(Le deuxième text est surtout une reflexion à propos de la generation des jeunes adultes.)
Par "La Dame D'Un Autre Continent"
(traduit par Maître Pierre)
Réflexions sur l’article de Flare:
Le premier livre sur le sexe que j’ai lue, a été au début de mon adolescence. Ce livre a abouti quelque part au-dessous de la pile de livres que je possède. Depuis, j’ai fait la lecture de plusieurs autres livres, mais, j’ai toujours aimé ce livre pour ce passage :
“La difficulté est que notre société, dans les dernières années a mis tellement l’emphase sur le sexe en tant que technique que plusieurs ont perdus le point de vue de sa connexion avec la personnalité et l’émotion…. Le sexe ne se passe pas dans un vide mais reflète nos vies personnelles…. L’essence de qui nous sommes. (Love lives, Dunkell, 1982, p.28) "
Paolo Mantegazza a écrit :
" les hommes, insatisfaits du plaisir naturel de l’union sexuel s’efforce d’augmenter celui-ci (le plaisir) avec plusieurs artéfacts variés, dans lesquels, l’imagination s’est dépassée. "
Dines raconte:
« La génération Y s’ennuient facilement. Si vous avez grandi avec une diète constante de porno avec le sexe anal, l’étouffement, le crachage », « le vrai sexe avec un autre humain devient ennuyant très rapidement. (Smith, B, 2013) “
Je suis en accord, on peut ajouter autant d’éléments fétiches (kink) ou non, le sexe vanille ne sera jamais satisfaisant.
Dunkell (1982) a écrit :
" La créativité des humains est toujours présente et peut triompher sur les inhibitions les plus profondes. En réalité; le besoin d’expérimenter et d’essayer quelque chose de nouveau est pour presque nous tous, un mécanisme toujours en marche. Dans les relations sexuelles, le facteur de la nouveauté possible est un élément très puissant, élément qui a la possibilité d’un plaisir plus grand. "
Il y a deux cotés à la médaille dans cette qualité. Du côté négatif; ça veut dire que quelqu’un sera toujours à la recherche de la chose qui le ou la mènera à une jouissance plus grande. Il y a tellement de bloggeurs aujourd’hui qui vantent leurs orgasmes plus grand, meilleurs, explosifs qu’ils sont de plus en plus accroc à leurs besoins du fétichisme (kink). Ce fétichisme (kink) augmente l’intensité de leurs orgasmes. Des éléments importants comme « le conditionnement », l’épuisement et « la désensibilisation » y jouent un rôle majeur.
Fait référence à un processus ou le comportement change en récompensant ou en punissant ce comportement. Il utilise des processus très spécifique : la stimulation – comportement / réaction au stimulus – conséquence / effet sur le comportement. Pour l’exemple; l’asphyxie érotique- l’orgasme intense – le besoin de l’asphyxie érotique pour créer cet orgasme intense.
Désensibilisation / l’épuisement:
Ce phénomène arrive quand les stimuli utilisés ne produisent plus les effets désirés. Pour l’exemple; un certain fétiche ne produit plus l’orgasme intense habituel, donc, le besoin d’un stimulus nouveau. Un(e) soumis(e) a atteint une tolérance tellement grande à la douleur que le (la ) Dominant(e) doit utiliser une nouvelle méthode pour créer la réponse désirée (l’orgasme intense).
Une question se pose maintenant: jusqu’à où la quantité de stimulus original peut être augmenté (pour l’exemple, la douleur intense) avant que ce soit trop? (Dans les cas sévère, comme dans l’auto asphyxie avant que celle-ci soit fatale?)
Maintenant, vous vous poser la question: Ou est-ce que je me dirige avec mon radotage?
Il est dit que notre vie sexuelle est un reflet de nos vies personnelles et de notre personnalité. Il est dit aussi que nos caractéristiques individuelles combinées avec notre environnement socio-culturel forment nos vies sexuelles.
"Dans les sociétés collectives, le besoin de tous est plus important que celui de l’individu. Les aspects sociaux comme la tradition et la culture, forment et développent l’identité sociale et les relations interpersonnelles. Les lois et principes cultuelles sont respectés, les restrictions sociales et tabous sont identifiés clairement." (Dunkell, 1982).
