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Une heure plus tard, Orane sirotait
un verre, confortablement installée dans le canapé de cuir
du salon. Elle profitait du spectacle de Laure qui, accroupie, finissait
le ménage en balayant le parquet à l'aide d'une pelle et
d'une simple balayette. Elle se disait qu'elle avait eu raison de lui
interdire le balai. Cela obligeait Laure à se tenir à croupetons
pour nettoyer le sol, posture qui tout en étant inconfortable et
humiliante, exhibait de fort joli façon le cul encore rougi de
sa victime. Elle avait parfaitement mené son jeu, profitant brillamment
des tendances masochistes cachées de Laure qu'elle avait deviné
devant son attitude soumise face à son chantage. Ce dernier n'avait
d'ailleurs servi qu'à révéler cet aspect de sa personnalité.
Comme il allait être plaisant de la posséder, pensait-elle,
de l'avilir, d'obtenir d'elle tout ce qui me passe par la tête.
Et de lui faire aimer ça. Laure était dorénavant
son jouet, sa poupée de chair.
Cela lui donna une idée.
Elle fit tinter sa clochette d'étain, et comme convenu, Laure cessa
immédiatement son travail pour se mettre à sa disposition.
Après la fessée, Orane l'avait littéralement dressée
aux positions qu'elle devait adopter lorsqu'on la sonnait, selon l'expression
de sa maîtresse. A genoux, elle déposa deux longs baisers
sur ses escarpins avant de se redresser, tête basse, les mains dans
le dos, la poitrine tendue et les cuisses bien écartées
:
- Votre esclave attend vos ordres,
Mademoiselle
- J'ai envie de jouer un peu avec ma grosse poupée, dit-elle
souriante en lui caressant la joue. Debout, suis-moi !
Laure suivit en silence Orane jusqu'à
la vaste salle de bain, remplie de miroir. Là, sous ses ordres,
elle retira son tablier et pris position nue sur le bidet. Orane sortit
en lui recommandant en souriant de rester sage jusqu'à son retour.
Domptée, Laure était encore sous le choc de l'orgasme violent
qu'elle avait ressenti durant sa punition, et qui lui avait révélé
sa nature masochiste. Elle appréhendait malgré tout ce qu'elle
allait devoir subir. Les années de rivalité entre les deux
jeunes filles avaient sans aucun doute exacerbé la nature sadique
de la belle asiatique. Et Laure n'aura pas le choix, elle devra obéir
aux moindres de ses caprices.
Orane revint avec deux cordes à
sauter, qu'elle utilisa pour ligoter Laure au bidet, les bras fortement
tirés en arrière, les cuisses largement écartée,
les chevilles solidement attachées à la tuyauterie. La position
était douloureuse, et dévoilait toute l'intimité
de Laure. Orane tira une poupée Barbie dénudée de
sa poche.
- Tu vois cette poupée, dit-elle,
j'ai beaucoup jouée avec quand j'étais gamine. Tu n'ais
rien d'autre qu'une version plus élaborée de cette poupée,
maintenant. Avec cependant une légère différence,
tu vois laquelle ?
- Non, Mademoiselle répondit Laure, décontenancée
par cette question
- Allons réfléchis un peu, espèce de gourde, fit
Orane en lui pinçant le téton, étirant cruellement
son sein.
- Ouch, gémit Laure je ne sais pas, Mademoiselle, excusez ma
stupidité.
Elle se rabaissait délibérément, essayant de plaire
servilement à sa dominatrice pour faire cesser la douleur qui
enflammait son téton.
- Erreur, petite conne ricana Orane en décrochant une pince à
linge de l'étendoir et en la fixant sur le téton distendu
de Laure. A chaque erreur, tu auras droit à une autre pince.
Allons, j'attends, quelle est la différence entre cette Barbie
et toi ?
La douleur qui envahit le sein de
Laure fut horrible, et elle ne pus s'empêcher de crier, ce qui lui
valu deux gifles bien appuyées.
