Histoires Des Invités

 

Mlle Chloé 5

Par }{ootie

 

Part V : La dure décision

J’avais bien aimer ce temps passé ensemble à cuisiner, je me sentais avec une bonne amie, une complice, nous goûts se rejoignaient pas mal en matière de cuisine. Je gardais toutefois en tête que j’étais sa poupée et qu’en n’importe quel temps elle pouvais me faire quelque chose sexuellement ou m’obliger à lui faire quelque chose, et je me sentais vraiment bien à l’aise avec ce fait d’être maintenant son esclave, sa chose, ca me faisais conservé en tout temps une certaine excitation, que j’adorais ressentir.

Nous avons manger dans la même atmosphère qu’un souper entre bonnes amies de longues date, elle étais courtoise et attentionnée avec moi, s’assurant que tout étais à mon goût et que je ne manquais de rien. Nous parlions de choses et d’autres, des fous rires à l’occasion, et c’étais très agréable, et le repas étais vraiment délicieux, ainsi que le vin qui l’accompagnais.

J’en avais presque oublier que le tout avais commencé par la menace, et j’en avais plus rien à foutre, je me sentais bien ancrée dans mon nouveau rôle et l’expérience m’excitais au plus haut point. Parfois dans ma tête je me disais je pourrais me foutre de ce vidéo, vivre avec les conséquences, et tout simplement m’enfuir. Mais je ne le désirais même pas, je me sentais bien ainsi, j’apprennais à aimer ma Maîtresse chaque minute un peu plus, je me sentais en toute confiance et en toute sécurité, je n’avais plus aucune peur, et j’étais profondément heureuse de vivre cette expérience et me savoir totalement contrôlée.

Après avoir resté attablées un bon moment, nous sommes aller nous assoir au salon, toujours accompagnée du vin, et Mlle Chloé me permit de m’assoir confortablement dans la causeuse devant elle. Elle me dis même je te laisse retiré tes pinces si tu le désire, et avec un sourire, ajouta elles te manqueront bien assez tôt ma poupée, car je le sais que tu les apprécient grandement maintenant.

Je retirai donc mes pinces, me disant que ca ferais tout de même du bien un peu de repos, malgré que effectivement j’aimais bien l’excitation qu’elle me procuraient. Je les déposai sur la petite table du salon entre nous. Mlle Chloé me confia que bien que ce n’étais pas un énorme salaire qu’elle avais pour le moment, elle étais très à l’aise financièrement, provenant d’une famille fortunée.

Elle me dis qu’elle avais la ferme intention de gravir rapidement les échelons dans l’entreprise où nous étions, et que si ca n’allais pas assez vite, elle trouverais bien un meilleur endroit. Elle me dis également qu’elle avais conscience de mes capacités et connaissances, et qu’elle s’assurerais que je progresserais au même rythme qu’elle, tirant les ficelles pour moi. Elle me dis tu est très brillante et je ferai en sorte que toi aussi tu ne travaille plus pour des peanuts.

Elle me confia qu’elle adorais voir une belle fille avec de jolis vêtements, de classe, mais très féminin. Elle ajouta qu’elle adorais aussi les tenues très sexy et qu’elle va s’occuper de m’en offrir amplement, car elle adore avoir du choix. Elle me dis tu aura à porter des tenues qui te dévoileront beaucoup, et qui montreront ton statut d’esclave, car j’aime bien sortir à l’occasion et amener ma poupée danser dans les bars, et voir les yeux tournés vers elle, quitte à laisser entrevoir, selon les mouvements, les jolies parties de son corps.

Elle ajouta tu finira par adorer savoir que le poid de ta délicieuse pince au clito se voit très bien au bas de ta jupe, et même savoir que l’ouverture de ta jupe bien fendue sur le devant laissera voir ta jolie chatte humide à l’occasion, et même dans certains bars où c’est très ouvert, porter un haut transparent, laissant les gens admirer tes jolies seins fermes et bien pointés.

Je dis Maîtresse vous êtes terriblement perverse. Mlle Chloé ris et me dis avoue le que tu adore ca petite salope. Je dis en fait il est vrai que j’adore votre perversion Mlle Chloé, mais ouff j’ai jamais été très exhibitionniste, mais j’avoue qu’aujourd’hui ca m’a grandement excitée, et je vivrai ce que vous désirez me faire vivre avec courage et dévotion, sachant que ca sera pour vous plaire Mlle Chloé.

