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Histoires Des Invitées

Elise au Restaurant

Par Thierry D

 

Elise souhaite une relation de domination. Bien sûr son compagnon est charmant et plein d'égards, mais elle souhaite désormais voir sa force et se sentir désirée et possédée plus brutalement.

Nous sommes le jeudi soir. Au cours du repas, elle demande à mots couverts à être dominée: "- Mon chéri, je me sens insolente et impertinente à ton égard, je crois que tu devrais me rappeler mes obligations conjugales"

S'il ne souhaite pas de relation de domination, il va faire semblant de ne pas comprendre, dans le cas contraire il va accepter. Il répond alors:

"- Oui ma chérie, depuis quelque temps je te trouve insolente, je crois qu'il faut que je te dresse à nouveau. La nuit prochaine je t'apprendrai à m'obéir à nouveau, tu es d'accord ?

- Oui, je serai à toi demain"

Ce faisant, Elise sait que désormais il peut la forcer et la contraindre à l'obéissance la nuit prochaine. Elise ne peut plus reculer.

Le jeudi soir ils faots l'amour avec plus de vigueur que d'habitude, Elise sent que l'idée d'avoir une femme à sa disposition la nuit suivante l'excite terriblement. Pour sa part également, elle sait qu'elle sera entravée, forcée quand il lui plaira, avec encore de nouveaux tourments qu'il imagine à chaque fois.

Le vendredi matin elle part donc au travail avec une marque de tendresse de son ami, qui lui glisse un tendre "A ce soir", en lui passant la main sous sa jupe. Elle a du mal à respirer.

Elle pense toute la journée à son retour. Désormais, comme convenu, elle ne peut plus reculer.

Le soir, la voici donc devant la porte. Cette fois elle sonne et attend devant. Il lui ouvre "- Entre" et lui intime l'ordre d'aller s'habiller convenablement: minijupe de cuir, bottes de cuir noir à talons, bas.

Ce soir là il est charmant, il offre le thé. Il y a bien une paire de menottes sur la table du salon, un godemichet et un baillon boule, mais il fait semblant de ne pas les voir. Elle les dévisage sans parler.

Cela peut désormais démarrer à tout instant. A chaque fois le scénario est différent. Il y a une attente angoissante et un silence inhabituel, pas de radio, de télé, de dialogue. Obéissante, Elise attend sur le canapé. Elle sait qu'elle ne doit plus bouger sans ordre.

Toujours charmant, il l'invite cette fois au restaurant. Elle ne devrait donc être dominée qu'après, mais elle sait qu'il peut y avoir une séance à tout moment, même en allant au restaurant.

Au restaurant il est charmant, elle n'en peut plus, logiquement cela doit bien commencer un moment, l'attente commence à être angoissante. Ils sortent du restaurant, toujours charmant il lui ouvre la porte passager.

Mais là, il la plaque face contre la voiture. D'un geste des pieds il lui écarte les chevilles. On le sent brusquement animal, il caresse ses fesses, passe une main sous la jupe, vérifie qu'elle porte bien des bas et un string, comme demandé.

"- Mains dans le dos" Elle obéit, et ses mains sont menottées. Elle est poussée sur le siège, ceinture et il démarre.

Sur la route, il va sur un parking désert. Il l'attrape par la chaine des menottes et tire brutalement, ses mains dans le dos, l'extrayant de la voiture au risque de la déséquilibrer et de la faire tomber. Il la fait mettre genoux à terre et lui fait face. Il baisse le pantalon et approche son sexe en érection de sa bouche. Elle comprend qu'elle doit lui faire une fellation. Il a désormais une cravache à la main, donc gare à ses cuisses si elle manque d'ardeur !

Cette fois-ci il a appuyé sur l'urètre pour éviter de faire gicler le sperme dans sa bouche. Merci a-t-elle envie de dire, mais elle sait qu'il n'en est pas toujours ainsi.

Ensuite il la remet dans la voiture et l'emmène chez eux. Il se gare à quelque distance, elle va donc devoir marcher menottée. Bien sûr il fait nuit, mais on peut croiser des passants attardés ou être vus depuis une fenêtre, surtout si on fait du bruit. Elle le suit donc dans le plus grand silence, évitant de faire claquer ses talons sur le trottoir. Elle se blottit contre lui pour cacher au mieux ses menottes.

Une fois rentré, il la fait se déshabiller, toujours entravée en haut ou en bas, pour qu'elle ne puisse pas s'échapper. Elle se retrouve nue. Il lui pose alors des menottes et un collier en cuir, cadenasse les trois à une chaîne et la fixe au radiateur. Elle se trouve sur un matelas, il lui met une couverture dessus, éteint la lumière et sort.

Elle se retrouve en silence, plutôt fatiguée, mais aussi excitée. La nuit n'est pas finie.

Dans la nuit il réapparait et l'utilise par ses différents orifices, mais également lui repasse les menottes dans le dos, tire sur la chaîne et l'emmène dans le lit conjugal en usant d'elle mains dans le dos avant de la remettre dans l'autre chambre.

Enfin, comme convenu, quelques heures avant le lever du soleil, il revient la chercher, l'emmène à nouveau dans le lit conjugal, la libère et lui dit avec tendresse: "-Elise, tu est libre, je suis fier de ce que tu as enduré et je t'admire et je t'aime".

Par ces mots, la période de domination a pris fin, elle est désormais la moitié du couple et ne peut plus être dominée sans donner à nouveau explicitement son accord. Les deux amants dorment alors l'un à côté de l'autre d'un sommeil paisible.

 

Mesdames, si ce récit vous plait reportez-vous à mon annonce sur ce site pour en parler, et plus si vous le voulez.
Thierry D

 

 

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