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Chez France
Mes obligations m'ayant amené
à l'étranger, ne revis pas France de trois mois. Elle me
téléphonait cependant de temps en temps, nous parlions souvent
de ce week end de février et un jour me posa la question suivante
:
- Marc, tu oserais porter des dessous féminins tous les jours ?
- Je ne sais pas dis-je, sans lui dire cependant que j'avais ce fantasme.
Elle me dit qu'elle souhaiterait me voir et nous prîmes rendez-vous
pour le mardi suivant. Elle arriva à mon appartement vers quinze
heures, je lui ouvrit aussitôt et la fit entrer. Elle avait un sac,
l'ouvrit en sortit une poche, c'est un cadeau pour toi me dit-elle. Je
l'ouvrai et découvris un string, un porte jarretelles et des bas
noirs.
- C'est un cadeau pour toi, j'aimerais que tu les essayes.
Surpris, je protestai pour la forme, elle vint se coller à moi
et je capitulai rapidement. J'enlevai mon pantalon mes chaussettes et
mon caleçon, et avec son aide passai ces dessous. Le contact de
leur texture provoqua chez moi une érection rapide. France me regarda
longuement et me dit de mettre mon pantalon et mes chaussures, que nous
allions faire des courses. J'obtempérais et nous prîmes la
voiture direction le supermarché de bricolage. Elle voulait s'équiper,
me disant qu'elle n'avait utilisé que foulards et ceintures pour
s'attacher, mais au vu de l'expérience que nous avions réalisée,
elle n'avait de cesse que de passer à un équipement plus
performant, mais que seule elle n'osait pas.
Une heure plus tard, nous avions rempli le panier de diverses choses.
Au rayon des cordages, nous avons fait couper des cordes de 8mm et des
chaînes en plusieurs longueurs, puis acheté de petites sangles
et une douzaine de petits cadenas ; cela nous a paru un bon achat. Nous
partîmes satisfaits, France proposa de passer par le sexy center,
pour voir ? Pourquoi pas lui répondis-je ? Dans ce magasin notre
attention alla droit vers le rayon cagoules, baillons, colliers, bracelets,
tous ces accessoires étant adaptés à nos envies de
bondage. Heureusement que nous ne sortions pas souvent, ces achats ayant
vidé notre porte-monnaie !
Nous sommes rentrés vers dix-sept heures, contents de nos courses.
Le téléphone sonnait. Je décrochais, on me cherchait
d'urgence. Devant m'absenter une heure environ, je proposai à France
de m'attendre chez moi et que la raccompagnerai chez elle en revenant,
ce qu'elle accepta. A mon retour je la raccompagnai et nous prîmes
rendez-vous pour le vendredi suivant chez elle.
De retour à mon appartement,
je décidai de me déshabiller et de ne garder que mes nouveaux
dessous. Je me contentai pour préparer le repas d'enfiler le tablier
en plastique de la cuisine et de mettre les gants de ménage. L'excitation
était au maximum et le restai finalement ainsi pour la soirée.
J'allais me coucher, je prenais l'avion pour Londres de bonne heure ou
je devais rester jusqu'à vendredi.
Le lendemain, après une bonne douche, j'allais à mon armoire
pour prendre des sous-vêtements propres, mais la surprise fut grande,
plus aucun de mes dessous n'étaient dans le tiroir, France, s'était
occupée hier, pendant mon absence et avait remplacé mes
slips et chaussettes par des bas, collants, strings et porte jarretelles.
Je comprends maintenant pourquoi elle avait un sac assez volumineux en
arrivant ! Se trouvait aussi sur le coté une gaine culotte de couleur
chair, trois strings un collant et deux paires de bas opaques noirs, un
petit mot était à coté : Marc, je ne te verrai pas
demain matin, aussi voila mes consignes, plus de sous-vêtements
pour homme à compter d'aujourd'hui, pour ton voyage, tu mettras
ceux-ci. Je n'avais pas le choix, je mis la gaine, elle me serrait et
remontait haut sur la taille, j'enfilai les bas que j'attachai aux jarretelles,
puis ma chemise et mon costume par-dessus. La sensation était extraordinaire,
tout à coup je pensais pourvu que je ne sois pas obligé
de me déshabiller pour une fouille à l'aéroport par
exemple !