Elle ris encore et me dis tu est aussi perverse que moi petite pute, tu a adoré te ramoner le cul sur le balcon, tu est très perverse mais tu n’avais jamais osé te l’avoué ni en exploité ce côté de toi. Je dis avec le sourire, vous avez probablement encore raison Mlle Chloé, je suis certainement plus perverse que je le croyais, je le découvre par la force des choses Maîtresse, et je l’avoue, avec joie Mlle Chloé.

Le temps passais à discuter et c’étais très agréable. J’étais là assise devant Maîtresse en tenue légère, et je me sentais prête à servir à tout moment sans préavis, et ma condition me plaisais vraiment.

Après m’être levée pour nous resservir du vin et être revenue m’assoir, Mlle Chloé aperçu que mon regard s’étais porté un bref instant sur les pinces sur la table devant moi. Elle me dis tu en a envie petite salope! Je dis pardon Maîtresse? De quoi? Elle répondit ne fait pas l’innocente. Je me demandais sincèrement de quoi elle parlais, je n’avais pas associé mon regard posé sur les pinces et sa question. Je la regardais encore étonnée par la question, et elle posa un regard sur les pinces avec un sourire de satisfaction.

Je compris aussitôt l’allusion, je dis euh..euh..bien je n’ai fais que jeter un coup d’oeil comme ca sans plus Mlle Chloé. Elle ris et me dis tu vois je te l’avais dis, elles te manquent petite salope. Je ne répondit rien à cette remarque. Mlle Chloé me dis bien voilà ce qu’on va faire, si tu les veut vraiment, prend les et installe les, et là, soit honnête par ton acte, je ne veut pas de fausse gêne, si tu les veut prend les, sinon n’en fait rien, mais lit bien en toi pour être certaine de toi, et sache bien que c’est ton choix, ce n’est pas un ordre. Oui Mlle Chloé.

Elle ajouta toutefois, si tu les mets ca sera par ta propre volonté, mais les enlevés sera selon ma propre volonté, entendu? Oui Mlle Chloé. Un bon moment d’hésitation, le silence, Mlle Chloé m’observais avec un malin sourire, elle semblais être certaine du choix que j’allais faire et attendais le moment où je passerais à l’acte.

Je finit par me décider, et je pris les pinces, je relevai ma nuisette et pinçai mes bouts de seins, et ensuite m’installa la pince à mon clito, laissant redescendre ma nuisette par elle même, sans plus. Mlle Chloé souris et me dis je suis très fière et contente que tu ose afficher ta perversion devant moi petite poupée de sexe, j’adore constaté que je te rend très accro aux supplices et à la perversion, aux jeux sexuels et au plaisir d’être excitée devant moi et pour moi.

Je dis Maîtresse, je ne les aurais pas mis, mais sachant que je suis maintenant à votre merci pour les retirés, cela m’a fais me décidé, car j’ai ressenti ce besoin d’être contrôlée par vous Mlle Chloé. Elle ris et dis oh lala, es-ce le vin ou c’est ta perversion qui se décide à s’afficher clairement sans aucune honte? Je répondit avec le sourire et dis ma perversion Mlle Chloé, avec vous je ne sent plus la gêne de l’afficher, je la découvre et je l’exploite pour la première fois, avec grand plaisir Mlle Chloé, merci à vous de m’avoir fait m’épanouir dans le sexe et la servitude, je vous en suis reconnaissante Maîtresse.

Elle me dis ma foie tu m’épate encore délicieuse petite poupée de sexe, et je décide sur le champ, vu ton audace à dévoilé ta perversion ainsi, que tu va remettre ta jupe et ta blouse de ce midi, et je t’amene danser dans un bar de gouine que j’aime bien, profitant que nous sommes un peu pompette, et donc j’appele un taxi. Elle me dis va mettre tes vêtements tout de suite, et remet le bouchon dans ton cul de salope.