- Silence ou je double la punition
l'avertit Orane
Laure sut devant le regard mauvais de celle-ci qu'il était inutile
de supplier. Elle devait jouer à ce jeu pervers.
- Elle
elle est blonde répondit-elle après une courte
réflexion
- Erreur encore, tu es décidément bête à
manger du foin. La prochaine est pour ton clito, je te préviens
dit-elle en lui fixant une seconde pince sur l'autre téton.
Laure serra les dents en remuant dans
ses liens. Elle essaya à nouveau de se concentrer malgré
la souffrance qui lui enflammait la poitrine. Elle fixait l'objet de plastique
nue que tenait Orane. Elle eut une idée, mais les mots ne purent
sortir de sa bouche. Orane allait-elle réellement lui infliger
ça ? Elle en mourrait de honte.
- Pas de réponse ? questionna-t-elle
en approchant une pince de son sexe.
Laure réagit devant la menace
et marmonna piteusement sa réponse :
- Elle
Enfin son
son
sexe est épilé. Pas le mien.
- Bien, tu vois quand tu veux. Et comment pourrais-je arranger ça,
à ton avis ?
- En
en me rasant
souffla Laure, les joues en feu. Oh! Pitié,
Mademoiselle, vous n'allez pas faire ça ? Elle pleurait maintenant
à chaudes larmes. Toutes les filles le verront sous les douches
du vestiaire
Elles se moqueront de moi, tout le monde le saura
Pitié, vous aviez promis
- Cesses immédiatement tes jérémiades lui intima
l'adolescente en lui pinçant fermement les joues entre le pouce
et l'index. Inutile de pleurer, tu ne m'apitoieras pas. De plus, Je
ne t'ai pas permis de prendre la parole.
Orane fouilla alors dans le panier
à linge sale, en sortit une de ses culottes et l'enfonça
profondément dans la bouche de Laure. Le bâillon de fortune
avait une odeur forte et un goût âcre.
- Tu ne pensai tout de même
pas continuer à te pavaner au Lycée comme si de rien n'était.
Ton statut de " fille la plus populaire du bahut ", c'est
fini, je te rappelle. Préfères tu montrer ta chatte rasée
ou les photos ? A moins que je ne te fesse cul nu devant toute la classe,
jusqu'à ce que tu en jouisses comme la petite pute maso que tu
es ?
Laure hocha la tête en tremblant.
La culotte l'étouffait presque, et elle ne pouvait rien dire.
- Je pensais bien, poursuivi sa
maîtresse, ton corps m'appartient maintenant, et j'en ferais ce
que bon me semble. Pour te punir d'avoir discuter mes ordres, tu garderas
les pinces sur tes pis de vache durant ton rasage.
Orane commença par dégarnir
sa toison brune et dense à l'aide d'une petite paire de ciseaux.
Elle prit ensuite sur le lavabo la crème à rasée
et le blaireau de son père. Le contact des poils de soie fit frissonner
Laure. Le massage brutal de son sexe par les poils rudes et la douceur
de la crème ranima le feu qui sommeillait dans son ventre. La douleur
émanant des pinces à linges se faisait plus douce. Puis
Orane commença à la raser à l'aide d'un rasoir jetable.
Le contact du rasoir, amorti par la mousse, caressant sa peau, suscitait
des sensations très agréables, surtout sur les parties les
plus proches de ses lèvres. De temps à autres, Orane s'amusait
à passer un doigt, ou bien le manche du rasoir, sur son clitoris,
ce qui arrachait un gémissement à Laure. Lorsque le travail
fut presque achevé, elle lui fit relever très haut le bassin.
Elle se saisit de ses fesses en les écartant largement pour éliminer
quelques poils situés plus bas, vers l'anus de sa jolie esclave.
Cette opération prit une dizaine de minutes environ, à l'issue
desquelles Orane la rinça en ouvrant le robinet d'eau froide du
bidet. Laure sursauta au contact de l'eau glacée sur son sexe ouvert.
- Ne t'échauffes pas si vite,
cochonne ! Alors, qu'en penses tu ? Moi, je te préfère
ainsi, en grosse Barbie vicieuse.
