Tu es sagement debout devant moi, nu,
attendant de devenir mon jouet pour la soirée. Tu te demandes ce
que je te réserve comme tortures. Tes yeux observent le moindre
de mes mouvements et tu ne peux empêcher un début d'érection
en regardant mon corps moulé de latex. Pour cette soirée
spéciale, j'ai revêtu mon catsuit noir, le latex luisant
moulent mon corps aux formes élancées. La blancheur de mon
visage angélique est soulignée par le capuchon noir de mon
catsuit, créant l'effet d'un masque ouvert ou open-face. Mes grands
yeux verts maquillés de khôl noir et ma petite bouche rouge
me donnent l'allure d'une poupée de caoutchouc vivante. Perchée
sur mes cuissardes noires et lustrées, je pose une main gantée
de latex sur ta bouche. Je te regarde dans les yeux.
« Es-tu prêt à
devenir mon objet de plaisir, à te laisser envelopper autant que
je le voudrai, comme je le voudrai? Et sans protester? ?? »
Lorsque tu entends le mot «envelopper
», ton excitation augmente, tes yeux brillent. Tu te dépêches
d'acquiescer en hochant la tête.
« Es-tu prêt à
te laisser prendre comme une salope, jusqu'à ce que Maîtresse
aie son plaisir?? »
Tu hoches la tête à nouveau
et j'entends un gémissement étouffé. J'accentue la
pression de ma main sur ta bouche. En souriant, je dis:
« Bien, très bien. Je
ne veux pas entendre un mot venant de toi. Que ma nuit de plaisir commence!!
Hahaha! »
Je saisis le rouleau de pellicule
transparente et commence à envelopper tes jambes, bien serrées.
Je monte lentement, patiemment. Le plastique enserre ton corps, afin que
ma momie soit parfaite et ne puisse pas m'échapper. Tu sens le
plastique coller sur toi, sur ton sexe. Tes bras descendent le long de
ton corps. Tes mains reposent sur le haut de tes cuisses. Mais tes mains
ne te servent plus à rien
Le plastique entoure ta taille, enserre
ta poitrine. Surpris de ne pas avoir de bandeau sur les yeux, tu me regardes
t'envelopper. Tu vois mon beau visage concentré, mais aussi mon
sourire pervers et la lueur dangereuse dans mes yeux. Je peux voir ton
beau sexe en érection sous son emballage de plastique. Bientôt,
tu es momifié jusqu'au cou. Tu ne peux plus rien faire. Tu es à
moi. Il est trop tard pour éprouver doutes ou regrets!!
« Tu m'as assez contemplé,
esclave. Mmmm, voilà la partie que je préfère
»
Je commence à recouvrir ta
tête de plastique. Je recouvre tes yeux, ton nez, ta bouche. Tu
comptes les épaisseurs. Tu ne peux plus respirer!!
« Voilà! Tu n'as plus
de nom. Tu n'existes que pour mon plaisir. Je peux faire ce que je veux
de toi, esclave. Personne ne viendra te secourir!!! Hahaha!!! »
Tu souffles fort et rapidement. J'aime
t'entendre étouffer sous le plastique. Je me sens mouiller entre
les jambes. Je n'ai qu'à te regarder, si beau, si bien momifié,
pour être la Maîtresse la plus heureuse du monde. Et toi,
tu n'es pas trop à plaindre non plus
jusqu'à maintenant
Malheureusement, je dois percer un
trou au niveau de ta bouche. Car la soirée ne fait que commencer
Soulagé, tu aspires avidement cet air nouveau et frais. Puis tu
entends le bruit d'une roulette de tape qu'on décolle. Oh! Noooon!
Rapidement, j'enroule le tape de façon
alignée autour de tes jambes, ta taille, ton buste, ton cou
Sous ton enveloppe, le seul bruit qui t'entoure est celui affolant produit
par le tape. Tu es entre les mains d'une Maîtresse fétichiste
et perverse. Tu es prisonnier, tout emballé de tape gris, impuissant
et dépendant
Bientôt, tout n'est plus que noirceur, alors que ta tête est
recouverte de tape. De quelle couleur est le tape? Tu réalises
que tu ne le sais même pas! Tout ce que tu sais, en ce moment, c'est
que tu dépends entièrement de moi, de ta Maîtresse.
Et que si tu veux en sortir vivant, tu n'as pas intérêt à
me décevoir!
« Étends-toi sur le lit!
»
De ma main, je te pousse vers l'arrière.
Tu es, quelques secondes, suspendu dans le vide, ne pouvant utiliser tes
bras pour te retenir. Tu atterris sur le lit comme un paquet, un cadeau,
que je n'ai pas envie de développer pour l'instant!