Je dis oui Mlle Chloé, mais vu que je n’aurai que la blouse blanche, je retire les pinces de mes seins qui se verront beaucop trop Maîtresse? Certe non me dit-elle, assume. Ouff me dis-je, oui Mlle Chloé j’assumerai selon votre volonté, et j’allai m’habiller dans sa chambre. Je revint habillée comme dicté, puis Mlle Chloé me dis on va te faire des lulus, pour que tu est l’air encore plus poupée petite pute, et elle m’attacha les cheveux.

Elle me dis je crois que pour cette première sortie, je n’ajouterai pas l’oeuf vibrant, je pense que ton excitation sera déjà amplement adéquate ainsi, qu’en pense tu me dit-elle? Euh..vous avez toujours raison Mlle Chloé. Elle ris et me dis tu t’en tire bien pour cette fois petite, mais j’hésite encore, je suis très tentée. Puis elle dis ca sera correct comme ca pour ce soir. Je fut soulagée, car je me disais que là ca serais beaucoup trop excitant et que je coulerais vraiment gros avec ca, mais je venais d’avoir un avant goût de ce qui me guettais pour l’avenir.

J’étais angoissée dans l’attente du taxi, j’avais certe une excitation à l’idée de m’afficher ainsi, mais c’étais quand même une première, sachant en plus que c’étais un bar de gouine où je serai largement observée, étant attriquée en vraie pitoune, voir pute. De plus me revenais en tête les mots qu’elle m’avais dit au sujet des occasions qui peuvent survenir, ce qui ajoutais à mon angoisse. Puis la sonnette retentit, c’étais le temps de prendre le taxi.

Le chauffeur, un homme dans la quarantaine, n’avais pas perdu une occasion de me z’yeuter, Mlle Chloé ayant pris soin d’ajusté encore la hauteur de ma jupe, et en s’assurant que ma blouse ouvrais le plus possible. Malgré la gêne que je tentais de refoulé, je me sentais vraiment poupée, voir cochonne, et j’aimais bien le sentiment de l’obligation de m’afficher ainsi. Mlle Chloé me dis dans le taxi qu’elle désirais me voir bien danser, me trémousser, aussi bien que j’avais fait plus tôt dans la journée. Je me souvenu qu’elle préférais que je l’appele Maîtresse en public, et je répondit oui Maîtresse, je danserai de mon mieux pour vous.

Au moment d’entrer dans le bar, j’ai constaté aussitôt que la piste de danse étais presque vide et que les gens étaient attablés. Curieux comme quand nous sommes dans la place nous avons toujours le réflexe de regardé ceux qui entrent, et ce fut le cas. Partout ou j’envoyais mon regard, les gens me fixais, me z’yeutais de bas en haut et de haut en bas, et les yeux grandissaient, les sourires s’affichaient, je me sentais énormément observée.

Nous nous sommes installées à une table et Mlle Chloé nous a commander des consommations. En attendant nos consommations, mes yeux faisait un peu le tour de l’endroit et des gens qui le peuplais, et je remarquai que certaines étaient vêtues de façon assez sexy également, et au moins une portais des signes d’être soumise, portant entre autre un collier de chienne comme moi, ce qui me mettais très légèrement plus à l’aise, ne me sentant pas la seule.

Nous avons pris quelques gorgées de nos consommations, puis Mlle Chloé me dis aller c’est bon cette toune, va danser, ca va inciter les autres à te suivre. Comme de fait, ca n’a pas tarder que j’étais entourée, et les filles m’observaient bien et me souriaient beaucoup. Regardant les encouragements de Mlle Chloé, je du danser plusieurs danses, dont une où j’ai peut-être mis un peu trop de conviction, et la pince de mon clito en tomba.

La gêne extrème, je figeai, puis comme si elle pouvais me sauver, je regardai Mlle Chloé, qui me fit plutôt signe de ramasser ma pince. Prenant mon courage à deux mains, je pliai les genoux et me penchai pour la ramasser, espérant que rien ne se vois. Échec. Dans mon dos j’entendit des mots qui laissaient clairement supposer que le bouchon dans mon cul avais été remarqué, et même un peu plus. Rouge de honte je ne regardai personne dans les yeux et revint m’assoir à notre table, ma pince à la main.