Ces sensations nouvelles très
agréables étaient assez excitantes, le contact des bas mais
surtout la pression exercée par la gaine. Je craignais cependant
que l'on aperçoive les jarretelles au travers de mon pantalon,
mais faudrait-il tomber sur une personne curieuse et portée sur
ces jeux. Qui d'autre pourrait imaginer ? L'opacité des bas par
contre ne permettait pas de s'apercevoir que j'en portais, on pouvait
les confondre avec des chaussettes fines, cela me rassura un peu.
Le vendredi matin, je reçus
un sms de France qui me disait venir m'attendre à l'aéroport
à mon arrivée vers seize heures
Elle était bien là à l'accueil, la première
des choses qu'elle fit en se collant à moi pour m'embrasser, c'est
de passer sa main sur ma hanche pour constater que je portais bien mes
dessous. Très bien dit-elle, tu as obéi à mes consignes.
Nous regagnâmes son appartement, et elle me suggéra de quitter
mon costume
- tu seras plus à l'aise, mais viens te montrer je veux te voir
avec tes dessous.
Je revenais au salon en string, porte jarretelles et bas uniquement. Je
trouvais France changée, elle aussi uniquement vêtue d'un
collant violet de danseuse, ne laissant libre que ses mains et sa tête.
Elle revint aussitôt se mettre contre moi,
- tu es ma chose, tu m'appartiens, c'est moi qui décide de la suite.
Elle me fit enfiler une combinaison courte en polyamide noire puis ayant
déballé sur la table les achats de l'autre jour, elle commença
par me mettre les bracelets aux poignets, puis aux chevilles en veillant
bien qu'ils soient correctement serrés, et mit les cadenas. Puis
ce fut le tour du collier, et pour finir, elle me posa un bâillon
boule, ces deux pièces cadenassées elles aussi.
Elle me fit asseoir sur la chaise du bureau, et à l'aide des cordes
me lia sur celle-ci, les mains dans le dos, une corde relia mes chevilles
aux poignets ce qui fait que je ne touchai plus le sol. Elle continua
plusieurs minutes à parfaire son bondage, terminant à l'aide
des sangles qu'elle serra facilement grâce aux boucles adaptées
qui les équipaient. France fit ensuite rouler la chaise devant
la télévision
- il est tôt aussi je vais te mettre une cassette pour te distraire
pendant que j'irai faire les courses pour le repas et préparer
le souper.
La cassette choisie était titrée " entraves ",
elle me dit regardes-la elle est pleine d'idées. France enfila
son manteau directement sur son collant, chaussa des bottes montantes
et partit en m'adressant un baiser, me laissant ainsi. Je réalisai
qu'elle était adroite, je ne pouvais bouger que la tête,
mon corps étant totalement ligoté.
La cassette était terminée, et France pas rentrée,
pourtant le marché n'était pas loin et elle y était
allée à pieds. Ce n'est que vers dix neuf heures trente
qu'elle franchit enfin la porte, mais elle n'était pas seule, Noémie
l'accompagnait. Elle rit en me voyant, France l'avait mise au courant,
tu y prends goût Marc à ces petits jeux ? Elle était
magnifique, sous un court manteau gris, elle portait une mini jupe écossaise
sur un body vert et un collant noir. Des bottes montantes la chaussaient.
J'ai trouvé France à la librairie, nous avons parlé
et comme je lui ai dit que j'étais seule, elle m'a raconté
dans quelle situation elle t'avait mise, et m'a invitée, ce que
je me suis empressée d'accepter.
- Tu me connais maintenant Marc et tu as compris mes goûts aussi
une telle invitation ne se refuse pas dit-elle en enlevant son manteau.
France avait relancé la cassette,
et était partie vers la cuisine. Noémie semblait intéressée
par le contenu du carton, il y avait encore les chaînes, des cordages
mais aussi les rouleaux d'adhésif gris. Pas mal tout ça
dit-elle, en revenant vers moi, tout à coup elle s'asseya sur mes
genoux face à moi, passant ses bras derrière mon cou, elle
plaqua ma tête sur sa poitrine, mon nez et ma bouche se trouvèrent
privés d'air, et elle commença à remuer son bassin.
La réaction fut immédiate, une forte érection, mal
contenue par mon string se produisit, elle continua quelques secondes
ce jeu, se leva tout d'un coup et partit à la cuisine en riant,
me laissant dans un état pas possible.
