Je m'appelle séverin{A} : J'ai 42 ans,
marié, 3 enfants. Je suis soumis depuis plus de 10 ans à ma Maîtresse
qui est aussi ma femme (depuis 20 ans). Je ne suis pas un soumis permanent
puisque nous travaillons tous les deux et que nos enfants sont encore
jeunes. Nous devons faire attention et respecter nos enfants. Ma soumission
est pourtant constante car je me rase le sexe chaque jour et je mets chaque
matin un objet symbolisant ma soumission (anneau métallique, en cuir,
chaîne à la taille, etc...). Je ne redeviens son esclave que le soir après
leur coucher ou parfois le midi quand nous pouvons nous retrouver et encore
quelques fois au cours de week end en amoureux.
Tout à commencer bien avant
que je connaisse ma femme. A cette époque, pendant mon adolescence,
les mots de soumission, esclave, Maître, Dominant m'étaient
inconnus. J'étais (et je suis toujours) un garçon timide
n'osant pas parler aux filles et encore moins les draguer. J'avais un
copain, de mon âge, avec qui je passais tout mon temps. Un après-midi
d'été, nous jouions dans une pinède derrière
chez nous. Nous étions seuls et parlions de notre sujet préféré
: les filles ou comment s'y prendre pour faire l'amour. L'idée
nous vient (lui ou moi ???) d'organiser un petit combat entre nous : le
premier qui réussirait à baisser la culotte de l'autre aurait
le droit de lui demander ce qu'il voulait. Le combat commença,
nous luttions mais sans vraiment le vouloir, je mettais moins de vigueur.
Je réussis quand même à lui baisser l'arrière
de son short. Cela redoubla son ardeur et en moins de temps qu'il me faut
pour l' écrire je me retrouvais le short et la culotte sur les
chevilles. Nous nous arrêtâmes aussitôt. J'avais honte
d'être ainsi devant mon copain mais loin de moi l'idée de
me dérober.
Mon copain, Pascal, fit sans rien dire
le tour de ma personne et déclara que j'avais perdu et que je devais
obéir à tout ce qu'il me demanderait. Je ne sais plus si
j'ai dit quelque chose. Je suis resté, tête basse, sans bouger.
Pascal me demanda de me déshabiller entièrement et de m'allonger
sur le sol.
A ma grande surprise, je bandais. Pascal
se moqua de moi et cela me fit très mal mais je suis de parole
et je continuais à obéir. Il prit mon sexe entre ses mains
et me fit connaître la masturbation. Il joua un grand moment avec
mon sexe et me montra comment le retrousser pour avoir de meilleures sensations.
Bien sûr j'éjaculais. Il ramassa le sperme entre ses doigts
et m 'obligea à les sucer : quel goût !!!
Puis il m'ordonna de me retourner en
me mettant à quatre pattes. Ses doigts s'approchèrent de
mon cul. Je lui demandais ce qu'il faisait : il me dit qu' il allait se
faire plaisir. Je sentis ses doigts caresser mon anus, je l' entendis
cracher et je sentis un petit jet frais sur mon anus. Il me pénétra
doucement avec un doigt puis deux. Je connus le même jour la masturbation
et la sodomie.
Heureusement ou malheureusement pour
moi, des promeneurs passèrent non loin de nous et Pascal s'arrêta.
Il retira ses doigts et me dit de me rhabiller. Nous nous éloignèrent
en courant croyant avoir été vus.
Dans les jours qui suivirent, nous
ne pûmes nous voir. Et quand enfin je le revis, il m'annonça
que son père avait trouver du travail (il en cherchait depuis plusieurs
mois) et qu'ils partaient quelques jours après assez loin. Nous
n'avons plus eu l'occasion de nous revoir seuls et suis resté des
années avec le souvenir de cet amant Dominant qui m'avait donné
du plaisir.
C'est bien plus tard, que j'a compris
ce qui c'était passé et je garde
encore le souvenir tendre et ému de cette première tentative
de soumission.
Pourquoi raconter cela ?
Tout simplement parce que ma vraie
soumission va connaître presque 15 ans plus tard, un départ
dans des circonstances comparables. La masturbation et la sodomie vont
être la cause de tout. En écrivant ces lignes, je suis presque
surpris de voir combien tout cela était finalement écrit.
Soumis
c'était écris No 2
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