Je me doutais que Mlle Chloé me dirais va à la toilette et remet vite cette pince salope. Elle me le dit en effet, mais en oubliant de parler du bout d’aller à la toilette. Devant son regard insistant, je du me résigné à relever une partie de ma jupe et remettre ma pince en place, à la table. Elle me dis bonne fille. Je répondit merci Maîtresse. Puis à peine ma jupe replacé, je m’aperçu qu’il y avais une femme à mes côtés, qui avais bien du voir la scène.

Elle commenca à parler avec Mlle Chloé, et je compris vite que c’étais une connaissance. Mlle Chloé me fit me présentée comme la nouvelle esclave de Maîtresse. La femme pris place à côté de moi et de Mlle Chloé, et m’observais beaucoup entre les mots qu’elle échangeais avec Mlle Chloé. Elle complimenta Mlle Chloé sur sa très jolie nouvelle pute, et lui avoua qu’elle aimerais bien l’avoir entre les mains afin d’en abuser à sa guise.

Mlle Chloé ne répondit pas positivement à cette remarque, laissant sous entendre une éventuelle possibilité, sans grande conviction. Je cru détecté à ce moment que ce n’étais probablement pas une très grande amie de Mlle Chloé, et me senti soulagée qu’elle ne semblais pas vraiment enclin à me prêter à cette femme, qui avais pas mal tout du tom boy classique des gouines.

Après quelques mots, Maîtresse finit par s’en débarassé diplomatiquement. Elle m’envoya danser à nouveau, mais cette fois elle est venue avec moi, et démontrais sans gêne sur la piste que j’étais SA possession, me passant parfois la main sous la jupe, me faisant un petit french à l’occasion, allant même jusqu’à me prendre un sein dans sa main, s’assurant avec le poignet qu’il sorte de la blouse et se montre à l’air libre, affichant clairement la pince et le poid qu’il portais.

Je me sentais étrangement fière de ses gestes, je me sentais sécurisée que ces gestes étaient fait par Mlle Chloé, car j’avais un peu la peur que n’importe qui dans l’endroit aurais pu poser des gestes, et que Mlle Chloé aurais autorisé d’un regard consentant. J’étais heureuse de m’affichée auprès de Mlle Chloé, et réconfortée qu’elle se joigne à moi et qu’elle affirme son contrôle sur moi devant la foule, j’en étais encore plus excitée, et je ressentais moins de gêne à sentir couler mon jus sur mes cuisses.

Nous avons passé quelques heures dans l’endroit, j’ai couler abondemment et j’étais heureuse de ce fait, qui je savais, plaisais à ma Maîtresse. Le dernier verre m’avais par contre pas mal sonnée, après tout ce vin, et Mlle Chloé s’en aperçu, et me ramena donc à la maison. En route, je me suis presque endormie dans le taxi, accotée sur l’épaule de Maîtresse.

Elle me secoua à notre arrivée, pour sortir du taxi, et j’ai sur le coup ressenti toute l’excitation que j’avais encore, mais que j’avais presque oublié dans un moment de nonchalence. Sentir cette excitation m’a réveillée assez vite, mais je me sentais tout de même pas mal pompette, mais je marchai droite pareil, ou presque. Assitôt entrées dans l’appart, je demandai à Mlle Chloé si je pouvais enlevé mes talons hauts. Mlle Chloé me dis oui jolie poupée enlève les, et d’ailleurs, enlève tout, jouets y compris, et va faire le ménage des jouets. Oui merci beaucoup Mlle Chloé, et du coup, je pensai à m’approché d’elle, la pris par le coup guettant sa réaction, à savoir si elle me laisserais la frenché, et devant son attitude, je l’ai frenché d’un délicieux french, pour ensuite lui dire merci beaucoup pour cette soirée Mlle Chloé, je suis très heureuse de l’avoir vécu.

Je fit mes devoirs, ayant tout retiré et étant nue, mon corps encore tout fébrile. Maîtresse me rejoignit nue également à sa salle de bain, et me dis bon une bonne douche avant le dodo fera un grand bien, ce à quoi je répondit absolument Maîtresse, cela fera un grand bien. Elle me dis tu embarque avec moi et tu me lave partout, ensuite c’est moi qui laverai ma poupée afin qu’elle soit bien propre. Oui Mlle Chloé, cela me va très bien et je serai très heureuse de laver ma Maîtresse, et d’être ensuite laver par elle.