Laure contemplait avec horreur son
sexe rendu rouge par le feu du rasage. Elle ne s'était jamais sentie
aussi impudique de toute sa vie, découvrant dans les miroirs son
ventre complètement lisse, comme lorsqu'elle était enfant.
- Oui, c'est bien mieux comme ça,
dit sa propriétaire. Je te trouve encore plus excitante comme
ça. On voit beaucoup mieux tes lèvres, surtout lorsqu'elles
sont bien gonflées comme c'est le cas maintenant. On va jouer
un peu à présent. Je te vais te prouver que ton corps
est à moi. Je suis sur que tu vas adorer.
Orane lui ôta alors son bâillon
et s'accroupit alors entre les cuisses ouvertes de la jeune fille et commença
à la caresser, alternant ses doigts et sa langue. Laure n'osa pas
protester face à cette caresse lesbienne imposée. Elle jouait
avec les grandes lèvres, titillant ensuite le clitoris, enfonçant
lentement ses doigts à l'intérieur du vagin de sa poupée,
revenant ensuite à son bouton...
Elle lui détacha les jambes
et fit basculer encore plus son bassin pour ouvrir plus largement ses
fesses, et commença titiller et à lécher le petit
trou. Sentir la langue forcer son anus, pendant que les doigts de sa Maîtresse
s'activaient sur son sexe arrachait à Laure des gémissements
de plaisir.
Ce n'était pas la première
expérience saphique de la jeune asiatique, et elle était
vraiment experte. Laure ne tarda pas à sentir le plaisir monter
dans ses reins, malgré le fait qu'elle ne se soit jamais sentie
attirée par les filles. Les miroirs lui renvoyaient son image,
pinces aux seins, cuisses largement ouvertes, offrant sa chatte ouverte
et mon anus au regard narquois d'Orane.
Orane saisit une poignée de
la corde à sauter, assez épaisse et courte, et lui montra
en souriant, avant d'obliger Laure à la lécher. Elle s'amusa
quelques instants à le faire aller et venir dans sa bouche, tout
en lui disant de l'imaginer en place entre ses fesses.
- Non, c'est trop gros, je vous
en prie, ça va me faire mal, tentas d'argumenter Laure dès
qu'Orane l'eut sorti de sa bouche
- Mais non, tu vas voir comme ça va rentrer facilement, répondit
Orane.
Elle en posa doucement l'extrémité
sur son anus trempé de ses propres secrétions. Elle appuya
lentement, mais fortement, la poignée sur sa rosette, que Laure
sentis s'ouvrir d'un coup pour avaler le gode improvisé. Orane
l'avait bien dilatée de ses doigts, et elle ne ressentit presque
pas de douleur, juste une impression profonde de pénétration.
C'était étrange... Laure n'avait imaginé qu'elle
pourrait ressentir un plaisir anal. Elle avait toujours trouvé
cette pratique dégoûtante, et jamais elle n'avait imaginé
subir cela lorsqu'elle se caressait. Elle appréciait pourtant malgré
elle cette sensation persistante et stable d'être pénétrée,
prise, au plus profond de soi.
Rapidement Orane recommença
à la masturber, se concentrant désormais uniquement sur
son sexe offert. Les sensations anales de Laure s'ajoutaient en les décuplant
à celle que la jeune asiatique déclenchait en manipulant
son sexe. Elle suçait son clitoris, tout en la pénétrant
de deux ou trois doigts. Mais la petite garce savait l'amener au bord
de la jouissance, haletante, pour s'arrêter juste avant qu'elle
n'atteigne l'orgasme, l'abandonnant chaque fois plus frustrée pour
recommencer ensuite. Ce petit jeu semblait lui plaire au plus haut point.
A chaque fois, son plaisir montait plus vite, mais les caresses d'Orane
s'arrêtaient aussi chaque fois plutôt, et ses gémissements
de plaisir se transformaient en cris de frustration.
- Alors, tu aime ce petit jeu, ma
chère Laure? lui demanda Orane.
