merveille ! me lança-t-elle en rigolant. J'espère que tu me laisseras l'essayer de temps en temps ! Tiens assieds-toi
maintenant !J'essayai alors de le faire, mais c'était sans compter le corset qui me rigidifiait tout le torse, des épaules aux cuisses, m'interdisant de
m'asseoir complètement...- Ha ha oui c'est vrai il est assez long celui-là j'avais oublié. Tant pis !Elle prit alors un autre sac dehors, et en sortit une
grande boîte devant moi, d'où elle extirpa...- Oh c'est pas vrai tu veux aussi me voir avec des chaussures pareilles ?- Bien sûr ma chérie !Et sans se
soucier de mes gémissements, elle me prit une cheville et commença à m'enfiler des bottes noires qui me remontaient jusqu'au dessus des genoux..- Comment
je vais marcher ave c ça ?...- 14 cm de talons aiguilles ! Ca j'avoue j'ai dû commander sur internet, mais ça en vaut vraiment le coup !lisa referma en
forçant un peu la fermeture éclair sur le coté de la botte, et je me retrouvai en moins de deux trébuchant sur ces talons démesurés, haletant dans mo n
corset de cuir.Ma tenue fut alors complétée par un pull blanc à col roulé en laine, puis par une longue veste en toile, dont lisa serra bien la ceinture,
"pour souligner la taille". Vint alors le maquillage -résigné, je laissais lisa faire- avec mascara, rouge à lèvres... Et enfin lisa termina en me mettant
en rigolant un bonnet en laine qui masquait ma coupe masculine. - Voila t'es parfaite ! s'exclama-t-elle en me reluquant, allez on rentre maintenant on pas
que ça à faire !Et sans attendre elle sortit de la cabine, et se dirigea vers l'escalier. Elle allait le faire, elle ne blaguait pas... L'idée de sortir
accoutré ainsi me terrifiait, mais celle de me retrouver seul ici si je ne le faisais pas était encore pire à imaginer. J'essayai alors de marcher, cambré
sur mes bottes, pour rejoindre lisa. - lisa ! lui lançais-je implorantDescendant l'escalier, elle feint de m'ignorer, je me dépêchai alors tant bien que
mal de la rattraper, en essayant de ne pas penser à la vendeuse qui devait être en bas.Enfin sortis du magasin. lisa m'entraîna vers chez elle. Mes talons
claquaient sur le trottoir à la mesure de mes petits pas limités par la jupe. J'avais grand peine à suivre le train de lisa, qui commentait ma démarche
d'un ton sévère : - Pas mal pour une première fois! Ya encore des progrès à faire mais tu vas t'y habituer! Allez rejoins moi chez moi, je dois passer chez
le boulanger!Et elle partit en courant, me laissant seul en pleine rue!.. Enfin après cinq bonnes minutes lisa me rattrapa devant chez elle.- Qu'est-ce que
t'attends là ? me lança-t'elle en arrivant. Monte !Lorsqu'elle ouvrit enfin la porte de chez elle, je me précipitai à l'intérieur en poussant un soupir de
soulagement. Après avoir desserré ma ceinture et m'être débarrassé de ma veste de toile, je me dirigeai aussitôt vers le salon, et m'affalai sur le canapé.
- Putain lisa... soufflais-je.J'haletais dans le corset, et mes orteils comprimés dans les bouts pointus de mes bottes criaient leur douleur.Je me
redressai alors, et m'apprétais à enlever illico mes bottes et tout le reste, lisa arriva soudain derrière moi, me pris un poignet et le tordit vers
l'arrière. Etranglé par le corset, je tentais tout de même de me débattre, mais soudain j'entendis un 'clic', et mes coudes se retrouvèrent menottés dans
mon dos! J'étais complètement cambré maintenant, et incapable de me servir de mes mains! - Non mais pourquoi tu enlèverais ces belles bottes ? Elles te
vont à ravir ! me lança-t-elle avec un sourireEt aussitôt mes chevilles se retrouvèrent aussi cerclées de métal! Commençant à trouver la blague un peu
longue, je voulus protester, mais sans que je ne puisse rien faire, lisa extirpa devant moi une sorte de sangle munie d'un anneau en son centre, dans
lequel elle introduit une sorte de rondelle de caoutchouc prolongée par un petit tuyau souple. Soudain elle s'approcha de moi, et me plaça la sangle autour
de la tête, la rondelle venant s'insérer dans ma bouche! Alors qu'elle me serrait fortement la sangle derrière la tête, je commençai franchement à
m'énerver- Tu parles beaucoup, ma jolie, tu devrais pas te plaindre avec tout ce que je fais pour toi ! repliqua lisa avec un sourireEt soudain, la petite
rondelle de caoutchouc que j'avais déjà oubliée dans ma bouche se mit à gonfler ! Inexorablement ma langue se plaquait contre mon palais, et ma bouche
s'emplissait de caoutchouc! Enfin quand lisa lacha la petite poire au bout du tuyau, je ne parvenais qu'à pousser des "MMffhh!" désespérés. - Voila, au
moins j'aurai la paix! Dit-elle d'un ton sévère. Juste une dernière petite touche et tu seras fin prête pour notre départ !Notre départ ? De quoi
parlait-elle ? Mes "MMMhh!" insistants n'empêchèrent pas lisa de se pencher alors à nouveau vers le sac d'où elle avait sorti tout son attirail pour
m'entraver.. Elle en sortit une large ceinture de cuir noir, qu'elle attacha sous mes yeux effarés autour de ma taille! Elle prit alors mes poignets, et
malgré ma résistance je ne pus l'empêcher de les enserrer dans des bracelets en cuir fixés à la ceinture, qui me forçaient à me tenir encore plus cambré
sur le canapé! Incapable même de me redresser seul maintenant, j'étais totalement à la merci de lisa.
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