Elle me souris et me traita encore de petite perverse, ce que j’acquiescai d’un sourire complice. Elle ne manqua pas de me chauffer dans la douche, exploitant la douceur du savonnage à la main, et insistant pas mal sur les points stratégiques, me faisant même un va et viens très rapide de quelques secondes en m’enfoncant bestialement un doigt dans mon cul, ce qui me pris par surprise et me fit sursauté. Puis elle dis voilà il est propre ton joli trou là, tout en riant de bon coeur.

Elle me fit la sècher, et me dit toi tu ne t’essuye pas, je préfère que ton corps sèche seul et que les petits frissons recouvrent ton joli corps. Je dis bien Mlle Chloé, je suis toute à vous et à votre merci, et je vous remercie grandement de vous occuper si bien de moi Maîtresse. Ensuite arriva le temps de passer au lit, et là je me souvenais que Mlle Chloé m’avais dis qu’elle avais une chambre d’amie pour moi, mais j’attendais sagement qu’elle me la propose.

Elle me dis suis moi, et m’amena dans sa chambre et m’indiqua d’aller du côté gauche du lit et elle se dirigea vers l’autre côté. Elle ouvrit son côté du lit et du même coup je lui aidai en ouvrant mon côté, puis elle me dis allez entre dans le lit petite poupée. Je fut surprise, pensant qu’elle m’enverrais à la chambre d’amie, mais je dis oui Mlle Chloé et m’installa.

Une fois que j’ai été bien installée, à moitié cachée par les couvertes, elle alla à son armoire et en sorti une paire de menotte, une chaine et un cadenas. Elle revint au pied du lit, de mon côté, et releva les couvertes. Elle me mis un bracelet de menotte à la cheville droite, et referma seul l’autre bracelet. Puis elle passa la chaine dans le second bracelet de menotte, attacha la chaine à un barreau du pied de lit, et referma le tout avec le cadenas. Elle me dis alors il ne faudrais pas que tu puisse t’enfuir durant la nuit n’es-ce pas petite pute? Euh...je n’avais pas l’intention Maîtresse, mais ca m’enlevera la possibilité.

Elle répondit tu comprend vite petite futée, et n’es-ce pas intéressant ce sentiment de te sentir vraiment prisonnière à ta grande surprise en ce moment? Oui je suis surprise Mlle Chloé, mais comme vous dite, c’est intéressant à vivre, et je l’avoue, une petite peur s’installe agrémenté d’une excitation Maîtresse. Elle me sourit et me dit c’est le résultat voulue ma chérie.

Laissant la moitié de mon corps découvert, elle se rapprocha de moi, et chevaucha mon visage afin de m’offrir sa chatte à dévorer. Elle me dis donne moi mon orgasme avant mon dodo ma poupée chérie. Oui Maitresse, avec plaisir. Et je m’appliquai à lui fournir un orgasme foudroyant de ma bouche.

Ensuite elle se coucha à mes côtés, accotée sur son flanc, une main lui accotant la tête relevée et me dis aller maintenant fait ton devoir, que je vois comment tu fait bien ca. Oui Mlle Chloé, et je m’exécutai, tout de même gênée qu’elle me regarde faire cet intime devoir. Elle ne tarda pas à me dire non...non non petite salope, tu va y mettre toute l’ardeur que tu a mis sur moi, et soit bien chienne. Oui Mlle Chloé. Ca ne me tente vraiment pas de sortir la règle à cette heure ci ma poupée, alors exécute de ton mieux. Oui très bien Mlle Chloé, puis je me donnai en spectacle en étant affreusement salope avec mon propre corps, devant prendre une légère pause à l’occasion, afin de ne pas jouir.

Au bout de mes 20 minutes, Mlle Chloé sembla très satisfaite de ma prestation, et moi j’étais au comble de l’excitation, haletante, le souffle court, et un désir incommensurable de jouir, sachant pertinament que je devais resté sur ma faim. Puis elle me souris, m’offra un bisou sur le front, en me disant bonne nuit petite chérie, savoure ta première nuit à devoir t’endormir excitée et sur ta soif insatisfaite d’un orgasme, pour le malin plaisir de Maîtresse. Bonne nuit bonne Maîtresse, dormez bien, et un très gros merci pour tout Mlle Chloé.