Elles revinrent toutes deux dix minutes
plus tard, France qui avait enfilé mon tablier de plastique sur
le collant violet, était très sexy. Noémie vint vers
moi en disant ce ne sera pas commode pour toi de manger, aussi je vais
te sortir de la et elle commença à retirer les sangles et
les cordes qui me liaient à la chaise. Une fois libre de mes mouvements,
par la main, elle me conduisit devant le canapé puis se saisit
du carton avec les accessoires et le posa près de moi
France a réparé un petit
buffet dit-elle, nous pourrons manger ici, elle en a encore pour environ
un quart d'heure, cela me laisse le temps de faire quelque chose de toi.
Viens ici et mets-toi bien droit devant moi, bras collés le long
du corps. Je lui obéis et elle commença avec les cordes
de m'attacher, en commençant par les épaules, puis au-dessus
et au-dessous des coudes, descendant au niveau des poignets, elle les
fixa à chaque cuisse, suivirent les cuisses puis le dessus et le
dessous des genoux, les mollets et enfin les chevilles. Je ressemblai
à un rôti. Elle entreprit de relier toutes ces cordes horizontales
par une corde verticale, faisant bien attention à chaque niveau
de faire un nud pour éviter tout glissement ; arrivée
aux chevilles elle en profita pour lier mes pieds et fit remonter la corde
dans mon dos en procédant de même. Arrivant aux épaules,
elle passa celle-ci sur l'épaule droite, venant la nouer à
la corde de devant et repassa sur l'épaule gauche pour terminer
par un nud à la corde arrière. Je crus que c'était
fini, mais prenant une autre corde, elle entreprit de relier les cordes
avant et arrière en passant sous les bras et ensuite termina en
faisant de même avec les jambes. Plus aucune corde n'avait la possibilité
de glisser, et l'ensemble s'était resserré. Noémie
sembla satisfaite et me laissa ainsi debout. Elle partit rejoindre France
à la cuisine et les entendant rire, j'ai pensé qu'elle lui
racontait son chef d'uvre.
Lors qu'elle revinrent, elles me firent m'asseoir en me poussant sur le
grand canapé. France avait changé son collant et en avait
mis un autre la couvrant entièrement aussi mais en fine résille
noire. Noémie dit alors, tout est prêt France, alors je vais
maintenant m'occuper de toi. Mets-toi devant moi, avec ton collant qui
te protège, je vais te scotcher. Saisissant un rouleau et des ciseaux,
elle entreprit de l'attacher comme moi, en commençant cependant
par bien scotcher chaque main, leur interdisant ainsi toute possibilité
d'action. Du haut des épaules aux pieds, elle ressembla rapidement
à une tranche napolitaine, le noir du collant contrastant avec
le gris du scotch. L'espacement des bandes étant assez régulier.
Ne pouvant ainsi plus bouger, Noémie la fit asseoir elle aussi
à l'autre extrémité du canapé. Nous étions
désormais prisonniers de Noémie. Elle termina en mettant
les deux petits poufs contre le canapé et en soulevant nos jambes,
les fit reposer dessus. Noémie alla à la cuisine et revint
peu après portant deux plateaux préparés pour le
repas. Comme vous ne pourrez manger seuls, je vais m'occuper de vous l'un
après l'autre dit-elle. Elle enleva mon bâillon et entreprit
de nous alimenter et de nous faire boire tour à tour, Noémie
étant installée entre nous sur le canapé J'ai décidé
que la seule boisson autorisée était le punch, ce soir fit-elle,
vous n'aurez pas à prendre la voiture et moi je coucherai ici,
cela sera plus raisonnable. Demi-heure plus tard nous étions restaurés
et assez échauffés. La télévision était
toujours allumée et le spectacle de corps attachés, suspendus
et mis dans différentes situations nous excitait.
Noémie se leva allant vers le carton, elle en sortit deux masques
de tissus, un autre bâillon boule et deux bas, revenant vers nous,
après nous avoir fait boire un dernier verre de punch, elle nous
bâillonna de nouveau et nous aveugla avec les masques puis enfila
sur notre tête un bas. Saisissant un rouleau d'adhésif, elle
fit un tour au niveau des yeux plaquant totalement le masque sur le visage
nous mettant totalement dans l'obscurité. Elle dit en rigolant
- Ce n'est pas la peine m'aider, je vais débarrasser la table restez
donc assis.
Je l'entendis trafiquer longuement, puis elle revint s'asseoir entre nous.
- J'ai mis une autre cassette, nous allons la regarder, pardon, je vais
la regarder dit-elle en montant le son.
Nous n'avions que les paroles, mais elles étaient suffisamment
explicites pour que nous comprenions que le sujet était chaud.