Tu sens que je termine ton cocon en
emballant tes pieds de plastique, puis de tape. Je grimpe ensuite sur
le lit, près de toi. À quatre pattes, je monte sur toi,
mes mains parcourent ton corps momifié de tes pieds jusqu'à
ta tête. Triomphalement, je m'assois sur ta poitrine. Mes mains
entourent ton visage. Tu aimerais tant voir mon beau visage rayonnant
à cet instant!
« Tu respires trop facilement,
ce n'est pas amusant. Je vais y remédier
»
Tu sursautes sous ton cocon. Quoi
encore?
Par l'ouverture qui te permet de respirer,
tu sens quelque chose de dur, de rond, de doux, s'immiscer dans ta bouche.
Un tube! Puis encore le bruit du tape.
Je scelle minutieusement le tube en
place. Plusieurs épaisseurs de tape t'empêchent de respirer
autrement que par le tube.
J'ai terminé. J'ai devant mes
yeux une magnifique momie, belle et excitante. Je regarde ta tête
et le tube te permettant de respirer. Tu m'excites tellement, je n'en
peux plus! Je commence à frotter mon sexe contre ta poitrine momifiée.
Mes mains caressent ta tête enveloppée. Je me délecte
de te regarder ainsi à ma merci. Je sens monté en moi le
plaisir que me procures ta beauté combinée à la friction
de mon clitoris sur ton corps enveloppé. Parfois, ma main s'arrête
par accident sur l'entrée du tube qui te garde en vie. Tu cherches
avidement de l'air et commences à t'agiter. Je continue à
me frotter contre ma momie, mes mouvements se font de plus en plus saccadés
et, bientôt, je sens la vague de l'orgasme m'envahir. Je sais que
sous l'épaisseur de plastique et de tape, tu as entendu mes cris
de plaisir. Tu es impuissant, tu es excité, ton sexe est dur
« C'est bien, esclave. Tu m'as
excité, j ai eu mon plaisir, je n'ai plus besoin de toi. J'ai autre
chose à faire maintenant. Au moins, je sais que tu ne pourras pas
te sauver! Hahaha! »
Et tu m'entends quitter la pièce,
le bruit de mes talons sur le plancher allant en diminuant.
Tout n'est que silence autour de toi.
Seul le bruit de ta respiration t'accompagne. Tu te débats mais
tu es incapable de percer ton cocon. Tu es bel et bien momifié
et prisonnier des désirs de ta Maîtresse. Alors que le temps
passe, tu commences à imaginer le pire. Et si je ne revenais pas,
si personne ne te trouvait, si tu allais mourir lentement de déshydratation
Soudain, tu sens une pression au niveau
de ton sexe. Je découpe une ouverture dans ton cocon pour dégager
l'objet de ma convoitise. Je sors ton sexe long et dur de sa cachette,
et, entre mes mains, il devient encore plus puissant. Je le caresse, je
le presse entre mes mains, entre mes lèvres. Il goûte si
bon, il est tiède et moite. Tu sens la chaleur de ma bouche envelopper
ton pénis tout entier. Je t'entends gémir de plaisir.
Puis je grimpe sur toi. J'ouvre la
fermeture éclair de mon catsuit entre mes jambes. Et je m'empale
sur ton sexe. Tu sursautes violemment alors qu'un cri étouffé
me parvient à travers le tube.
« Gentil esclave, ta queue est
bien dure. Tu sens mon sexe mouillé et chaud? C'est bon, je sais
que tu aimes ça. Tu n'es qu'un pervers! »
Je commence à bouger mon bassin,
lentement, en un mouvement avant-arrière. Je couche le haut de
mon corps contre le tien, mes mains enserrant ta tête. J'adore regardé
un visage masqué. Je presse ma bouche contre l'ouverture du tube.
Je t'envoie mon air vicié. Tu ne mérites pas mieux. Respirer
l'air que te rejettes ta Maîtresse est un honneur pour toi.
Je bouge de plus en plus vite, je
serre ta tête entre mes mains de plus en plus fort.
« Ne viens pas, esclave! Je te
l'interdis! »
Tu t'agites, tu gémis, tu cries
Alors que je sens monter en moi la
marée orgasmique, mes muscles se contractent, mon corps de latex
est tendu et raide contre ton corps momifié. Je commence à
gémir plus fort et tu entends, près de ton oreille:
« Viens en moi, esclave! »
L'air n'arrive plus à tes poumons,
le tuyau est bloqué par ma main. Tu m'entends gémir et crier,
et, alors que tu crois ta dernière heure arriver, tu laisses libre
cours à ton orgasme plusieurs fois réprimé. Sous
le cocon, à travers le tube respiratoire maintenant libre, j'entends
tes rugissements! L'orgasme nous emporte tous les deux
Épuisée, je m'étends
sur toi et te serre dans mes bras.
Jusqu'à la prochaine fois.
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