Je pris un temps fou à m’endormir, n’ayant en tête que le sexe, le sexe, et encore le sexe, puis mon corps a fini par succombé à Morphée, et je sommeillai d’un profond sommeil. Puis je ne sais trop vers quelle heure dans la nuit, j’étais après faire un rêve super cochon je crois, et je me réveillai en sursaut, me sentant ultra excitée, mouillée. Je découvrit très vite que mon corps n’étais plus recouvert d’aucune couverte, et que Mlle Chloé avais la tête entre mes cuisses grandes ouvertes, à me lècher le clito vigoureusement. À peine réveillée et ainsi surprise, elle m’enfonca deux doigts dans ma chatte et se mis à faire va et viens rapide sans ménagé mon clito.

Je du subir ce réveil sans dire un mot, autre que mes gémissements. Puis après de longues minutes, elle fini par me lâché et me faire lèché ses doigts juteux. Je dis alors Mlle Chloé je ressent une terrible envie d’uriné à présent. Elle souris et me dis excellent. Je me dis oups! dans ma tête, ce ‘excellent’ ne me parais pas très bon signe. Puis elle me dis voilà un autre devoir que je voulais t’enseigné, mais je devais attendre que l’occasion se présente.

Elle détacha ma cheville et m’amena à la salle de bain. En moi même je me disais je serais bien capable d’y arrivé seule. Mlle Chloé me dis lève le couvert petite pute. Oui Mlle Chloé, en me disant bon elle veut me faire pisser sur le froid de la bol. Elle me dis tu te met à genou sur la bol, les pieds vers l’arrière afin de me faire face, et que je vois si tu m’a dérangé pour rien. Je me placai comme elle me dicta, et mon liquide tardais à venir, gênée par le fait de devoir pisser devant Mlle Chloé.

Elle dit aller sinon je t’enfile un bouchon d’urête petite poupée et tu ne pourra plus rien sortir de ce petit trou. Je me dis quoi, bouchon d’urête, mais qu’es-ce que c’est encore que ca ouff. Puis l’envie l’emportant par dessus tout, mon liquide jaune se mis à sortir et je me vidai dans une appaisante satisfaction. Mlle Chloé me dis alors maintenant, quand tu te lève la nuit pour faire pipi, c’est ainsi que tu devra le faire c’est clair? Oui Mlle Chloé.

Elle ajouta et tu remarque que la porte de la salle de bain est resté grande ouverte? Oui Mlle Chloé. Et bien c’est ainsi que ca devra se faire, et ce, peu importe où tu sera ma chérie, ici, chez toi, ou chez des amies, la seule exception, est que je t’accorde de fermé la porte chez tes parents, mais tu pissera ainsi installée c’est très très clair? Oui Mlle Chloé, très très clair ouff.

Elle me dis j’ai très envie de punir ce dernier ouff petite. Mais ca m’a échappé bonne Maîtresse je m’excuse. Elle dis c’est fini je ne veut plus entendre de ouff à l’avenir. Oui Mlle Chloé, je ne le dirai plus, j’espère échappé à la punition cette fois ci, malgré que je vois bien votre mécontentement Maîtresse. Aller lave toi la fente et retourne au lit petite poupée chérie. Oui Mlle Chloé j’arrive.

De retour à la chambre, j’aperçu Mlle Chloé avec à la main le bouchon pour mon cul, en train de le lubrifié. Avant de retourné dans le lit, je compris le message et j’ai été me penché devant ma Maîtresse, sans dire un mot, en bonne soumise, sachant que je méritais la punition, et en me disant que je devrai passé la nuit avec cet engin en plus. Elle me donna une petite claque sur la fesse droite en me disant bonne fille, tu commence à anticiper mes désirs, continu comme ca petite, tu t’évitera parfois des punitions à ta grande surprise, avec la grande indulgence de Maîtresse.