- Je... je n'en peux plus Mademoiselle, lui répondis Laure haletante...
Je vous en prie laissez moi jouir
Je n'en peux plus".
ainsi, enfin délivrée de tes inhibitions, obnubilée
par ton désir. Car c'est ce que tu es au fond, Laure, une petite
pute prête à tout pour jouir.
- Oh! oui, s'il vous plait, Mademoiselle, faites jouir votre pute
Par
pitié
- Ah! tu reconnais enfin que ton corps est à moi
- Oh! Oui, Mademoiselle, mon corps est à vous. Vous pouvez me
raser, m'humilier
Je vous appartiens
- Soit, je consens à te laisser jouir. Mais cela ne sera pas
si facile.
- Je ferais tout
tout
geignait Laure
- Je te proposerai bien de te finir avec tes doigts, mais tes poignets
attachés dans le dos ne te seraient pas d'une grande utilité,
dit Orane en riant. Je vais te détacher du bidet, ce qui te permettra
de bouger, mais tu garderas les poignets attachés dans le dos.
Tu devras te finir devant moi comme ça, sur ma chaussure, comme
une chienne en chaleur !
Orane lui délia un instant
les poignets, avant de les serrés à nouveau à l'aide
de la corde dont la poignée sortait comiquement du cul de Laure.
Elle libera la jeune fille du gode et s'assit sur le rebord de la baignoire,
le pied tendu. Toute honte bue, prête à tout pour éteindre
le feu qui lui brûlait le bas ventre, Laure s'accroupis aux pieds
de sa jeune Maîtresse, écartant largement ses cuisses. Elle
se cambra pour que sa maîtresse puisse apercevoir les replis de
son vagin. Orane glissa son pied entre les cuisses nues, contre la vulve
ouverte et trempée de Laure.
- A toi maintenant, remue ton cul
de chienne. Fait toi jouir, tu as ma permission
Laure commença alors un mouvement
de va et vient avec son bassin sur l'escarpin, sa position obscène
et avilissante la rabaissant au rang d'animal. Elle avait l'impression
que son vagin se dilatait sous la pression du pied. Les boucles griffaient
ses lèvres, lui arrachant des gémissements de plaisir. Laure
continua ses va et vient, tout en luttant pour ne pas perdre l'équilibre.
Ses mains dans le dos rendaient la tâche plus difficile, mais elle
parvenait tout de même à se frotter sur la chaussure trempée
de son suc, en maintenant un bon rythme qui l'emmena rapidement au bord
de l'orgasme.
Les miroirs lui renvoyaient l'image
d'une fille en rut, entravée, se frottant frénétiquement
le sexe sur la chaussure d'une des camarades de classe. Elle sentait le
regard d'Orane sur elle, la ravalant au rang de chienne en chaleur se
frottant contre les jambes de sa Maîtresse, prête à
tout pour jouir enfin. Paradoxalement, cette honte lui permis d'atteindre
un orgasme exceptionnel, Laure eu littéralement l'impression d'une
explosion au moment ou elle jouissait, s'entendant hurler comme jamais
auparavant. Elle s'écroula ensuite sur le sol, trempée,
épuisée mais enfin comblée.
- Eh bien, on dirait que c'était
une question de vie ou de mort, reprit sa propriétaire après
quelques minutes... Pour un orgasme, c'en était un... Je pense
que la démonstration est suffisante. C'était un jour important
pour toi, aujourd'hui, Laure. C'était ton premier jour d'esclave.
Laure, sonnée, ne répondit
pas. Orane sortit un instant afin de chercher ses habits.
- Tu peux te rhabiller, reprit la
jeune fille en souriant. Je crois que c'est assez pour une première
prise de contact, tu peux rentrer chez toi. Je te téléphonerai
demain pour te donner des instructions concernant la conduite que tu
adopteras dorénavant au Lycée. La prochaine fois, nous
passerons à des choses plus sérieuses... rajouta-t-elle
en souriant de façon énigmatique.
Episode
5
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