Tout à coup, j'ai senti la main de Noémie sur moi, sans
bouger son corps pour ne pas attirer l'attention de France, elle la glissait
sous mon string, s'emparant de ma verge. En quelques mouvements elle lui
donna de la vigueur, le spectacle devait être intéressant,
elle se leva sans me lâcher en disant je vais aux toilettes, mais
contourna en fait seulement le canapé. Deux secondes plus tard,
une bouche m'avalait et me conduisit dans le silence en quelques secondes
à la jouissance. Elle me lécha longuement. Enfin elle partit
et revint en faisant un peu de bruit s'asseoir entre nous. Nous restâmes
ainsi jusqu'à la fin du film.
Sans nous enlever les bandeaux, Noémie
nous débâillonna et nous donna à boire. Puis elle
dit
- Comment allez vous passer la nuit tous les deux ? Vous êtes bien
comme ça, mais on peut faire mieux. Je vais vous lever, sans vous
détacher, puis je mettrai le canapé en position nuit, ensuite
je vous coucherai dessus, voilà pour commencer.
Ainsi fut fait, difficilement mais
fermement elle m'aida à me lever, puis elle fit de même avec
France. Le canapé en position nuit constituait un lit. Elle me
fit coucher le premier et m'installa semble-t-il vers le milieu, puis
elle fit de même avec France et la fit rouler sur moi, compte tenu
qu'elle est aussi grande que moi, nous nous superposions parfaitement.
Puis je sentis Noémie autour de nous, et une première sangle
se serrer sur nous, nous collant l'un à l'autre, puis une deuxième
et ainsi de suite, nous étions reliés des pieds aux épaules.
Avec des cordes, elle arrima le colis de façon à ce que
nous ne puissions basculer ni d'un coté ni de l'autre. J'étais
à nouveau excité et France ne pouvait l'ignorer, sa bouche
étant au niveau de la mienne, elle m'embrassa fougueusement, ce
qui n'échappa pas à Noémie.
- Oh! les canailles,
Elle rabattit les bas sur nos têtes, nous empêchant de continuer
et je sentis qu'elle passait par-dessus la culotte d'un collant emprisonnant
nos têtes ensemble. Voilà les petits, vous êtes mes
prisonniers pour la nuit, je vais me coucher, faites de beaux rêves,
je ne veux pas vous entendre sinon je sévirai attention !. On l'entendit
partir, toujours excités autant l'un que l'autre, je sentis longuement
France essayer de bouger, tout doucement, elle me dit des horreurs qui
amplifièrent la situation, la situation l'excitait et elle finit
par jouir à son tour. Nous nous endormîmes enfin tard dans
la nuit.
Vers le mâtin, les mouvements de France me réveillèrent,
puis la voix de Noémie.
-Avez-vous bien dormi ? Je dois partir de bonne heure, France, je vais
te libérer, puis tu te débrouilleras avec Marc après
mon départ.
Je sentis que les sangles se détendaient, puis France glisser sur
le côté. Noémie devait s'activer et elle put se lever
enfin. Quant à moi j'en profitai pour respirer calmement, le poids
de France sur mon corps toute la nuit m'avait un peu engourdi.
J'entendis les filles papoter à la cuisine et la porte d'entrée,
Noémie devait être partie. France revint, retroussant le
bas sur ma tête elle libéra ma bouche et m'embrassa longuement.
Sans un mot, elle entreprit de me caresser jusqu'à obtenir un résultat
visible. M'enjambant, elle s'empala sur moi et me viola carrément
prenant un grand plaisir semble-t-il à cette situation particulière.
A mon tour, l'explosion arriva sans que je puisse la contrôler
Elle me laissa ainsi encore un moment,
puis vint me détacher, ce qui prit une vingtaine de minutes vu
la qualité de l'empaquetage qui avait été fait. J'étais
libre, elle était nue devant moi et m'emmena vers la salle de bains
ou nous prîmes tout notre temps.
Essuyés et repus, c'est alors que France dit :
- Noémie souhaite que nous allions chez elle ce soir, elle a laissé
les consignes dans l'enveloppe sur la table. Cependant je me suis engagée
à ne pas l'ouvrir avant cet après-midi.
Devant passer à mon bureau faire un compte rendu de mon voyage
à Londres, je me rhabillais guetté par France pour voir
si je remettais correctement mes dessous avec en plus la combinaison.
Ma chemise épaisse ne laissait rien voir par transparence.
Chapitre
4
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