Oui Mlle Chloé je continuerai de vous facilité la vie, je vous rendrai très fière de moi Maîtresse. Puis elle m’introduisit ce jouet dans mon cul, je la remerciai, et elle m’installa dans mon lit, et m’attacha la cheville. J’eut encore beaucoup de mal à m’endormir, mais c’est finalement arrivé. À mon réveil, Mlle Chloé étais assise sur le lit en robe de chambre café à la main, me sourit et me dit tu en a mis un temps pour te réveiller petite salope. Je dis bon matin Mlle Chloé, quelle heure est-il svp? Il est l’heure de ton devoir matinal ma chérie, et j’espère te voir aussi acharnée et salope qu’hier soir. Ouff ca me revint subitement en tête, merde j’avais encore une envie folle de pisser, mais je devais me masturber avant tout, et en m’écartant les jambes pour être en bonne position, le mouvement a fait que j’ai vite repris conscience du jouet dans mon cul que la nuit m’avais fais oublié.

Un regain d’excitation remonta en moi, Mlle Chloé tirant les couvertes pour dévoilé mon corps en me souriant et en sirotant son café, dont l’odeur me mettais l’eau à la bouche, mais d’abord mon devoir, aller petite chienne me dis-je, au travail! Je me surpris à vouloir vraiment offrir un bon spectacle à ma Maîtresse, et à vouloir la satisfaire, lui démontrant qu’à l’avenir, nul doute que j’exécuterai sans tricher mes devoirs, pour son grand plaisir. Je me rappelai ce réveil dans la nuit en m’exécutant, et ca m’excitais et m’incitais à être très salope, je ne me ménageais pas un brin.

Je finit ma tâche avec succès, contenant mon orgasme, et n’ayant pris que deux pauses, ce que Maîtresse n’a pas manqué de féliciter. Puis j’ai eu droit à être détaché et pouvoir me soulager enfin de mon envie du matin. Ensuite j’ai eu droit à mon café que je savourai, un café délicieux aromatisé à la noisette et juste assez corsé à mon goût.

Mlle Chloé compris bien que le café faisais surgir d’autres besoins, et elle me permis de retiré le jouet de mon cul, et me laissa retouné à la toilette. Elle me dis après, moi je ne déjeûne pas ou presque jamais, mais si tu désire quelque chose, ne te gêne pas pour te le faire. Elle me dis aussi si tu veut une robe de chambre pour tout de suite je t’en prêterai une. Je lui dis merci beaucoup Maîtresse, mais je n’ai pas très faim pour le moment, et en souriant, je dis et je me sent bien comme je suis Mlle Chloé, nue devant vous. Elle me traita aussitôt de salope et d’agace, ce qui me fit bien rire et elle aussi.

Puis elle m’amena au salon pour discuter un brin qu’elle me dis. Elle me dis tu sais la vidéo, regarde je l’efface devant toi. Puis ajouta tu sais, je voulais que tu vive un bout d’expérience afin que tu sache ce que tu manquerais en refusant, et j’ai utilisé la menace, mais en vérité je te jure que jamais je ne l’aurais mise en exécution.

Elle me dis tu vois maintenant je n’ai plus aucune preuve accablante contre toi, et je t’assure que je ne dévoilerai jamais rien de ce que tu a vécu hier, si tu ne veut plus que j’en parle à qui que ce soit. Maintenant viens l’heure de la décision. C’est à toi de me dire si tu veut poursuivre la route en m’étant soumise, selon les mêmes règles et tout, ou si tu préfère tout arrêter maintenant et être libre, ce sera sans rancune.

Elle me dis pense s’y bien, et quand tu veut, la porte est là, tu est libre et je te remet tout ce qui t’appartient, et on ne reparlera jamais plus de tout ca. Prend ton temps, réfléchi, et quand tu sera prête, bien certaine de toi, tu me donnera ta réponse. D’ici là tu peut bien sûr resté avec moi, être libre, habille toi comme tu veut, fait ce qui te plait, et parle moi comme une amie non comme à une Maîtresse.

Je me sentais libre totalement, surprise par ces mots, et je sentais qu’elle ne m’obligerais jamais plus à rien sans que je me soit d’abord livrée à elle. Je me sentais un peu perdue sur le coup, car j’avais accepté tout ca, être contrôlée, et là je pouvais vivre par moi même, libre. Je lancai un regard très profond en moi, introspectif, et la lumière ne tarda pas à se faire.