"Dans les sociétés individualistes, l’emphase est mise sur l’individu. Les préférences et choix personnelles sont à l’avant-scène, plus qu’une macro-société est complexe, plus que la quantité de choix personnelles sera grande, plus les différences entre individu sera aussi grand ". (Dunkell, 1982).
Dans son propre résumé à propos de la « Génération Moi », Twenge démontre dans son étude que les gens nés dans les années 70, 80 et 90 sont plus porté à croire que le « Moi » passe en premier comparé aux autres générations (weill.cornell.edu).
On ne doit pas confondre ceci avec de l’égoïsme. C’est plutôt une question de l’extrême self image et opinion de soi-même positive créer par tous les côtés de la socialisation, surtout les médias. Hélas, l’autre côté de la médaille est que la « Génération Moi » découvre ce qu’est être désappointé et désillusionné dans le vrai monde où il est difficile de réussir son éducation universitaire, ou les professions sont maintenant soumis aux règles contractuels pour un temps limité et que beaucoup ont de la difficulté à rejoindre les deux bouts. (weill.cornell.edu).
La “Génération Moi” démontre posséder des niveaux de stress plus grand, plus de dépression et plus de gens avec l’impression d’être dépassé que les générations d’avant. Malgré les nouveaux médias sociaux et les possibilités de socialisé, la vie de tous les jours est maintenant une course ou il est de plus en plus difficile d’appartenir à un groupe, club, communauté ou organisation. La « Génération Moi » a plus l’impression de leurs incapacités à amener des changements au niveau social ou encore se sent encore plus impuissant d’avoir le contrôle dans leurs vies d’abeilles travailleuses. (weill.cornell.edu). Il n’est pas possible à tous d’être la reine du nid d’abeille, même si l’éducation vous a amené à croire le contraire.
Les gens de la « Génération Moi » possèdent beaucoup de traits positifs. Il y a aussi des traits négatifs. Le networking social a remplacé l’interaction en réel. Nous sommes des animaux sociaux par nature, je n’essayerai même pas d’expliquer l’importance du contact humain dans notre bien-être. Les profiles Facebooks, tweets, blogs… Tous emphase une bonne estime de soi, des buts, un regard positif sur le futur, compétences sociales, la capacité de socialisé avec des gens de cultures différentes et de différents backgrounds, des connexions fortes avec les valeurs familiales et communautaires. Je me demande si les « Génération Moi » par-dessus tout le stress qu’ils ont, si ils ne sont pas aussi victimes de pression sociale en tant qu’adultes? (http://www.humanillnesses.com/Behavioral-Health-Ob-Sea/Peer-Pressure.html).
Certains suggèrent que la pression sociale des adultes est juste un peu plus agressive que la pression sociale des adolescents. Combien d’adultes avez-vous entendu dire « Voyons, tu n’es pas cool, ne soit pas un briseur de party! Juste un autre, tu n’es pas un vrai! »
Ceci a des airs du vieux « as-tu peur?....si tu veux être cool…. » Que les adolescents utilisent, non?
Maintenant, prenez tout le stress et les difficultés que la “Génération Moi” doit subir à tous les jours et additionner le besoin constant de rester à jour avec tous les modes, ou d’être laissé derrière et vous avez quelqu’un qui est susceptible à la pression sociale adulte. Ensuite, ajouter le phénomène 50 nuances de Grey et le nouveau focus sur la philosophie BDSM créer par le livre / film et plus récemment, le jeu controversé du contrôle de la respiration, une question doit être posé par ces adultes : « Combien de tout ceci est ce que je veux » comparé à « est-ce que ceci est ce que tout le monde veut pour qu’ensuite, je le désire? »
Si ce n’est pas une question de « rester à la mode », est-ce que la Génération Moi » a besoin du jeu d’échange de pouvoir? Est-ce que ces jeux extrêmes à propos de Domination et de soumission sont une façon de regagner le contrôle? (La « Génération Moi » démontre subir des niveaux de stress, dépression et le sentiment d’être dépassé plus grand avec un sentiment d’incapacité de prendre contrôle de leurs vies!)
Smith, B, 2013:
"si la connexion entre humain a été mis au rancard pour être remplacé par le simple geste de se précipité à la gorge de votre partenaire et de serrer, en se posant la question de ce que ce geste veut réellement dire et de se trouver seul, les mains vides."
Je le répète’ je crois que les gens ont complètement perdu le but à atteindre
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