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Histoires Des Invitées

Carole Et Monsieur

Cartoon

LE DRESSAGE:

 

Monsieur me prenait rarement au sexe. J'en souffrais mais cette souffrance était certainement l'une des raisons de Monsieur. J'affirme que mon sexe est tout à fait confortable, plus probablement qu'un autre lieu, très proche. Il ne me prenait au sexe, quasiment, qu'après m'avoir fouettée la. Etre fouettée au sexe, et devoir s'ouvrir avant de demander la punition, est abominable. J'y reviendrai.

Monsieur me sodomisait à sa guise, sans lubrification préalable d'aucune sorte si ce n'était, parfois, un rapide passage « préparatoire » dans mon sexe. J'ai découvert lors de nos diverses rencontres que Monsieur était raisonnablement membré, ni grand ni petit. Il n'empêche, au début, il me faisait mal. A la fin, la douleur disparue, seule restaient l'humiliation de voir mon sexe abandonné et le regret du plaisir qui m'était refusé.

Monsieur aimait particulièrement me forcer, c'était son expression, en position dite « du missionnaire, Pour avoir mes seins à portée, pour pouvoir profiter des émotions qu’il découvrait sur mon visage, pour que je sois d'autant plus frustrée de ne pas l'avoir dans mon ventre.

Sa demande était alors, comme à l'accoutumée, d'une remarquable concision : Carole, offres toi !

Cette phrase m'enjoignait d'avoir à m'allonger sur le dos, empoigner le bas de mes cuisses juste sous mes genoux et de les relever en les ouvrant, ou de les ouvrir en les relevant, c'est comme l'on voudra afin de dévoiler, outre un sexe dédaigné, l'anus que je lui abandonnais.

Monsieur appréciait surtout mes fellations et a pris le temps de me former à ses préférences.

Il existe, dans la littérature spécialisée, tout un débat à propos de savoir, qui dans la fellation, est dominant, de l'homme qui reçoit du plaisir, ou la fellatrice qui pour délivrer ce plaisir, s'empare d membre de 'homme.

Personnellement, je puis vous assurer que, lorsque l'on pratique à un une fellation à un homme habillé en étant soi même nue et les genoux ouverts, les mains croisées derrière la nuque, alors qu'un fouet vous rappelle sa présence en effleurant vos épaules, la question ne se pose pas.

Je suis rapidement devenue une experte. L'on n'imagine pas combien l'usage d'une « Kourbach », le fouet court des cosaques, peut aider à l'apprentissage.

J'ai appris à n'utiliser mes mains, pour soutenir le sexe encore au repos, que le temps nécessaire à ce qu'il s'érige. La formule : tes mains » appuyée d'un coup de fouet cinglant était un rappel efficace que j'ai rapidement eu soin d'éviter en croisant sagement mes mains derrière ma nuque, comme une bonne élève.

J'ai appris à lécher le dessous de la hampe, en appuyant bien, j'ai appris à arrondir mes lèvres pour accueillir l'extrémité, en la léchant délicatement. J'ai découvert que le repli de chair, juste à l'attache du gland et de la hampe était le point le plus sensible, j'ai appris à gober l'extrémité pour effectuer une succion plus ou moins prononcée comme à l'entourer des voltes de ma langue. J'ai même appris à laisser Monsieur envahir ma gorge, au risque de me faire étouffer. Heureusement, Monsieur n'avait aucun goût pour ces simulacres de pénétration qui, saccadés et brutaux, privent la fellatrice de toute occasion de démonter ses talents. A ce sujet, Monsieur m'a dit un jour, citant La Guérinière : « la grâce est un si bel ornement de l'art ». Envers les femmes comme envers les chevaux, Monsieur privilégiait un dressage dans la légèreté.

J'ai aussi appris à gouter les premières goutes de sa jouissance, à deviner l'arrivée du plaisir et, à la demande, à boire comme une assoiffée ou recevoir sur ma langue le sperme de mon maitre, ma bouche ouverte sur la pointe. J'attendais aussi, toujours, l'ordre d'avaler, car que d'autre faire de la jouissance de votre maitre, si ce n'est, éventuellement, la partager avec une compagne d'occasion ?

J'ai aussi appris que la fellation sert, en toutes occasions, à remercier après le fouet ou à nettoyer après avoir été utilisée, mais j'y reviendrai

 

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