J’avais déjà ma réponse en tête, mais je laissais un peu de temps passé, en me questionnant intérieurement à savoir si j’avais envie de changé d’idée. Une heure passa pour que je me sente absolument certaine, en toute sincérité avec moi même, puis j’allai me placer debout devant Mlle Chloé, la fixai droit dans les yeux et lui dis ceci;

Chloé, je te parle présentement en amie, je te remercie vraiment de tout coeur de m’offrir ma liberté, de me garantir la paix d’esprit, et me laisser être totalement responsable de mes actes et de mes choix. Je t’avoue Chloé que jamais de ma vie je n’ai vécu de moments aussi intense et extraordinaire qu’avec toi hier. Je me sent totalement libre en ce moment, et j’apprécie ma liberté que j’ai toujours adoré par dessus tout.

Je pris une pause, fixant toujours Chloé droit dans les yeux, afin de lui démontrer que j’étais sérieuse et réfléchie, je m’agenouillai devant elle, puis je poursuivi avec ces mots;

Mlle Chloé, je vous implore humblement et vous supplie à genou, de me garder en tant que votre esclave, votre salope, votre chienne, votre poupée de sexe, votre servante. Je vous implore de m’offrir encore l’honneur et le bonheur de vous servir Maîtresse, je vous implore d’exhaucer mon voeu de vous être fidèle et obéissante, je vous implore de me punir autant que vous en jugerez bon. Je vous supplie Mlle Chloé de conserver mon corps comme votre objet de plaisir, et de lui faire quoi bon vous semblera, je ne demande qu’à poursuivre mon cheminement d’esclave Mlle Chloé, svp satisfaisez mon plus cher désir, je vous en prie.

Mlle Chloé étais émue, en sanglot, un mélange d’émotivité par mon discours et de joie je crois. Elle resta un moment sans voix, muette, puis un large sourire se dessina sur sa bouche, mon coeur battais la chamade encore une fois, je cru que son sourire étais bon signe, puis elle me confirma;

Nathalie, tu m’a vraiment charmée et émue par ton discours, je suis si heureuse que ton expérience te fut des plus agréable et excitante, Nathalie, je te veut comme ma poupée, je te désire comme ma pute, et je t’accepte avec une joie immense comme mon esclave. Nathalie tu est dorénavant vraiment toute à moi, entièrement à moi, totalement dévouée à mon plaisir.

Je me redressai sans même penser à demandé la permission, dans ma hâte, et allai frencher royalement Mlle Chloé, les larmes de joie sortant de mes yeux. Ensuite comme pour me laisser une toute dernière chance, Mlle Chloé me demanda, est tu bien certaine de toi Nathalie?

Mlle Chloé, dans ma réflexion il m’est revenu plein de choses en tête, des lectures d’histoires BDSM sur le net, une discution avec un type prétendument Maître sur le ‘chat’. Avec le recul, je crois que je m’intéressais un peu plus à la soumission que je me permettais de croire.

Ce qui a grandement réveillé en moi ce côté, et ce qui a je crois été un point très important, qui a fait en sorte que j’ai bien entré dans mon rôle, c’est ces petites chaines que j’ai adoré porter toute la journée d’hier à mes chevilles, et l’enchainement de ma cheville pour la nuit. Ce n’est pas les chaines en fait, mais ce sentiment de me sentir prisonnière, sentiment que j’ai adoré, qui m’a excitée toute la journée. Avec le recul ce matin, je me suis rappelé de cet intense sentiment que j’ai pleinement adoré.

De plus Mlle Chloé, lorsque j’ai été punie par vous, je me suis senti comme une petite fille, étant à la fois protégée par vous, et à la fois punie par vous, et je me suis senti curieusement bien dans tout ca. L’énoncé des règles et devoirs m’excitais en soit, me savoir contrôlée allant jusqu’au dévoilement de mon statut à mes amies, mon collier de chienne, tout m’a plut Mlle Chloé, et tout m’a excitée, même si j’avais aussi un certain sentiment que ca allais loin.

Conclusion Mlle Chloé, oui je suis entièrement certaine de moi, et je réitère ma demande de me faire dresser par vous Maîtresse.

Mlle Chloé répondit, et bien soit, je constate avec une immense joie que tu vis ta soumission avec un grand bonheur, et je te dominerai donc avec également un immense bonheur ma chérie.

À suivre

Mlle Chloé part 6

 

ŠLE CERCLE BDSM 2011