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Pendant toutes les années qui
ont précéder ma rencontre avec celle qui allait devenir
ma femme et ma Maîtresse, je n'ai connu qu'une seule fille et pendant
un court moment. Aussi ai-je poursuivi la découverte de la masturbation
et de la sodomie sur moi-même.
Les études m'ont conduit à ma vie d'adulte et j'ai rencontré
l'Amour. Nous nous sommes mariés et avons vécu plusieurs
années sans avoir d'enfant. Je me masturbais parfois et avais un
peu oublié la sodomie. Nous faisions l'amour et cela suffisait
alors à notre
bonheur. Puis notre premier fils est arrivé. Pour ma femme (à
cette époque) le bébé était tout et je me
suis senti un peu exclus. Nous n'avons pu faire l'amour pendant quelques
temps (on appelle cela le retour de couche, je crois) mais mes besoins
étaient les mêmes. Je
me suis donc retourné vers mes premières découvertes.
C'est là que commence ma véritable vie, celle que je connais
aujourd'hui et que je n'échangerais pour rien au monde. Tous les
instants de ce premier jour sont gravés, avec précisions,
en moi pour toujours.
Un soir, en revenant du boulot, je désirais prendre une douche
autant par nécessité corporelle que par envie coquine. Depuis
le midi, je ruminais un désir brûlant de m'enculer. Cela
faisait longtemps que ce désir ne s'était plus imposé.
J'entrais dans
la douche et laissait couler l'eau chaude sur mon corps. Bientôt
la vapeur emplie la salle de bains. Je pris une brosse à cheveux
de ma femme, je m'accroupis dans la douche et enduisant le manche de la
brosse de salive je l'enfonçais doucement dans mon anus. Quelle
sensation douce et merveilleuse. Ecartant une cuisse, je prenais mon sexe
dans une main, la brosse dans l'autre et je m'appliquais à coordonner
les deux mouvements de va-et-vient. Oubliant tout je me vautrais dans
la luxure d'un plaisir longtemps refoulé. Mais j'avais oublié
ma femme qui entra à ce moment là dans la salle de bains.
L'eau coulait et je ne l'avais pas entendu. Désirant me dire un
mot, elle écarta le rideau de la douche et me découvrit
tout à mon affaire. Quand je réalisais ce qui se passait,
je me relevais en retirant rapidement la brosse mais je ne pouvais pas
lui cacher ni l'objet du délit ni mon sexe bandant. Ma femme ne
dit rien, elle referma le rideau et sortit en claquant la porte. Mon sexe
retomba. Je nettoyais la brosse et finissait de me laver sans aller au
bout de mon plaisir solitaire.
En sortant de la douche, je vis ma
femme couchée dans notre lit, en train de bouquiner. Je m'approchais
pour l'embrasser mais elle refusa mon baiser, se tourna et éteint
la lumière. Je restais dans le noir sans bouger, la tête
confuse et surtout honteux.
Le matin suivant, la colère
de ma femme n'avait pas cessé et nous partîmes au travail
chacun de son côté sans un mot.
Le soir, je devais absolument me faire
pardonner. J'achetais un bouquet de d'illets et je préparais
des bouchées à la reine, plat que ma femme adore.
Elle rentra avec notre fils. Je lui
offris le bouquet qu'elle accepta et mangea avec plaisir le repas. Mais
toujours pas un mot. Nous couchâmes le bébé. Enfin
seuls !
Je passais dans le salon et j'allumai
la télé pour regarder les informations. Ma femme arriva
en tenant dans son dos le bouquet d'illets. Elle s'assit à
côté de moi sur le canapé et posa les fleurs sur la
table basse devant elle. Je me demandais pourquoi.
Très vite elle prit la parole et se mit à évoquer
en riant ce qu'elle avait vu la veille dans la douche. Elle se moqua de
moi et me demanda depuis quand j'étais pédé.
Le rouge me monta aux joues d'entendre
ce mot si laid dans la bouche de mon aimée. Je voulais lui répondre
mais curieusement, je crus me retrouver face à mon copain Pascal,
nu devant lui. Ma femme continua à se moquer de moi et décrivit
en détails la manière de manier le manche de la brosse dans
mon cul. Elle me fit même remarquer qu'il lu semblait que mon sexe
était plus gros que lorsque nous faisions l'Amour. Quand j'eus
enfin la parole, je lui expliquais tout en détails, (mes besoins
physiques importants et constants quelque soit les jours, le plaisir de
la sodomie,
) y compris mon aventure avec mon copain. Et là
tout a basculé.
Elle m'expliqua qu'elle avait beaucoup
pensé à moi et à nous toute cette journée
et qu'elle trouvait elle-aussi que notre relation de couple s'essoufflait
un peu. Elle me confia que lorsqu'elle était une petite fille,
elle aimait beaucoup jouer à la maman qui donne des fessées
à ses enfants. Elle me demanda si j'accepterais de recevoir une
fessée. Je lui répondis que je l'aimais de tout mon cur
et que j'acceptais. Elle me demanda de me déshabiller et de m'allonger
sur ses genoux. Honteux comme la première fois, j'obéis.
Mon sexe (je pouvais encore l'appeler ainsi à l'époque)
grandit : ma femme rit une nouvelle fois en le voyant. Une fois allongé
sur elle, je reçus une
première claque, puis une autre et encore une autre. La correction
durant un petit moment.
Et j'aimais cela !
Ma queue resta tout le temps gonflé
de désir et de plaisir. Ma femme me demanda de me relever. Elle
constata le plaisir évident que j'avais eu. Mais je remarquais
sur son visage, un éclat si particulier qu'elle avait lorsque nous
avions fait l'Amour et
qu'elle «était bien ». Ainsi nous aimions sans le savoir
la même chose.
J'aime ça me dit-elle, je pense
que nous allons recommencer souvent. Je ne répondis pas. Je restais
debout devant elle, nu et le sexe bandant. Pourtant je n'avais pas encore
fini. Elle me demanda de me mettre à quatre pattes devant elle
en lui offrant
mon cul. Comme lorsque Pascal m'avait enculer avec ses doigts, j'entendis
ma femme cracher et je sentis un jet frais se déposer sur mon anus.
Bientôt, quelque chose de dur et de petit força le passage
de mes sphincters et s'enfonça en moi. Je compris bien
vite que c'était une tige d'illet. Tout le bouquet y passa.
Mon cul fut bientôt farci au plus profond par le bouquet de fleurs.
Ma femme me demanda si j'aimais, je
lui répondis que oui. Elle glissa une main sous moi et me caressa
le sexe. Nous finîmes allongés sur le canapé à
faire l'amour mais avec le
bouquet dans le cul.
Nous renouvelâmes très
souvent cette expérience. Chaque sodomie se faisait avec les objets
qui nous tombait sous la main : un goulot de bouteille, un manche de tournevis,
toutes les brosses à cheveux de la maison y passèrent une
par une et parfois deux en
même temps. Pendant des années, nous avons poursuivi le jeu
de la fessée et de l'enculage. Chaque fois cela nous conduisait
à l'Amour ensuite.
Et puis en lisant, un journal «
Penthouse », j'ai découvert l'existence de magasins spécialisés
par correspondance. Nous avons commander des godes, une cravache et aussi
des cassettes . Un jour en cadeau, nous avons reçu une cassette
porno qui racontait la
soumission d'un esclave mâle face à une Maîtresse.
Ce fut le déclic pour nous deux.
Pardon d'être un peu long mais il faut, je pense, bien raconter
comment tout cela à commencer. Etre l'esclave de sa femme, esclave
par amour, est une chose qui se développe lentement. Je ne crois
pas beaucoup aux esclaves qui se soumettent au premier
venu : c'est je crois pur fantasme. Pour moi, le fantasme est réalité
mais pour cela, nous avons appris ensemble à devenir chacun ce
que nous voulions être au plus profond de nous.
Aujourd'hui, nous sommes dans la quarantaine et nous avons trois enfants.
Nous vivons dans le sud de la France, dans le Var, dans un petit village
près de Toulon. Nous sommes tous les deux fonctionnaires et nous
avons la chance de travailler assez près
l'un de l'autre.
Je vis ma soumission tous les jours
de ma vie : je porte des sous-vêtements féminins la plupart
du temps sous mes vêtements d'homme. Le matin je me lève
tôt, avant tout le
monde, et je me rase la queue et l'anus, puis je me douche et posant obligatoirement
trois pinces à linge sur chaque sein : Maîtresse vérifie
toujours le rasage et les marques sur les seins. Puis je place, selon
les jours, une chaîne de soumission autour
de la taille, un anneau en métal ou en cuir autour de la queue.
Mais le mieux est quand je dois porter une ceinture de chasteté.
D'ailleurs, actuellement, je suis en train d'apprendre à ne plus
me masturber ni éjaculer sans autorisation. Cela fait aujourd'hui
6 jours que je suis en abstinence : c'est très dur !
Puis je m'habille : un soutien-gorge et des bas à jarretières
élastiques en hiver et rien en été. La journée
passe. Le soir, dès que j'arrive, je me change et je nettoie mes
sous-vêtements. J'enfile un retrousseur sur le prépuce pour
avoir le gland retroussé et je me lave l'anus (que désormais
j'appelle la chatte). Je place sur les
seins des pinces fines et discrètes. Le reste de la fin de journée
se passe avec mes enfants sans qu'aucun ne sache quoique ce soit. Nous
sommes très discrets car nous ne voulons pas que nos enfants souffrent
de notre vie sexuelle.
Dès que nos enfants sont endormis, Maîtresse reprend tous
ses droits et satisfait tous ses besoins. Je redeviens son soumis d'Amour
et je jouis des punitions qu'elle m'inflige. Mais il ne faut pas non plus
croire que tous les soirs sont identiques : il nous arrivent aussi de
faire uniquement l'Amour et puis d'autres soirs, nous nous caressons mutuellement
en regardons la télé, comme beaucoup de couples (j'espère
!). Mais il n'y a aucun soir ou nous ne ous touchons pas d'une manière
ou d'une autre.
Soumis
c'était écris No 3
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